| | -- time of death (( byron )). | |
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| Sujet: -- time of death (( byron )). Ven 2 Avr - 23:21 |
| save the queens ---- / BYRON ST JOHN
37 ans ---- / ace of hearts ---- / henry cavill [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
identité complète - patronyme-éther, synonyme d'idéal délavé; ( st john ), fardeau d'attentes jamais dites, mais senties avec les tripes. fils du milieu, byron, à l'identité construite sur les restes d'l'aîné modèle: aux constantes comparaisons gravées dans l'crâne, by' roulant sur les labres chargées d'familiarité et lui, trop loyal pour ciller maint'nant. lieu de naissance et origines - enfance dans un cocon doucereux, ( kingston ), l'beau quartier dans l'quel il a été élevé. s'est toujours souvenu des barrières blanches et des carrés d'jardin bien taillés, l'idéal à atteindre dans l'compte à rebours d'l'existence. sa famille, enracinée aux états-unis d'puis des générations, résidus anglais presque dilués dans les veines. études ou métier - famille au curriculum médaillé, fils de general, j'té en pâture aux attentes paternelles tacites, lourdes comme des pupilles froides esquintant la peau. les mots n'ont jamais été dits, mais à vingt ans, l'cadet s'est engagé dans l'armée, versé l'sang et la sueur pour la fierté d'un drapeau planté sur l'perron de la maison d'enfance. à semer la liberté à l'américaine aux quatre coins du monde, l'idéal esquinté avec les années: ( first sergeant ) aujourd'hui retraité, usé jusqu'à la corde- la peine jusque dans les os effrités sous l'lourd des muscles. chaque cicatrice, un récit non-dit. tumulte d'images en vague, peine en tempête mise en silence uniquement par la vie qui a continué d'tourner. elle force l'devoir d'continuer. dev'nu agent d'sécurité pour une boîte privée, s'est posé à un ennui qui l'tanne tout autant qu'il le soigne. orientation sexuelle - sempiternel hétérosexuel, élevé dans l'traditionalisme gauchiste d'une amérique qui vit sans histoire. bachelor du quartier dans sa jeunesse, il a coché toutes les cases d'un trajet cliché. statut civil - a écumé les peines lancinantes, oscillé aux filaments d'un pulsatif esquinté, ( célibataire ) dans une prison d'silence, la distance creusée entre lui et les autres. voué à l'éphémère d'rencontres nébuleuses, éclats d'rien dès l'lendemain. pi, scénario ou prélien - ( scénario ) de [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] si elle veut d'moi, t'sé.
save the queens ---- / TELL ME WHO YOU ARE
once upon a spirit ---- / a soul ---- / a shining star traits de caractère / observateur, minutieux, analytique, assertif, rationnel, sensible, fiable, patient, ingénieux, protecteur, râleur sur les bords, travailleur, loyal, peu expansif, émotif, flegmatique, charmant, sanguin, galant, altruiste, empathique, force tranquille, serviable, à l'écoute, régulier, cynique, renfermé, spontané, calme, rigide, perspicace, bourru, méthodique, efficace, passionné, impliqué, humble, intrépide, meneur, modeste. oh take your time don't live too fast troubles will come and they will pass ○○
