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| Sujet: › not every wound is the kind that bleeds Ven 7 Mai - 14:14 |
| save the queens ---- / SALEM AL JAMAL
27 ans ---- / ace of diamonds ---- / zayn malik
identité complète - al jamal, poids tout relatif d'un nom qui l'empreint de fierté. famille puissante, réputée, dont la notoriété lui importe presque autant qu'à son père. prestige qu'il compte bien honorer, pas tous tracés qu'il a forgés à sa complaisance à coups de défiance mesurée, salem, synonyme d'une pureté que son âme n'a jamais portée. mustafa,, l'élu, le préféré, prédestiné : second prénom qui dévoile l'ampleur des ambitions de papa. lieu de naissance et origines - premier né de la fratrie, il a vu le jour à washington d.c., où son père a son siège à l'ambassade du liban. accouchement éprouvant, le bébé avait déjà décidé d'imposer sa loi, de se faire attendre,de se faire accueillir comme un roi quand, enfin, aux premières lueurs blafardes du soleil froid de ce 22 novembre 93, il les gratifie de sa présence. racines libanaises profondément ancrées dans son éducation, formation traditionaliste et confession musulmane qu'il sait devoir être le représentant sous le regard du paternel comme de celui de leurs détracteurs ; dans l'intimité, les préceptes paternels sont un peu moins respectés, tatouages rebelles qui strient son épiderme, alcool importé qui inonde ses soirées, formes impies qui occupent son lit. études ou métier - destin décidé avant sa naissance dont il s'est plus que contenté, il s'en est emparé : futur assuré dans les sphères gouvernantes de son pays, ambitions internationales non-dissimulées, excellence académique qui dépasse les attentes de papa. post-grad en cours d'obtention à l'unitar, il sait qu'il a déjà sa place aux côtés de son père, pour qui il officie dès à présent en tant que conseiller politique. orientation sexuelle - hétérosexuel, fondamentalement attiré par les courbes féminines, il les dévore sans distinction et sans se priver. statut civil - seule ombre au tableau parfait qu'il présente, le coeur fendu, l'âme brisée par le rejet, les "et si", célibataire à la carapace désormais presque infaillible, il trouve son plaisir dans le détachement, l'union brusque et sauvage des corps qui s'entrechoquent. pi, scénario ou prélien - prélien "amours" de @brandy hartwell + prélien familial pas posté du mc de @spyros bayındır
traits de caractère / tu seras roi, mon fils. et petit bout de roi il est, ouais : assuré, déterminé, confiant et sûr de lui, salem s'impose partout avec une intelligence calculatrice. menton défiant, sourire conquérant, la diplomatie qui file dans son sang ne l'en rend que plus dangereux, il ne joue que pour remporter les parties dans lesquelles il se lance, avec l'ambition de celui à qui on ne peut rien refuser, maître d'une logique qu'il fait sienne pour satisfaire ses obscurs projets. baisse les yeux, morveux. besoin de dominer depuis tout jeune. avant les mots, les poings : son petit frère a été la première victime de son sang-chaud, de cette impulsivité colérique sur laquelle il cherche aussi à avoir le contrôle. dans un monde où un allié n'en est jamais définitivement un, il vit mal l'insubordination, a le réflexe de vouloir l'étrangler dans l'oeuf, commence tout juste à comprendre à quel point il mime les réprimandes parentales de son enfance. t'es à moi, poupée. envie de les dominer, elles aussi. d'avoir l'ascendant, constamment, surtout depuis qu'il a goûté à cet amour dont il ne veut plus tomber victime. sexe devenu sport à part entière, douce violence qu'il ne retient plus entre les draps, aujourd'hui il prend, dévaste et dévore les âmes qui tombent dans son piège, profite de leurs vains efforts pour son plaisir personnel, ne leur fait du bien que quand ça lui en fait à lui. besoin de personne. et dans tout ça, personne d'autre que lui n'est irremplaçable. les amitiés, comme les alliances, s'effritent facilement pour cet homme qui ne conçoit ni l'échec, ni la déloyauté. y'a des têtes qui restent, des âmes qui le touchent, des affections qui se développent, des familiarités qui s'installent, surtout pour cette figure publique au charme ravageur, mais peu ont vraiment de valeur à ses yeux, facilité consternante qu'il a à se détacher des autres et de ce qu'ils peuvent bien ressentir, égoïsme sélectif dont il n'a pas conscience des conséquences et des ravages.
