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 (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot)

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Message Sujet: Re: (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot)   (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 9 Empty Ven 20 Déc - 4:55



still into you
Gabriel - Joanne

«La vie c'est des étapes... La plus douce c'est l'amour... La plus dure c'est la séparation... La plus pénible c'est les adieux... La plus belle c'est les retrouvailles..» nicolas antona
Toi qui maudissais Mira de s'être légèrement mêlée de ce qui ne la regardait pas, tu finis finalement par la remercier intérieurement. Sans elle, tout ceci ne serait jamais arrivé. Pas d'invitation, pas de mariage ni de Vegas. Pas de chance de prendre l'air le temps d'un weekend, de vous offrir une escapade loin de New-York et vos quotidiens compliqués. Tu n'aurais jamais prit l'initiative de vous réserver une escapade pour tous les deux, jamais t'aurais pensé que vous puissiez vous tenir le temps de quarante huit heures. Vingt-quatre sont déjà passées et aucune dispute n'est venue pointer son nez. Cela relève littéralement du miracle. Car jamais vous ne vous êtes aussi bien entendus qu'aujourd'hui. Vous étiez déjà complices avant de prendre l'avion, encore plus lorsque vous vous êtes endormis l'un contre l'autre quelques heures avant de débarquer. Vous sembliez amoureux lorsque vous vous êtes permis de découvrir la ville, l'hôtel et votre suite. D'autant plus lorsque vous avez assistés à la cérémonie. Beaux comme jamais, resplendissants, main dans la main. Sans la moindre retenue, aucun artifice étant de mise. Juste Gabriel et toi tentant d'apprécier une chance hors du commun de passer à autre chose. De passer à la vitesse supérieure. Tu t'es déjà posé la question Gaby de ce que l'on aurait pu être aujourd'hui si on s'en était donné réellement les moyens? Tu penses qu'on aurait pu devenir quelque chose de bien?

Que ce soit lorsque vous quittez l'espèce de bureau/salle à la dérobée ou bien dans les escaliers, tu ne manques pas d'appuyer sur le fait que ton tatoué soit horriblement sexy. Faut dire qu'après treize années à le côtoyer, à coucher avec et à le tatouer son corps tu le connais par coeur et tu l'aimes furieusement. T'es capable de le dessiner les yeux fermés, tout comme tes doigts eux sont capables de retracer l'encre que tu as apposé contre son épiderme depuis le début de ton apprentissage. A tes yeux, il est le plus beau de tous. Le plus gentil combien même cela lui joue et lui jouera des tours, trop rêveur ce qui ne manquera pas de venir lui claquer en plein jour avec une baffe de réalité. Il est trop amical, trop social. Véritable caméléon, s'entendant avec tous le monde là où toi t'es son parfait contraire. T'as finis par penser au fur et à mesure des années que c'est toi qui ne le méritait pas. Que t'étais trop pourrie pour lui et qu'un jour ta pourriture finirait par l'atteindre. Venir le contaminer, s'implanter en lui pour ne plus le quitter. Pourtant combien même t'es sévère dans tes propos, furieuse parfois il est toujours là. Il n'est jamais vraiment parti et parfois c'était douloureux que de le voir heureux. Comme si toi tu ne crevais pas de son absence dans tes bras, comme si tu ne crevais pas de ce manque que tu ressens pour lui. Le jour où vous vous êtes séparés, il a gardé une partie de toi. Depuis ce jour, il la garde jalousement. Ignorant sûrement qu'elle se trouve à ses côtés. Tu ne l'entends pas Gabriel, cette petite partie de mon cœur que tu caches dans ta poche chaque jour qui passe? Celle qui hurle son désespoir et sa peine de pouvoir un jour retrouver son myocarde incomplet.

Une fois votre chambre regagnée, c'est tout naturellement que tu files en direction de la salle d'eau afin de faire couler de bain dont tu rêves depuis déjà plusieurs longues minutes à présent. L'eau chaude, la mousse, le confort de ses bras. Bah ouais, tu comptes pas le laisser dans son coin Jo'. Manquerait plus que ça qu'il te ramène un truc à boire pour mieux fuir derrière. Tu te déshabilles rapidement, ôtes ta robe et saute dans le fond d'eau chaude mêlé de mousse qui crépite sous ton poids alors que tu t'assois dans l'acrylique blanchâtre. Tu chantonnes même lorsque tu l'attends, t'amusant dans ces paillettes brillantes s'étalant tout contre ta peau. Lorsqu'il te rejoint accompagné de deux verres, t'appuies sur le fait que tu ne souhaites pas le voir se dérober et t'abandonner bien au contraire. Soulagement de ta part lorsque tu le vois ne pas perdre la moindre seconde avant de faire à son tour chuter les couches de vêtements. Bordel, tu t'en mords la lèvre inférieure tant le spectacle te plaît. Une fois dans sa tenue d'Adam, Gaby ne manque pas de venir se loger dans ton dos. Ses bras entourent ta taille et tu te mets à ronronner immédiatement. "Je suis d'accord, tu devrais me "laisser tranquille" plus souvent." Tu t'amuses à ton tour, alors que la voix de ton encré se veut basse. Calme tout contre ton épiderme. Vous savourez cette étreinte autant qu'il ne se puisse. Qui sait quand d'autres occasions de ce genre se représenteront pas vrai? Tu te redresses difficilement, mais bien décidée à faire honneur au cocktail t'ayant été servi. Agréablement surprise, tu l'es d'autant plus lorsque ton compagnon te confesse l'avoir préparé selon tes goûts. Pour te faire plaisir. J'pensais pas tu sais Gab, que tu faisais attention à des détails du genre. Et je dois dire que c'est plutôt.. Plaisant? Rassurant?

"Tu pourrais presque essayer en body-shot!" Tu te mets à glousser lorsque ton tatoué émet l'idée de tester le goût alcoolisé ailleurs que sur ses lèvres. Plutôt amusée par cette idée, tu retrempes à nouveau tes lèvres dans le verre sucré. Généralement, t'aimes les alcool sec. Un bon whisky suffit à remporter ton cœur haut la main. Pour ce qui est des mélanges, t'es nettement plus complexe mais tu n'as apparemment pas à t'en faire avec ton mixologue personnel. Après avoir étanché ta soif pour l'instant, tu te mets à entreprendre une drôle de gymnastique visant à te rapprocher un maximum de Gabriel pour te lover face à lui. Il ricane, alors que tu galères très clairement à te retourner dans cette baignoire pourtant excessivement grande. Manquerait plus que tu glisses pour te retrouver les quatre fers en l'air tiens. Lorsque tu te retrouves face à lui, tu laisse tes cuisses passer au dessus des siennes et tes bras se nouer en un étau autour de sa nuque. Tes doigts eux caressent tendrement son épiderme tatoué alors que vos lèvres se retrouvent. La barre de ton piercing roulant contre sa langue au fur et à mesure que vos bouches se font l'amour. Tu ne manques pas d'étouffer un hoquet de surprise lorsque les mains de ton encré elles se faufilent contre toi pour te soulever et te placer contre son bassin où tu peux déjà constater l'envie éveiller sa virilité contre laquelle tu viens te frotter en rythme de vos baisers. J'crois que si on me demandait à quoi ressemble le parfait paradis sur terre Gaby j'dirais qu'il est ici. Dans ce bain, dans tes bras, contre toi.

