Allez viens, je t'emmène au vent, je t'emmène au dessus des gens - Warston

Allez viens, je t'emmène au vent, je t'emmène au dessus des gens
you & me

Elle voulait le suivre sans même savoir ou il allait l’entraîner, mais Nick voyait bien qu'elle mourait d'envie de le suivre n'importe ou ! Le seul problème c'était de trouver une excuse valable qui n'allait pas lui retomber dessus. Nick pensait que comme elle était mariée au patron elle pouvait faire "ce qu'elle voulait" en quelques sorte,, même si elle avait un post important elle pouvait tous de même ce libérer quand elle le voulait. Mais visiblement ce n'était pas le cas ! Elle ne semblait pas pouvoir faire ce qu'elle voulait ou peut être qu'elle n'en prenait simplement pas la liberté ! Mais ils allaient bien trouver une excuse valable et surtout possible ! Quoi qu'il en soit il comptait l’emmener avec lui de toutes façons. L'embrassant dans le cou, Nick ne l'aidait pas vraiment, elle le rappela même à l'ordre pour qu'il essaie au moins de lui donner un coup de main ce qu'il finit par faire. Il y avait tout un tas de possibilités ! Une envie de s'éloigner, une sortie entre amis ou plus simple ... une amie a besoin d'elle ! Peu importe et puis le brun était même persuadé que ça n'avait pas d'importance, son mari n'allait certainement pas lui poser la question. Elle confirme elle même les pensés de l’inspecteur en lui disant qu'il ne chercherait certainement pas à avoir de plus amples explications. - C'est parfait ! On a trouvé ton excuse maintenant on peu y aller ! Souriant amusé, il lui vole un rapide baiser avant de reculer pour rejoindre sa voiture. - Oui ! Ce sera plus pratique ! Reposant ses lunettes de soleil sur son nez, il monte côté conducteur pour mettre le contact et attendre qu'elle le rejoigne. Il avait vraiment hâte de ce couper du monde avec elle, de profiter de cette journée en espérant qu'elle aime son univers.

♛ Allez viens, je t'emmène au vent, Je t'emmène au dessus des gens. 

Allez viens, je t'emmène au vent, Je t'emmène au dessus des gens. Et je voudrais que tu te rappelles, notre amour est éternel, et pas Artificiel, je voudrais que tu te ramènes devant Que tu sois là de temps en temps. Et je voudrais que tu te rappelles, notre amour est éternel, et pas Artificiel, je voudrais que tu m'appelles plus souvent Que tu prennes parfois le'devant. Et je voudrais que tu te rappelles, notre amour est éternel, et pas Artificiel, je voudrais que tu sois celle que j'entends. Allez viens, je t'emmène au dessus des gens. Et je voudrais que tu te rappelles notre amourette éternelle...

L’endroit importe peu. Ce qui compte, la seule chose qui compte, c’est qu’ils seront tous les deux. Elle n’a besoin, non, elle n’a envie que d’être avec lui. Puis, au fond, elle commence à connaître Nikolaï. Elle connaît ses goûts, ses préférences, ses loisirs. Elle ne se fait aucune inquiétude quant au fait qu’elle appréciera le programme qu’il pourrait lui proposer. Elle redoute uniquement d’être incapable de justifier une absence d’une journée entière au sein de son travail et, surtout, auprès de son mari. Il ne faut pas croire mais si Luke n’est pas le mari le plus présent qui soit, il est du genre à garder un œil sur sa femme. Il n’aime pas ne pas savoir où elle est, ce qu’elle fait. Isabella a déjà pu le constater à ses dépens. C’est cela, bien plus que le poste qu’elle occupe, qui l’empêche de partir en toute insouciance. C’est sûrement l’inconvénient d’avoir épousé son patron. Puis, il faut dire aussi n’a pas l’habitude de s’accorder tant de liberté. Elle est bien trop consciencieuse, bien trop responsable pour décider de quitter le boulot simplement parce qu’elle en a envie. Elle n’a jamais été comme ça. Même à l’école, elle n’a jamais séché les cours, et elle détestait les rater. Mais Nikolaï a réussi à la convaincre de le suivre. A dire la vérité, il n’a pas eu besoin de faire quoi que ce soit. Un sourire en coin sur les lèvres, elle le contemple d’un air quelque peu attendri. Il a l’air d’un enfant impatient. – Je te suis. déclare-t-elle simplement avant de s’exécuter aussitôt. Son sac à la main récupéré, elle laisse sa voiture sur le parking avant de monter dans celle de l’enquêteur de police. Ça lui fait tout drôle. Elle a déjà fait l’amour sur le capot de cette voiture, mais elle n’est jamais montée à l’intérieur. Elle sent, comme, une intimité nouvelle. – C’est la première fois que je monte dans ta voiture. constate-t-elle à voix haute. Elle garde le reste de ses pensées pour elle même si, les yeux tournés vers lui, son regard en dit long. Elle attrape sa ceinture de sécurité pour l’attacher alors qu’il a déjà démarré de son côté. – Je suppose que tu ne me diras pas où nous allons… Mais est-ce que je pourrais au moins savoir dans combien de temps nous y serons ? Attendre ne l’embête pas en vérité. Mais attendre, sans rien savoir, sans rien maîtriser surtout , c’est beaucoup plus compliqué pour Isabella.

