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 les filles désir ft. lali.

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Max Fyres;

-- pandemonium --
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Max Fyres



jodie
bambi eyes (ava) ; siren charms (sign) ; vocivus (icons)
oksana ; blake
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t'aimes pas vraiment qualifier les choses. tu aimes les laisser en suspend, au bord des lèvres, à quelques centimètres du gouffre. tu joues, tu virevoltes au gré de tes intérêts, de tes envies.
l'arnaque. l'tissu de mensonges qui s'écrase sur tes lippes. pour en avoir toujours plus. avarice insatiable.
près de ceux au compte en banque pillé. ces hautes sphères que les doigts ne font qu'effleurer. les happy few qu'ils diraient.
((moodboard))
brandy - amour (2) - coban (2) - lali - tad - nejma

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Message Sujet: les filles désir ft. lali.   les filles désir ft. lali. Empty Mar 21 Juil - 22:55

les filles désir @Lali Morales  les filles désir ft. lali. 3227196488

Les aiguilles des talons s’enfoncent délicatement dans le velours carmin qui orne les marches du perron. Douce mélodie des cliquetis qui vibrent sur le marbre pentélique. Décoration luxuriante à en faire pâlir le Ritz. Les lustres sont d’un cristal si scintillant qu’ils éclipsent l’orage chargé de nuages assombrissant la façade cinq étoiles. Chaque pas se nourrit de la lumière qui pétille. La mondaine est ostentatoire. La mondaine vend des rêves illusoires. Les couloirs sont des avenues, jonchées de sculptures, de peintures et autres fioritures. Tu te sens dans ton élément, Max. Poisson dans l’eau vêtu d’une robe de satin qui épouse délicatement les courbes. Elle glisse le long de l’épiderme qui se dévoile. Le haut des cuisses s’échappe de la fente avec volupté. Les bulles de champagne frémissent dans les verres piscines. Les privilégiés se pressent pour engloutir les quelques canapés. Minuscules billes noires qui trainent sur les toasts de saumon fumé. Tu pourrais te faire un pactole rien qu’en volant les petites boites scellées de cet or pour les palais. T’es même sûre que les requins se précipiteraient par terre si le caviar ne venait qu’à être renversé. Au final, tout ce beau monde, les fameux happy few, ne sont rien d’autres que des poules sophistiquées prêtes à se gaver des restes qu’ils peuvent trouver. Et ce soir, la louve dans le poulailler c’est toi Max. Epousant les futilités comme personne, fruit de ton travail acharné. Parce que ce soir, c'est ton soir. L'anniversaire du directeur est devenu une excuse pour inviter tout le gratin. S'y faufiler parmi les noms était un jeu d'enfant. Tu te mêles aux pique-assiettes, voguant entre les différentes tables du buffet. Tu te saisis d'une coupe de champagne. Les prunelles ne quittent pas la cible qui se rapproche à petits pas. Son costume trois pièces ne passe pas inaperçu. T'accélères tes foulées jusqu'à ce qu'une faute d'inattention fictive ne vienne le bousculer. Le suprême liquide se renverse sur sa chemise faite sur mesure. La main s'ouvre délibérément pour laisser le verre s'éclater contre le sol. Quelques regards s'égarent sur les morceaux qui jonchent le sol. Mais les âmes sont vite happées par le discours mielleux du directeur dont les cheveux grisonnants témoignent d'un âge avancé, pourtant personne n'ose réellement le confronter au temps qui passe. Le cri de surprise est assez étouffé pour que seul l'intéressé l'entende.
