save the queens ---- / INÉS SÁNCHEZ
23 ans ---- / ACE OF HEARTS ---- / ESTER EXPOSITO
identité complète - La fleur fragile et belle. Délicate dans tes gestes, douce et brisée. Inès, la consonance espagnole au bout des lèvres, c’est sucré comme pas possible. Parce que ça représente la grace. Ça se crie à plein poumon. Un I car tu es irremplaçable dans le cœur des gens. Un N pour ta naïveté encore présente dans ton âme à tout jamais. Un E pour l’élégance de tes mots. Un S pour ton sarcasme qui fait tout ton charme. Un prénom piquant, universel et inédit à la fois. L’amertume sur la langue, la rage dans les yeux et pourtant qui apporte l’espoir. Et, puis Luna, née des cendres d’un amour indestructible, comme cette étincelante lune qui respire la splendeur et tes charmes de déesse. Lionne féroce, déterminée et imbue. Ô sainte Luna, parfaite symbiose semblable a de la magie. Juste une facette, un masque qui cache la vérité. La tempe qui cogne fort, trop fort. La respiration coupée. Un jeu. Encore et encore. Liberté chérie qui court, court au loin. Sánchez, écorche le palai et la voix, marque le temps d’une empreinte sombre. Un nom que tu aimes, aussi bien que tu puisses aussi le haïr. T'aimes bien quand on t’appelle par ton nom de famille ? Ça fait très officiel. Officiel de quoi ? Grande question, mais tu aimes bien. lieu de naissance et origines - Asturies, tu as vu le jour dans le nord ou gravite les plus belles montagnes. Un bonheur inouï. Puis un cri, un unique cri plus rien d’autre. Un hiver glacial pour accueillir cette tornade a la crinière dorée. Tout le monde était impatient, tournait en rond en se rongeant les ongles. Cantabrie. Terres des anciens, en futilités, austères notions crevassées, étourdies, écarlates. Tu es propriétaire d’une fierté démesurée concernant tes origines. La douceur de ton pays n’a jamais quitté tes veines, papa était de là-bas, et mama était une américaine/spanish. Es bebé caliente. Dieu que c’est jouissif d’en faire bander plus d’un avec cet accent espagnol. L’accent aux coins des lèvres. Dans l’arrondis de la langue. Une langue que tu exquis à utiliser avec plaisir – gouteux. Interdit à mourir. La prononciation qui chaloupe, qui coupe. Tant pis. Tant mieux. T’es parfois difficile à comprendre. Mais on trouve ça mignon. Ça sent bon. L'Espagne au mois de décembre, le célèbre pont Romain de la localité de Cangas de Onís, première capitale du Royaume des Asturies. Les monuments gravés dans le cœur, les fiestas et toutes ces choses qui te fait sentir vivante.études ou métier - Rêvant tutus, chaussons. Danse gracieuse, sur un air de Tchaïkovski. Tu te complaisais dans l’idée de devenir une étoile montante, au sein de grands ballets. Et, ce depuis toute petite. Le rêve de papa était tout autre, les plans sur une comète que tu ne contrôles pas. (Ballerine à en devenir) tu as tout fait pour rentrer dans l’école de tes rêves, après t’être perfectionnée tant d’années pour être la meilleure, voler était à ta portée, telle un ange qui rejoins les étoiles. Malencontreusement pour toi, à l'âge de ta dix-huitième année, tu vécu, subit un grave accident de voiture avec ton petit ami de l’époque, qui a fallu te couter la vie. Dans cet accident, tu perds non seulement ton petit ami, mais aussi le bébé que tu portais. C’était même ce jour-là, que tu avais décidé de lui en parler, mais en vain la vie en a décidé autrement. Suite a cet épisode traumatisant, c’est non ton âme qui empâtait, mais ta jambe droite également que tu manquas de perdre. Des mois après, tu as dû te battre pour retrouver confiance avec ton propre corps et pouvoir à nouveau danser comme avant. Aujourd'hui ; tu as du mal à te remettre dans la danse sans penser à ta perte, c’est encore trop dur pour toi. Symphonie harmonie, la chair au bout des mains, comme le cœur attend son dernier souffle pour être libérer. C’est ronger par la culpabilité, tu te tournes vers un autre toute autre domaine : infirmière en traumatologie. Tu as toujours voulu donner le meilleur aux autres, encore plus avec ce qui s’est passé dans ta vie. Tu veux donner un sens à tout ça. Avoir un père chirurgien t’a fortement aidé à voir les choses plus clairs, il a choisi ce métier par passion. Bien sûr, tu ne fais point que