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 m'exiler de toi (enzo)

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Josie Kerns;

-- violent delights --
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Josie Kerns



lily-rose depp
av/depraysie - sign/awona (code & img)
cillian
380
2306
27
célibataire, en proie à une langueur qu'elle embarquera dans la tombe. elle vit d'aventures d'un soir, d'autant plus débridées qu'elle leur écarte si peu souvent les cuisses.
danseuse au new york city ballet, prête à écraser les autres jusqu'à décrocher l'étoile. à moins que ce ne soient ses propres secrets qui ne causent sa chute, alors que la nuit, c'est sur les scènes de strip-clubs qu'elle délie ses courbes.
contemporain le jour, effervescent la nuit, pour une double vie.
amos •• leandro •• cez •• nikita •• thelma

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Message Sujet: m'exiler de toi (enzo)   m'exiler de toi (enzo) Empty Mar 18 Jan - 21:17

m'exiler de toi


un paquet de croquettes en main et une clope entre les doigts, tu laisses le queens nocturne t'engloutir sans crainte. une heure que s'enchaînent sur le bitume tes pas cadencés, si bien que tu te fonds dans la pénombre, les volants noir d'encre de ton manteau flottant derrière ta silhouette fantômatique. une heure pour dégoter ces croquettes, celles que ton chat ne troquerait pour rien au monde. faut dire qu'elle s'est embourgeoisée, la satanée bestiole. il n'y a que la meilleure chaire qu'elle daigne gober et, ce faisant, se délecte certainement plus de ses repas que toi. ce doit être le prix à payer pour un peu de compagnie. pour garder à tes côtés un être auquel ta vue inspire autre chose que la fuite. ils sont rares, ceux qui dominent l'instinct de détaler devant toi. des miracles.
des anomalies.
l'âcre goût dans ta bouche te rappelle à l'ordre. d'un geste, la cigarette au filtre écorché choit au sol. déjà le chuintement du briquet se fait entendre, bruit parasite dans une nuit aussi silencieuse que le queens peut l'être. seuls le calme - relatif - et l'obscurité t'évoquent un peu de beauté dans ces rues qu'on ne voit, de jour, que jonchées d'ordures et d'hommes. mais dans sa bonté, la pénombre pardonne, dépouille les lieux de la laideur que l'astre solaire leur confère. pour ça que tu prends le temps de quitter ta piaule une fois le crépuscule bien entamé, que tu consens à faire le tour des boutiques ouvertes de nuit pour un vulgaire paquet de croquettes, le tout bien campée sur tes jambes alors que tu pourrais fuir à toute vitesse sur ta monture ronronnante. t'aimes à te rappeler que le queens, quand il fait trop sombre pour l'observer tel quel, trouve encore une certaine grâce à tes yeux.
des cris retentissent au loin, bourdonnement diffus qui gagne en puissance à chaque pas. la curiosité prend le pas sur la raison : l'amas de violence qui se devine à un ou deux coins de rue t'attire inexorablement. lorsque tu bifurques, le brouhaha grandissant pour seul guide, t'aperçois au loin un attroupement. l'excitation qui s'en émane est magnétique - de sorte que t'es obligée d'avancer. de voir de tes propres yeux ce qui prend forme au centre du cercle humain. te faufilant sans grand effort, tu vois deux molosses de bipèdes qui se jettent l'un sur l'autre. c'en puerait presque le sang et la sueur, c'est galvanisant. pas étonnant que ce genre de spectacle ait acheté la paix des romains. le combat prend fin sur le craquement sinistre d'une pommette éclatée sur le bitume. autour de toi, des liasses de billet passent de main en main. y'a ceux qui apprécient le sport et ceux qui préfèrent le monétiser, apparemment. les tours de passe-passe t'intéressent peu, toi qui gardes trop précieusement ton destin en main pour le jouer en paris, alors tu relèves les yeux, espérant à un autre combat avant de tracer jusqu'à ta piaule.
et t'es pas déçue.
la bête aux babines frémissantes qui s'avance dans le ring improvisé a des traits étrangement humains, loin de l'anonymat sanglant des deux d'avant. tes yeux se plissent, essayant de compenser le champ de vision que t'a dérobé la nuit. les traits sont taillés à la serpe, saillants comme tu ne les as jamais vus - torturés, presque vieux. tes sens ne t'ont jamais trompée, pas plus que le rythme soudainement chamboulé, emballé de ton palpitant. c'est un fantôme qui te fait face. avec un regard vide dans lequel tu ne peux deviner s'il t'a aussi reconnue. un fantôme peut-être, mais sa manière d'encaisser les coups qui pleuvent lorsque s'avance l'adversaire n'a rien de l'intangible.
et toi nejma, t'es bouche bée devant le spectacle, clouée sur place à en appréhender l'issue, sans savoir ce que t'espères pour ce relent du passé que t'as autrefois appelé enzo. la victoire, pour ne pas supporter la vision de ce corps que t'as tant chéri, dans le noir et en secret, gisant au sol ; ou la défaite, pour que sous les poings de l'autre type,
il endure la punition de t'avoir abandonnée.
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Enzo Haddad;

