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Ophelia Stark;
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ana de armas bambi eyes (avatar) ☾ dysnomia (icons) -- ares madds (taylor-johnson) ☾ ada gold (asli-pamuk) 97 958 36 le myocarde qui s'innocente, efface les traces de tout attachement qu'il pourrait avoir. pourquoi on t'aimerait, toi plus qu'une autre ? tu aimes pourtant o. tu le tais seulement, laisse la société te souffler les mirages qui t'aveugle. tu l'aimes lui, bien trop fort. ça t'ennivre, et ça te fait mal. les pinceaux qui viennent se greffer à tes doigts, ceux qui rêvaient de dessiner pour s'évader. mais qui jamais ne pourront venir à bout des rêves ... serveuse, t'es reliée à des choses que tu ne saurais nommer. mais tu te tais o, parce que les choses qui t'entoure te dépassent (queens contemporain) famille choisie, et aimée. y'a pas d'autres endroits ou tu te rêverais d'être. drôle de sourires lancés par le destin qui t'a prise en main { moodboard }
d o n e ;
ades --
| Sujet: m o o n // r i s e Jeu 3 Fév - 17:57 |
| save the queens ---- / OPHELIA STARK
33 ans ---- / ACE OF SPADES ---- / ana de armas
identité complète - délicate jeune fille, au grand regard doré qui sur ses parents amourachés ne pouvait s'empêcher de poser. ils ont toujours su le nom qu'ils donneraient à leur fille, dans un dernier semblant de lucidité avant de se perdre, ils se sont accordés l'un et l'autre. sur ce qui paraissait évident, plus encore en posant sur elle leurs yeux pour la première fois. des jours passés à la maternité, dans les bras encore tremblant d'un père qui savait pourtant ce qu'il faisait. { ophelia } d'hamlet, et de ses romans que ton père adorait alors. ceux qu'il ne cessait de venir lire lorsque tu devais te coucher, la voix douce berçant l'enfant aux doux rêves. ce n'est que lui à présent qui le prononce, comme sanctifié dans le chaos que vous avez vécu. { o } nommée par les autres, depuis toujours. simple lettre venant à t'appeler, et ça te convient. parce que ça te ferait pleurer de l'entendre, ton prénom, sur les lèvres d'autres. te ramenant à un passé qui semble n'avoir, jamais existé. { stark } que vous portez tous, unité que tu gardes au plus profond de toi. celle qui n'existera plus jamais. qu'est-ce qu'un nom de famille, qu'une forme d'appartenance ? t'a jamais rien demandé d'autre pourtant, qu'être ce que vous aviez étés. mais maman n'a jamais été capable de s'accrocher, ton frère lui t'a oublié. et il ne resta plus que ton père, et toi. toi qu'il à trop de mal a regarder, sans que tu ne comprennes vraiment pourquoi. lieu de naissance et origines - si t'es pa née dans la ville qui ne dors jamais, { la havane } estampillé sur tes papiers. c'est tout le reste qui cri ton américanisation, ton accent, ta façon d'être. c'est ici que tu t'es épanouie, et pas là bas. t'en oublie pas pour autant les origines qui auraient du te bercer, celle abandonnées par des parents rêvant de nouveauté. rêvant d'un monde nouveau, sans jamais imaginer le cauchemars que cela allait devenir pour eux. études ou métier - princesse aux rêves plus grands qu'elle, t'a jamais été capable de vraiment te connecter à la réalité. rêvant la vie qui t'entourait, t'imaginant des châteaux et des batailles dans la cours de récré. c'est ceux-là même que tu dessinais déjà alors, sur les murs, sur les morceaux de papiers que l'on te laissait. tu pouvais passer des heures, et des heures à griffonner. les romans que t'inventait des milliers de fois, en demeurant l'héroïne. les rêves doucement ont du s'effacer, se confronter à la réalité qui sans cesse venait frapper. ta mère