ça, on peut dire que tu as tout de l’âme créative. Notamment pour avoir créé une galerie d’art en l’honneur de ta défunte mère. Tu veux sortir de ta zone de confort. Tu aspires à être quelqu’un dans ce monde, bien plus qu’être le témoin muet, une petite pièce du puzzle. Y a-t-il un semblant d’espoir pour un changement radicale des choses vers une vie normale ? Tu es sur le bon chemin. orientation sexuelle - Hétérosexuelle, même si on dit que l’amour n’a pas de frontières. Les hommes, en particulier un homme, ta main meurtrie sur celui que tu aurais voulu toute ta vie. Disparu. Effacer. Suspens au creux des lèvres, le sang battant les tempes, le cœur abruti à se jeter d’une falaise. Maintenant, c’est l’âme avant le corps ; ne pas s’attacher sur la coquille mais voir plus loin, plus fort. Sans barrière ni limite, tu fermes les yeux sur les convenances et éveille tous les sens. Nana dont un temps s’est perdue, perdue à commettre l’irréparable. Tu ne sais plus aimer, ou du moins, ne sait plus comment faire. Peu importe. Tu n’y fait pas attention, ne te donne plus. statut civil - Cœur de lune. L’amour détruit, massacre des cœurs. Les larmes ne valent pas la peine d’être versée quand nous sommes responsables de cette solitude. L’interdit qui s’avance, qui s’attache aux chevilles. L’amour qui sature, chevauche l’abandon avec excès. L’ange déchu ne peut aimer lorsqu’il ne sait comment apporter compassion. Le cœur étalé sur le sol dans un bain de sang, plus jamais l’amour ne frappe à la porte. Un amour perdu. Célibataire au cœur sauvage. Besoin viscéral d’être aimée, mais incapable qu’on te touche. Chat errant, fille esquintée, la fuite comme seule arme contre un monde qui ne t’as pas fait de cadeaux. Ça glisse entre tes doigts Inès, insaisissable. T’évapore dès que tout devient trop fort. La peur chevillée au corps, sans cesse sur le fil, poupée fragile, poupée chagrine. L’avoir perdue t’a rendue maussade, perplexe, comme seule arme l’auto-défense. Impossible à concilier, tes démons ne laissent place n'a aucune forme de romance. Enfant dans tes gestes, dans tes actes manqués. Dans tes palabres. Le cœur louanges et addictions. Absent que tu te répètes. Pauvre idiote. Il ne reviendra plus. Am,stram, gram, pic et pic et colégram ... pi, scénario ou prélien - écrire ici.
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traits de caractère /
ça dérape
ça se rate
t'es un brouillon
sous émotion
t'as volé toutes les étoiles
pour les mettre dans ton âme.
Funambule dans ta bulle, l’oiseau fragile. L’oiseau blessé. Tu es sensible, l’ange déchu. La fragilité a l’état pur. La sensibilité sous ses airs purs.
D R O L E — Un humour décalé. C’est fou comme ton sens de l’humour est marrant et avec ce petit air très sarcastique c’est foudroiement épique. D O U C E — tu l’es sans aucun doute. P A S S I O N N E E— enfant solaire, Inès voulait être danseuse étoile ; pour caresser du bout des doigts les étoiles, c’est ta passion – et au fils du — temps ça s’est concrétiser pour ton plus grand bonheur. Tu passais des heures a créé des chorégraphies, et à même participer à un grand ballet pour intégrer une école prestigieuse. Décroche même une bourse pour y entrer, notamment grace à ton talent. L O Y A L E — Tu n’as jamais trahi, jamais trompé ; et si un jour tu mens c’est pour protéger ((pour te protéger)), quand bien même tu restes ce soleil fidèle, cette lumière qui ne faiblit pas. P E T I L L A N T E — apporte de la couleur dans la vie. C H A R M E U S E — avec ta beauté envoutante. S E N S I B L E — Tu es la seule fille d’une famille de trois garçons ; la princesse à papa et la copie conforme de ta sainte mère. Fureur de fierté dans tes yeux de biche, ou l’amour de tes parents gravite dans tes veines. P E R S E V E R A N T E — Tu as cette lueur dans tes yeux qui prouvent aux autres que tu en veux plus, toujours plus et que tu es prête à tout pour obtenir ce que tu désires. I N T E L L I G E N T E — Tu te dois bien d’avoir un cerveau pour accompagner cette beauté que tu as, on te prend juste souvent pour une simple blonde, mais tu es plus que cela. Tu apprécies même de lire, de te cultiver chaque jour. Tu es maligne que la plupart des gens. M E F I A N T E — n’accorde pas ta confiance toute de