( i may be a monster, but at least i’m honest about it ) / vitaly

traits de caractère / torturé / violent / manipulateur / intelligent / froid / séducteur / destructeur / protecteur / pragmatique / impulsif / loyal / possessif / stratège / passionné / solitaire / méfiant.

( gigantic and terrible monster in the shape of a wolf. He is the eldest child of Loki and the giantess Angrboda. When the gods heard the prophecy that one of Loki’s children would be their undoing, they tricked him into being chained up; as a result of this Fenrir bit off the god Týr’s hand. At Ragnarök, the wolf will break free. He will join forces with the enemies of the gods and will then eat Odin )

Vitaly, il a les yeux remplis de terreur. L’air disparaît de ses poumons à chaque respiration. La poitrine douloureuse, le loup de nuit, il se perd. Visage qui s’éteint au fil des secondes. Cette violence furieuse, elle lui est familière. Elle est prédominante. Galaxie plongée dans le noir, ravagée par une tempête stellaire qui détruit tous les astéroides. Il est instoppable le monstre qui le tyrannise. Il est aspiré dans les limbes quand les coups assassins frappent sa peau. Les paroles dévastatrices percutent ses tympans. Mélodie qui fragilise son esprit. Lui, il a cessé d’être le fils apeuré par la fureur de Judas. Lui, il a grandi dans cet univers agonisant. Une planète sans oxygène. Son cœur, il souffre malgré tout.  Il est émietté en des morceaux qu’il ne peut pas récupérer. Il ne parvient pas à reconstruire des murailles pour le protéger. Il la subit cette haine paternelle. Fils maudit d’un hydre qui répand sa rage. Et, Vitaly, impassible esclave, il reste immobile. Figé, il accepte la violence du bourreau. Les yeux clos, il a les muscles foudroyés par des orages olympiens. Le sang chaud coule sur sa peau. Il se perd dans cette eau gelée. Vulgaire louveteau, il ne combat pas le prédateur. Il courbe l’échine contre le cerbère affamé. Il accepte la sentence fatale. Il se laisse aspirer dans cette agonie certaine, conscient que les soldats rebelles sont rendus poussière. « Bat toi fils au lieu d’être une déception constante ! » La voix autoritaire de l’être supérieur rappelle la grandeur du lion qui le surplombe. Lui, il a le regard froid qui gèle la lave en fusion. Il est le général qui fait exploser les bombes atomiques. Le chef guerrier, totalitaire, qui fait s’évaporer l’innocence. Vitaly, il a appris de ce paternel monstrueux. Il a grandi à ses côtés dans l’ombre. Mais il ne la montre pas sa violence inondant sa chair. Il la camoufle. Illusionniste de talent, il mime une douceur inexistante, une faiblesse imaginaire. Il préfère, il se laisse porter dans l’océan, sans s’acharner. Il ne l’a jamais combattu pour le moment ce tyran. Il a les traits qui s’enflamment. Elle apparaît cette colère qu’il cache dans ses entrailles. Elle se réveille la bête rageuse qu’il a laissé endormie. Vitaly, il a tout mémorisé des enseignements du maître. Vitaly, il est fort le loup alpha qu’on pense faible. Ses yeux fixent l’oppresseur. Il se redresse, il assume sa stature le géant. Le poing fracasse son abdomen endolori. Mais, le prodige armé, il est prêt au combat. Cette guerre qu’il évite depuis son enfance. Et, lui, il s’anime quand la douleur s’intensifie. Son cœur s’emporte. Il le repousse cet ennemi. Être sanguinaire, il est cette bombe enclenchée qui menace d’exploser. Il bondit en avant pour éviter la nouvelle attaque. Il lance la bataille à son tour. Il avance plus près de l’astéroïde. Les planètes se percutent. Hypnotisé par les rois de la guerre, il ne se contrôle plus. Il est cruel. La proie devenue prédateur. Il laisse les flammes s’exprimer. Elles brûlent tout. L’incendie, il réduit en cendres la vie. L’adversaire s’écroule. Le crâne heurtant lourdement le coin de la table. Il a les yeux clos l’astre nébuleux. Il s’en approche, le cœur s’arrête. Il touche le corps inconscient. Silhouette étendue à la peau froide. Il cherche les battements signes de vie dans sa poitrine. Il comprend.  L’élève a détruit le maître. Il a ôté la première vie. Fils ayant tué le père. Vitaly, il devient Fenrir, lui, il a détrôné Odin. Il a pris la place sur le trône. Il règne sur le monde souterrain, couronne sur la tête.

