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 ares -- heart damages

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Message Sujet: Re: ares -- heart damages   ares -- heart damages - Page 2 Empty Lun 31 Jan - 13:46

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
( soulmates are twin flames )
Our universe grants every soul a twin-a reflection of themselves -the kindred spirit – And no matter where they are or how far away they are from each other- even if they are in different dimensions, they will always find one another. This is destiny; this is love. // ( [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] ; [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] with   [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] 


parce que ce soir,
Elle ne souhaite plus
Etre le dommage collatéral des tempêtes
Qui n’ont jamais été les siennes


Avec le recul, tu as compris, ce soir, lorsque le poing de ton aîné est venu se loger contre le nez du second de tes frères, que ta vie toute entière n’était qu’un film sans coloration. Que le bruit de vos souffrances aussi différentes, qu’elles possèdent un unique dénominateur commun, sont le son muet de votre cinématographie. Et, ce soir, lorsque tu étais assise dans ta voiture, cette dernière dévorant l’asphalte, tu as compris, que tout n’était beau que sur du papier. Tu l’as compris lorsqu’Elijah a fait exploser la première bulle criante de vérité, qu’il n’ait – encore une fois – endossé le mauvais rôle. Et si tu t’en veux, à cet instant, sur le coup, ta férocité enterrée s’était éveillé. Contre lui, d’abord, contre Niel ensuite. Mais, la vérité, c’est que chaque mot que tu as sifflé entre tes lèvres tremblantes, chaque larme qui dévorait ton visage, t’étaient destinés, à toi plus qu’à l’un des deux. Et au fond, tu sais que toi aussi, tu as été aussi incomprise qu’Elijah l’était. Toi aussi, tu as du laisser tes épaules être écrasé par ton père, à l’instar de Niel. Et toi aussi tu n’avais toujours eu qu’une seule et unique envie, fuir. Courir à l’opposé de ce que l’on te demandait d’être, t’arracher l’épiderme pour ne plus posséder une seule once de peau sur tes os. Comme Charlie, finalement. Tu comprends, Euphémia, que tu es le savoureux mélange des trois. Que tes tourments sont les leurs et que ce qui se retranscrit dans la réalité aujourd’hui et que tu as enfin compris, c’est qu’aucun de vous ne parvenait à l’exprimer de la même manière.


T’as enfin lu la vérité
Mais surtout,

T’es décidé à l’accepter


En brisant tout ce qui te tombait sous la main, t’as accepté ce que ces deux années avaient accrochés à tes chevilles. Des boulets de culpabilité que tu es parvenu à envoyer valser au loin. Cette fois-ci, tu le laisses partir James. Tu ne sais pas encore si demain, il reviendrait te hanter dans tes songes ou dans le fond des orbes désolés de son cadet, mais pour une fois, tu n’y penses pas. Tes doutes et incertitudes effacés par les lèvres du Madds contre les tiennes. T’as fini par ouvrir la boite de Pandore que l’un et l’autre vous aviez enterrés dès les premiers regards échangés qui n’étaient en rien,  uniquement, de l’amitié. T’acceptes de te pardonner ça, ce mariage raté, qui paraissait parfait sur le papier. Tu parviens enfin à accepter, que James n’avait pas à être encensé de la sorte, ni préservé dans des objets du quotidien, que tout n’avait pas à être trop blanc ou trop noir. Et que finalement la vie, est complexifiée par des variables qui t’échappent. Ce qui compte présentement c’est de ne plus te cacher. De crever cette bulle qui t’enferme toi et tout l’être que tu es depuis tes premiers mois de vie. Ceux où le regard trop fier de ta mère te greffer déjà contre ton âme, ce trop-plein de protection, et d’admiration que tu n’avais jamais demandé. La vérité, Euphémia, c’est que tu acceptes enfin de t’aimer pour l’aimer l u i au centuple de ce que tu lui dois.


ce sont des années à tes côtés
Que tu dois lui rembourser
C’est sa liberté que tu dois embrasser