évanouie aux pieds de ton lit. ton père éreinté, incapable de ramener assez d'argent. et ton frère, qui s'amusait lui a jouer les méchants ... t'a du te réveiller ophelia. la douche froide pour venir relever, celui qui t'a tout donné. les études que tu voulais faire oubliées, envolées, et remplacées par la vigilance constamment nécessaire pour que ta mère ne replonge pas. t'a échoué alors, tant de fois. trop de fois, que tes larmes ont ravagées ton visage. les traitements inefficaces, les isolations à répétition, et les factures s'accumulant. t'a pas vraiment eu le choix, t'installant d'abord dans les quartiers touristique pour dessiner les passants et obtenir quelques billets. et puis ensuite, comme suite logique venant servir des cafés aux premiers levés, jusqu'au levé du jour pour pouvoir t'occuper de la maison dès l'instant ou ton père partait. tout ça n'a jamais suffit, tu n'a jamais suffit. { serveuse } les bouteilles qui jonglent à présent, à la place des pinceaux. c'est d'autres tableaux qui prennent vie sous tes orbes, t'es là pour compenser les dettes familiales accumulées chez les dvk-99. connaît sur le bout des doigts, les pêchés mignons de ceux qui parfois encore te font trembler de peur. t'es pas capable pourtant, d'oublier vraiment, ce qui fait de toi la personne que tu es. trop douce dans ce monde, tu t'enfermes plus encore dans tes peintures, pour oublier la férocité dont tu demeures témoin. orientation sexuelle - c'est des princes que tu tombais amoureuse, ceux venant sauver les princesses. rien n'était plus prévisible que cela ... et pourtant, c'était ses histoires là qui venaient alimenter ton coeur bien trop romantique. statut civil - t'a jamais vraiment compris les regards que l'on pouvait parfois poser sur toi. t'a préféré ignorer ceux que les adultes avaient ... dans ta bulle ophelia, tu t'es protégée comme tu le pouvais. persuadée alors que tu ne pouvais pas attirer de regards, que tu ne pouvais pas être visible aux autres. invisible, pour te protéger. pour ne pas tomber amoureuse, pour ne pas être aimée, ne pas être abandonnée. terrassée par cette peur, que la vie vienne trop te bousculer. te sortir de ses rêves éveillés. et si t'ouvrait les yeux ... tu ne pourrais plus jamais sortir de chez toi. tu te camoufle, et tu fais la sourde oreille. { sauf quand il est là. }sauf quand tes orbes se glissent sur sa silhouette, sur ses pas que tu reconnais au milieu des autres. c'est que t'a peur parfois, de te trahir par les simples battements de ton coeur en sa présence. pour lui tu voudrais devenir visible, l'unique personne qu'il puisse voir dans cette vie que vous arpentez pourtant ensembles. pi, scénario ou prélien - personnage inventé.
traits de caractère / t'a jamais vraiment eu la possibilité d'être, celle que tu aurais du être. constamment rappelé aux côtés des autres, pour les seconder, leur donner l'amour dont ils avaient besoin. { ta douceur } comme remède à tout les mots, ceux qui déchiraient les âmes. t'a seulement tenté de les réparer, les apaiser. depuis que tu es née, les étoiles autour de toi s'amusent à danser. pour venir adoucir chacun de tes traits, ceux qui sont à jamais { bienveillants, aimants }. c'est tes rêves qui te portent, ceux que tu dessinent dès que tes mains sont libres, { rêveuse } pour te protéger de la réalité, mécanisme enclenché dès que t'a compris ce que c'était, de vivre. ou plutôt, survivre. trop de fois, { ta discrétion } t'a sauvée, même enfant. jamais les pleurs ne coulaient. jamais les cris ne venaient. ophelia, tu essaye de t'effacer. ophelia, tu essaye à peine d'exister. pour que les autres brillent.
