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 (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot)

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Message Sujet: Re: (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot)   (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 7 Empty Mar 3 Déc - 4:56



still into you
Gabriel - Joanne

«La vie c'est des étapes... La plus douce c'est l'amour... La plus dure c'est la séparation... La plus pénible c'est les adieux... La plus belle c'est les retrouvailles..» nicolas antona
La question que pose innocemment la pimbêche à comme un effet des plus foudroyant sur toi. Tu manques même de recracher ton champagne par le nez et ça aurait été foutrement douloureux. Tu pâlis à vue d’œil pour que ce soit finalement Gabriel qui, dans un élan de candeur répond à la question. La réalité te gifle en plein visage lorsqu'il l'expose sans même prendre la peine d'être vraiment délicat. En reniant ce que vous avez été un jour. Parce que vous vous êtes aimés. T'en es persuadée. Et tu l'aimes toujours, si fort que t'as l'impression que ça te crèves à petit feu. Alors t'essaies de te préserver. Tu t'éloignes de lui un maximum, tu le tiens éloigné un maximum. Par tes mots durs, tes accès de colère répétés. Parce que s'il te déteste c'est moins douloureux. Au moins t'es fixée pas vrai. Tu comprends pas d'où lui vient ce masochisme de toujours revenir. De ne pas réussir à être réellement fâché contre toi. Tu lui en as balancé pourtant des saloperies au visage sans même les penser. Pour les regretter à la seconde même où les mots sont sortit de ta bouche pour le planter avec violence. Parce que c'est ton meilleur moyen de défense que de sortir les armes. D'être vengeresse et de ne pas hésiter à asséner le coup de poignard avant de le recevoir. Tu t'en rends compte au moins que tout ça c'est juste pour pouvoir me protéger Gaby? Que j'ai bien un cœur et que c'est justement pour le préserver que j'agis comme ça?

Tu manques pas de t'échapper, filer loin de cette table où tu te sens clairement mal à l'aise. Tu peux pas rester là à prétendre que tout va bien et tu peux décemment pas déclencher de scène. Ton verre est cruellement vide, le champagne risque très clairement de te foutre la migraine alors tu décides de filer au bar en t'excusant. Le whisky lui t'aideras à t'refoutre les idées en place pas vrai? Rien d'mieux qu'un petit alcool ambré légèrement âgé pour t'remettre du baume au coeur. Alors que tu t'poses contre la surface boisée du bar improvisé, Un bras s'invite tout contre toi. Naturellement, tu penses d'abord qu'il s'agit de ton encré mais lorsque tes yeux se posent contre l'homme en costume c'est avec horreur qu'tu découvres un inconnu bien libéré alors que ses sales pattes flirtent avec ton épiderme. Tes yeux sont nettement assombrit par la colère soudaine que tu ressens, t'as foutrement pas envie de te faire emmerder par le premier connard venu pour te gâcher ta soirée. T'as pas même le temps d'ouvrir la bouche pour dire "vatefairefoutres'ilteplaît" que ton encré arrive tel superman pour t'enlacer et marquer le territoire qui est bel et bien le sien depuis près de treize ans maintenant. Il emploie même le terme "COPINE" lorsque sa voix chasse froidement l'indésirable numéro un du moment. Bizarrement t'es foutrement adoucie, t'en ronronnes en oubliant la fureur qui raidissait tes muscles un peu plus tôt. T'as envie de prendre la poudre d'escampette, t'as besoin de le sentir contre toi. En toi. Parce qu'il n'y a que comme ça que tu te sens aimée. Que lorsqu'il pose ses mains sur toi et ses lèvres pour se délecter de la chaleur de ta peau. Et si on s'permettait de mettre à l'oeuvre tes dires Gabriel? Si j'suis ta copine ça ne te dérangera aucunement de me suivre dans mes bêtises pas vrai? Parce que j'ai pas l'intention de rester sage bien longtemps tu sais.

C'est finalement vos doigts entremêlés que vous filez à l'anglaise du mieux que vous le pouvez. Peu importe la soirée, les invités. T'as que faire des jeux et des slows. Tu veux le retrouver, encore et encore. Inlassablement. Que vos coeurs puissent battre à l'unisson l'un avec l'autre, que vous vous sentiez parfaitement bien. Vous reprenez votre danse entre baisers passionnés et râles grognées alors que vous tanguez dans les longs couloirs de l'hotel/casino. Vous n'avez aucune idée d'où est-ce que vous déambulez de la sorte et pour dire vrai tu t'en fiches totalement d'où vous pouvez bien atterrir. Du moment que tout cela ne prend pas fin. Que vous puissiez continuer à vous prouver à quel point vous vous aimer. A quel point vous êtes incapables de vous passer l'un de l'autre. Vous êtes de plus en plus brûlant. Incandescents. Vous vous enflammez au fur et à mesure que vos langues se mêlent et se démêlent. Que vos myocardes s'accordent sur la même longueur d'onde frénétique dont ils se parent lorsque vous vous laissez aller de la sorte. Plus rien ne compte si ce n'est ses gémissements, plaintes et râles qu'il te gratifie au fur et à mesure que tu te veux féline. Tu veux l'entendre ronronner, presque te supplier d'enfoncer tes canines dans la peau tendre de son cou. Au lieu de ça vous finissez par une pièce totalement random et sortie de nulle part si bien que vous manquez presque de vous effondrer lorsque cette dernière cède sous le poids que vous mettez sur le bois. Un coup de pied et la porte se referme afin de vous laisser toute intimité. Maintenant on arrête de jouer Gab, j'en peux plus de te tourner autour comme une lionne en cage affamée. Laisse mes dents se refermer contre toi, nos carcasses vibrer à l'unisson.

Vous n'êtes éclairés uniquement par les rayons lunaires et de rares appliques contre les murs ici et là. L'ambiance tamisée laisse à vos ombres le loisir de devenir chinoises contre les murs au fur et à mesure que vous avancez à tâtons sans vraiment trop savoir contre quoi vous vous heurtez. Les objets tombent, manquent de s'exploser en un millier de morceaux contre le sol alors que vous leurs rentrer dedans de la pire des manières. Vos souffles sont saccadés, vos palpitants s'affolent et ta main elle n'hésite pas à se vouloir conquérante. S'invite très clairement contre l'entrejambe de ton tatoué en faisant sauter la barrière de son pantalon tant tu es affamée. Tu vas et vient avec vigueur, lui arrache jurons sur jurons pour mieux te régaler. Te gonfler d'envies pour la suite et ce qu'il ne manque pas de démontrer alors que tes fesses viennent heurter contre un meuble. Alors que tu t'apprêtais à te sentir soulevée pour avoir tes petites fesses mordues par le froid, ton étreinte contre le membre de ton cher complice se veut coupée et le tissu de ta robe se veut remonter. T'as tout le loisir de constater un air étonné lorsque Gabriel se rend compte que tu n'as pas vraiment joué la carte sous-vêtements ce soir. Tu te doutais bien qu'un tel écart allait arriver puis ta robe est bien assez longue pour dissimuler tes coquineries. Tu comptes rester là à m'admirer longtemps Gaby où tu comptes passer à la vitesse supérieure? Car il me tarde de te sentir à nouveau en moi. De gémir d'envie et de plaisir pour toi.

Tu te hisses sur la pointe de tes petits pieds afin de pouvoir mieux l'accueillir entre tes cuisses. Se frayant un passage sans mal, le premier coup de rein t'arrache une plainte des plus sonores. Le second vient sans attendre et petit à petit ton corps se veut secoué par ce ballet s'instaurant furieusement. Le visage perdu tout contre ton cou, ton tatoué se veut possessif. Dieu que t'aimes ça, pas vrai Joanne? Lorsque t'arrives à lui faire perdre la raison et qu'il semble prêt à tout pour te montrer à quel point tu es sienne. Il n'y a que de cette manière qu'il arrive à le faire alors t'en abuses toujours plus. Serrée contre son corps, tes mèches de cheveux saisies par ses phalanges tu es totalement captive de ses mouvements. Tes jambes chaussées de tes talons hauts chancellent, faut dire qu'être perchée sur d'aussi hauts talons et tenter de s'envoyer en l'air par la même occasion c'est pas vraiment l'une de tes habitudes. Petit à petit tes fesses glisses pour gagner l'assise du meuble faisant rougir à chaque coup de butoir le bas de ton dos. Tes cuisses enroulent finalement le bassin de ton Gab alors que t'en demandes toujours plus au creux de son oreille. Tu baignes déjà dans la plus profonde des folies. Tes bras noués autour de sa nuque comme dans un étau, tes abdos se contractent, accusent le moindre va et vient pour toujours plus te faire t’humidifier à son passage. Tremblante, tu gagnes ses lippes des tiennes pour les embrasser avec un amour teinté de fureur. Encore une fois nous y revoilà, à ne pas pouvoir lutter contre nos instincts naturels Gabriel. Un jour on passera au dessus de ça? On sera quelque chose de plus puissants que des amants?

(c) DΛNDELION / MORPHINE (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 7 3794924939  


@Gabriel Dixon (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 7 2625458459 (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 7 2746359131 (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 7 917228000
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Message Sujet: Re: (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot)   (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 7 Empty Mar 3 Déc - 20:21




Still into you.
J'te revois perdue dans la foule
Avec tous ces mongoles bourrés qui dansent n'importe comment
Et j'me revois moi essayant de t'atteindre en évitant les gens qui hurlent
Et font des grands gestes absurdes
Et toi qui attend, terrorisée, au milieu du chaos
Et puis tes joues et puis ta peau.



Tu ne réalises que trop tard le teint soudainement blafard de Joanne. Il faut dire que tu pensais bien faire en simplement énonçant des faits sur votre relation compliquée depuis plus d'une décennie. Tu as simplement été honnête au possible. Tu ne vois pas tellement ce qu'elle peut te reprocher là dedans. Pour autant, t'es forcément désolé de songer que tu as pu lui faire du mal. Sans surprise, ce n'était pas du tout dans tes intentions. Sans surprise, tu aurais préféré qu'elle se contente d'un semblant de sourire et d'encouragements quant à ce fameux rancard qui durera le temps d'un week-end. Mais comme toujours, elle n'a entendu que le négatifs dans tes mots. Elle ne semble être capable que d'entendre le plus désagréable, à chaque fois que tu oses ouvrir la bouche. Tu ne comprends pas pourquoi. Tu ne comprendras jamais. De toute évidence, tu ne sauras jamais faire mieux. Tu ne seras vraiment jamais à la hauteur. Même en faisant tous les efforts du monde, tu n'y parviens pas. Et tant pis si ça te rend dingue et si tu réfléchis encore et encore à la meilleure façon d'y parvenir enfin, rien n'y fait. Tu ne sais pas et tu ne sauras sans doute jamais. A part si elle même parvient un jour à mettre un peu d'eau dans son vin. T'es conscient de ne pas réussir à faire assez d'efforts. Mais tu ne sais pas si de son côté elle réalise qu'elle aussi en manque pas mal. Si elle sait que t'aimerais que ça fonctionne mais que tu ne vois pas du tout comment tu peux bien t'y prendre sans constamment la blesser, l'agacer, la foutre carrément en rogne ou même l'ennuyer. T'as bien tenté l'humour mais, encore une fois, c'est loin de fonctionner sur elle.