suite, surtout lorsqu’au collège, une personne s’est créé une fausse identité pour t’approcher et faire toi sa proie. Cela n’a pas marcher grace à tes frères qui étaient là pour te protéger. R A N C U N I E R E — car le passé t’as fait ainsi, il a ancré en toi ce sentiment malgré tout. Tu pardonnes difficilement et tu oublies encore bien moins aisément. La personne qui te tourne le dos dans une trahison se veut soit sous terre ou en train de vivre un véritable enfer par le miracle d’être vivant. P O S S E S I V E — parce que ce qui est à toi est à toi. Personne ne touche, personne ne peut posséder ce que tu as. C’est ainsi et pas autrement. Trophée d’antan, seul bien éternellement tien mais qui peut être partagé, ta famille. P R O T E C T R I C E — on n’a qu’une seule famille. Tu l’as chéri, tu l’as malmène, mais ils sont tout pour toi. Un tout, un accord. Tel une mélodie ou il ne faut pas un seul instrument pour la construire, mais plusieurs. Famille un jour, famille toujours. Tout ce qui compte à tes yeux, ce qui fait ta force quand tu sens la faiblesse te vaincre. Ce qui te rend faible, quand ta force se disperse pour agenouiller tes ennemis. Mélange subtil qui évoque un lourd secret, une revanche a prendre, une bataille à gagner. J A L O U S E —la pire ennemie de la possessivité : La jalousie. « Pourquoi elle te regarde, tu la connais ? Pourquoi je ne la connais pas ? cesse de la regarder, c’est quoi, tu la trouves plus jolie ?« Quand l’on ne te porte pas toute l’attention ou que l’on commence à s’éloigner, la jalousie se gratte peu à peu en surface afin de faire une jolie petite crise. Des verres brisés, il y en aura eu.
la planète si différente trace sa propre ellipse autour d'un soleil qui pourrait mourir de regret de n'avoir rien fait.
C U R I E U S E — Tu n’aimes pas les secrets. Tu as droit aux tiens, mais les autres, ce n’est pas la même histoire. Tu veux tout savoir et généralement : maintenant. Autant dire que si l’on te fait une surprise, ça te tue de l’intérieur de devoir atteindre le jour j pour le découvrir. E N E R G I Q U E —Une vraie pile sur deux pattes. Consommatrice de café, tu sembles avoir besoin de peu de sommeil pour te recharger et tu es toujours prête à démarrer sur un nouveau projet, une nouvelle tâche, une nouvelle idée ou à sortir faire la fête. Tu sembles infatigable, au grand désarroi de certains, sans doute. C H A R I S M A T I Q U E —du charme, tu en détiens, tu le sais. Tu n’es pas narcissique, loin de là, mais tu sais que tu dégages une aura qui fait que plusieurs ne savent pas te résister, que ce soit pour l'énergie qui t’amène certaines amitiés, certaines confiances, que de ces gens qui espèrent plus. Le regard avec tes beaux yeux verts, ton être attire. Tu le sais et tu en joues. Sirène des fonds marines, la voix enchanteresse. Ton corps embrase l’essence même que les hommes te donnent. I M P U L S I V E — Tu agis bien plus sous pulsion que sous des gestes réfléchis. Ça t’aura aidé bon nombre de fois par le passé lorsque tu auras dû réagir de façon spontanée. Puis vient le dos de la médaille, celui où tu agis sous instinct et que la situation ne fait que s’empirer parce que tu as levé les poings. N A T U R E L — Tu joues la poupée de cristal devant tout le monde, parce que tu aimes voir dans les yeux de tes parents de la fierté. Malgré ton air de poupée fragile, tu restes d’un naturel vibrant lors des nuits étoilées. Chignon mal peigné, mèche qui dépasse et légère trace de labello sur ses lèvres gercées, un charme unique, cette réalité déroutante. Simplicité fascinante, avec ta manière bien à toi de croquer dans une pizza, inconsciente des dégâts. Qu’importe, tu ne voudrais que briller, même dans cet état-là, tu as toujours été fidèle à la lune. S E C R E T E — soleil levant, a ce morceau de mystère qui habite en toi. Si captivante, de tes cils qui recouvrent tes yeux en amande, observant et quémande, récolte les informations pour ces voleuses de vie et de sentiment, fascinante constellation. Te voilà dans les esquisses d’une toile dont tu ne maitrises pas tout.
ombre diabolique dans cet océan de sensibilité. connaître les secrets, savoir qui sont les autres mais au fond, peut-être que tout cela n'est fait que pour te connaître toi, inés.
