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| Sujet: -- phee ; falling apart Dim 16 Jan - 21:00 |
| save the queens ---- / Euphémia (Phee) Hughes
31 ans ---- / Ice Of Clubs ---- / Lily Collins
identité complète - ( hughes ) le patronyme est signifiant de palabres interminables, ce dernier alors blason d’une célébrité que la fille unique n’aura jamais réclamée, ni même jouée. Pudeur incarnée du bel oisillon surprotégée par une fraternité aussi machiste qu’elle peut être large et bruyante. La politique d’un côté, héritière discrète d’un sénateur républicain et conservateur, mais c’est de la matriarche qu’elle aura tout pris. Jeune hirondelle, fille d’une ingénieuse musicienne, tirant la mioche sur les planches, cette dernière se délectant des acclamations destinée à « maman », se rêvant alors qu’un jour « ce serait elle ». ( euphémia ) en l’honneur de la filiation maternelle, des louanges que chante encore sa mère à l’égard d’une grand-mère, d’une ancêtre, qu’Euphémia n’a pu que caresser des doigts sur quelques photographies en sépia. Un souvenir hantant encore la mémoire d’une mère qui n’a jamais su se relever de la perte prématuré de la femme lui ayant offert la vie, gravant alors sa cadette d’une malédiction que la jeune femme scelle derrière ses lèvres souvent closes. ( phee ) c’est en quelque sorte le sobriquet qu’elle préfère, finalement et surtout lorsqu’Ares le prononce de la pointe de ses lèvres, le regard taquin, qui dissimule le désir interdit de deux âmes ayant toujours entrés en collision sans pourtant jamais avoir eu l’autorisation de s’appartenir. Alors oui, Phee est ce qu’elle préfère, la tendresse d’un battement de cil criant à l’unisson avec son palpitant des chants d’amour silencieux. lieu de naissance et origines - ( queens huppé ) cette terre promise, l’enfant prodige l’a autant quitté, qu’elle n’y est revenue encore et encore, île de déplaisir aussi effractante qu’elle est réconfortante, ce sont des souvenirs nostalgiques qu’elle préserve dans sa boite crânienne. Des souvenirs d’enfants, d’adolescentes, des larmes mêlées aux éclats de rires, d’une fratrie qui s’aime presque autant qu’elle n’a jamais su réellement se comprendre. D’amitiés qui ne se sont jamais concrètement effacée, c’est ici chez elle. L’endroit où elle est née, et celui où elle périra, et si le sang britannique d’ancêtres coule dans ses veines, elle n’y prête aucunement attention, plus américaine qu’européenne. études ou métier - ( ballerine ) -- un rêve d’enfant devenu réalité, derrière les notes de musiques, elle se galvanise en un oisillon à la grâce étincelante. Ce qu’il lui reste, au final, qu’un parquet constitué de planches sur lesquels son corps déambule avec autant de pugnacité que de douceur. Plume qu’on dépose sur un lac, elle a le corps de nacre. Une célébrité pourtant éprouvante, connue à présent plus pour le dramaturge de sa vie que pour ses talents. orientation sexuelle - ( hétérosexuelle ) comment pourrait - il en être autrement ? Le petit oisillon enfermé dans les carcans bien rangés d’une famille auprès de laquelle aucun vêtement porté ne peut être froissé. La perfection jusqu’au bout des lèvres et les sourires figés, dissimulant plus de souffrance qu’ils n’y paraissent. Pour autant, Phee ne s’est jamais questionné, si d’aventures charnelles elle n’en aura eu que très/trop peu, ce sont les galbes masculins qui la font se sentir plus vivante qu’elle ne l’a jamais été. statut civil - ( veuve ) -- contre sa clavicule réside son fantôme qui ne la quitte jamais, deux plaques d’aciers fracturant ses os à chaque impulsions. Une barque de souvenirs qui se cumulent et reviennent la hanter chaque fois que ses paupières chassent le simulacre de lueurs humaines, Phee’ se noie dans la grisaille d’un deuil qu’elle ne parvient pas à faire. Tenté par l’interdit, lorsque le regard de son beau-frère se superpose tendrement à celui du défunt qu’ils pleurent ensembles en silence. pi, scénario ou prélien - personnage inventé
traits de caractère / tempérée — consciencieuse — organisée — maniaque — distinguée — gracieuse — un brin crédule — généreuse — attentive — observatrice — analytique — bosseuse — capricieuse — discrète — souriante — courtoise — peureuse — angoissée — culpabilisée — endeuillée — tolérante — patiente — romantique — artistique — sensible — diplomate — autodestructrice — psychiquement masochiste.
