save the queens ---- / Priam Wayne
36 ans ---- / ACE OF CLUBS ---- / dan stevens
identité complète - Priam Joachim Wayne, premier du nom, dernier d'une fratrie déchirée. Enfant de la poussière et du bitume. lieu de naissance et origines - Sur le papier, il est américain d’origine et de nationalité, toutefois ses origines sont de partout et de nulle part à la fois. Elles puisent leur source d’un cheminement migratoire qui dure depuis des millions d’années. Yéniche pour les siens, « Gitan » pour les outsider qui font des généralités. C’est un gamin issu de l’immigration, dont le peuple stigmatisé, rejeté, occulté de la société, a fuit la guerre. Il fait parti des oubliés, ceux qu’on a enfermé, mutilé, torturé, ceux et celles, qui encore aujourd’hui souffrent d’un sentiment de non reconnaissance. Ceux et celles à qui on ouvre des terrains suffisamment loins des villes pour que la normalité ne s’offusque pas de ce mode de vie où la proximité entre les uns et les autres est poussée à son paroxysme. Dialecte précis qui ressort parfois lorsque sa voix implose de colère, des bribes de mots de chez lui, comme il aime le dire. Des traditions ancrées dans son code génétique qu’il a rejeté, puis accepté, vivant en paix à présent. Sa culture, il ne s’en plain pas, elle est devenue sa force et c’est d’elle qu’il tire sa capacité d’adaptation. études ou métier - Peu matérialiste, Priam c’est quelqu’un qui se contente de peu. Pas franchement fashion victime, il apprécie la simplicité, déteste tout ce qui est trop superficiel. On lui a appris, très jeune, les valeurs familiales, celles d’une famille nombreuse, du partage. Une tranche de pain qu’on partage instinctivement en cinq même s’il y en a d’autres. Des jouets qu’on échange, qu’on se prête. Alors, l’argent en soit, il n’y a jamais accordé plus d’importances que nécessaires - bien qu’il a eu beaucoup de difficulté à entrer à l’université, dans un tel système capitaliste-. Son métier, il l’a choisi par désir de vengeance, par passion aussi, pour se prouver à lui - même qu’il en est capable. Capable de rattraper ce frère disparu. D’être à l’image de ce qu’il a été, un homme bien. Son métier lui prend du temps, beaucoup, sans doute trop, il demande à la fois un investissement psychique et physique : agent de la DEA, spécialisé dans les infiltrations cela fait 4 ans qu’il est infiltré à l’intérieur du gang de bikers. À la recherche de l’assassin de son frère. Son métier paie peu, mais suffisamment pour assurer une vie de famille convenable aux siens. Et, c’est le plus important. orientation sexuelle - Hétérosexuel. statut civil - De tous les Wayne, il est celui qui ne tape pas à l’oeil. À contrario de ses deux frères aînés, il ne faisait pas de vagues. Discret. Intellectuel, calme. Les filles ne l’intéressaient pas trop, ce qui, questionnait pas mal ses deux aînés. Plus Joshua que Gilliam. Car Gilliam, il a toujours été de son côté. Les filles, alors, il les trouvait jolies, mais n’osait jamais. Complexant sur ses origines, sur son caractère effacé. Il a mis du temps, pas mal de temps pour prendre confiance en lui, Priam. Il n’entrait dans aucune case, car dans la finalité, son physique de petit blond et son allure d’oiseau libre, ça attirait le regard. Certaines se déclaraient à lui, de l’amour qu’il jugeait superficiel, de l’amour qui se base sur une représentation sociale qui émane de lui. Et puis, elle est arrivée, Rebecca Eames. Rebbeca et son assurance. Rebecca qui, avec sa petite bande, régnait en maître sur le lycée, lycée qu’il détestait. Lui, Priam, il a longtemps été la tête de turc de la petite bande sous le regard