identité complète - les bouteilles qui s’entrechoquent, qui claquent au rythme d'tes pas, emerson qui vagabonde une fois d'plus au milieu des étoiles, entre les tours dégradées du coin, d'vant les têtes balafrées qui n’osent même plus t'regarder. poupée trop abîmée, l’histoire marquée sur la peau. mia, l’animal enragée, celle qu’on n'sait plus comment contrôler. gueule d’ange avec l’esprit démoniaque, mia, ce leurre à elle seule, silhouette mensongère qui en a trompé plus d’un. lieu de naissance et origines - un 31 octobre, l'jour des morts. cette putain d'ironie. études ou métier - bon cliché d'la gosse d'riche. les poches pleines mais l'coeur vide. orientation sexuelle - toi, tu fous tout en l’air sans faire grand chose, t’as juste à respirer pour que ton souffle s’amuse à tout casser. comme un ouragan, t’es cette tempête qu’ils attendent toujours avec une putain d’impatience. statut civil - y a ta jambe qui frôle la sienne, une d'plus, qui suffit à éveiller ses sens, d’un coup ça pulse plus fort dans la poitrine, tous les corps qui subissent ta présence, et qui fait taire la raison. pi, scénario ou prélien - personnage inventé.
save the queens ---- / TELL ME WHO YOU ARE
once upon a spirit ---- / a soul ---- / a shining star
traits de caractère / mia, reine de rien, reine du néant, impératrice du chaos. c'est bordélique dans l’crâne, on n’sait jamais si le vent hurle ou si le silence tremblote en toi. t’as les yeux éclatés dans l’vide, la flamme vibrante d'une certaine rébellion face à tout l’monde. t’es la rebelle qui s’laisse croire fille modèle, l’poison déguisé en remède. l’sang se teinte d'or, le bleu royal qui, aux abords du royaume de vert et d'ombre, est synonyme de prospérité. d’la chaire pour voiler l’cœur de charbon. un peu étrange emerson, on crache que t’es qu’une grosse connasse, on crache que t’es une sale pouffiasse. esprit ravagé, qui n'a d'enviable que sa gueule d’ange, une malédiction qui t’pousse à t’faire plus mordante, plus dure et moins pure. la langue est aiguisée contre l’fer des insultes faciles, le crachin du fiel pleuvant si fort à la moindre frustration, à la moindre incartade. tu caches bien la fragilité, l’coton qui borde l’corps et le myocarde qui sous les coups de poings des battements se raccroche pour ne pas tomber, tu protèges l'hypersensibilité qui exacerbe l’reste, qui t’étrangle pour ne pas sombrer et ne rien montrer. Sourire de petite conne en coin. y a la défiance qui brille dans tes pupilles, la nonchalance d’une poitrine dénudée, dévoilant promesses et mille secrets. tragique, terrible, t’es le tonnerre qui gronde dans la nuit, l'éclair frappant les cœurs pour foudroyer et délaisser en quelques souffles oubliés. bleu violence aux lèvres, constellations pourpres accrochées aux semelles, t’es la rage mia. pureté d'colère, avide d'sanglants tourments, tu n’penses qu’à l’absolution par les mots, les cris, les poings cassées contre les murs.
once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share
l'attente d'une éclaircie. d'un seul rayon d'soleil dans la torpeur qui t’accule. t'cherches à faire taire la cohue dans la boîte de ton esprit où l'étrange se mêle au réel, où en boucle, le disque d'une unique soirée s'repasse et laisse remonter les plus vils pulsions, incapable de les désintégrer d'un goulot aux lèvres. belle amertume d'ivresse laissant tanguer l'sang, anesthésiant les délires incessants. la nuit s'ouvre aux démons habillés d'cuir, leurs pas cognant le sol comme l'annonce d'une mort toute proche, murmure des enfers scandant ton arrivée. cap ou pas cap ? pieds à terre, t'glisses la jambe tombante, près d'la sienne, faisant remonter le marmonnement d’un grognement le long de ta gorge rougie à l’extase de la rage. cap. t'es comme ça toi, mia ? une de ces filles venues pour un samedi soir d’éclate, d’autres pour oublier les dégâts d’un destin qui leur échappe. tout comme l'tien qui devient sable entre tes doigts engourdis, qu’tu ne fais qu’observer sans savoir comment ne pas le laisser s’échapper entre les interstices de tes phalanges fatiguées. l'fonctionnement normal de ta respiration se court-circuite, disjonctant brutalement pour ne laisser qu’un vide momentané. sourire esquissé vite ouvert sur un rire sonnant la plus mauvaise des surprises. t'bois ton verre, tu l'avales d'une traite. et comme t'es conne, tu joues. parce que tes vérités ne seront jamais bonnes à dire. parce c’est plus simple d’être lâche comme à chaque fois. l'front plissé quand les pensées déraillent. la fatigue incrustée sous les yeux. l’impétueuse réalité venue t'bouffer les nerfs. la mécanique du diable pour éradiquer celle du myocarde. et l'alcool pour anesthésier tout ça.
