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| Une danse nommée désir. [ft Ismaël] | |
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| Sujet: Une danse nommée désir. [ft Ismaël] Mar 3 Déc - 3:30 |
| Plantée là comme un simple jouet. Ego surdimensionné que l'affront d'son départ n'a pas arrangé. Un goût d'inachevé qui colle l'amertume à tes muqueuses. Laissée sur ta faim, il a tiré sa révérence en espérant qu'tu t'abaisserais à lui courir après. Une satisfaction qu'tu n'lui donnerais en aucune façon. T'aurais pu l'retrouver. T'aurais pu exaucer son souhait. T'aurais pu accourir à ses pieds mais tu l'as pas fait. Fierté trop ancrée pour être ignorée. Tu n'es pas du genre à t'accrocher. Et c'est dans d'autres bras qu't'as fini ta soirée. T'aurais aimé t'dire qu'c'était aussi exaltant qu'avec lui mais ce n'sont qu'des mensonges que tu te contes pour éluder cet intérêt qu'il a su attiser. Il t'obsède bien plus qu'tu n'le voudrais et même tes conquêtes d'cette semaine passée n'ont pas su surpasser sa performance. Et ça te fout en rogne qu'il ait réussi à avoir une telle emprise sur ta personne. T'as beau le nier, l'Sartier il s'est infiltré sous ta peau et il est plutôt difficile à déloger. Pourtant, t'as persisté contre vents et marées. Tu n'as pas cédé à son invitation déguisée. Et p't'être qu'il te quémandera son lot dont il n'a pas su jouir un jour ou l'autre. Mais en attendant, tu ne tenteras aucune approche. Détachement qu'tu t'imposes pour éviter d'succomber à son charme ravageur. Et quand c'n'est pas dans les draps de tes amants passagers qu'tu noies cet attrait, c'est dans l'travail qu'tu te réfugies pour oublier. Oublier ce désir inavoué qu'ton corps réclame comme dû. C'est une lutte de tous les instants entre tes envies et ta raison. Pour une fois, c'est la raison qui l'emporte juste pour lui éviter cette victoire beaucoup trop facile. Et surtout, tu tiens à lui faire passer c'message en lettres capitales rouges : on ne plante pas Jaz Barlow sous peine de subir ses foudres. Le carma a-t-il décidé d's'abattre sur toi ? C'est pourtant une leçon qu'tu n'assimiles toujours pas.
Et alors qu'tu encaisses une cliente au compte en banque bien garni, c'est d'abord une voix familière qui capte ton attention puis un visage qu't'aurais souhaité oublier. C'ton patron qui s'avance vers ce scélérat tandis qu'tu cherches une échappatoire. C'est son bras qui s'referme sur tes épaules, mettant une fin rapide à ta cavale, pour vous présenter. Ton identité qu'tu n'peux cacher, fièrement affichée sur ta tenue d'travail improvisée. « C'est un très bon choix Monsieur Sartier, l'une de mes meilleures vendeuses. Je vous laisse entre ses mains expertes. » Ces louanges qu'il débite en ton honneur pensant te rendre un fier service alors qu'il ne fait qu'te condamner. C'est ton sourire de circonstance qui se fige sur tes lippes qu'tu gardes résolument fermées. Les pupilles accusatrices sont le seul reflet d'ton animosité. Ton patron s'éclipse alors qu'tu t'efforces de n'rien laisser transparaître. Foutue coïncidence qu'tu pourrais remettre en question mais il n'avait aucune chance de t'retrouver et t'en viendrais presque à insulter l'Univers tout entier. C'est d'un pas raide qu'tu l'enjoins à te suivre vers un des salons privés qui fait la caractéristique d'ce magasin d'luxe. Et la porte se referme derrière vous, s'portant garant d'vôtre intimité. Hors de question qu'tu t'laisses emporter par tes sentiments, c'est d'une manière professionnelle qu'tu le reçois, histoire d'le faire mariner. Une vengeance qu'tu prends un malin plaisir à assouvir. « Bonjour Monsieur Sartier, que puis-je faire pour vous ? » Une voix qu'tu veux fluette et qui n'laisse transparaître qu'une légère mais bien réelle provocation. Il a intérêt à vite faire ses emplettes, tu n'es pas disposée à rester plus longtemps à ses côtés. Tu as d'autres chats à fouetter et tu le lui fais bien comprendre en jetant des coups d'oeil à l'horloge, où le temps s'écoule lentement mais sûrement, derrière lui.