Tu aimerais bien qu’on te répare, Inès. T’es bien souvent cassée, brisée. Comme de ces verres qui tombent et s’éclatent après une dispute. Ton corps n’est qu’une enveloppe qui s’emplit de ronces, s’arme de mots couteaux et des célèbres yeux revolvers. Ça décore ton épiderme de craquelure. Dévore ton âme de silence assourdissant, pourtant dans ton cœur y sont logés le vide, le néant, depuis qu’il a rejoint les anges aux cieux. Il n’y a jamais les étoiles que l’on admire dans le ciel qui s’emparent de tes prunelles, il n’y a jamais de scintillement ou bien même de poussière de fée. Tu as l’âme allergique aux attentions, aux regards emprunts de tendresse, a la ponctuation mielleuse, aux caresses tard le soir et aux regards innocents qui s’évaporent dans ton cœur absent. La douleur dans les veines qui serpente dedans, injectée comme du poison qui mord l’âme lentement. Un jour, au déclin, après que les sillons destructeurs arriveront à leur apogée, il ne restera plus rien. Plus rien qu’un corps sans âme et pourtant, tu as déjà eu le cœur rempli d’amour et de certitude. Mais cet amour s’en est allé avec lui le fruit originel, flotter dans le noir, dans le ciel sur les nuages. Inès est prisonnière. Âme et dentelle, doigts diaphanes qui se plongent dans le firmament. Ta mythologie personnelle s'inscrit dans les arts de l'élégance et de la subtilité. Quels émois n'a-tu pas provoqué, ostensiblement, à trouver en autrui une faiblesse et s'en saisir de la délicatesse froide du serpent. Mais n'est-ce pas, une créature manipulatrice qui s'aventure dans vos vies, quand elle veut vous faire croire à un soleil éphémère riche en dialectes affables. De ta langue on ne croirait nulle vipère en avoir laissé l'essence, et pourtant ; c'est d'une précision redoutable, celle que ton âme savoure chaque instant.
save the queens ---- / TELL ME MORE
once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share
01. (NACIDO SANCHEZ) ta naissance a éclairé ta famille, tu es née dans une famille qui t’ont désirée, qui avaient des rêves déjà pour toi. Le patriarche émerveillé par ta frimousse d’ange flamboyante et ces quelques similarités que tu partageais avec lui. Ils te couvrent un peu trop, normal tu es sa princesse. La seule fille du clan. A peine quelques jours, que tu dois déjà aller en couveuse, le bebe à protéger.02. (FAMILIA) Ton enfance a été presque parfaite à tes yeux. La sainte famille, l’espagnol sur la langue, dans les yeux, jusqu’au creux du ventre, qui bouille dans le sang. Toi, la princesse de papa. La fille cadette. Tes trois frères ; Diego, Ruben et Pedro te protègent malgré les bêtises que tu peux faire, c’est comme ça. Ils te soutiennent toujours malgré tout. Parce que la famille s’est sacrée, c’est pour toujours. Vous habitez encore tous sous le même toit, traditionalistes, n'y a rien qui pourrait vous faire partir. Et, chaque dimanche c’est réunion de famille obligatoire et ça depuis toute petite. C’est comme une sorte de rituel qui s’est installer au fur du temps. Inès, tu as l’âme musical, un peu comme ta douce mère qui a tout appris à ses enfants. Suivant des cours de piano à l'âge de huit ans, et c’est dur, beaucoup trop dur. A force du temps tu te plais dans cette discipline, même tu l’adores. Tu le fais avant tout pour faire plaisir à tes parents, rendre fière ta famille de tes efforts. Et, à l'âge de tes dix ans ; tu étais prête à jouer devant tout le monde. Surtout devant ta mère, qui aurait dû ce jour-là admirer ta prestation, mais cela ne s’est pas passé comme ça. Elle a grillé un feu rouge pour être vite auprès de toi, elle est morte sur le coup. Un camion l’a foudroyé comme si elle n’était rien du tout. Alors, oui cela a été dur, de perdre ta mère si jeune. Tu as dû y faire comme tout le reste. La vie a dû continuer ensuite, papa faisait les boulettes de viande et les festins espagnoles. Vous buvez le vin, boire jusqu’à ne plus marcher droit, jusqu’à s’engueuler, se bagarrer pour des bêtises 03. (MALAS CHICAS) Comment vous étiez de vilaines gamines, ta bande et toi. Surtout toi. Adios la petite fille gentille. C'était surtout parce que tu avais perdu un repère a ta vie, ta mère. Les méchantes ados qui foutaient la merde pour le simple plaisir de le faire. Les talons haut dans les corridors du lycée, les jolies filles aux répliques cinglantes. Vous étiez de vraies méchantes. A briser n’importe qui, parce que personne ne peut prendre ta place. Tu vises l’excellence a tout prix 04. (LA BAILARINA ESTRELLA GRAVITA EN EL CIELO)
