SAVE THE QUEENS
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 god must hate me - evy

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Altan Payne;

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Altan Payne



kerem bursin
foolish blondie (avatar/gif)
elijah, declan
90
1014
god must hate me - evy Adamaikel03
40
volage destructeur, de ces êtres abandonnées sans même regarder en arrière
avocat, des mots faire naitre les émotions, peut importe la vérité, seulement compte le verdict en sa faveur

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Message Sujet: god must hate me - evy   god must hate me - evy Empty Jeu 3 Fév - 15:58

save the queens ---- / Evelyn "EVY" Bass

32 ans ---- / ace of diammons ---- / zoe kravtiz

identité complète - E V E L Y N, de cette Eve dont tu n’as jamais eu que le prénom, de cette identité jamais vraiment tienne. Seulement un prénom, seulement un moyen de te dompter, de renforcer l’idée du péché originel naissant au sein de toute femme. De ces créatures qui n’auront jamais qu’une place inférieure dans cet univers. De ce qu’il disait, toujours, renforçait de son emprise sur toi, sur toutes celles qu’il considérait comme siennes, jusqu’à ce que tu appartiennes à un autre. Parce que c’était cela le deal d’Evelyn, n’être qu’un écrin destiné à pousser des marmots, à tenir son foyer et se la fermer. Comme les autres, comme toutes ces autres. Loin d’être unique une Eve parmi tant d’autres dans cet univers qu’on a tenté de t’imposer. B A S S, à t’en faire frémir, Bass à t’en faire trembler. Ça déglutit dans ta gorge quand c’est prononcé, jamais par toi, plus depuis des années. Relégué au rang de vestige, de ce qui existait auparavant mais plus maintenant… Bass, lui et ce pouvoir entre ses doigts, cette prestance, sa tyrannie. Bass, eux, tous autant qu’ils sont de ces cauchemars dont tu ne parles pas. De cette peur enfuie dans les tréfonds de ton être. Rayé le nom, rayé ton appartenance à cette famille qui ne l’est plus. Rejet du passé pour mieux avancer, tenté en tout cas. Pour ne pas devenir un pantin de plus. Evelyn Bass, gamine disparue. T’ont-ils seulement cherché ? Sans doute pas… Pas assez loin, parce que t’étais censé être de ce sexe faible qui accepte tout sans broncher. Parce que t’étais censé être la parfaite petite fille et ne rien attendre de l’existence. Parce que te retrouver venait à compromettre le système même de leur fonctionnement. E V E L Y N    B A S S, la gosse qu’on a certainement préféré oublier, faire disparaitre pour ne pas insister d’autres à suivre ton exemple. I V Y, le poison, la vérité, celle qui se crache, celle qui se montre, celle qui s’exprime. evy, trois lettres proches de l’envie, proche du pire parce que c’est ce que tu veux inspirer, ne plus jamais être une petite chose fragile mais un venin s’enfonçant dans les veines d’autrui. Parce qu’il vaut mieux détruire que se laisser détruire n’est-ce pas ?  lieu de naissance et origines - H O O D   R I V E R, petite ville dans l’Oregon. Là ou autre part est-ce que ça aurait fait une vraie différence ? Est-ce que ça aurait changé quoi que ce soit à la suite ? Pas tellement, pas vraiment. T’as toujours vu la grosse pomme comme l’échappatoire rêvée, la seule finalement. Parce qu’on te retrouverait pas dans une ville si peuplée et t’as pas totalement eu tort finalement… Le mélange fait par l’Amérique, de ces personnes différentes qui se rencontrent, se trouvent où sont plutôt contraintes de se retrouver. T’es un mélange reproduit à des propositions trop grandes, parce qu’on oublie ce que c’est le préservatif. T’as des origines A F R O  - A M É R I C A I N E S ,   A F R O  -  B A H A M I E N N E S   et J U I V E S   A S H K É N A Z E S. Mais t’as jamais trop cherché à savoir ce qui pouvait bien te relier à eux… T’es réinventée, plus vraiment de là-bas, uniquement de ce Queens, de cet immeuble où tu l’as trouvée ta vraie famille même si tu préférerais crever que leur avouer… études ou métier - De cette école dont on t’a trop tôt retirée, pour cette fausse école à domicile ne servant qu’à te transformer en bonne petite femme d’intérieur. Parce que le savoir conduit au questionnement et ce n’était pas bon pour eux hein ! Que tu puisses remettre en question leur façon de faire, de penser, d’imaginer ton existence à ta place. De ces manquements que tu combles par ta grande et merveilleuse personnalité. De ne jamais laisser entrevoir tes failles jamais. Toi si enclin à entrer dans celles d’autrui. De cette souplesse naturelle, de tes doigts graciles, de ton corps détournant l’attention. Acrobate des temps modernes, parce que V O L E U S E c’est une insulte à ta grandeur. De ces facilités avec lesquelles tu t’adaptes aux situations, de ce qui se fait aisément finalement. Pourquoi ne pas prendre quand le monde n’a jamais voulu te donner ? D K V  - 9 9 de cette bande pour qui t’es prêt à tout, de tes débuts incertains à celle que tu es maintenant. T’es le chat errant sur les toits s’étant peu à peu laisser apprivoiser sans pour autant avoir accepté un quelconque maitre. T’es la seule à décider de ta personne et de qui t’es prêt à aider.  