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| Sujet: a wolf will never be a pet. — rose Mer 20 Jan - 22:55 |
| save the queens ---- / ROSE CALDWELL
24 ans ---- / ace of spades ---- / ashley frangipane (halsey)
identité complète - rose, la belle fleur entourée d'épines. celui qui n'ose pas saisir l'épine ne devrait jamais implorer la rose, comme dirait brontë. sauf que... touche-moi et je te pique. caldwell, ça signifie rien, nouvelle identité, passé envolé. lieu de naissance et origines - t'es né à detroit, michigan. ville pourrie où tu t'es vite sentie enfermée. enfant des quartiers qui rêvait de s'échapper. études ou métier - t'as pas fait d'études après le lycée. t'es partie de detroit pour aller à new york. du coup, tu peux pas prétendre à des métiers haut placés. t'as toujours été active sur les réseaux sociaux et t'as amassé un petit paquet de followers, notamment sur instagram. parfois, t'es modèle pour des photographes ou pour des étudiants en art. le nu ne te dérange pas, t'es loin d'être pudique. c'est sûrement pour ça que t'as eu aucun mal à tomber dans la spirale d'onlyfans. orientation sexuelle - tu ne restreins pas tes possibilités, t'aimes plaire, t'aimes jouer, dans les décolletés ou sur les torses musclés. statut civil - électron libre, tu vas et tu viens, au gré de tes envies. tu t'attaches tout aussi vite que tu te détaches. le besoin d'attention viscéral, mais jamais de la même personne. pi, scénario ou prélien - inventé.
traits de caractère /
(+) indépendante, spontanée, sociable, séductrice, curieuse, loyale. (~) mystérieuse, franche, provocatrice, téméraire, hyperactive, carpe diem. (–) menteuse, manipulatrice, bagarreuse, rentre-dedans, attention whore, pessimiste.
save the queens ---- / TELL ME MORE
once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share 01. parents ain't always right. toi, rose, tu viens d'une famille plutôt classique. des parents avec un métier banal, qui vivent dans un bon quartier - pas le meilleur, mais loin d'être le pire. background religieux, ils sont croyants et ont beaucoup de valeurs. ils ont tout fait pour t'inculquer une bonne éducation. mais toi, rose, t'as jamais trop aimé qu'on te dise quoi faire. t'as toujours été une enfant turbulente. loin d'être la fillette qu'ils attendaient, qu'ils espéraient. t'as passé ton enfance à te faire gronder, à entendre ton père te réprimander et ta mère se plaindre. "bon dieu, sauvez-la, cette gamine, elle a le démon." sauf que dieu, il n'existe pas. et de toute façon, t'as jamais demandé à être sauvée.
02. she's the girl all the bad guys want. p'têtre bien que sous tes airs rebelle et anti-conformiste, t'étais quand même jalouse de ces "cool kids". toujours à les regarder du coin de l'oeil, parfois à essayer de t'intégrer, mais t'as jamais eu le sentiment de faire partie de la bande, peu importe ce que pouvaient laisser croire les apparences. toujours le cerveau qui bouillonne, les questions qui fusent, du mal à te concentrer et suivre une conversation en entier. "t'as encore oublié la soirée !", "eh oh ! rose ! tu m'écoutes ou quoi ?", "fais gaffe un peu, t'as toujours la tête ailleurs", "t'façon j'en ai marre, on peut jamais te parler, c'est comme parler à un mur !", "rose, tu as, encore une fois, pas terminé l'exercice à faire pour aujourd'hui", "concentre-toi un peu !". mais toi, tu fais pas exprès. tu contrôles pas. pile électrique, quand tu commences un truc, t'arrives jamais à le finir. on dit de toi que t'es chaotique et impulsive - et c'est pas toi qui contredirais tout ça. toujours le chic pour te foutre dans la merde, aucun sens du danger, tu fonces dans le tas, tête baissée. diagnostiquée à dix-sept ans avec un trouble de l'attention avec hyper-activité. ça explique beaucoup de choses ; mais ça n'en change aucune.