-- it's a long way to cure --
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Enzo Haddad



ahmad kontar.
waldosia.
paraît que ça fume déjà.
1184
1126
m'exiler de toi (enzo) OWDgPERW_o
30
t'es seul dans ta vie, dans ta famille et dans ton coeur. solitaire confirmé.
succession d'échecs, puis l'armée t'a sauvé jusqu'à ce que t'en revienne et que tu perdes à nouveau pied.
entre quatre murs insalubres dans le queens commercial.
☾ ☾ ☾
nejma - nesta - toi ? - toi ? - toi ?

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Message Sujet: Re: m'exiler de toi (enzo)   m'exiler de toi (enzo) Empty Lun 7 Fév - 23:36

m'exiler de toi
w/ @nejma saleh

c'est encore un jour sans. alors que l'anarchie prend le contrôle de ton corps et de ta tête. plus rien de ce qui faisait autrefois ta carrure ne semble t'appartenir. tu ploies sous le poids de la défaite, de ton noir futur et de tes souvenirs amers. tu te laisses atteindre par ce qu'il y a de plus sombre en ce bas monde. jusqu'à frôler le macadam usé d'un new york qui ne t'a jamais fait aucun cadeau. à peine épargné, toujours acculé. c'est encore un jour sans. pourtant un jour que tu espères oublier en retournant flirter avec ce que tu connais de mieux. la douleur lancinante et la brûlure galvanisante de ce qui deviendront tes blessures de guerre. bien moins mortelles celles-là. tu sens tes os craquer et tes muscles se réveiller dans l'attente du prochain combat. un rictus t'échappe quand les cris et le bruit si familier des rues malfamées parviennent jusqu'à tes oreilles. c'est comme une caresse sur les maux de l'âme ou une prière psalmodiée qui viendrait te laver de tous tes péchés.

tu n'es plus très loin de ton heure de gloire enzo,
à quelques minutes de revêtir ta cape d'ancien héros.


les duels s'enchaînent et affolent les spectateurs avides de violence illégale et de sang gratuit. si tu le pouvais, tu serais de tous les combats enzo. quitte à finir sur le carreau. tant tu n'te sens jamais plus vivant que quand les coups t'assaillent. dur rappel que la vie te tient encore en joug. sauf que t'as pris du gallon au rythme des années passées. tu te laisses plus emmerder, aujourd'hui tu découvres les crocs et tu te bats contre lui ou contre toi. personne ne le sait vraiment, l'important se résumant à la victoire que l'on t'avait trop souvent arraché. toi, le pauvre gamin rabaissé et dénigré par un père dont tu n'étais pas fier. auparavant marqué, tu tatouais aujourd'hui par vengeance ou pour coucher des maux ancrés en dedans. expiant le passé dans le présent.

de toute ta hauteur, tu sembles régner.
prêt à en découdre, prêt à te délivrer.


la fosse aux lions pourrait en effrayer plus d'un, les faire reculer avant même d'avoir asséner le premier coup. il n'en est rien quand tu redeviens le soldat d'antan. la forte tête dont la concentration se lit au fond des pupilles. tes pas se succèdent, tes doigts craquent et tes mains démasquent le visage de l'innocent. celui que tu n'es plus. y'a plus rien d'humain dans tes traits quand tu te retrouves au centre de l'attention. ton envie d'en découdre et de vivre démangeant tous tes muscles. l'animal féroce ne reconnaît plus personne, ne voit que son adversaire. celui que tu abandonneras à terre après le coup de grâce. tu croises son regard, tu croises des regards mais pourtant rien ne fait sens. t'es là sans être là enzo. persuadé qu'elle est aussi là sans être là. triste adresse, mauvais rendez-vous, des années trop tard. un millième de seconde suffit à accorder l'avantage, une erreur que tu ne feras pas deux fois.

tu n'es plus de ceux qui acceptent la défaite.
alors tu grogneras jusqu'à ce que justice soit faîte.