Cours toujours Sartier, tu vas r'gretter d'm'avoir lâchement abandonnée. Tu vas r'gretter d'm'avoir sous-estimée. |
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| Sujet: Re: Une danse nommée désir. [ft Ismaël] Jeu 5 Déc - 18:09 |
| Les fêtes approchant, les enfants Sartier avaient tous tiré à la courte paille, choisissant de ce fait qui irait à la chasse du cadeau de leur mère. Cette année, c’était tombé sur Ismaël. L’enfant roi, avait essayé de refiler la tache à un de ces frères, à coups de douceurs pour terminer à coups de menaces. Mais rien n’y avait fait. Il se retrouvait là, dans un magasin de bijoux luxueux, les yeux accaparés et le cerveau malmené par tout les choix qui s’offraient à lui. Il ne pouvait pas faire la moindre erreur. Pour Constance Sartier, le présent devait être de choix. Aucune grimace ne devait se lire sur son visage au déballage, il fallait qu’elle soit heureuse et fière que ces mômes pensent à elle. C’est ce que leur père leur avait enseigné. Ce n’était pas un choix. Une obligation, pure et dure. Il déambuler dans les allées. Restant scotché de longues minutes sur les colliers, les rivières de diamants, puis les bagues et autres bracelets. Il n’y avait pas les prix, sur ce genre de vitrine, seuls les plus fortuné pouvaient s’offrir quoi que ce soit. Il releva le regard pour chercher un vendeur, ou une vendeuse. Un sourire se dessina sur ses lèvres quand il l’aperçu, occupée avec une cliente. Elle n’avait rien à voir, avec la femme qu’il avait rencontré quelques jours auparavant. Sa robe aguicheuse avait disparu, ses cheveux étaient parfaitement tirés, sa tenue également. Elle présentait bien, le genre de belle fille idéale, qui plairait à sa mère. Son sourire était radieux, et il resta planté là, à l’observer de longue seconde avant de demander à un homme, que cette vendeuse. Dont il ne connaissait pas le nom, s’occupe de lui. C'est un très bon choix Monsieur Sartier, l'une de mes meilleures vendeuses. Je vous laisse entre ses mains expertes. Il souriait en coin, car il repensait à leur étreinte, à ses mains expertes justement que son patron souligné fièrement. Elle était devant lui, et il la détaillait. Des pieds à la tête, un pincement dans le cœur. Parce qu’il se rappelait beaucoup trop d’elle, elle avait laissé une marque sur sa peau, trop profonde. Elle se met à marcher, il la suit, amusé, ne se privant pas de lorgner sur sa démarche chaloupée. C’est dans un salon privé qu’elle l’emmène, les portes se referment il prend place sur un fauteuil confortable. Si confortable qu’il se demande si l’établissement ne propose pas d’autres services à la discrétions des employés et du patron. bonjour monsieur sartier, que puis-je faire pour vous ? Son index tapotait machinalement sa lèvre alors qu’il la dévorait tout bonnement du regard, scrutant son prénom épinglé sur sa tenue de travail. jazz... tu t’appelles donc jazz... Le prénom se grave à vie dans sa mémoire. Jazz, ca transperce, ça marque, autant que ce moment qu’ils ont partagé. j’aime, j’aime beaucoup. Il sourit de plus belle. je cherche un bijou particulier, pour une femme particulière... quelque chose de beau, et évidemment de beaucoup trop cher... dis moi ce que toi, tu choisirais ? Il la tutoie, alors qu’elle le vouvoie. Il veut casser la distance qu’elle s’efforce de garder. |
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| Sujet: Re: Une danse nommée désir. [ft Ismaël] Ven 6 Déc - 19:50 |