[words] army tags, taurus, l o v e r | loner. - the scars. artsy, sugary brandy, c i g a r e t s, dog guy, l'adrénaline. ( nerdy ), rock vinyl; calm waters, bachelor, e a s t e r n. n°8. the soft touch. raspy voice. diligent, ( the traveler ). white bre(a)d. comfort food - d e d i c a t e d. blockbusters. the patriot, superbowl. the light sleeper, the morning r u n. -- [isfj-a] | the defender -- ( [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] )1. habitué aux jugements nimbé d'politesse d'la petite communauté dans laquelle il a grandi, byron a appris à être propre sur lui. à bien présenter, fils impeccable dans une fratrie tirée à quatre épingles tous les jours, et plus encore sur le parvis d'l'église où ils se rendaient tous les dimanche avec diligence. n'conserve d'ces années sur les bancs parmi les fidèles, qu'des cases à cocher, p'tites victoires aux attentes parentales implicites. / 2. deuxième fils dans un foyer carriériste. militaire comme par évidence, suivant les traces du frère aîné, entraînant l'suivant dans la chute. " fils de", tous les trois s'sont traîné l'patronyme st john, d'un général décoré d'l'armée américaine, le port fier dans les épaules carrées, des cicatrices en lézardes pour la patrie. chaque plaque, chaque médaille une brique à l'être et à un orgueil asséné dans les entrailles. vouer sa vie à un but plus grand qu'soit, l'acte altruiste par excellence qui fait briller la fierté dans les pupilles des géniteurs. élevé aux préceptes d'l'armée, aucune des obligations des rangs ne l'a choqué dans son passé: a rythmé chaque souffle d'son existence à cet idéal. byron, n'a jamais compté les jours passés à l'autre bout du monde, les relations sacrifiées; ni les estafilades esquintant la chair, ni les fois où il a l'vé son arme, pris des vies dans c'monde moderne. / 3. travailleur acharné, discipliné et ordonné parmi les rangs qu'il a rejoints à ses vingt ans. à l'école déjà, a toujours cherché à atteindre l'maximum d'ses capacités: athlète et cérébral tout autant, cliché ambulant du bon gendre. il avait toujours fait mouche dans sa kingston natale, jonglant fut un temps d'relation en relation avec bien peu d'égard pour les demoiselles à qui il brisait l'cœur. d'sentiments entérinés à la suffisance, un orgueil-flegme suintant par les pores avec l'rictus tirant la douceur d'lippes en silence. toujours, d'trop rares relations vraiment intimes, byron, mur froid d'un mutisme auquel tout l'monde était profondément indifférent. s'sont tous concentrés sur les fioritures, lui-même en a oublié sa voix fut un temps. / 4. l'exutoire a toujours été l'sport, tout d'abord bien organisé et cloisonné, pour faire joli sur l'curriculum vitae à présenter aux universités et pour l'futur. joueur de football, de hockey, cliché du white boy privilégié à l'américaine, à la sueur qui sentait même l'nationalisme pur et dur. s'est tué à la tâche avec ses frères sur l'terrain, estime aujourd'hui avoir pris tous les risques d'une vie. son échappée aujourd'hui alors, est celle d'l'adrénaline piquant à doses régulières, les sens. l'épuisement titillant chaque fibre du corps. s'éreinte à être sportif, s'lassant vite d'un crossfit en salle ou d'une séance d'jogging dans l'parc du quartier. ses week ends ont des airs d'échappée, poursuite insatiable d'une nature inébranlable. à la conquête du ciel, un parachute sur l'dos. à escalader des montagnes jusqu'à s'en faire saigner la pulpe. une amérique trop p'tite pour lui, un appétit au goût d'inachevé dans l'ventre. / 5. a gardé d'l'armée un sens aiguisé d'la précision, ponctuel, discipliné, discret. il est l'voisin idéal, l'collaborateur parfait, l'employé qui n'se plaint pas d'l'aspect répétitif et morne d'son travail. additionne les responsabilités avec une tête froide comme nulle pareille. des angoisses aux airs d'traumatisme gardées en cloaque dans son crâne, surgissant en cauchemars tenaces parfois. les noie dans la cigarette, des anti-anxiolytiques qui lui titillent l'esprit, des tatouages qui masquent les zébrures sur l'derme. panse ses plaies avec du scotch et d'la ficelle, quand les crevasses d'ses doutes et d'ses peines