Ta seule façon de te rattraper de ton énième bourde apparemment, sera de dévoiler la jalousie mordante et dévorante qui est la tienne quand tu la vois se faire draguer par d'autres hommes. Et le manque qui vient de la rejoindre du côté du bar, n'y va pas de main morte pour le coup. Alors que ses doigts ne se veulent que trop possessifs sur le bras féminin découvert. Toi tu rages et tu vois rouge. Débarquant sans prévenir pour enlacer Joanne et ramener son corps contre le tien, mine de rien. Parce qu'il est hors de question qu'un autre te la vole. Ce soir moins que jamais. Parce que ce soir, pour la première fois, vous avez l'occasion de vous afficher ouvertement aux yeux de tout le monde. Parce que ce soir vous n'êtes qu'une seule même personne. Ce soir c'et vous deux, point à la ligne. Et tant pis si ça déplaît à qui que ce soit. Tant que ça vous plaît à vous, c'est tout ce qui importe. Et t'as bien compris que ça ne lui posait pas tant problème que ça, à Joanne, d'être vue comme étant ta petite amie. Au contraire, elle semble même apprécier la chose. Sans doute que, dans le fond, elle est bien plus possessive que tu ne voulais bien le croire. T'étais persuadé qu'elle s'en foutait des nanas qui passaient brièvement dans ton lit. T'étais persuadé que même Susan, ça ne comptait pas tant que ça à ses yeux. Qu'elle n'y pensait même pas du tout à la quinqua qui te paye pour que tu lui tiennes compagnie. Tu commences à peine à penser différemment finalement. Tu commences tout juste à envisager le fait que ça puisse être un réel problème pour elle. Alors même que vous n'étiez plus un couple et que vous ne vous deviez finalement plus rien l'un à l'autre.

Finalement, votre relation est peut-être en passe d'évoluer enfin dans le bon sens. Tu ne saurais encore le dire, toi qui es toujours pris de tout un tas de doutes. Mais tu suis bien volontiers quand vous quittez la salle, main dans la main. Direction un petit coin sombre et tranquille pour pouvoir laisser libre court à toutes vos envies. Surtout les plus brûlantes, pour sûr. Les plus incontrôlables, les plus folles, les plus sexy. Très vite, vous n'êtes plus que baisers haletants et chauds comme la braise. Corps qui se cherchent, se trouvent, se frottent, se percutent plus ou moins furieusement. T'es incapable de te passer de tout ça, c'est une certitude. Une vérité que tu te prends toujours plus de plein fouet quand vous vous retrouvez de cette façon. C'est presque à l'aveugle que vous évoluez dans un énième couloir, pour finalement passer une porte qu'elle trouve du bout de ses doigts fins. Les mêmes doigts qui retrouvent ensuite le chemin jusqu'à ton corps qui vibre désir pour elle. Tu n'en peux déjà plus de cette attente alors que vous n'avez quitté votre suite que quelques petites minutes plus tôt à peine. C'est peut-être la succession d'états d'âmes et de sentiments qui vous fait cet effet là, au passage. Un peu de peur pour toi qui as merdé, pour ne pas trop changer. Puis la jalousie qui est venu te dévorer le coeur pour te laisser à moitié sur le carreau. Il est grand temps que tu rappelles, encore une fois, à son corps qu'il est tien. Qu'il appartient pleinement au tien. A tout prix. Toi qui ne peut t'empêcher de ressentir régulièrement de la panique, à l'idée qu'elle finisse par t'oublier au profit d'un autre homme ...

Vous avancez toujours à tâtons dans la pièce que vous n'avez pas cherché à éclairer. Faisant tomber quelques objets de ci et de là, sans franchement vous en inquiéter. Peu importe. Tout ce qui compte pour toi, c'est le goût de sa bouche que tu continues de dévorer et les vibrations de son corps qui ne tardera pas à ne faire qu'un avec le tien. Globalement, tu sembles ne vraiment vivre que pour ce genre d'instant intense, beau et parfait. C'est en voulant taquiner la dentelle de son sous vêtement, que tu réalises qu'elle n'en porte aucun. De quoi te surprendre tout autant que ça t'excite, clairement. Et ça ne fait aucun doute que ta réaction vive et soudaine, l'amuse énormément. Tu mets quelques avant de parvenir enfin à réagir autrement que comme ça, figé devant elle à lui offrir un regard presque incrédule. Bien assez vite toutefois, tu viens te perdre entre ses cuisses à peine ouvertes. Elle qui est forcée de se hisser sur la pointe de ses pieds pour pouvoir te recevoir en elle. T'aimes bien ça quand elle est presque complètement à ta merci et obligée de suivre tes envies comme tu le souhaites toi. Comme tu le choisis, toi. T'aimes bien trop ça quand elle dépend complètement de toi. Et justement, l'équilibre précaire qui est actuellement le sien, fait que sa position est inconfortable et qu'elle n'a d'autre choix que de s'en remettre totalement à toi. Tout naturellement, tu ne te fais pas prier pour en profiter aussi fort que possible. Allant et venant déjà de façon presque frénétique en elle. Lui arrachant autant de plaintes de plaisir que toi même tu peux en laisser s'échapper de tes lèvres entrouvertes. T'es déjà à bout de souffle. Non pas à cause de l'effort mais bien à cause de l'effet qu'elle te fait.

Vous êtes déjà en train de vous dévorer l'un l'autre avec appétit et gourmandise. Tu danses en elle de façon frénétique et infernale. Tes lèvres qui taquinent et dévorent toujours plus les siennes. Parce que t'es bien incapable de te contenir. Incapable d'entendre raison en cet instant. Alors que ton coeur bat la chamade et ne bat très clairement que pour elle. Tes mains se crispent dans sa chevelure épaisse. Empoignent plus ou moins fermement. Tu geins ton plaisir sans pouvoir t'en empêcher. Gémissements et grognements qui filent à travers le silence quasi complet de la pièce plongée dans le noir. Tes mouvements frénétiques finissent par faire reposer son postérieur sur le meuble contre lequel tu viens de la coincer. Et petit à petit, alors que vos bouches restent résolument soudées l'une à l'autre, tu la fais quelque peu basculer en arrière. Tu ramènes une main en appuie que tu poses à plat sur le meuble. De sorte à ce que, de nouveau, sa position soit inconfortable au possible. Forcée d'user toujours plus de ses muscles abdominaux pour se maintenir en bonne position pour rester contre toi tout en continuant d'encaisser chacun de tes coups de reins furieux. T'es complètement déchaînée contre elle et en elle. Le regard sombre quand tu parviens à décoller assez longtemps tes lèvres des siennes, pour croiser ses yeux foncés. T'es de plus en plus crispé par le plaisir qui, tu le sais, aura vite fait de te faucher de plein fouet pour te flanquer directement haut, très haut. Direction le septième ciel en compagnie de ta belle Joanne.

CODAGE PAR AMATIS



@Joanne De Luca (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 7 3176379322 (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 7 2781936883
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Message Sujet: Re: (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot)   (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 7 Empty Mer 4 Déc - 4:37



still into you
Gabriel - Joanne

«La vie c'est des étapes... La plus douce c'est l'amour... La plus dure c'est la séparation... La plus pénible c'est les adieux... La plus belle c'est les retrouvailles..» nicolas antona
Lorsque tu quittes la table, t'essaies tant bien que mal de ne laisser aucune émotion ressortir de ton visage. Tu te fermes et te renfermes dans ta coquille utilisant le prétexte du verre vide pour fuir jusqu'au bar le plus proche. Un whisky commandé, t'essaies de faire redescendre la pression en te disant que tout ça, c'était pas méchant. Que tu ne devrais pas réagir d'une façon aussi démesurée que ça. Mais t'es bien incapable de te retenir de voir rouge lorsqu'il vous fait passer pour un simple coup d'essai. Comme si vous ne valiez pas mieux que ça, que vous n'étiez rien de plus que deux vulgaires idiots se tournant autour depuis des années. Comme si vous n'aviez jamais été un couple. Un abruti vient s'inviter à tes côtés, au début lorsqu'on t'effleure la peau de ton bras tu penses à ton tatoué rongé par la culpabilité. C'est un visage dont les traits arborent l'effroi dont tu te pares lorsque tes opales se posent contre un parfait inconnu. Tu rages, bouillonnes instantanément alors que finalement ton chevalier arrive à ta rescousse pour imposer son territoire. Tu passes du stade d'essai à petite amie comme ça en un clin d'oeil. Juste ce qu'il faut pour que le goujat file, t'abandonnant au bras de ton cher et tendre. Serait-ce la jalousie qui parle? Qui te fais changer d'opinion Gaby? Car il y a quelques minutes toi et moi on avait rien d'officiel. Non pas que ça me dérange, bien au contraire.

T'as rapidement ce besoin de t'extirper à nouveau de cette foule dérangeante. De consommer l'instant tant qu'il est présent. Te nourrir de cette complicité le temps qu'elle vous unira l'un à l'autre. T'as tant rêvé de vivre ce genre d'instants en sa compagnie que tu as énormément de mal à te rendre compte de la chose. Te rendre compte que tout cela est réel. Ils sont loin ces adolescents attablés, penauds avec leur tasse de café fumante entre les doigts. Le jour où il a eu le courage de parler tout le long, sans même te demander ton avis. Tu chasses ces idées nauséabonds alors que tu tires ton tatoué par la main. Tu veux fuir, le plus loin possible. Loin des gens, de l'agitation et des faux semblants. Tu veux retrouver sa chaleur et c'est ce que vous ne manquez pas de faire alors que vos carcasses rebondissent comme la bille d'un flipper contre les murs d'un couloir à la fois sombre et étriqué. Furieux, tantôt tendres vous vous confondez dans une palette d'émotion toujours plus intense. Vous gémissez, grognez, grondez au fur et à mesure que vous vous enfoncez plus profondément dans la pénombre s'offrant à vous. T'ignores par quelle chance tes doigts trouvent la clenche d'une porte que tu abats en espérant que celle-ci soit déverrouillée. Juste une question... D'intimité Gabriel. Histoire qu'on puisse se laisser pleinement aller à ce que l'on fait de mieux ensemble.