Et quand tu te rejoues le film de votre histoire, qui n’a jamais commencé, et qui ne s’était jamais terminé. Tu rêves de t’excuser pour ta lâcheté, pour tout ce que tes décisions ont pu lui infliger, t’as conscience de sa souffrance, parce que dans ce « je t’aime » qu’il murmure à travers cette porte qui vous sépare. Tu peux l’entendre, l’usure de sa retenue, l’effort que cela lui a demandé, quand toi, égoïstement, tu voulais le figer à tes côtés, sans parvenir à lui offrir ce qu’il voulait. Terrorisé, angoissé, à l’idée de ce que tu pouvais perdre au change. Consciente aussi, d’à quel point s’aimer sans retenu aurait pu être merveilleux, presque autant que cela en était dangereux. L’aimer au regard du monde revenait à s’approcher de flammes qui t’effrayaient, celle de l’inconnue liberté. Parce que tu le sais, qu’avec lui, tu te serais rebellé, que t’aurai perdu le peu d’attention que t’offrait tes parents. Tu le sais, et à l’époque tu n’étais pas prête à lâcher ça, convaincu que sans eux, tu n’étais rien.


Et pourtant, idiote que tu es
Observe les traces qui t’ont encore une fois
Menées dans le creux de ses bras


Alors plus que jamais et dans une facilité qui t’ébranle toi-même, tu laisses tes confessions transgresser des lèvres trop de fois cloisonnées. Tu te mets à nue, et laisse tomber tes murailles, tu lui jette ton cœur à ses pieds, qu’il en fasse ce qu’il veut, il pourrait tout aussi bien le piétiner comme ces deux dernières années, que tu l’en remercieras. Parce que de lui, tu acceptes tout, la beauté du sourire qu’il t’offre lorsque tu confesses des sentiments que tu ne t’étais jamais autorisé à accepter. Ce regard qu’il pose sur toi, et qui, tu le sais, rêverais de jouer de ce « je t’aime » que tu lui offre en retour du sien. Et rien n’est plus merveilleux que ça, cette main qu’il attrape sans un mot, ses paumes qui viennent trouver la place qui leur était réservée depuis l’éternité. Tes reins comme unique maison, tes reins comme sa possession. Tu souris, lorsque votre souffle respectif vient danser entre vos lèvres, que vos museaux se frôlent dans une proximité imaginé dans tes rêves les plus secrets. Et qu’enfin, contre lui, tu te retrouves telle que tu as toujours été, acceptant ce que le militaire avait toujours décelé en toi, tu te déleste de tes chaines , parce qu’il en possède les clefs. « J’ai trop de choses à te dire.» Moi aussi , que tu aimerais lui souffler, et pourtant, tu ne dis rien. Non pas par crainte, non pas parce que tu t’en prives, mais parce que le baiser qu’il dépose sur ta tempe t’empêche de penser, parce que tu l’as tant de fois imaginer ce moment, mais que jamais ce dernier ne pouvait être aussi transcendant. C’est tout ton corps qui vibre de damnation entre ses doigts. «  Je t’aime.» qu’il t’achève, te prend le cœur te l’extirpe de ta poitrine, pour l’afficher sous tes yeux. Ça bat si fort, que t’as l’impression que tu vas en devenir sourde. Ou ivre. Ivre d’amour, ça te semble si beau à entendre et à vivre, alors tes bras s’enroulent autour de sa nuque, pendant que ses mains viennent tracer le chemin de ton dos. Et qu’il ne tatoue ton corps de sa possession. « Moi aussi je t’aime Ares. » et tu voudrais lui citer, lui lister sur une large feuille toutes ces fois où tu l’as aimé. Toutes celle où tu gribouiller tes souhaits, celles où ses absences t’ont tué. Tu soupires d’aise seulement, lorsque le madds vient embrasser ta tempe, de l’autre côté. Et tu lui reconnais, cette douceur qu’il possède en lui, cette manière de t’amadouer que le monde refusait de voir. « Je n’ai jamais eu envie que toi, Phee.» et ça te ferait tomber, s’il tu ne t’accrochais pas à lui, ça te fait tourner la tête de l’entendre te l’avouer, de sentir ses lèvres déposer de la poussière d’étoile sur ton épiderme. « et moi...je t'ai imaginé tant de fois, faire ça...»  que tu confesses dans un murmure saccadé.


et tu soupires,

Au rythme de cette danse
Qui n’a nulle besoin d’être travaillée
.