save the queens ---- / TELL ME MORE
once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share 01. t'a cinq ans, dans les bras de maman. tout vacille, et tu t'agrippes au tissus de sa robe. ses cheveux qui sentent bon d'ordinaire, viennent chatouiller tes paupières, nauséabonds. elle rigole, maman. s'esclaffe, comme jamais tu ne l'a vu faire. et toi, ça te ferait presque sourire de la voir comme ça, heureuse. tu n'es pas encore assez grande pour te demander si elle l'est vraiment. tu n'es pas encore assez grande pour te rendre compte, de ce qu'elle est, réellement. tu t'accroches, pour ne pas tomber. ta poupée, serrée contre ta poitrine. tandis que vous vous aventurez dans des rues que tu ne connais pas. c'est bizarre, parce que papa t'avais promis de venir te chercher ce soir. que vous iriez à la bibliothèque, choisir le livre des prochaines soirées. et toute la journée tu a répété, que ce soir c'est un dragon qui t'endormirait. dans ta tête déjà, tu le voyais. cherchant le nom que tu lui donnerais, pour qu'il soit celui te gardant en sécurité avant que le prince ne vienne te chercher. mais c'est maman qui t'attendais, les bras grands ouverts et le sourire scintillant. « il est ou papa ? » que tu demandes encore. et maman râle, te dit que dans la vie il n'y à pas que papa. que lui ne sait pas ou s'amuser, mais que elle, elle sait. commence à vous faire danser, vous faire tournoyer en chantant. t'a toujours aimé la voix de maman, douce. mais on ne dirait pas la sienne qui t'enveloppe, mais celle d'une autre. maman est différente. maman est malade. mais rien ne t'y prépare encore. rien ne te préviens, que c'est peut-être la dernière fois que tu à vu maman, sourire autant. la dernière fois qu'elle t'a fait rire de cette façon. ce rire innocent, venant rejoindre celui de maman. 02. tes doigts sont des pinceaux. ceux que tu appose sur les toiles, pour créer un mode qui ne t'échappe pas. tu contrôle les rêves que tu fabriques ophelia, bercée par les illusions qui viennent souffler contre tes oreilles qu'ainsi tout ira bien. dans ton monde, sans cesse. c'est ainsi que tu repousses les autres, ceux qui vers toi se faufilent et tentent de s'accrocher. tu t'imagines que tu seras mieux seule, accompagnée de ses amis que tu créer à ta guise. eux qui jamais ne t'abandonnerons, eux qui jamais ne feront ce que les autres font. c'est sur les toiles que tu peints depuis ton plus jeune âge que l'on imagine qui tu es, tu ne parles pas beaucoup. te fais la plus petite possible pour qu'on t'oublie, parce que tu ne veux pas attirer l'attention. tu fuis les regards, et les attentions. il n'y à que ton père qui te vois vraiment, ramène pour toi des gouaches après ses longues journées de travail. vient poser sa voix à tes côtés, pour te compter les histoires que tu aimes tant écouter. t'a pas eu d'autre choix que d'être indépendante ophelia, maman trop occupée à se perdre dans son propre monde. aaron qui n'a eu de cesse de s'enfermer à son tour. et papa ... papa qui ne voit pas que tout lui échappe, et essayer de maintenir vos mondes tous ensembles. car il n'y à que grâce à lui que vous arrivez à survivre, et t'es peut-être là seule à la voir ; cette vérité. 03. t'a dix ans, quand maman s'écroule devant l'entrée de la maison. il n'est que trois heures de l'après-midi, et ton coeur menace d'exploser. parce que lorsque tu l'appelles elle ne répond pas, parce que t'a l'impression qu'elle ne respire plus. maman n'es plus. mais la panique laisse rapidement place à la lucidité, t'a vu papa le faire plusieurs fois. trop de fois, t'a imaginé qu'elle était morte. tu te rappelles ophelia, et tu répète les mêmes gestes. essaye longuement, durement, de la porter jusqu'à l'intérieur de la maison. parce qu'elle est lourde, parce que tu n'es pas assez forte ni assez grande. mais tu le fais. tu la nettoie, enlève la terre, la boue, les marques que tu ne connais pas, son vomis. tu la change, la coiffe. l'enveloppe dans une couverture chaude. l'aide à boire, a manger, avant qu'elle ne retrouve le sommeil lourd. et tu lui raconte, de la même façon que fait papa, les histoires de ton monde. espérant qu'elle vienne calmer le sien. 04. écrire ici. 05. a d r y e n. tu te souviens lorsqu'il est apparu, derrière papa. t'a plus eu envie d'être invisible ophelia, t'a voulu qu'il te voit. tremblante peut-être, silencieuse. mais incapable de détourner le regard. trop intriguée par ce qu'il dégageait. t'a eu envie de tout connaître de lui, et qu'il connaisse tout de toi. sans être capable de vraiment le dire, sans être capable de vraiment lui parler pourtant. souriant, naïvement. bêtement. t'a pas compris ce qui se passait, ce qui en toi était en train de naître. au fur et à mesure de ses fois, ou tu l'a vu. ou tu lui a parlé. ophelia t'es tombé doucement amoureuse, d'un jeune homme qui n'avait pourtant rien à voir avec toi. et sans cesse ensuite, fut-il le seul a intégrer les histoires de ton monde. le seul à qui tu avais envie de parler, le seul avec qui tu voulais passer du temps, même sans prononcer un mot. le seul que tu ne cessais de dessiner, dans la marge de tes cahiers. 