Tu gémis, geins malgré les baisers effrénés auxquels vos bouches semblent bien décidées à s'accorder. Presque inconsciemment tu remues de plus belle à chaque seconde qui passe. D'autant plus lorsque les canines de Gab finissent par lâcher ta lèvre inférieure pour te feuler toute l'envie qu'il peut avoir pour toi. "J'suis à toi Gaby..." A lui et rien qu'à lui, pas vrai Joanne? Tu recules ton visage quelques minutes pour perdre tes yeux dans les siens. Le brun profond t'aspirant, te noyant dans sa chaleur en te faisant presque tourner la tête. Tes bras quittent la nuque de ton amant pour te permettre de les perdre sous l'eau. L'une atteignant le fond de l'acrylique ardent pour te permettre de te soulever légèrement et l'autre le guidant sans plus attendre entre tes cuisses, taquinant l'entrée de ton intimité ne demandant qu'à le voir glisser en toi profondément. Vous ressentez tous les deux cette progression avec profondeur. Centimètres par centimètres, tes plaintes se tirent dans les graves alors que finalement te revoilà tout contre son bassin. De nouveaux unis comme vous savez si bien l'être. D'avant en arrière, ton bassin se met à danser alors que tes bras quittent l'eau et que tes jambes s'enroulent toujours plus autour de ton tatoué. Tes mèches couleur feu sont humides, te collent à la peau et à la sienne au passage alors que tu viens loger ta poitrine tout contre son torse. T'as besoin de sentir vos battements de cœur s'aligner sur la même onde, au même rythme que vos plaintes de bonheur alors que tu prends petit à petit en cadence. Vos corps amoureux créent un léger courant dans cette foutue baignoire, clapotis d'eau mêlés à cette symphonie de feulements. C'est pas comme s'il avait besoin de longtemps te prier pour que tu cèdes à ce genre d'envies de sa part bien au contraire. T'es incapable de lui résister, même quand la colère est forte au point de te donner la migraine et la nausée. Tu lui appartiens tout simplement. Corps et âme depuis près de treize ans. Promets-moi que l'on ne s'arrêtera pas en si bon chemin Gabriel, que demain sera un jour tout aussi beau. Tout aussi bon. Qu'on est capable de laisser la magie continuer, prendre en ampleur. Nos ailes, elles sont pas obligées de brûler pas vrai?

(c) DΛNDELION / MORPHINE (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 9 3794924939  


@Gabriel Dixon  (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 9 2288768012 (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 9 3227196488
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Message Sujet: Re: (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot)   (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 9 Empty Sam 21 Déc - 13:23




Still into you.
J'te revois perdue dans la foule
Avec tous ces mongoles bourrés qui dansent n'importe comment
Et j'me revois moi essayant de t'atteindre en évitant les gens qui hurlent
Et font des grands gestes absurdes
Et toi qui attend, terrorisée, au milieu du chaos
Et puis tes joues et puis ta peau.



Si ce week-end ne marque pas un changement radical dans vos deux vies, il aura au moins permis de réaliser que vous êtes quand même bien capables de vous entendre tous les deux. En tout cas, plus que ce que tu aurais pu t'imaginer. En prendre conscience devrait au moins vous aider à voir les choses de façon plus claires et plus sereines. De vous permettre de réaliser que vous savez quand même faire quelques efforts. Au moins un minimum en tout cas. Assez pour passer de supers bons moments ensemble. Parce que c'est bien là ce que vous êtes en train de faire. Partager des moments hors du temps, hors de la réalité. Vivre votre meilleure vie, votre meilleure relation. T'aimerais tellement que vous puissiez être ainsi tout le temps. Constamment. Juste être heureux sans vous poser mille et une questions. Vous le méritez selon toi. Vous méritez tant et vous avez pourtant si peu. Vous n'étiez peut-être pas prêts avant ça. Pas décidés à faire tout ce qu'il fallait, pour de vrai et pour de bon. Ou vous n'êtes véritablement que deux idiots. Il y a forcément du vrai là dedans aussi. Malheureusement. Un jour ça changera. Vous êtes en train de faire en sorte que ça change. Que ça évolue dans le bon sens pour une fois. Ce que tu apprécies vraiment. Parce que t'es fou d'elle comme au premier jour. Si ce n'est plus encore, sans doute. Parce que malgré vos incessantes prises de tête et périodes de froid polaire, t'as eus le temps de la découvrir. De la voir réagir face à tout un tas de situations imposées par la vie. C'est ainsi que tu sais vraiment ce qu'elle vaut. Et à quel point elle est forte. Parce qu'il faut l'être pour affronter certaines épreuves qui se sont imposées à elle.

Et tout ça, tu te doutes qu'elle aimerait bien l'entendre. Que ça ne lui ferait pas de mal de savoir ce que tu penses d'elle en sachant qu'il n'y a finalement que du positif. Mais c'est compliqué pour toi depuis toujours et ça le restera certainement. Surtout parce que, d'une certaine façon, tu as toujours trop peur de la faire sortir de ses gonds. Pour un oui ou pour un non. Coup d'éclat, coup de folie, perte de contrôle. Tu t'attends toujours à ce qu'elle t'explose en pleine gueule. Parce qu'elle ne se contrôle pas elle même dans le fond. Parce qu'elle t'en veut toujours pour un truc ou pour un autre. Alors tu passes d'autant plus de temps à réfléchir à pourquoi et surtout, à comment éviter que ça n'arrive. En vain. Tu fais tout ton possible pour qu'elle se détende un peu et cesse d'être sur ses gardes en ta compagnie et il te semble que ça ne va que de plus mal en plus mal. Tu penses trop souvent que ta sociabilité est quelque chose qui lui pose problème. A elle qui est tout le contraire pour le coup. Elle qui est toujours sur ses gardes et qui ne laisse personne entrer dans sa vie, d'une quelconque façon que ce soit. Tu aimerais qu'il en aille autrement mais tu ne vois pas bien ce que tu pourrais faire pour ça. D'autant plus que, dans le même temps, tu te sens privilégié du fait qu'elle veuille quand même de ta présence dans sa vie. A tout prix. Tu es de ces rares personnes qu'elle continue de côtoyer malgré tout. Et de ça, tu ne peux décemment pas t'en plaindre toi. Le temps qu'elle voudra bien de toi, tu seras là. Et ce, même quand ça fait un mal de chien.

Ce week-end vous profitez au point de faire des choses que vous n'avez jamais eus l'occasion d'expérimenter ensemble. Comme ce bain que vous prenez, dans les bras l'un de l'autre. C'est foutrement agréable et toi tu n'aspires qu'à profiter aussi fort que possible de tout ça. Et de toujours plus si tant est que cela soit possible. Tu ne pensais pas qu'elle aurait envie de partager ce bain avec toi. Mais tu ne t'en plains pas du tout, une fois que t'as son corps pressé contre le tien et qu'elle semble prendre plaisir à avoir tes cuisses contre les siennes et tes bras autour de sa taille. De toute évidence, ça lui plaît à elle aussi. Ce qui est donc, forcément, plus que parfait. Tu ris tout en douceur, ce qui est plutôt rare chez toi, quand elle te confirme que tu devrais plus souvent "la laisser tranquille". Du moment que ça signifie que vous profitez de quelques instants des plus tendres ensemble, ça ne peut que te convenir à toi. Tu n'aspires même désormais plus qu'à vivre des choses pareilles avec elle. J'avoue qu'c'est plutôt agréable ... Que tu t'amuses dans un rire des plus légers. C'est même beaucoup plus que ça en vérité. Mais lui faut-il vraiment davantage de détails ? Tu n'es pas certain. Pas alors qu'elle semble prendre tout autant de plaisir que toi à tout ça. Alors forcément, quand elle te fait remarquer que le cocktail est encore meilleur sur tes lèvres, tes pensées vagabondent et ton imagination fait le reste du travail. Forcément que tu n'imagines que trop bien l'alcool sur ta peau qu'elle viendrait lécher du plat de sa langue. Ou inversement. Parce que tu prendrais tout autant de plaisir à lui rendre la pareille. A venir lécher son corps en intégralité même, s'il le fallait, si tu le pouvais.