orientation sexuelle - L’homme que t’aurais tellement aimé pouvoir rayer de ton régime alimentaire. T’en défaire totalement, pour ne plus jamais à devoir fréquenter ceux qui trop souvent ont tenté de te bafouer mais t’es incapable de pas te laisser entrainer dans la danse des corps à corps. De ce que tu conjugues aussi au féminin, de cette B I S E X U A L I T É parfaitement assumée. De ce qui au fond ne compte plus, ne compte pas quand dans le palpitant t’as qu’un seul type, qu’un seul nom que tu t’éloignes au gré de ses autres contre lesquels venir se frotter. Parce que tu le mérites pas lui, parce que t’as détruit sa vie alors t’en viens à consommer dans l’outrance, dans cette même non envie, de te perdre avec n’importe qui le faire dégouter lui. T’en crèverais de le perdre mais tu le sais bien que t’es pas assez bien pour L  U Istatut civil - Brûlure du palpitant. G I D E O N depuis le premier regard, depuis le premier instant où t’as décidé que vous deux ça se ferait pas. parce qu’on couche pas dans la bande n’est-ce pas ? Parce que tu voulais pas être une meuf pour eux mais un membre. Mais comment empêcher l’inévitable hein ? Comment se détourner de l’évidence ? Et de cette tentation pulsion là, de vous deux, de cette guerre dans votre grand huit. De vos corps à corps, de vos cœurs et de vos engueulades. Parce que t’es incapable de la lui donner totalement ta confiance, de te laisser attacher à un seul homme, de devenir cette femme que t’as tant essayé de fuir. De ces blessures de l’enfance qui viennent compliquer ce qui pourrait être d’une si grande facilité. Tu veux pas être chose entre ses mains, tu veux pas être sienne, pas être sa protégée parce que compté sur autrui c’est prendre le risque de souffrir. Alors tu merdes, trop souvent tout comme lui. De vos incertitudes qui rendent le tout volcanique, de la destruction massive dont t’es pourtant l’unique responsable. De cette fois trop où vous n’étiez plus, de cette fois trop où t’as tenté de le rendre jaloux, réussi, de ton attitude de dévergondée assumée, dans les bras de cet autre. De la scène passant au ralenti, de ce type presque mort devant cette jalousie que t’as trop cherché hein… Et de ce qui te ronge depuis qu’il est plus là, enfermé dans cette taule loin de toi. T’as détruit sa vie pour un bout de jalousie et de cette certitude qui vient que jamais tu seras assez bien pour lui, assez pour pas le briser, pas le détruire. Alors t’en viens à tout détruire pour plus lui laisser le choix de t’abandonner, de définitivement te laisser, de trouver une fille qui finira pas par le tuer. Parce que t’es un putain de poison Evy et tu refuses dans ses veines de l’enfoncer. Parce que t’aimeras jamais personne comme tu peux l’aimer… Mais que t’es trop bousillée pour être sa destinée. pi, scénario ou prélien - personnage inventé à plusieurs mains .
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
traits de caractère / Bombe humaine, on te manque pas de ta franchise qui fait mal parfois. De tes propos pas toujours travaillés, t’as un poignard dans la langue et jamais tu t’excuses. Parce que t’es pas une faible hein, oh non, tu le montres tout le temps, tu tentes de le prouver avec tellement de force, tellement de véhémences. De ton doigt du milieu qui se lève trop aisément, de ce côté animal enragé, t’es capable de te lancer sur n’importe qui. T’as pas de limites, tu te refuses d’en avoir, comme si le fait d’en avoir faisait de toi une faible. Et tu te refuses à en avoir aucune, tu te l’interdis au point d’en arriver à faire des conneries de ce mauvais entêtement. T’as jamais tort de toute manière hein ! C’est le monde qui merde jamais toi. T’es dans l’excès de l’existence, trop de fêtes, trop de tout, l’exubérance de ceux qui ont le besoin d’exister. T’es pourtant loyale envers ceux qui t’ont apprivoisé assez, et tu t’en veux en même temps de pas être totalement seule. Dépendre des autres c’est un putain de phobie. Ça réveille ses failles profondément ancrées dont tu parles jamais. De celles que t’a réussi à effacées derrière cet écran de confiance en toi. Ouai, personne pourrait croire que tant manque dans le fond quand tu te moques de l’avis des autres. Mais ces failles sont là, t’empêchant même d’être totalement toi-même. Parce que si t’acceptais ton côté plus humain, t’aurais peur de redevenir cette femme passive, devenir ce néant. Alors oui, t’évites les effusions de sentiment, tu hurles plus que tu n’aimes. T’as horreur qu’on remarque tes côtés attachants. C’est mieux de se faire haïr qu’aimer. T’es l’explosion qui ne s’arrêtent jamais. T’as pourtant des bons côtés, t’écoutent et tu retiens. T’es pas du tout là bonne personne pour réconforter autrui, ça te met mal à l’aise ce genre de choses. T’es douce parfois, là, avec lui, de cet amour qui te rend chose, de tes faiblesses que t’es toujours presque sur le point de lui montrer. T’es un bordel sans nom, déglinguée mais pas une mauvaise personne, non ça non. De cette sensualité presque naturalité, tu attires de ton regard, de cette « confiance » dégagée. T’es une séductrice qui cherche pas forcément à l’être. Y a que dans le job que t’arrives à te contrôler assez, à te canaliser pour les misions. De ce jeu avec la légalité qui te réveille les tréfonds de l’être. T’es précise, calme, réfléchie, tu penses avant d’agir. Par contre t’es pas la meilleure pour respecter le côté faussement leader d’Ades. T’aimes pas les ordres, faut savoir comment te parler. Dans le fond t’essayes seulement de faire survivre la gamine de 14 ans qui a fui à vivre allure. T’es dans cette survie qui a peur de s’arrêter pour réapprendre à vivre totalement.