désinvolte de la jolie brune. Il ne se rebiffait pas. Jamais. Les aînés Wayne le faisaient pour lui. Lui, il se réfugiait auprès des livres. Des tragédies grecs qu’il dévorait, le silence de la salle de lecture était reposant. Jusqu’à ce que la diablesse qui lui arraché le coeur ne s’immisce dans ce monde là. Méfiant. Paranoïaque, il est resté distant. Pendant plusieurs jours, voir plusieurs semaine, il l’ignorait la jolie brune. Et puis il a suffit d’un livre, d’une citation, d’une note de musique qui faisait échos en lui. Pour qu’elle s’adresse à lui. Méfiant, toujours. Et pourtant, elle a forcé la chose, elle s’est immiscée doucement, l’obsédant. Il rêvait d’elle. De ces moments ponctuels qu’ils partageaient tous les deux. Ces instants où elle n’était pas Rebecca Eames, la digne fille d’un politicien républicain, de la droite presque trop radicale. Elle était Becca tout court. D’ailleurs, il s’en amusait doucement, taquinerie respectueuse, il l’a surnommé comme ça : « Becca tout court », un sourire en coin. Il l’a aimé. Comme un damné, prêt à affronter son père. Prêt à tout pour elle. Elle a été celle qui l’a tiré vers le haut, celle qui a insufflé la confiance en lui. Qui a construit sa personnalité. Celle qu’il a présenté à sa famille, famille qui a accueilli la jeune femme les bras ouverts. Et puis, la disparition de Gilliam. L’acharnement de Spencer et quelques billets glissés dans une enveloppe ont eu raison de lui. De lui. Mais pas de son amour intarissable. Il l’a quitté. Mais, elle n’est pas idiote Becca, elle connait Spencer, et malgré cette rupture d’un an. Ils se sont retrouvés, pendant quatre belles années. Années lors desquels sa paranoïa et son manque de confiance ont pris le pas sur l’amour. Sa haine, son désir de vengeance. Tout cela s’est mêlé à l’ambition dévorante de Becca. La rupture. La dernière. Celle qui a signé le point de non retour et son arrêt de mort. Il pensait que l’amour s’était envolé avec elle. Alors il est seul, illusionniste d'amour. pi, scénario ou prélien - pi.
traits de caractère / Discret - Observateur - Aimant - Cultivé - Calme - Adaptable - Sensible - Protecteur - Intellectuel - Peu bavard - Solitaire - Bosseur - Sportif - - Réfléchi - Premier degrés - Rigide - Maniaque - Très ancré sur les valeurs familiales - Méfiant - Paranoïaque - Suspicieux - Réservé - Ponctuel - Professionnel - Battant - Rancunier - Torturé - débrouillard - instinctif.
save the queens ---- / TELL ME MORE
once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share
01/ La famille Wayne c’est une grande famille, des cousins et des cousines distillés un peu partout sur le continent américain, d’autres encore en Europe. Il n’a même pas conscience à quel point cette famille est grande. Chez les Wayne, la richesse du coeur a toujours primé, les valeurs et les traditions familiales ont valeur d’endoctrinement. Famille d’abord recluse sur elle - même, trouvant les outils nécessaires à sa survie parmi la communauté qu’est la leur, l’outside a toujours été effrayant. L’autre n’a eu de cesse d’être pointé du doigt, nourriture à ce sentiment de persécution et de paranoïa qui coulent dans ses veines. Les autres c’est le mal, les autres font mal. C’est en étant unis, en faisant front, qu’ils survivront. C’est ainsi que Joachim et Bella ont élevés leurs cinq enfants. L’aîné, Joshua, le plus agité, le plus arrogant et le plus tape à l’oeil, ça fait longtemps que Priam n’a plus de nouvelles. Sans doute marié, avec une famille, quelque part sur le continent. De temps à autre, Priam reçoit une carte, il ne s’en accommode pas plus que ça, serein quant au fait que son frère