Ne m'tente pas ... Que tu fais mine de menacer d'une voix douce et chaude. Le ton bas et provocateur. Quand il lui prend l'envie de se retourner pour te faire face, elle y prend tant de soin qu'elle galère inutilement. De quoi t'arracher un nouveau rire des plus légers. Plus bas que ceux que tu laisses échapper d'ordinaire. Mais nettement plus sincères aussi et surtout. Tout naturellement, la position amène bien des choses. Quand ses lèvres viennent danser sur les tiennes, que vos langues se font l'amour avec sensualité et que, dans la foulée, vous ne pouvez qu'aller de plus en plus loin. T'as le palpitant qui s'affole tant c'est beau, bon et intense entre vous. Toujours plus. Plus fort que jamais. Plus incroyable. Et t'en veux justement toujours plus. Ce que tu prends sans te faire prier, quand de tes mains sur ses hanches tu la ramènes plus près encore de toi. Qu'elle puisse constater l'état dans lequel tu te trouves déjà. Sacré désir que tu ressens pour elle, pour ne pas changer. Si ce n'est le voir évoluer et se faire toujours plus intense. Et tu ne penses pas que ça lui pose le moindre problème, alors qu'elle prend le temps de se frotter à ton érection grandissante et conquérante. Elle aussi, avide de toujours plus. Les sons qui s'échappent de sa bouche sont autant de décharges électriques qu'elle vient provoquer au creux de tes reins. Tu ne peux qu'avoir de plus en plus envie d'elle, bien entendu. Souhaiter toujours plus de sa part. Attendre toujours plus de son corps. Celui là même qui continue de tanguer dangereusement sur le tien. T'es en train de t'emballer et c'est elle qui met finalement fin à la torture.

Après avoir affirmé qu'elle était à toi. Des mots qui ravissent forcément tes oreilles. Plus encore que le petit surnom tendre qu'elle ne t'avait plus donné depuis une éternité. T'es sonné par ça et par ses gestes. Mouvements fluides quand elle se redresse et de sa main libre, se charge de te guider en elle. Un grondement sourd t'échappes déjà. Tu te mords la lèvre inférieure pour retenir quelques potentielles autres plaintes du jour. Alors que de son côté, elle ne se fait pas prier pour haleter et gémir toujours plus fort. Toi dont le palpitant continue de faire des sienne. Toi qui ne souhaites rien d'autre que la voir et la sentir continuer toujours plus de cette façon. Parce que c'est puissant ce qui vous unie tous les deux. Alors que ses hanches dansent avec beaucoup de sensualité sur les tiennes et que tes mains se glissent plus bas encore. Pour aller se perdre sur ses fesses bien rondes que tu empoignes à pleines mains. C'est quand tu la tripotes et l'attrapes de la sorte, que tu prends conscience des kilos qu'elle n'arrête pas de perdre. Mais ce n'est clairement pas le moment pour faire la moindre remarque alors tu te tais et profites aussi fort que possible. De chaque va et vient. De chaque frôlement de ses pointes tendues contre ton torse. Et de chaque baiser dont elle vient te gratifier avec sensualité. Ses mouvements réguliers provoquent un courant régulier dans l'eau qui, en retour, rend ses mouvements toujours plus intenses. Et plus profond quand elle te prend tout entier en elle. Te capture de sa chaude moiteur qui se fait de plus en plus palpitante .A l'image de ton souffle de plus en plus court. De tes prunelles de plus en plus sombres que tu gardes plantées dans les siennes.

CODAGE PAR AMATIS



@Joanne De Luca  (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 9 3794924939 (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 9 3794924939
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Message Sujet: Re: (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot)   (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 9 Empty Mar 24 Déc - 1:50



still into you
Gabriel - Joanne

«La vie c'est des étapes... La plus douce c'est l'amour... La plus dure c'est la séparation... La plus pénible c'est les adieux... La plus belle c'est les retrouvailles..» nicolas antona
Vous êtes encore loin de noël, il n'y a qu'à juger des squelettes et autres monstres déguisés ayant traîné dans l'hôtel toute la journée pour devoir remettre encore l'esprit des fêtes à plus tard. Mais il faut dire que cette année tu devais demander un cadeau, ça serait un autre weekend comme celui-ci. Une semaine même, un mois, une année et même une vie. Mais tu dois te résoudre à l'évidence, t'auras pas le droit à ça. Combien même t'espères, combien même tu continues d'essayer. T'es trop maladroite pour ne pas le faire fuir d'ici là. T'es bien trop expressive et sanguine pour ne pas t'en prendre à lui la prochaine fois que tu jugeras son comportement stupide à ton égard. Comme bien souvent d'ailleurs, sa maladresse et ta tendance à ne pas savoir relativiser vous amènent que trop souvent jusqu'aux mots durs. Enfin, c'est toi qui donne les coups. Gabriel lui se contente d'encaisser sans rien dire. Le silence qui te blesses bien plus que toutes les saloperies qu'il pourrait te balancer au visage si l'envie lui prenait de répondre. Peut être que dans le fond, tu préférerais qu'il te balance des saloperies aux visages comme tu le fais si bien. Comme pour te montrer que ça lui importe, que ça le travaille un minimum. Mais tu resteras toujours silencieux Gaby. Jamais tu ne me remettras à ma place lorsque je vais trop loin, jamais tu ne remettras en question ce que je dis. Tu te contentes d'encaisser, sans même comprendre le pourquoi du moment. Tu subis l'orage, c'est tout.

Si seulement vous étiez enclins à faire des efforts sur le long terme tous les deux. Capables de vous asseoir autour d'une table autrement que pour laisser Gab te quitter comme il a pu le faire il y a de ça un peu plus de dix ans maintenant. Sans te demander ton avis, en t'imposant son choix. Cette fois-ci tu ne te laisseras pas faire, tu ne te tairas pas. Mais encore faut-il que vous soyez capable de discuter. Réellement discuter, comme des adultes responsables et sincères. Mais cette bulle est trop fragile, tu t'en rends comme Joanne. Tu le sais qu'il ne faudrait pas grand chose pour faire éclater l'équilibre s'étant crée depuis votre départ de New-York. Tu ne veux pas que vous vous déchiriez, encore moins ici alors que vous passez un moment des plus agréables jusqu'ici. Tu ris, t'as même versé ta larme lors de la cérémonie liant Mira à son homme un peu plus tôt. T'as failli mourir de gêne lorsque son bouquet s'est retrouvé entre tes mains après le ""fameux lancé"" . Jamais tu n'as montré autant d'émotions à ton tatoué. Il est bien trop habitué à te voir grogner dans ton coin, marmonner dans ta barbe quand ce n'est pas beugler ta rage sans même faire attention aux passants ni aux personnes pouvant se trouver dans l’œil de votre tornade. Vous êtes un putain de spécimen quand même tous les deux faudrait que vous vous en rendiez compte un jour. Ne serait-ce que pour avancer une fois. Tu penses qu'un jour on sera capable d'arrêter nos conneries Gabriel? De faire table rase de toute cette merde et se permettre d'être comme aujourd'hui un peu plus souvent?

Evidemment que t'es ravie lorsque enfin Gaby te rejoint dans l'eau brûlante te mousseuse de ce bain de l'enfer que tu as pris soin de vous faire couler. Tu ne comptais sûrement pas en profiter toute seule, dès le début t'envisageais de lui proposer d'occuper le reste de la place à tes côtés. Tu l'as d'abord regardé se déshabiller sans perdre la moindre miette de son corps splendide. Tu lorgnes sur ses muscles parfaits et sa silhouette des plus agréables. T'essaies d'oublier le gout amer dans ta bouche qui te rappelle que tu n'es pas la seule à pouvoir profiter de tout ça là où toi tu te réserves farouchement pour ton tatoué. Mais c'est comme ça, vous n'êtes pas ensembles comme il te le rappelle parfois alors t'as pas vraiment ton mot à dire si ce n'est pas du tout en ce qui concerne ses aventures. Tu peux juste prier qu'il ne se ramène pas à l'une de vos soirées avec une pétasse à son bras qu'il vous présentera comme sa nouvelle copine avant de t'entraîner dans un coin pour un tête à tête. T'as si peur de ces quelques mots. "C'est terminé." Tu ne te rappelles que trop bien la première fois qu'ils ont traversés ses lèvres, tu peux encore entre l'intonation de sa voix. Revoir ses traits. Tu ne veux en aucun cas revivre une telle chose. Ton compagnon pour le weekend finit par se loger dans ton dos et tu te mets à ronronner tant tu apprécies cette tendre étreinte. "On devrait faire ça plus souvent... Et de nous deux, t'es le seul à avoir une baignoire..." Que tu lui réponds lorsqu'il avoue apprécier également cette façon de vous "laisser tranquille" que vous venez de développer. Son rire tendre résonne, rapidement mêlé au tien dans la salle d'eau dont le silence est religieux. Tu serais d'accord pour qu'on réitère ça Gab? Qu'une nouvelle fois on se love l'un contre l'autre dans le confort de l'eau et de la mousse crépitante?