tu rends les coups à répétition et tu les prends sans rechigner. le rouge commence à maquiller tes lèvres, le bleu tes joues. l'homme qui te fait face n'y échappe pas, tu le gâtes à la mesure de ce qu'il te donne. le goût de l'hémoglobine stimule tes sens, met en exergue ta soif de puissance. tu ne sais plus t'arrêter. tu cognes beaucoup trop vite, beaucoup trop fort. peut-être que tu ne regardes plus ces traits à l'inconnu, à travers lui tu devines ceux de ton père. tu lui flanques la raclée que tu ne lui as jamais mise. et tant pis si c'est un autre qui encaisse. ton triomphe résonne, tu l'entends à peine. déconnecté de ta propre réalité. alors on t'arrache à lui, et tu te débats dans un dernier sursaut. tu hurles ta rage et tu te dégages. d'un mouvement de bras, tu essuies le sang qui coule.

et quand tu reprends pied, tu préfères fuir.
le théâtre de tes éclats ou le fantôme de tes regrets.


c'est un autre combattant qui s'approche de la jeune femme. quelque part, il te ressemble. la même lueur sombre dans le regard, la même écorchure et les mêmes blessures. t'es qui ? je t'ai jamais vu dans le coin. une fraction de seconde plus tard. il veut pas te voir. t'es qu'un putain de lâche enzo. tu profites de la cohue et du vacarme ambiant pour te tirer. pour fuir des cris et des hématomes que tu ne supporteras pas. tu te caches à l'abri des tentes, planquées à l'arrière. et t'autorises la nicotine à réveiller les coupures sur tes lippes ankylosées, quand la sueur atténue les heurts dessinés sur ton torse. il est derrière. il crache le type, pas étouffé par la loyauté. c'est un bruissement qui te fait relever la tête et soupirer devant la nouvelle bataille à mener. l'agitation n'en sera pas reine mais tu crains bien plus les uppercuts de langage. tu ne les maîtrises pas. comment tu m'as trouvé ? tu ne la regardes même pas, limitant les dégâts tant que tu le pouvais encore. tu te contentes d'expier la fumée qui gorge tes poumons.

t'es condamné à l'affronter enzo,
et ta sentence sera inévitable.

_________________
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Josie Kerns;

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Josie Kerns



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célibataire, en proie à une langueur qu'elle embarquera dans la tombe. elle vit d'aventures d'un soir, d'autant plus débridées qu'elle leur écarte si peu souvent les cuisses.
danseuse au new york city ballet, prête à écraser les autres jusqu'à décrocher l'étoile. à moins que ce ne soient ses propres secrets qui ne causent sa chute, alors que la nuit, c'est sur les scènes de strip-clubs qu'elle délie ses courbes.
contemporain le jour, effervescent la nuit, pour une double vie.
amos •• leandro •• cez •• nikita •• thelma

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Message Sujet: Re: m'exiler de toi (enzo)   m'exiler de toi (enzo) Empty Mer 9 Fév - 15:00

m'exiler de toi


t'as toujours cru qu'entre vous deux, c'était toi, la prédatrice. toi qui dictais tes termes, toi qui menais la danse, toi qui choisissais quand et comment lui céder. toi qui t'offrais pendant une poignée de minutes divines, juste le temps d'un shot de cette adrénaline, pure, exquise, que lui seul savait te fournir. te donner et t'évaporer, les lèvres gorgées du goût des siennes, repue de lui comme le vampire se détachant du cou de sa victime. un ballet d'une précision millimétrée dont t'étais la pièce maîtresse.

toi la danseuse et lui le spectateur,
lui ta proie et toi la louve.

est-ce que t'as eu tort tout le long, aveuglée par l'ivresse d'un contrôle illusoire, une utopie trop belle pour la laisser filer, trop belle justement pour être vraie ? doute lancinant qui tambourine contre tes côtes, peur panique de t'être faite rouler. le fauve lâché dans l'arène a dépecé celui que tu connaissais et s'est fait un manteau de sa peau, n'en partage que l'apparence. la cruauté n'a rien à faire sur ses traits. le tableau tire sur l'absurde. ce type, cette bête, tu ne l'as jamais étreint. que valent tes souvenirs, planqués si profondément que tu n'oses toi-même plus y plonger la main ? sont-ils de lui ou d'un jumeau créé de toutes pièces ?