Et tu peux le dire, Euphémia, t’es enfin heureuse, ici. Entre ses bras, t’es heureuse quand tes orbes décontenancés croisent celles plus joueuses d’Ares. Tu le sais taquin, tu le sais aussi étincelant que le soleil. Mais ce soir, tu apprends à le connaître, tu apprends à t’offrir à l’homme plus qu’à l’ami. Et si t’as peur, Phee. Que ça cogne dans tes entrailles, l’idée que tu puisses ne pas l’aimer comme il le faut. Ares, se charge de tout envoyer valser, fracasse tes angoisses de son œillade, de ce sourire que t’aimerai figer jusqu’à l’éternité. Ne t’arrêtes jamais, s’il te plaît , trop consciente que sans ça, tu te perdras, quand sans ça, tu resterais sur le carreau. Que s’il s’efface, tu fonderais à ses côtés. T’as toujours cherché à contenter les autres, quand la triste vérité, c’est qu’il n’y avait toujours eu que lui qui comptait réellement.   « Je pense qu’on à déjà assez attendu comme ça, non ?»  son rire éclate, implose, et tu aimerais le supplier de ne surtout jamais arrêter de te l’offrir. Toi qui parfois, était éprise de l’envie de ne l’avoir uniquement pour toi . Tu l’imites, suis le mouvement, t’accroches à lui et tes cuisses l’entourent. T’aimerai rester ainsi, ton nez frôlant le sien, ton souffle à la cherche de son oxygène à lui, tes doigts qui caressent sa nuque, tu brûles, t’es fiévreuse. « Je pense que  tu as toujours raison. » que tu parviens à murmurer contre ses lèvres, celles que les tiennes viennent prendre en otage. D’un baiser aussi passionnée, tu t’embrase entre ses bras, et te maudit même d’être humaine, quand tu soupires de frustration contre ses lèvres. Tu ne veux pas en perdre une miette, de cet homme-là, de l’unique, tes pulsions et désirs tant de fois muselés qui sortent de ta prison dorée. Et suspendu dans le creux de ses bras, t’aimerai te briser, t’émietter, t’unir et ne jamais plus jamais le lâcher, alors tu l’observes, ce visage contre lequel ton souffle saccadé vient se loger. T’embrasse ses lèvres, son nez, son menton, tu le recouvres de toute cette tendresse qui te représente, souhaite être son bouclier à tout jamais. « Tu triches, t’es trop couvert… » que tu t’amuses à lui lancer, dans un rire enchanté, un baiser que tu déposes encore et encore, tes doigts se crispent contre ses cheveux bruns. T’aimerai te briser contre lui, et quelque part, tu ne sais même plus comment on fait, parce que tout en toi menace d’imploser. Tu cherches ses iris ton front contre le sien, vos souffles unis à tout jamais. « à moins que tu veuilles parler avant ou après ? » et en réalité, t’as pas envie qu’il s’arrête, t’as envie d’être capricieuse quand tes crocs viennent titiller sa lèvre. la chair appelle la chair , « moi je préfère après…et on pourra recommencer, faire des pauses, à s’en épuiser. » Que tu susurres contre ses lippes que tu emprisonnes.


viens ares, on s’aime
Toute la nuit
Toute la vie


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Ares Madds;

-- play your cards --
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


Ares Madds





386
901
34
(queens contemporain)
moodboard


d o n e ;
phee one, phee two, phee fb one,

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Message Sujet: Re: ares -- heart damages   ares -- heart damages - Page 2 Empty Mer 16 Fév - 19:15