sont plus profondes qu'ça déjà. qu'elles suintent sous l'éclat grisâtre des nuits longues, ici et là hantées par l'insomnie réflexe. blâme l'lit trop mou, l'bruit d'la ville, l'odeur d'new york, même l'décalage horaire, la température d'l'air. maudit ces plaques lourdes autour du cou, les idéalise toujours autant, la sensation d'inachevé titillant l'bout des doigts et l'coin du crâne. son fardeau-paradoxe. / 6. avide consommateur d'une culture facilement atteignable: il s'refait des films classiques à gros budget comme s'il avait sauté tout un pan d'sa vie quand il avait été à l'autre bout du monde. n'prend que trop peu l'temps d'lire, hormis quelques ouvrages titillant sa curiosité avec férocité, allant jusqu'aux comics qui ont bercé son enfance, soigneusement conservés pendant des décennies dans les cartons d'la famille. il n'est pas l'excentrique qui s'intéresse aux choses borderline et teste les nouveautés, s'fond dans la masse et dans sa propre tranquillité. sa seule originalité, poussée artistique presque alien, un talent pour l'dessin, avoir gravé au fusain et dans sa mémoire des images salvatrices et tortionnaires tout autant. / 7. peu dépensier, s'contente d'un appartement au centre d'new york. son plus gros caprice d'puis qu'il a reposé l'pied dans la vie civilisée, ç'a été son chien. l'compagnon bienvenu dans une errance imprévue, l'prétexte idéal pour rallonger ses journées d'sortie sans fin, d's'en aller toujours plus loin. d's'éreinter à une perdition qui n'en a jamais eu l'air. la bête dev'nue fidèle compagnon, miroir d'la loyauté qui a toujours été ciment dans son existence, plus facilement apprécié que ne l'serait une partenaire d'vie, quand tout c'qu'il a eu à offrir à celles-ci, ç'a été l'opacité d'secrets lourds comme l'plomb. elles n'auraient rien d'autre à lui r'procher qu'ça, son silence et sa distance, l'trop peu d'disponibilité qu'il avait. sous sa tendresse, l'grain doucereux d'sa voix et l'romanesque d'ses gestes, elles s'sont toutes prises à rêver d'un futur idéal qu'il a inévitablement déçu. / 8. avide collectionneur d'vinyles, est pourtant bien au fait d'la technologie moderne. préfère l'rustique d'un héritage musical écouté en boucle avec ses frères. l'flegme facile, nonchalance aux allures humbles, il est l'gars qui arrivera toujours à faire quelque-chose d'décent derrière les fourneaux, la conquête qui servira l'petit déjeuner fait maison l'lendemain, un cliché d'idéal éphémère duquel s'contentent beaucoup. charmeur et charming, aisance sur l'sourire et à chaque fois qu'il ouvre la bouche. n's'emporte que rarement, n'craquèle qu'en d'rares occasions d'une réalité l'dépassant même lui. il est là, visible comme l'nez au milieu d'la figure, l'désir-besoin d'garder l'contrôle à tout prix. / 9. l'impétueux chez lui est un abysse d'doute, d'fractures en éclair, d'une arrogance belliqueuse et vengeresse qui fait taire la raison. colère d'trop d'injustices observées, d'mensonges portés sur les épaules. l'nouveau regard sur l'patriarche, les frères, la famille qui a toujours été repère. l'poisseux du sang sur les mains et des images d'destruction qu'il n'a qu'trop vu. il a côtoyé pendant un temps, un groupe d'vétérans aux histoires qui r'ssemblaient tant à la sienne. l'écho d'ses propres songes, la répétition en ricochet d'ses désillusions et d'ses rages. y a longtemps opposé l'silence, et avec l'temps s'est persuadé qu'il n'en avait plus b'soin. qu'dans son coin, ça marchait aussi; une solitude-ciment qui l'sépare d'tous les autres, d'la vaste new york pullulant d'vie. d'un quelconque futur, comme on lui a balancé en ultime couperet avant d'claquer la porte sur lui. |