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Avec le peu de temps qu'ils avaient passés ensembles, ils avaient vaguement parlé de ce qu'il aimait faire ou non. Nick n'est pas du tout un citadin, bon il vit en ville parce qu'il n'a pas trop le choix et puis c'est beaucoup plus pratique mais si ce n'était que de lui il vivrait seul au fin fond des bois ou dans un coin bien plus tranquille. Pour être heureux il à besoin de verdure, d'action, de frisson même ... c'est un fan de sport extrême. Bon il ne compte pas l’entraîner à faire n'importe quoi non plus, pas aujourd'hui, pas pour une première sortie ! Non aujourd'hui, il allait juste ce contenter d'une balade vers un coin qu'il aime énormément. Des chutes d'eau qu'il trouvait magnifique à cette époque de l'année. Il ne savait pas si elle y avait déjà était ou non et dans le pire des cas ils pourraient qu'apprécier tous les deux, sinon elle allait découvrir son petit jardin secret et ça lui faisait plaisir de pouvoir le partager avec elle. Maintenant qu'elle avait trouvé une excuse possible à sortir à son mari si jamais il posait trop de question, elle monte enfin dans la voiture. Il voyait parfaitement ce qu'elle voulait dire, la dernière fois elle n'avait pas prit la peine d'y monter puisqu'ils c'étaient tous les deux arrêtés sur le capot. Souriant amusé, son regard en disait suffisamment pour qu'il comprenne. - C'est vrais que ... la dernière fois tu n'as pas eu cette chance ! Dit il dans un petit sourire amusé avant de reculer pour prendre la route. C'était au Nord de la ville, il y avait quelques heures de route mais en partant si tôt ils ne seraient probablement pas dérangé pas la circulation. - Je sais pas ... une ou deux heures selon la circulation, c'est vraiment en dehors de la ville ! C'est un endroit que j'aime beaucoup mais je ne t'en dit pas plus sinon ça va cacher la surprise. J'espère juste que tu vas aimer ! Parce que moi j'aime beaucoup aller là bas !     