Vous continuez de vous amuser d'autant plus lorsque tu te montres euphorique au possible en goûtant ce putain de cocktail bien trop bon que ton tatoué t'as préparé avant de rejoindre. Tes lèvres se trempent encore et encore dans le verre aux tons chauds que tu serres entre tes doigts brillants d'une fine pellicule mousseuse. Il est doué pour te préparer de bonnes petites choses pour ça, il devrait avoir nettement plus de confiance en lui concernant ses compétences. "Ne pas te tenter? Bébé, je ne sais faire que ça." Tu roucoules alors que dans une gymnastique assez difficilement exécutée malgré la place dans la baignoire d'acrylique démesurément grande dans laquelle vous reposez. Te voilà enfin face à lui, alors que tu continues de te jouer un peu plus de lui. Juste ce qu'il faut pour lui donner envie de s'éprendre de toi, de fondre sur ton corps pour te posséder encore et encore. Faire de toi sienne de la façon la plus intime qu'il soit. Ses mains te rappellent à lui, viennent te loger tout contre son intimité bien réveillée que tu ne manques pas de faire glisser en toi afin de rompre le suspens n'ayant pas lieu d'être. T'as bien trop envie de lui en permanence pour faire preuve de la moindre retenue et sagesse maintenant que vous avez regagnés l'intimité parfaite de votre gigantesque suite. Evidemment que tu lui glisses que t'es à lui, toute à lui, rien qu'à lui alors que petit à petit tu le laisses s'insinuer entre tes cuisses. Tu commences à monter et descendre contre son bassin, aller et venir tout contre lui en t'y frottant de tout ton être. Ce qui ne manque pas de déchaîner une pluie de gémissements s'échappant de vos gorges en râles brûlantes. ses mains viennent à présent empoigner tes fesses, suivant le moindre de tes mouvements. J'aime tellement ça Gaby lorsqu'on se laisse aller de cette façon. Quand plus rien d'autre ne compte si ce n'est le bien être de l'autre et son plaisir. Si tu savais à quel point j'aime ça vibrer entre tes doigts, pour toi. Encore et encore, jusqu'à l'aube si la fatigue ne vient pas nous faucher de plein fouet avant.

Vous vous embrassez passionnément. Amoureusement, fougueusement, langoureusement. Vos langues se font l'amour comme la guerre alors qu'elles se cherchent et se taquinent ouvertement. Vos souffles se saccadent, vos palpitants cognent l'un contre l'autre avec fureur comme s'ils cherchaient à vous déchirer la poitrine pour se lover eux-même l'un contre l'autre. L'eau de la baignoire elle prend un léger courant au fur et à mesure que vos reins ne se laissent aller. Que la cadence s'accélère, prend en rapidité. Les clapotis de l'eau accompagnent vos gémissement et plaintes. Lorsque vos lèvres ne se saisissent pas avec gourmandise, ce sont vos regards qui brûlent l'un pour l'autre. T'aimes bien trop pouvoir lire le plaisir sur ses traits, ces sourires béats que tu lui arraches lorsque tu arrives à provoquer un feu ardent dans son bas ventre. L'une de tes mains vient caresser son visage. "T'es si sexy..." Que tu rappelles, d'une voix tendre et gorgée d'envie. Tu effleures son menton, sa joue, le bout de ses lèvres que la pulpe de tes doigts vient effleurer avec soin. Tu délaisses ses lippes pour sa nuque puis la naissance de ses cheveux où tes phalanges se perdent dans ses mèches de geai. Ta crinière quant à elle se retrouve sans dessus ni dessous, recouvre partiellement ton visage. Retombe jusqu'à ta poitrine pour la dissimuler partiellement. Allures fauves au moins autant que les nuits que vous partagez. Tu gémis, à quel point tu aimes ça. A quel point t'en veux encore, toujours plus. Tes lèvres tremblent au moins autant que ta voix ne se brise au gré de ce plaisir fou que tu ressens. Accolée à lui, tu reposes finalement ta tête contre son épaule pour toujours plus lui offrir tes complaintes, tes envies de lui les plus gourmandes à défaut de pouvoir lui dire combien tu l'aimes. Malgré les années, on en est toujours pas à ce stade pas vrai Gabriel? C'est fou comme trois petits mots pourraient changer la donne. L'améliorer? La compromettre? Et si on les prononçait est-ce que ça mettrait le feu aux poudres dis? Est-ce que notre histoire viendrait exploser tel un feu d'artifice pour ne laisser qu'un écran de fumée ou bien une révélation viendrait nous foudroyer? Nous ouvrir les yeux.

(c) DΛNDELION / MORPHINE (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 9 3794924939  


@Gabriel Dixon  (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 9 2288768012 (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 9 3227196488
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Message Sujet: Re: (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot)   (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 9 Empty Sam 28 Déc - 20:34




Still into you.
J'te revois perdue dans la foule
Avec tous ces mongoles bourrés qui dansent n'importe comment
Et j'me revois moi essayant de t'atteindre en évitant les gens qui hurlent
Et font des grands gestes absurdes
Et toi qui attend, terrorisée, au milieu du chaos
Et puis tes joues et puis ta peau.



Tu ne doutes pas que ce week-end si agréable en sa compagnie, n'est qu'une petite parenthèse dans votre vie à tous les deux. Parce que ça finira par dériver et prendre une sale tournure. Quand bien même vous ne le souhaitez pas outre mesure. Vous allez vous prendre la réalité en pleine tronche. Forcément trop tôt à ton goût. Forcément de façon bien trop féroce. Parce que vous vous enfoncez beaucoup trop profondément dans ce sentiment de bien être qui vient avec tout ce que vous êtes en train de partager. Aucune envie de ralentir les choses pourtant. Pas la force ni le courage. Pas même en sachant ce qui vous attend forcément à la suite de tout ça. A savoir un atterrissage brutal au possible qui pourrait bien avoir raison de vous, une bonne fois pour toutes. Venant de toi, ce genre de prise de risque n'est pas si surprenant que ça. Tu passes ton temps à agir sans réfléchir et à cumuler les erreurs et les faux pas en tous genres. Venant d'elle, c'est un peu plus étonnant. Impossible pour toi de deviner si c'est volontaire et réfléchis de sa part ou pas du tout. Impossible de savoir si elle réalise ce dans quoi elle est en train de foncer tête baissée. Tu la sais intelligente Joanne. Mais peut-être que, tout comme toi, elle a envie de se mettre des œillères pour éviter certaines évidences susceptibles de faire bien trop de mal. Le résultat de tout ça, lui même, vous fera forcément du mal. Vous vous en faites déjà constamment tous les deux. Celle ci sera "simplement" fatale. Tu ne saurais dire pourquoi mais c'est vraiment ce que tu t'imagines et ce qui semble se dessiner dans ton esprit déjà bien trop torturé. Alors tu profites en sachant que c'est probablement l'unique fois.

T'es nettement moins capable de penser à cette éventualité là, quand vous vous rapprochez toujours plus l'un de l'autre. Comme c'est le cas quand tu la rejoins dans la baignoire alors que tu ne pensais pas être invité à le faire. Tu ne te fais quand même pas prier plus que ça pour t'installer dans son dos et pour enrouler tes bras autour d'elle quand elle repose son dos contre ton torse. C'est agréable au possible, sans surprise. Et tu ne souhaites rien d'autre que profiter toujours plus de ces petits moments tellement agréables. Quand elle te fait remarquer que vous devriez faire ça plus souvent, tu ne peux que hocher positivement la tête. Tu ne peux évidemment qu'être d'accord avec elle. Un bain tout en tendresse de ce genre en sa compagnie, bien sûr que tu dis oui ! Alors tu devrais passer plus souvent me voir. Que tu te contentes de répondre d'une voix douce. Puisque tu es effectivement le seul de vous deux à avoir une baignoire. Et en même temps, tu ne peux qu'imaginer les raisons pour lesquelles elle ne vient pas plus souvent te voir. Sans doute qu'elle non plus ne considère pas tout à fait ce logement comme étant le tien. Peut-être même qu'elle s'attend à t'y trouver en "charmante" compagnie. Alors même que ce n'est jamais le cas. Susan ne passe jamais te voir, justement pour que tu t'y sentes vraiment comme chez toi. Et par respect pour elle, tu ne te permets jamais non plus de faire venir qui que ce soit. Ce que tu trouves parfaitement logique. Soit, tu n'es pas certain que ce soit ce genre de crainte qui se soit installé dans l'esprit de Joanne. Mais dans le doute, tu préfères ne pas lancer le sujet là dessus non plus.