06. je ne sais pas si l'on me voit vraiment. j'ai passé tellement d'années à me cacher, que parfois j'oublie qui je suis vraiment. ne soit pas triste de lire ses mots gideon, il s'agit seulement de la réalité dans laquelle j'ai toujours refusé d'évoluer. je crois que je n'ai jamais été capable de vivre pour moi, jamais capable d'apprécier les choses pour moi. toujours présente pour ma mère et ses multiples overdoses, sans cesse en train de soigner les blessures de mon frère. même mon père, je me suis toujours efforcée d'être sans ratures pour que je ne sois pas un problème de plus sur ses épaules ... mais c'est ce qui fait de moi, la personne que je suis maintenant. et j'ai peur. j'ai peur d'essayer de vivre, et que tout s'écroule. j'ai peur de laisser mon monde derrière moi, celui dans lequel je me réfugie à chaque fois, pour essayer de comprendre celui dans lequel on vit. souhaites-tu que je ramène tes cookies préférés, lors de ma prochaine visite ? 08. et ton monde à pris un autre tournant. quand l'enfer t'attendais c'est autre chose que tu a trouvé ophelia ... t'a pas abandonné les rêves collés à ta carne. mais certains d'eux, t'ont trouvée toi. cinq âmes imaginées pendant tant d'années, venues se confronter à la tienne sans te laisser même le temps d'y penser. sans te laisser le temps de disparaître, pour qu'ils t'oublient. save the queens ---- / BEHIND THE MASK
tica ---- / 30 ans ---- / rpgiste
ville - mpt, bopolola études ou métier l'admin, l'admin, l'admin avis général sur le forum - le détail qui t'a fait craquer - les marauders fréquence de connexion - h24. crédits des icons - pinterest. le mot de la fin - on laisse la place à marlene - Code:
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[b]ana de armas[/b] / [i]ophelia stark[/i] |
| | | Eileen Barnes;
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| Sujet: Re: m o o n // r i s e Jeu 3 Fév - 17:59 |
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| | | Altan Payne;
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kerem bursin foolish blondie (avatar/gif) elijah, declan 90 947 40 volage destructeur, de ces êtres abandonnées sans même regarder en arrière avocat, des mots faire naitre les émotions, peut importe la vérité, seulement compte le verdict en sa faveur
| Sujet: Re: m o o n // r i s e Jeu 3 Fév - 18:11 |
| non mais c'est quoi ce perso que tu nous fais là cette douceur cette femme ce tout je die tellement complètement d'elle et puis avec ades et tout je fond je fond je fonds |
| | | Invité;
Invité - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
| Sujet: Re: m o o n // r i s e Jeu 3 Fév - 18:13 |
| quelle douceur for real blblblbl on va enfin pouvoir s'aimer un peu, c'est pas trop tôt |
| | | Betsi Braxton;
-- blow a kiss, fire a gun -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
peltz. balaclava - av | self - sign. brynn - o'neil | cez - o'connell | kurtis - king | oona - piekarz | sage - gauthier | sonny - bador | tad - piper. 11788 1082 29 le coeur baroudeur et l'amour fugitif. t'aimes pas qu'on te retienne, t'aime pas qu'on revienne. c'est une danse perpétuelle entre toi, les émois éphémères et les désirs vagabonds. vendeuse dans un sex shop. en proie aux vicelards qui s'la ramènent face à la blondinette au visage d'ange, les regards lubriques au détour des rayons de DVDs pornographiques et les coups d'oeil incisifs des bonhommes graveleux. un terrain de jeu. pernicieux. fétide. immoral. ( m o o d b o a r d )
| Sujet: Re: m o o n // r i s e Jeu 3 Fév - 20:00 |
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| | | Nihjee Wang;
-- l'amer à boire -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
choi yeonjun. mayumi (av), prettygirl (sign). anan. 331 1292 24 célibataire dont les attaches ont du mal à prendre. certaine lassitude qui s'installe après les premières découvertes, quand on se connait trop vite. peut-être que les peurs sont trop profondes, les plaies trop béantes, pour s'accrocher vraiment. étudiant en troisième année de licence sciences de l'éducation. un an de retard pour avoir redoublé en arrivant ici. pour les gamins paumés, il se dit qu'il peut, peut-être, montrer l'exemple. peut-être. le queens huppé, bien caché derrière les grandes baies vitrées. c'est tôma qui a pris cette colocation avec ses moyens affligeants.