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C’est parti. Ils se retrouvent tous les deux dans cette voiture, en partance pour une destination inconnue à la belle brune, pour une journée en tête à tête. C’est la première fois que l’un d’eux prend une telle initiative. C’est prendre de nouveaux risques, mais aussi essayer de nouvelles choses pour Isabella. Et, surtout, c’est l’occasion pour elle de mieux connaître Nikolaï. Il va lui montrer une facette de lui aujourd’hui, elle le devine sans mal en sachant qu’il veut l’emmener à l’extérieur de New-York. Cette perspective lui plaît beaucoup, peut-être un peu trop, mais elle a envie de découvrir tout ce qu’elle ignore encore sur lui. Puis, irrémédiablement, elle a envie de passer tout ce temps avec lui. Ils n’en auront sûrement jamais passé autant d’ailleurs. Cela devrait peut-être lui faire peur, mais ce n’est pas le cas. Non, à la place, elle se sent juste heureuse, enthousiaste, et un brin excitée. Elle aime l’idée que Nikolaï soulève un voile sur son intimité. Le fait même qu’elle soit dans sa voiture est déjà tout nouveau pour elle. A sa remarque, le jeune homme semble tout de suite comprendre ce qu’elle ne dit pas. Elle lui sourit de ce même air amusé, complice, comme s’ils se connaissaient depuis des années, et non quelques semaines. – Cela dit, je n’avais pas de quoi me plaindre. déclare-t-elle avec un sourire malicieux sur les lèvres. Il l’a fait monter au septième ciel ce soir-là. C’est indéniable, cette voiture lui rappellera toujours cette nuit, cette nuit qui a tout changé. Mais elle évite de trop y penser. Ce n’est pas le moment alors qu’elle va devoir se tenir tranquille durant… Deux heures. C’est le temps qu’elle va devoir attendre sagement pour savoir ce que son amant a en tête. Elle l’écoute attentivement, tentant malgré elle de deviner ce dont il parle. La nature. Il va l’amener quelque part en pleine nature. Elle comprend mieux pour ses chaussures. Un léger sourire se dessine sur ses lèvres alors qu’elle lui confie en toute sincérité. – Je suis certaine que j’aimerais si je suis avec toi. Et ça non plus, elle ne devrait pas le dire. Mais elle n’y songe même pas, Isa. Elle maîtrise ses émotions, c’est vrai, mais son honnêteté n’en est pas moins présente. Enfin… Quand elle le veut bien. Elle attrape finalement son portable dans son sac à main pour envoyer un message à Luke. Elle reste brève, évitant d’entrer dans les détails. Elle repose son téléphone avant de relever la tête vers Nikolaï. Sans réfléchir, elle lui demande subitement. – Tu crois que c’est mal si… Je ne culpabilise pas ? Ce qu’elle fait est mal, elle le sait, elle en a conscience. Elle devrait s’en vouloir, c’est certain, mais elle n’y arrive pas. C’est peut-être bien ça, le pire de tout.

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Les voilà partis pour cette destination inconnus pour la jeune femme qui ne sait pas du tout ce qui l'attend pour cette journée. Mais elle ce laisse cependant guider par le brun sans trop poser de questions, de toute façon Nikolaï ne compte pas lui dire quoi que ce soit, il tiens vraiment à garder le secret jusqu'à la fin du trajet, elle verrait par elle même ou il compte l’emmener avec lui et puis ça ne semblait pas non plus la déranger de ne pas savoir. Elle relevait surtout le fait, que c'était la première fois qu'elle montait véritablement dans sa voiture, il est vrais que la dernière fois ça ne c'était pas du tout passé comme ça entre eux mais tous comme elle Nick en gardait un très bon souvenir puisqu'il ne pu s'empêcher de retenir un sourire rien qu'en y pensant. Échangeant même un regard complice avec la jeune femme, il savait parfaitement ce à quoi elle pensait sans même avoir besoin de l'entendre parler. - C'est vrais que tu n'avait aucunes raisons de te plaindre ! Je suis même presque sûr que tu serais prête à recommencer ! Dit il en souriant légèrement amusé tout en reportant son attention sur la route. Il ne fallait pas trop ce distraire non plus, ils avaient encore pas mal de route à faire et ce n'était pas le moment de changer de sujet, en particulier pour parler de ce moment sinon ça allait mal ce finir entre eux ... du moins ils n'allaient pas arriver à destination. Il n'était pas question de sexe aujourd'hui, non il voulait lui faire découvrir son monde, une chose qu'ils n'avaient pas fait encore ! Nick la poussait à aller au delà de ses envies, mais il ne lui avait jamais montrer ce que lui il aimait. - J'espère en tous cas ! C'est un endroit qui me tiens beaucoup à cœur et on dit aussi que c'est un endroit magnifique ! Mais il n dit rien de plus et ne compte pas le faire non plus pendant le reste du voyage, elle verrait d'elle même et sa première réaction parlerait pour elle. Il n'avait encore jamais emmené personne avec lui là bas et Isa serait la première à partager ça avec lui. Une première, Nick est du genre solitaire ... et c'est bien ça le plus étrange. Il partage énormément de chose avec Isabella, il a même envie de partager bien plus qu'il ne le devrait contrairement à sa femme avec qui il n'a plus du tout de liens. A la question de la jeune femme, Nick ne sait quoi lui répondre ... parce qu'au fond il sait tout aussi bien qu'elle que leur relation n'a rien de "normale" ! Elle n'est pas seine, elle est interdite et elle est surtout immorale ! Mais il était aussi content d'apprendre qu'elle ne culpabilisait pas d'être avec lui plutot qu'au travail. - Si ça peut te rassurer je ne me sent pas coupable non plus, je ne regrette rien mais dans le fond je pense qu'on sait tous les deux que c'est mal ce qu'on fait ! Évidement que c'est mal ! Ils devaient s'en vouloir ! Ils devraient même s'éviter, ils devraient arrêter de ce voir, de ce fréquenter et éviter de passer ce genre de moment ensemble. - J'imagine qu'on devrait s'en vouloir, ce détester, arrêter de ce voir même ! Mais ... j'en ai pas envie, j'arrive pas à me détester ou à culpabiliser ! Mais c'est aussi bien comme ça non ? Au moins on profite de l'instant présent sans s'en vouloir.     