Vous vous embrassez furieusement, les fournitures habillant les meubles tombent les unes après les autres sur le passage de la tornade que vous êtes. Comme si vous ne vous étiez pas aimés depuis des années, comme si c'était la dernière nuit que vous passiez sur terre. Vos mains parcourent l'épiderme de l'autre pour mieux le faire frissonner, tu finis par heurter un meuble contre lequel l'encré te bloques afin que tu ne te dérobes pas. Que tu sois offerte à sa merci. Vos étreintes prennent en ampleur pour ta plus grande satisfaction alors que cinq de tes phalanges ont déjà prises d'assaut la virilité définitivement réveillée de Gaby. Le tissu de ta robe se relève et le visage de ton amant se veut amusé, interloqué et à la fois sérieux. Tu te doutais bien qu'une occasion comme celle-ci se présenterait alors t'as préféré comme qui dirait prendre les devant. Tu te doutes que cela l'excite d'autant plus alors que tu peux constater dans ses prunelles déjà obscures de base un léger assombrissement. Ni une ni deux et dans une position se voulant presque inconfortable ton ex vient prendre place fièrement entre tes cuisses après qu'il se soit libéré également de la prison de tissu le retenant. Tu geins, fortement alors que les coups de reins s'enchaînent follement. Tu te hisses sur la pointe des pieds, pour toujours mieux le recevoir. Lui faciliter le passage afin que vous ne fassiez plus qu'un de la meilleure façon qu'il soit. Parce qu'on vaut ce qu'il y a de mieux pas vrai Gab? Y comprit pour la qualité de nos étreintes. Ces dernières ne nous déçoivent jamais cela dit. Je ne me souviens pas d'une seule fois où tu ne m'as pas comblé.

Vos lèvres entre-ouvertes laissent filer bien des complaintes toutes plus ardentes les unes que les autres. Tu sombres peu à peu vers la folie au fur et à mesure que ton corps se secoue de ses incessants coups de butoirs. La folie t'ouvres les bras et tu t'y loves sans la moindre retenue. Vous vous embrassez avec gourmandise, vos bouches se dévorent et vos langues se lancent dans un combat des plus féroces. Tes fesses finissent naturellement par glisser sur le meuble et c'est dominant au possible que le tatoué vient t'imposer une position périlleuse, sollicitant tes muscles. Abdominaux contractés, t'accueilles toujours plus chaleureusement ses cours de reins alors que l'une de tes mains est forcée d'abandonner son corps pour maintenir ton équilibre parfaitement. Pour ne pas te faire sombrer. T'aimes lorsqu'il prend les commandes, lorsqu'il se veut puissant de la sorte. Dans la vie de tous les jours tu lui reproches d'être passif, de ne pas se faire entendre. Jamais. Les prises de décisions c'est pas son truc non plus, sauf lorsqu'il s'agit de te quitter pour ça il gère et y'a pas de soucis à se faire. Son regard se pose contre toi, se régale de la vue de ta carcasse offerte à son bon vouloir. Si tu savais à quel point je t'appartiens, à toi et à toi seul Gaby. Que je rêve d'être un jour à nouveau ce que l'on a pu être par le passé. Ta confidente, ta moitié, ta partenaire.

Tes jambes viennent instinctivement se serrer autour de Gab pour épouser au mieux ses va et vient. Tu grognes, pendant de longues minutes tu étouffes tes râles de plaisir afin de ne pas être trop bruyante combien même il te tarde de pouvoir te laisser aller à gorge déployée dans cette large suite qui n'attend plus que vous. Ta tête est balayée en arrière, ta crinière de feu partiellement recouvrant ton visage. Tu sens que l'orgasme n'est pas loin, que la boule dans le creux de tes reins ne cesses de grossir. De prendre de l'ampleur. Tu finis par quitter la position imposée pour nouer tes bras autour de la nuque de ton compagnon de weekend. Ta poitrine repose contre son torse et tes lèvres s'apposent contre les siennes. Lorsque tu ouvres à nouveau un œil, une silhouette se tient dans l'encadrement de la porte et tu ne manques pas de te fixer. Totalement pétrifiée. "Désolé! Désolé! J'ai rien vu! Désolé!"  Le marié en perd ses mots alors que le malheureux tombe sur une scène des plus... érotique? Intime? Tu raffermis ton étreinte autour de ton partenaire de crime et cache ton visage contre son cou alors que la porte se referme rapidement sans que tu ne l'aies entendue s'ouvrir en premier lieux. Lorsque le claquement retentit, tu te mets à rire une nouvelle fois mais de façon clairement incontrôlable. Fou rire des plus fous. Franchement? Tomber sur le marié? Il manquait plus que ça Gabriel! Pour faire fort je pense qu'on est médaillés olympiques numéros un là dessus! Mais quelle journée des plus folles!

(c) DΛNDELION / MORPHINE (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 7 3794924939  


@Gabriel Dixon (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 7 2625458459 (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 7 2746359131 (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 7 917228000
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Message Sujet: Re: (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot)   (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 7 Empty Mer 4 Déc - 20:30




Still into you.
J'te revois perdue dans la foule
Avec tous ces mongoles bourrés qui dansent n'importe comment
Et j'me revois moi essayant de t'atteindre en évitant les gens qui hurlent
Et font des grands gestes absurdes
Et toi qui attend, terrorisée, au milieu du chaos
Et puis tes joues et puis ta peau.



Vous êtes toujours tellement incontrôlables quand vous êtes ensemble tous les deux. Mais ce week-end plus que jamais. Soit, t'as encore merdé pour ne pas changer. Soit, elle n'a pu s'empêcher d'avaler un verre d'alcool fort pour tenter de digérer ta bourde. Mais vous semblez quand même être encore de bonne humeur tous les deux. En tout cas bien assez pour éprouver le besoin de vous réfugier dans un coin sombre pour laisser libre court à toutes vos envies, pour ne pas changer. T'es tellement fou de cette nana là. Tellement dingue de tout ce qu'elle peut bien te faire ressentir, toujours. Tu ne sais pas pourquoi c'est aussi fort, même après tout ce temps. Mais ce dont tu es bien certain, c'est que tu ne souhaites rien d'autre que de profiter aussi fort que possible de ces quelques jours délicieux en sa compagnie. Sans te poser plus de question que ça. A vrai dire, ça c'est ta spécialité. Ne pas te poser trop de questions. Et c'est l'une des choses que Joanne ne supporte vraiment pas chez toi, sans réelle surprise. Parce que t'es trop différent d'elle et qu'elle te trouve, par conséquent, totalement insupportable. T'es pas mal d'accord avec elle sur ce point, il faut bien l'admettre. T'es pas le type le plus supportable qui soit. Surtout quand tu te montres intenable à faire le con à tout va plutôt que de retrouver un semblant de sérieux pour entretenir de vraies conversations. Tu ne sais même pas si tu sais toujours si bien faire ça. Ce n'est pas ta spécialité en tout cas.

En revanche, s'il y a bien une chose que tu sais faire en compagnie de Joanne, c'est le sexe. Vous êtes toujours sur la même longueur d'ondes tous les deux, sur ce plan ci. Raison pour laquelle vous ne vous faites franchement jamais prier pour laisser libre court à toutes vos envies. Même s'il est vrai que tout semble toujours plus simple quand vous avez un verre, ou deux, de trop dans le nez. Forcément. La question de savoir si c'est une bonne idée ou non de coucher et recoucher avec son ex sans cesse est ou non une bonne idée, ne se pose même plus dans ces moments là. Ce sont plutôt vos corps qui se répondent sans tourner autour du pot. C'est bien inutile, bien sûr. Les envies et besoins prennent le dessus sur tout le reste, à tous les coups. Cette fois encore, c'est avec le besoin de vous appartenir toujours plus fort, que vous échouez l'un contre l'autre. Que vous vous perdez dans une pièce éclairée uniquement par la lune qui entre à flot par les grandes fenêtres. Vous pourriez bien ne pas être seuls là dedans, que vous ne vous en rendriez même pas compte. Alors que les seuls bruits proviennent de vos échanges de baisers de plus en plus fougueux et ardents. Vos respirations sont plus courtes, vos souffles plus sonores. T'as même la quasi certitude que vos coeurs battent assez fort pour que le son parviennent à vos oreilles. A moins que ça ne soit que le tien, qui soit en train de faire vibrer ton corps dans son intégralité. Ce qui te convient également. T'aimes bien trop l'effet dingue qu'elle continue de te faire.

C'est normal que tu perdes aussi fort le contrôle. Que tu te fasses soudainement plus sauvage alors que ce n'est pas tellement toi d'ordinaire. T'es quelqu'un de plutôt doux dans le genre. Tu prends toujours garde à ne surtout pas faire mal d'une quelconque façon que ce soit. Mais quand vous perdez les pédales de cette façon tous les deux, tu ne peux t'empêcher de t'en soucier un peu moins de ce genre de détails. En grande partie parce qu'elle n'est que trop réceptive, il faut dire. Elle aime tout autant ces choses là que toi. Elle aime tout autant que toi la puissance du plaisir que vous prenez au cours de vos folles étreintes. Vous qui n'êtes très vite plus que halètements et gémissements d'extase. Cette fois ci ne fait évidemment pas exception. Vous grondez votre plaisir, bouche contre bouche. Vos langues n'ayant de cesse de se retrouver quand le souffle vous le permet. Vous bouches se faisant l'amour de façon aussi frénétique que vos corps. Parce que vous êtes tout à fait hors de contrôle et que vous n'avez aucune raison de vouloir vous contenir. Du moins, pas une raison qui te viendrait en tête à toi qui ne réfléchis pas des masses dans ce genre de moment. Pour ne pas dire pas du tout. Et tu sais qu'il en va de même pour elle.

Sans quoi, vous y auriez sans doute réfléchit à deux fois, tous les deux, avant de vous laisser ainsi aller. Au milieu de nulle part. Conscient qu'une fête bat son plein dans une salle non loin de là. Vous prenez quand même un gros risque à vous perdre de cette façon fougueuse et ardente. Le risque de vous faire surprendre par quelqu'un, bien entendu. Mais t'as beau le savoir tout au fond de toi, la petite voix de la conscience ne se fait pas entendre. Pas même tes démons, ne parviennent à atteindre tes pensées les plus sonores. C'est dire l'état dans lequel tu te trouves quand tu te laisses ainsi aller tout contre son corps. Tes mains maintenant perdues dans ses longs cheveux colorés, alors que votre étreinte bat sacrément son plein. Tu grondes, halètes, soupires et gémis toujours plus alors que tu vas et vient entre ses cuisses avec une certaine frénésie. T'es incapable de te calmer. Ce sera tout bonnement impossible tant que tu ne seras pas allé jusqu'au bout. Tu ne peux pas retrouver tes esprits quand tout ton être supplie ton corps pour une libération rapide et efficace. Pour que tu lui offres enfin l'orgasme tant attendu, tant espéré, tant désiré. Tu ne peux retrouver le bon état de fonctionnement de ton cerveau, sans cette totale libération de ton corps. L'un ne peut revenir sans l'autre, clairement.