mène sa barque. Le second, Gilliam, le défunt, celui qui a perdu la vie en 2004, le modèle, celui qui défendait tout le temps le petit Priam. Celui qui se porter volontiers volontaire pour lui épargner les sales coups familiaux, celui aussi qui le poussait à étudier, fier de ce petit blond. Celui qu’il a perdu et dont la mort est devenue le moteur de sa vie. Il y a Elise, la troisième, première fille, la princesse, celle qui suit les traditions comme s’il s’agissait d’une vérité, avec qui il s’est brouillé en entrant à l’académie de police. Traitre à la communauté qu’elle lui a lâché, pourtant, lui, il lui est reconnaissant, car elle est celle qui prend soit de Bella. IL y a lui, Priam, le gamin chétif, le discret, l’intellect, celui qui ne fait pas de vague, celui qui se cherche en tâtonnant sans parvenir à trouver sa place dans cette grande famille. Et puis, il y a Rosie. Sa jumelle, la prunelle de ses yeux, celle qui a suivi le même chemin que lui, celle qui est sortie du « milieu », qui a aujourd’hui un métier dont elle est fière. Aujourd’hui, de cette grande famille, il ne reste que des fracas, des débris de verres depuis la mort de Gilliam, depuis l’arrestation et la condamnation à perpétuité de Joachim. 02/ Gitan. Un mot qui lui colle à la peau. Un mot pourtant qui ne définie en rien ce qu’il est réellement culturellement parlant. Un terme purement générique utilisé par le « gadjo » pour définir une population dite nomade. Mais, dans les faits, il n’est pas gitan, Priam. Non. Car les gitans, ce sont les nomades d’origines catalane ou andalous, de fait, physiquement parlant, il en est bien loin, du gitan. Il n’est pas plus manouche non plus, puisqu’il s’agit de la population d’origine indienne. Ni Roms. Yéniche, c’est ce qu’il est. Issu d’un peuple migratoire de l’Europe du nord et de l'est, dont la peau est pâle et les prunelles sont généralement d’un bleu azuré ou d’un vert émeraude, les cheveux le plus souvent clairs. Si on occulte les mariages mixtes entre Yéniches et Manouches. Ces différents peuples, se regroupent sous le terme de « tsigane », littéralement « culture savante ». Et c’est on ne peut plus vrai, car la débrouillardise est quasiment génétique. Mais, Priam, il ne s’offusque plus de toutes les confusions des profanes. Aux yeux du monde il est un gitan, et il accueille cette méconnaisse un sourire sur le bord de ses lèvres. 03/ Famille. Un mot d’une importance capital à ses yeux. Priam, il est très famille. Trop même. Ça a longtemps été le moteur de sa vie, sa loyauté envers les Wayne. Ces liens du sang qu’ils partagent tous. C’est eux contre le monde extérieur. Eux contre les politiques sociales et économiques. C’est eux qui affrontent le regard de travers des gens. Discrimination dont les médias ne parlent jamais, mais qui existe. Quand il voyageait Priam, quand il arrivait dans une école, on l’admirait autant qu’on le détestait. Et puis, quand il s’est sédentarisé, à moitié, il pensait que ce serait moins compliqué. Et pourtant, c’était tout le contraire, à quoi ça sert un tsigane qui habite dans une caravane - « camping » dans son jargon - s’il ne voyage pas ? Bonne question. Mais, l’important c’est qu’il avait les siens. Ses frères et soeurs, ces tantes et ces oncles. Ceux qui l’aimaient mais, paradoxalement, ceux aussi qui enfermaient son potentiel, le forçant à suivre un chemin qu’il ne désirait pas forcément suivre. 