save the queens ---- / TELL ME MORE
once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share TW : trouble du comportement alimentaire // ( h u g h e s ) C’est une jolie prison dorée, une photographie contre laquelle se plaque des sourires calculés et travaillés au millimètre près. L’on traine la cadette avec grande fierté, sur des plateaux de télévision, Phee jeune prodige et fée de la nation, à l’éloquence précoce qui ne fait aucune vague. Derrière les regards de « papa » se dissimulent des sois belle et tais toi, après tout une femme ne serait bonne qu’à cela, les crocs souvent serrés et les pupilles hurlent à une sévérité que l’amour juvénile n’aura jamais réussi à faire trépasser. Alors, Phee la mioche, elle se rêve de s’effacer, de se dissoudre comme un sucre le ferait dans un grand verre d’eau chaude, disparaître pour ne plus paraître. C’est bien régulièrement qu’elle scelle cette ironie dans ses silences qui valent les plus belles tirades poétique. L’enfant ne fut jamais rebelle, toujours surveillé par le plus âgé des Hughes, copie conforme d’un patriarche qui l’a modelé à son image plus qu’il n’a su l’aimer. Interdite devant les fragilités d’un second qui a rejoint les cieux beaucoup trop tôt, la poudre au nez, victime de ses propres excès, ces derniers portés par l’espoir indécent d’attirer l’attention qu’il n’aura jamais. Tout juste des larmes factices lorsque la terre recouvrait le cercueil contenant la chair similaire à la sienne. Les perles salés furent retranscrites à la télévision, les tirades révolutionnaires d’un père qui gravait son chagrin derrière des valeurs traditionnelles qu’il défendait plus qu’il ne savait aimer. Et puis, il y a Elijah, l’avant dernier, celui que Phee a su aimer dans toutes ses imperfections, celui qu’elle entend dans ses silences fracassants de douleur, l’écume de normalité qui n’a jamais véritablement éclaté. Des Hughes, il n’y a ni violence verbale, ni violence physique, simplement des parents inadaptés, étouffant de trop de perfection une fratrie écorché. ( d a n c i n g o n m y o w n ) Le chagrin est envahissant, se lisant sur le visage d’une mère qui semble s’effacer, derrière celui d’un père aux traits toujours tirés. L’ambiance de la demeure est plus étouffante qu’elle ne l’a jamais été jusqu’alors, l’absence de Charlie se fait entendre dans des silences cuisants de culpabilité. Derrière l’interdiction d’énoncer souvenirs et prénom, il y a cette culpabilité que chaque membre de la famille porte en lui. Celle d’un père qui en « demandait trop » n’octroyant que peu de « récompense », parce qu’il n’a jamais su faire, parce qu’on ne lui a jamais appris à le faire. Il a la rancoeur d’Alfie à l’égard d’un cadet disparu, qu’il n’a jamais su comprendre. Il y a la peine d’Elijah qui se drape derrière ses frasques et scandales. Et puis, il y a Phee. Phee et ses silences, Phee et cette parole qu’elle a appris à étouffer, ravaler, ingurgiter sans jamais prendre le risque de froisser, blesser. Petite poupée mutique qui ne sait s’exprimer que sur les planches contre lesquelles elle prend son élan pour s’envoler. Les gestes sont précis, gracieux, comme un adieu qu’elle s’autorise à offrir au défunt, comme un deuil qu’elle porte en elle et affiche au regard du monde à travers l’unique refuge d’une chrysalide se muant en papillon. L’effroi se déguise derrière une pointe qu’elle maîtrise à la perfection. L’envole ne se fait jamais sans sacrifice, les chutes sont