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
( soulmates are twin flames )
Our universe grants every soul a twin-a reflection of themselves -the kindred spirit – And no matter where they are or how far away they are from each other- even if they are in different dimensions, they will always find one another. This is destiny; this is love. // ( [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] ; [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]) with   [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] 


so, you love her ?
never told you that
but you do

La vérité éclatant les astres. Ceux qui n’ont eu de cesse de tenir au secret les doux pêchés, perpétués par les pensées qui n’ont jamais pus se défaire d’elle. Parce que tu n’en à jamais été capable, et qu’à ce jour ne pourrais toujours pas le faire. Pas lorsque les mots n’ont eu de cesse d’être raturés des milliers de fois sur le papier, toi qui n’écrivait jamais. Tu prenais le temps pourtant parfois d’essayer, de poser ses sentiments que ne pouvais jamais prononcer à voix haute. Tu n’étais qu’un adolescent idiot alors, et un homme n’ayant plus de repères alors. La simplicité était pourtant là caressant l’échine, compagne d’une éternité que tu t’es imposée. Rien n’aurait été plus simple que cela, quelques années auparavant : avouer toutes les vérités soufflées lorsqu’elle s’endormait. Celles que tes yeux hurlaient, et que tes gestes taisaient. T’a appris, que l’on ne pouvait jamais revenir dans le passé, et qu’on ne pouvait que se confronter au présent. Rien de tout cela n’a été plaisant, mais tout ce que tu voulais lui dire alors semble ne pas trouver le chemin quand l’instant est là, à saisir. Tout ce dont t’es capables Ares, c’est de t’enivrer d’elle et ce que vous semblez être prêts à devenir. Accepter des possibilités que t’a toujours refusé de trop imaginer, de peur de te briser plus encore. De peur, de ne pas avoir la force de rester alors à ses côtés comme tu l’a fait ses deux dernières années. Mais là, contre le tient, le corps d’Euphemia Hughes se presse comme une évidence. Car c’est ainsi que cela à toujours été, sa place à tes côtés, et toi auprès d’elle. Comment les années se sont moquées, vous laissant vous frôler sans jamais vous retrouver. Laissant l’agonie remplacer tout le reste, l’emporter. Vous séparant par tout les biais, toutes les possibilités. Quand vos âmes elles ne semblaient pas être capables de vous laisser être, l’un sans l’autre.

Euphémia,
Si je mourrais ici. Dans ses désert sans fins … Si je mourrais Phee.
J’aurais besoin que tu saches, que toute cette vie à tes côtés,
Je n’ai pas cessé de t’aimer

Comme dernier message que t’a préparé, au cas ou. Tu le savais alors quinze ans plus tôt, que tu ne pouvais pas t’effacer, quitter cette terre sans que quelque part la vérité ne soit écrite. Pour que le monde n’oublie jamais à quel point ton coeur, ne pouvait battre que pour elle. Les quelques derniers mots destiné à elle, t’espérait alors que les autres comprendrait. Comprendraient l’importance de ses quelques lignes, qui jamais ne viendrait effacer la leurs. Mais dans ce monde, Ares Madds ne cesserait jamais de choisir Euphémia Hughes, qu’importe ce que cela pouvait lui couter. Et c’est ce que tu fais la choisit, là encore et encore. Le regard posé sur elle, comme si il s’agissait de la première fois que tu la voyais. Dans leur amitié qui ne semblait connaître aucune frontières, et pourtant tant d’obstacles. Découvre différemment l’effluve de son parfum venant t’enivrer, la chaleur de sa peau venant trouver la tienne. Tout pourtant, tout, semble évident. Naissant de ce que vous avez toujours laissé en suspends, sans que la possibilité ne vous soit réellement donnée d’imaginer que d’autres choses pouvaient se passer. T’es pas capable Ares, de la laisser t’échapper à nouveau. Plus jamais. Ne laisserais-tu quelques mots, venir sceller un avenir qui pourtant vous était promis. C’est toi qui à tout détruit, tu le regrettes encore dans les songes qui te bouffe. Mais dans l’instant c’est d’elle que tu t’enivres, d’elle que tu revis. Sans même avoir vraiment compris que la mort doucement, t’avais pris.