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Les paroles de Nikolaï font tout de suite sourire la jeune femme avec ce petit air malicieux mais embarrassé à la fois. Ce qu’il dit est vrai, indéniablement, elle a terriblement aimé cette nuit avec lui. La complicité qui les lie rend cette vérité flagrante pour son amant, c’est certain. Mais il y a toujours cette partie d’elle plus réservée. Quand ils font l’amour, elle perd toute cette retenue. Elle est, comme, dans une bulle avec lui où rien ne peut l’atteindre. Elle se sent tellement en osmose avec lui que la gêne ou l’embarras n’ont aucune place pendant leurs ébats. Mais elle n’en parle pas aussi facilement, surtout quand les circonstances sont aussi... Osées. Elle se contente de lui offrir un sourire complice tout en répondant d’un ton neutre, presque trop innocent pour être vrai. - Tu ferais mieux de te concentrer sur la route. Mais elle lui fait confiance à ce sujet. Elle a bien compris que, aujourd’hui, Nikolaï a de tous autres projets pour eux. Il ne veut pas la voir pour du sexe, pas cette fois. Et cela ne devrait sans doute pas, oh non, cela ne devrait pas lui faire plaisir. Encore moins la toucher. Pourtant, c’est le cas. Car cela signifie qu’elle n’est pas seulement une simple maîtresse à ses yeux, mais qu’il l’apprécie, elle, pour ce qu’elle est. Exactement comme elle aime la personne qu’il est, au-delà de l’amant. C’est aussi pour cette raison qu’elle a hâte de découvrir ce qu’elle ne connaît pas encore du jeune homme. D’après lui, l’endroit où il veut l’emmener est aussi magnifique qu’important à ses yeux. Il ne le dit pas, mais elle décèle sans mal que ce n’est pas anodin pour lui de le partager avec quelqu’un d’autre. Elle n’a pas conscience, toutefois, qu’elle est la première à avoir cette chance. – Je suis honorée que tu veuilles bien me le faire découvrir. déclare-t-elle avec un doux sourire sur les lèvres. Elle reste sage, elle évite de l’assaillir de questions. Sa curiosité n’en est pas moins présente mais elle sait faire preuve de patience. Elle en profite pour informer son mari de son absence au travail pour la durée. Utiliser son amitié avec Alessia en guise d’excuse la fait culpabiliser, mais mentir non. Le tromper, non. Comme si elle s’en voulait pour son amie, mais pas pour son propre époux. Elle se rend bien compte que ce n’est pas normal. Elle se demande si elle l’est elle-même, normale. Son sens de la morale n’est pas à toute épreuve, elle a déjà eu l’occasion de le voir par le passé. Mais, cette fois, ce n’est pas une question de sécurité, ou même un sacrifice pour les siens. C’est juste une envie, un plaisir, un désir auquel elle est incapable de résister. Et ça, c’est la première fois que ça lui arrive. Elle n’a pas d’excuse, du genre, « la fin ne justifie pas les moyens ». Elle ne fait pas quelque chose de mal, mais pour une bonne raison. Elle fait quelque chose de mal pour elle, juste pour elle. Et elle ne se sent même pas coupable. Aucune culpabilité, aucun remord, non, rien. C’est à se demander si elle peut encore prétendre être quelqu’un de bien. C’est sûrement pour cette raison qu’elle en parle à Nikolaî, comme, pour espérer se rassurer. Ce qu’il fait. Tout de suite. Lui non plus, il ne se sent pas coupable. Il ne regrette pas, tout en sachant malgré tout que c’est mal. En fait, il semble ressentir exactement la même chose qu’Isabella. Il n’arrive pas à se détester. – Oui… Oui, bien sûr, c’est plus… Facile comme ça. admet-elle, l’air pensif. Mais c’est juste qu’elle se demande si elle a encore une conscience, c’est juste ça… Rien de grave en soi, hein. – Enfin, oublions tout ça, tu veux bien ? J’ai envie de profiter de toute cette journée à tes côtés. ajoute-t-elle assez rapidement en posant sa main contre la cuisse de Nikolaï. Et de reprendre d’une voix plus malicieuse. – Je me demande en combien de temps je pourrais te déconcentrer suffisamment pour te faire craquer.