"Oh non, je suis vraiment désolé ! Laissez-moi vous aider" L'inquiétude feinte dans une voix entrainée contamine l'ensemble de ton visage. Tu t'empares d'une vieille serviette en papier pour essayer d'éponger. C'est une nouvelle chemise dont il a besoin, et tu le sais Max. Tu lui laisses pas vraiment le choix en empoignant son bras pour le guider en dehors de la salle de réception. Tu piétines, indifférente, les bris de verre, alors que les serveurs te maudissent déjà de devoir ramasser la merde que t'as provoquée. "Venez, on va s'occuper de tout ça." Tu remarques un charriot posé en dehors des toilettes. Sans te poser quelconque question, t'attrapes une serviette propre qui traînais dessus et tu le donnes à l'homme irrité. Il se calme relativement vite. Puis quelques formalités sont échangées, et rapidement tu comprends qu'il n'aime pas trop ce genre de soirée, seulement les affaires sont les affaires et il faut bien être présent. Et c'est là que la perche est tendue dans ta direction. Les interrogations te sont renvoyées, comme tu l'attendais patiemment. Carrière de jeune responsable de patrimoine artistique en devenir, spécialisée dans les oeuvres d'art qui ornent les murs, se construit sous ses yeux ébahis. Raison de l'invitation glissée subtilement dans tes réponses. Parce que ce tableau-là, il vient de la boutique que tu représentes. Oh, elle n'est pas ici, parce que monsieur le directeur veut de l'exotisme, de la sincérité. Quelque chose d'ailleurs sans pour autant lâcher le tape-à-l'oeil.
La coïncidence le subjugue, lui, l'âme égarée dans cette masse étrangère, qui ne pensait pas tomber sur une interlocutrice aussi similaire. Ce que le monde est petit. Les lippes s'agrandissent gaiement, viennent partager un sentiment prétendu réciproque. Critiques des cérémonies étriquées qui ne font que maintenir des apparences trompeuses. Les longues tirades qui brossent dans le sens du poil, pour mieux déplumer les invités. Et apparemment il a le flair, lui, pour reconnaître ceux qui n'ont rien à faire ici, ceux qui ne sont qu'après sa fortune. Le rire qui s'échappe de tes lèvres accompagne ses dires tout en faisant écho au tournant ridicule que prend toute cette situation. Max, parfois t'aimerais exploser de rire devant les absurdités qui s'enchaînent, chacune toute aussi grosse que les autres. Seulement, ce que toutes ces années d'expériences t'auront appris, c'est bien que plus les mensonges sont gros, et plus ça paraît trop, mieux tu assures de décrocher le gros lot. "On est jamais trop prudents, effectivement." Vous vous redirigez vers un coin plus tranquille, pour passer ce temps devenu trop lent, ennuyant, et revenir aux mondanités avant la fin de la soirée. Le terrain est tout préparé. Il dégainera son chéquier bien avant que tu ne le lui demandes. T'en es persuadée, Max. Mais c'est sans compter sur les ombres aux oreilles indiscrètes. Celles que tu ne vois plus, l'esprit bien trop ancré dans le personnage éphémère. Tapie dans l'ombre, la rivale vient défendre le territoire que t'as décidé de t'approprier. Se battre dans les codes, ça n'a jamais été ta tasse de thé. T'as l'impression d'avoir déjà gagné, Max. Seulement, il faudrait peut-être que t'attendes que l'adversaire se dévoile avant d'abattre toutes tes cartes.  
 

_________________
.
- - comme un souffle,
un garnement,
tout autour y'a la violence. 
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Lali Morales;

-- pretty lies, ugly truth --
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Lali Morales



maría.
étangs noirs, ethereal.
4421
1025
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27
le coeur coffre-fort, uniquement comblé par tout ce qui brille.
femme de chambre dans un hôtel de luxe (le plaza). les sourires de façade qui habillent les traits de son visage, les bonnes manières et les courbettes apprises avec frustration.
en coloc' dans le queens contemporain, et ce n'est jamais assez bien.
no gold-digging for me
i take diamonds
we may be off
the gold standard someday.


☆ ☆ ☆
tadeusz - max - betsi - oona
anyone ? - anyone ?