Les lumières blafardes, elles l’éblouissent. Elles tranchent nettement avec le noir qui remplit son cœur. Battements qui déraillent dans sa poitrine. L’air a disparu de ses poumons. Il agonise à mesure que les secondes s’écoulent. Et, Vitaly, dieu du monde souterrain, il sait qu’il vient d’accueillir une nouvelle humaine dans son univers. Pureté qui mérite le paradis. Le jardin angélique des âmes étincelantes. Elle ne devait pas se perdre dans les ténèbres. Fenrir, il est responsable. Malheureusement il l’a plongé dans la mer dangereuse, remplie de monstres assassins. Il a pris la place d'Odin. Le fils du terrible, il est devenu l’hydre déformé. Il a convoqué tous ses frères divins. Les trois divinités suprêmes ont détruit cette reine douce. Cœur atrophié qu’il a malmené quand il lui a enlevé son être aimé. Femme dépossédée de son amoureux éternel. Sa mère divine, elle n’a jamais su qu’il avait été la faucheuse. Bourreau de l’ombre, il l’a couvert son crime. Il a gardé le silence sur sa nature meurtrière. Ses yeux teintés d’une noirceur invisible, il refuse de les dévoiler. Il les camoufle quand il sourit. Elle, alliée des enfers, elle est la seule à savoir. Elle s’est agenouillée à ses côtés pour qu’il se relève. Elle la comprend cette culpabilité harassante qui l’envahit. Il lui a juré allégeance pour l’éternité. Pacte silencieux pour protéger la puissance du royaume. Ils l’ont pleuré le dieu déchu. Etoile qui s’est perdue dans le trou noir. Le souffle court, il a contemplé les averses mortelles se répandant sur le corps trop frêle de sa mère. Elle s’est noyée. Il l’a vu prise dans les vagues. Et, fils indigne, il n’a pas réussi à la sauver. Il a essayé de toute sa ferveur. Il a amené des éclats de lumière, il a attrapé les étoiles pour lui offrir. Vainement. Les mots des médecins résonnent dans sa tête. Elle a commis le péché mortel. Symbole de sa damnation. Elle s'est sacrifiée quand son coeur avait déjà rejoint le monde des morts. Elle n'a pas vaincu le tsunami de tristesse qui l'a frappé. L'obscurité elle a gagné la guerre. La lumière, elle s'est éteinte. A tout jamais. « C’est de ta faute tout ça ! C’est à cause de tout ce que tu as fait qu’elle est morte ! » Le frère meurtri a raison. Il le sait Vitaly. Prince des enfers. Il a conscience de la violence de sa culpabilité. Il a le visage de marbre, gelé dans la glace. Son coeur, il ne le sent plus. Persuadé d'être puni pour avoir obtenu le trône du monde invisible.  Il n'entend plus les battements dans sa poitrine. Il flotte vers le néant comme flotte la mort qu'il provoque. Il n'est pas un roi victorieux. Ses pieds se détournent. Ses pas, ils prennent la fuite. Il s'éloigne de son empire.