save the queens ---- / TELL ME MORE

once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share
la main sur la nuque. quand est-ce que tu as commencé à comprendre ? Quand est-ce le moment exact où tu as su que tout n’était pas normal ? Que le monde dans lequel tu vivais ne ressemblait pas à celui d’autrui ? Que tes frères jouant dehors et toi contrainte de faire la vaisselle, ce n’était pas la vision normale d’une famille. Que les mots de la bible n’avaient pas la bonne saveur. De ces versets corrompus pour mieux correspondre à ses idéaux. Quand est-ce le jour où tu as vu ta mère sursauter pour la première fois. Compris ce qui se cachait derrière sa tête baissée, derrière ce regard ne rencontrant jamais le sien. Toujours courbée, s’excusant même d’exister. De ses mains s’accrochant contre le rebord de l’évier pour soutenir sa violence qui ne prenait jamais la forme des gestes. Non, tout n’était que des mots maux, de cette voix changeant d’intonation. De tout ce qui se trouvait pervertit dans sa bouche. Combien de fois ne t-‘a-til pas dit qu’elle était ta place ? Que tu devais être parfaite dans ce silence, comme si tu n’avais pas le droit d’exister. Que tu ne vivais que pour le servir et puis un autre après lui… Qu’il te reprochait d’être presque trop jolie, qu’il plaignait d’avance ton futur mari de devoir observer le regard d’autres sur toi… Que tu n’étais qu’une idiote qui devait suivre ses idées parce que tu ne pouvais penser par toi-même. Et sa main contre ta nuque pour que tu te tiennes mieux, pour mieux te contrôler, toi sa petite poupée. La moins docile de la bande. Et tu te souviens de sa voix colère, de ces moments passés dans ce placard pour te remettre les idées en place. De tout ce que tu ne faisais jamais assez bien. De tes extravagantes tuées dans l’œuf… Et puis tu te rappelles elle, le moment affreux, de tes 13 ans l’apercevoir, cette sœur de quelques années seulement ton ainée. Installée devant son évier, la marmaille déjà trop importante à table et cet époux attendant d’elle la même dévotion qu’elle avait toujours offert à votre père… Et la même souffrance cachée, la même peur. De ce cycle sans fin, des idées inculquées pour que jamais vous ne pensiez à voir ailleurs. De ce courage folie qui t’a saisi un matin quand tout le monde dormait encore. Des maigres affaires ramassées, des chaussures d’un de tes frères que t’as piqués et de tes pas. Là devant cette porte, de ces mots te retenant plus fort que n’auraient pu le faire ses bras. Et finalement de cette porte s’ouvrant et toi courant, à en perdre haleine, courant encore et toujours. Ne t’arrêtant pas avant d’avoir si mal au pied que t’aurais pu t’effondrer sur le sol. Avant d’être certaine qu’on ne retrouverait pas. Qu’il ne serait plus jamais là pour t’articuler telle une poupée… Que tu ne deviendrais jamais une chose effrayée devant son évier…

