sick thoughts // A R E S

the other side l'air est lourd. ou peut-être n'est ce que toi, là aux côtés des tiens. alignés fièrement derrière ton père qui n'a de cesse de lever la tête fièrement. tout le monde semble être à sa place ici, mais toi tu n'es pas capable de rester immobile. dans ce costume, enfermé. comme dans la vie qu'on te dessine. pourquoi tu voudrais faire comme eux, quand eux ne veulent pas voir ce que tu es ? refusant d'ouvrir les yeux. tu ne seras jamais l'enfant qu'ils voulaient, parce qu'ils ne te voulait pas. tu ne le sais pas encore, mais tu le sens jusqu'au plus profond de tes os. à leur façon ils ont de l'affection à ton égard, de l'amour peut être. mais tu gigote ares. tu n'es pas capable de faire comme ton aîné, pas capable d'être une copie sans trous. sans erreurs. le regard noir t'es lancé par ta mère, qui est si belle dans cette robe qu'elle aura mis des heures à choisir. ses azurés, en pleine tempête qu'elle te lance par l'habitude plus que par le devoir. parce qu'elle sait au fond, qu'avec toi quelque chose ne va pas. que toi, elle ne pourra pas faire en sorte de te briser assez pour que tu rentres dans le moule. ce n'est pas toi tout ça, le dos droit, les habits parfaitement mis. non, jamais tu ne seras celui qu'ils voudraient. lettres frappés avec une violence inouïe, m a d d s comme les chaînes à tes chevilles, celles qui jamais ne cesseront de t'entraîner dans les profondeurs de ton âme. creusant, pour rejoindre les ténèbres, tandis que la lumière jamais ne te laisse briller. lonely, but never alone. deux entités, voilà ce que vous étiez. liés comme jamais vous ne l'avez demandé, et pourtant, incapables d'y échapper. que faire, quand son frère est toujours là ? qui être, qui devenir ? quand la destiné glorieuse lui est tracée. t'aurais du le détester, mais t'en à jamais vraiment été capable. sans cesse en train de chercher le regard d'approbation, le seul dans ce quatuor dissonant à cause de toi. le regard qu'il n'a eu de cesse de poser sur toi afin de te pousser à être une version meilleure de toi même. malgré les bagarres qui t'incombait, qu'il voyait dans être capable d'agir. malgré les mots parfois trop forts dépassant tes lèvres. malgré les blessures qu'il t'a infligé. tu le savais james ? à quel point tu étais en train de me tuer ? jamais pourtant n'a tu été capable de le haïr, comme lui ne le pouvait pas avec toi. parce que dans tout cela il était une partie de toi, plus que jamais vous ne vouliez vraiment l'accepter. inséparables, et c'est pour ça que tu l'a suivi. parce que tu ne savais pas comment faire autrement que d'être à ses côtés. distance. c'est la décision la plus irrationnelle que t'ai jamais prise. la signature apposée et tu t'imaginais que quelque chose changerait en toi, sans comprendre qu'en fait tu à toujours su que tu le ferais. que tu suivrais les traces familiales, pour prouver que toi aussi tu valais la peine. que t'étais pas seulement celui qui séchait les cours, prêt à se battre pour n'importe quoi (quand ce n'importe quoi, trop souvent porter le doux prénom d'euphémia). toi aussi, tu pouvais être celui qu'on attendait d'un madds. et dans le regard de ton père, pour la première fois c'est une sorte de fierté qu'il t'a donné. sans mots. sans gestes. le regard suffisant. peut-être finalement, que toi aussi tu pouvais être son fils. toi aussi, tu pouvais avoir cette reconnaissance toujours cherchée. toujours attendue. c'est ce qui a tout fait changer, de t'engager. de quitter ce quartier, qui n'a eu de cesse de te juger pour les mauvaises décisions prises. c'est ce qui à tout fait basculer, sans même que tu t'en rends compte. empty soul. il n'aura suffit que d'un regard pour se lier. avec une facilité déconcertante, déroutante. t'a pas toujours été capable de dire ce que c'était, ce qu'elle faisait. mais elle était là toujours à tes côtés, toujours dans tes pensées. tu savais. que la destiné que t'avais toujours cherché résidait dans le regard qu'elle posait sur toi. celui dont tu rêvais la nuit, celui qui sans cesse te hantait. « est-ce qu'il te rend heureuse ? »  tu te souviens encore les regards qu'ils se lançaient. incapable de les stopper, parce que tu tout ce que t'a toujours voulu c'est qu'elle le soit, heureuse. même si cela devait être avec lui. assis tout les deux sur ce bout de mur que vous partagez depuis que vous pouvez marcher. le regard dans le vide, tu n'est pas capable de la regarder sans imploser. comment te le dire, de pas le faire, de ne pas l'épouser ? elle met du temps à répondre, et l'espoir murmure. peut-être voit-elle maintenant ce qui pour toi à toujours paru aussi certain. les mains incapables de bouger, les doigts qui se lient pour ne pas trembler. tu attends qu'elle les dise les mots qui te libérerait. « oui. oui je le suis.» les paupières lourdes viennent couvrir la colère qui te prends. qui es-tu seulement pour lui enlever cela ? le silence qui vous enveloppe et les tremblements que tu contrôles. c'est tout ce que t'a toujours voulu, qu'elle soit heureuse. même avec un autre. même avec lui. le sourire est feint. oui, c'était tout ce qui comptait.unbearable. la sécheresse. la sueur contre tes tempes, tandis que les yeux sont vissés sur la lucarne. dans la radio grésillent les idioties racontées par tes frères, ce que vous ferrez en rentrant enfin dans quelques jours. tu les écoutes mais reste concentré sur leurs silhouettes s'avançant entre les rues désertes. c'est la voix de james qui résonne, raconte ce qu'il a préparer pour les retrouvailles avec sa femme. ses mots que toujours tu décide d'ignorer, ceux qui font naître dans ton être une acidité particulière. les années auraient du tout effacer, mais ça ne disparait jamais. la réalité rappelé quand ton nom est appelé, et au loin la poussière qui s'élève. un véhicule qui s'approche, « james -» mais lui aussi l'a vu, te coupe. ils se regroupent et toi tu cherches à voir, si la voiture est ennemie ou non. mais la poussière est épaisse, et ne te laisse aucune visibilités. ce sont des secondes qui s'écoulent mais cela te paraît être une éternité. tu comprends ce qui va se passer, avant que cela n'arrive. le ressent au plus profond de ton être. et tu n'a pas le temps de décider ce que tu devra faire que l'explosion retentit, venant tout raser sur son passage. conscience perdue. et avec, une partie de toi. disabled. tamponné en lettres rouges capitales. c'est toi qui aurait du être à sa place sans cesse répétés par ton père. et ta conscience qui ne cesse de rejouer cette culpabilité qui t'accable. ça aurait du être toi, tu le sais aussi. les mois de thérapies qui n'auront pas su effacer cette certitude. et avec ton esprit criblé, toute l'armée qui te tourne le dos. parce que tu ne pourrais pas leurs être utile sur le terrain, parce que dans un sens tu voudrais tous les faire taire. ceux qui ont survécus comme toi. ceux qui n'ont eu de cesse de s'appeler frère, mais c'est le tient que tu à perdu. ils ne peuvent pas comprendre, ne le pourront jamais. personne. et puis ce regard qu'elle pose sur toi sans que tu sois capable de t'approcher d'elle. toi aussi, tu voudrais que j'ai pris sa place ? parce que tu t'en persuades. ce n'est pas son mari, là devant elle ce n'est que toi. et lui ne reviendra jamais. tout est noir. à nouveau. tout redeviens insupportable à vivre, les regards, les murmures, les souvenirs. les nuits ne sont plus ce qu'elles étaient, ne te repose jamais. car les flashs t'accablent, les souvenirs et toutes ses choses que tu aurait pu faire. tout. plus rien n'a de sens, plus rien n'a de saveur. down. elle s'inquiète ta mère. jamais n'as-tu vu dans ce regard autant de tristesse de concernant. elle ne sait pas ce que tu deviens, et elle s'y intéresse pourtant. pour la première fois depuis que t'es né. mais elle comprendra jamais, ce qui se passe dans tes pensées nécrosées. le mensonge est de plus en plus grand, celui dans lequel tu t'enfonces. avec des soupçons de vérité, parfois. c'est des petits boulots qui te maintiennent et l'argent qu'elle ne cesse de virer sur ton compte. tu es mon fils comme excuse quand tu lui rappelle que tu n'en à pas besoin. mais tu n'es son fils, que depuis deux ans. ne l'a jamais été, avant. aujourd'hui c'est à toi qu'elle se raccroche. quand toi c'est grâce à d'autres que tu survis. grâce aux regards lointains, aux mots que vous n'échangez plus. parce qu'est-elle, euphémia, à présent d'autre que la veuve de son frère ? elle ne comprendrait pas. pourquoi tu fais ça. pourquoi tu a choisis de te faire battre à mort, pour entrer dans ce qu'elle ne comprendra jamais. c'est auprès d'autres que tu cherches une stabilité, d'autres que tu cherches à ancrer les noirceurs que tu n'a eu de cesse de combattre toutes ses années. mais la lumière qu'était james, n'est plus là pour les empêcher de t'emporter.