Elle est ravageuse, mortelle culpabilité qui ronge ses entrailles. Souffrance inaudible. Imperceptible mal qui le plonge dans les limbes. Vitaly, prince des enfers, il est parti. Il s'est éloigné de sa destinée. Il n'a pas suivi sa route stellaire. Dépossédé de sa couronne royale qu'il a retiré de sa tête, il a disparu dans le noir. Une nuit qui ne disparaît pas. Elle l'envahit. Obscurité incessante, elle est tout autour de lui. Et, enfant de la nuit, il la cherche. Il ne tente pas de la retrouver la route vers les étoiles. Au contraire, Vitaly, il plonge plus profondément. Il appelle les démons. Il frôle le diable pour qu'il l'envoûte. C'est son châtiment qu'il cherche. Sa punition divine qu'il attend. Il la provoque cette condamnation mortelle. Il lâche les armes. Il virevolte autour des soldats de Satan. Et, bête léthargique, il ne répond pas à la violence des coups. La rage des monstres, elle se répand partout. Venin qui se propage dans ses veines. Les muscles foudroyés par les éclairs de Zeus. L'abdomen enflammé qui se consume. Faible astre qui s'explose contre une puissante planète. Elle est là sa force, elle est en lui. Mais la bête il ne la convoque pas. Il la maintient en laisse, le prédateur enfermé dans cette cage. Il la cherche cette affliction. L'oxygène s'en va de son corps. Poumons qui agonisent. Et, les ennemis, ils s'acharnent contre le guerrier désarmé. Il ne se défend pas. Etoile qui accepte sa fin tragique, quand il aperçoit la météorite. Il chute vers le trou noir. Humain en perdition, il se fracasse. Il n'arrive pas à se redresser, le souffle coupé. Les yeux agonisants, il dévoile les fissures de son âme. Il ne lutte plus.

Les regrets, ils se sont envolés. Fines particules de poussières emportées dans le trou noir, perdues dans le néant stellaire. L’innocence chimérique, elle est partie. Il l'a laissé s'enfuir. Il s'est détourné. il est revenu sur ses pas. il est retourné là où il devait. Le cœur, il a fini par cesser de battre. Cet organe est mort. Il a cessé de vivre parmi les humains. Vitaly, il a obtenu l'immortalité. Elle est à lui cette place sur le trône du monde souterrain. Fenrir, il a déjoué les lois des dieux. Il n’est pas fragile. Les dieux l’ont mis à genoux. Vitaly, il s’est relevé. Enfant de l’ombre, loup de la nuit, c’est dans les ciels sans étoiles qu’il est à sa place. Une existence près des étoiles filantes, il ne la mérite pas. Fenrir, il n’est pas divin. Il est l’inverse d’un prophète. Il n’est pas le dieu de la vie. Il est le maître de la mort. Esclave de la faucheuse, il est le bourreau qui détruit des mondes.  La météorite qui transforme en poussières les planètes brillantes. Il ne mène aucune conquête stellaire. Il ne sauve pas les royaumes des monstres tyranniques. Vitaly, il est le géant qui embrase les terres. Lui, il ne protège pas les autres. Il n’empêche pas les lumières de s’éteindre. Terrible vitaly, il fait exploser les étoiles. Il amène le chaos. De ses doigts, il est l’étincelle qui allume les incendies. De son cerveau, il est le stratège qui part en bataille contre les innocents. De ses bras, il est la violence qui laisse une empreinte sur les astres. Il en a mené les conquêtes pour prouver cette loyauté incassable envers le roi. Le dieu ultime. Un pacte qu'il ne pouvait pas briser. Les Yakov, apôtres de Satan, ils sont sa destinée. Il n'a pas déjoué les règles de l'univers. Il n'a pas combattu la tyrannie des titans. Et, vitaly, il est devenu le titan. Le maître des enfers qui renie le paradis. Il s'est enfermé dans ce monde où il règne. Château enflammé où ses yeux contemplent la violence qu'il répand sur les faibles. Les impuissants qu'il brise dans son armure de chef de guerre. Il le fait pour cette famille aux liens sacrés. Lui, l’être sanguinaire il a obtenu le pouvoir suprême. Les clés de l’enfer. Le loup guerrier solitaire obnubilé par son infinie dévotion. Les étoiles, elles ont tenté de s’approcher. Elles l’ont frôlé l’astéroide destructeur. Et, lui, il a préféré les éviter. Sauf elle. Une comète étincelante. Elle lui a donné la galaxie quand il n'attendait qu'une poussière d'étoiles. Rebecca, fleur éternelle qu’il tâche du sang de ses victimes. Astre divin. Il ne veut pas la noircir cette beauté de la fleur. Elle ne le sait pas. Mais Vitaly, il provoque le chaos quand il touche les corps. La collision, elle n’a pas été évitée. Douce créature, elle a le coeur qui appartient au diable. Au loup maléfique qui effraie les innocents. Elle le change le meurtrier impitoyable. Elle réveille une humanité disparue quand elle caresse sa peau nue. Elle, elle ramène de la chaleur dans ses veines quand elle a un sourire solaire qui se dessine sur ses lèvres.  Rebecca, elle est la vie. Vitaly, il est la mort. Elle la ranime cette carcasse gelée par les vents du Groenland. Lui, il s’empêche d’être indigne. Le reflet de ce père qu’il a écrasé. Elle ne le connaît pas le visage dissimulé sous l’épaisseur du drap blanc. Il ne veut pas qu’elle le voit quand elle réveille les battements d’un cœur détruit par la violence. La lumière, elle en apporte grâce à des milliers d’étoiles qu’elle amène dans le ciel. Elle l’a fait naître cet amour interdit. Les émotions inutiles qu’il a endormi pendant des années, elle les a réveillés. Rebecca, joyaux éclatant dans une galaxie sombre. « Est-ce que tu veux m’épouser Becca ? ». Il les prononce les mots qui sont un blasphème pour les dieux. L’ange avec l’incarnation du diable. Il en a conscience de sa nature démoniaque. Mais sa compagne sacrée, il a envie de la garder à ses côtés. Il la cherche la chaleur qu’elle provoque dans sa chair. Son visage s’approche du sien. Il la contemple la princesse du paradis. Et le prédateur, il ne veut surtout pas la détruire. Lui, c’est des mondes qu’il pourrait détruire pour la protéger.

