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 (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot)

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Message Sujet: Re: (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot)   (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 3 Empty Mar 12 Nov - 4:33



still into you
Gabriel - Joanne

«La vie c'est des étapes... La plus douce c'est l'amour... La plus dure c'est la séparation... La plus pénible c'est les adieux... La plus belle c'est les retrouvailles..» nicolas antona
La soirée suit son court autour de vous. Mais vous n'en avez que faire, des âmes qui vous entourent. Vous pourriez bien être seuls dans la pièce qu'aucune ne se ferait ressentir. Parce que tes yeux sont rivés dans les siens, qu'il n'y a que cette réalité là qui t'importes. Tu n'es pas venue au mariage de Mira pour te vouloir plus sociale qu'à ton habitude. Elle t'as déjà forcée la main lorsqu'elle est venue mentionner l'obligation quant à inviter Gabriel, alors fallait pas trop t'en demander non plus. Lors de sa dernière séance, la brune n'a eu de cesses que de te poser des questions des plus déplacées sur ta relation avec le beau tatoué. Enfin, d'abord elle est venue questionner le suçon présent dans ton cou. Tu t'es contentée de grogner en guise de réponse et de te pencher un peu plus sur son dos en espérant que cela vienne la faire taire. Bien au contraire, car elle est encore plus têtue que toi la suicide girl. Faut dire qu'un tempérament comme le sien faut être une sacré force de calme pour pouvoir réussir à contrebalancer tout ça. Ce dont tu ne doutes pas, son époux étant très charmant le peu de fois qu'il t'aies été donné de le rencontrer. Elle insistait lourdement à savoir qui avait bien pu réussir à calmer la furie que tu peux être pour venir planter ses canines en ton cou. Il faut dire qu'avant d'avoir piqué l'épiderme de son côté pile, t'as eu le loisir de t'occuper de toute la partie face avant ça. Elle à su voir ton côté bien trop réservé au début lorsque tu te contentais de tatouer en silence les clients s'offrant à ton dermographe. Elle a gratté encore et encore pour voir que t'étais pas le genre de fille à courir les relations. Que t'avais toujours ton premier amour dans le corps. Dans le coeur. Parfois, j'pense qu'on est vraiment pas doués Gaby. Regarde, même une parfaite inconnue à su le reconnaître en quelques heures. Où est-ce qu'on a merdé? Où est-ce qu'on aurait pu faire différemment?


Il est bien plus qu'adorable ton encré lorsqu'il fronce le nez en faisant remarqué qu'il n'est certainement pas le plus musclé pour réussir à te porter sur son épaule. Tu penses très clairement qu'il doute de ses capacités. T'as été assez capable de tripatouiller ses biceps pour pouvoir baver dessus. Certes il n'est pas le plus body-buildé des hommes et dieu merci car t'as la sainte horreur de ces gens qui se surfont totalement. T'apprécies sa silhouette fine à Gaby toi et tu n'as jamais manqué de lui faire remarquer. Bon t'as trop souvent dissimulé ça dans une gentillesse concernant l'encre sur sa peau ou son positionnement. Mais pour autant, toi tu fais des compliments. Du moins, t'essaies. Faut pas te demander d'être douée non plus. L'important c'est d'essayer pas vrai? Phrase de loser t'es bien d'accord. Mais tu t'y accroches, t'essaies de montrer que tu peux faire des efforts pour être moins amère sur le passé. moins acide sur tes mots qui se veulent trop souvent piquants à souhait et pleins de reproches. "T'as de la chance que j'sois naine." Qu'tu te mets à rire bien trop amusée en imaginant la scène pittoresque. Toi et ton mètre soixante rivé comme un joli petit sac à patates bringuebalant dans les bras de ton cavalier. Ton visage vient cependant s'assombrir lorsque l'idée d'une tiers personne pouvant éventuellement vous empêcher de fuir. Tu te veux feulements sourds, menaçante dans tes mots ce qui ne manque apparemment pas de plaire. "Ah ouais? T'aimes ça quand je gronde?" T'as un éclat dans l’œil qui ne manque pas de pétiller. Tes lèvres s'approchent de son oreille, joueuse au possible. "Tu veux pas changer mon grognement énervé en un feulement de plaisir genre?" Murmures lâchés, ton visage se décolle du sien. T'ignores de quoi je serais capable pour nous protéger, pour nous donner une chance d'être à nouveau ce que l'on a été Gabriel. C'est un truc qui pourrait te tenter? Un nouveau départ?

La suite des événements se veut rapide, tout s'enchaîne à une vitesse folle. Les étreintes sages mais brûlantes, les baisers furieux puis tes lèvres murmurant le fameux top départ jusqu'à l'ascenseur le plus proche. Le premier arrivé, peu importe. Vous êtes prêts à passer devant de vieilles personnes s'il le faut, ils ont toute la retraite eux. Vos pas se pressent, se veulent finalement course effrénée pour chiper la première cabine aux portes ouvertes. Les doigts encrés de ton compagnon appuient sur l'étage désiré alors qu'il attire ta carcasse contre l'un des murs, y pressant la sienne tout contre ta robe rouge sang. Tu gémis, attaque sa lippe inférieure de tes dents. Tout ce passe bien trop vite à ton goût, t'aurais bien aimé avoir une centaine d'étages de plus à gravir en sa compagnie si cela peut signifier un peu plus de temps à joindre ta langue à la sienne, tes doigts à ses mèches sombres comme la nuit dans lesquelles ils s'entortillent. Tu gémis, recherche la moindre once de sa chaleur pour te l'accaparer. La faire tienne autant que tu t'abandonnes à lui, t'offres les yeux fermés. Sautant les deux pieds dans le plats. Le weekend de tous les excès, de tous les interdits. Il ne manquerait plus qu'tu lui laisses échapper un je t'aime pour le clou du spectacle. Mais tu t'y refuseras Joanne, vous n'en êtes pas là. Vous n'êtes plus en capacité de vous chuchoter ces trois petits mots des plus tendres. Ceux qui viendraient nous rapprocher, nous unir. Tu penses qu'un jour on pourrait n'être qu'un? Une entité si forte que son avenir ne serait jamais à remettre en question Gab?

Vous rebondissez contre les murs, râlez entre deux baisers des plus furieux pour finalement atterrir contre la porte de votre chambre. D'abord ton dos contre le bois de la porte alors que tu ronronnes en un énième baiser, puis ton bassin contre le creux de ses reins alors qu'il tente tant bien que mal de trouver la clef magnétique vous permettant de pénétrer dans votre chambre. Tu taquines, t'impatientes prenant la liberté de faire sauter la boucle de la ceinture de ton encré sans aucune vergogne. S'en suit un périple des plus hilarants alors que vous manquez tous les deux de vous étaler sur le sol, la porte lâchant finalement après validation du pass magnétisé. Tu te contentes de chasser tes affreux talons, t'accoles à nouveau contre ton tatoué bien trop loin de toi à ton goût. Tes doigts font tomber sa veste, de façon bien plus habile que celle que tu emploies pour ouvrir les boutons de sa chemise contre lesquels tu perds très clairement patience. Si bien que le dernier, tu le fais sauter en tirant sur les pans de tissu. Le bouton saute, roule au sol tu ne sais où alors que tu te contentes de te régaler du torse encré s'offrant à toi. Tu ne te lasseras jamais de cette vue des plus agréables Joanne bien au contraire. Tu t'en damnes. Il marmonne pendant que ses doigts sur tes hanches te forcent à pivoter. Frisson sur ton échine alors qu'il dézippe la fermeture invisible de cette robe bien trop serrée à ton goût. Le tissu glisse, te laisse uniquement vêtue d'une pièce de lingerie de la même couleur recouvrant tes fesses galbées. Si tu savais comme je brûle dans ces instants Gab. Cesses de te jouer de moi, on a trop attendu déjà.

Son tour de se régaler de ton épiderme semble être venu, longues secondes avant qu'il ne te fasses basculer sur le lit en se débarrassant de sa chemise sombre. Il gagne finalement le matelas, ses lèvres la chaleur de tes cuisses puis celle de ton bas ventre. Remontée des plus lentes alors que t'es à l'agonie Jo'. T'en peux plus. Il s'échoue contre ta poitrine qu'il gratifie de nombreux baisers, lèvres tentatrices qu'il prend bien soin de garder loin de toi. "Arrêtes donc de jouer..." Éternelle impatiente que tu fais. Tu fais rouler vos corps pour inverser les positions. Tu le trouves que bien trop habillé pour l'occasion. Tu l'embrasses à pleine bouche alors que fraîchement installée à califourchon tu te mets à onduler au gré de cette passion vous dévorant. Tu t'échappes, attaques son cou que tu viens faire violacer à coup de tes succions répétées. Tu te régales de son torse magnifiquement tracé alors que tes doigts accompagnent volontiers ta course vers le bas de son ventre. S'il y a quelque chose qui te rend très certainement dingue concernant le corps parfait de ton complice, c'est ce creux magnifiquement marqué en V menant tout droit vers son entre-jambe. T'es du genre faiblarde Joanne quand il en vient à ce genre de détails pas vrai? Tu fais glisser son pantalon de smoking le long de ses jambes, son caleçon virant par la même occasion. Il n'y a plus que sa virilité offerte au bon vouloir de ta bouche mutine et de tes doigts experts lorsqu'il s'agit de le satisfaire. Ta langue percée vient agacer son pubis alors que tes doigts viennent enserrer son membre déjà bien éveillé. Le premier round sonne, encore une nuit fauve dans laquelle on se promet de se noyer. Si tu savais comme j'aimerais t'en promettre une éternité Gabriel, de ces nuitées.


Je veux faire l'amour dans les champs, dans les clairières, dans les taxis,
Je veux faire l'amour partout, même sur les toits de Paris.
Je veux résider au creux de ton cou et dans nos draps parfumés aux lilas,
Tandis qu'une madré enveloppé d'un châle rouge bénit nos fronts
En silence avec des croix de baume au camphre.
Je te montrerai comment décrocher les boules blanches des symphorines
Pour les éclater sous nos pieds et entre nos doigts,
Avant d'aller regarder la lumière d'un lampadaire qui rougeoie
Et qui vacille sur les berges du fleuve endormi,
Dont les risées de vent emplissent la surface.


(c) DΛNDELION / MORPHINE (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 3 3794924939  


@Gabriel Dixon (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 3 2625458459 (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 3 3556163343 (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 3 3794924939
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Message Sujet: Re: (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot)   (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 3 Empty Mar 12 Nov - 18:45




Still into you.
J'te revois perdue dans la foule
Avec tous ces mongoles bourrés qui dansent n'importe comment
Et j'me revois moi essayant de t'atteindre en évitant les gens qui hurlent
Et font des grands gestes absurdes
Et toi qui attend, terrorisée, au milieu du chaos
Et puis tes joues et puis ta peau.