Elle s'accroche aussi fort à toi que tu le fais en retour. Ses jambes serrées autour de tes hanches et ses bras enroulés autour de ta nuque pour te maintenir aussi serré que possible tout contre elle. Tu lui rends forcément ces folles étreintes. Vos lèvres n'ayant de cesse que de se retrouver toujours plus. Pour des échanges tous plus dévorants et fougueux les uns que les autres. Jusqu'au moment où tu la sens se tendre pour autre chose que votre étreinte. Tu le sais parce que tu la connais par coeur. Elle n'est pas du tout en train d'éclater en milliers de petites particules de plaisir comme elle peut le faire quand elle s'emballe et cesse de lutter contre l'arrivée de l'orgasme. Loin de là. Tu redresses la tête pour la regarder au moment où une voix se fait entendre derrière toi. Tu n'as pas du tout le courage de tourner la tête pour voir de qui il s'agit. A vrai dire, t'es en train de rougir comme un ado que l'on vient de surprendre en train de batifoler dans un coin du lycée. Alors que Joanne, elle, éclate d'un rire franc et sonore aussitôt la porte refermée. T'es toujours aussi figé sur place, les joues rouges et tes mains que tu viens y poser à plat. Elles ne sont pourtant pas assez fraîches pour faire redescendre la température de ta tête littéralement en ébullition. C'est pas drôle ... Et pur que tu dises ça, toi, c'est que tu n'es vraiment pas à l'aise du tout avec la scène qui vient de se jouer. Alors même que tu n'as pas croisé le regard de la personne et que tu ne sais pas du tout de qui il s'agit. On r'tourne pas dans la salle, c'est hors de question. Que tu marmonnes, maintenant le teint nettement plus blafard. Alors qu'elle est toujours aussi amusée de son côté. Elle l'ignore peut-être encore mais, malgré ton côté très extraverti, tu es également très pudique dans le genre. C'est l'une des nombreuses choses que tu tentes de planquer derrière tes rires excessifs et tes plaisanteries stupides.

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Message Sujet: Re: (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot)   (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 7 Empty Jeu 5 Déc - 4:26



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Gabriel - Joanne

«La vie c'est des étapes... La plus douce c'est l'amour... La plus dure c'est la séparation... La plus pénible c'est les adieux... La plus belle c'est les retrouvailles..» nicolas antona
Il faut dire que t'oublies vite votre léger désagrément avec Gabriel lorsque vous fuyez tous les deux. T'as envie de vérifier ses dires, de voir si il se comporte vraiment avec toi comme il le ferait avec sa petite amie. Comme si vous partagiez réellement quelque chose. De la complicité. Vos lèvres se retrouvent, vos corps se choquent l'un contre l'autre pour mieux s'appeler entre eux. Vous êtes incapables de rester sages longtemps, éternels sales gamins que vous êtes. Ce n'est pas tant ton verre de whisky qui t'as poussé à l'emmener dans les profondeurs des couloirs du casino. Non, ça c'était juste pour ne pas éclater. Ne pas lui remettre en plein visage ce que tu redoutais. Parce que t'as pas le droit à l'erreur ce weekend et tu le sais. T'en as tout simplement pas l'envie dans le fond, de ruiner toute cette magie bien au contraire. T'as pas envie de t'emporter trop vite, ou de mal interpréter quelque chose que Gabriel pourrait dire. T'as envie de mettre les rancœurs de côté. De ne pas penser au passé, de ne pas vous remettre vos erreurs en plein visage. Premier faux pas de la part de ton encré, mais tu dois lui pardonner. Tu dois trouver la force de ne pas le confronter. De ne pas monter dans les tons. Je suis importante pour toi pas vrai Gaby? Sinon tu ne m'aurais tout simplement pas dis oui pas vrai? Parce que tu ne serais pas venu avec moi à Vegas juste pour rigoler?

Par chance ou aléas du destin, vous finissez par trouver une pièce où vous finissez par vous échouer. L'un contre l'autre, vos myocardes tambourinant, vous montez en pression furieusement. Il n'y a aucuns mots assez forts pour décrire cette montée d'adrénaline que vous pouvez ressentir dans ce genre de moments. C'est bien trop fort, l'entièreté de vos corps vibrent à l'unisson. Ils ne veulent pas se séparer, ils sont trop bien ensembles à se pousser à la folie toujours plus. Vous vous dévorez avec gourmandise, vos langues se mettent à danser furieusement ensemble en redoublant d'efforts à la tâche. T'essaies de lui montrer, que vous en valez la peine. Que tu mérites qu'il te considère à nouveau comme sa petite amie. T'es prête à tout pour ça. T'es prête à changer, à être moins chiante et amère. T'es prête à renier tout ce que tu es pour son amour. Pour une chance d'exister à ses côtés de nouveau. Tu sais que c'est stupide de vouloir se donner autant à une personne. Tu sais pertinemment qu'il n'est pas au courant de ta dévotion, de ta loyauté et de ta retenue. Peut-être qu'il se dit que les hommes comme ce connard d'un peu plus tôt sont nombreux. Que tu te fais souvent courtiser. C'est quelque chose qui t'emmerderais Gabriel de savoir que j'ai du succès face à la gente masculine? Est-ce que ça éveillerait ta jalousie? Peut-être qu'elle est là mon erreur. Plutôt que de t'être dévouée corps et âme j'aurais peut-être dû faire comme toi. Enchaîner les conquêtes et les personnes dans mon lit pour recueillir une pluie de reproches. C'est toujours mieux que ton silence, tu sais.

T'ignores s'il est jaloux, ce qu'il peut bien penser de ta vie sentimentale. Si seulement il savait à quel point t'es solitaire. Sur tous les points de vues. C'est d'ailleurs quelque chose qui a le don d'agacer ton acolyte au boulot. Torbjörn vient même jusqu'à te sortir maintenant pour boire un verre et manger un bout. On aura franchement tout vu pas vrai? D'ailleurs pour cette idée tu plaides totalement non coupable. Toi tu voulais pas sortir ce soir là et c'est pas faute d'avoir proposé une soirée pyjama et netflix. T'aurais plutôt préféré passer la soirée dans ta grotte sous un plaid bien chaud plutôt que de te faire jolie pour accompagner le suédois. Il est trop social, connait trop de monde. T'es son parfait contraire faut dire. Pas franchement diplomate ni sportive. Tu ne croques pas la vie à pleines dents et pourtant tu cumules les addictions entre tabac et l'alcool prenant une place toujours plus importante dans ta vie. Tu trouves ça plus facile de tout noyer dans l'éthanol ambré. Tu t'anesthésies du mieux que tu peux afin que personne ne vienne plus te mettre de coups. Afin que tu ne ressentes plus rien du tout. Si t'es comme ça c'est uniquement pour te préserver. Pour ne plus souffrir vainement. T'es peut-être faible mais tu résistes tant bien que mal. Tu luttes comme tu le peux pour pas sombrer dans la facilité. Tu aurais préféré une version de moi plus édulcorée Gab? Une Joanne attentionnée, douce, sans vagues? Est-ce que cette femme là t'aurais été capable de l'aimer?

Vous ne manquez pas de vous retrouver furieusement. T'aimes bien trop lorsque ton tatoué laisse ses instincts les plus primaires parler. Lorsqu'il se sent obligé de te rappeler à quel point ton corps lui appartient. A quel point il est le seul à te faire sentir aussi légère, aussi vivante. Il n'y a rien à dire, vous êtes faits l'uns pour l'autre. Plus de dix ans que vous vous voilez la face pour votre plus grand regret. Vous ne vous permettez jamais de vous aimer pleinement. D'être heureux totalement. Toujours un prétexte, une raison pour vous éloigner pendant des années puis rapprocher subitement. Cruel yo-yo dont tu aimerais couper la corde une bonne fois pour toute. Ou bien être capable de l'arrêter entre tes doigts. Tu veux un dénouement, qu'il soit heureux ou pas. Tu peux pas être juste dans le brouillard constant, t'en peux plus. T'es fatiguée Joanne et ce weekend lui vient te chambouler encore plus. Te donnes l'envie de lui appartenir, de trôner fièrement à ses côtés. Vous gémissez à l'unisson alors que ses mouvements se veulent furieux, inquisiteurs en toi. Tes fesses se logent contre le bois du meuble bien plus robuste que les quatre planches que vous avez explosés en mille morceaux chez toi l'autre nuit. Tes jambes l'enserrent, vos bustes s'accolent et tes bras se veulent étau contre sa nuque. Tu gémis, supplies. La jouissance n'est pas loin, elle ne l'est jamais avec toi Gaby. T'as ce don naturel pour me faire péter les plombs, me faire parler des langues mortes et oubliées à coups de butoirs déchaînés. J'en oublie jusqu'à mon adresse, mon identité.

Tu finis par te raidir lorsque tes paupières s'ouvrent et que tes opales tombent nez à nez avez le tout frais marié se tenant dans la chambranle de la porte. Tu rougis à vue d'oeil, au moins aussi vite que tu ne t'es resserrée autour de ton tatoué dans un état de stress bien plus important que le tien. La voix intruse s'excuse platement, referme la porte avec maladresse. Tu te doutes bien qu'il fuit à toutes jambes, le pauvre. Tu pourrais te retrouver bloquée de toutes envies, être gênée ou vexée qu'une telle chose soit arrivée. Au lieu de ça tu te contentes de rire à pleins poumons, d'autant plus que ton amant lui semble carrément plus pudique et outré que toi. Pâle comme la mort, il marmonne quelques mots pendant que tu t'esclaffes. Voudrait-il que tu pleures? Tes bras se dénouent, tu le fais reculer de quelques pas jusqu'à ce qu'il glisse contre l'assise d'un fauteuil de cuir traînant dans la pièce pour mieux l'habiller. Non sans perdre de temps, tu viens regagner ta place et t'installes au dessus de lui pour mieux l'accueillir en toi. Gémissements pleuvant les uns après les autres, tu ne lui laisses pas la moindre occasion de penser à quoi que ce soit d'autre que toi. Vous êtes là, vous êtes grillés, alors autant finir votre petite sauterie pour vous faire la belle dans vos quartiers non? Tes lèvres attaquent sa jugulaire, son menton, sa bouche que tu dévores furieusement. "Chhht..." Que tu ronronnes entre deux baisers des plus fous. Des plus passionnés. Tu ravives la flamme, tes doigts se mêlent dans ses mèches de geais. Ton bassin percute, tes reins ondulent et tu te veux à ton tour plus animale et dominante que jamais. Tu ressens ça avec d'autre Gabriel? Cette envie, cette euphorie. Est-ce que Susan te fais le même effet? Ou bien un autre peu importe son prénom exotique. Je t'en prie rassure moi, éclaire mon chemin. Soit mon phare, m'évitant toute collision dans la nuit.