save the queens ---- / BEHIND THE MASK
anémone ---- / 26 ans ---- / rpgiste
ville - l'morbihan. études ou métier - assistante. avis général sur le forum - j'le trouve si moche que j'suis là . le détail qui t'a fait craquer - l'activité. fréquence de connexion - tous les jours. crédits des icons - marwen. le mot de la fin - .
maría. étangs noirs, ethereal. 4421 1041 27 le coeur coffre-fort, uniquement comblé par tout ce qui brille. femme de chambre dans un hôtel de luxe (le plaza). les sourires de façade qui habillent les traits de son visage, les bonnes manières et les courbettes apprises avec frustration. en coloc' dans le queens contemporain, et ce n'est jamais assez bien.
no gold-digging for me
i take diamonds
we may be off
the gold standard someday.
gigi poupée et ce début omg j'suis amoureuse, tant que j'ai hâte d'en lire encore plus sur ta déesse. et j'viendrais réclamer des liens par millier bienvenue à la maison princesse
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--- c'est une question d'angle, d'envers et d'endroits. comment tu nous vois. comme dans un triangle, il faut être trois. toi, le désir et moi. quand est-ce qu'on se consume, qu'on se console d'en être arrivé là. quand est-ce qu'on se consume, une dernière fois.
jodie bambi eyes (ava) ; siren charms (sign) ; vocivus (icons) oksana ; blake 3154 831 31 t'aimes pas vraiment qualifier les choses. tu aimes les laisser en suspend, au bord des lèvres, à quelques centimètres du gouffre. tu joues, tu virevoltes au gré de tes intérêts, de tes envies. l'arnaque. l'tissu de mensonges qui s'écrase sur tes lippes. pour en avoir toujours plus. avarice insatiable. près de ceux au compte en banque pillé. ces hautes sphères que les doigts ne font qu'effleurer. les happy few qu'ils diraient. ((moodboard)) brandy - amour (2) - coban (2) - lali - tad - nejma
Sujet: Re: maux d'amour. Mar 18 Aoû - 21:17
les premiers mots m'ont subjuguée, ta plume est super agréable à lire, j'aime tellement la première ébauche de ce perso le pseudo est tellement cool aussi j'en veux plus !! bienvenue à la maison
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- - comme un souffle, un garnement, tout autour y'a la violence.
nick hargrove. all souls. 4339 1101 28 le coeur volage à l'image de ta vie. tu glandes quand tu n'te la joues pas, tour à tour, serveur, ou vendeur dans une station essence. jusqu'à t'implanter dans les écrans de la télé-réalité. oksana - shaye (3) - toi ? - toi ? - toi ?
king. a devious route - av | self, sign. betsi - peltz | brynn - o'neil | cez - o'connell | oona - piekarz | sage - gauthier | sonny - bador | tad - piper. 7943 826 29 véritable bras cassé. effervescent. ( m o o d b o a r d )
@lali morales vas y gardes moi des liens au chaud, j'prends tout c'est quand t'veux ! et merci j'ai bien hâte de m'faire une p'tite place (j'en prends pas beaucoup promis) parmi-vous.
@max fyres ça me fait chaud au cœur ce que tu me dis je suis ravie si le perso plaît, j'espère que la suite te plairas tout autant
Bon j'avoue je ne connaissais pas Gigi à part via Marie s'infiltre mais elle est super belle ! Et puis le début de ta fiche est un régal, dès les premiers mots ça pose les bases
Lily Nova Ethereal (ava) Orphée, Virgil, Grisha, Céleste, Eleusis 276 771 29 La fille des draps aux billets verts, elle appartient à tout le monde, à personne Prostituée pour payer son loyer. Et puis elle apprend les lois, double master d’avocate et de science politique.
Je suis subjuguée par ta plume ! Je veux en lire plus ! Bienvenue
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devant une porte fermée
je n'ai jamais écrit croyant le faire, je n'ai jamais aimé croyant aimer, je n'ai jamais rien fait qu'attendre devant une porte fermée. Marguerite Duras
maría. étangs noirs, ethereal. 4421 1041 27 le coeur coffre-fort, uniquement comblé par tout ce qui brille. femme de chambre dans un hôtel de luxe (le plaza). les sourires de façade qui habillent les traits de son visage, les bonnes manières et les courbettes apprises avec frustration. en coloc' dans le queens contemporain, et ce n'est jamais assez bien.
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--- c'est une question d'angle, d'envers et d'endroits. comment tu nous vois. comme dans un triangle, il faut être trois. toi, le désir et moi. quand est-ce qu'on se consume, qu'on se console d'en être arrivé là. quand est-ce qu'on se consume, une dernière fois.