Tu ris de bon coeur quand elle répond à ta taquinerie par une évidence implacable. Selon toi, elle ne sait pas faire "que" ça. Mais clairement, elle le fait à merveille. Et tu es bien incapable de faire autrement que de grandement apprécier la chose. Et même, tu passes ton temps à en redemander. Parce que c'est plus fort que toi, tout simplement. Parce que ça te plait de façon tout bonnement démesurée et parce que t'adores l'effet fou qu'elle a sans cesse et toujours plus sur toi. Et dans le fond, je ne m'en plains pas vraiment ... Que tu crois quand même bon de préciser. Sans doute de façon bien inutile, soit. Mais tu le fais tout de même. Toujours joueur et taquin. Parce que ça semble être l'humeur du week-end entier. Les jeux de provocation sans fin, amènent finalement à toujours plus. C'est forcément ce qui arrive quand, presque sans y penser, tu l'incites à se loger plus clairement sur toi. A califourchon sur ton bassin. De quoi lui donner l'envie d'unir vos corps. Ce qu'elle a vite fait de faire, pour votre plus grand plaisir à tous les deux. Très vite, vous n'êtes plus que plaintes de plaisir tous les deux. Entre soupirs, halètements et gémissements que vous ne faites pas même semblant de vouloir retenir. Vous préférez profiter avec intensité de toutes ces folles sensations qui continuent de vous tomber dessus. De pleuvoir sur vos deux êtres qui paraissent soudainement bien éprit l'un de l'autre. T'as envie de croire que ça ne va pas s'arrêter de sitôt entre vous, alors que l'intensité est au rendez-vous. Jusque dans les regards que vous vous échangez et les baisers tous plus passionnés les uns que les autres. Vous avez encore un paquet d'heures à user de cette façon.

Et le moins que l'on puisse en dire c'est que vous êtes en train d'en profiter allègrement. Tu uses et abuses de ce corps fin qui danse désormais sur le tien. Sensuellement autant que bestialement, elle monte et descend sur toi. Roule des hanches pour aller d'avant en arrière, quand elle ne t'offre pas des mouvements circulaires. C'est beau, bon, intense. Magique presque, comme à chaque fois que vous vous offrez ce genre d'étreinte torride sans vous poser plus de question que ça. Et tu ne souhaites rien d'autre que de la voir et la sentir continuer. Toujours plus. Jusqu'à vous pousser tout droit entre les crocs de la jouissance elle même. Parce que tu sais sans l'ombre d'un doute que c'est ainsi que ça va se terminer. Il ne peut tout simplement pas en aller autrement. Tu n'as pas peur de te poser la question. Tu le sais et ça te suffit amplement. Plus vous vous embrassez, plus vous manquez de souffle tous les deux. Pas une raison suffisante pour arrêter ou ralentir pourtant. Loin de là. Tu pris pour qu'elle ait envie de continuer envers et contre tout, plutôt. Tu gémis pour de bon ton plaisir quand elle accélère sensiblement la cadence. Se fichant ouvertement de l'eau qui quitte déjà la baignoire à chacun de ses mouvements passionnés. A vrai dire, vous vous en foutez tous les deux. Ce n'est pas comme si vous étiez en train de le faire chez elle ou chez toi. Vous pouvez vous en donner à coeur joie pour le coup et vous ne le savez que trop bien, l'un comme l'autre. Tu ne peux que geindre encore et fermer un bref instant les yeux quand elle loge une main sur ton visage et te souffle que tu es sexy. Tu n'es pas tout à fait d'accord avec elle. Mais si c'est ce qu'elle pense, tu ne vas pas non plus t'en plaindre.

Parle pour toi ... Que tu grognes en retour, en ramenant ton regard sur son joli minois. Avant de descendre plus bas pour maintenant dévorer sa poitrine du regard. Elle est quand même sacrément sexy dans le genre, elle aussi. A un tout autre niveau que toi tu peux l'être, c'est certain. Tu ne penses pas être particulièrement sexy dans le genre d'ailleurs. Sans pour autant aller jusqu'à dire que tu complexes et te trouves moche parce que ce serait également bien exagérer les choses. Ses doigts prennent le temps de redessiner tout ton visage, avant de finalement aller se perdre sur ta nuque. Tu te laisses faire, tout du long, sans rechigner plus que ça. Au contraire. Tu n'es que frissons et chair de poule évidente. Tremblements incontrôlables même, de temps à autre. Alors qu'elle continue de te caresser et de te taquiner avec sensualité. Putain c'que t'es belle. Que tu ne tardes pas non plus à grogner alors que tu peux la contempler tout à loisir et constater à quel point elle est réellement magnifique. Avec ses boucles colorées qui retombent sur ses épaules, sa poitrine, une partie de son visage. Cheveux dans lesquels tu perds une main quand elle se rapproche toujours plus de toi pour laisser échapper ses plaintes de plaisir directement au creux de ton oreille. Tout ça n'est évidemment que trop agréable pour toi qui n'as de cesse que de la supplier pour toujours plus en retour. Tes mains attrapent finalement ses hanches pour l'inciter plus clairement encore, à accélérer la cadence et à rendre les pénétrations toujours plus longues et plus profondes. Provoquant décharge de plaisir sur décharge de plaisir. Mine de rien, tu finis également par remuer des hanches en retour pour rendre les coups plus féroces encore. Cette fois, l'eau quitte la baignoire en grande quantité. Et tu t'en balances toujours autant.

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Message Sujet: Re: (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot)   (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 9 Empty Lun 30 Déc - 4:54



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Gabriel - Joanne

«La vie c'est des étapes... La plus douce c'est l'amour... La plus dure c'est la séparation... La plus pénible c'est les adieux... La plus belle c'est les retrouvailles..» nicolas antona
T'aimerais être quelqu'un capable de faire des folies. Quelqu'un de spontané, d'irréfléchi qui vit au jour le jour. Sans penser au lendemain, sans avoir peur de tomber. Sans avoir peur de devoir se relever. La vérité Joanne c'est que dans ta vie des coups t'en as reçu. Et pas qu'un. T'en as mangé tout du long des tartes dans ta gueule, juste ce qu'il faut pour te refroidir. Te pousser à être quelqu'un d'amer et d'aigri. Tu sais déjà qu'tu finiras seule avec tous les chats du quartier squattant dans ton appartement. Gabriel ne sera jamais capable de te supporter le temps d'un weekend. Et encore, t'oses pas vraiment mettre la charrue avant les bœufs. Il ne manquerait plus qu'une dispute éclate, vienne briser cette idylle naissante. Vous donnant de l'espoir, semblant panser les plaies le temps de quarante huit heures. Jamais vous n'avez été capable que de vous entendre une journée durant sans être fracassés par l'alcool et incapable que de faire autre chose que de rigoler. Aujourd'hui, t'as presque pas bu. Enfin, t'as quand même avalé un whisky après le repas pour étouffer la colère soudaine que t'as pu ressentir envers le tatoué à tes côtés lorsqu'il a très clairement résumé votre relation de la pire des façons. Enfin, t'exagères sûrement Jo, mais faut avouer que c'était pas flatteur pour un sou. Est-ce que tu parles toujours de nous de cette façon Gaby? Est-ce que tu nous présente comme deux idiots tout juste bons à se tourner autour pendant près de treize ans? Comme si on avait pas été plus que ça. Comme si c'était pas de ton propre chef que la décision de se séparer a été prise il y a dix ans.