la danse classique. Tu as enfin réussi a intégrer cette école réputer, qui accueille que des élèves prestigieux. Dès ton plus jeune âge, on t’a tout appris, un tutu, c’était inné à ton ADN. Lors, de tes cours on pouvait admirer ta ténacité et la grace de tes pas. Tu vis pour la danse de façon que personne ne pourrait un jour rivaliser avec toi, ton bonheur astral. 05. (CUERPO VIRGEN) Les seins commençaient à pousser, l’acné a quitté ta peau de pèche. Les hanches ont élargi, les hormones à bouillonner. Contrairement aux autres filles qui laissaient leurs jambes ouvertes comme si elles étaient des portes, toi et amies vous plaisiez a être encore vierges. Conservant votre pureté comme des petits diamants, personne ne peut approcher princesse Inès. Tu as pourtant envie de passer cette étape, surtout avec lui. Itzan. Lui, seulement lui. Mais toi, Inès tu ne voulais pas céder à la tentation si vite. Détournant la tête lorsqu’il essayait de te voler un simple baiser. Ça t’amusait cette situation, avec tes yeux brulants, vos regards de braise, en caressant vos lèvres du bout des doigts. T’étais tout sauf innocente, tu savais très bien ce que tu faisais, ce que tu provoquais chez lui 6. (TOCA LAS ESTRELLAS) A ta majorité, tu étais prête à quitter le nid et à toucher les étoiles. Il était temps pour toi de montrer que tu étais la meilleure dans ta discipline. En prenant la route avec ton amoureux, tu voyageais en direction de ton rêve absolu. Sauf, que sur la route un camion n’a pas su ralentir et percuta la voiture de plein fouet. Tout marchait au ralenti. On dit souvent que lorsqu’on a rencontré la bonne personne, on le sait. Un regard échangé et tout avait changé. C’est ce regard qu’il t’a lancé pour la dernière fois avant de mourir sur le coup. Un amour comme ça se consume à travers les temps, Un amour qu’on ta pris. Il n'était pas comme les autres. C’était un mec bien. L’homme de ta vie. Ta vie en a bien sur pris un coup, changer à tout jamais. Tu as perdu bien plus que ton amoureux, mais aussi le bebe que tu portais. C’est quelque chose que tu avais prévu de lui dire, sauf que ça ne sera jamais le cas. 7. (SOMBRE A LA LUZ) Tu t’enfuyais vers un autre lendemain plus harmonieux, partout. Il t’a fallu quelques semaines pour que ta jambe reprenne sa force, mais il était impossible pour toi de recommencer à danser. Ta famille était là pour toi, quoi qu’il arrive pour surmonter ta peine et ton désarroi. Tu y repenses à chaque fois, chaque nuit tu revis cet accident. Parce que votre relation c’était le ciment de ta vie. C’était une relation très fusionnelle, une relation que très peu des gens arrivent à connaitre un jour. Y a ce bouleversement qui a changé toute ta vie. Et, tu perds à jamais l’amour de ta vie. Il est mort. Et, lorsque tu étais allongé à l’hôpital, entre la vie et la mort, c’est le pire qui pouvait t’arriver. Ton père a étouffé cette histoire et n’a jamais su la vérité au sujet de ta grossesse, gardant cela pour toi. Il fallait préserver ta réputation, mais il était hors de question de continuer tes études dans la danse. Tu gaspilles le temps, bousille ton âme, a espoir et pourtant, tu t’y perds patience. Insensible, tu joues dans le but de faire du mal. Tu finiras par te bruler les ailes. L’oiseau déchu. L’ange sans ailes. Le mal a l’état brut. Tu caches un cœur qui bat dans cette poitrine. On la devine. Surprend. L’ange déçu. Ailes brulées. Ailes enflammées. Tu tombes dans le vide. Funambule sur ton fil. Funambule dans ta bulle. Tu respires plus Inès. Effacée. Amourachée de la faucheuse. Mordue par la mort. Que cherche tu vraiment ? Qu’as-tu dans la tête qui fait que tes pensées s’emmêlent et s’entremêlent ? Tel le syndrome de la page blanche, gribouillis qui se superposent, incompréhension totale. Ce n’est plus linéaire, c’est par vague. Comme le manque de quelque chose, parce qu’il subsiste au fin fond de l’esprit. On ne le voit pas toujours, alors il arrive que parfois on l’oublie. Mais il revient toujours. Ce petit quelque chose qui ne veut pas disparaitre. Il est là, bien présent et il prouve son existence chaque jour qui passe. Regarde au loin et observe les étoiles, peut-être que la lune parlera. C’est étrange ce ressenti, doux sentiment d’amertume qui brule la langue, la gorge, tout le corps et même l’esprit. L’âme à la dérive, tout part en vrille. Le temps passe trop vite. Mais le temps défile, passe trop vite. Bordel, pourquoi ne pas arrêter l’horloge ? On laisse les aiguilles au cadran là où elles étaient et on retourne en arrière, juste cinq minutes. Non, impossible. Mais plus envie de s’attarder sur des choses insignifiantes. Alors, tu es tombé dedans. Dans cette déprime, mais tu es une “Sanchez” et chez vous on se relève quoi qu’il se passe. De l’ombre à la lumière, il n’y a un qu’un pas finalement. 