l’adn ne fait pas la famille. Tu te souviens du gout ferreux du sang dans la bouche, de cette personne que t’as essayé de voler, t’étais pas aussi douée à l’époque, t’as fait tomber une pièce, idiote. De ses mains sur toi, de cette envie de te faire aller à la police et de toi, te débâtant plus que tout. parce que tu te moquais bien de finir tes jours en prison mais devoir retourner chez les Bass, t’en aurais crevé la gueule ouverte. Trop d’efforts, trop de temps, trop de pas, de ses jambes qui te portent à peine, de cette faim te tiraillant le ventre. Parce que c’est pas aussi beau, pas aussi parfait que tu l’imaginais, cette vie à se cacher, cette vie à chercher un endroit où te poser au moins rien qu’un instant. De ses rencontres qui n’ont fait que renforcer ton aversion pour l’homme, de ses aides déguisées en tout autre chose. T’avais que 14 ans, tu faisais sans doute déjà plus, que des connards, que des crevards. Et lui, monsieur beau gosse ténébreux qui passe par là, qui te regarde, t’aide et le reste tu sais plus très bien. De cet état un peu entre deux, plus tellement présente, pas encore absente. De sa proposition là de dormir sur son canapé, de tout tes sens te criant de refuser mais t’étais acculée, au bord d’un précipice, de cette faim trop grande, de cette fatigue hurlant au report et finalement de ce trop-plein, pour tes frêles épaules. Et tu lui as jamais dit à Ades que t’avais passé un mois tout entier à dormir avec un couteau pris dans sa cuisine s’il tentait de faire du mal dans ton sommeil. Que t’as mis des semaines avant de vraiment dormir, des mois avant de lui accorder rien qu’un peu ta confiance. T’as jamais avoué à quel point t’aurais certainement fini par crever sans lui. Combien il compte pour toi, plutôt crever hein que de lui dire que c’est ton frère, ta famille, ton ancre… Trop fière pour le reconnaitre. Et que même si vous vous frappez comme des bêtes enragées, vous vous aimez plus que tout. T’arriveras jamais à lui dire tout cela mais d’un regard il le sait n’est-ce pas ? Combien il compte pour toi, de vos natures pas très enclines à l’effusion sentimentale. Et les autres, non plus tu le diras pas comme ils te font du bien. Combien c’est étrange pour toi de t’entendre si bien avec d’autres gars, d’être comme eux, un tout formé par les évènements. De la promesse faites avec Ares de pas se foutre en l’air quand vos vies perdaient leur sens. Et puis mêmes elles, les deux étrangetés dans votre univers. Princesse et Fantôme, trop fleurs bleues et délicates pour toi. T’as jamais compris pourquoi elles te regardaient toujours comme une espèce étrangère, prête à te suivre quand tu ne l’avais certainement pas demandé. Et même si t’as envie de bâillonner Euphémia 99% du temps et que t’aimerais qu’O arrête de se figer dans l’existence, tu les apprécies quand même. Mais tu crèverais avant de l’avouer tout cela… Parce que tenir à quelqu’un c’est prendre le risque de souffrir et ça, tu ne veux plus, pour le restant de tes jours. Et pourtant, t’es déjà bien trop attaché à eux. Tu serais prête à crever pour chacun d’entre eux, à te sacrifier, parce que petit à petit, ils t’ont apprivoisé toi le chat errant. Et finalement t’en viendrait presque à les considérer comme les tiens, eux, belle brochette d’inadaptés, plus enclins aux conneries qu’à la vie.