ça y est, le queens est tout à toi !  ton personnage est fin prêt à jouer les cartes que le destin lui a distribué. et nous, nous attendons avec impatience de pouvoir jouer avec toi.

les liens utiles / le temps est venu de te rendre dans les fiches de liens [✩] pour te construire un beau petit entourage et faire des rps à gogo avec les relations que tu auras créées / les recherches [✩] sont également là pour toi si tu es en quête de rps ou que tu souhaites proposer tes propres contextes de folie / si tu es plutôt timide, les mini-floods [✩] sont idéals pour papoter au sein d'un petit groupe. néanmoins, si tu n'as pas peur de sauter dans le grand bain, nous t'attendons de pied ferme dans le flood général [✩] ainsi que dans les jeux [✩] pour un maximum de délire !

les activités permanentes / pour essayer de gagner des points, tente ta chance grâce au tirage de cartes [✩]. si tu fais partie des plus frileux, fais péter le compteur du système de points classique [✩].
si tu souhaites écrire pour toi-même sur des thèmes divers et variés, des writing prompts sont mis en place régulièrement rien que pour toi [✩].

les choses en cours actuellement / il y a quelques mois, un event solo a été mis en place et est toujours exploitable. un indice sur cette animation ? la couleur des émotions. si tu fais partie des curieux, tu trouveras toutes les explications nécessaires dans la catégorie "new-york et le reste du monde" en cliquant sur les différentes coloяrooms mises à votre disposition [✩].

le petit mot de la fin / nous avons déjà hâte de partager cette superbe aventure à tes côtés. alors à ton clavier, c'est parti pour de l'amusement à la pelle !  bon jeu parmi nous.