8. (EL RENACIMIENTO DE LA LUNA) La renaissance absolu. Inès, tu renais de tes cendres. Tes pas martelaient le sol, suivant ton tracé. Tu laissais échapper un léger soupir, cependant que tu te rendais dans une salle de l’amphithéâtre, pour aller suivre ton cours de médecine. Car c’était ça maintenant ta destiner. Aider les autres. Tout était calme. Trop calme à ton gout. Cela faisait des jours, des semaines entières que tu t’étais inscrite. Cette université qui était fabuleuse, ou tu pouvais apprendre encore et encore. On dit toujours qu’après les ténèbres vient la lumière, c’est exactement ça, ce que tu ressentais. On t’avait volé la chose la plus précieuse au monde, mais il était hors de question que tu envoies tout valser, il n’en serait pas fier de là où il est. Détruire tes rêves ? Hors de question ! Réussir ta carrière, pour pouvoir ceux qui en ont besoin. Tu choisis ta spécialisation : la traumatologie. Tu fais la fierté de ta famille, surtout ton cher papa qui a tant rêver que tu choisisses cette voie pour ton avenir. Pourquoi la traumatologie ? On n'arrête pas de te demander cela, mais la raison est simple. Tu en est capable, tu sais par quoi les victimes passent et tu sais que tu pourras les guider au mieux. Ce métier a une raison d’être à tes yeux. Avant, tu t’aventurais sur un sentier assez dangereux, mais maintenant c’est du passé. Tu as tout fait pour que ça marche, obtenir ton diplôme et trouver le travail que tu mérites. Tu as réussi à t’implanter dans une nouvelle ville, dans un bel appartement et apprendre à vivre seule. Sans demander de l’aide à personne. Y a juste un seul bémol c’est que tu dois mettre un peu de côté ta famille, négligeant parfois de les appeler quelques fois, car le boulot prend pas mal de temps. Alors, assise a ton bureau, tu décides d’écrire une lettre dans laquelle tu les remercie qu’il prenne soin de toi, qu’ils peuvent t’appeler quand ils le souhaitent. Tu espères que cette lettre les apaisera par ton absence, qu’ils comprendront ton choix et seront heureux pour ta nouvelle vie. L'Espagne devrai faire sans toi. Face au monde, tu es la fille resplendissante qui rayonne dans ce domaine, solaire et dynamique. Essayant de réconcilier ta part d’humanité avec les autres, de les aider s’il le faut en espérant que tes démons ne reviennent pas te hanter. Lorsque tu rentes dans une salle, le regard est dirigé vers toi, captivante, le soleil. 9. (EL HOMBRE IDEAL “KEMEN”) Au début, tu avais juste besoin de quelqu’un, juste une personne qui passe te voir. Besoin d’une personne qui te prête son épaule, pour pleurer, qui sache aussi te faire rire afin que tu te sentes parfois moins seule. L’amour, tu ne connais plus. Etant appliquée dans les actions contre les dangers de la route, tu vas souvent voir la police pour lutter pour le bien. Il n'y a pas longtemps, tu as même été témoin d’un accident de la route, qui a couté la vie d’une petite fille de 7 ans, le chauffeur en question a pris la fuite. Les parents se trouvent dévastée par cette douloureuse épreuve et toi, tu es détruite par tant de démons de ton passé. Cela t’a poussé à porter plainte, pour dénoncer cet acte abject, aussi pour te protéger car on ne sait jamais ce qui peut se passer. Tu côtoies cet homme un peu tous les jours, malgré que tu ne souhaites pas plus que ça être près de lui. 10. (El TIEMPO DE LOS MILAGROS) Les années ont passé, mais t’as pas vraiment changée. Enfin un peu, mais ton cœur reste le même. Tu n'es pas une méchante fille, juste incomprise par moment, la solitude te guette, comme ces papillons qui vole et qui au fond n’ont besoin de personne. Tu deviens une machine à café, il faut moudre, rendre tout uniforme, avant de filer son café aux autres. Quelques sourires ici, par là. Tu minutes tes moments en sa compagnie, puis tu triches. C’est de l’air, le mal. Il est partout. Tout le monde en a besoin pour vivre. Mais tu en as rien à foutre. Tu es une gentille fille, Inès. Tellement gentille, quand tu veux.