la boite aux lettres.  T’étais foutu depuis le premier baiser, peut-être même avant, depuis le premier regard, le premier instant où t’as vu ses yeux là, son petit regard de travers, ce côté un peu étrange et totalement plaisant. Est-ce que c’est une maladie l’amour ? Tu te le demandes de plus en plus, parce que t’es gravement atteinte, bien trop pour ton propre bien, pour son bien surtout. Pourquoi tu peux pas être comme tout le monde Evy ? Pourquoi pas tu peux pas te contenter de vos bons moments ? Quand vous dansez comme des fous sous la pluie sans en avoir rien avoir à faire du monde ? Quand il vient te serrer contre lui la nuit. Quand la vie est si belle parce que tu la partages avec lui ? Pourquoi t’as ce besoin de tout faire foirer ? Pourquoi il l’a aussi… De cette confiance que t’as jamais trop su comment la donner. Parce qu’il a un truc entre les jambes, fait partie de ces hommes et t’as toujours cette rage, cette peur de leur donner trop et de devenir cette femme en train de frémir sur le bord de l’évier. De tes doutes passés qui renforcent votre relation en dent de scie, de ton caractère de merde qui fait que le renforcer hein. Et lui ? A rompre tout autant que toi… De ses propres doutes qui font que renforcer les tiens. Va te faire foutre, votre je t’aime à vous, de votre relation qui ressemble à aucune autre. Parce qu’ils savent se barrer vos potes quand vous commencez à vous embrouillez, que vous criez autant pour vous déchirer que pour vous réconcilier. De votre routine mauvaise mais la vôtre. De toi, de ce besoin de plaire pour quoi ? Pour te prouver que tu ne lui appartiens pas quand dans tes tréfonds, t’en as envie d’être sienne, uniquement sienne. Et tu la revois si souvent cette scène, tu te la repasses en boucle comme un disque rayé. De cette tenue provocation du premier type à t’aborder, de ta langue dans sa bouche, de ses mains sur toi. De ta tête en train de crier que c’est pas de lui que t’as envie, de tes peurs qui te poussent dans le mauvais chemin, à t’en détruire, à le faire jalouser, à le faire regretter d’avoir osé te laisser alors que t’as seulement envie de le voir revenir… Mais t’avais pas prévu de le pousser si loin, de ce sang autour de vous, de tes bras qui tentent de l’arrêter, de sa rage presque mortelle, du gars presque en train d’en crever, de ses coups à lui. De ta réaction de perdue là, de venir l’embrasser comme si ta vie tout entière dépendant de ses lèvres à Gideon, de lui dire de fuir, de voir que le temps manque. Parce que les flics étaient pas là, de le voir plaquer contre le sol, d’hurler, de pleurer, de te débattre, de le mordre ce poulet, d’être un animal enragé pendant que tu assites impuissante à sa fin, là, à l’arrière de la voiture. Et toi ? ils te laissent là, et tu passes combien d’heures dans ce noir, près cette marée hémoglobine. Tu passes combien de temps à chercher quoi faire maintenant… Et de ces mots que tu laisses là, à Ades, sur son téléphone, de tes mots se perdant, déboussolée, du couperet de votre réalité. De sa peine à purger, de Ades qui te fait sortir de force du tribunal après le verdict. De tes semaines sans presque rien avaler si ce n’est de l’alcool et des somnifères. De tes millions de plan pour le faire s’évader, pour le faire revenir vers toi. De cette haine contre ta propre personne ne faisant que se renforcer. Car sans toi, il n’y serait pas, sans toi et foutues conneries, il vivrait bien, profondément bien, il serait heureux sans toi. Et c’est un poison dans ton esprit, de te pousser à faire le pire pour que jamais il accepte de te reprendre. De te perdre dans tes bras dont tu ne veux pas, de feindre un plaisir qui jamais ne vient. De t’enfoncer dans les emmerdes, dans le boulot, d’accepter toujours plus. De dormir de moins en moins, de les sentir ces nerfs à fleur de peau en permanence, de te disputer avec le monde entier. De finir chaque parloir par lui dire des horreurs dès qu’il ose emmètre l’idée que rien n’est ta faute. De lui en vouloir de t’avoir aimé, de te haïr de tout cela… Et puis toutes ces lettres, celles qu’il ta écrites, celles que t’a tellement lues. Celles sur lesquelles t’as trop pleuré… Cette boite aux lettres, les siennes et tes réponses, celles jamais envoyées, ces mots que tu mérites pas de lui dire… Toi la cause unique de son malheur, toi sans qui il serait heureux. Et maintenant ? Ce monde extérieur qui l’attend et tu sais toujours pas si tu viendras l’attendre devant la prison. Parce que si tu viens, il t’aimera encore et il en souffrira beaucoup trop. Parce que t’es certaine de toi, d’être trop détruite, d’être trop flinguée du cerveau pour être celle qu’il lui faut. T’es un poison Evy et ça te tuerait de finir par le tuer à ton contact mortel. Mais vivre sans lui, t’es pas certaine d’en être capable non plus. Et rien que ça, ça ne fait que te haïr davantage d’être une putain d’idiote. De ton crétin de myocarde te criant trop combien il te manque, combien t’es qu’un océan de souffrance… Mais tu le mérites pas Gideon, tu l’as jamais mérité…