(c) DΛNDELION / MORPHINE (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 7 3794924939  


@Gabriel Dixon (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 7 2625458459 (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 7 2746359131 (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 7 917228000
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Message Sujet: Re: (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot)   (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 7 Empty Jeu 5 Déc - 19:34




Still into you.
J'te revois perdue dans la foule
Avec tous ces mongoles bourrés qui dansent n'importe comment
Et j'me revois moi essayant de t'atteindre en évitant les gens qui hurlent
Et font des grands gestes absurdes
Et toi qui attend, terrorisée, au milieu du chaos
Et puis tes joues et puis ta peau.



Tu pensais vraiment que vous alliez être capables de passer un week-end tranquille ensemble, sans le moindre petit nuage à l'horizon. Force est de reconnaître que c'est trop compliqué pour vous. Et forcément, ça vire en étreinte torride. Parce que vous ne savez pas faire autrement que ça non plus de toute évidence. Il vous faut faire la paix à tout prix de façon bestiale et vigoureuse. Un peu pour vous punir l'un l'autre au passage, certainement. C'est un besoin presque vital. Quitte à vous écorcher un peu au passage. A foutre un peu en l'air une partie de votre relation. Tu regrettes que vous ne soyez pas capables d'apaiser les choses entre vous, autrement que de façon sexuelle. Et en même temps, c'est tellement bon que tu serais bien idiot de t'en plaindre. Alors tu ne le fais pas. Jamais. Cette fois encore, tu la suis sans te faire prier alors que vous vous perdez ensemble dans les couloirs plongés dans l'obscurité. Deux amants passionnés qui se montrent incapables de tenir plusieurs heures de suite, sans se jeter dessus. Ce n'est pas surprenant il faut dire. La tension sexuelle entre vous est toujours particulièrement belle et intense. Pour ne pas dire violente et dévorante. c'est pour ça aussi que t'es incapable de te contrôler et que, tu le sais très bien, il en va de même pour elle. D'autant plus que vous n'avez finalement aucune raison de vouloir lutter contre tout ça. Tant que le désire est là, pourquoi se priver ? Pourquoi se faire du mal ? Ce serait bien trop idiot, t'en n'es que trop conscient.

C'est à un point tel, que tu ne penses pas du tout au risque que tu cours à te faire surprendre dans une fâcheuse position. Tu te laisses aller bien trop aisément en sa compagnie. Echangeant baiser intense sur baiser intense. Caresses provocatrices après caresses provocatrices. Jusqu'à finalement échouer comme deux animaux affamés, contre le premier meuble venu. Tu ne sais même pas dans quel genre de pièce vous vous trouvez tous les deux. Et ça n'a franchement pas la moindre importance. Alors que vous continuez de vous dévorer avec gourmandise et que les barrières entre vos intimités, sautent les unes après les autres. Pour vous permettre de vous unir en un rien de temps. D'un coup de reins sec et vigoureux parce que c'est là tout ce qu'elle t'inspire. Tout ce qu'elle mérite également, au passage. Que tu laisses libre court à toutes les envies qu'elle provoque dans ton corps tout entier. Toi qui as la chair de poule quand ses doigts caressent. Toi qui frissonnes de tout ton long quand ses lèvres s'égarent sur ta peau. C'est diablement intense, beau, brûlant. Comme c'est le cas à tous les coups, bien sûr. Parce que le désir n'est jamais tout à fait éteint entre vous. Il se contente d'être gentiment en veille de temps en temps. Quand vous n'êtes pas en mesure d'assumer pleinement la chose à la vu et au su de tout le monde.

Sans surprise, les gémissements sont bien vite de la partie alors que tu ne danses déjà que trop fort et trop vite entre ses cuisses ouvertes juste pour toi. Puis enroulées autour de ton bassin pour te faire prisonnier et t'inciter à y aller toujours plus fort justement. Tu n'as certainement pas besoin de tant. Pas besoin de te faire prier pour lui offrir tout ça et bien plus encore. Toi qui danses déjà avec frénésie. Fou furieux qui semble avoir eut le temps de manquer d'elle et de son corps alors même que vous ne faites déjà que coucher ensemble, de manière générale. Vous êtes deux véritables affamés, il n'y a rien que vous puissiez faire contre cet état de fait là. Et t'es bien incapable de te calmer quand t'es dans cet état. Il faut vraiment une intervention extérieure pour que tu retombes un tant soit peu sur terre. Et tu ne pensais pas que ça arriverait réellement. Quand bien même vous vous trouvez dans un endroit à risques pour le coup. Mais t'oublies tout quant t'es avec elle. Jusqu'à la possibilité que vous soyez surpris par une tierce personne. Ce qui est idiot, t'en es bien conscient. Et tu auras tout le temps de mourir de honte après ce très bref épisode. Qui s'est finalement joué dans ton dos, soit. Mais c'est déjà trop à ton goût. Le sang quitte ton visage aussi rapidement qu'il y est monté, pour te rendre blafard en un rien de temps. T'as carrément envie de fuir, alors même que tu es toujours profondément planté en elle. Et désireux de poursuivre dans le fond.

Et en même temps, pas en état de le faire. Raison pour laquelle Joanne prend le dessus, sans te demander ton avis. T'es encore trop sonné pour réagir. Tu te laisses faire bien volontiers. A moins que tu ne sois pas encore bien conscient de ce qui t'arrive, en réalité. Tes prunelles presque noires, plantées dans les siennes quand elle quitte le meuble pour te faire reculer. T'as le coeur qui s'emballe de nouveau quand elle te fait tomber dans un profond fauteuil de cuir noir. Tu n'avais vraiment pas réalisé la présence d'un meuble de ce genre dans la pièce. Il faut dire que tu ne sais toujours pas où vous vous trouvez. Et que tu ne sais pas non plus les choses qui se trouvent ici. Alors que tu continues de te laisser faire bien volontiers. Elle sait mieux que toi Joanne. Elle sait prendre les choses en main quand tu n'es plus capable de le faire toi même. Elle t'arrache un bref hoquet de plaisir quand elle vient s'installer à califourchon sur toi et te guide de nouveau en elle. Les gémissements ont vite fait de reprendre leur mélodie érotique. Un juron t'échappe quand elle perd son visage au creux de ton cou pour embrasser et mordiller tour à tour ta peau que trop sensible. Tu fermes les yeux pour apprécier plus encore ces petites provocations qui ont le don de te faire un effet dingue. Tu peux difficilement le nier. Que tu n'essaies pas vraiment d'ailleurs.

Tu ne sais même plus le genre de sons qui s'échappent de ta bouche quand elle vient la ravager de la sienne. Des échanges tous plus dévorant, fiévreux et passionnés les uns que les autres. Vos langues se font l'amour et la guerre en même temps. Tu réponds au son qu'elle échappe pour te faire taire, par un long "hmmm" qui confirme ton désire de lui obéir en te taisant, tout en te laissant faire bien volontiers. Encore. Toujours. Tu retrouves le rôle du dominé. Si c'est par ses soins, ça te convient amplement. Elle est bien trop parfaite, séductrice et diablesse dans le genre, pour que t'ais la moindre envie de lutter. C'est bien trop bon quand elle prend le dessus de la sorte, de toute façon. Tout autant que lorsque vous inversez les rôles à grands coups de reins frénétiques. Dans les deux cas, vous prenez toujours autant votre pied l'un comme l'autre. Vous qui n'êtes plus que plaintes de plaisir et tremblements des corps. T'en as pourtant froid dans le dos d'imaginer que la personne qui vous a surpris, finisse par aller raconter tout ça à Dieu sait qui. T'espères juste qu'il n'y aura pas de détails scabreux. Parce que tu n'es pas le genre d'homme à plastronner pour un oui ou pour un non. Tu n'es pas discret de manière générale. Mais tu es très pudique sur certaines choses. Et ce qui se passe entre vous deux quand vous vous appartenez de la sorte, ça ne regarde que vous. Tu jures de nouveau quand toutes tes pensées reviennent à la superbe jeune femme qui danse aussi furieusement que sensuellement sur toi. Elle se donne sans limite apparente, pour votre plus grand plaisir à tous les deux. Toi dont les mains se faufilent sous la robe rouge pour aller empoigner fermement ses hanches. De nouveau, tu n'es plus que plaintes de plaisir et supplications pour qu'elle continue. Et qu'elle aille jusqu'au bout cette fois. Qu'elle ne s'arrête surtout pas de faire rouler ses hanches avec cette sensualité frénétique. Alors que les étincelles de plaisir sont déjà sacrément de la partie.

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Message Sujet: Re: (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot)   (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 7 Empty Ven 6 Déc - 5:52



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«La vie c'est des étapes... La plus douce c'est l'amour... La plus dure c'est la séparation... La plus pénible c'est les adieux... La plus belle c'est les retrouvailles..» nicolas antona
Vous êtes une habitude que vous ne parvenez pas à briser. Un souvenir que vous êtes bien incapables que d'arrêter de revivre inlassablement. Vous n'arrivez pas à vous défaire l'un de l'autre, à avancer. Vous êtes bloqués par les fantômes du passés qui vous hantent, dont les griffes vous lacèrent pour mieux vous blesser. Pour mieux te pousser à attaquer. T'aimes pas la personne que t'es devenue. Tu te trouves amère, fade, glacée. Tu ne laisses personne pénétrer les hauts murs de défense que t'as érigé autour de ton myocarde pour bloquer l'accès à tout le monde. Refusant l'accès à chaque âme vivante tentant de près où de loin de se rapprocher de toi. T'as trop vu ta daronne pleurer, tes "beaux-pères" foutre le camp après avoir profité d'votre amour, d'votre gentillesse. L'un à même laissé deux gosses derrières lui, ta mère en pleurs sur le palier avec l'un des petits dans les bras. Les hommes sont couards, effrayés, lâches. Ils préfèrent nettement la fuite plutôt que d'affronter le nerf de la guerre. Ils se perdent en courbettes et politesses plutôt que de se voir réellement décisionnaires comme ils aimeraient tant l'être. Ils la veulent la culotte? Qu'ils la prennent! Qu'ils ne se gênent surtout pas pour ça. Mais avant il leur faudra passer par tous les désagréments qu'ils vous font subir constamment. L'abandon, la complexité, l'incertitude, le silence. Autant de choses qui effritent une relation, qui l'abîment au gré du temps qui passe. Notre histoire aussi part en poussière par endroits. Lorsque petit à petit tu prends moins d'initiatives Gaby. Ou lorsque je me réveille une énième fois sans toi.