PETIT PLUS SUR LA BELLE INES
Tu veux caresser l’amour du bout des doigts le chérir jusqu'à ce que le dernier souffle s'estompe. briser les chaines, enterrer les démons qui gisent sous le lit, cinglant de revenir à n'importe quel instant. espérer. croire en un avenir meilleur. abattre la dernière carte, celle qui reste à la merci d'un monde qui ne sait pas ce qui l'attend. diviser pour mieux régner. reconstruire la vie sur les cendres du passé. • Ton passe temps favori est la danse, jusqu’à ce que cet accident t’empeche de remonter sur scene, le corps qui s’emmelent, s'entremêlent, se démêlent. s'attirant pour mieux se rejeter. une danse sans fin, laissant le paraître s'équilibrer sur un fil infini. la beauté de l'équation résolue, la magie qui opère peu à peu. les gestes précis, se projetant dans l'air tel un oiseau près à son envol. liberté à l'état pur, brut. rien ne t'arrête, comme si le temps avait décidé de ne plus filer. la jambe élancée, le corps en action. moment tranché d'une symphonie en dysharmonie. • Fasciner par le monde de la cuisine, cette chose que tu aimais faire avec ta grand-mère (abuela) , chahut infini partagé dans les rires et les effluves de bons pressages. loin des cris, des larmes et du brouhaha du monde. Deux personnes contre le reste du monde. Deux âmes qui ne font plus qu’un. Infime moment de bonheur, un symbole éternel. • tu parles différentes langues (russe, français, anglais, italien, japonais et espagnol) voulant s’enrichir des mots, encore et toujours. Naissance d’une culture bien riche. La connaissance c’est le pouvoir. Un apprentissage bien adapter, savourant chaque histoire, chaque image d'un pays tant adoré et tant désiré. une manière de s'évader, de l'ailleurs au lointain, le pays du soleil levant où les écrits manuscrits mêlent symbole et paradis. • Inès s’est découvert une passion le dessin, après la mort de ta mère c’était une manière de s’évader. Rature au fil des pages, visage confondu avec ceux des démons. paysage artificiel d'un monde superficiel. déchirer, recommencer. peindre le diable en personne, créer ses disciples. souvenirs déchirants d'une mémoire trop douteuse. création d'un paradis. accès interdit à tout être malveillant. seul détentrice de la clé. paradis brouillé, fermé à double tour. • tu glisse tes doigts sur le piano de la maison familiale, surtout lorsque tu sens ton monde se dresser contre toi. Les doigts glissant sur la froideur de la blancheur, s'immisçant dans une harmonie paisible et calme. caractère apaisé, tourment fracturé, l'évasion parfaite, l'âme en douceur. moment de symbiose, le corps en émoi, le coeur aux abords. la falaise à perte de vue, gouffre en profondeur d'une sérénité recherchée. perdue à l'avance, probablement en route pour être retrouvée. • crocs acérés, griffes sorties. tu es identique à cette créature divine et pourtant vorace. Menant la danse, gagnant la bataille. Une similarité que tu partages au sein de ta famille. • durant ton enfance, ayant une grande intelligence tu t’es créé un ami imaginaire : kowka qui veut dire chat dans ta langue • ton plat préférée est les abats qui se résume aux entrailles d'un animal. le foie fait parti d'un de tes mets préférés, tu pourrais en manger éternellement sans jamais n'avoir à remettre en question la force que ça t'apporte. mais pourtant, tu n'oublies jamais d'y rajouter quelques ingrédients phares dont toi seul est au courant. Même si tu adores tellement la bouffe que tu pourrais ne faire que ça. • Ta couleur favorite est le rouge. Le joyaux de l’amour, telles les palpitations d'un coeur en émoi, chapardant l'être chéri. couleur éphémère au tintement morose, sifflement au bords des yeux, larmes perlées le long des joues. jamais en faillite, l'abandon n'existe pas. etincelle sur le feu, bataillant pour survivre au vent qui souffle. rouge amour. rouge passion. rouge splendide mêlant fusil et bouton d'or. . • Si dès ton plus jeune âge tu t'es