T'es une grenade dégoupillée, menaçant d'exploser au moindre choc. T'es une bombe au minuteur faisant des siennes, prête à tout raser sur des kilomètres lorsque la colère s'empare de toi. T'es incapable de contrôler, incapable de maîtriser ta langue qui bien souvent laisse écouler bien du poison avant que tu ne te rendes compte de l'étendue des dégâts. Tu ne t'es jamais excusée de quoi que ce soit. Tu n'as jamais présenté d'excuses à Gab pour tout ces mots durs que t'as pu lui balancer. Bien sûr que t'as regretté chacun d'entre eux. Bien sûr que tu t'en es voulue, que tu t'en veux et que tu t'en voudras encore bien longtemps. Tu ne sais que lui faire du mal, t'as oublié comment l'aimer. Comment prendre soin de lui. A moins que tu n'aies jamais vraiment su comment faire. Que tu te sois voilée la face et que tu n'aies jamais été à la hauteur de son amour. Peut-être bien pour ça qu'aujourd'hui encore vous stagnez. Incapables que d'aller de l'avant, de parler comme deux adultes. De façon calme et posée. Vous ne savez que vous faire énormément de bien, ou énormément de mal. Ironie des plus énormes lorsqu'on vous connaît. Comment vous pouvez vous aimez si fort à l'abri des regards, dans le confort de ses draps ou des tiens alors que bien trop souvent ce sont vos couteaux acérés qui fusent pour percuter l'autre et faire mouche. Dis moi Gabriel pourquoi on arrive pas à trouver ne serait-ce qu'un juste milieu. Pourquoi on est si bon pour les extrêmes? Est-ce qu'un jour seulement on sera capable d'arrêter les frais? De profiter d'une accalmie plus longue que le temps d'une journée ou d'une étreinte torride?

T'as une drôle impression que les dés sont relancés depuis votre arrivée à Vegas. Certes, ce n'est pas chose aisée pour toi que de taire toutes ces questions qui te brûlent les lèvres. Evidemment que ça demande un self-control plus qu'énorme que de réprimer tes remarques ou tes coups d'éclats. Mais il semble faire des efforts également ton encré, se veut attentionné et passionné. Ses yeux ne semblent profiter de que de toi, ne voir que toi. T'es peut-être pas si invisible que ça dans le fond Joanne, enfin, pas ici. Tu sais qu'à Nyc tout est différent. Comme si c'était un monde qui vous séparait de votre ville natale. Plus d'ennuis, plus de disputes. Plus de Susan, plus d'insécurités. Vous avez tout laissé sagement derrière vous sans vous retourner. Vous vous êtes prit la main et c'est plus que complices que vous avez gagnés vos places dans l'avion. Treize ans et jamais vous ne vous êtes offerts le luxe d'une escapade à deux. Jamais vous n'avez fuis ensemble, pas une seule fois vous vous êtes essayés à un air plus frais loin de tout ce qui pouvait sembler vous diviser. Cela aurait-il été aussi simple que ça? Une escapade en amoureux pour apaiser les mœurs et vous permettre de reprendre votre route ensemble vers l'avant? Tu penses que ça aurait pu nous sauver Gab? Que de nous autoriser des moments de calme, loin de tout? De nous retrouver nous et nous seuls, sans la bande ou tous les à côtés. Sans ce qui nous tracasse, juste toi et moi.

Mais tu ne penses pas à tout ça Jo, pas maintenant. Tu ne veux pas assombrir ton humeur alors que vous vous laissez aller pleinement l'un à l'autre dans une étreinte des plus torrides. Vous vous cherchez constamment depuis votre arrivée à l'hôtel. Les sous entendus ont eu tout le loisir d'aller bon train au cours de toute la journée et vous vous êtes déjà laissés aller à des étreintes fauves deux ou trois fois depuis votre arrivée. Il faut croire que Vegas contribue à votre bien-être sexuel vu la puissance de vos échanges. C'est comme si les masques tombaient, que les blessures se mettaient à apparaître pour une totale sincérité. A quoi bon se cacher des choses, à quoi bon essayer de dissimuler la vérité? Vous le faites constamment, à vous voiler la face et à vous interdire d'aller plus loin dans votre relation. Tu refuses de continuer ce petit manège ici. Si cela ne prend pas fin maintenant, tu sais que cela ne se fera jamais. Si vous n'êtes pas capables de bien vous entendre le temps de ce weekend, tu seras fixée. Mais t'as envie de croire que vous pouvez réussir cette épreuve haut la main. T'as presque envie de croire en cet espoir délirant que vous pourriez très bien rester comme ça jusqu'à votre retour et plusieurs jours encore. Que vous pourriez très bien ne jamais arrêter, devenir enfin des amoureux sains. Des adultes prêts à s'aimer pleinement, à se remettre en question et à avancer dans la même direction. Chaque coup de rein te mène vers une folie des plus puissantes. Tes doigts se crispent, ta gorge laisse éclater une pluie de complaintes au moins aussi brûlante que l'eau du bain se faisant la malle pour aller inonder le sol au gré des vagues suivant les coups de butoirs liant vos corps. Tu m'fais perdre la tête Gaby lorsque tu gémis de telles choses. Lorsque je peux presque te croire, me sentir belle dans tes yeux. J'doute de réussir à y croire un jour, mais je peux t'assurer que ça me réchauffe le cœur t'entendre grogner de telles choses.

Vos plaintes rebondissent contre les murs de la salle de bain, se transforment en un écho des plus érotiques qui soit. Tu es sans dessus ni dessous, tes cheveux de feu ayant totalement déclarés leur indépendance aux vues de ta coupe tout à fait inédite. L'une de tes mains quitte l'étreinte contre ton tatoué pour que tu puisses te dégager la vue, obstruée par de nombreuses mèches rubis. Les phalanges de ton amant viennent se resserrer contre tes hanches, t'incitent à toujours plus mettre de rythme alors que les vagues quant à elles prennent en ampleur. L'eau ne met pas bien longtemps avant de quitter l'acrylique blanche dans laquelle vous reposez, agités à vous aimer de toute cette passion dévorante et de toute cette envie que vous pouvez ressentir l'un pour l'autre. La boule dans le creux de tes reins n'a de cesses que de gonfler, tu peux le sentir gagner toujours plus de terrain en toi à chaque fois qu'il te percute. La douceur semble elle aussi filer à l'anglaise pour laisser place à cette bestialité qui vous va si bien lorsque vos sens s'embrouillent si fort que plus rien ne compte si ce n'est l'explosion de plaisir de votre partenaire. Tu vis pour ces moments de complicités là, pour ces moments où ton cerveau se déconnecte presque à un tel point que tu serais capable de lui gueuler à quel point tu l'aimes et que tu es folle de lui depuis tout ce temps. Mais tu ne dois pas faire de choses comme ça au risque de le voir s'enfuir. Au risque de le faire paniquer et de le perdre à tout jamais. Alors tu te mords la langue, tu jures farouchement sans la moindre retenue. Tes mouvements semblent être de plus en plus aléatoires, tu contrôles de moins en moins le corps qui est tien. L'orgasme n'est pas loin, menace de tout son bien-être alors que tu peux sentir ton bouton de plaisir palpiter lorsqu'il se frotte contre le bas ventre tatoué de ton ex. Tu ne vas pas être capable que de te retenir plus longtemps et il le sait bien. Dans un élan presque brutal, tu viens te coller à lui furieusement. Plantant tes dents dans la peau moelleuse de son épaule afin d'étouffer une longue supplique. T'en demandes encore, plus fort. Tu le sais que je suis sur le point de rendre l'âme Gabriel pas vrai? J'peux le voir à l'éclat dans tes yeux, à cette façon dont tes pupilles se mettent à noircir. J'suis incapable de résister plus longtemps, incapable de te tenir tête. Tu gagnes à tous les coups sur ce terrain là, depuis toujours.


(c) DΛNDELION / MORPHINE (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 9 3794924939  


@Gabriel Dixon  (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 9 2288768012 (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 9 3227196488
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Message Sujet: Re: (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot)   (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 9 Empty Lun 30 Déc - 23:05




Still into you.
J'te revois perdue dans la foule
Avec tous ces mongoles bourrés qui dansent n'importe comment
Et j'me revois moi essayant de t'atteindre en évitant les gens qui hurlent
Et font des grands gestes absurdes
Et toi qui attend, terrorisée, au milieu du chaos
Et puis tes joues et puis ta peau.