04/ traditions. Il est coutume d’arrêter l’école rapidement, de se débrouiller entre eux. De mener des petits délits çà et là, parce que tout vaut mieux aux yeux de communauté, tout est plus sûr, que l’extérieur. Les garçons apprennent à travailler avec leur main et leur cerveau, le vice dans l’âme. Des petites arnaques. Quelques cambriolages, rien de bien glorieux. Les filles, quant à elles, elles restent avec la « noona ou la ôma », la mère, elles s’occupent des plus jeune, elles apprennent le rôle de femme. Mais, par chance, Priam, il vient d’une famille plus ouverte sur le monde. Alors, l’école, il y a été, primaire, collège, lycée. Et, il aimait ça. Joshua se demandait souvent si son cadet n’avait pas été adopté. Gilliam l’encourageait, parce que contrairement à lui, Priam, il avait les capacités intellectuels et surtout la patience et l’envie d’apprendre. Le lycée pourtant, c’est une période de sa vie qui a longtemps été difficile. Différent, pourtant pas de peau, mais de culture, on n’a eu de cesse de le lui rappeler. De l’acculer. De le bousculer. Et, lui, il encaissait. Le plus gentil des Wayne, qu’Elise lui disait. Le plus chétif, celui à qui on donnerait le bon dieu sans concession. Il était bien souvent l’appas de l’arnaque, quand sa mère volait quelques vêtements dans de grandes boutiques. Jusqu’à ce qu’il comprenne, Priam. Et qu’il ne veuille plus. C’est Gilliam, qui le soutenait. Ça a toujours été Gilliam. 05/ Littérature. Rêve de gosse, toujours un livre à la main. Toujours une vieille machine à écrire contre laquelle il frappe avec frénésie. Les mots coulent aussi rapidement qu’ils surgissent dans son cerveau. C’est Rebecca qui le pousse à postuler pour une bourse d’étude, Rebecca qui croit en lui. Priam, il n’aspire pas à entrer dans une grande université comme celle de Rebecca. Une petite université dans le coin, ça lui convient, il s’en estimera chanceux. Et puis, il sera proche de sa famille. Trois années à étudier la littérature, et il sort diplômé d’une licence. Avant que la mort de Gilliam ne vienne le terrasser et que ses plans d’avenirs changent du tout au tout. Dernière fois qu’il a écrit. Deux jours avant le décès de son frère, plus jamais il n’a osé frapper sur un clavier. 06/ Rosie. La jumelle, la prunelle de ses yeux, celle qui nourrit des ambitions similaires aux siennes. Elle veut être libre. Libre de choisir, libre de ne pas vouloir fonder une famille. Libre d’aimer. Elle le fait sourire en coin quand elle se dispute avec Elise à ce sujet. Et bien souvent, quand les éclats de voix volent trop haut entre les deux soeurs, c’est Priam qui s’interpose et calme sa jumelle. Qui désamorce la situation force tranquille de la famille. Sous le regard amusé de Joshua et de Gilliam - quand il est présent-. Rosie, finalement, elle lui est si similaire, sa jumelle d'âme et de peau. 07/ Rebecca. Rebecca Eames. Eames, un nom qu’il ne connait que trop bien, en dehors de son intérêt quelque peu désinvolte pour la politique, et pour les propos quelques peu trop à droite de Spencer, la cadette de la famille ne déroge pas à la règle à ses yeux. Gamin de seize ans, qui fait profil bas, peu suffisant pour faire oublier la marque de fer gravée dans son dos : Yéniche. Pouilleux. Illettré. Voleur. Trafiquant. Sale race. Et bien d’autres petites choses. C’est le weird, Priam. Celui qui ne réplique pas. Celui qui subit les brimades par la petite bande de la princesse. Pourtant, Becca, elle a un double visage. Quand elle est dans cette petite salle de lecture avec lui. Elle est plus douce, moins cinglante. Elle est curieuse, curieuse sur ses origines, curieuse de sa culture et étrangement quand il s’ouvre à elle, elle l’écoute. Et plus elle l’écoute, plus il tombe amoureux. Maladroitement, incompréhension de ses sentiments. Se refusant d’aimer une fille qui porte ce nom. Une