Parfois t'as l'impression que vous prenez l'eau. Que votre amour s'est bel et bien fait la belle il y a de ça dix ans mais que vous êtes trop effrayés pour assumer la réalité telle qu'elle se présente à vous. Plus le temps passe plus les mots sont acérés. Plus les piques se précisent. Plus il est facile pour vous de vous blesser ouvertement. Tu ne retiens plus tes coups depuis bien longtemps, depuis Susan pour dire vrai. Comme si t'allais supporter qu'une femme bien plus âgée paye pour la compagnie de ton ex dont tu es toujours folle amoureuse. Comme si cela ne te rendait pas folle de rage de le voir poster ses photos de leurs petites expéditions, évidemment que tu as la nausée lorsque tu l'imagines se perdre dans ses bras. Embrasser sa peau et se plonger entre ses cuisses. Que ce soit elle ou une autre d'ailleurs, t'es bien trop morte de jalousie. Elles ont toutes ces choses que tu n'as pas. L'assurance, la bienveillance, le calme. La douceur, la fragilité, la patience. Tu ne peux aucunement rivaliser et c'est ce qui te bouffes autant. Ce pourquoi tu te pousses à sauter les repas, mettre de côté ta faim. Si tu n'es pas toutes ces choses alors tu seras la plus fine. La plus mince de ses prétendantes. Aussi légère qu'une poupée de chiffon. Si je ne peux pas être la plus aimante, laisses moi essayer d'être la plus jolie Gabriel. Te chasser ces images de celle que j'étais avec ses rondeurs et ses insécurités pour laisser place à celle que je suis devenue.

Tu n'as aucune idée dans quel genre de pièce vous avez bien pu débouler. Une salle de conférence? Une bibliothèque? Une espèce de salle d'attente? Tu t'en contrebalance il faut dire, il n'y a que ces baisers pour lesquels tu vis. Que la respiration de ton tatoué se mêlant furieusement à la tienne pour mieux te faire tourner de l’œil. Il vient recréer cette boule de désir dans le creux de tes reins au fur et à mesure qu'il se plante en toi. Te possède et se régale de la scène avec ses pupilles assombries par l'envie et le plaisir que tu as su déclencher chez lui. T'es pas peu fière de toujours lui faire autant d'effet après tout ce temps si ce n'est plus. Juste assez pour te conforter dans l'idée que ta minceur subite y est pour quelque chose. Vous gémissez à l'unisson, vos bassins s'emballent de la même folie alors que tu viens finalement glisser sur l'assise du meuble sur lequel l'une de tes fesses lorgne depuis un moment déjà afin de libérer tes jambes tremblantes. Une main placée vers l'arrière pour te pousser à encaisser les "mauvais" traitements de ton amant, ce sont tes abdos qui compensent à chaque coup de butoir que tu reçois. Tu ne manques pas de venir te lover contre lui, ne supportant pas la proximité installée entre vous alors que tu pourrais te régaler de sa chaleur. Tes bras se nouent instinctivement contre l'étau de son cou, vous semblez tous les deux sur le point d'exploser quand tes prunelles embuées par le désir et les lippes vibrantes de tes suppliques tu tombes nez à nez avec le marié dans l'encadrement de la porte. Ce dernier se confond en excuses, s’échappe à toutes jambes pour te laisser exploser de rires. Fallait le faire pas vrai Gab? Réussir à se faire chopper comme deux sales gosses qu'on prend en flagrant délit d'une quelconque connerie. Vous êtes pris sur le fait, y'a plus rien à y faire maintenant si ce n'est assumer.

Ton encré semble se braquer, manifestement gêné par la scène venant de se dérouler alors que vous vous retrouviez tout à fait impuissants. Mais ça ne sert à rien de s'en faire, c'est pas comme si une annonce micro allait être faite pour annoncer toute la foule de vos parties de jambes en l'air répétées et incontrôlables/incontrôlées. La passion, c'est pas quelque chose qui se commande et ce petit incident n'a en rien éteint l'appétit grandissant que Gabriel à su faire grandir en toi. Tu romps votre étreinte, le fait reculer de quelques pas juste ce qu'il faut pour qu'il rebondisse à moitié débraillé contre le cuir d'un fauteuil. Ouf, c'était ça ou le sol. Faut dire que vous avez eu votre quota de chûtes l'autre soir lorsque vous avez achevé un meuble fraîchement monté par tes soins. Ses mains tatouées par tes soins viennent se loger contre tes hanches, gardées au chaud par l tissu de ta robe aussi rouge que ta tignasse de feu virevoltant à chaque fois que tu vas et viens contre la virilité de ton compagnon d'escapade. Tu geins, te régales des jurons qu'il laisse échapper les uns après les autres. Tes genoux viennent se loger contre le cuir également de part et d'autres de ses cuisses resserrées. Tes doigts contre les mèches de cheveux tu t'empales furieusement, te mords la lèvre jusqu'au sang lorsque ce n'est pas la sienne que tu retiens férocement. Encore, toujours plus. J'pourrais en crever si tu t'arrêtais maintenant Gaby, si tu me disais que tout ça ne te fais plus envie. Comment tu voudrais que je puisse m'en passer? Que je puisse oublier?

Tu ne tardes pas à réveiller ces instincts fous qui vous lient, ces râles désespérées que vous vous adressez en feulant de toutes vos âmes blessées. Il n'y a que de cette façon que vous vous sentez en vie, totalement en paix. Cette plénitude tu ne la ressens qu'en sa compagnie, lorsque vous vous aimez physiquement à défaut d'autrement. Vous faites du mieux que vous le pouvez pour dire vrai. Lorsque tes lèvres ne sont pas comme les siennes, elles filent à la perfection trouver son cou que tu viens rougir de suçons. Toujours marquer ton territoire, prouver aux autres que la chasse est gardée et qu'elles feraient mieux de passer leurs chemins si elles tiennent à leurs faux ongles. T'aurais été bien moins diplomate à la place de Gab mais ça c'est ton côté sanguin. T'aurais été capable de planter la première poulette tentant un flirt de bas étages. Il est à toi, ne serait-ce que le temps de deux nuits. Ta température corporelle monte en flèche, tes idées s'embrouillent et rapidement tu n'es plus capable de rien d'autre si ce n'est quémander toujours plus. L'orgasme n'est pas loin, pour preuve il vient petit à petit te faire vibrer de part en parts. "Viens avec moi babe.." Tu supplies à demi-mots, incapable de faire preuve de plus de voix qu'un gémissement haletant. T'es prête à imploser, te laisser aller à cette jouissance des plus folles en sa compagnie puisqu'il n'y a que lui qui puisse te faire sentir si complète. Je vais pas pouvoir me retenir bien longtemps Gabriel, t'as pas idées. C'est bien trop fou, trop puissant. Comment tu veux que je mette des mots sur une explosion des sens aussi percutante, aussi incandescente qu'indécente.

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@Gabriel Dixon (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 7 2625458459 (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 7 2746359131 (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 7 917228000
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Message Sujet: Re: (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot)   (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 7 Empty Dim 8 Déc - 22:58




Still into you.
J'te revois perdue dans la foule
Avec tous ces mongoles bourrés qui dansent n'importe comment
Et j'me revois moi essayant de t'atteindre en évitant les gens qui hurlent
Et font des grands gestes absurdes
Et toi qui attend, terrorisée, au milieu du chaos
Et puis tes joues et puis ta peau.



Tu ne sais toujours pas pourquoi vous passez autant de temps à vous faire du mal l'un et l'autre. Mais c'est une évidence contre laquelle tu ne peux plus rien depuis longtemps. Du moins, pas que tu saches. Depuis trop longtemps vous vous faites mal tous les deux. Parfois de façon volontaire. Surtout elle, il faut bien le dire. Elle sait un peu trop bien faire ça. Tu n'es pas aussi tordu. Si tu lui fais du mal, c'est de façon toujours involontaire. Tu n'es simplement pas assez doué pour ce genre de chose, tu peux difficilement le nier et prétendre le contraire. Pourtant, elle a tout l'air de croire dur comme fer que t'es un vrai salaud sans sentiment qui fait tout son possible pour l'atteindre en plein coeur et lui faire mal. Tu ne fais pourtant rien de tel. En tout cas pas volontairement. Et t'es bien trop idiot pour te rendre compte de quoi que ce soit. Parfois, tu tentes de le lui rappeler. Que t'es pas le plus doué des hommes et que tu ne fais pas de mal volontairement. Mais elle refuse toujours autant de t'entendre. Ce n'est pas faute d'essayer. C'est faute d'être capable d'être clair en revanche. T'as trop peur de te prendre tes sentiments en pleine gueule alors tu ne les dis pas. Tu ne dis rien qui serait même susceptible de la mettre sur la voie quant à tout ce que tu peux ressentir pour elle. Tu préfères presque être le crétin de service qui enchaîne les conneries plus grosses que lui.

T'as l'impression d'être en train d'en faire une alors qu'on vous surprend en pleine partie de jambes en l'air. T'es gêné comme rarement t'as pu l'être au cours de ta vie. A toujours faire le con, tu sembles ne pas te soucier outre mesure de ce que l'on peut penser de toi. C'est un peu vrai, clairement. Et en même temps, tu n'es pas assez exhibitionniste pour pouvoir assumer le tableau que tu viens d'offrir à un type. Tu ne sais pas du tout de qui il peut bien s'agir. En revanche, t'es bien trop conscient du fait qu'un type vient de vous voir en pleine étreinte tous les deux. Le seul avantage, c'est qu'il n'y avait pas franchement de surface de peau à apercevoir. L'un comme l'autre, vous êtes encore bien trop vêtus pour avoir permis ça. Dieu merci. Tu peux remercier votre hâte et votre incapacité à patienter quelques minutes de plus, pour ça. T'en es bien conscient. Votre passion vous rend service pour une fois. T'es prêt à tout arrêter pourtant. Parce que presque totalement refroidi par cet épisode malencontreux. C'est Joanne qui relance pleinement les choses en t'entraînant directement du côté d'un fauteuil de cuir. Que tu n'avais clairement pas vu pour ta part. Tu n'as pas même le temps de ronchonner et de faire remarquer que t'es soudainement bien hésitant, qu'elle remue frénétiquement sur toi. Qu'elle danse furieusement sur toi. Et en même temps, de la façon la plus sensuelle qui soit.