03. i would have followed all the way to the graveyard. besoin d'te sentir vivante, besoin de te sentir utile aux yeux de quelqu'un. y'a ce gars qui se présente. il est plus vieux, il paraît sûr de lui. il te veut. tu t'attaches. même s'il t'entraîne dans des bails chelous. même s'il te traite pas très bien. même s'il laisse des traces bleues et rouges sur ta peau. pendant quatre ans, tu lui trouves des excuses, aveuglée, coincée dans le déni. jusqu’au jour où il te demande d’être sa complice. "rose, viens, j’ai fait une connerie." et toi, t’accours. parce que tu l’aimes, hein? et c’est ce qu’on fait quand on aime, on débarque au moindre besoin. sauf que quand tu le rejoins ce soir là, aux abords de la ville en pleine nuit, tu t’attendais pas à ça. tu t’attendais pas à voir un corps gisant dans le bas-côté. "mais qu’est-ce que t’as fait ?" t’as commencé à paniquer. t’as reculé, l’instinct qui te disait qu’tu devais pas te trouver là. "rose, faut que tu m’aides. tu m’aimes, hein? rose, dis-moi qu’tu m’aimes." ses doigts qui agrippent ton menton pour te faire détourner les yeux du cadavre et les poser sur lui. "tu m’aimes." tu hoches la tête. "alors tu vas m’aider." et encore une fois, tu hoches la tête. t’as jamais vraiment su ce qui s’était passé. il t’a dit que c’était un accident de la route, il avait bu, il avait pas vu. mais toi, t’es pas conne. t’as bien vu que la voiture n’avait rien. pas d’impact, pas de sang, que dalle. t’as bien vu qu’il avait des blessures volontaires. mais t’as rien dit. tu l’as aidé à s’en débarrasser. à camoufler. parce que, c’est ça, l’amour, hein ?
04. don't belong to no city, don't belong to no man. non, l’amour, c’est pas ça. c’est pas vivre dans la peur qu’un jour, ça puisse t’arriver à toi. et t’en as eu marre. alors t’es partie. sans prévenir, sans dire au revoir. pas à tes parents, pas à ce mec, pas aux amis que tu pouvais avoir. à personne. t’as acheté un billet de bus et t’as embarqué. vers où? new york, t’as décidé. detroit, c’était de la merde. t’as toujours eu envie de t’échapper. mener une meilleure vie, plus belle, plus grande. plus d’opportunités, tu t’es dis que new york était plus près que LA. dix-huit heures de bus plus tard, tu fous les pieds pour la première fois dans la ville qui ne dort jamais. quelques centaines de dollars d'économies en poche, t'as pas réfléchi. t'as créé des relations sur sur le terrain ; t'as squatté dans des endroits lugubres, t'as crashé chez des inconnus, t'as abusé du lit de tes plans cul (du sexe contre un logement, c'était plutôt un bon deal selon toi, même si t'étais le seul parti à en avoir conscience). quelques mois à ne pas faire grand chose mais t'étais tranquille. à ne pas penser à ce que t’avais laissé derrière toi, à ne pas penser à lui, à ne pas penser au bilan actuel de ta vie. à vivre, simplement. comme s'il n'y avait pas de lendemain. parce qu'en réalité... t'étais jamais sûre qu'il n'y en aurait un, de lendemain.
05. she fell in love with little thin white lines. les soirées à outrance, les nuits sans sommeils et les journées passées dans le noir. les mauvaises fréquentations qui t’emmènent en after party tu ne sais où, mais tu suis. c’est pas qu’tu fais confiance, non — c’est juste que l’offre est alléchante. ça tue la solitude, pendant que vous dansez, buvez et draguez, y’a rien d’autre qui vient s’immiscer dans ton esprit. et puis l’alcool s’épuise, c’est trop barbant, les effets durent pas assez longtemps et la gueule de bois est de pire en pire. autre terrain de jeu, t’acceptes quand on te propose un rail de coke. c’est pour l’expérience, juste une fois, pour voir c’que ça fait, histoire de pas mourir bête. sauf que l’expérience, t’as kiffé. le "juste une fois" s’est transformé en habituée. les drogues constamment dans ton système, perchée dans les hauteurs dont tu ne redescendais jamais.
06. i always make the same mistakes. d’autres mauvaises fréquentations. toujours le même type de gars, parce que t’as toujours besoin d’un peu de danger, rose. sinon, tu t’ennuies. éternelle insatisfaite, bourrée d’insécurités. t’as besoin de gros bras pour te serrer fort et recoller les morceaux. pour te protéger. pour te faire sentir safe. sauf que c’est toujours ces gros bras qui te font éclater, des tas de petits morceaux de verre brisé. abonnées aux relations toxiques, parce que visiblement, c’est la seule chose dont tu penses être digne. ce côté "je vais te sauver". pas mère thérésa, mais t’as toujours l’ambition, l’espoir, de réparer des gros gaillards qui font les beaux. alors qu’en fait, ils veulent pas être réparés. ils sont très bien comme ils sont, à prendre, profiter, et jeter. et toi, t’as fini par dire stop. comme une révélation, une épiphanie.