fille de l’extérieure. Et pourtant, c’est Gilliam qui l’y pousse. C’est lui qui lui ouvre les yeux, lui qui lui fait voir la vérité en face. C’est son aîné qui le rassure et même Joshua l’y encourage. Parce que sa fratrie, elle voit bien la transformation, l’âme du battant qu’elle réussi à lui insuffler Becca. C’est une histoire pas comme les autres, même Bella le lui dit. C’est la seule fille qu’il a présenté à sa famille. Parce que oui, la famille Wayne, elle ne se rencontre que si le choix est certain. À l’époque, naïvement, la certitude était ancrée en lui. Avant que Spencer ne vienne la lui reprendre. Buttée, Becca, elle a renoué. Avant de le détruire définitivement 08/ Gilliam. Blond, large carrure, un sourire doux. D’une tendresse infinie. D’une rage folle. Le double de Priam, le protecteur. Celui que Priam admirait plus que tout au monde. Son model. Son frère. Il lui vouait une adoration sans borne, petit Priam assis sur le genoux de son aîné qui lui racontait des belles histoires. De lui, il se souvient de sa force. De lui il se souvient de sa générosité. De lui, il se souvient de son instinct de protection. De sa bienveillance. Pourtant, Gilliam, il a flanché. Sous les larmes de Bella, déplorant que son fils s’engage sur une voie trop dangereuse. Bella qui vient de perdre un mari, condamné à perpétuité pour l’assassinat d’un policier. Et qui perd doucement son fils prodige, Gilliam, celui qui s’enfonce dans ce stupide gang de bikers. Qu’elle avait hurlé. Gilliam, il a claqué la porte ce soir là, laissant derrière lui, un Priam qui tentait maladroitement de rassurer sa mère. 09/ Le queens contemporain. Un petit mobile - home pour une famille de sept, ils dormaient souvent tous ensembles, la fratrie de cinq enfants, les uns à côtés des autres, sur la large banquette qu’ils dépliaient. Un lit d’appoint, peu confortable, mais ça n’avait aucune importance. L’importance c’était d’être ensemble n’est - ce pas ? Rosie, c’est celle qui se blottissait contre lui à cette époque, celle avec qui il a tissé un lien si fort que les mots n’étaient en rien nécessaires pour qu’ils se comprennent. C’est un quartier qu’il affectionne encore, c’est là bas que résident certains membres de son « clan ». Et, là bas aussi qu’il rend visite à sa mère et à Elise. Sa mère, qui n’a pas voulu quitter ce petit mobile home, qui pleure un fils, qui attend vainement le retour de Joachim. Dans ce petit mobile home, il y a eu des rires, des larmes de joies. Il y a eu Becca aussi. Et puis, il y a eu la tentative de suicide de Bella, allongée inerte sur le sol, les poignets ouverts, respirant à peine. Il y a eu Priam, se précipitant jusqu’à elle, appuyant sur les plaies ouvertes de celle qui lui a donné la vie. Alors, même s’il y retourne parfois, même s’il y emmène ses enfants, ce sol, il ne peut le voir sans y revivre la terrible scène. Et Bella, elle le sait, oui, elle le sait puisque dans ces moments elle porte sur son fils un regard d’une profonde désolation.
save the queens ---- / BEHIND THE MASK
Hannibal ---- / 28 ans ---- / rpgiste
ville - Paris ok, en vrai la banlieue mais chut.
études ou métier - Tout juste diplômée en psychologie
avis général sur le forum - Il est beau, ok. Et ça m'a l'air accueillant, en gros aimez moi svp
le détail qui t'a fait craquer - LES GANGS !
fréquence de connexion - Tous les jours, j'suis une geek, mais pour les rp 1 par semaine, voir plus, en vrai tout dépend de mon irl.
crédits des icons - écrire ici.
le mot de la fin -J'ai vraiment envie d'un endroit cozy qui me permet de me poser, de retrouver un goût pour l'écriture
(je remplis ma fiche dans la journée)