T'aimes bien trop la façon qu'elle a de bouger sur toi et pur toi. Elle ne sait que trop bien y faire. Tu le sais depuis le temps, bien sûr. Mais ça ne t'empêche pas d'en être presque surpris à tous les coups. Quand elle roule des haches pour votre plus grand plaisir à tous les deux. Tu ne peux faire autrement que d'être sacrément vibrant de plaisir. Toi et ton corps qui ne semblez dépendre que d'elle, encore et toujours plus. Tu jures carrément quand elle tire sur tes cheveux, toujours plus fort. Folle furieuse qui se déchaîne ouvertement sur toi. T'aimes quand elle oublie toutes les potentielles limites pour se donner toujours plus. Pour son plaisir, pour le tien, pour le votre. Parce que ça fonctionne à tous les coups de toute façon. Tu ne grognes que plus fort encore quand ses dents s'en prennent furieusement à ta lèvre inférieure. Elle n'y va clairement pas de main morte Joanne. Tu devrais râler de ces excès de violence. Au lieu de ça, tu jubiles ouvertement. Grognements, halètements et gémissements ne sont que trop de la partie pour le coup. De nouveau, t'en oublies complètement le fait que vous pourriez être surpris. Que c'est même déjà arrivé à vrai dire. Et que t'en as été terriblement gêné. C'est dire à quel point elle te fait de l'effet Joanne. Pour te permettre d'oublier à ce point tout ce qui n'est pas elle et le plaisir que tu continues de prendre à tout ça.

Tu manques de souffle tant c'est bon. Alors forcément que t'es soulagé quand elle libère tes lèvres au profit de ton cou qu'elle vient taquiner furieusement. De quoi te permettre de retrouver un peu de ton souffle. Tu penses vraiment que tu pourrais crever au cours de l'une de vos étreintes tant elles sont dévorantes, vibrantes et brûlantes. Elle est certainement en train de marquer ta peau. Mais elle sait que t'adores ça. T'aimes qu'elle ait envie et besoin de marquer son territoire à sa façon. C'est sacrément sexy dans le genre. Alors tu te laisses faire bien volontiers. Tu parviens à hocher la tête de haut en bas quand elle te supplie de la suivre. De "venir" avec elle. Forcément que tu ne te fais pas prier. Elle y va franchement et toujours plus sur toi alors ça t'arrange bien de la savoir elle même sur le point de décoller. C'est forcément en sa compagnie que t'aimes le plus décoller. Tu jures quand t'es heurté de plein fouet par l'extase. Un juron sonore qui file rebondir sur les murs de la pièce que tu n'identifies toujours pas. Echos qui retombent dans tes oreilles. Une autre flopée de jurons alors que vous palpitez l'un contre l'autre, l'un dans l'autre. Tes mains se faufilent pour aller attraper ses fesses. Tu ne saurais dire si tu tentes de l'empêcher de bouger plus encore ou si, au contraire, tu la supplies silencieusement de poursuivre. Encore. D'aller jusqu'au bout. Toujours plus.

T'es haletant, tremblant, transpirant. La tête qui bascule en arrière pour lâcher un ultime vif gémissement. De soulagement cette fois ci. Soulagé d'être allé au bout, certainement. Finalement tu bascules la tête en sens inverse. Pour poser le front sur son épaule, paupières closes. Juste le temps de retrouver ton souffle. Après quoi, il vous faudra fuir cette pièce pour rapidement aller vous planquer dans votre suite. Tu ne te sens définitivement pas capable d'aller affronter de nouveau le coeur même de la fête. Pour une raison assez évidente. T'assumes de coucher avec cette superbe jeune femme. En revanche, tu n'assumes pas d'être pris en flagrant délit en train de le faire, justement. J'suis déjà en train de penser à la prochaine ... Que t'avoues d'une voix chaude. Mais dans notre suite, bon sang ! Que tu grondes, presque boudeur. Tu relèves la tête pour poser ton front plutôt contre le sien cette fois. Paupières toujours closes pour profiter autant que possible et apprécier davantage encore chaque petite minute que vous pouvez passer ensemble. Dis moi qu'on doit pas repasser dans la salle principale. Tu recules maintenant le visage pour lui offrir une moue enfantine et boudeuse. Histoire de la faire craquer si elle était en train d'hésiter et de réfléchir la chose. Tu préfères lui couper l'herbe sous le pied.

CODAGE PAR AMATIS



@Joanne De Luca (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 7 3794924939 (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 7 1967697819
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Message Sujet: Re: (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot)   (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 7 Empty Lun 9 Déc - 3:32



still into you
Gabriel - Joanne

«La vie c'est des étapes... La plus douce c'est l'amour... La plus dure c'est la séparation... La plus pénible c'est les adieux... La plus belle c'est les retrouvailles..» nicolas antona
Depuis si longtemps t'es persuadée que les choses ne pourront aller autrement. Depuis treize ans, tu te persuades que vous ne changerez jamais. Que vous êtes tous juste bons à vous envoyer des piques au visages, des saloperies pour mieux pour planquer derrière vos barrières grossièrement érigées au fur et à mesure du temps pour subir les coups. Vous protéger. Parce que vous êtes deux couillons, persuadés que ce qui vous unit est bien trop faible, pas viable. Pourtant vous continuez de vous revenir l'un l'autre, vous ne vous abandonnez jamais. Combien même Gabriel s'abandonne à d'autres. Beaucoup d'autres. Tu as pu entendre de nombreux de ses exploits dans la bouche des garçons de la bande, des conversations que tu aurais préféré ne jamais croiser afin d'épargner tes pauvres oreilles innocentes. Toi t'es restée sage pendant cette décennie. Faut dire que malgré tes deux essais rien de concluant mise à part une fuite évidente de ta part ne s'est fait ressentir. T'es incapable de t'adonner à d'autre que Gabriel, incapable d'appartenir à qui que ce soit d'autres. Impossible de laisser la possibilité à un autre homme de te posséder. T'es pas à l'aise, ton cœur bat la chamade jusqu'à t'en donner la nausée et tu fuis tes vêtements en mains. Non il n'y a rien à faire. Si ce n'est pas toi Gaby, je préfère rester seule. Ta compagnie ou ma solitude, qui sait ce que le temps nous réserve pas vrai? Qui aurait cru que l'on soit capable de s'aimer autant? Pleinement grâce à une poignée de kilomètres loin de notre quotidien?

Vous vous laissez aller l'un à l'autre à nouveau, à l'abri des regards enfin ça c'est que vous pensiez tous les deux égoïstement. Vos reins se cherchent, vos bassins s'entrechoquent alors que tu gémis toute une pluie de râles plus passionnées que jamais. T'aimes bien trop lorsque cet éclat assuré brille dans les yeux sombres de ton tatoué. Lorsqu'il se veut sûr de lui, sûr de vous. Lorsque qu'aucuns doutes ne viennent obscurcir vos doutes vous permettant d'y voir clair quelques instants. Tes jambes nouées autour de son bassin aussi fièrement que tes bras contre sa nuque tes abdos n'ont de cesses que de se contracter à chaque coup de butoir des plus délicieux qu'il t'assène sans la moindre retenue. Il te connaît, il t'as modelé au fur et à mesure des années. Il sait ce que tu es prête à encaissée, il sait ce qu'il faut pour te propulser dans de bien lointaines contrées. Tu sembles perdre pieds, te contractant autour de sa virilité. Mais t'es rapidement ramenée sur terre lorsque tes prunelles tombent sur le marié se tenant dans la chambranle de la porte alors que tes paupières s'ouvrent à nouveau te permettant de prendre conscience de la scène. Vous êtes chopés sur le fait, vous ne pourrez en aucun cas réfuter ce qu'il c'est passé ici, à l'instant même. L'homme se confond en excuses, il fuit aussi vite qu'il ne peut et tu peux constater contre toutes attentes le gêne évident de ton encré semblant bien moins amusé que toi. C'est lui généralement qui rigole à gorge déployée lors d'instants aussi cocasses que ça, pas l'inverse. Je ne t'aurais pas pensé si pudique Gabriel, après tout il n'a pas eu l'occasion de voir grand chose. C'était moins dramatique que ça n'est drôle pas vrai? Nous qui passons le plus clair de notre temps à nous cacher. A dissimuler ce que l'on est réellement.

Tes fesses quittent l'assise du meuble pour faire reculer ton tatoué de quelques pas jusqu'à ce que ses fesses rebondissent contre un fauteuil de cuir dont tu ignorais la présence jusqu'à quelques secondes auparavant, qu'il ne se dessine en ton champs. Tes cuisses enserrent à nouveau les siennes, tu lui feules bien des mots brûlants pour lui montrer à quel point tu restes affamée, tu comptes bien terminer ce que vous avez su commencer il y a quelques instants avant d'être interrompus. Tu n'hésites aucunement avant de le faire à nouveau glisser le long de ta fente humide et suppliante au moins autant que tes suppliques que tu adresses au creux de ses oreilles, contre ses lèvres tremblantes. Lorsque vous ne vous embrassez pas, tes lèvres saisissent la peau de son cou. Douce, tendre, offerte aux moindres de tes mauvais traitements tu ne manques pas de faire violacer cette dernière à coups de suçons répétés pour toujours plus marquer son épiderme entre tous ces tatouages dont tu es l'auteure. Tu mêles ton encre au violet de tes baisers, appartenance totalement apposée contre sa carotide battante. Pulsant au rythme de ses battements de cœurs au moins aussi effrénés que les va et vient que tu instaures, la rage au ventre. Aimes moi de tout ce que tu peux tu veux Gab? Peu importe que l'on soit prit sur le fait, peu importe que personne ne ce soucie de nous. Je t'en prie, prouves moi que l'on vaut mieux que tout ça.

Tu ne le lui laisses pas le moins du monde le temps de reprendre place, d'émettre la moindre volonté alors que tu t'abats furieusement, rageusement. Tu rappelles la moindre d'once de désir de son corps étroitement lié au tien, tu ne laisseras pas s'en tirer si facilement. Pas le moins du monde. Vous vous embrassez furieusement, vos langues s'emmêlent lorsque vous ne râlez pas votre plaisir à l'autre. Tu sens finalement le point de non retours atteint, tu lui quémandes de t'accompagner dans ta jouissance, de ne surtout pas te lâcher. Et c'est comme deux bombes que vous explosez l'un contre l'autre, parfaitement imbriqués alors que vos silhouettes se retrouvent agitées de soubresauts de plaisir par milliers. Tes ongles lacèrent la peau s'offrant à toi, tu feules de toute ton âme. Peu importe que l'on vous surprenne à vous deux, tu t'en contrefous il faut dire sinon tu n'aurais pas été prête à courir un tel risque. Tu te doutais bien qu'à force de vous aimer à tout-va de cette façon vous finiriez par être surpris. Vous pouvez vous estimer heureux que cela ne soit pas arriver à New-york dans les toilettes de ce bar vous connaissant depuis plus d'une dizaine d'années où dans cette impasse ténébreuse adjacente dans laquelle vous vous retrouvez parfois entre deux coups d'éclats. Qu'est-ce qui peut bien nous arriver Gaby dis moi? Ces gens on ne les connaît pas. On s'en fout pas vrai? Ils peuvent bien raconter ce qu'ils veulent, c'est avec toi que j'étais et je n'ai aucune honte. Zéro.