souvent rocambolesques et la paranoïa du regard des autres, d’une sensation que ses os sont trop lourds, que le corps qui enferme son âme n’est qu’une imperfection, ces certitudes s’empilent les unes sur les autres. Château de carte qui la pousse d’abord à s’affamer avec la sévérité d’une artiste incomprise, et la sensation, factice, de contrôle qu’elle découvre galvanise son narcissisme. C’est pernicieux, vicieux, une spirale sans fin dans laquelle tout contrôle lui échappe, et Phee s’affame, la peau devient blafarde, l’éros courbe l’échine devant le thanatos de l’esprit. C’est alors le cercle infini où Phee n’est plus humaine, elle n’est qu’un problème que les Hughes cherchent à résoudre. Elle se déshumanise, devient fleur qui dépérit, avant de frôler les étoiles pour mieux atterrir sur le sol froid, expérience qui lui fera découvrir une force mystérieuse, pas totalement guérit, plus totalement malade. Chaque jour est une lutte à laquelle la danseuse se prête avec dévouement. ( m a d d s b r o t h e r ) Ares et James. James et Ares. Deux hommes antinomiques, que tout sépare presqu’autant que tout réuni. De ses prunelles juvéniles, Phee a appris à les apprivoiser l’un et l’autre, à les aimer l’un et l’autre, l’affection semble aujourd’hui avoir muté en une désagréable affliction. Un pincement au coeur, glas d’une culpabilité portée en sont sein depuis sa plus tendre enfance, jusqu’à ces instants de bonheur qu’elle peignait de ses doigts noués dans ceux de James. Quand, secrètement elle se rêvait parfois de caresser l’échine du plus jeune. L’amour étouffé avant même qu’il puisse être identifié et nommé. L’amour mort-né porté au cadet, le meilleur ami, l’ami d’enfance, toutes ces cases dans lesquels le plus jeune rentrait, mais qui ne conviendrait jamais à l’homme sur lequel Phee n’osait jamais lever les yeux. Dans le tourbillon confus de ses sentiments, c’est devant un James ployant le genou, le regard langoureux, presque suppliant de tendresse et d’affection qu’elle courba l’échine. Offrant alors sa vie, sa fidélité, à celui qui a été le pilier de sa vie, mais qui n’a jamais été la raison des battements furibonds qui cognent contre son thorax. Des Madds, elle garde le goût amer d’une pièce de théâtre mal joué, qu’elle continue pourtant de défendre derrière le rideau de sa propre culpabilité. ( a r e s ) Elle a appris à l'aimer avant de savoir marcher. Ares, ce prénom tant de fois prononcé, tant de fois supplié, derrière l’appellation des rires d’enfants innocents, il est la guerre quand elle est la paix. Il est les flammes quand elle devient flocon de neige gisant contre le bitume du queens. Il est tout ce qu’elle ne sera jamais, tout ce qu’elle se rêve de posséder en sachant pertinemment que ses épaules seraient craqueler de douleur face à tout ce qu’il peut être. Ares, il est l’être tant de fois rêvé, il est un regard à la dérobé, une malice sur le bord de ses lippes tentatrices, il est l’implosion d’émotions, l’instinct de rebellion. Il est ce pilier inébranlable, cette main tant de fois tendue, il est cette voix toujours recherché. Il est simplement plus vivant qu’elle ne le sera jamais, envieuse de l’être tout entier, jalousant ces autres qui ne sont pas elle, engluée pourtant dans cet acte manqué, ces multiples ratés. Cette phrase qui ne sonne que trop vrai « si tu meurs, je meurs avec toi » qui ne cessera jamais de raisonner, face à l’écrasante culpabilité. Car la danseuse est assez lucide derrière ses cachoteries, elle peut survivre à un monde sans James, elle ne le pourrait pas, si Ares n’était plus là.