Tu n'as jamais été trop doué pour interpréter le comportement de Joanne. Mais depuis votre départ de New-York, t'es quand même bien tenté de penser et de dire qu'elle est d'excellente humeur. Comme rarement elle l'a été, même. Et ça te plait, pour sûr. T'es satisfait de la voir dans ce genre d'état d'esprit. Et surtout, t'es bien décidé à en profiter, évidemment. Tu ne te vois pas être celui qui mettra le feu aux poudres. Celui qui fera déraper les choses du mauvais côté. Celui qui va bêtement foutre le bordel entre vous. T'es capable de ça et t'en es bien trop conscient. Pourtant, tu vas prendre sur toi. De toutes tes forces, tu vas te retenir. Tu vas rester sur le qui vive. Prêt à faire marche arrière avant qu'un rouge de colère ne lui monte aux joues comme ça peut arriver parfois. Tu n'as aucune envie de ça, bien entendu. Tout ce que tu souhaites et espères toi, c'est de voir le week-end se dérouler exactement de la même façon. Parce que c'est mieux pour tous les deux. Parce que votre relation semble connaître un tournant des plus positifs qui est bien trop bon pour être renié et mis de côté. T'es pas du genre à être naïf pourtant. Mais t'as envie. Envie d'y croire. Envie que ça aille enfin mieux pour de bon entre vous. Que vous cessiez une bonne fois pour toute de revenir en arrière alors qu'il est évident que vous êtes capables d'avancer. Main dans la main.

Mais commencer par un week-end entier ne semble pas être une trop mauvaise idée pour le coup. Et t'es bien décidé à en profiter à fond, tout en faisant tout ton possible pour ne pas gâcher les choses. Raison pour laquelle tu te retrouves à lui proposer une danse. De quoi la surprendre, à n'en pas douter. Ce n'est pas comme si c'était fréquent entre vous d'avoir ce genre de moment. De partager ce genre de truc. Mais elle ne se fait pas prier pour te suivre alors vous vous retrouvez bel et bien comme un couple des plus parfaits, sur la piste de danse. Au milieu des autres duo. Desquels vous ne vous souciez pas outre mesure à vrai dire. Vous êtes bien dans votre bulle, rien que tous les deux. C'est même là tout ce qui compte. Le fait d'être à deux dans cette jolie bulle réconfortante et qui fait un bien fou. Qui vous soude comme jamais. Joanne parvient même à se détendre suffisamment pour déconner avec toi. T'aimes vraiment trop ça. Surtout lorsqu'elle t'offre des sourires, des rires ou même qu'elle te rend tes plaisanteries en tous genres. Ouais j'avoue que ça m'arrange pas mal. Elle est plutôt une très adorable naine dans son genre. Tu la trouves à croquer et sexy à la fois. Tu la trouves parfaite, physiquement et sur tous les autres plans. Mais tu dois bien admettre que t'aimes le fait qu'elle soit petite. Une taille qui ne l'empêche pas d'être carrément effrayante quand elle le veut. Soit, t'as déjà osé la comparer à un Gremlins et elle n'a pas beaucoup apprécié.

Ouais ... J'trouve ça sexy ... Que tu soupires tout bas, d'une voix chaude qui se veut provocatrice. Parce que t'aimes vraiment ça quand vous vous cherchez plus ou moins tous les deux. Quand vous vous provoquez de cette façon là, plutôt que de le faire pour que ça vire en stupide dispute. T'aimes pas quand vous vous faites du mal de cette façon. Mais t'es bien trop peu courageux pour prendre les choses en mains et faire en sorte que ça s'arrête. Pour entamer une conversation franche et directe avec elle, quand bien même tu sais très bien que c'est précisément là ce que vous devriez faire. T'as eus le courage de faire ça pour rompre il y a plus de dix ans. T'es pas sûr de l'avoir pour faire le contraire. Parce que tu sais que tu n'es pas du tout à la hauteur. Parce que t'as trop peur de toutes les horreurs qu'elle pourrait bien te balancer en plein visage. T'es persuadé qu'elle te rirait au nez si tu émettais l'idée de retenter votre chance en tant que couple. Alors même que tu n'as pas du tout changé malgré les années. Que tu n'as pas fait grand chose pour évoluer dans le bon sens et enfin commencer à lui correspondre. Elle t'en ferait forcément la remarque et tu le sais que ce serait amplement mérité.

Ce n'est pourtant pas faute d'avoir envie de te débarrasser de tes vieux démons. Tu n'es pas maso, tu n'aimes pas souffrir. Mais tu n'as aucune idée de la meilleure façon de t'y prendre pour passer outre et pour enfin aller de l'avant. T'as jamais su. Tu ne sauras sans doute jamais. T'es peut-être bien voué à rester le même crétin qui fait du surplace. Un vrai zombie sans cervelle. Jusqu'au bout tu seras un peu trop fidèle à toi même. Jusque dans le cercueil tu seras et resteras ce type qui n'a jamais su quoi faire de sa vie. Qui s'est contenté de la regarder passer sans jamais vraiment lever le petit doigt. Pourtant y'a bien Joanne qui te donne une bonne raison de te battre et d'avancer. C'est elle la raison. Excellente raison. Qui vient te murmurer de nouvelles paroles des plus chaudes au creux de l'oreille. Tu te crispes, par réflexe. Et affiches un petit sourire pour le moins satisfait. T'aimes bien trop les images sexy qu'elle est en train de te mettre en tête. Elle fait ça bien. Tu dirais même que personne n'a ce pouvoir qu'elle a, sur toi et ton imagination. T'as raison, c'est ça que j'préfère en plus ... Que tu réponds chaudement en retour. Echanges de baisers, de caresses presque innocentes, de sourires complices, avant la fuite. Main dans la main vous courez comme des dératés pour rejoindre l'ascenseur, puis le couloir où se trouve votre suite.

Tu as toutes les peines du monde à retrouver la carte magnétique supposée vous faire entrer. C'est d'autant plus compliqué, que Joanne est en train de se jouer de toi. Elle prend un malin plaisir à te sentir te tendre à son contact alors que ses doigts se font taquins sur la boucle de ta ceinture. Après une flopée de baisers tous plus chauds les uns que les autres. Tu pestes dans ta barbe mais pousses un grognement de pur soulagement quand la porte cède enfin. T'es bien trop heureux de pouvoir enfin te réfugier dans votre "petit" coin rien qu'à vous du week-end. De pouvoir retrouver ses lèvres et son corps pour des échanges de plus en plus fougueux, ardents, passionnés, bestiaux même. Vous êtes apparemment bien incapables de faire autrement que de vous sauter dessus comme deux animaux affamés. Comme à chaque fois que vous vous permettez les retrouvailles de ce genre entre vos deux êtres. Soit, tu prends soudainement bien ton temps. Amusé à l'idée de la faire languir alors que son ventre est sans doute aussi crispé que le tien, par l'anticipation et les envies toutes plus folles les unes que les autres. T'as envie de taquiner, soit. Mais aussi et surtout de parcourir sa peau de tes lèvres, de tes dents et de la pointe de ta langue. Ce qui a vite fait de lui faire perdre patience à la belle Joanne. Nan j'peux pas ... T'sais que j'adore ça ... Que tu lui réponds, à moitié hilare alors qu'elle se fait féline pour reprendre le dessus. Ton rire qui s'étrangle dans ta gorge lorsqu'elle vient t'embrasser à pleine bouche. Tu grondes de plaisir instantané et poses tes mains sur ses hanches. Tes doigts qui sont forcés de remonter sur son corps à mesure qu'elle même descend. Tu grondes quand elle s'attarde au creux de ton cou pour bien malmener ta peau. Tu grondes quand elle continue de descendre, le long de ton torse. Tu grondes encore quand elle te débarrasse de ton pantalon et de ton caleçon dans le même temps. Mais tu te tais soudainement quand elle s'attarde sur ta virilité. T'as le souffle coupé et le coeur qui s'emballe. Tu prends de profondes inspirations pour tenter de te préparer à la suite alors que ses doigts s'enroulent autour de toi pour te caresser. Alors que sa langue taquine provoque ton bas ventre dans un premier temps. L'air de rien, tu viens perdre tes doigts tatoués dans ses cheveux en désordre. Tu le sais qu'elle ne va pas te laisser en plan en s'arrêtant en si bon chemin. Mais sait-on jamais.

CODAGE PAR AMATIS



@Joanne De Luca (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 3 3176379322 (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 3 2781936883
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Message Sujet: Re: (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot)   (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 3 Empty Mer 13 Nov - 4:52



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Gabriel - Joanne

«La vie c'est des étapes... La plus douce c'est l'amour... La plus dure c'est la séparation... La plus pénible c'est les adieux... La plus belle c'est les retrouvailles..» nicolas antona
Est-ce que dans un univers parallèle vous arrivez à être heureux ensemble? Est-ce que quelque part dans la galaxie il existe une meilleure version de vous? Deux ados qui ne se seraient pas séparés bêtement car ils n'arrivaient pas à communiquer. Deux adultes sincères et dévoués. Tu poses souvent la question à savoir si ce n'est pas juste vous qui êtes trop cons pour que ça fonctionne. Trop égocentriques, trop stupides pour ne serait-ce qu'un jour vous redonner la moindre chance. Il n'y a qu'à voir le peu que vous arriviez à vous supporter avant ces derniers temps. Ces disputes incessantes, scènes de ménage incontrôlables que vous déchaîniez et ce peu importe l'endroit. Il n'y a qu'alcoolisés que les mœurs s'apaisent. Que lorsque l'apéro est déjà bien entamé que vous vous supportez sans vous tirer dans les pattes. Sans vous faire de mal. Puis généralement vous vous abandonnez l'un à l'autre. Férocement. Furieusement. Vous laissez exploser la frustration, le ressenti. Mais surtout l'envie. Celle qui vous anime, celle qui vous lie l'un à l'autre. En treize ans personne n'a su toucher ton âme de la façon dont il a pu le faire. Personne n'a jamais réussi à abattre tes murs, exploser ton armure pour te laisser à nue. Offerte à sa vue. Et pourtant rien de tout ça ne suffit. Ni l'amour que ton cœur lui porte, ni ta jalousie maladive, ni ces nuits fauves que tu espérais maintenir la flamme d'une manière ou d'une autre. J'suis terrorisée Gaby, à l'idée que cette lueur dansante vienne s'éteindre. Qu'il ne reste rien d'autre de nous qu'un tas de cendres fumantes.