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Message Sujet: Re: les filles désir ft. lali.   les filles désir ft. lali. Empty Lun 24 Aoû - 23:09

de son costume de scène, elle s'habille lali.
nue qu'elle était encore de tout apparat. de tout accessoire pouvant justifier de son rang.
elle se débarrasse de ce naturel qu'elle exècre, de ce naturel qu'elle vomit, de ce naturel qui ne lui rend pas justice. qui simplement, l'affaiblit.
affublée de sa nouvelle robe de soirée rouge rubis, elle se sourit à elle-même. à ce miroir qui lui renvoie l'unique reflet qu'elle souhaitait voir. et ses traits parlent d'eux-même. l'assurance et l'élégance. la finesse et la séduction. le prestige et l'étirement des lippes ravies.
ce portrait qui apparaissait face à elle lui seyait. plus que celui qu'on lui avait imposé à la naissance, qu'on avait confirmé à son adolescence et qui dictait encore un bon nombre de ses choix à l'époque présente.
les escarpins qu'elle enfile semblent avoir été modelés sur elle, taillés sur mesure pour une princesse, qui n'en avait de réelle que l'appellation qu'elle se plaisait à se donner. le titre manque encore, à celle qui rêverait de se voir épousée par un homme ainsi renommé.
les priorités nouvellement revues. les amours déçus auxquels elle ne croyait plus. et le luxe, à travers lequel elle a l'impression de trouver son salut.
le gloss est apposé sur les lippes gourmandes et sucrées, avant qu'elle soit fin prête à rejoindre la soirée. celle qui se déroule au rez-de-chaussée. la chambre d'hôtel est vite abandonnée au profit du faste qui l'attendait en bas. elle sait déjà que son terrain de jeu sera infini. que les opportunités pour faire pétiller ses yeux seront multiples. et sans doute que ça la rend pimpante, encore plus propice aux rencontres. même intéressées.
l'ascenseur la mène quelques étages en dessous. le lieu des festivités. là où la comédie pourrait réellement commencer. sauf qu'elle n'a pas mesuré, ni anticipé tous les paramètres lali. loin de se douter qu'une pique-assiette viendrait se mettre en travers de sa route. piétiner son territoire, s'approprier ses futures victoires.
le rouge qui teintait sa robe aurait presque pu lui monter aux joues et faire bouillir la rage à l'intérieur de ses veines. sauf qu'elle possède ce calme olympien qui lui sert dans de telles circonstances. elle se pare d'un air distingué et tait ses sentiments les plus enfouis. il n'y a qu'en dedans qu'on l'entendra maugréer. s'écrier contre la mauvaise comédie d'une femme qui, à ses yeux aguerris, ne lui arrivait pas à la cheville.
le rire est sarcastique, presque muet. illustrant pourtant combien sa petite partie d'échec ne trompait personne. lali du moins, ne s'y serait pas laisser prendre. pourtant, l'homme qu'elle convoitait semblait disposé à poursuivre l'échange. et c'est devant cet état de fait qu'elle est davantage désarmée.
la situation est enlacée aussitôt. les cartes déplacées, dans l'espoir fou de retourner la manoeuvre en sa faveur.
tu pourrais t'en faire une alliée toute désignée. une partenaire de crime avec qui tous les coups bas serait permis. sauf que c'est pas ça ton ambition. toi, tu veux briller par ton unique étincelle. et posséder tous les mérites. te désignant gagnante d'un duel que tu avais toi-même orchestré.
son petit manège passe. et ses talons foulent le velours de la moquette. elle erre dans la salle, accordant des sourires millimétrés à chacun des invités. dans l'unique but de frôler son objectif. s'approcher du duo surfait qu'elle comptait bien séparer.
tu t'es assurée de ne croiser personne avec qui tu travaillais. par chance, le plaza multipliait les employés. même le directeur ne te connaissait pas ou seulement de nom. tu pouvais donc parader sans risquer de te faire dénoncer.
par souci de conserver intacte sa couverture, elle l'évite tout de même avec minutie. et dans sa course, elle manque de trébucher se rattrapant au bras de sa pâle copie.
entrée en scène de la première araignée qui se sentait piquée, dépossédée.
excusez-moi, je suis confuse. le sol de cet endroit laisse vraiment à désirer... elle invoque un pli imaginaire qui avait failli la faire plier. elle dénigre les lieux comme une femme de si haut rang que rien ne serait jamais assez beau pour la combler.
je vous ai entendu à l'instant... c'est vous qui avez vendu cette oeuvre ? je suis conquise, prête à découvrir ce que vous possédez d'autre. je n'y connais pas grand chose en art mais j'aime énormément en habiller mon salon. ils font toujours sensation.
la dernière phrase est glissée comme un secret. femme fière d'exposer sa richesse et son goût prononcé pour tout ce qui était hors de prix.
elle s'installe en toute délicatesse lali. de leur duo, elle en fait un trio. fendant, en jubilant, ce que l'arnaqueuse s'était donné tant de mal à tisser.