( e u p h e m i a ) Elle ne sait être heureuse, qu'en étant étouffé par la largesse de la culpabilité. Mystérieuse nymphe à la voix de cristal, danseuse étincelante sous les feux des projecteurs et pourtant âme errante depuis sa plus tendre enfance. Phee n’a jamais su se greffer à ce monde qu’elle juge souvent trop abrupte pour elle, trop vif, l’esprit toujours en décalage. Phee, elle ne peut s’autoriser à vivre si derrière chaque rire qui se déploie à l’intérieur de son gosier, ne s’y drape pas un peu de culpabilité. Triste d’être vivante, triste d’être bourgeoise, triste d’avoir été aimé par un homme qu’elle n’aura pas su aimer à sa juste valeur. Phee’, elle est oisive de vivre presque autant qu’elle désir en finir. Phee elle peut rire et pleurer en même temps, petit bout de paradoxe ambulant. Les mécaniques du coeur un peu rouillé, il suffit pourtant d’y glisser une pièce pour que la valse reprenne. ( d e a t h ) « Nous sommes désolés » l’écho de la voix du soldat ricoche contre les parois crâniennes de la danseuse, quelque part dans le tréfonds de ses souvenirs, elle se remémore ce mot qu’elle a survolé avec désinvolture : sidération . Victime de l’étaux de son esprit, la ballerine agrippe l’embrasure boisée de la porte, y plante ses griffes et étouffe un hurlement à l’intérieur de son oesophage. Au fond, ça commence toujours comme ça, les affres du deuil, c’est en premier lieu aussi violent et surprenant qu’une pierre que l’on jetterait avec vigueur à l’intérieur d’un lac silencieux. Ça fait désordre, finalement la mort est bruyante, se surprend - elle à penser. Au - delà d’un palpitant qui se distord sous la souffrance, qui encaisse la nouvelle dans un silence bruyant, victime d’un flot de souvenirs noyants ses pupilles sous des vagues de perles salés. Elle qui, pourtant, s’y était toujours préparé, à ce moment où entre ses doigts graciles est déposé l’écusson héroïque de l’homme à qui elle avait dit « oui », semble pourtant bien trop confuse pour accéder à la raison. Les voix sont alors des esquisses brouillon d’un tableau peint sous les doigts d’un amateur, et les pensées de la danseuse étoile s’effilochent, entre ses lèvres tremblantes, le souffle s’exécute par automatisme. « Et Ares ? » Parvient - elle à articuler, la gorge nouée, cette voix blanche surgissant d’un ailleurs qu’elle pensait avoir enfermé à double tour. La stupéfaction, d’abord, édulcore les traits des soldats devant l’étrange question d’une nouvelle veuve qui semble bien plus inquiète pour le frère que dévasté par la disparition de l’époux. « Il est vivant… » la sentence tombe comme une enclume, douloureusement contre le sol, rendant alors le ciel de la Hughes bien moins brumeux. C’est ici qu’elle a compris, avec toute la culpabilité que cela apporte, qu’elle n’aurait pu vivre sans un monde sans Ares, mais qu’elle pourrait continuer de marcher en dépit de la disparition de son frère aîné, son bien aimé . Le soulagement se dissipe, broyé par la culpabilité de ses éprouvés. Et tandis que la porte se referme sur le corps filiforme de la ballerine, un « je suis désolé » s’évapore avec pudeur entre les murs de ce chez eux, comme la supplique d’une mendiante coupable, les genoux implosent contre le parquet, tandis que les larmes, elles, tracent des sillages qu’elle porterait à tout jamais contre ses joues rougies d’épuisement.