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| Sujet: Re: -- time of death (( byron )). Ven 2 Avr - 23:26 |
| save the queens ---- / TELL ME MORE
once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share ( 2004 ) soupir d'une conviction d'airain, coulée dans les boyaux. L'appréhension logée sous la peau, rien d'autre qu'la chair de poule roulant sur l'derme pour trahir l'silence. Et les pupilles claires, inspectant une dernière fois l'courrier qui avait été envoyé : l'ordre d'mission qui allait sceller sa destinée, une bonne fois pour toutes. L'énième St John rejoignant les rangs d'une armée imprenable, d'quoi donner un sens à toute une vie. Irak, comme une évidence, terre foulée par l'paternel lui-même, l'frère aîné, et lui maint'nant. L'alignement d'éléments qui coulaient comme la génétique qui avaient façonné la volonté et l'corps. Et la colonne droite, il essayait d's'en montrer digne. D'ravaler l'venin d'ses doutes et retenues, l'épuisement qui avait déjà lavé l'être, avant même qu'il n'fasse officiellement partie des rangs. Ici et là, errants, des songes d'ailleurs, d'autre chose. Une échappée d'pensée avant d'être rappelé par l’œillade parentale, l'pedigree du pater qui en avait toujours imposé. Avait toujours su, qu'y'avait pas d'meilleure façon d'rembourser ses années d'existence qu'en vouant son univers à une cause plus grande. à dix-neuf ans et quelques, l'avait plié bagages, remballé toutes ses autres ambitions – quitté l'foyer familial sans un r'gard en arrière, l'poids d'une responsabilité sur les épaules bien assez tôt tannées à l'exercice. « toute ta vie prendra un autre sens, fils. » l'assurance du père qui avait suffi à faire pulser l'myocarde à travers toutes les épreuves. S'découvrir d'nouveaux frères là où l'sang n'avait plus d'importance, où l'patronyme avait été plus un fardeau qu'un cadeau. Comme s'il était fait pour ça, des desseins écrits pour lui, et jamais l'instinct d'se rebeller.
( 2007 ) j'peux pas continuer comme ça. Vivre avec cette inquiétude, cette boule au ventre, les mois sans nouvelle. J'ai rencontré quelqu'un d'autre- des confessions-évidences qu'il avait lues mille fois déjà. Les relisait, rien qu'par acquis d'conscience. La nouvelle qu'quand il rentrerait en permission d'ici quelques s'maines, ce s'rait dans un appartement vide, Sienna partie. Et dans l'poitrail, malgré la pression fatigante, l'coeur continuait d'battre. S'était p't'être déjà fait à l'idée avant qu'elle n'ait avoué quoiqu'ce soit. Il aurait fallu qu'il soit aveugle pour n'pas r'marquer les dommages causés par l'absence. La distance. L'silence. S'était scellé dans un monde en-dehors d'celui des autres quand il avait choisi d'partir. Et égoïstement, Byron, était resté cramponné à Sienna comme l'symbole d'un 'what if' réconfortant. En échange, elle n'avait rien eu d'spécial. Rien d'autre qu'de trop rares moments saisis à la volée, l'évidence qu'elle passait après autre chose, et qu'ce s'rait toujours l'cas. Qu'il était un soldat, dans chaque fibre d'son être appelé sur des horizons où l'humanité s'déchaînait. Et soudainement, il s'demandait comment ses parents avaient fait. Avec quelle diligence la mère avait accepté les épreuves et encaissé les difficultés. Toutes les absences du père pendant d'longs mois. Toute une famille soumise au diktat d'une ambition dev'nue raison d'vivre. Et sienna, elle était mieux sans tout ça. Mieux en dehors d'c't'univers qui n'lui avait jamais laissé sa place. N'offrit aucune résistance, alors, l'silence d'une acceptation qui leur amènerait une simili-paix à tous les deux.