Ce weekend vous vous êtes fait la promesse que tout serait différent. Croix de bois, croix de fer. Si vous mentez, vous allez en enfer. Vous avez même joints vos petits doigts, complices sur le tarmac alors que vous vous élanciez en direction de votre embarquement pour rejoindre Vegas. Ce mariage un peu fou auquel vous êtes conviés. Vous étiez beau en découvrant la ville comme deux enfants, vous étiez adorables lorsque vos rires se sont entremêlés d'euphorie à la découverte du Casino-hôtel et de votre suite bien trop grande pour vos deux petits êtres. Jusqu'ici, vous n'avez pas manqué à votre promesse bien au contraire. Vous ne cessez de vous en offrir toujours plus. Des étreintes tendres, des gestes rassurants. Des mots inattendus qui viennent faire bondir votre myocarde dans sa cage thoracique alors que ce dernier tente de s'en extirper. On pourrait croire que vous êtes ensemble depuis une dizaine d'années tant votre complicité saute aux yeux. Que vos rires sont des plus francs et que vos yeux ne savent faire rien d'autre que de renvoyer tout l'amour que vous ressentez pour l'autre d'une façon pétillante. Comme si les astres étaient tombés dans vos opales pour les faire briller. Vous dansez même ensemble, d'une valse que Gab semble maîtriser parfaitement à ton plus grand étonnement. Tu veux pas trop penser aux raisons qui l'amènent à danser si bien. Tu veux pas penser à ce qui pourrait vous diviser. Tu dois te raccrocher à ce qui ce déroule là. A ce qui se trouve à la portée de ta main. Tu sais que je vis la plus belle journée de ma vie Gabriel? Que jamais, je ne me suis jamais sentie aussi à ma place. Aussi désirée que lorsque tu m'offres tes bras de cette façon.

Vous vous impatientez très clairement au fur et à mesure que vos corps s'éloignent et se retrouvent pour se presser toujours plus fortement l'un contre l'autre. Les chansons défilent tout comme les mots de ton tatoué au creux de ton oreille ou en murmures contre tes lippes offertes aux siennes. Tu lui indiques très sincèrement que tu préférerais gronder de plaisir que de menace en imaginant les éventuels courageux qui pourraient s'en venir pour tenter de vous séparer l'un de l'autre. Crispé tout contre toi, tes mots semblent avoir un effet détonnant alors qu'il t'assures que tes râles de plaisir sont celles qu'il préfère. C'est sûr que ça doit être bien plus agréable que tes sermons à n'en plus finir. Ils n'ont pas leurs places ici ce weekend. Absolument pas. Vous vous embrassez, vous taquinez jusqu'à fuir. Gagner l'ascenseur puis les étages. Vous êtes joueurs, rieurs. Vos rebondissez contre les murs des couloirs tels des balles en mousses, peu importe que l'on vous surprenne. Au pire des cas, tu te doutes bien que l'hôtel doit avoir son lot de petites histoires bien plus croustillantes que votre petite idylle (re)naissante. Et si on essayait d'se comporter comme un phénix Gab? De renaître de nos cendres une fois pour toute pour retrouver toute notre vigueur, notre fougue d'antan?

Vous échouez contre la porte de votre gigantesque porte et tu te veux des plus taquines qu'il soit dans le but bien précis de déstabilise ton encré fouillant ta pochette vermeil. Foutu pass magnétique bien dissimuler dans tout ton bordel, c'est lorsque la boucle de sa ceinture lâche du bout de tes doigts mutins que la porte se déverrouille brusquement en vous faisant tituber maladroitement. Nouveaux rires alors que vous vous débarrassez de vos chaussures, puis de quelques couches de tissu des plus gênantes. Tu vas même jusqu'à arracher le dernier bouton de chemise avant qu'il ne s'en prenne à ta robe férocement. Presque entièrement nue, ta carcasse regagne le confort du matelas et de ses draps. Il a prit le temps de t'admirer, te faire monter le joue alors que ses yeux se régalaient de la vue de ton corps frêle. C'est à ton tour de te délecter de la vue alors que sa chemise vient à chuter et que sa chaleur te rejoint alors qu'il te surplombe. Pressé contre toi, vos langues dansant farouchement ensemble tu trouves la force de le faire basculer, asseoir ta domination du mieux que tu ne le peux. C'est ça de se jouer de toi en riant alors que tu te veux impatiente et affamée. T'aimes avoir du contrôle sur lui, t'aimes voir son visage se déformer du plaisir que tu lui insuffles. Entendre ton prénom au bord de ses lèvres dans des suppliques des plus douces. Des plus agréables. C'est ta manière à toi de rester dans sa tête, en lui donnant tout ton être dans des ébats des plus passionnés. Combien de temps cela tiendra t'il encore? Pendant combien de temps nos nuits d'amour suffiront à maintenir les fondations de notre relation Gaby? Sait-on encore être autre chose que d'honteux amants?

Féline, lionne contre sa proie t'embrasses la peau tendue de sa carotide. Laisse l'emprunte de tes lèvres et de tes dents successivement sans aucune retenue pour marquer la chasse gardée. Que t'en choppes une lui rôder autour tiens. Elle pourrait bien se manger le talon de tes chaussures hors de prix. Tu descends contre son ventre puis toujours plus bas. Tu viens lui ôter pantalon de smoking et caleçon par la même occasion. Dans ce genre d'instants, tu préfères opter pour le une pierre deux coups et facilité l'accès à tes sales travers. Il n'est que feulements successifs jusqu'à ce que tes phalanges viennent enserrer sa virilité. Subitement le plus grand des silences se fait entendre. Uniquement brouillé par vos souffles saccadés. Croupe relevée en l'air alors que tu reposes sur tes genoux et tes coudes entre les jambes écartées de ton compagnon ta langue taquine, agace pour toujours plus l'énerver. Ses phalanges venant se perdre dans tes cheveux, taquinant tes mèches puis dégageant parfois ton visage. Tu cesses rapidement de jouer, bien trop avide de pouvoir passer à l'étape suivante. T'es insatiable lorsqu'il en vient de ton tatoué pas vrai? Et ce que les années ont su te conférer c'est bien cette assurance lorsque votre intimité se retrouve à son summum. Ta bouche vient gagner la raideur de sa virilité, chassant l'espace de tes doigts alors que le bout de ta langue percée vient rouler contre lui. Les bruits de succions se mêlent à vos souffles accélérés et rapidement les vas et vient débutent. D'abord lents, juste de quoi faire monter l'excitation toujours plus. Tu le redécouvres toujours avec tendresse pour ensuite accélérer la cadence sans demander ton reste. Tu prends ce qui te reviens de droit, son plaisir étant tien depuis bien longtemps.C'est fou Gabriel. C'est encore une fois sous les rayons lunaires que nos étreintes reprennent, astre complice. Silencieuse spectatrice.

(c) DΛNDELION / MORPHINE (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 3 3794924939  


@Gabriel Dixon (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 3 2288768012 (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 3 1505825564 (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 3 3794924939
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Message Sujet: Re: (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot)   (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 3 Empty Mer 13 Nov - 18:47




Still into you.
J'te revois perdue dans la foule
Avec tous ces mongoles bourrés qui dansent n'importe comment
Et j'me revois moi essayant de t'atteindre en évitant les gens qui hurlent
Et font des grands gestes absurdes
Et toi qui attend, terrorisée, au milieu du chaos
Et puis tes joues et puis ta peau.



T'es tellement fasciné par l'incroyable beauté de Joanne. Depuis toujours. Mais tu trouves vraiment que plus le temps passe, plus elle est magnifique. T'as encore bien du mal à y croire au fait qu'elle soit presque à toi. Presque seulement. Ce n'est pas encore tout à fait ça. C'est même loin d'être le cas pour le coup. Parce que vous ne faisiez finalement rien d'autre que vous prendre la tête et coucher ensemble pour vous réconcilier rien qu'à moitié. Jamais suffisamment pour réparer votre relation que trop esquintée. Juste assez pour vous rappeler que vous étiez toujours que trop accrocs l'un à l'autre. Même si ça ne vous plait pas. Et pour sûr que ça ne vous plait pas. Tu n'aimes pas savoir que t'es à ce point accro à elle et pourtant incapable d'offrir un visage plus joli et plus officiel à votre relation. Ce n'est pourtant pas faute d'en avoir terriblement envie. Si ça ne tenait qu'à toi, tu aurais tout fait bien comme il faut il y a de ça une éternité. Au lieu de ça vous vous comportez comme deux gros cons incapables de se dire clairement les choses. Incapables de faire ce qui doit être fait. Parce que c'est une certitude que des choses doivent être faites et que des mots doivent être dis. Mais tu n'as ni la force ni le courage de faire ça. Et tu ne vois pas pourquoi ce serait à toi de faire le premier pas. Après tout, c'est elle qui fait pour tout pour te laisser penser qu'elle te déteste depuis le premier jour. Il n'y a donc aucune raison valable pour expliquer la raison pour laquelle tu devrais aller la trouver et parler de cette relation qui ne mène à rien telle quelle.

Avec un peu de chance et un peu de courage, vous allez réussir à avoir cette fameuse conversation au cours de ce week-end. T'espères juste encore une fois que ce n'est pas toi qui vas devoir lancer le truc. Tu n'es pas fait pour ça toi. Tu n'es pas fait pour les conversations sérieuses. Toi qui as déjà eus toutes les peines du monde à mettre des mots sur votre rupture qui était parfaitement inévitable. Vous auriez forcément fini par vous déchirer de toute façon. Un peu plus tôt ou un peu plus tard ... T'espères juste que c'est le bon moment pour essayer encore. Que même si tu n'as pas tant changé que ça au cours des dernières années, tu seras quand même un peu plus capable de t'engager dans une relation qui se veut relativement sérieuse, avec elle. T'espères savoir faire ça. T'espères qu'elle en a envie aussi de son côté. De ça, tu ne peux en être tout à fait certain. Tu n'es pas dans sa tête. Et pour le coup, elle ne te dévoile pas tout Joanne. Surtout pas ce qu'elle pense de toi et ce qu'elle ressent pour toi. Si vraiment il y a quelque chose. Ce n'est pas tout à fait certain ça non plus, il faut bien l'admettre. Depuis le temps que tu songes qu'elle te déteste au plus haut point, t'es bien incapable de penser le contraire désormais. Incapable de changer d'avis sur la question, quand bien même ça te fait un mal de chien.  Parce que tes sentiments sont plus forts encore que par le passé. Imaginer qu'ils ne sont pas partagés, ne peut définitivement pas te faire grand bien.

Dans vos jeux d'amants maudits, vous inversez sans cesse les rôles. Tu te fais aussi bien prédateur que proie sous les crocs de ta jolie tatouée. Tu te laisses faire bien volontiers quand elle s'impatiente et souhaite reprendre le dessus. Tu n'aimes que trop quand elle grogne. Tu le lui as dis un peu plus tôt. Tu le pensais vraiment. Tu le penses plus sûrement que jamais en cet instant très précis. Elle qui te vole des baisers tous plus enflammés les uns que les autres une fois que vous êtes dans votre suite. Enfin. Elle qui s'est surtout bien amusée à te provoquer et à te chauffer dans le couloir. Au point d'ouvrir ta ceinture. T'es de nouveau grognant et ronronnant contre ses lèvres quand elle entreprend d'ouvrir ta chemise. Fait littéralement sauter le dernier bouton, même. Définitivement, tu n'es que trop excité par tout ce qu'elle te fait subir. Ou t'offre, tu ne sais plus trop. Tout ce que tu sais, c'est que tu es troublé au possible. Par elle toute entière. Et de plus en plus au fil du temps. Des semaines, des mois, des années qui défilent sans cesse. Tu l'as dans la peau Joanne. Y'a rien à faire. Et personne pour la remplacer. Tu ne seras jamais capable de te passer d'elle. Même en essayant de toutes tes forces de la remplacer, c'est impossible. Et dans le fond, impensable.  Toi qui ne frissonnes que trop fort quand, ensuite, elle te fait basculer sur le lit. Impatiente alors que tu ne jouais que trop à son goût. Elle ne manque pas de s'en plaindre juste avant d'être celle qui se trouve au dessus.