save the queens ---- / BEHIND THE MASK
hannibal ---- / assez âgée pour mettre 3 jours à me remettre d'une soirée ---- / rpgiste
ville - région parisienne. études ou métier soignante pour restée mystérieuse avis général sur le forum - il est toujours aussi joli, j'étais ici il y a un moment avant que ma vie ne devienne une vague de tourments, je reviens avec ma partner for life dans l'espoir de faire vivre cette petite graine qu'est notre idée ps : ici Priam Wayne j'ai fait un passage rapide ici le détail qui t'a fait craquer - j'en garde un bon souvenir, de base, alors j'y reviens fréquence de connexion - autant que possible mais au minimum 1 fois par jour, pour le rp ce sera plus fluctuant et dépendant de mon boulot. crédits des icons -tiny-sky le mot de la fin - i love u, aimez moi - Code:
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[b]lily collins[/b] / [i]euphémia hughs[/i] |
| | | Invité;
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| Sujet: Re: -- phee ; falling apart Dim 16 Jan - 21:05 |
| save the queens ---- / TELL ME MORE
lettre à qui veut m'aider Ares « Il y a tant de choses que j’aimerais te faire comprendre et partager avec toi. Tant de choses qu’il m’est difficile de me formuler à moi-même mais que je ressens au plus profond de mon cœur. Depuis le départ de…, tout a changé. Le sens que je donne à ma vie, ma relation aux autres, mes priorités…tout est bouleversé. J’ai tant de mal à trouver de la lumière au milieu de ce chaos. Je suis en quête de nouveaux repères et, pour le moment, je n’en trouve aucun. C’est comme si j’avais perdu le mode d’emploi d’une vie normale. Pour l’instant, je survis, même si je fais des efforts pour ne pas trop montrer aux autres l’intensité de ma détresse. Comprends-le : je ne veux pas qu’on ait pitié de moi. Je ne veux pas les regards condescendants, ni les phrases convenues qui m’enferment dans un statut de « pauvre victime ». Je suis certes aujourd’hui fragile et vulnérable- comment pourrait-il en être autrement ?- mais je reste une personne qui a besoin qu’on la considère avec dignité, pudeur et respect, sans l’infantiliser, sans la prendre désormais pour une « petite chose ». J’ai besoin que tu m’encourages avec douceur et bienveillance et que tu me fasses confiance sur le fait que je vais traverser cette épreuve avec courage, même quand tu me verras au plus profond de ma peine et que tu me croiras dans une impasse. C’est pourquoi j’ai envie- j’ai besoin- de te parler aujourd’hui en vérité. Pour que tu saches ce que je vis. Peut-être aussi pour te donner des pistes, afin de mieux m’aider, si tu le souhaites. Ne le vis pas comme une contrainte ou une obligation. Vois-le plutôt comme le souhait d'un toi et moi qui ne sera pas un raté cette fois. (…) » moodboard |
| | | Blake Grayhall;
-- plutôt bête de sexe -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
joland novaj gypsophile (ava) ; drake (sign) ; mad'eyes (icons) max ; oksana 1043 1014 25 brandissant l'étendard de la doucereuse liberté. collectionneur des passés fragmentés. les petits bouts de rien témoins de la déréliction de ceux qui les ont jetés. et blake ramasse, redonne un souffle, rétablit l'âme de quelques antiquités. jolene - sage - brynn
| Sujet: Re: -- phee ; falling apart Lun 17 Jan - 10:46 |
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| | | Kaan McDonald;
-- what you hide controls you -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
jordan calloway. waldosia. kemen. 844 1099 34 éternel éconduit de l'amour. ex-basketteur aux rêves avortés. reconverti en interne en médecine d'urgence. kurtis - you ? - you ? - you ? - you ?