c'est injuste, tu le sais. injuste d'attendre des années égrainées qu'elles te le restituent à l'identique. elles te l'ont restitué, déjà. sois-en heureuse. injuste d'attendre de lui qu'il en soit resté au point auquel il t'a laissé, sans souvenirs pour te supplanter ni nouvelles cicatrices. mais t'en as rien à foutre, d'être ingrate, d'être aussi dure et impitoyable que la pointe d'un diamant. parce que l'injustice, c'est lui qui l'a brandie en premier. brandie et assénée comme ses poings qui pleuvent aujourd'hui sur un autre, à la différence près que l'autre a le droit à un égard : les yeux, aussi voilés soient-ils, d'enzo braqués sur lui. toi nejma, t'en méritais pas tant. toi, t'as pas été digne du regard en arrière : t'as juste été victime collatérale de cette fuite muette, l'issue du lâche. réléguée à un vide béant au-dessus du sternum, qui se reflète dans ses pupilles noires lorsqu'enfin les mirettes se croisent.
et les siennes glissent sur toi comme celles d'un étranger, croirait-on sans te voir.

regarde-moi,

c'est le cri qui naît dans ta gorge et y trépasse aussitôt, étouffé par l'environnement hostile qui l'accueille. les mots n'ont aucune espérance de vie ici, et encore moins les sentiments qui en transpirent - ceux-là même qu'on essaie de tuer en vain, agrippés comme des sangsues à leur seul hôte, le traître palpitant. tu n'es pas de celles qui hurlent pour attirer l'attention, tu ne t'y abaisseras jamais. t'as peut-être la férocité d'une bête, t'en es une par bien des égards, mais l'intelligence est humaine, dépasse les émotions et besoins qui veulent prendre le contrôle. l'animal s'y soumet. pas toi. pour le moment, le silence est ta seule arme. t’es figée, stoïque et glacée comme un bloc de marbre, tu retiens même un rictus lorsque sa garde révèle une faille – une bribe d’intérêt, en fin de compte. c’est rien et ça veut tout dire à la fois. l’armure fêlée pour toi, et le rai de lumière que toi seule vois, au travers. rai fugace, disparu aussitôt que tes yeux l’ont capté. l’animalité reprend le dessus, jusqu’à ce que la proie soit à terre. et même là, les coups ne s’arrêtent pas, pleuvent sur la carcasse échue sur le bitume. le félin qui se joue de sa proie, au lieu d’avoir la bonté de l’achever.

l’arène se vide, et t’es toujours là. la façade est d’autant plus impassible que s’engorge ton appréhension. t’avances, on te bloque. non, on t’a jamais vue par-là. probable qu’on ne t’y reprendra pas, d’ailleurs. tu devrais sans doute te soumettre. te casser. pour ne pas énerver le colosse qui t’empêche d’avancer, et pour te préserver de retrouvailles rancies par l’attente. mauvais endroit, mauvais moment.

casse-toi, nejma.


j’en ai rien à foutre de c’qu’il veut. il aura qu'à me casser la gueule si elle lui revient pas. tu t’attends à ce qu’une paume vienne claquer ta joue, réponse adéquate à ton insolence, mais le type te laisse passer à la place. tu ne prends pas la peine de le remercier, ça n’irait pas avec le personnage. tu ne fais que le dépasser, hautaine, glaciale.

et il est face à toi, dans des déclinaisons de rouges, bleus et violets, dans toute la crasse sanguinolente de la violence longuement exsudée. par hasard. le mot claque, la notion vidée de son essence dès lors qu’elle s’envole de tes lèvres. le hasard, tu l’exècres. jamais invoqué, tu comme un secret honteux – et pourtant la seule explication qui tienne la route. quoique certains crieraient au destin. crois pas que j't'aie cherché. langoureux mensonge qui te colle à la peau, nejma. pas que tu aies écumé les rues à sa poursuite lorsque le silence radio est devenu inquiétant, non ; tu ne l'as pas à proprement parler cherché – mais t’as pensé à lui, t’as voulu qu’il revienne, qu’il soit là. t’as trouvé que sans lui les nuits étaient sans fin. t’aurais pu crier son nom sur tous les toits du queens que ça n’aurait pas été un si impardonnable péché,
pas autant que celui de l’avoir laissé hanter ton esprit.

sympa, ton nouveau passe-temps. un peu vulgaire, mais ça se regarde. des paroles vides de sens, c’est tout ce que t’as pour lui, tout ce que tu peux te permettre de lui offrir. les seuls mots qui mériteraient d’être déliés sont ceux de la colère, de l’amertume, cristallisées autour des années d’absence. tous ceux que tu tairas à jamais, gardant des yeux de tous et même des tiens ton plus lourd secret –

le manque de lui.
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