Tu ne te sens jamais aussi plaisant à regarder que sous son regard à Joanne. Quand elle semble te dévorer des yeux avant même de le faire de sa bouche. Parce que c'est bien là ce qu'elle est sur le point de le faire. Inutile de te le dire pour que tu le vois et le sente ça. Elle s'apprête à te dévorer tout entier et avec une gourmandise certaine. Ses yeux le disent pour elle. Toi qui souris tout naturellement. Qui souris de toutes tes dents. Alors même que ton trouble ne fait que grimper toujours plus. Tu te retiens de jurer franchement quand elle descend plus bas. Toujours plus bas. Sourire qui se crispe alors qu'à son tour elle joue avec tes nerfs. Bref grognement qui se veut frustré et doigts qui se perdent dans ses cheveux colorés. Tu la dévores forcément du regard quand enfin elle entreprend de te dévorer, dans le vrai sens du terme. Tu grognes et tu crispes tes doigts dans ses cheveux. Toujours plus. Un juron franchit même la barrière de tes lèvres quand elle joue de son piercing aux endroits stratégiques. De quoi te faire vriller toujours plus. De quoi t'arracher des soupirs et des frissons de pure extase. De quoi te rendre presque suppliant. Tu ne supporterais pas qu'elle s'arrête en si bon chemin. Tu refuses qu'elle le fasse. Elle n'a pas le droit de se jouer de toi au point de te laisser en plan de cette façon. Fort heureusement, ça ne semble pas être dans ses projets. Elle s'attelle à t'arracher toujours plus de plaintes de plaisir. D'extase. Tu grondes tout bas. Gémissements et râles que tu ne retiens pas. Elle achève d'éclairer tes ténèbres personnelles, à se concentrer de la sorte sur toi. Et à colorer le tout, avec le plaisir fou et grandissant qu'elle te procure.  Tu ne pensais pas que c'était possible de prendre autant son pied avant de (re)commencer à  partager de folles étreintes avec elle. J'veux pas ... V'nir ... Comme ça ... Que tu parviens tant bien que mal à grogner d'une voix rauque et étranglée. Alors que de véritables ondes de choc sont en train de te percuter de plein fouet. Elle peut te faire venir très vite si elle continue ainsi. Trop vite. T'as pourtant envie de décoller en sa compagnie. Qu'elle vienne s'installer à califourchon sur toi pour te rendre dingue et filer avec toi vers les portes du paradis. Le votre.

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Message Sujet: Re: (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot)   (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 3 Empty Jeu 14 Nov - 4:00



still into you
Gabriel - Joanne

«La vie c'est des étapes... La plus douce c'est l'amour... La plus dure c'est la séparation... La plus pénible c'est les adieux... La plus belle c'est les retrouvailles..» nicolas antona
Il suffit d'un rien, une toute petite particule infime pour venir compromettre votre équilibre. Vous n'êtes que confusion depuis que vous êtes arrivés à Vegas. vous avez su laisser de côté tout ce qui vous tire vers le bas inlassablement. Vous vous êtes mis d'accord sur le fait que vous valiez mieux que ça. Qu'il vous fallait vous ressaisir. Arrêter les frais ne serait-ce que deux jours pour voir ce qu'il en est. Alors vous vous êtes laissés le bénéfice du doute, vous vous êtes envolés côté à côte pour un voyage des plus parfaits. Vous avez ri, vous vous êtes embrassés longuement pour finalement vous endormir l'un contre l'autre jusqu'à ce qu'une hôtesse vienne vous réveiller maladroitement. Lorsque vous êtes arrivés, il n'y avait aucun nuage gris à l'horizon. Uniquement un ciel bleu des plus éclatants ne promettant que de jolies choses à venir. Pas de tempêtes violentes, pas d'éclats de voix incontrôlables ni d'insultes virevoltant d'un camp à l'autre. Tu ne pardonneras aucun écart de conduite. Vous vous êtes jurés de faire attention. De ne rien laisser entacher ces quelques heures en compagnie de l'un l'autre. J'suis persuadée que l'on peut y arriver Gaby. Cela ne tient qu'à nous de fournir l'effort nécessaire pour tenir. Pour ne pas flancher. Plus jamais.

T'as envie d'y croire Joanne que tu peux être douce le temps de deux jours. Que tu peux faire taire tes sales démons et travers pour les étouffer d'une poigne de fer. T'y crois fortement, tu feras tout pour que les choses ne dérapent pas par ta faute. Tout est bien trop magique jusqu'ici pour que tu aies la moindre envie de foutre tout ceci en l'air. T'es pas masochiste, sans compter que vos journées mériteraient bien un peu de positivité dans toute cette noirceur. Alors tu donneras le meilleur de toi même pas vrai Jo'? T'essaieras de tenir la distance, de serrer les dents peu importe combien cela peut te paraître difficile parfois. Tu ne dois pas être à l'origine de votre chute, tu dois te retenir de tout envoyer en l'air. La vérité c'est que tu sais pas comment faire. C'est comme s'il manquait une partie de code dans dans tête, un rien servant à te faire tourner correctement. Pas comme un monstre, une bête. Au lieu de ça tu te contentes d'éloigner les gens loin de toi. Tu préfères ne pas souffrir pas vrai? C'est ce que t'essaies de te foutre dans la tête tard la nuit alors que tu noies ton désespoir dans les gouttes de whisky faisant le fond des bouteilles traînant dans ton appartement. T'es incapable d'aller de l'avant. T'en as pas envie. Deux jours, c'est rien. On peut réussir à s'entendre, on peut réussir à s'aimer j'en suis persuadée Gabriel. Il suffit juste que t'y crois un peu aussi pour que la magie prenne enfin.

Vos carcasses s'échouent en dehors de l'ascenseur ayant su vous retenir quelques longues minutes. Temps passé à vous bécoter. Vous presser l'un contre l'autre pour mieux attiser le désir toujours plus furieusement. Tu te veux tentatrice, avide de ses caresses qui pleuvent contre ton épiderme pour le réchauffer un peu plus. Tu ronronnes Jo', alors que ton dos vient coup à coup cogner contre l'un des murs des couloirs alors que tu laisses ta langue danser à la tienne. Vous êtes bien trop impatients pour faire preuve de la moindre retenue, tu n'en as aucune envie il faut dire. Des clients de l'hôtel pourraient bien passer que tu pourrais te ficher si facilement des œillades accusatrices que l'on pourrait vous gratifier pour votre manque de retenue. Le premier ayant quoi que ce soit à dire aura affaire à toi. Tu n'as pas oublié cette menace et tu comptes bien la mettre à exécution un jour ou l'autre. Alors pourquoi attendre? Prendre le risque de griller le dernier joker dans ta main? T'en sais rien. T'espères que les choses iront bon train. Qu'aucune secousse ne viendra vous perturber, que tu n'auras pas le besoin de sortir tes griffes acérées. La première que tu vois loucher sur ton tatoué aura affaire à toi. Tu le sais pas vrai Gab que j'supporte pas le regard des autres gonzesses contre toi? Qu'il n'y a qu'une seule idée qui me vient en tête dans ces cas là. Leur refaire le portrait pour voir ce qu'ils cachent réellement. On a trop souffert, payé les pots cassés.

La porte de votre suite s'ouvre, vous déboulez à l'intérieur tel deux boulets de canon. Vos gestes se veulent désordonnés, brouillons. Peu importe tant que sa peau s'offre peu à peu à toi et c'est ce que tu lui montres très clairement alors que suite d'un manque de patience tu viens éclater l'un des boutons de chemise de ton tatoué te faisant de la résistance. Ni une ni deux tu te retrouves à la fois débarrassée de ton lit et de tes obligations. Tout aurait pu finir comme ça depuis bien longtemps, malgré les malentendus survenu d'une manière plus qu'aléatoire entre vous. Avez des "si" vous pourriez refaire le monde pas vrai? Alors qu'évites de trop penser à tout ça alors que tu chasses tes talons puis le tissu de tes épaules pour t'échouer contre le matelas. Rapidement rejointe par ton tatoué et ses baisers des plus fiévreux, tu viens asseoir ta domination, le retourne sans aucune pitié pour reprendre le dessus. C'est alors que tu descends dangereusement. Couvrant son épiderme de tes baisers des plus endiablés. Petit à petit tu arrives vers son entre-jambe que tu libères de l'étreinte de tissu trop gênante pour laisser tes lèvres agacer. Taquiner de part et d'autres. Tu sais pas à quel point j'apprécie ton visage dans de tels tableaux Gaby. T'es magnifique, ton corps tendu est superbe. J'suis incapable que de te résister tu sais. Ni maintenant, ni jamais.  

Tu t'acharnes contre lui, du bout de tes lèvres mutines contre sa virilité que ton piercing vient agacer. Taquiner. Tu roules tout contre lui, la croupe en l'air alors que tu vas et viens furieusement de tes lèvres qui l'enserrent, chassent l'espace de ta main pour la remplacer par tes lèvres serrées. Tu gémis de plaisir, d'envie aussi. Tes yeux ne loupent pas une seule miette du spectacle de son visage tordu par le bien que tu lui fais, tu t'en régales Joanne. T'appuies ta domination de cette façon, en lui arrachant des râles de plaisir incessantes. Ses doigts se referment contre tes mèches de feu, tu mets toujours plus d'application à tes caresses buccales sous les acclamations de ton tatoué appréciant bien trop ça. Vient le moment où tu le sens se tendre, alors que ta langue agace le bout de son muscle bandé contre la chaleur humide de tes lèvres. Sa voix grogne, implore. Alors que son bassin se soulève et que ton amant vient geindre des mots tant bien que mal, tu l'abandonnes finalement tout comme il semblait le suggérer. Tu regagnes petit à petit la chaleur de son corps alors que tu t'y installes confortablement à califourchon. L'une de tes mains vient écarter le tissu reposant encore entre tes fesses pour permettre à ton encré de te posséder dans une longue râle des plus sonores. Tu te frissonnes, te raidis, te tends. Haletante, appréciant chaque centimètre de lui s’immisçant en toi. Ta carcasse pantelante s'abaisse contre son torse alors que tu ne peux que gémir, frissonner d'une telle étreinte. Vous ne formez à nouveau plus qu'un. C'est comme ça qu'on est le plus beaux tu ne penses pas Gabriel? Qu'il y a quelque chose de plus lumineux, de plus coloré, de plus vivant. J'trouve ça séduisant.