( 2017 ) Nesta, tranquillité d'un silence qui avait arrêté la réalité. Une compagnie pour les heures d'errance dans les nuits épaisses. Elle était là, n'partait pas. Restait dans c'même monde-jungle qu'lui, s'faisait dépiauter des bouts d'humanité comme lui. 't'devrais aussi l'vouloir' qu'il pensait inlassablement sans l'dire à elle, égarant une caresse sur les ch'veux d'ébène. Vouloir partir. Vouloir passer à autre chose. Voir l'monde d'puis ailleurs, s'dire qu'y'avait autre chose qu'des ténèbres d'doute, d'colère et d'haine dans c't'humanité-là. Trop d'images d'giclures carmin et d'meurtres au nom d'la justice. L'instable d'un genre humain plein d'défauts, et qui n'changeait pas. Et lui qui en était usé. Elle aux traits sur l'visage qui s'creusaient avec l'temps qui passait. Dès qu'ils quittaient les murs d'leurs secrets, rien qu'à deux, la vie qui allait trop vite pour qu'ils s'en rendent vraiment compte. N'en avaient jamais ouvertement parlé. Lui, lui solo avec ses doutes en houle s'déchaînant contre les muscles aux douleurs lancinantes. Deux spectres qui perdaient d'plus en plus d'substance à chaque jour écoulé, s'comprenaient comme ça. Grâce à ça. Une solitude pansée par la présence d'l'autre, des plaies soignées à l'ardeur d'baisers éperdus. L'évidence tout autant que l'secret, l'interdit et l'insaisissable. Aujourd'hui qui n'appartenait qu'à ça – l'imprévisible d'un coup d'feu foudroyant l'air, d'un ici qui n'serait jamais ailleurs. P't'être dans la tête, une voix qui murmurait à répétition, qu'dans un cillement, un égarement, la fin s'rait proche.
( 2019 ) New york la bruyante, trop grande, trop folle. L'effervescence d'une vie déchargée d'gravité – un chaos bien différent auquel il avait été habitué. Un bordel synonyme d'solitude, une douleur endormie dans les boyaux. il l'avait choisi, tout ça – l'jugement familial, l'jugement d'sa propre conscience en l'échange d'une liberté qui l'rendait inadéquat à tout. Étranger dans une foule qui tournait à mille à l'heure sans un r'gard pour les lézardes d'un corps épuisé. Personne pour l'comprendre, personne pour l'vouloir ; s'esquintait contre l'indifférence d'une masse qui avait toujours existé quand lui avait suffoqué. Tout laissé derrière ; les habitudes, les réflexes, la guerre et les instincts grondant dans l'bide. Trop d'détermination pour une existence faite d'vide maint'nant. Du silence d'nesta, d'la distance qui est venue l'séparer de c'qu'il avait toujours connu – il n'était plus un soldat, rien d'autre qu'un spectre léchant l'asphalte et gobant l'odeur d'gasoil. Et des stigmates, visibles et invisibles à soigner. save the queens ---- / BEHIND THE MASK
marie ---- / papy grenier - 28 ans ---- / rpgiste
ville - le pays d'la faim constante, du décalage horaire et de la procrastination ici et là. études ou métier - victime des "vacances improvisées" par l'gouvernement, tout à coup plein d'temps libre. avis général sur le forum - il est tellement rugreuigergu, GDFIUGER, frugreuger, frrugGFRUGRFER . le détail qui t'a fait craquer - ce scénariooooo, l'activité, l'design, tout l'monde a l'air sympa, héhé? fréquence de connexion - aussi souvent que j'respire, si vous arrivez à ach'ter mon amour. crédits des icons - vocivus (icons). le mot de la fin - m a n g e r (et feels). - Code:
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[b]henry cavill[/b] / [i]byron st john[/i] |
| | | Nesta Moraes;
-- play your cards -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
rafa consentino @kidd shaye. 1344 755 30 Le coeur broyé, les souvenirs d'un avant encore bien ancré, elle donne le change, son métier pour seul amant, jusqu'à ce que tout s'écroule. Seule, elle n'a désormais ni l'un, ni l'autre dans sa vie. Le temps passé sur le terrain, les échelons gravit les uns après les autres, ta vie pour celle-ci, sergeant-major de l'armée d'terre. C'est ce qui t'a amené à passer plus de temps de l'autre côté de l'atlantique plus qu'ailleurs, plus qu'auprès des tiens. Et maintenant, t'es au repos forcé pour t'remettre du drame affronté, et t'es presque incapable de faire face au monde qu'est plus vraiment le tien. Du cocon familial dans lequel tu étouffes, au canapé squatté le temps d'quelques soirées, t'es partout et nulle part à la fois.