«  Moi aussi je t’aime Ares.  »

Mots qui en écho ne cesseraient de résonner. T’es pas capable de te défaire de ce sourire idiot, qui doit habiter tes lèvres quand celles-ci ne t’implorent pas de retrouver les siennes. Les laisse doucement venir possession de tout ce qu’elles n’ont jamais touchées. Des premières fois inespérées. Vous qui en aviez tant partagées. Jamais plus ne pourras-tu être capable de la laisser t’échapper … Tu sais pourtant. Que tout les mots n’ont pas étés donnés, que d’autres secrets restent comme dans l’air en suspend, attendant leurs moment. Mais tu les repousse de ses mots que vous échangez. De ce bonheur qui vient doucement coller à vos êtres. Pour la première fois, peut-être, depuis si longtemps tu est capable d’être heureux Ares. Alors le moment de donner les derniers secrets est repoussé. Parce que tu ne veux pas y penser, tu ne veux pas tout gâcher. Encore. Sans cesse. Tu veux simplement que vous vous aimiez.

Et c’est là,
La promesse que vous vous faîtes
D’enfin vous aimer

Parce que t’a jamais été aussi heureux que maintenant. Avec elle. Seulement elle. La douceur avec laquelle vous vous retrouvez, ton coeur battant de la savoir là à tes côtés. Tu pourrais être même incapable de croire à cette réalité. Mais c’est pas un rêve Madds, c’est ta putain de vie qui se déroule là. Et la ballerine t’emprisonne encore, déclare tes lèvres comme siennes et tu t’y laisses volontiers à cette propriété qu’elle marque. Tu te noie, dans la passion qui vous lie. La presse contre toi, comme si tu pouvais te confondre en elle. Ne faire plus qu’un. La laisse prendre tout ce qu’elle désire, frisonne sous ses lèvres qu’elle ne cesse de déplacer. Tandis que tes doigts eux caressent avec douceur la chute de ses reins. Ton rire qui résonne encore quand elle se met à râler, de ses vêtements que tu porte encore. Le rire qui résonne encore plus fort avec celui de la jeune femme. Parce que t’a jamais été aussi heureux, le sait-elle seulement ? La facilité avec laquelle, elle avait fait ça. « Après.» que tu grondes alors en l’emportant avec toi. Parler vous aviez tout le temps de le faire. Tant de choses à vous confier, tant d’autres à planifier. Mais tu ne veux pas y penser maintenant, repousse d’une main tout ce qui viendrait après. Tu veux seulement, être avec elle, pour l’éternité. Le grognement dépassant tes lèvres quand les dents s’amusent. La paume de tes mains venant plaquer sa nuque, et le baiser qui se veux plus profond plus long. Tu l’amène avec toi jusqu’à l’intérieur de ta chambre, la fait glisser avec douceur contre ton lit, sans pourtant, jamais la quitter. Laisse tes lèvres dériver, contre la peau douce de son cou. Les baisers qui viennent couvrir sa peau, comme tu ne l’a jamais fait autrement qu’avec tes regards.

Tu t’arrêtes
Seulement pour la regarder
« Tu est magnifique …»

Le souffle annonçant la plus simple des vérités. Tes orbes émerveillées. D’elle. De tout ce qu’elle représente, de tout ce qui est en train de ce passer. Tu lui à toujours dit avec retenue, mais cette fois … Tu ne te retiens plus. Laisse ta veste s’échouer contre le sol à vos côtés, laisse ta chemise la rejoindre et seulement tu t’arrêtes. Dans l’élan, quelque chose te frappe. « T’es sûre que c’est ce que tu veux ? » Le doute qui rampe là, contre ta peau. Brûle. Parce que tu ne veux pas qu’elle regrette, parce que tu veux qu’elle soit certaine de ce qu’elle fait. Et puis autre chose … Quelque chose que tu sais, être une nouveauté. « Je l’ai jamais fait.» que tu souffle alors. Les genoux qui s’enfoncent dans le matelas, contre les jambes de la jeune femme. Tu secoue la tête alors, vient effacer les possibilités « Enfin, je l’ai jamais fait avec quelqu’un que j’aimais.» Que tu récite avec rapidité. Ce qui te sembles évident, puisque tu n’a jamais aimé qu’elle …

Et finalement,
Elle aura encore une de tes premières fois

_________________
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( I'M IN HELL )
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