Allez écrase ta sèche dans un verre plein
Avale ton mélange d'une traite
Pour l'coup d'fouet, défais tes mains
Et serre-moi contre toi
On va rejoindre les autres
On va reprendre notre place dans cette colonne
Dans ce cortège des bras cassés, des lâche-rien, auquel on appartient
Plus que quelques secondes et on va pouvoir à nouveau envoyer nos coups d'chien
Regarder la folie reprendre ses droits
Danser comme des pantins

(c) DΛNDELION / MORPHINE (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 3 3794924939  


@Gabriel Dixon (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 3 2781936883 (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 3 2470315465 (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 3 3227196488
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Message Sujet: Re: (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot)   (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 3 Empty Jeu 14 Nov - 18:50




Still into you.
J'te revois perdue dans la foule
Avec tous ces mongoles bourrés qui dansent n'importe comment
Et j'me revois moi essayant de t'atteindre en évitant les gens qui hurlent
Et font des grands gestes absurdes
Et toi qui attend, terrorisée, au milieu du chaos
Et puis tes joues et puis ta peau.



T'as encore un peu de mal à croire à ce que t'es en train de vivre avec ta Joanne. Soit, ce n'est que le temps d'un week-end. Mais c'est bien réel pourtant. T'es vraiment en train de faire, de vivre et de ressentir des choses toutes plus folles les unes que les autres. Avec et grâce à elle uniquement. T'es bien trop heureux d'avoir accepté de passer ce week-end en sa compagnie. Tu n'as plus qu'à espérer qu'il va se poursuivre de la sorte. Et avec un peu de chance, vous allez même pouvoir continuer ainsi encore un bout de temps. Avec quelques efforts de votre part à tous les deux surtout. Tu le sais que ça ne se fera pas sans rien. Mais tu as vraiment envie que ça continue ainsi. Tu ne te rappelles pas de la dernière fois que t'as ressentis autant de belles choses. La dernière fois où tu as été aussi détendu en sa compagnie surtout. T'as pour habitude d'être sur le qui vive. Prêt à déguerpir au premier haussement de ton pour éviter de t'en prendre plein la tronche. Parce qu'elle ne tourne clairement pas autour du pot Joanne. Elle ne fait pas dans la dentelle. Quand elle n'est pas contente après toi, elle n'hésite pas une seule seconde à te le dire haut et fort. A t'envoyer chier bien comme il faut. Et elle se fout forcément de te blesser dans la manoeuvre. C'est même là son but, à n'en pas douter. Histoire de se venger de tes nombreuses maladresses.

Mais vous allez mettre tout ça de côté le temps d'un week-end. Pour vous aimer passionnément, rageusement, fougueusement. Ne plus vous éloigner l'un de l'autre le temps de quelques jours. En profiter pour apprécier cette merveilleuse complicité à sa juste valeur. Parce que t'es pas certain qu'elle dure éternellement, même avec toute la bonne volonté du monde. A part sur le plan physique. Entre vous ça fonctionne toujours parfaitement bien à ce niveau là. Même si ce soir, ça a un goût différent. Vous êtes bien moins alcoolisés qu'à l'accoutumée déjà. C'est un point non négligeable. Quand bien même vous êtes aussi impatients que d'ordinaire. Que vous échangez des baisers tous plus ardents les uns que les autres et qu'elle s'impatiente suffisamment pour faire sauter le dernier bouton. Aucune pitié pour ta chemise noire. Qui est la seule que tu as apporté à vrai dire. Tu n'as pas fait comme elle à apporter une tonne de fringues pour seulement quelques petits jours. Tu n'as que le strict minimum. Le nécessaire et rien de plus. Alors que sa valise est pleine de "sait-on jamais" qui se transformeront certainement en "finalement non". Cette idée est assez amusante dans le genre d'ailleurs. Quand bien même tu n'as aucune envie d'y penser pour l'heure. Toi qui te laisses faire bien volontiers lorsqu'elle reprend le dessus en te faisant basculer sur le lit. Tu laisses déjà échapper une pluie de plaintes de plaisir et d'extase qui s’emmêlent. Le tout est bien trop agréable pour que tu sois en mesure de faire autrement.

Tu n'es plus que gémissements et jurons lorsqu'elle fait enfin glisser son piercing sur ta longueur. Forcément de quoi te retourner toujours plus le cerveau à toi qui te retrouves bien faible face à tout ça. C'est incroyablement bon. Et à vrai dire, ça ne te surprend pas tellement. T'es presque habitué à ce qu'elle te rende totalement dingue simplement de sa bouche. De ses lèvres autant que de sa langue. Tu ne saurais expliquer le pouvoir fou qu'elle a sur toi. Tout ce dont tu es bien certain, c'est que ça fonctionne à tous les coups. Parce que c'est intense entre vous. Parce que c'est beau à sa façon. Tu n'as jamais peur de te laisser ainsi aller à vos étreinte toutes plus fiévreuses les unes que les autres. Parce que tu le sais que tu ne seras pas déçu. C'est tout bonnement impossible. Tes doigts se veulent insistants dans sa chevelure alors qu'à ta façon, tu lui demandes de continuer ce qu'elle est en train de faire. Quand bien même tu veux plus. Tu la veux elle toute entière. Vous n'avez pas le temps de repartir pour un second round tout de suite. Pas que tu saches du moins. Il va bien vous falloir quitter cette suite pour vous mêler au dîner du mariage. Au moins le temps de manger un morceau, avant de revenir ici pour vous enfermer rien que tous les deux dans votre bulle.

Un coup de langue que trop précis achève de te convaincre que tu dois l'arrêter. Avant qu'il ne soit trop tard. Avant que tu ne sois incapable de retenir ton orgasme. Tu te fais presque suppliant alors que tu demandes à ce qu'elle remonte sur ton corps. Qu'elle enchaîne avec la suite, en vous permettant enfin de vous unir comme t'en as très envie dans le fond. T'es forcément soulagé lorsqu'elle se redresse pour t'obéir. T'as le regard qui pétille quand tu le poses sur son visage. Puis son corps divin qu'elle est en train de redresser au dessus du tien. Tu ne résistes évidemment pas à l'envie d'y faire courir tes mains chaudes. Tes doigts qui glissent déjà sur ses courbes que tu trouves parfaites. Alors même que de son côté, elle ne les assume que moyennement. De quoi te rendre dingue toi. De penser qu'elle s'assume si peu et complexe tant. Alors qu'à tes yeux, elle a clairement toujours été au delà de tout et de tout le monde. Ce n'est pas uniquement parce que t'es fou d'elle depuis toujours que tu penses ainsi. C'est aussi et surtout parce que c'est la pure vérité. La tienne de vérité en tout cas. Et plus le temps passe, plus tu la trouves magnifique. Toi qui te perds bien trop souvent dans la contemplation de sa petite personne. Quand t'en as la possibilité tout du moins. Du bout des doigts elle vient décaler son unique sous vêtement, pour te guider en elle. Et te permettre de t'y enfoncer de toute sa longueur.

Tu laisses tout de suite échapper un grognement de pur bonheur. Et affiches un sourire lumineux. De pure extase. De pure joie. T'es encore plus belle là. Comme ça. Que tu grondes, tout sourire toujours. Tes mains qui continuent de caresser. De frôler ou d'empoigner ici et là. Pour finalement échouer sur ses hanches que tu empoignes juste assez fort pour l'inciter à danser sur toi. De la façon la plus sensuelle qui soit, comme elle sait si bien le faire. Et malgré ta féroce envie de reprendre le dessus sur elle et sur ce corps si parfait, tu prends sur toi pour ne rien en faire. Tu restes sage à la dévorer du regard lorsqu'elle entreprend de danser sur toi, autour de toi, pour toi. Et tu ne te fais pas prier pour exprimer tout le plaisir que tu prends. A coups de plaintes de plaisir plus ou moins audibles. Et de tes doigts qui n'ont de cesse d’enserrer toujours plus fort, trop fort, ses hanches délicates. Tu la supplierais presque de continuer. Si tu étais capable de souffler autre chose que son prénom, de ta voix chaude mais perdue au fond de ta gorge nouée par ce trop plein de plaisir.

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Message Sujet: Re: (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot)   (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 3 Empty Ven 15 Nov - 4:29



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Gabriel - Joanne

«La vie c'est des étapes... La plus douce c'est l'amour... La plus dure c'est la séparation... La plus pénible c'est les adieux... La plus belle c'est les retrouvailles..» nicolas antona
Depuis trop longtemps vous vous jouez de l'un l'autre. Tantôt chat, parfois souris. Vous n'avez jamais réussi à vous mettre d'accord sur quoi que ce soit en plus de dix ans. Treize pour être exacte. Pourtant en un temps aussi long vous auriez dû être capable de trouver des terrains d'ententes. De faire l'un ou l'autre les compromis qui auraient pu vous permettre d'avancer ensemble et non à vous tirer dans les pattes lâchement. Enfin ça c'est ta spécialité Joanne. T'es toujours trop amère, trop brûlante, trop rancunière. T'arrives pas à pardonner les erreurs qui sont pourtant humaines. Toi t'es loin d'être putain d'infaillible dans ton genre. Tu craques trop facilement, t'arrives pas à prendre sur toi. T'es explosive, aussi ardente que la couleur de tes cheveux que tu arbores depuis des années déjà. Tout comme cette peur teintée de rancœur grignotant tes tripes. C'est dans ces moments là où tu passes du mauvais côté. Lorsque t'es incapable de voir les côtés positifs de ton existence et que tu te contentes de t'apitoyer sur tes petits problèmes d'adulte lâche. T'es pas courageuse, t'es une putain d'autruche. Tu passes les trois quarts de ton temps la tête dans le sable et tu ne la retires que pour attaquer. Te défendre de ce que tu penses être des attaques de tes mots acérés te servant de protection. T'as trop souffert Jo' pour te prendre le risque de sombrer à nouveau. Tu comprends pas Gaby, tu n'la vois pas cette facette de moi n'est-ce pas? Cette gosse apeurée, effrayée à l'idée qu'on puisse l'abandonner. La remplacer.