| Y a un problème. Quelque chose qui tourne pas rond chez toi. Et y a ce désir que rien ne semble combler. Une faim qu'tu n'peux contrôler. Une faim qu'il a provoquée. Et ça t'met dans tous tes états qu'il ait c'pouvoir là. C'est pas dans tes habitudes d'être à la merci d'tes envies. T'es plutôt celle qui commande et qui prend toutes les décisions. Ce sont ton ego et ta fierté qui se démènent contre ce caprice inavoué, une tentation grandissante que vos ébats avortés n'ont fait qu'amplifier. Et il t'est impossible d'admettre cet intérêt prononcé pour ses courbes qu't'aurais voulu prendre le temps d'malmener. P't'être qu'il te faudrait céder pour qu'il disparaisse ou alors ça aura l'effet inverse. Tout n'est que supposition. Mais la règle est claire : pas d'attache, pas d'sentiments. Tu prends et tu jettes. Et jusqu'à c'que tu l'rencontres, tu n'avais pas d'mal à passer au chapitre suivant mais le marque-page semble coincé comme s'il t'offrait une seconde lecture. Et pour l'avoir relu, ça, tu l'as fait, presque contre ton gré. Ton esprit reste focalisé sur cet homme qui a su éveillé ta curiosité. Et malgré tous tes efforts pour l'oublier, y a son foutu visage qui te hantent dans tes songes et maltraite ta volonté. Seulement, il t'en faut beaucoup plus que ça pour craquer. Et quand il se retrouve soudain devant toi, son regard dévorant ton âme, ton palpitant s'emballe et c'est une lutte de tous les instants pour enchaîner tes émotions derrière une apparente tranquillité. Bordel qu'il est foutrement attirant et cette réflexion te glace le sang. Le bord du gouffre scintille avec plus de force et tu dois résister à cette attraction qui t'supplie d'te laisser glisser. Alors tu prends d'la distance, referme cette porte qu'il a forcée avec la force d'ta dignité. Et c'est facile d'prétendre en public mais quand le rideau tombe et qu'il ne reste qu'vos deux entités, le masque te démange et s'révèle bien difficiler à garder.
Et son regard qui n'a d'cesse d'raviver les braises d'un désir ardent qu'tu peines à atténuer, une force que tu n'te savais pas posséder que d'ne pas exploser et d'laisser cette tension tout ravager. Ton prénom qu'il fait rouler sous son palais, cette façon qu'il a d'mémoriser ton être jusque dans les moindres détails et tu peines à rester calme. « C'est Jaz avec un seul Z. » Pas même un merci pour le compliment qui transparaît clairement. Tu souhaites abréger c'moment d'intimité imposé. T'veux qu'il arrête d'te dévisager comme si t'étais une putain de friandise. Cette nouvelle recette secrète qu'ses papilles n'ont pas eu l'occasion d'savourer pleinement. Alors ça t'arrange lorsqu'il relance le sujet sur le but d'sa présence. Tu t'recentres sur l'essentiel. Une relation purement professionnelle. Et tu maintiens c'fossé qu'il souhaite visiblement enjamber en tendant une perche qu'tu n'saisis pas, t'es dans ton rôle. « Tout dépend, c'est pour quelle occasion ? » T'attrapes une télécommande qui trônait dans un coin d'la pièce et qui éclaire une vitrine où sont réunies les plus belles pièces d'votre collection. « Décontracté, chic, un peu des deux ? Vous avez d'nombreuses possibilités mais va falloir m'en dire un peu plus pour que j'puisse vous être d'une quelconque utilité. » Tu t'efforces de garder c'même vocabulaire qu't'emploies avec ta clientèle. Un langage moins familier qu't'apprends à apprivoiser mais qu'il t'ennuie d'employer. Un blabla inutile qu'tu laisses bien souvent tomber mais rien qu'pour l'emmerder, tu te cantonnes dans ton statut d'vendeuse d'vêtements d'luxe. |