Vous êtes beaucoup trop différents l'un de l'autre. C'est forcément pour cette raison ci que ça n'a jamais réellement fonctionné entre vous. Pour cette raison que vous n'avez de cesse de vous disputer tous les deux. Ou plutôt, elle, elle te dispute. Bien plus que l'inverse. De ton côté, tu n'as clairement pas assez de colère en toi et surtout pas à son encontre, pour pouvoir lui répondre. Quand bien même tu penses parfois qu'elle le mériterait. Parce qu'elle a clairement la fâcheuse tendance à aller trop loin, trop souvent. Quand elle est trop dure dans ses mots. Quand elle est injuste, par moment. Pas toujours non plus pourtant. Tu sais que tu mérites certains coups d'éclat, certains coups de colère. Tu sais que tu n'es pas assez bien pour elle et que ça l'agace au plus haut point. Et toi même tu ne t'aimes vraiment pas assez pour pouvoir espérer qu'il en aille autrement pour elle. Tu ne peux pas lui demander de t'apprécier alors que toi même tu te détestes. Et toujours plus à travers le regard qu'elle peut poser sur toi. Les autres ont beau prétendre que vous êtes tous les deux aveugles et que les sentiments entre vous crèvent les yeux, tu n'y crois pas outre mesure. Loin de là. Tu continues de penser qu'elle ne te supporte pas. Et qu'elle ne te supportera jamais. Tu auras beau faire tous les efforts du monde, ça ne fonctionnera jamais. Parce que ça ne sera pas tout à fait toi, en partie. Parce que tu finiras par remettre les pieds dans le plat, ensuite. Et il n'y a rien que tu puisses faire contre ça. Ce n'est pourtant pas faute d'en avoir très envie malgré tout. Tu voudrais tellement la mériter la belle Joanne.

Surtout quand vous vivez des moments aussi magiques que celui que vous êtes en train de vivre ensemble. Vous avez tout d'un couple alors que vous profitez largement d'un week-end loin de votre réalité. D'un couple carrément amoureux pour le coup. A l'image de ce que vous avez un jour été. Ensemble. Quand vous étiez aussi insouciants l'un que l'autre. Quand elle était nettement plus détendue que ce qu'elle peut aujourd'hui être. Un peu moins du genre à se poser mille et une questions. A se prendre un peu moins au sérieux surtout. Tu regrettes qu'elle ait à ce point changé Joanne. Qu'elle ne soit plus du tout capable de rire aux éclats sans se soucier de ce que l'on pourrait bien penser d'elle. Elle est devenue amère et triste Joanne. T'aurais adoré avoir le pouvoir d'y faire quelque chose. T'aurais aimé être celui qui aurait le pouvoir de la rendre heureuse comme elle le mérite. Et l'aider à se détendre de nouveau. A profiter de la vie comme elle vient, sans jamais avoir à forcer pour quoi que ce soit. Mais il t’apparaît de façon très claire que ce n'est pas le cas. Que tu ne sais pas faire. Que tu n'es pas doué pour ça. A vrai dire, tu ne sais pas même ce que tu pourrais faire pour que ça change sur du long terme. Tu as la sensation d'avoir déjà tout essayé. Avec ta joie, ta bonne humeur constante -du moins en apparence- et ton humour. Un humour merdique selon elle. Et tu sais qu'elle a raison. Toi même tu trouves parfois que tu vises mal concernant tes tentatives de blague. Mais t'y vas quand même. Et c'est ce qui fait que ça ne fonctionne finalement pas si mal que ça. Le fait que tu fonces tête baissée sans te poser plus de question que ça.

Un peu à l'image de ce week-end que vous passez ensemble. Il te semble que Joanne est un peu plus en mesure de se détendre, elle aussi. Qu'elle se permet de se laisser aller au bien être qu'elle ressent en ta compagnie. Que vous ressentez ensemble. Comme un vrai couple. Ou pas loin. T'es persuadé que c'est ce que tout le monde s'est imaginé au cours de la soirée. Que vous étiez un couple d'amoureux et d'amants. Amants, ça au moins vous savez parfaitement l'être. Et vous vous en donnez toujours plus à coeur joie. Sans vous soucier des potentielles conséquences. Comme là alors que toute l'eau du bain est en train de se faire la malle pour échouer sur le carrelage qui recouvre le sol. Vous ne vous en inquiétez pas outre mesure. Vous êtes bien trop concentrés, l'un comme l'autre, sur le plaisir que vous n'avez de cesse de prendre tous les deux. C'est beau, bon et particulièrement intense ce qui vous prend aux tripes quand vous vous appartenez de cette façon. Que vos corps ne font qu'un pour danser ensemble, au même rythme infernal et passionné. C'est comme une évidence entre vous. Une évidence que vous faites pourtant taire depuis beaucoup trop longtemps. Parce que vous avez peur, certainement. Parce que vous craignez de vous lancer à l'eau. En sachant que ça ne fonctionnera jamais. Que vous ne saurez pas faire fonctionner votre relation. Pas plus que par le passé. Peut-être moins encore. Parce qu'elle a changé. Elle a évolué pour devenir une femme forte, têtue, solitaire et beaucoup trop sérieuse. Rien à voir avec toi. Tu stagnes depuis tant d'années, qu'il te semble évident que ça ne changera plus. Que tu n'évolueras jamais plus. Tu t'es fait une raison. Alors même que de son côté, elle te donne parfois l'impression d'espérer encore quelque peu.

Elle se fait forcément du mal Joanne, à attendre de toi plus que tu n'es capable de lui offrir. De fournir, tout simplement. T'es toujours là, soit. Mais toujours fidèle à toi même surtout. Mais quand vos corps se possèdent et s'appartiennent, t'as l'impression d'arriver à quelque chose de plutôt bien avec elle. Alors qu'ensemble vous finissez toujours par atteindre les portes de la jouissance. Ses mouvements de son bassin sont justement sur le point d'avoir raison de vous et de votre conscience. Tu n'es déjà plus que soupirs et halètements d'extase alors que le plaisir grimpe. Encore. Encore. Toujours plus. Tu te crispes, trembles, raffermis la prise de tes doigts autour de ses hanches alors que de son côté elle a un geste sexy qui consiste à libérer son joli visage de son épaisse chevelure teinte. Tu la contemples autant que tu le peux. Autant que ton corps te le permet. Quand l'orgasme vient te heurter de plein fouet, tu n'es plus capable de le faire. Tes paupières s'abaissent sans que tu ne contrôles quoi que ce soit et tes sourcils se froncent. Ultime gémissement qui t'échappe après avoir brièvement roulé dans ta gorge et ta tête qui bascule vers l'arrière. Tu laisses échapper un juron bien senti, suivit de son prénom que tu ne cherches pas même à retenir. Ce n'est pas comme si une autre femme était capable de te faire autant de bien. Et de te donner à ce point l'impression d'être entier. Parce que vous êtes entiers quand vous êtes ensemble. Quand vos corps ne font qu'un. Ton bassin est plaqué et pressé aussi fort que possible tout contre le sien. Les fesses décollées de l'acrylique. C'est lorsque la jouissance se fait plus douce sous ta peau, que tu libères ton corps et le sien. Que tes fesses reviennent contre le fond de la baignoire, que tes mains se font plus tendres sur ses courbes et que ton regard retrouve son visage.