save the queens ---- / TELL ME MORE
once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share tw : avortement. 01. admiration presque sans faille envers son père, diplomate libanais, pour qui il a toujours eu l'incontestable préférence ; envers sa mère aussi, pour toujours la femme la plus importante du monde, reine de podiums ancestraux et immortels, à jamais tenante du titre ultime dans le coeur de son fils qui aurait voulu pouvoir alpaguer encore plus de cet amour que lui ont piqué ses cadets. relation conflictuelle avec kaïs, son opposé, dont il n'a toujours fait qu'une bouchée de la sensibilité. insultes sifflantes et vides de sens, coups de crocs, coups de poings pour affirmer sa supériorité, pour endurcir ses couilles molles, rage entièrement dirigée et orchestrée par un patriarche intolérant. l'intolérance, elle était aussi du côté de salem, à l'voir profiter de leur existence comme si c'était juste un cadeau, à s'pavaner dans l'oisiveté de son enfance avec leur mère et leurs petites soeurs pendant que lui, poulain de la famille, pantin d'son père, assimilait les rouages des échiquiers politiques, méritait sa place dans c'beau monde. 02. il les a excédées, ces ambitions qu'papa avait pour lui : il a pas courbé l'échine, lui, quand il a commencé à le tester. il s'est affirmé, s'est élevé au-dessus de tout ça, porté par cette putain d'assurance divine, au point de lui tenir tête, d'être capable de provoquer son père juste assez pour lui faire comprendre qu'il comptait pas juste le satisfaire, mais bien le dépasser. premier tatouage arrosé de grondements outrés, et puis tous ceux qui ont suivi, marque indélébile de son indépendance, traces futiles qui font sa fierté personnelle face à son père. 03. premières découvertes, premières scissions du carcan dans lequel son pater aurait voulu qu'il se tienne bien docile ; l'adolescence, où il lui échappe, redouble de ruse pour le semer, retourner son jeu contre lui. un jour, l'élève dépassera vraiment le maître, pour le moment il compte les briques qu'il collecte et qui vont l'y amener. premiers pas dans cet autre monde aux dorures psychédéliques, à l'évasion artificielle, à l'impunité totale contenue entre les murs d'un appartement diplomatique, d'une boîte huppée privatisée. une fois qu'on sait comment ça marche, le chemin apparaît de lui-même. paradis chimique avec lequel il flirte, mais dont il sait trop bien ne pas pouvoir abuser, contraint de garder toujours la tête haute et l'allure sans accroc qu'on attend de lui - qu'il attend de lui-même, lui aussi. 04. l'entaille pique encore, le souvenir de sa peau entache ses plus beaux orgasmes, celui de sa décision pèse sur son ego. tombée du ciel, l'ange brandy, une silhouette d'une évidence dévastatrice face à laquelle le défi représenté par leurs pressions religieuses était dérisoire. cette facilité qui a guidé leurs doigts sur des collines qu'ils avaient l'impression de déjà connaître, l'apaisement dans leurs tourmentes, ils se sont trouvés pour ne plus se lâcher, parce que l'alchimie était parfaite. trop. il se serait battu pour elle, pour eux, pour cette quiétude qu'il ressentait avec elle, si seulement ça n'avait pas été contre elle, contre le seul choix dans lequel il n'avait pas eu son mot à dire. déchirure profonde, cachée, qu'il a lui-même eu du mal à comprendre : un gamin à leurs âges, c'était déjà risible, alors en plus dans leurs positions... c'était s'tirer une balle dans le pied. avorter, c'était c'que lui aurait dû proposer, la décision logique pour le prince qu'il était, la conséquence d'une connerie bête qu'ils étaient pas les premiers à faire et qu'aurait pu détruire son futur, le choix qu'il aurait aussi imposé si ça avait été n'importe qui d'autre. sauf que c'était pas n'importe qui, qu'il l'a aimée ouais, et qu'le peu d'amour qu'il lui restait est allé dans la bulle abstraite où leur petit aurait pu voir le jour. il arrive même pas à lui en vouloir, il sait qu'elle leur a rendu service à tous les deux, mais ça continue quand même de le ronger, lui, le manipulateur manipulé, dépouillé de sa dame de coeur, con d'avoir osé croire, frustré d'avoir voulu donner plus qu'il n'a reçu. c'est contre lui-même qu'il peste, lui-même qu'il punit de cette indifférence caractérisée pour toutes celles qui ont suivi, qui se sont enchaînées et confondues dans la pénombre de draps anonymes. 05. l'itinéraire n'a pas dévié du plan initial, quand bien même il a pu croire pendant l'étincelle d'une seconde que brandy aurait pu ajouter une branche à son arbre. finalement, elle l'aura même pas dévié de son undergrad à columbia, études internationales et diplomatie multilatérale qui l'auront amené jusqu'à genève, pendant cet après qu'il n'a pu assumer que parce que sa famille n'était pas là pour le voir douter, lui, pour la première - et seule - fois. année nécessaire pour redevenir lui-même, pour cacher son sentiment urticant d'impuissance. retour à l'objectif désormais primordial et nécessaire, à new york, sur les bancs de la fac, puis en stage à l'ambassade du liban à washington à la demande de son père, qui en avait encore à lui apprendre. double-master d'affaires internationales à la sipa, partenariat avec science po qui le ramène en europe, à paris cette fois, lui donne cette assurance du fils émancipé, du poulain devenu cheval de course. pression qu'il supporte comme une seconde nature lors de son premier stage aux nations unies, aux affaires publiques du département des opérations de paix. la course à l'excellence bientôt terminée, il termine son post-grad de pratique diplomatique à l'unitar, conseille déjà son patron de père sur les questions politiques, et sait déjà qu'il deviendra, encore plus que celle des intérêts libanais, la voix de son paternel au sein de ses représentants aux nations unies à la fin de l'été. 06. existence publique aux accents de perfection, salem n'a jamais déçu, jamais dérapé - pas devant la grande foule du jugement, en tout cas. costumes sur mesure, tissus nobles, barbe taillée, il sait se présenter, cherche là aussi à gagner des points, s'amuse à tromper le peuple qui prétend le connaître par coeur sans avoir la moindre idée de qui il est. mais il joue le jeu, accueille al jazeera dans son loft pour parler politique comme d'autres se font gonfler pour architectural digest. entretient l'image des al jamal flamboyants, culminants ; encore celui qui va au charbon pour le reste de la famille, qui rattrape les conneries de ses cadets qui n'ont toujours pas conscience de leur chance. save the queens ---- / BEHIND THE MASK
taz ---- / 29 ans ---- / rpgiste
ville - paris. études ou métier - in this economy ? avis général sur le forum - il est beau les gens m'ont déjà gâtée de ouf vous êtes toooops le détail qui t'a fait craquer - le premier pl sur lequel j'ai tilté et le perso du membre associé . fréquence de connexion - plusieurs fois par semaine. crédits des icons - @_badkarma, @zaynmedits le mot de la fin - écrire ici. - Code:
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