_________________
--- c'est une question d'angle, d'envers et d'endroits. comment tu nous vois. comme dans un triangle, il faut être trois. toi, le désir et moi. quand est-ce qu'on se consume, qu'on se console d'en être arrivé là. quand est-ce qu'on se consume, une dernière fois.
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Max Fyres;

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Max Fyres



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t'aimes pas vraiment qualifier les choses. tu aimes les laisser en suspend, au bord des lèvres, à quelques centimètres du gouffre. tu joues, tu virevoltes au gré de tes intérêts, de tes envies.
l'arnaque. l'tissu de mensonges qui s'écrase sur tes lippes. pour en avoir toujours plus. avarice insatiable.
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Message Sujet: Re: les filles désir ft. lali.   les filles désir ft. lali. Empty Lun 7 Sep - 16:04

les filles désir @Lali Morales  les filles désir ft. lali. 3227196488

La vérité est un concept abstrait, Max. Sous les doigts délicats, elle est malléable, se façonne avec soin pour cocher toutes les cases. Des apparences elle se pare. Des jolis mots, elle s’enveloppe pour que son aspect ne soit jamais révélé. Et en-dessous de la gourmandise sucrée, c’est l’acide du mensonge qu’on y trouve. Les fallacieuses dont les pas ne s’emmêlent pas dans la valse qu’elles mènent. Etalées, les fondations sont aussi solides que le sol marbré qui crisse sous les martèlements des talons. Il y a, dans les propos sincères, un parfum fade qui t’ennuie. Des blasphèmes naissent des frissons, des bonds dans les tissus de l’organe amorphe. La triste misère s’embellit d’un vocabulaire majestueux, comblant les vices saillants de cette appartenance loin d’être noble. Mais la prestance n’est qu’une attitude construite sur un amas d’infamies. Les perles des parures renferment les effluves de ces macchabées qui s’accrochent aux semelles pourpres. Derrière les longues robes somptueuses, les ecchymoses sont bleues, presque noires des coups qui ne sauraient être dénoncés sous peine de perdre cette place privilégiée. Celle accessible par l’ichor divin qui coule dans les veines éclatées. Max, tu pourrais y trouver ton compte dans cette assemblée. Bâtir ton royaume aux côtés de ceux qui se croient inaccessibles, au-dessus de la mêlée. Tu te contentes d’effleurer leur monde, de boire, comme eux, l’ambroisie dans ces verres de cristal avant de les dérober sous leurs prunelles exaltées. La voleuse va et vient. La voleuse s’abreuve du nectar qui viendra satisfaire sa compagne l’avarice. Et la voleuse repart, lorsqu’elle se sent repue par tous ces chèques que son sac aura avalé.
Les mains accompagnent les calomnies, s’invitent sur l’épaule, parfois glissent vers l’omoplate. C’est une chorégraphie que tu prépares, Max. Le rythme que tu maîtrises, battant des cils sur les notes limpides. Devant ces tableaux que tu ne connais que de nom, les paroles brodent ces histoires qu’il boit avec avidité. Persuadé qu’il s’entoure d’une personne de confiance, enivré par le parfum à la douceur fleurie. Comme un cocon sortie de nulle part, une bulle d’air qui lui permet d’échapper au calvaire des mondanités