jamais deux sans trois

BON, tout d'abord à la base de la base, de la base de la base, j'avais dans l'idée de ne faire uniquement que Euphémia, puisque je reprend le rp après une longue pause et surtout une vie IRL catastrophique but, ça va mieux, et comment dire l'inspiration est full là, c'est aussi sans compter sur la présence de mes partenaires et ma dévotion pour elles (je suis généreuse hein ) du coup je me retrouve avec l'idée de deux futurs comptes. Alors, ok je m'y prend tôt, mais j'aimerai beaucoup construire des liens avec d'autres membres afin des les intégrer au maximum

personnage numéro 1 : Rhea (gemma chan) ; entre 35 et 40 ans ; fiancée à @elijah hughes, cerberus (chefs de clan) des HELLHOUND.

-- Qui est Rhea, c'est une femme à la Cerseï, une oisive de pouvoir, une orpheline débrouillarde qui très jeune est tombée dans l'illégalité, qui a su jouer de sa position de femme pour en faire sa force. Longtemps elle s'est laissé malmener, courbant l'échine faussement, pour devenir une véritable stratège dans l'illégalité, les affaires, et surtout le pouvoir qui l'obsède.
-- Elle ne connaît pas son père, a été emmené très jeune sur le continent de l'Oncle Sam, une mère actrice raté, finissant prostituée, qui s'est suicidée mais clairement Rhea avait conscience qu'en lui donnant ses pilules ce soir là, sa mère allait disparaît. D'abord un parcours d'errance dans un système social qui n'est pas adapté, Rhea demeure observatrice, silencieuse, se laisse volontiers malmené.
-- Niveau caractère :

Citation :

MANIPULATRICE de celles qui ont survécu à travers des actes de trahisons, de celles qui font danser au creux de leur paume les âmes naïves et loyales qu’elle écrase de ses AMBITIONS royalistes. ORGUEILLEUSE à la fierté flanquée en étendard devant mille sujets, elle paraît mur IMPASSIBLE , dame de givre ou de marbre selon la hauteur du crépuscule. ÉGOÏSTE elle piétine et écrase de ses caprices, et ne recule devant rien pour mener les siens à la victoire. MATERNELLE des entrailles qui dégueulent d’amour pour les enfants du clan, mais aussi et surtout pour ceux à qui elle offre la vie, des fils et filles pour qui elle réduirait la ville à feu et à sang. love no one but your children . INSÉCURE aux contours fragiles d’une agonie infantile qui n’est jamais parvenue à cicatriser, la souveraine possède mille failles et doutes qu’elle emmure derrière le masque qui fige ses traits D’UN CHARISME INDIFFÉRENT

-- Quelques passages de ma fiche :

Citation :

Aux errances amères, elle vendra l’illusion d’un corps pour bâtir son royaume.

A ces cils battants, la stratège prend naissance, d’une balle qu’elle loge entre les deux yeux d’un bourreau. D’une errance poussiéreuse, elle se flanquera derrière les hommes les plus naïfs pour parvenir à ses fins. Perséphone efface la princesse, et les unes après les unes, elle grimpera les marches de l’Olympe qu’elle a tant cherché, afin d’y siéger. Couronne  déposée sur le haut de son crâne, le talon écrase les amants, maris, et amis d’antan sans aucune sommation : power is power .

Citation :

Et lorsque la lune s’élève, le cœur se saccade, d’une main prisonnière, et de suppliques jamais entendues.

Mère l’arrache à la destinée, mère l’enferme au-delà de l’océan, cajole ses joues comme on travaillerait une pierre précieuse. Mère l’emmène dans la chute infernale de ses élans d’angoisses, de sa haine farouche à l’égard d’une dynastie à laquelle l’enfant est promise. Mère s’efface, au milieu de cette terre inconnue, face à ces étrangers qui malmènent chair et cœur d’une reine à la grâce perdue. Et dans le pulsant d’une enfant, au milieu d’attentes archaïques, d’une promesse jamais tenue, la haine vient pourrir l’écrin de son humanité. D’une nuit hivernale où les hommes de passages se saisissent du corps de l’ancienne reine, la lassitude d’une requête à laquelle l’enfant accepte d’y céder, main déposant la boite de cachet qu’elle enfoncera dans le gosier. Et sans compassion, les rétines de l’enfant observeront le corps de la mère chuter. Pour ne plus jamais se relever. i want you to die.

personnage numéro 2 ; Eileen Shelby ; agent artistique ; la quarantaine bien tassé, mère divorcé et ex petite amie de @niel hughes

-- l'histoire en quelques bribes : Eileen vient d'une famille nombreuse, née au Texas, la mioche a mangé la poussière, romantique et artiste peintre en devenir, elle est accaparé par l'éducation de sa fratrie nombreuse. une mère sous anxiolytique, un père redneck à la main lourde. le tableau crasseux de ce que peut être la fille issu du white trash américain, pourtant Eileen, elle y croit en l'avenir, un peu naïvement, elle cherche à échapper à tout ça à travers l'amour. C'est très/trop jeune qu'elle découvre la sexualité, qu'elle décide adolescente de suivre un gars qu'elle cherche à sauver, qu'elle abandonne la fratrie sans même se tourner.
-- le conte de fée tourne au désastre, d'abord parce qu'elle ne vit qu'à travers lui, puis parce que très vite la violence commence à pointer le bout de son nez, alors un jour plus qu'un autre, c'est la goutte de trop, Eileen se sauve honteusement, ne souhaite pas retourner à la maison, elle finira en foyer, femme de ménage, décrochera une bourse universitaire, y fera la rencontre d'hommes dont elle ignore les red flag toujours éprise de ce besoin de sauver l'autre, d'aimer, de croire que l'amour résout tout.
-- Eileen elle se cache de son ex, entame une relation avec Niel, fini par l'abandonner quand elle comprend à quel point ce monde n'est pas pour elle, à quel point l'enfant qu'elle porte en elle peut être mise en danger devant autant d'exposition. Alors Eileen s'évapore, Portland comme berceau, les études sont abandonnés, elle trouve un boulot de secrétaire puis fini agent artistique avant d'être rapidement muté à New York avec sa fille.
-- Eileen c'est une âme solaire, frivole, parfois légèrement immature, pourtant terriblement attachante et si vraie, des âmes comme on n'en trouve peu dans ce monde, de ces femmes qui laissent ses émotions parcourir son corps en toute liberté, sans jamais les craindre. De celles qui se fiche du qu'en dira-t-on, les propos parfois inadapté, tant la franchise bienveillante et innocente d'une enfant transgresse ses lèvres.


BON, vous l'aurez compris mon goal c'est de pécho les hughes, bisous  

@Ares Madds @Elijah Hughes
@Isis Castellano pas de souci chaton, j'irai aussi lire un peu tes personnages ce weekend