féminité indécisePersonne décide pour toi, t’es ton putain de patron n’est-ce pas ? De ce « je vais prendre soin de toi » te donnant envie de fuir en courant. Parce que t’as pas envie de compter sur autrui, d’en dépendre, de devenir une putain de chose fragile. Tu t’enfonces dans les extrêmes, dans ce trop-plein pour éviter quoi ? Tout finalement, la souffrance, la rage, le déni de ta propre féminité. Ouai dans ces instants où le prince charmant tu le flingues depuis tes 14 ans. De ce ils vécurent heureux pour toujours que t’as jamais voulu croire, de cet attachement amoureux effrayant de cette notion de possession qui te grille tous les neurones. A croire qu’ils seront tous comme ton père, comme ces hommes voulant t’enfermer dans une cage, te retenir, t’attacher dans une non vie. Et de la peur profonde qui vient se projet sur ta propre existence. De cette féminité complication, de tes indécisions, de ce style que tu changes quand tu as envie. Du garçon manqué devenant la femme fatale, de pas savoir où te situer, de cette sensation d’être jamais totalement toi-même à vivre avec ces démons, sa voix te rappelant qu’elle devrait être ta place. Et ton besoin de le dépasser, de pas assumer la faiblesse qu’il considérait comme naturellement dédiée au sexe dit faible. Alors qu’au fond, tu devrais le savoir que personne ne peut être fort en permanence, que tout le monde il a besoin de douceur, même toi. De ce que t’acceptes pas encore totalement. De ce qui peut faire trop vite monter le ton. De ce toi que tu déclares comme parfait, que t’affiches sans la moindre retenue. Tu veux le prouver au monde combien t’es libre, décisionnaire de chacune de tes actions même si ça te pousse dans le mauvais chemin. Dans ce danger besoin plutôt que l’accepter cette putain de main tendue. De ton corps devenant autant ton moyen d’expression que ta prison, de l’assumer pour lui tenir tête, à te bousiller plutôt que d’exister vraiment, totalement, même dans ses côtés que t’aimerais changer. De tout ce que tu trouves trop fragile que t’éloignes de toi au possible, de jamais t’y laisser entrainer, même si ça pourrait te faire du bien parfois. Non, de ce corps que te pousse dans les extrêmes, de cette flexibilité naturelle améliorée toujours plus jusqu’à ce qu’un jour ça se brise non ? Comme tes jointures à force d’apprendre à te battre avec Ares ou de réellement te fighter avec Ades. De ce tout sans sens, dans lequel t’évolue pourtant. Tu le sais hein, qu’il faudrait vraiment que tu travailles sur toi-même. Mais t’as pas le pas qui se franchit, non tu t’enfonces dans l’ambivalence, de ce je t’aime moi non plus avec ce qui te suivra jusqu’à la fin de tes jours.