Jamais depuis votre rencontre vous n'avez passés un si joli moment. Sans orages, sans turbulences. Il n'y a que vos rires qui s'entremêlent, ces visages souriants que vous arborez sans même vous forcer ne serait-ce qu'un peu. Vous vous sentez vivants, heureux et reconnaissants de l'être. D'avoir su tenir la distance jusqu'ici, ne serait-ce que pour vous permettre de souffler pour la première fois réellement. De nombreuses fois vous auriez pu vous perdre pour de bon. Avoir le mot de trop, l'attitude désobligeante qui vient tout briser. Vous êtes déjà assez fragilisés comme ça pour ne serait-ce que mettre un énième coup de pied dans la fourmilière. Parce que t'es pas sûre de pouvoir continuer tout ça très longtemps Joanne, t'es pas sûre d'être assez forte pour continuer de prétexter que vous n'êtes rien. Que vous n'avez pas vos chances. Que tu ne souhaites pas mêler ta vie à la sienne. Sans parler de mariages, vous êtes à des lieues de ça. Pourtant si vous ne vous étiez jamais quittés peut-être que c'est toi cette nuit qui aurait été vêtue d'une magnifique robe blanche en étant entourée des gens vous aimants. Peut-être qu'en dix ans il aurait eu le courage de t'avouer son amour haut et fort pour mieux te passer la bague au doigt. Faire de toi sienne pour l'éternité. Au lieu de ça vous vous tabassez à coups de mots durs puis à coups de reins passionnés. Votre relation n'a pas vraiment de queue ni de tête. Vous êtes incapables que de mettre une étiquette sur ce que vous êtes. Amants, amis, meilleurs ennemis. Vous vous perdez dans tout ce que vous n'êtes pas à défaut d'exister réellement. J'peux pas être la seule à ressentir ça Gabriel, c'est pas possible. Dis moi pourquoi ton palpitant cogne si fort. Pour moi? Ça me tuerait que d'avoir tort.

Il y a ton être qui lui hurle tout ce que ton cerveau lui refuse. Ton myocarde fracassant ta poitrine tout contre son torse, la façon dont l'entièreté des étoiles ont déserter le ciel pour habiter tes yeux lorsque tes opales se déposent contre ton tatoué. Plus beau que jamais, grondant tout contre toi. Chaudement pour toujours attiser ton côté félin, ce dernier ne se trouvant jamais bien loin lorsque le tatoué t'agaces, te taquines avec l'unique but étant de te faire craquer. Sombrer à ses côtés. Parce que t'as aucun pouvoir toi, alors que ton dos échoue contre le matelas tes cheveux de feu formant une couronne rouge autour de ton visage uniquement par les rayons lunaires filtrant à travers les rideaux de votre chambre. La vue de Gab te coupe que trop le souffle, tu le trouves tout bonnement magnifique alors que son corps tendu se débarrasse de l'unique chemise qu'il a cru bon d'emmener. Bon il est clair que t'as abusé sur la tonne de fringues que t'as amenée avec vous c'est sûr. T'aurais pu te retenir? Un point est marqué. Mais tu t'attendais bien à une robe déchirée si ce n'est deux. Puis bon, t'as le droit d'exprimer ton côté féminin de temps à autres et tu doutes que ce soit lui qui s'en plaigne réellement. T'as bien vu son regard contre toi alors que tu descendais peu à peu les dernières marches du rez-de-chaussée pour chasser l'espace vous séparant avec précaution. Tu t'es échouée contre lui, à deux doigts d'y laisser ta peau tant l'émotion était forte, présente. Même dans mes rêves les plus fous Gab, jamais je ne nous ai imaginés aussi beaux que ça. Aussi rêveurs et remplis d'espoir.

Evidemment, tu es venue reprendre le dessus alors que les douces lèvres de ton compagnon pour les deux jours à venir s'éprenait de ton cou. Frissonnante, haletante t'as pas pu te retenir bien longtemps avant de vous faire rouler contre le lit king size bien trop grand pour vos deux gabarits poids plumes. T'ondules contre lui juste ce qu'il faut pour finir d'achever le plaisir gonflant contre le tissu de son pantalon alors que telle la diabolique succube que tu te veux être. Tu n'as plus rien à voir avec la jeune Jo' de l'époque. Celle qui ne lui faisait l'amour que bien cachée à l'abri des draps pour ne pas dévoiler ton corps qui te faisait bien trop complexer. Tu ne supportais pas l'idée qu'il puisse entre-apercevoir ce qui toi te dégoûtais. Tu te trouvais répugnante à l'époque, trop rondelette pour sûr. L'adolescence est vache avec les jeunes femmes et t'en as payé les frais entre l'acné, les sautes d'humeurs, ton petit cœur trop fragile et s'étant entiché de ton encré contre toutes autorisations de ta part. Tu n'es plus cette gamine timide. Tu te veux sirène au chant envoûtant pour l'attirer dans la profondeur de tes bras. Alors que tu viens te placer sur tes genoux et tes coudes, ta langue percé taquinant nerveusement le bas ventre tatoué de Gabriel. Puis son membre enserré de tes doigts allant et venant déjà tout contre/autour de lui un peu plus fermement à chaque fois. T'as pas idées à quel point j'aime te voir dans cet état Gaby. Tendu d'envie, de plaisir. Tes feulements tous plus chauds et envoûtants les uns que les autres. J'en prend autant de plaisir que toi, j'trouve ça beau. Que deux personnes si complices arrivent à se satisfaire de la jouissance de l'autre.

Les gémissements et râles s'accentuent alors que ton rythme se veut soutenu, passionné. Il s'offre totalement à toi sous ton regard noircit par tout ce désir de lui que tu peux avoir. Pas besoin d'ivresse pour ça, t'espères sincèrement qu'il s'en rend compte. Impatient, quelques mots te sont balbutiés de cette voix suave t'arrachant une pluie de frissons. C'est si gentiment demandé, que tu ne peux t'empêcher que de t'exécuter et d'une main agile le glisser tout contre toi alors que ton bassin vient tout naturellement lui intimer la route à emprunter. Vos corps sont comme deux pièces d'un même puzzle. Faites pour s'imbriquer l'une dans l'autre à la perfection, n'allant de paire avec aucune autre. Ses mains ont déjà trouvées tes hanches alors que sa voix retentit à nouveau, bien bavard là où tu n'es que gémissements. Ses opales reluisent contre ton corps qu'elles observent avec attention, ses mains malmènent un peu d'épiderme ici ou là alors que tu te mets à danser ce tango que vous seuls ne connaissez. " 'Rête tes conneries." Tu réponds tout en te mordant la lèvre, cette boule entre tes reins grossissant un peu plus au fur et à mesure que vous vous unissez l'un à l'autre de toute la longueur de ton tendre tatoué. Tu ne résistes pas bien longtemps à l'appel de sa peau, tentatrice et brûlante. C'est son torse que tu couvres de tes baisers alors que ta croupe frotte tout contre lui, vos épidermes tintant férocement l'un comme l'autre. Plaintes sur plaintes, ta bouche couvre du terrain. Regagne son menton puis sa mâchoire jusqu'au lobe de ses oreilles que tes canines saisissent pendant que ton souffle vient la réchauffer également. Tes bras de part et d'autre de son visage, tes phalanges se perdant contre ses mèches de geai ta poitrine se veut pressée tout contre son torse, vos myocardes s'appelants. Hurlants. L'monde pourrait bien toucher à sa fin, une météorite s'écraser juste au dessus de nos têtes que j'm'en foutrais Gabriel. Parce que t'es avec moi et qu'c'est tout c'qui compte. J'pourrais caner dans la seconde que j'partirai avec le plus grand des sourires. L'bonheur d'avoir pu l'faire dans tes bras. Avec toi.

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Message Sujet: Re: (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot)   (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 3 Empty Ven 15 Nov - 20:52




Still into you.
J'te revois perdue dans la foule
Avec tous ces mongoles bourrés qui dansent n'importe comment
Et j'me revois moi essayant de t'atteindre en évitant les gens qui hurlent
Et font des grands gestes absurdes
Et toi qui attend, terrorisée, au milieu du chaos
Et puis tes joues et puis ta peau.



Depuis trop longtemps vous vous tournez autour tous les deux, sans être franchement capable d'aller plus loin. D'aller au bout des choses. Peut-être que vous avez trop peur de trop vous dévoiler, l'un comme l'autre. Tu ne saurais expliquer la chose. Tout ce que tu sais avec certitude, c'est que t'as en tête l'idée qu'elle te déteste depuis toujours. Qu'une part bien trop importante d'elle, fait un total rejet de ta petite personne et qu'elle est tout bonnement incapable de passer outre depuis ce jour là. Ce n'est pourtant pas faute de sans cesse essayer de revenir dans ses petits papiers. Tu passes ton temps à vouloir te faire pardonner pour des conneries que tu ne te rappelles pas particulièrement avoir fait. Tu te dis qu'elle est simplement trop susceptible pour son propre bien Joanne. Que c'est la seule raison pour laquelle elle peut à ce point s'énerver contre toi pour un oui ou pour un non. Parce qu'il lui suffit de peu. Parce que tout est prétexte à s'emporter contre toi, tout simplement. Dans le fond, tu n'auras sans doute jamais droit à de véritable explication. Parce que c'est à toi de comprendre en quoi t'es maladroit. Et que ça, c'est encore beaucoup trop te demander. Tu n'es pas capable de prendre le recul nécessaire pour ça. A vrai dire, tu n'es pas capable de grand chose de manière générale et c'est bien là le genre de défaut chez toi, qui pose de vrai problème. Que ce soit pour toi ou pour les personnes qui t'entourent. Joanne la première, bien entendu. Elle qui se trouve en première ligne depuis toujours. Et qui reste malgré tes incessantes conneries. Ce qui devrait sans doute te faire réfléchir quant aux sentiments qu'elle peut finalement avoir à ton égare. T'en es pourtant bien incapable.

Tu n'as toujours que trop peur des choses que tu pourrais finalement découvrir si tu venais à fouiller un peu trop en profondeur. Il faut dire que dans ta tête, c'est un sacré foutoir. L'enfer même. Avec tous les démons qui y habitent depuis toujours. Tu ne sauras apparemment jamais t'en débarrasser de ceux là. T'as eus l'occasion de t'en rendre compte. Et avec le temps, de te faire à l'idée. Quand bien même ça ne te plait évidemment pas. Pas plus qu'à Joanne qui ne réalise même pas le genre de bataille que tu dois constamment mener contre toi même. Comme tout le monde, elle se laisse certainement avoir par ton masque de joyeux luron qui fait toujours le con et qui s'amuse de tout, de tout le monde et tout le temps. Ce que tu ne peux décemment pas lui reprocher. Tu fais en sorte que tout le monde se fasse avoir par tout ça. Tu fais en sorte que personne ne réalise qui tu es vraiment. Tu ne le vivrais pas si bien que ça si ça venait à se savoir, que tu n'es finalement qu'un mec torturé parmi tant d'autres. Tu ne le supporterais pas qu'on te prenne en pitié. Tu ne souffrirais que plus encore. Tu ne te détesterais que plus encore, surtout. Parce que t'as déjà bien trop de mal à te supporter toi même. Et si tu ne te supportes pas toi même, tu ne vois pas qui pourrait le faire à ta place. Alors tout naturellement tu étouffes la chose sous un trop plein de fausse bonne humeur, de fausse joie et d'humour bidon. Beaucoup d'humour à la con qui a quand même le don de faire rire l'assemblée à coup sûr. C'est que tu finirais presque par te lancer dans la comédie. Si seulement tu étais capable de bosser suffisamment pour écrire de vrais sketchs. Mais même ça c'est beaucoup trop te demander.