| Sujet: Re: m o o n // r i s e Jeu 3 Fév - 21:00 |
| rebienvenue |
| | | Scylla Velcoro;
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hannah snowdon merci à kaotika (ava) blast. (gif) waldosia. (fiche rp) 269 2424 29 (and if you want to use me i could be your puppet)
nikita - freddie - kurtis - zym - you?
| Sujet: Re: m o o n // r i s e Ven 4 Fév - 20:25 |
| elle est plus douce qu’ares (jdec riri c’est une crème en plus) qu’elle est belle et que je veux en lire plus?? (pcq c’est toujours un puté de plaisir de te lire hein ta plumette magnifique là) genre donnez lui le monde svp oh et rebienvenue chez toi eh |
| | | Kaan McDonald;
-- what you hide controls you -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
jordan calloway. waldosia. kemen. 844 1032 33 éternel éconduit de l'amour. ex-basketteur aux rêves avortés. reconverti en interne en médecine d'urgence. kurtis - you ? - you ? - you ? - you ?
| Sujet: Re: m o o n // r i s e Ven 4 Fév - 23:48 |
| re-bienvenue par ici |
| | | Terrence Figueroa;
-- défaite de famille -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
nick hargrove. all souls. 4339 1232 29 le coeur volage à l'image de ta vie. tu glandes quand tu n'te la joues pas, tour à tour, serveur, ou vendeur dans une station essence. jusqu'à t'implanter dans les écrans de la télé-réalité. oksana - shaye (3) - toi ? - toi ? - toi ?
| Sujet: Re: m o o n // r i s e Sam 5 Fév - 0:01 |
| re-bienvenue à toi sur stq |
| | | Ophelia Stark;
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ana de armas bambi eyes (avatar) ☾ dysnomia (icons) -- ares madds (taylor-johnson) ☾ ada gold (asli-pamuk) 97 958 36 le myocarde qui s'innocente, efface les traces de tout attachement qu'il pourrait avoir. pourquoi on t'aimerait, toi plus qu'une autre ? tu aimes pourtant o. tu le tais seulement, laisse la société te souffler les mirages qui t'aveugle. tu l'aimes lui, bien trop fort. ça t'ennivre, et ça te fait mal. les pinceaux qui viennent se greffer à tes doigts, ceux qui rêvaient de dessiner pour s'évader. mais qui jamais ne pourront venir à bout des rêves ... serveuse, t'es reliée à des choses que tu ne saurais nommer. mais tu te tais o, parce que les choses qui t'entoure te dépassent (queens contemporain) famille choisie, et aimée. y'a pas d'autres endroits ou tu te rêverais d'être. drôle de sourires lancés par le destin qui t'a prise en main { moodboard }
d o n e ;
ades --
| Sujet: Re: m o o n // r i s e Dim 6 Fév - 10:38 |
| merci pour vos petits mots, les petits coeurs je m'attèle à la suite, je suis à la bourre comparé aux autres là |
| | | Contenu sponsorisé;
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| Sujet: Re: m o o n // r i s e |
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