Une fragilité de corps, une force de l’âme. ses iris la contemplent la créature divine. briséis, elle n'est pas angélique. briséis, elle n'est pas diabolique. briséis, elle est de fines tâches de blancs dans un drap noir. Briséis, elle est un oiseau aux ailes grises. Elle n’est pas la pureté de la colombe. Elle n’est pas l’obscurité du corbeau. Vitaly, il le sent, même s’il ne le scrute pas son esprit protégé par des murailles. Le monstre, il y plonge parfois dans ses yeux à la beauté de l’océan. Elle, elle n’est pas la tempête qui attise la mer pour produire des vagues. Elle n’est pas l’ennemie qui le noie dans les limbes. Pourtant, elle en a des allures de sirène divine. Elle a la voix qui enchante les cœurs. Mélodie symphonique pour les oreilles. Douce fille d’eden, elle est un mystère qu’il a laissé pénétrer dans son royaume protégé. Le loup méfiant, il l’a laissé s’approcher de l’antre satanique, petit à petit. à pas félins, elle l’a trouvé sa place à ses côtés et l’homme sauvage, il les a fait tomber les barrières invisibles autour de la bête qui ravage les esprits. elle, toujours près de lui, elle l'aperçoit parfois le visage sévère du maître des enfers. le meurtrier qui s'éveille. elle l'entend aussi sa voix qui s'élève de colère dans l'air pour troubler les âmes innocentes. il en provoque des ouragans vitaly dans sa fureur destructrice. elle ne s'enfuit pas. elle n'est jamais partie. il vient d'en troubler un coeur pur par son ton assassin et sa pauvre victime, elle n'a pas attendu une autre blessure pour disparaître dans la galaxie. briséis, alliée fidèle, elle ne bouge pas. jamais, elle ne sursaute devant le prédateur. elle le sent qu'il a l'esprit qui se fracasse contre un astéroïde. elle lui lance ce sourire qui fait fondre les glaces du groenland. son geste, il est doux quand elle pose sa main sur la sienne pour qu'il le retrouve le monde des vivants. « je te ramène un verre de whisky ». à ses mots, il le sait qu'elle le connaît. lui et ses habitudes pour calmer les tentatives d'attaque des dieux pour qu'il vacille. ses yeux, ils s'attardent quelques secondes de trop dans l'océan bleuté qui le captive. et, son coeur, c'est un battement trop intense qui l'anime.