Toi qui te contentes encore et toujours de te laisser vivre et emporter par la vague. Sans l'invitation de Joanne à ce mariage, votre relation ne serait pas en train de prendre ce virage qui, tu l'espères, sera durable cette fois. Avec un peu de chance, ce n'est pas que temporaire. Pas juste le temps d'un trop court week-end. Tu as vraiment envie d'y croire parce que t'es de plus en plus incapable de te passer d'elle. Ta compagnie ne lui est peut-être pas aussi agréable que tu le souhaiterais mais l'inverse est relativement différent dans le genre. Parce que toi tu n'es que trop heureux de pouvoir toujours plus la retrouver. Même lorsqu'elle passe le peu de temps que vous avez en présence l'un de l'autre, à t'envoyer chier bien comme il faut. Dans le fond c'est peut-être mérité. Peut-être. Tu ne saurais trop le dire alors que t'es persuadé de ne rien faire de mal. Combien de fois t'as demandé à tes potes de te dire ce que t'avais "encore" bien pu faire de mal ? Trop pour que tu puisses compter. Trop pour que tu puisses y penser plus que ça. Et pourtant t'aimerais être capable de comprendre. De toutes tes forces et à de trop nombreuses reprises, tu essaies vraiment. Tout ça, plutôt que de tout simplement lui poser la question. Peut-être qu'elle te répondrait tout simplement Joanne. Peut-être qu'elle apprécierait même que tu daignes enfin l'interroger pour essayer de comprendre. Tu peux toujours rêver et espérer en tout cas. En attendant, la seule chose que vous semblez encore savoir faire à deux, c'est coucher ensemble. Et ça, très clairement, vous le faites à merveille. Et même un peu trop bien pour ne pas être complètement accrocs.

Elle est d'ailleurs encore une fois en train de te retourner complètement le cerveau, de sa bouche. Elle fait ça beaucoup trop bien pour que tu ne sois pas déjà en train de râler tout le plaisir que tu prends. Grondements et gémissements ne sont que trop rapidement de la partie pour toi qui te laisses faire bien volontiers. Pourtant bien conscient du fait que tu ne pourras laisser les choses s'éterniser de trop non plus. Parce que tu ne souhaites aucunement aller jusqu'à l'orgasme de cette façon. Tu as bien trop envie d'apprécier de nouveau la liaison de vos deux corps. Tu n'as que trop envie de te lier à elle avec la même fougue et la même passion qu'à l'accoutumée. Parce que c'est beau. Parce que c'est bon. Parce que c'est tout bonnement magique entre vous. A tous les coups. Et ce, malgré les incessantes disputes et le manque d'entente en dehors de vos rapports. T'aimerais qu'il en soit autrement, c'est certain. Mais tu n'as pas mille solutions non plus. Tu ne vois toujours pas comment arranger les choses. A part te permettre quelques délicieux compliments lorsque vous vous unissez de la sorte. Comme elle le fait enfin, Dieu merci, quand elle vient te chevaucher. Tu grondes ton bonheur, purement et simplement. Et tu ne manques pas non plus de la complimenter quant à ce physique divin qui est le sien et qui ne te fait toujours que trop fantasmer. Tu n'y peux rien toi, si tu la trouves tellement belle, tellement sublime, tellement désirable. Mais forcément, quand tu le lui fais remarquer, elle demande à ce que tu te taises. Tu ne comprends toujours pas qu'elle doute à ce point d'elle alors qu'elle est si parfaite.

Si j'te le répète tous les jours, tu finiras par le croire ? Que tu l'interroges le plus sérieusement du monde. Parce que t'es prêt à faire ça si c'est vraiment nécessaire. Parce que t'es sincère au possible. Parce que tu n'as envie de rien d'autre que de la rendre heureuse, de la faire sourire, de voir son regard pétiller d'une joie véritable et pure. Ce qui arrive beaucoup trop peu à ton goût. Tu grondes tout à fait quand elle bascule son corps parfait au dessus du tien. Laissant à tes mains le loisir de caresser son dos nu qui se creuse à chacun de ses mouvements de bassin. Tu perds ton souffle contre sa bouche que tu embrasses de tes lèvres gourmandes et que tu fouilles de ta langue curieuse et inquisitrice. Quand sa bouche ne s'occupe pas plutôt d'embrasser la peau recouverte d'encre de ton torse. Tu grondes toujours plus ton plaisir et ta joie de ces traitements tout en tendresse et passion qu'elle est en train de t'offrir. Ce qu'elle continue de faire lorsqu'elle remonte le long de ton corps pour aller taquiner le lobe d'une oreille. Sans parler de sa poitrine qui caresse bien trop agréablement ton torse. Encore et encore. A mesure que son bassin gagne en cadence. Que sa danse se fait de plus en plus fougueuse. C'est dans un nouveau grognement que tu la fais basculer sur le lit. T'aimes bien trop ces incessants changements de positions. Quand vous devez presque vous faire la guerre pour savoir lequel des deux finira par prendre le dessus. C'est finalement l'un puis l'autre et inversement. Non stop. Ballet sensuel et bestial tout à la fois. Là c'est toi. Qui cognes que trop durement contre son bassin du tien, pour la posséder avec une certaine hargne. Une fougue ardente et inimitable.

CODAGE PAR AMATIS



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Message Sujet: Re: (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot)   (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 3 Empty Sam 16 Nov - 5:00



still into you
Gabriel - Joanne

«La vie c'est des étapes... La plus douce c'est l'amour... La plus dure c'est la séparation... La plus pénible c'est les adieux... La plus belle c'est les retrouvailles..» nicolas antona
Trop souvent, t'essuies les regards de vos potes. Ceux accusateurs, qui culpabilisent. Comme si t'étais bien trop amère pour qu'ça fonctionne. Qu'tu devrais pas t'étonner qu'après autant d'années vous stagniez de la sorte. Voir pire, parce que t'as plutôt l'impression que vous régressez dans votre genre. T'es pas capable de comprendre ses choix, sa façon de prendre la vie comme si celle ci n'avait pas de réelle importance. Comme si ses choix n'impactaient que lui, rien que lui. Tu n'dis pas qu'il est égoïste, bien au contraire. Gabriel doit bien être l'une des personnes les plus généreuses que tu connaisses. C'est un homme bon, juste trop maladroit pour votre propre bien. Pour que vous puissiez réussir à vous entendre réellement sans que l'alcool ne soit mit en cause d'aucunes façons. Ou qu'tu ne sois pas en train de le tatouer, trop occupée pour pouvoir lui faire des misères. T'es pas modèle de tendresse avec ton tatoué. Combien même tu rêverais de pouvoir à nouveau le serrer dans tes bras devant les yeux des autres. Pouvoir te nourrir de son sourire inlassablement. De nouer tes doigts aux siens pour ne plus les lâcher, jamais. Est-ce que tu vois à quel point j'ai besoin de toi Gaby? Maintenant, plus que jamais. J'ai pas envie d'passer plus de temps à mentir. J'suis fatiguée de tout ça.

T'es brutale, t'oublies trop souvent l'poids de tes mots. T'oublies qu'le verbe cristallise la pensée, qu'tes mots furieux peuvent être bien trop ardents. Plus que tu ne le voudrais. Mais c'est la faute à tes démons ça, ces derniers qui t'grignotent de l'intérieur. T'laisseront jamais en paix, parce que t'y as pas l'droit Jo', tout comme t'auras jamais l'droit d'porter une jolie robe blanche et d'échanger tes vœux avec la personne ayant fait battre ton cœur pendant pas loin d'la moitié d'ta vie. Vous vous êtes trop éloignés, vous vous êtes perdus depuis déjà longtemps. Du moins c'est c'que tu pensais. Car ce weekend c'est comme si t'avais une lueur d'espoir qui s'rallumait dans les ténèbres. Une petite flamme dansante, ombres chinoises te réchauffant peu à peu. T'laissant l'bénéfice du doute car qui sait, peut-être que demain tu sortiras de l'hôtel pour t'faire faucher par une voiture t'envoyant voler sur plusieurs mètres. Peut-être bien que ton compagnon de voyage viendra à décrocher l'gros lot du loto pour finir richissime et qu'il s'en ira couler des jours heureux loin d'toi sur des plages de sable blanc. T'as aucune idées d'quoi sera demain s'ra fait. Contrairement à Gab qui trouve ça presque excitant, t'en es terrifiée toi. T'as besoin de ces certitudes, ces habitudes. Mais t'es prête à t'jeter dans l'grand bain si ses bras sont prêts à t'rattraper. Qu'il n'te laissera pas tomber. Tu trouves souvent qu'je manque de folie Gabriel, que j'ai du mal à m'laisser aller. C'est pas que je veux pas, c'est que j'ai pas envie de m'y habituer. J'ai pas envie d'souffrir du manque, j'espère que tu comprendras un jour. Que tout ça, c'est pas contre toi.

Car jusqu'ici, tout se passe plutôt bien pas vrai? Aucune dispute à l'horizon, on a même pu te prendre à rire gorge déployée. Verser des larmes d'émotions lorsque les alliances se sont voulues passées et le baiser scellant l'union partagé. Tu t'es réfugiée tout contre Gabriel pour sécher les perles salées déroulant ton fin visage. Il s'est contenté de chasser ses dernières de ses pouces chauds avant de t'offrir ses lèvres contre les tiennes pour t'amener tout droit contre un petit nuage. Tu t'es sentie plus légère, comme si le moindre de vos soucis avaient disparus. Comme si vous étiez seuls debout dans cette chapelle improvisée sans une foule d'inconnus autour de vous. Il n'y a que son cœur s'mêlant aux battements du tien, que la chaleur de sa peau réchauffant la tienne toujours bien plus fraîche. Aucun nuage sombre planant au dessus de vos têtes à l'horizon, encore moins lorsque vous vous éclipsez après le début de la réception pour rejoindre les étages, cette bulle d'intimité n'attendant que vous pour vous y lover le temps qu'il faudra. T'as pas envie de la compagnie des autres, de leurs discussions ne t'intéressant qu'à moitié. Tu préfères la sensation de son corps pressé contre toi, de son regard déformé par le plaisir alors que tes lèvres se veulent mutines. Filent tout contre son entre-jambe pour l'agacer de la boule de titane ornant ta langue, laquelle tu fais rouler tout contre lui pour mieux l'électriser. L'agacer entre deux bruits de succions étouffés. Si tu savais comme t'es beau Gab lorsque tu ne contrôles plus tes sens. Lorsque tu feules, grondes, que tu perds patience.