Tu l'as rendu dans un état qui te régales au plus haut point alors qu'il avoue être déjà entrain de penser à vos prochains ébats. Râlant peu après cependant quant à l'endroit. "Roh... Ca va ça aurait pu être pire." Que tu confesses pour détendre l’atmosphère alors que ton homme se veut boudeur au possible pendant que vous êtes tous les deux toujours parfaitement imbriqués. Son crâne finit par reposer contre ton front, vos souffles haletants entremêlés pour tenter de retrouver un quelconque équilibre. T'es tout bonnement sur le point de crever Joanne mais si c'est dans ses bras alors tout va bien pas vrai? Tu craques tout à fait alors que son visage se retire du tien, enfantin, en te demandant très sincèrement si vous pouviez ne pas repasser par l'enceinte principale. "J'crois avoir vu une cage d'escalier au fond du couloir. Qui sait on pourra peut-être rejoindre la suite!" Que tu lances en te détachant finalement de lui, tes jambes encore tremblantes sous l'effet de vos plaisirs liés. Tu t'offres une brève toilette grâce à une boîte de mouchoirs disposés non loin que tu jettes dans une corbeille à papiers. "D'abord j'prends un bain avant que tu ne me touches à nouveau!" Cette fois tu te veux presque boudeuse à ton tour, vu ton état des plus seconds. T'es sans dessus ni dessous, tes cheveux en souillon. Tes chevilles hurlent à quel point elles souffrent jonchées du haut de leurs escarpins et tu viens saisir la main de ton tatoué trônant toujours fièrement sur son canapé de cuir essayant de rattraper sa respiration. Tu roules des yeux et c'est ainsi que vous vous engouffrez comme deux complices jusqu'à la fameuse cage d'escaliers où tes talons résonnent à chaque marches franchies. Faut dire que je te pensais plus joueur que ça Gabriel. Mais ça me rassure en un sens, que tu sois pudique, réservé lorsqu'il s'agit de nous. Parce que tu souhaites nous protéger pas vrai? Tout ça c'est uniquement pour ça? Pour que l'on ne souffre pas. Pour que l'on ne souffre plus.

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Message Sujet: Re: (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot)   (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 7 Empty Lun 9 Déc - 23:24




Still into you.
J'te revois perdue dans la foule
Avec tous ces mongoles bourrés qui dansent n'importe comment
Et j'me revois moi essayant de t'atteindre en évitant les gens qui hurlent
Et font des grands gestes absurdes
Et toi qui attend, terrorisée, au milieu du chaos
Et puis tes joues et puis ta peau.



Tu ne sais pas si les choses entre vous sont en train de prendre une belle tournure de façon définitive ou si c'est temporaire, encore. Tu ne saurais dire si l'entente va prendre fin de façon aussi brutale que ce à quoi vous vous êtes tous les deux habitués depuis le temps. Le fait est que ça marche souvent entre vous. Mais que a tendance à ne fonctionner que de façon très temporaire, avant que la belle entente ne vous éclate en plein visage. C'est une question d'habitudes entre vous. Arrive toujours le moment où un clash survient. Et tu n'as aucune idée de la meilleure façon de t'y prendre pour arranger les choses pour le coup. Car même lorsque tu fais un tas d'efforts, ça arrive. Vous finissez toujours par vous en prendre l'un à l'autre et par vous faire un mal de chien. Ce n'est pas toujours volontaire. Mais ça finit tout de même par arriver, pour x raison. Parce que tu dis une connerie, parce qu'elle perd patience. Parce que tu n'assumes pas, parce qu'elle ne supporte pas ça. Parce que vous êtes apparemment faits pour vous tourner autour sans jamais trouver ni le courage ni la force d'aller plus loin. Pas ensemble. Pas directement. Ce n'est pourtant pas faute de le souhaiter ardemment. En tout cas c'est ton cas. T'aimerais être capable de plus. Être capable de tout pour elle. Pour la rendre enfin heureuse. Parce que tu le sais bien qu'elle ne l'est pas tout à fait. T'en es conscient et en même temps, tu sais que tu ne pourras jamais être à la hauteur. Que tu n'es pas fait de la bonne matière pour la combler comme elle le mérite.

Il lui faut un homme fort, sûr de lui et qui sait faire preuve d'initiatives. Mais tu ne sais pas être cette personne là. Tu n'as pas ce qu'il faut pour l'être, tout simplement et malheureusement. Avec un peu de chance et une belle dose d'efforts, ça finira par arriver. Tu n'y crois que moyennement mais tu te forces quand même. Parce qu'au fond de toi, il est évident que tu meurs d'envie de voir les choses évoluer pour de bon entre vous. Parce que t'es fou de cette nana depuis l'adolescence et que tu ne saurais te passer d'elle. T'as jamais vraiment essayé, c'est un fait. Et tu ne vois aucune raison d'essayer à vrai dire. A part le faut que vous soyez en train de vous détruire tous les deux. De vous laisser dévorer par les mots durs qui se font de feu pour vous ravager tout entier. Tu regrettes que vous vous fassiez tant de mal. Mais aucun de vous deux n'a encore trouvé le remède miracle pour tenter de guérir ces maux là. Et tu ignores bien si ça changera ou non un jour. Tu sens que c'est mal parti en revanche. Vous n'êtes que trop braqués et bloqués chacun sur vos certitudes. La sensation que la faute est sur l'autre à tous les coups ou presque. La sensation que rien ne se débloquera jamais, malheureusement. Il semble que ça vous demande trop d'efforts, trop d'énergie, trop de boulot. A croire que votre relation ne vaut pas assez le coup pour que vous les fassiez tous ces efforts. Tu ne comprends définitivement pas pourquoi vous vous êtes à ce point braqués.

Ce que vous savez toujours aussi bien faire en revanche, c'est vous perdre l'un contre l'autre et l'un dans l'autre. Avec toute la rage et la passion que vous ne savez que trop bien réveiller. Encore et toujours plus. Et ce, même alors que t'as manqué faire un malaise de gêne. Tu n'assumes pas du tout d'être surpris en pleine étreinte. T'es beaucoup plus pudique que ce que tu veux bien laisser voir et croire. C'est plus fort que toi. Toi qui ne doutes que trop de toi même. Ce que tu te gardes bien de dévoiler aux yeux de tous. Parce que tu refuses toujours autant qu'on te prenne en pitié. Tu ne supporterais surtout pas que Joanne elle même le fasse. Tu préfères encore qu'elle te déteste pour x raisons. Mais tu ne contrôles pas la gêne qui te gagne après que vous ayez été surpris dans pareille posture. C'est elle qui tente de te rassurer à sa façon. Qui te fait temporairement oublier la chose. Qui, pourtant, te revient en plein visage aussitôt l'orgasme apaisé et retombé. Ouais, il aurait pu voir ton corps. Que tu marmonnes sur un ton qui se veut boudeur et enfantin au possible. Habituel chez toi. Pas de quoi la surprendre, très certainement. Et sans doute qu'elle n'aura pas même envie de ronchonner et de s'agacer de te voir agir ainsi. Parce qu'elle n'est que trop habituée depuis le temps. Elle te connait assez pour savoir que t'es toujours ainsi. Forcément trop à son goût. Mais tu préfères qu'elle te voit ainsi, plutôt que tel que tu es réellement.

Mine de rien, t'émets l'idée de rejoindre votre suite sans passer par le coeur même de la fête. Tu aimerais vraiment éviter de croiser qui que ce soit. Surtout après ce qui vient tout juste de se produire. Et si l'information était déjà passée d'une personne à une autre et avait fait le tour des invités ? T'es peut-être complètement parano. On peut essayer ! Que tu te contentes de lui répondre alors qu'elle s'éloigne de toi pour s'essuyer rapidement. Le temps que toi, toujours installé dans le fauteuil, tu remettes un peu d'ordre dans ta tenue. Boxer remis en place et pantalon fermé. Avant que tu ne te lèves pour la rejoindre. Tu ris de bon coeur quand elle te fait remarquer qu'elle souhaite un bain avant que tu ne puisses de nouveau poser les mains sur elle. Tu ronchonnerais franchement si elle ne prenait pas ce ton boudeur. T'aimes bien trop ça sur elle. Tu trouves que ça lui va bien et que ça la rend d'autant plus sexy. Tu m'piques ma manie de bouder ou j'rêve ? Que tu t'amuses ouvertement, le regard toujours sur elle. Tes yeux qui apprécient son corps peu vêtu, surtout. Savoir que tu n'as pas le droit de la toucher tout de suite, te donne encore plus envie de poser tes mains sur elle. Le goût de l'interdit ou un truc du genre. Un bain ? Tu peux pas te contenter d'une douche ? Tu t'imagines déjà un peu trop en train de tourner en rond en attendant qu'elle quitte la baignoire.

Enfin vous quittez la pièce et trouvez sans trop de mal la cage d'escaliers qu'elle a mentionné un peu plus tôt. Tu te forces à détourner le regard de sa petite personne alors qu'elle t'apparaît terriblement sexy avec ses cheveux en bataille, sa robe froissée et ses jambes qui semblent flageolantes sur ses talons hauts. Elle est beaucoup trop désirable pour son bien comme pour le tien. Tu vas devenir dingue. Et si t'étais assez fort pour ça, tu l'aurais déjà fait basculer sur ton épaule pour rejoindre plus rapidement encore votre suite. Au lieu de ça, t'accélères le pas et lui passe devant. Histoire de l'inciter à accélérer, elle aussi. Moins tu te dépêches, moins je te laisserai le temps de profiter de ton bain ! Que t'affirmes pour le moins clairement. Quand bien même tu te sais toi même trop sympa dans le genre, pour la couper dans son élan. Tu seras beaucoup plus du genre à veiller sur son confort. Quitte à lui apporter un verre ou de quoi grignoter dans la salle de bain. A rester aussi sage que possible pour qu'elle profite un peu du confort suprême qui vous est offert dans la suite. Tu le sais qu'elle n'est pas habituée à tant de luxe avec son petit appartement. Et contrairement à toi qui vis dans un truc presque trop luxueux pour toi tout seul.

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