détestées. Seulement, dans l’océan, les requins ne sont jamais seuls, Max. Quand la proie s’offre sur ces plateaux d’argent, que le liquide poisseux et vermeil glisse déjà le long de la nuque, ils gravitent, serpentent les mers pour y rompre le calme. D’un coup de mâchoire puissant, ils la réduisent à une carcasse branlante, la chair broyée sous les dents assassines. Max, tu la vois s’immiscer dans cette partie à laquelle elle n’a pas été conviée. Les opales lancent des éclairs dans cette compétition anomique. Les règles n’existent pas dans la bataille du simulacre. C’est à celle qui aura la plus belle façade, où les prétentions s’élèveront comme affirmations. Le bras est agrippé violemment par l’amatrice qui trébuche. Les pas balbutient encore, dans ce rôle endossé sûrement trop lourd pour ses épaules. Agacées sont les pupilles, les babines se retroussent, prêtes à remballer la comédienne ratée. Mais aucun son ne sort de ta bouche, Max, craignant que la lâcheté ne pousse la cible à s’écarter d’un combat qui n’est pas le sien. Trépidante est l’envie de dégommer cette adversaire qui saute sur l’occasion scintillante. Elle est de la même graine que toi, Max. Celles qui pensent germer sur les paillettes et la poussière de diamant. Celles qui prétendent plus qu’elles ne sont, se perdant plus d’une fois dans les sournoiseries de leur jeu. Le rictus est mauvais, dévoile les canines perfides. Max, tu dévisages, tu toises l’intruse aux pommettes rehaussées. D’instinct tu sais qu’elle joue, que ses paroles sont illusions, que tout l’attirail rouge n’est là que pour dissimuler les scélératesses.  
« Qu’y a-t-il dans votre salon alors ? Je ne voudrais pas vous proposer une oeuvre qui viendrait dénaturer votre belle décoration. »
La tête bascule dans la direction de l'homme trop heureux de la charmante compagnie qui s'offre à lui. Il frémit, le regard passe de l'une à l'autre sans déceler quelconque fausse note derrière les ridules animées. Max, tu veux lui faire comprendre que sa place n'est pas ici. Seulement la sangsue est un parasite nécessitant des instruments spécifiques pour se débarrasser d'elle. Et quelque chose te dit que tes phalanges devront être habiles pour manipuler les fils de la marionnette au compte en banque bien rempli tout en essayant de rendre muette l'étrangère qui vient détourner tes plans.
« J'ai toute une panoplie qui devrait pouvoir satisfaire chacune de vos envies. »
Adressée à l'homme captivé, la mélodie capiteuse vient bercer son âme distraite. Tu l'invites à s'asseoir, indiquant un coin tranquille de l'hôtel où d'autres oreilles indiscrètes ne viendront pas importuner tes envies. Il se dirige seul vers les fauteuils lustrés, brillant d'un rare cuir italien. D'un geste vif, les phalanges se serrent autour du poignet de l'étrangère.
« Va t'chercher un autre con à déplumer. C'est pas pour toi, ici. »
Ça grince entre les dents qui ne se séparent pas de leur sourire. De son mauvais jeu, l'interprète pourrait tout envoyer en l'air. La cours des grands n'est pas pour elle. Elle finirait par se faire engloutir toute entière. Et Max, tu comptes bien défendre ton bien avec tes mains de fer.   

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