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| Sujet: Re: Une danse nommée désir. [ft Ismaël] Lun 9 Déc - 19:45 |
| Elle était belle Jaz. Elle avait un charme qui ne pouvait pas laisser indifférent. Un charme qui accrochait les yeux, qui restait ancré sur le long terme. Il avait déjà goûté à son corps, caressé ses courbes, imprimé les reliefs de son épiderme sur la pulpe de ses doigts. Et s’il fermait les yeux, il pouvait s’en souvenir comme si c’était hier. C’est ce que traduisait le regard qu’il posait sur elle. Il voyait, dans son comportement à elle, qu’elle se forçait à rester dans le carcan de son boulot. Une vendeuse de luxe, pour un magasin fréquentait par les plus fortunés. Il était ravi, de se retrouver là, face à elle. Par pur hasard. Elle le reprenait sur la prononciation de son prénom, et il le fit rouler sur sa langue une nouvelle fois, Jaz, très bien. Elle écoutait ses demandes avec attention, lui, n’était plus du tout concentré sur la quête qu’il avait entreprit. Tout dépend, c'est pour quelle occasion ? elle prit une télécommande et des vitrines s’illuminèrent, derrière elles, des dizaines de robes de couturier, des vestes, des tailleurs, tout pour plaire aux beaux yeux de sa mère. Décontracté, chic, un peu des deux ? Vous avez d'nombreuses possibilités mais va falloir m'en dire un peu plus pour que j'puisse vous être d'une quelconque utilité. Une utilité, il pouvait lui en trouver une, même des centaines autres que celle-ci. Mais il tentait de garder la tête froide, tant bien que mal. Hum, je ne sais pas trop, qu’il commença, ses doigts tapotant sur le cuir du fauteuil, quelque chose de chic, c’est pour un anniversaire, pas pour qu’elle le porte évidemment. Pour lui offrir et j’aimerai que ce cadeau soit le plus beau qu’elle ouvrira de la soirée. Ils ne pouvaient pas décevoir Constance, c’était interdit, c’était même suicidaire. Bien que leur mère feinté à merveille la joie et la surprise, ils seraient lyncher s’ils se rataient les frères et sœurs. Puis Ismaël subirait la vengeance de ces cinq frères et sœurs en même temps. Clairement, il ne pouvait pas se râter. Mais avec Jaz en face de lui, la tâche s’annonçait plus que difficile. J’pense que j’arriverai mieux à juger si tu me faisais un petit défilé, tu ne crois pas ? … les habits rendent toujours mieux sur un corps, que sur ces cintres et mannequins plastiques. Il était sérieux. Trop sérieux, un sourire carnassier sur sa gueule d’ange. Jaz elle avait marqué sa peau. Marqué ses sens, en une seule nuit, en quelques minutes. Maintenant qu’il avait mis un nom sur le visage de l’inconnu, il se sentait pousser des ailes. |
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| Sujet: Re: Une danse nommée désir. [ft Ismaël] Lun 9 Déc - 23:15 |
| Pourquoi il faut qu'il te fixe d'cette façon ? C'est son foutu regard qui transperce ton être tout entier et provoque plus de sensations qu'il n'en devrait. L'adrénaline grimpe lentement et l'addict en toi se réveille alors qu'tu t'efforçais de la museler. Si en plus tu dois lutter contre toi-même, tu risques d'perdre ce combat avant même qu'il n'ait réellement commencé. Tes opales fuient cet océan envoûtant dans lequel tu pourrais te noyer. Et il est difficile de rester concentrée alors qu'il ne fait aucun effort pour t'aider. Au contraire, chaque œillade, chaque geste, chaque parole te ramènent à cette tension qui flotte dans l'air. Impossible à ignorer