en vrac. Ta résistance à l’alcool est bien trop bonne pour ton propre bien. Au jeu de l’enfilement de verres t’es clairement la championne. –  Ranger c’est clairement pas ton fort mais les gens qui te connaissent font avec n’est-ce pas ? – Tu jures sans doute trop mais t’es pas prête de t’arrêter. – Tu te bas comme un animal enragé, t’as peur de rien, ni de personne, capable de démarrer au quart de tour pour rien souvent. – Pas pudique pour un sous, O en fait souvent les frais - Tu fais du yoga, pas pour la sérénité mais pour la souplesse. – Tu réagis mal quand t’es enfermé dans des espaces petits et clos, les vestiges de ton enfance. – t’as failli crever une fois, d’avoir pris trop de somnifères parce que t’avais envie de dormir un peu trop, sans Ares, t’aurais pu y rester peut-être bien. – Tu ne sais pas siffler – T’as horreur de parler de toi et pourtant t’écris le fil de ton existence sur toi, de ces tatouages représentant tous quelque chose. Mais la signification, t’es la seule à la connaitre. – T’es clairement pas du matin. – T’es une addict des perruques pour changer d’apparence, pour devenir n’importe qui quand tu en as envie, t’as une putain de collection. - Ton manque d’études te gêne parfois, de cette sensation un peu profondément fausse que t’es pas la plus intelligente de la pièce. Alors t’as appris a compensé par de la débrouillardises. T’as du mal à apprécier un bon livre et t’es bien trop hyperactive pour te poser sur un canapé et regarder un film dans son entièreté. Enfin un peu moins depuis qu’il est plus là. - T'envoie de l'argent tous les mois à la mère de Gideon, parce qu'il ne peut plus le faire par ta faute mais ça personne le sait. Et si quelqu'un venait à en parler, tu nierais tout en bloc.
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ville - belgique. études ou métier administration. avis général sur le forum - on y est bien god must hate me - evy 3794924939 . le détail qui t'a fait craquer - tout ? fréquence de connexion - variable selon les semaines et le boulot. crédits des icons - pinterest. le mot de la fin - marauders for the win  god must hate me - evy 3794924939  - elle mord mais elle est pas (toujours) méchante  god must hate me - evy 4113627247

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Message Sujet: Re: god must hate me - evy   god must hate me - evy Empty Jeu 3 Fév - 15:59

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Message Sujet: Re: god must hate me - evy   god must hate me - evy Empty Jeu 3 Fév - 16:52

vieille sorcière du coeur d'ades god must hate me - evy 4011222921 god must hate me - evy 2746359131
j'ai trop hâte, et ce personnage te va trp bien chat
ta plume toujours aussi belle god must hate me - evy 697000959
si hâte de jouer tout ce petit groupe,
anyway je me magne de finir le tyran god must hate me - evy 3176379322
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le myocarde qui s'innocente, efface les traces de tout attachement qu'il pourrait avoir. pourquoi on t'aimerait, toi plus qu'une autre ? tu aimes pourtant o. tu le tais seulement, laisse la société te souffler les mirages qui t'aveugle. tu l'aimes lui, bien trop fort. ça t'ennivre, et ça te fait mal.
les pinceaux qui viennent se greffer à tes doigts, ceux qui rêvaient de dessiner pour s'évader. mais qui jamais ne pourront venir à bout des rêves ... serveuse, t'es reliée à des choses que tu ne saurais nommer. mais tu te tais o, parce que les choses qui t'entoure te dépassent
(queens contemporain) famille choisie, et aimée. y'a pas d'autres endroits ou tu te rêverais d'être. drôle de sourires lancés par le destin qui t'a prise en main
{ moodboard }


d o n e ;
ades --



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Message Sujet: Re: god must hate me - evy   god must hate me - evy Empty Jeu 3 Fév - 16:56

le petit démon sur l'épaule de o,
je l'aime bcp trop god must hate me - evy 3176379322
vivement qu'on fasse des bêtises,
j'aime déjà tellement ivy god must hate me - evy 2781936883 god must hate me - evy 2781936883
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Betsi Braxton;

-- blow a kiss, fire a gun --
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


Betsi Braxton



peltz.
balaclava - av | self - sign.
brynn - o'neil | cez - o'connell | kurtis - king | oona - piekarz | sage - gauthier | sonny - bador | tad - piper.
11788
1149
29
le coeur baroudeur et l'amour fugitif. t'aimes pas qu'on te retienne, t'aime pas qu'on revienne. c'est une danse perpétuelle entre toi, les émois éphémères et les désirs vagabonds.
vendeuse dans un sex shop. en proie aux vicelards qui s'la ramènent face à la blondinette au visage d'ange, les regards lubriques au détour des rayons de DVDs pornographiques et les coups d'oeil incisifs des bonhommes graveleux. un terrain de jeu. pernicieux. fétide. immoral.
( m o o d b o a r d )

l y e s ( 2 ) / l a l i / h a l l # 0 2 / t r i p p / c o b a n
s o f i a / a m o s / s o c o / y o u ?
(voir le répertoire complet)