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Est ce bien de partager tous ça avec elle ? Non, bien sur que non mais Nick en a assez de ce poser cette question, il a vraiment l'impréssion de tourner en rond, de ce torturer l'esprit avec tant de question alors qu'il n'a pas de raison de le faire. Il ne s'en veut même pas alors pourquoi continuer de torturer l'esprit pour savoir si ce qu'il fait et bien ou mal ? Il sait qu'il ne devrait pas agir de cette façon, il sait aussi qu'il ne devrait pas faire tous ça avec son amante ... mais en fin de compte, le brun sait qu'elle représente bien plus que ça ! Il apprend à la connaitre tous les jours un peu plus et il aime ce qu'il découvre à son sujet, il aime ce qu'il voit et surtout ce qu'il ressent pour elle. C'est comme un premier amour, comme si c'était la première fois qu'il ce sentait aussi proche de quelqu'un, aussi connecté ! A chaque fois qu'il ce trouve en sa présence, il ne sait expliquer pourquoi elle parvint à le couper totalement du monde extérieur. Elle le coupe de sa vie ennuyeuse et compliquée, elle le sort de ce quotidien bien trop banal et il aime ça ! Il devient même de plus en plus accro. Assis tous les deux dans la voiture, Isabella finit par lui poser la question "est ce normal de ne pas ce sentir coupable ? " Ils pensent exactement la même chose tous les deux et Nick ne veut pas lui mentir ... non ce n'est pas bien ! Mais ils ne voulait pas mettre un terme à cette relation alors c'est aussi bien qu'ils ne culpabilise pas non ? - Il vaut mieux que ce soit comme ça plutot que d'avoir des regrets, la vie est bien trop courte pour ça ! Alors autant en profiter plutot que de s'en vouloir pour quelque chose qu'ils désirent tous les deux non ? Mais tous comme elle, Nick était pour oublier cette conversation afin qu'ils puissent profiter au mieux de cette journée rien que tous les deux. - Oui, oublions ça oui ! Je souhaite tout autant que toi d'en profiter alors vivons l'instant présent ! Sentant sa main ce poser contre sa cuisse, Nick tourne légèrement la tête vers elle, un petit sourire charmeur sur les lèvres sans pour autant dévier les yeux de la route. - Tu sais que si tu commence à t'amuser comme ça on ne risque pas d'arriver ! Mais tu peux toujours essayer ! Je sus bien curieux de savoir comment tu peu t'y prendre. A peine changé de sujet, voilà qu'ils recommencent à ce charmer.     