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Message Sujet: Re: (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot)   (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 9 Empty Dim 5 Jan - 4:58



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Gabriel - Joanne

«La vie c'est des étapes... La plus douce c'est l'amour... La plus dure c'est la séparation... La plus pénible c'est les adieux... La plus belle c'est les retrouvailles..» nicolas antona
Tu sauras, te souvenir de ce sacré weekend. De ce miracle inespéré, de cette chance tombant de nulle part pour vous sauver la vie. Vous montrer qu'elle peut se montrer clémente. Douce. C'est comme si tes peurs s'évanouissaient petit à petit. Comme si les souvenirs douloureux étaient un peu moins lancinant. Une nouvelle aube s'est levée sur votre couple lorsque vous vous êtes envolés pour Las Vegas. Une nouvelle page s'est tournée. Plus agréable à parcourir, à vivre. Tu t'es laissée aller. Tu lui as montré que tu pouvais te montrer sensible face au bonheur des gens. Que tu savais rire à gorge déployée, te sentir gênée au point de fuir en sa compagnie loin, très loin de la foule et de leurs petits commentaires sur ce foutu bouquet que t'as eu le malheur de ramasser par mégarde alors que tu grimaçais en direction de ton tatoué pour qu'il vienne te libérer de cet affreux malentendu. Au lieu de ça, il s'est esclaffé tout à fait hilare de la scène. Jamais vous ne vous êtes sentis plein d'espoir de la sorte, aussi en vie en compagnie de l'un et de l'autre. Vous avez passés les treize dernières années à vous déchirer. A vous envoyer des vacheries entrecoupées d'étreintes passionnées. Tu veux plus de tout ça, tu veux avancer Joanne. Tu penses sincèrement qu'tu pourrais me pardonner Gaby? Pour tous ces mots durs que j'ai pu te balancer. Pour mes sales actions, mes défauts? Sauras-tu me pardonner mon instabilité? Mon incapacité notoire à garder ceux que j'aime près de moi sans les blesser?

Tu n'mérites pas franchement le pardon, encore moins la rédemption. T'as pas été facile pendant ces années de fuis moi je te suis. Ta peur de l'abandon s'est voulu ardente, dévorante, plus forte que tout. Elle n'a pas manqué de gagner en ampleur, de croître lorsque Gab t'as tourné le dos pour te quitter. Y'a ton coeur qui s'est envolé en un milliard de pièces inégales, te rendant incapable de recoller les morceaux. T'es devenue une cause perdue, une garce aigrie tout juste bonne à grogner en permanence et à rabâcher les même jurons. T'es consciente de toutes ces choses, t'es pas aveugle et encore moins stupide. Tu culpabilises, tu t'en rends malade. Tu t'isoles de plus en plus, apeurée à l'idée d'avoir la raillerie de trop. La méchanceté faisant déborder le vase déjà bien plein de ta connerie légendaire. T'es pas douée pour t'exprimer avec les gens, t'es pas non plus reconnue pour ton amitié parfaite et sans failles. T'es présente, du moins t'essaies. De l'être sans discontinuer. Combien même parfois tu préférerais t'en aller sans te retourner. Tout plaquer pour tout reconstruire quelque part. Mais t'es pas capable de survivre sans lui, t'es pas capable de t'imaginer loin de ton encré. T'es obligée de l'avoir d'une façon ou d'une autre dans ton paysage, t'es damnée à avoir besoin de lui dans ta vie jusqu'à la fin. Tous les signes sont là, devant toi. Devant vous. Est-ce qu'on saura les voir cette fois Gabriel? Arrêter les conneries et se comporter en adulte pour de bon? S'avouer les belles choses comme celles qui ont fait mal. Se lancer à corps perdu dans l'inconnu, main dans la main.

Gaby n'a eu de cesses que de se montrer adorable depuis votre départ de Nyc. Tu as eu tout le loisir d'entremêler tes phalanges aux siennes fièrement, de pouvoir te lover dans ses bras aux yeux de tous. Bénéficier de tes lippes en se moquant des regards curieux. Ici, rien ne peux vous atteindre. Personne ne peut vous faire du mal. Pas même toi Jo'. Tu ne peux pas te permettre de tout détruire, tu ne peux pas tout faire foirer. Tu ne saurais pas te le pardonner. T'en as mal à l'estomac et la tête qui tourne rien que d'y penser. Mais t'es une putain d'calamité. Tout ce que tu sais faire c'est détruire. Semer la tempête là où règne l'éclaircie. Alors tu te livres un combat interne, t'essaies de prendre sur toi un maximum. Les choses sont si faciles comme à l'instant lorsque vous vous aimez de la sorte. Lorsque vous corps s'unissent fiévreusement, que vos plaintes s'emmêlent à un point où vos voix ne forment qu'une seule. Tes idées sont sans dessus ni dessous, tout comme tes cheveux et ta raison s'étant faite la malle avec modération. Tu ne retiens rien, ton tatoué non plus alors que vos mouvements se font plus bestiaux. Fauves. Vous êtes deux putains de désespérés dont les myocardes s'hurlent inlassablement leur amour dans une sérénade de battements assourdissants. Il n'y a que nous deux pour être assez idiot et ne pas les entendre Gab. Il faut être sacrément aveugle ou dans le déni pas vrai? A quel niveau notre connerie s'étend? Tu penses qu'on pourra un jour dépasser tout ça?

Vos bassins se cherchent, les peaux claquent. L'eau quant à elle semble bien décidée à finir sa course contre le carrelage de la salle de bain alors qu'elle quitte l'acrylique blanchâtre de la baignoire dans laquelle vous reposez. Tes ongles cherchent sa peau, certains de tes doigts ses mèches de cheveux sombres pour s'y attacher. Faire basculer son visage de telle manière à ce que tu puisses le couvrir de baisers. Vous inspirez, râlez de tout vos êtres pour faire gauler chacune des étoiles recouvrant le ciel ce soir. Tu n'as que son prénom aux lèvres, pluie chaude filant à travers tes lippes entravées de tes quenottes fermement. T'es sur le point de rendre l'âme, lui aussi et t'en mets tes deux mains à couper. Votre alchimie est parfaite, votre symbiose inégalable. Personne ne vous ressemblera jamais, votre passion pourrait bien faire des envieux. Tu vis pour des instants comme celui-ci, ou rien ni personne ne saura vous interrompre. Pas même la pire des catastrophes ou bien l'éclatement imminent de la troisième guerre mondiale. Rien de tout cela. Tu préfères nettement mourir dans ses bras que seule et abandonnée. Ton corps entier se met à se contracter, s'agiter de soubresauts alors que la prise de ton compagnon se raffermit autour de toi. Se cramponne fièrement contre tes hanches comme si sa survie en dépendait alors qu'il s'abandonne en toi en simultané avec ton flot de jouissance des plus dévastateurs. Si tu savais comme j'aime entendre mon prénom de la sorte dans ta bouche Gaby, lorsque tu perds contrôle. Que tu ne réponds plus de rien.

Vos corps ne forment toujours qu'un, ton cœur semble vouloir se frayer un chemin hors de ta cage thoracique et dans ta tête il n'y a plus que ta déesse intérieure aux anges ne manquant pas de scander vos prénoms. Tu trembles de tout ton être de façon frénétique, une longue plainte s'échappant de ta gorge. Les mouvements fous s'arrêtent, les poignes deviennes plus douces. Comme des caresses. Gab t'arrache un gémissement de mécontentement lorsqu'il vient rompre l'étreinte sacrée entre vos deux corps pour se laisser finalement retomber dans le fond de la baignoire ce que tu ne tardes pas à imiter, fauchée par la fatigue. L'eau restante n'est plus si chaude que ça, recouvre à moitié si ce n'est moins vos corps douloureux après une telle journée. "Je m'en lasserais jamais..." Que tu ronronnes en retombant tout contre lui, ton visage se nichant dans le creux de son cou offert à ton bon vouloir. Ton épiderme s’électrise à cette sensation soudaine de fraîcheur, tes yeux se mettent à te brûler de façon intense. T'essaies tant bien que mal de tendre ton bras pour récupérer ton cocktail aux couleurs affriolantes que tu avais mis en sécurité un peu plus tôt. C'est d'une traite que tu le descends. Tes papilles sont au moins aussi rassasiées que ton appétit sexuel, tu peux enfin te lover tout contre ton amant et ex petit ami. Sourire aux lèvres et les yeux clos. "Je suis toute fatiguée maintenant..." C'est à voix basse que tu ronronnes, Morphée ne cessant de gagner du terrain en surfant sur la vague de cet orgasme fraîchement délivré. Les paupières lourdes, le souffle retrouvant petit à petit un court lent et tout à fait normal tu te sens prête à te laisser aller au sommeil avant d'affronter votre seconde et dernière journée à Vegas. En espérant qu'elle soit aussi jolie qu'aujourd'hui pas vrai Gabriel? Pleine de bonnes surprises et de rebondissements. D'amour et de rapprochements.

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