your worst battle is between
what you know
and what you feel
| Sujet: Re: -- time of death (( byron )). Ven 2 Avr - 23:27 |
| ok, ok, je te guettais comme une creep, mais c'est parce que j'ai déjà tant d'amour là???? je te l'ai déjà dit et je le redis, mais merci de prendre ce personnage, je l'aime déjà tellement et j'ai trop hâte de voir la suite que tu vas écrire, parce que cette plume déjà???? j'suis sous le charme (pis, ofc que j'veux de toi, la question elle se pose même pas ) du coup, bienvenuuuuuue officiellement, et, merci, merci, merci, viens on va faire des beautés????? _________________ [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] | I can’t remember when we said goodbye; all I remember is the “I’ll see you soon”. And I held onto that broken promise, tighter than i held onto you. |
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| | | Invité;
Invité - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
| Sujet: Re: -- time of death (( byron )). Ven 2 Avr - 23:36 |
| [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] rugeruigerug, jE HURLE ça fait si longtemps que j'me suis pas laissée tenter par le scénario de quelqu'un, qu'j'ai la pression j'suis ravie que le début te plaise, surtout que j'fais ça en écoutant 44 autres choses à côté j'ai tant d'amour pour toi aussi déjà, j'te l'ai dit, ton personnage, ta plume, le lien, touuuuuuuut ON VA TELLEMENT FEELSER J'AI SI HÂTE, j'vais faire ma fiche si viiiiite, le temps que j'organise mes idées j'espère que t'es prête JE NOTE CE JOUR PARCE QUE JE SUIS TROP HAPPY d'avoir randomly cliqué sur ce scénario et tout et tout (oui c'était de la pure chaotic energy d'ennui de soirée et de zappage sur les topsites et un peu partout sur les forums, l'univers qui m'a envoyé un signe) (j'espère vraiment que tout te plaira, je t'enverrai un topo par mp pour voir si tout t'ira) |
| | | Sonny Roth;
-- des couleurs sur les maux -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
bador. ethereal, av | self, sign. betsi - peltz | brynn - o'neil | cez - o'connell | kurtis - king | oona - piekarz | sage - gauthier | tad - piper. 3083 910 27 ( m o o d b o a r d )
| Sujet: Re: -- time of death (( byron )). Sam 3 Avr - 0:05 |
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| | | Invité;
Invité - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
| Sujet: Re: -- time of death (( byron )). Sam 3 Avr - 0:12 |
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| | | Invité;
Invité - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
| Sujet: Re: -- time of death (( byron )). Sam 3 Avr - 0:18 |
| [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] aaaah, c'est donc ça tu veux m'rendre triste, peut-être? mais non, mais non, merci beaucoup pour l'accueil comme j'ai dit, j'espère que je serai à la hauteur pour le scénario, et niveau enthousiasme en tout cas, oui, j'suis motivée, et nesta est trop reugruger le perso comme la joueuse, so far, alors je sens que je vais m'y plaire [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] merci merci merci je suis d'accord, la fiche de nesta m'a fait palpiter, du coup j'vais faire tout mon possible pour lui rendre la pareille un accueil comme ça fait chaud au cœur également, ça me fait plaisir d'avoir craqué et trouvé ce scénario au si bon moment etc, ce sera avec plaisir qu'on se croisera en rp, si/quand tu veux, |
| | | Invité;
Invité - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
| Sujet: Re: -- time of death (( byron )). Sam 3 Avr - 9:26 |
| Mais quels bons choix Je te souhaite la bienvenue parmi nous |
| | | Kaan McDonald;
-- what you hide controls you -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
jordan calloway. waldosia. kemen. 844 885 33 éternel éconduit de l'amour. ex-basketteur aux rêves avortés. reconverti en interne en médecine d'urgence. kurtis - you ? - you ? - you ? - you ?
| Sujet: Re: -- time of death (( byron )). Sam 3 Avr - 10:22 |
| bienvenue par ici _________________ dans le jeu des persiennes, des fumées me reviennent, comme les démons insomniaques de nos amours rebelles. nos conditions humaines, nos émotions cruelles, comme des vapeurs qui m'attaquent, hallucinogène. |
| | | Invité;
Invité - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
| Sujet: Re: -- time of death (( byron )). Sam 3 Avr - 12:48 |
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| | | Contenu sponsorisé;
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| Sujet: Re: -- time of death (( byron )). |
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