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Les remords n’ont pas de place dans leur relation. S’ils se sentaient vraiment coupables, s’ils se détestaient comme ils le devraient, ils cesseraient tout bonnement de se voir. Mais ce n’est pas le cas. C’est même, pour Isabella, hors de question d’arrêter leur liaison. Elle aime bien trop les moments qu’elle partage avec lui. Nikolaï fait d’elle une autre personne. Il lui apporte le bien-être et l’insouciance qui lui ont toujours manqué, mais aussi la liberté dont elle se prive beaucoup trop. Avec lui, elle se sent libre, libre d’être elle-même. Pour la première fois de sa vie, elle peut suivre ses envies sans se soucier des conséquences. Et c’est grâce à lui, tout ça. C’est lui qui lui donne cette faculté. Il ne fait rien pour, il se contente de la guider dans les méandres du désir. Elle se perd dans cette bulle qui n’appartient qu’à eux. Elle ne réfléchit pas à ce que cela signifie, elle n’est peut-être pas aussi clairvoyante que lui pour le coup. Probablement aussi que c’est plus facile pour elle d’éviter de songer à la possibilité que Nikolaï soit plus qu’un simple amant, beaucoup plus. Elle n’a aucun mal, néanmoins, à réaliser qu’elle apprécie réellement la personne qu’elle découvre en lui. Elle voit en lui un amant, un ami, un mentor même qui la pousse à dépasser ses limites et se dépasser elle-même. C’est pour toutes ces raisons qu’elle se sait incapable de mettre un terme à leur liaison. Pour ces raisons, et simplement aussi pour la connexion si forte qui existe entre eux. C’est magnétique, comme deux aimants qu’ils sont, elle ne peut que se laisser attirer par lui. Elle affiche un petit sourire en coin quand il assure que la vie est trop courte pour avoir des regrets. Il ne sait pas combien sa vie en est déjà trop remplie. Raison de plus, pour elle, pour être d’accord avec lui. Elle préfère même changer de sujet. Son but n’est pas d’alourdir leur conversation, ou même de gâcher leur journée. Elle ne sait même pas pourquoi elle a évoqué cette culpabilité, peut-être parce que justement, elle n’a plus autant de retenue avec lui. Mais son amant accepte rapidement sa proposition d’oublier cette discussion. – On dirait que c’est un véritable leitmotiv. commente-t-elle d’une voix amusée. Ses préoccupations sont déjà mises de côté quand elle pose sa main contre la cuisse du jeune homme. Et complètement oubliées quand elle voit le sourire charmeur qu’il affiche instantanément. Il a le réflexe de la mettre en garde en premier lieu mais, très vite, il semble presque la défier. La tête tournée vers lui, elle ne le lâche pas des yeux, profitant du fait qu’il soit concentré sur la route pour le contempler. – Il faut bien que je m’occupe, et puis… Elle laisse sa main remonter lentement contre la cuisse de son amant tout en poursuivant. – C’est toi qui as dit que tu aimais les mauvaises filles. Elle approche un petit peu de lui pour laisser ses lèvres glisser contre son cou. C’est la première fois qu’elle tente de le déstabiliser. Il faut dire que, d’ordinaire, leurs rencontres ont déjà pour but qu’ils cèdent à la tentation. Alors elle ignore totalement comment il peut réagir. Ce qu’elle sait, c’est qu’elle est incapable de se tenir tranquille, pas quand elle est avec lui. Et ça, elle commence tout juste à s’en rendre compte.

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Il préfère ne pas y penser, à quoi bon ? De toute façon il ne voulait pas ce priver de cette relation et elle non plus visiblement alors pourquoi en parler, pourquoi voir uniquement que les mauvais côtés ? Alors qu'ils pouvaient simplement en profiter ? C'est ce qu'il veut et elle aussi puisqu'ils ne tardent pas à changer de sujet pour ce concentrer uniquement sur la journée qu'ils allaient pouvoir passer tous les deux. - On a surtout tous les deux envie de prolonger cette relation, alors pourquoi penser au pire alors qu'on peu profiter du meilleur ? Du moins c'est comme ça qu'il voyait les choses. Mais les craintes de la jeune femme semblent déjà bien loin alors qu'elle vient déposer sa main contre la cuisse en abordant un sujet bien plus intéressant. Bien qu'elle ne le sache pas encore, Isabella avait un certain pouvoir sur lui. Elle avait même le pouvoir de le faire craquer rien qu'en le dévorant des yeux. Mais c'est un détail dont il ne parle pas ... c'est une faiblesse et il déteste être faible. Et pourtant, la jeune femme profite qu'il soit occupé à conduire pour essayer de le distraire en venant même déposer ses lèvres dans le creux de son cou. Envahi par un frisson qu'il ne peu pas contrôler, Nick sent tout son corps s’électriser à ce simple contact, la main de la jeune femme attire même son attention. - C'est ce que j'ai dis oui ... mais même si j'apprécie l'attention que tu me porte, je m'en voudrais qu'on ai un accident ! Non parce qu'il conduit quand même et si elle commence à entrer sur ce terrain là avec lui, ça risque d'être compliqué de ce concentrer sur autre chose qu'elle ! Déjà que c'est difficile alors si en plus elle le touche c'est encore pire. Il parvint tout de même à lui voler un baiser, rapide, bien trop rapide mais retrouver ce bref contact ne pouvait que le rassasier quelques minutes. Posant sa main contre la sienne, celle qui ce trouvait contre sa cuisse, il la retient de monter plus haut. - Ta de la chance que je sois occupé à conduire ! Et que cette virée me tienne vraiment à cœur, sinon ... Souriant amusé, il n'avait pas besoin d'en dire plus, il ce mordait simplement la lèvres en la dévorant des yeux quelques secondes avant de reporter son attention sur la route.             