découverte une passion fulgurante pour la musique, laissant ton âme s'exprimer sur les touches d'un piano. Ton père, quant à lui, t'as donné son amour pour la nature et les chevaux. Tu as eu ton premier étalon à l'âge de sept ans. Montant comme une professionnelle, tu as toujours apprécié cette sensation fraiche de liberté. • Tu as le projet d'écrire un bouquin sur ton père - un homme fascinant. Ton modèle dans la vie. • Tu te passionne pour la photographie, c'est une véritable source de vie. Un moyen de tout oublier. D'être autre chose pendant quelques minutes. • Tu accorde énormément de ton temps a ton travail : une échappatoire. • Tu est capable de gérer tous les réseaux sociaux, mais ne les utilise que pour le côté professionnelle. • Tu adore le sport, c’est une source de vie. • Souffre de son absence - tous les jours. Joue les femmes fortes, mais ce n'est qu'une image pour les autres. • N'est tombé une seule fois amoureuse. Un amour qui s'est consumé - déchiré à travers le temps. Un amour qui ne sera jamais briller. • Te reposer ? Soon Soon Soon. Cela ne fait en aucun doute pas partie de ton vocabulaire. Tu aimerais sillonner le monde, aider les gens, d’autres peuples, rêvant de liberté et d’humanisme dans un univers teinté de cruauté. • Participe a de nombreuses œuvres caritatives, une habitué des soirées mondaines, depuis toujours. Bercer par ce monde, faisant partie de la plus haute sphère. • La lecture et tout ce monde qui rend une femme cultivée. • Tu chante que sous la douche. • adore le cinéma muet. Le silence est bénéfique. La possibilité de comprendre une histoire de a à z sans le moindre son et seulement avec la musique. • Une dingue de café - encore une tasse. Encore une. Encore une. Un cycle infini. Tu peux lui transmettre en intraveineuse c'est pareil. • Les enfants sont très souvent au centre de ses intérêts. Tu affectionne beaucoup d'intérêt à participer à des associations aussi juste soit-elle. • aussi longtemps, que, tu t'en souviennes, tu adores la neige • Malheureusement, quand on te pose une question qui te semble trop embarrassante, tu es plutôt du genre à vouloir détourner la conversation • Tu es également, jalouse. aussi bien en amitié qu'en amour • Tu n’aimes pas parler de ton passé. donc, par conséquent, peu de personnes sait ce que tu cache. • Tu es du genre compréhensive et tente toujours de te mettre à la place des autres, pour essayer de saisir leur point de vue • Quand tu te sens contrarié, tu te mets à griffonner, dans un calepin, que tu garde toujours, précieusement, dans ton sac • Possède un chien bouledogue qui fait ton bonheur. • Tu n’es pas indécises, mais tu as toujours peur de faire le mauvais choix. • Tu porte fièrement le collier de ta défunte mère - possède quelques bijoux important - comme la bague de ton défunt amoureux que tu as toujours garder. • Adore écouter la musique qui déménage les tympans • Possède une brûlure infime sur le mollet gauche. Tu l'a présenté comme une blessure de guerre. • La moto. Une de tes passions les plus étranges, mais sûrement la plus importante dans ta vie. Tu as presque pleuré en voyant la grosse cylindrée qui n'étaient pas devant ton sapin de Noël. Tu adores monter une moto. Ce n’est que lorsque tu enfourches une moto que tu te sens réellement complète. La vibration qui passe le long de tes cuisses. L’adrénaline qui coule dans tes veines. C’est tellement loin de ton côté petite fille parfaite, de ton côté princesse des beaux quartiers. Ce contraste te plaît parce qu’il surprend ceux qui ne te connaisses pas assez, et même ceux qui te connaisses bien. Mais tu n’es pas qu’une petite princesse, tu es bien plus que cela et tu le sais. • Dès que tu ouvre la bouche, la beauté à l'état pur. La beauté des dialogues et ton caractère qui tranche dans ce beau monde, qui fait parfois tâche, qui ruine un peu la jolie poupée que tu pourrais être. Ou pas.
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