07. i won't smile but i'll show you my teeth. men are trash. nouveau dicton, phrase que tu te répètes tous les matins dans le miroir en te préparant. pas tous, évidemment. enfin, peut-être. toi, t’as connu que la malchance pour l’instant, les concernant. alors, c’est pas qu’tu les détestes (un peu) et qu’tu veux plus rien avoir à faire avec eux. c’est juste que maintenant, tu ne fais plus confiance. tu ne te laisses plus manipuler. au contraire, c’est toi qui te joues d’eux, maintenant. tu connais leurs faiblesses et t’en profites. le rapport de pouvoir entre eux et toi a changé, s’est inversé. t’as du répondant maintenant. malheureux celui qui te fera une remarque sur ta façon de t’habiller, de parler, de te comporter. tu sauras bien vite le remettre à sa place. parce que t’façon, tu cherches plus à être validée par la gente masculine. tu fais enfin les choses pour toi, et ça, ça a été une vraie libération.
08. is it really that strange if i always wanna change? t'aimes prétendre. t'aimes jouer. t'es bonne actrice, t'enfiles les personnalités à la suite. tantôt vulgaire, tantôt grossière, tantôt libre, tantôt petite fille, tantôt criminelle, tantôt innocente, tantôt rebelle, tantôt princesse. t'aimes te donner l'air riche alors qu'en vrai, tes fringues viennent au mieux de urban outfitters. t'aimes rêver, t'imaginer couverte de diamants, dans des draps de soie, perchée sur des belles semelles rouge écarlate. faire partie de la haute société, des reines adulées. mais d’un autre côté, t’es bien, dans tes jeans troués, tes Dr Martens usées et tes cheveux colorés. les réseaux sociaux te permettent cette fluidité, tu peux te présenter sous des angles différents, expérimenter, entretenir les apparences. et quand t'as commencé à avoir une vraie audience, t'as pas hésité à créer ton compte onlyfans. ça et instagram te permettent de vivre sans avoir à trop te plaindre. tu ne croules pas sous les billets verts, mais t'as un petit appart et un frigo décemment rempli. pour compléter tes revenus, il t'arrive souvent d'être modèle pour des étudiants en art ou pour des photographes. faut croire que ton look un peu décalé à tendance à inspirer.
09. it's 3am and i'm calling everybody that i know. à force d’être tout le temps dehors, à sortir tous les soirs et passer de lit en lit, ça te fait bizarre quand t’es seule dans le tien. l’adrénaline qui redescend, le noir qui t’envahit, les questions et les doutes qui hantent ton esprit. t’aimes pas être seule. tu supportes pas. p’têtre qu’il faudrait que tu te forces, parfois. parce que plus t’évites et plus t’as peur. la solitude est difficile à encaisser, et ça te vaut des nuits passées les yeux grands ouverts, sans pouvoir trouver le sommeil.
10. i hate everybody (but maybe i don't). malgré tout, t'as jamais voulu rentrer dans les codes de la société. t'as toujours eu ce besoin de te différencier. t'as besoin d'attention rose, t'es comme ça, c'en est limite maladif. t'as besoin de te faire remarquer, en bien ou en mal, peu importe tant qu'on parle de toi. que ce soit par tes fringues, par tes couleurs de cheveux changeantes, par tes tatouages, par ta vulgarité. par tes battements de cils, par tes yeux clairs au soleil, par ton nez retroussé, par tes provocations, par ton rire cristallin. t'es un peu trop séductrice rose, c'est ton besoin de plaire, ton besoin d'être rassurée. tu dors pas souvent dans ton propre lit (de toute façon, t'as trop de problèmes d'insomnie), et quand tu le fais, t'es toujours accompagnée. la seule façon que t'as trouvé pour te convaincre que non, t'es pas seule, rose. save the queens ---- / BEHIND THE MASK
nox eternam (amy) ---- / 22 ans ---- / rpgiste
ville - hauts-de-france. études ou métier - designer & développeur web. avis général sur le forum - un monument, que dire de plus ? une réputation qui n'est plus à faire, je me suis enfin laissée tenter après l'avoir reluqué pendant une paire d'années. le détail qui t'a fait craquer - ma bb halsey libre, j'avoue. et puis, c'est @rioja myers qui m'a fait basculer. fréquence de connexion - tous les jours, h24. crédits des icons - pinterest (oui je sais c'est mal, mais j'ai tellement vogué pour les trouver qu'après je les ai perdus. le mot de la fin - si vous sentez que certains de vos préliens peuvent convenir, je suis toute ouïe ! je sais pas trop encore ce que je veux faire de ma belle donc n'hésitez pas - Code:
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[b]ashley frangipane (halsey)[/b] / [i]rose caldwell[/i] |
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