et plutôt difficile à réprimer. Heureusement que ton esprit reste focalisé dans le travail, une source de distraction qui t'évite d'affronter la réalité. Un moyen de fuir cette attraction temporairement. Tu t'évertues à rester la plus professionnelle possible malgré cette attirance qui n'a d'cesse de prendre d'l'importance. T'aimerais qu'il en soit autrement, qu'il soit moins charmant mais t'arrives pas à la refouler. Alors, tout ce que tu peux faire, c'est prétendre le contraire. Et ça marcherait si ses réactions ne confirmaient pas une certaine réciprocité, si il n'avait pas cette manière relativement sensuelle d'prononcer ton prénom. « C'est déjà mieux. » Tous tes sens s'affolent et la drogue circulant dans tes veines ne cesse de shooter ton cœur, de quoi t'exalter assurément. Tu attends patiemment mais avec une certaine impatience qu'il se décide à faire son choix, il a l'air tout aussi détraqué qu'toi par vos retrouvailles surprises.
Une sacrée coïncidence qu'il débarque à ton taff sans savoir que tu te trouvais là. Pas pour qu'elle le porte évidemment. Tu retiens difficilement tes pupilles de rouler dans leurs orbites. Tu n'as jamais compris quelle était l'utilité d'acheter des vêtements pour leur faire prendre ensuite la poussière dans un placard. « Évidemment. » Qu'tu soulignes, goguenarde, histoire d'appuyer sur le ridicule de la chose. Tu te tournes vers la vitrine, t'apprêtant à lui dévoiler la collection qui irait le mieux à ses souhaits mais ses mots te stoppent net dans ton élan. Un défilé ? Tu fais volte face et te plante face à lui, perdant tout ton self contrôle et cette retenue qui te caractérise si peu. « T'es sérieux ? Et puis quoi encore ? T'veux pas un strip tease tant qu't'y es ? Y a pas marqué conchita sur mon front ! Bordel. J'taffe au cas où tu l'aurais pas remarqué ! » Adieu cette regrettée distance que vous imposait le « vous ».Tu soupires, te pince l'arête du nez et te recule en secouant la tête, résignée. « Très bien... Tes désirs sont des ordres. » Ton regard s'ancre dans le sien plus que de raison, lui signifiant qu'il ne perd rien pour attendre. Tu n'peux pas t'permettre de lui faire ravaler ses paroles, ce serait risquer qu'son mécontentement remonte aux oreilles d'ton patron et même si il t'a dans ses bonnes grâces, c'est une publicité dont tu peux aisément te passer. C'est d'abord en traînant des pieds qu'tu enfiles la première tenue d'une longue lignée avant de commencer l'défilé. Au bout d'une dizaine de passage, tu t'prends au jeu et t'la joues mannequin le temps d'une heure. Alors que t'en aies à plus d'la moitié, tu observes les vêtements qu't'as négligemment balancés et qu'tu vas devoir ranger avant de rejoindre Ismaël, vêtue d'une magnifique robe digne des reines du Queens. Un bijou d'élégance et de raffinement. Tu t'avances vers ce dernier avant d't'arrêter, bras croisés. « Y a rien qui t'a fait tilt ? » Un trésor que tu arbores à la perfection et bien qu'tu n'es pas consciente de ce fait, c'est pourtant cette tenue qui te rend époustouflante en cet instant. Cette tenue qui pourrait bien être le cadeau tant convoité si elle n'avait pas été faite pour sublimer tes divines courbes. « Et c'est pour qui, au fait ? » Une question qu't'as oublié d'poser avant mais qui vous permettrait d'affiner fortement vôtre recherche. |
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| Sujet: Re: Une danse nommée désir. [ft Ismaël] |
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