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Tout paraît tellement simple quand elle écoute Nikolaï. Ils souhaitent prolonger leur relation, c’est vrai, alors pourquoi… Pourquoi se torturer autant l’esprit avec des questions qui ne changeront rien ? Le truc, c’est qu’elle ne le choisit pas, Isabella. C’est sa façon d’être. Elle ne sait pas agir sans réfléchir, sans s’inquiéter des conséquences. Elle, elle est du genre à tout anticiper, tout analyser, tout imaginer. Il n’y a qu’avec lui qu’elle parvient à lâcher prise. Il n’y a qu’avec lui qu’elle sait profiter de l’instant présent et uniquement de l’instant présent. Ce n’est pas quelque chose qu’elle a connu auparavant alors, bien sûr, c’est moins naturel pour elle que ça l’est pour lui. C’est tout nouveau pour elle. Et ça la pousse, inévitablement, à s’interroger. Mais c’est elle-même qu’elle remet en question, elle et son sens moral. Alors que, peut-être, elle devrait davantage réfléchir à celui qui parvient à la mettre dans cet état. Mais c’est plus facile de mettre de côté tous ces doutes, comme elle le fait si bien depuis qu’ils ont entamé leur liaison. Se laisser par Nikolaï, uniquement par Nikolaï. C’est tellement simple qu’elle parvient avec une rapidité déconcertante à oublier cette conversation pour se concentrer sur l’objet de ses désirs. Sa main trouve sa place sur la cuisse du jeune homme alors qu’elle se lance dans un sujet beaucoup plus agréable… Mais aussi beaucoup plus risqué. Elle s’amuse encore à le taquiner, et pourtant, elle ne devine pas à quel point son attitude peut troubler son amant. La tête penchée contre son cou, elle laisse ses lèvres parsemer sa peau de ses baisers. C’est, comme, libérateur. Il lui manquait. Il lui manquait alors qu’il est juste à côté d’elle. Elle profite de son odeur sans cesser de l’embrasser alors qu’elle l’écoute d’une oreille distraite. Il semble inquiet d’avoir un accident. Mais non, elle ne fait rien, enfin, pour le moment. – Je te fais confiance pour nous l’éviter. Elle n’y songe pas un instant, surtout. Elle est beaucoup trop focalisée sur ses baisers. Mais elle n’a pas conscience du pouvoir qu’elle a sur Nikolaï. Elle sait que, pendant leurs ébats, elle peut le rendre fou tout autant qu’il peut faire d’elle ce qu’il veut. Mais elle ne sait pas à quel point elle peut le déstabiliser avec ses seuls baisers. Reculant à peine la tête pour plonger son regard dans le sien, la belle lui sourit juste avant qu’il ne vienne l’embrasser. Mais, beaucoup trop rapidement, car elle n’a pas vraiment le temps de prolonger son baiser, ni même de le savourer. Il pose sa main contre la sienne mais, cette fois, c’est pour l’empêcher d’aller plus loin. Il la met en garde, rappelant qu’il tient à arriver jusqu’à leur destination, mais elle, elle voit surtout son regard qui la dévore. Il se mord même la lèvre avant de reporter son attention sur la route face à lui. Ce n’est pas ainsi qu’il va réussir à la ramener à la raison. Elle ne se reconnaît pas, Isabella. Elle n’est pas aussi demandeuse, d’ordinaire, elle sait se tenir tranquille. Mais l’attraction qu’elle éprouve pour Nick la rend beaucoup plus aventureuse. – Sinon quoi… Que ferais-tu ? demande-t-elle d’une voix malicieuse, bien curieuse de connaître sa réponse. Mais elle n’en a pas besoin pour continuer son petit jeu. Approchant leurs mains de son visage, elle dépose un doux baiser sur celle de son amant avant d’entrelacer leurs doigts. Et, avec l’autre, elle revient contre sa cuisse, beaucoup plus haut cette fois. – Ça t’embête que je fasse ça ? l’interroge-t-elle, d’un ton beaucoup trop innocent pour être sincère.