| Sujet: Re: -- phee ; falling apart Lun 17 Jan - 10:48 |
| re-bienvenue par ici |
| | | Invité;
Invité - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
| Sujet: Re: -- phee ; falling apart Lun 17 Jan - 12:25 |
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| | | Sage Abrath;
-- angel in disguise -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
a.gauthier. self, av. betsi - peltz | brynn - o'neil | cez - o'connell | kurtis - king | oona - piekarz | sonny - bador | tad - piper. 4101 1174 29 ( m o o d b o a r d )
| Sujet: Re: -- phee ; falling apart Lun 17 Jan - 12:26 |
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| | | Invité;
Invité - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
| Sujet: Re: -- phee ; falling apart Lun 17 Jan - 14:16 |
| @sage abrath merci beaucoup pour cet accueil je suis super surprise qu'on se souvienne de mon bébé Priam, ça me touche sincèrement, encore une fois il me tarde de vous rejoindre hihi j'espère que phee vous plaira, j'ai la pression maintenant |
| | | Ares Madds;
-- play your cards -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
| Sujet: Re: -- phee ; falling apart Lun 17 Jan - 20:38 |
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| | | Invité;
Invité - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
| Sujet: Re: -- phee ; falling apart Lun 17 Jan - 21:47 |
| @ares madds ares ma vie. marions nous, pour de bon. je t'aime pfl |
| | | Kurtis McDonald;
-- le bigmac d'la street -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
king. a devious route - av | self, sign. betsi - peltz | brynn - o'neil | cez - o'connell | oona - piekarz | sage - gauthier | sonny - bador | tad - piper. 7943 1024 29 véritable bras cassé. effervescent. ( m o o d b o a r d )
| Sujet: Re: -- phee ; falling apart Mar 18 Jan - 15:22 |
| alors déjà phee elle est beaucoup trop douce pour ce monde (et tellement touchante) tellement envie de la protéger snif (je compte sur ares pour qu'ils fasse ce job sinon j'le défonce ok ) elle est tellement belle à découvrir, tellement belle à lire... un réel plaisir, il n'y a pas d'autres mots save the queens ---- / TU ES VALIDÉ(E)
les cartes sont désormais entre tes mains, à toi de jouer ! ça y est, le queens est tout à toi ! ton personnage est fin prêt à jouer les cartes que le destin lui a distribué. et nous, nous attendons avec impatience de pouvoir jouer avec toi. les liens utiles / le temps est venu de te rendre dans les fiches de liens [ ✩] pour te construire un beau petit entourage et faire des rps à gogo avec les relations que tu auras créées / les recherches [ ✩] sont également là pour toi si tu es en quête de rps ou que tu souhaites proposer tes propres contextes de folie / si tu es plutôt timide, les mini-floods [ ✩] sont idéals pour papoter au sein d'un petit groupe. néanmoins, si tu n'as pas peur de sauter dans le grand bain, nous t'attendons de pied ferme dans le flood général [ ✩] ainsi que dans les jeux [ ✩] pour un maximum de délire ! les activités permanentes / pour essayer de gagner des points, tente ta chance grâce au tirage de cartes [ ✩]. si tu fais partie des plus frileux, fais péter le compteur du système de points classique [ ✩]. si tu souhaites écrire pour toi-même sur des thèmes divers et variés, des writing prompts sont mis en place régulièrement rien que pour toi [ ✩]. les choses en cours actuellement / il y a quelques mois, un event solo a été mis en place et est toujours exploitable. un indice sur cette animation ? la couleur des émotions. si tu fais partie des curieux, tu trouveras toutes les explications nécessaires dans la catégorie "new-york et le reste du monde" en cliquant sur les différentes coloяrooms mises à votre disposition [ ✩]. le petit mot de la fin / nous avons déjà hâte de partager cette superbe aventure à tes côtés. alors à ton clavier, c'est parti pour de l'amusement à la pelle ! bon jeu parmi nous. |
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| Sujet: Re: -- phee ; falling apart |
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