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Message Sujet: Re: god must hate me - evy   god must hate me - evy Empty Jeu 3 Fév - 20:04

hum hum
il m'a l'air d'avoir des choses bien compliquées là-dedans god must hate me - evy 4113627247
bien curieuse d'en lire davantage hihi
rebienvenue par ici god must hate me - evy 3794924939
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Nihjee Wang;

-- l'amer à boire --
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Nihjee Wang



choi yeonjun.
mayumi (av), prettygirl (sign).
anan.
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25
célibataire dont les attaches ont du mal à prendre. certaine lassitude qui s'installe après les premières découvertes, quand on se connait trop vite. peut-être que les peurs sont trop profondes, les plaies trop béantes, pour s'accrocher vraiment.
étudiant en troisième année de licence sciences de l'éducation. un an de retard pour avoir redoublé en arrivant ici. pour les gamins paumés, il se dit qu'il peut, peut-être, montrer l'exemple. peut-être.
le queens huppé, bien caché derrière les grandes baies vitrées. c'est tôma qui a pris cette colocation avec ses moyens affligeants.
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polaroid love | enhypen

1:06 ━━━●────── 3:51

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maliktômatrippeuphémia

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Message Sujet: Re: god must hate me - evy   god must hate me - evy Empty Jeu 3 Fév - 21:01

rebienvenue god must hate me - evy 3227196488
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volage destructeur, de ces êtres abandonnées sans même regarder en arrière
avocat, des mots faire naitre les émotions, peut importe la vérité, seulement compte le verdict en sa faveur

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Message Sujet: Re: god must hate me - evy   god must hate me - evy Empty Ven 4 Fév - 19:47

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]
jotem même si t'as pas edit ton message god must hate me - evy 2746119247
je meurs d'euuuux god must hate me - evy 1505825564 god must hate me - evy 1505825564 god must hate me - evy 1505825564 god must hate me - evy 3794924939

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] s'il l'appelle vieille sorcière elle l'appellera papy god must hate me - evy 7591526 god must hate me - evy 4113627247
j'ai trop hâte aussi et je suis trop contente que ça plaise god must hate me - evy 3176379322
et oui quelle idée de folie t'as encore eu god must hate me - evy 1967697819 god must hate me - evy 1967697819 god must hate me - evy 1967697819
et oui vive le tyran qu'elle écoutera jamais totalement god must hate me - evy 4113627247 god must hate me - evy 4113627247 god must hate me - evy 4113627247

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] faut bien lui ramener de la vie, elle se laisse trop vivre la O.
plein de bêtises qui vont faire perdre ses cheveux à ades god must hate me - evy 2730069674 god must hate me - evy 2730069674 god must hate me - evy 2730069674

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] promis je te fais une carte si tu trouves pas le chemin des complications d'ivy god must hate me - evy 7591526
merci beaucoup god must hate me - evy 2465598603
j'espère que la suite a répondu à ta curiosité god must hate me - evy 2465598603

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] merci beaucoup god must hate me - evy 2037884118
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merci à kaotika (ava) blast. (gif) waldosia. (fiche rp)
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Message Sujet: Re: god must hate me - evy   god must hate me - evy Empty Ven 4 Fév - 20:21

une pépite
entre la plume, tout le personnage entier, le faceclaim qui colle à la perfection avec ce côté félin/chat d’Ivy franchement c’est juste une pépite.
un grand rebienvenue à la maison petit chat t’es chez toi
et que j’ai hâte de vous lire tous ensemble avec ces nouveaux bébés god must hate me - evy 3794924939
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Message Sujet: Re: god must hate me - evy   god must hate me - evy Empty Ven 4 Fév - 20:38

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]
t'es un vrai petit coeur god must hate me - evy 3176379322 merci
je suis vraiment contente que ivy plaise god must hate me - evy 3176379322
et oui zoe est perf pour elle genre évidence quand elle s'est imposée god must hate me - evy 697000959
je trop grand merci god must hate me - evy 3176379322 god must hate me - evy 3176379322 god must hate me - evy 3176379322
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waldosia.
kemen.
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1099
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éternel éconduit de l'amour.
ex-basketteur aux rêves avortés. reconverti en interne en médecine d'urgence.
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Message Sujet: Re: god must hate me - evy   god must hate me - evy Empty Ven 4 Fév - 23:47

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