Tu cèdes à ses suppliques sans trop te faire prier bien longtemps, tu comptais faire monter la température toujours plus voilà chose faite. Des plus félines lorsque tu regagnes son bassin du tien, écartant le bout de tissu recouvrant une partie de tes fesses d'une main. Habile, tu ne manques pas de le faire glisser en toi tout en gémissant lors de son ascension en toi. Tes cheveux sont totalement défaits, tes lèvres d'autant plus rougies à force et à mesure que tes canines viennent martyriser ta lèvre inférieure pour tenter de ne pas laisser ton plaisir exploser en même temps que vous vous mettez à onduler, vos corps se percutants. Tu te veux amazone le temps de quelques longues minutes, tes mains de part et d'autres de tes cuisses l'enserrant pour mieux retenir les draps et t'y cramponner. Tu danses tout contre/autour de lui de ce truc dont vous seuls savez vous adonner. L'une des choses jouant sur cette dépendance que tu peux ressentir pour lui. Ce frisson qu'aucun autre n'a su te donner. Combien même tu te sens bien plus à l'aise avec ton corps aujourd'hui que tu ne le pouvais l'être lorsque vous sortiez ensemble il y a de ça une éternité maintenant, tu supportes toujours aussi mal ses compliments. Alors tu grognes autre chose que cette chaleur faisant gonfler le creux de tes reins, foutue inquisitrice que tu penses être. Forcément qu'il répond, comme un sale gosse n'en faisant qu'à sa tête. Alors tu raffermis tes coups de reins, te colle à lui pour le faire taire. Encore faudrait-il qu'il en ait envie, de te le dire tous les jours à quelle point il peut te trouver belle. Vous connaissez bien plus d'orages que d'accalmies ensemble. Vous êtes comme ça. T'aimerais que ça change Gaby? Qu'on puisse être heureux, sous un ciel éclaircit? Ne redoutant plus le mauvais temps ni les trombes d'eaux venant nous noyer?

Tes lèvres s'occupent de son torse, sa mâchoire, ses tempes alors que ses mains filent dans ton dos pour y suivre les mouvements furieux auxquels vous vous adonnez sur l'instant. Vos langues se retrouvent finalement, se capturent pour un temps. T'abandonnes cette dernière pour venir te venger contre le lobe de son oreille, y gémir tes plaintes toutes plus saccadées les unes que les autres. T'accélérais la cadence alors que ton encré se veut dans un élan, plus chat que souris. Rôles que vous échangez sans cesses. Tes jambes s'enroulent autour de son bassin fermement tout comme tes bras autour de sa nuque pour ne rien manquer de lui alors que ses coups de reins pleuvent, frénétiquement tout en te faisant contracter le ventre à chaque coup de sa part. Tes gémissements se tirent dans les graves, tes ongles brûlent et saisissent la peau s'offrant à eux alors que tu feules de tout ton être. T'implores, encore et encore. Qu'il ne s'arrête pas, sous aucun prétexte. Rapidement, tu n'as plus que son prénom aux lèvres que tu répètes dans une incessante litanie, comme un mantra pour te rassurer dans la nuit. Tes crocs acérés se referment contre son cou, succube finalement victime de son homologue masculin. Incube qu'il se veut lorsque les passions se déchaînent, que le désir vient raidir vos muscles. "Oh babe!" Que ta voix laisse t'échapper, dans un élan. Coup de bassin te faisant perdre littéralement pieds et l'esprit au passage. Vous en vous échangez que si peu ce genre de familiarités. Vous ne le faites plus. C'est stupide car pour toi, rien n'a changé. T'aimes toujours autant son odeur, le goût de sa peau lorsque tes lèvres s'en éprennent. Le bruit de vos peaux se cherchant pour mieux se trouver, la vue de ses traits ébranlés par la jouissance s'installant petit. La sensation de ces frissons naissant sous la caresse de tes doigts. Tu m'rends folle Gabriel, j'suis tout simplement à tes pieds. Offerte, depuis des années. Viens, on arrête nos conneries. Toi et moi on peut être tellement plus si seulement on se sentait assez forts, prêts à faire le pari.

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Message Sujet: Re: (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot)   (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 3 Empty Sam 16 Nov - 22:06




Still into you.
J'te revois perdue dans la foule
Avec tous ces mongoles bourrés qui dansent n'importe comment
Et j'me revois moi essayant de t'atteindre en évitant les gens qui hurlent
Et font des grands gestes absurdes
Et toi qui attend, terrorisée, au milieu du chaos
Et puis tes joues et puis ta peau.



Il est grand temps que vous mettiez un peu de côté vos éternelles disputes. Grand temps que vous passiez enfin à autre chose. Tu dois arrêter d'avoir peur de ne pas être à la hauteur. Et elle, de son côté, elle doit arrêter de vouloir te faire du mal et de t'envoyer chier pour tu ne sais trop quelle raison. Une part de toi n'a de cesse de te souffler que c'est peut-être parce qu'elle craint de trop s'attacher à toi alors qu'elle sait bien que tu ne la mériteras jamais. Parce qu'elle doit bien le savoir Joanne, que ce serait une monumentale erreur que de retomber amoureuse de toi. Ou de tomber amoureuse de toi, tout court. Tu n'es pas certain qu'elle ait un jour eut des sentiments amoureux pour toi. Ce n'est pas comme si vous vous épanchiez régulièrement sur vos sentiments tous les deux. Sur ce point au moins, vous êtes semblables. C'est peut-être aussi la raison pour laquelle vous n'avez jamais trop attendu de la part de l'autre. Parce que vous saviez que ce serait à coup sûr maladroit et presque pas naturel. Trop forcé, trop insistant, trop maladroit. Trop naïf et stupide aussi, au passage. Parce que vous n'avez pas eus ce genre de relation niaise aux yeux des autres. Vous passiez assurément trop de temps à vous chamailler pour ça, tous les deux. Et ce, peu importe les gens qui vous entouraient à ce moment là. Vous étiez clairement trop naturels et trop dans votre bulle pour vous soucier du reste. Même de ce qui tournait autour de vous. De ce que l'on pouvait dire de vous. De ce que l'on pouvait penser de vous. La seule chose qui importait, c'était la façon maladroite que vous aviez de faire fonctionner votre relation.

Et contre toute attente, ça n'a pas si bien fonctionné puisque vous vous êtes séparés. D'un commun accord. Quand bien même c'est toi qui as décidé en premier lieu de vous retrouver tous les deux dans ce café. Toi encore qui a lancé le sujet sur la table. Elle, elle s'est contentée de te faire comprendre qu'elle était d'accord sur toute la ligne. Sans parler plus que ça. Sans daigner te donner son ressenti. Te dire si ça lui faisait quelque chose à elle aussi, ou non. T'as finis par te dire que ce n'était pas important pour elle. Qu'elle était mieux sans toi. Que jamais tu n'aurais été à la hauteur de toute façon. Une séparation qui n'a rien fait d'autre que te donner raison en fin de compte. T'aurais aimé qu'il en soit autrement. T'aurais aimé être à la hauteur, pour commencer. Ce qui était clairement trop te demander. Même avec toute l'envie et la bonne volonté du monde, tu n'as jamais su faire. Tu n'as même jamais su montrer que t'en faisais vraiment des efforts. C'est dire à quel point tu as pu être idiot dans ton genre et maladroit. Et le temps n'y a rien changé, malheureusement. Tu penses même n'avoir fait que régresser au fil du temps qui est passé. Comme si tu tenais à lui donner de bonnes raisons de ne plus vouloir de toi. Comme si tu voulais lui confirmer que t'es qu'un crétin qui ne la méritera jamais, pour tout un tas de raisons que tu as veillé à lui montrer et à lui rappeler. A croire que tu ne l'aimes pas suffisamment pour ne pas souhaiter faire ce qu'il faut pour elle et pour vous. A moins que tu ne fasses justement tout ça parce que t'es persuadé que tu la rendrais malheureuse si vous vous essayiez à une nouvelle relation. Tu ne sais plus trop dans le fond. Tu t'es perdu dans tout ça depuis trop longtemps.

Ta seule certitude c'est que tu es incapable de passer à autre chose. Incapable d'être vraiment attiré par une autre femme qu'elle. C'est elle depuis toujours. Et t'es bien parti pour qu'il n'y ait qu'elle jusqu'à la fin. Tu ne saurais expliquer pourquoi vous semblez être faits l'un pour l'autre et en même temps être incapables de faire fonctionner une quelconque relation que ce soit. Même votre amitié en a pris un sacré coup. Tu n'es pas même certain que vous puissiez vous considérer comme des amis tous les deux. Vous passez beaucoup plus de temps à vous prendre la tête et à vous faire la guerre, que quoi que ce soit d'autre. Sauf quand vous n'êtes vraiment que tous les deux. Comme c'est le cas ce week-end. A des centaines de kilomètres de chez vous. De vos amis. De vos vies séparées et incapables de se rencontrer sans heurt. Tu ne saurais expliquer pourquoi. Mais tu es bien décidé à en profiter le temps que ça durera. Quand bien même tu te doutes que la réalité vous heurtera forcément de façon féroce lorsqu'elle vous reviendra en pleine tronche. Vous aurez au moins vécu et profité de quelques heures de tendresse. Et de passion, aussi et surtout. Cette passion qui vous a fait échouer dans votre suite, bien plus tôt que prévu. Tant pis pour l'état de sa coiffure et de son maquillage lorsque vous vous rendrez de nouveau disponible pour ce mariage auquel vous avez été invités. Vous vivez votre folle passion avec fougue et ardeur, comme à l'accoutumée. Ou plus fort encore que d'habitude. Les doigts s'accrochent, les dents se plantent, les lèvres embrassent, les langues taquinent. La sienne surtout qui s'est occupée de provoquer le plaisir dans tout ton corps. Avant de percuter la tienne une fois qu'elle est venue te chevaucher avec ardeur.

Sa danse des plus sensuelles a vite le don de te faire chavirer. Presque trop. Tu t'emballes comme toujours avec elle. T'es bien incapable de rester sous contrôle. Bien incapable de te contrôler toi même d'ailleurs. Alors tu la fais basculer sans réelle douceur sur le lit pour reprendre le dessus sur cette danse passionnée. Tu la plaques sur la matelas pour aller et venir avec plus de hargne encore, entre ses cuisses qui emprisonnent délicieusement ton bassin. Elle n'est plus que gémissements, halètements et cris de plaisir à présent que vos peaux se percutent plus franchement encore que quelques minutes plus tôt. T'aimes bien trop cette mélodie qui te tombe directement dans l'oreille alors que tu la surplombes toujours fièrement. Toi même tu ne peux retenir un franc grognement animal lorsqu'elle vient planter ses dents dans la peau fine et tatouée de ton cou. Tu n'aimes que trop lorsqu'elle perd elle aussi le contrôle et ne peut s'empêcher de se faire presque violente. Féline et sensuelle à souhait, pour votre plus grand plaisir à tous les deux. Tu jures entre tes dents serrées et redresses légèrement le haut de ton corps. Pour te concentrer principalement sur la cadence de tes reins qui vont et viennent vite et fort. Ton bas ventre qui heurte frénétiquement le sien. Tu te places au dessus d'elle, en appuie sur un avant bras. Ta main libre vient se perdre sur sa joue. Caresser avec tendresse avant que tes doigts n'aillent se perdre dans ses boucles rouges orangées. Vos peaux moites ne se frottent l'une contre l'autre que plus franchement à chaque coup de reins de ta part. Tu te concentres fort sur elle. Assez pour être certain de joindre vos orgasmes, comme vous le faites bien souvent.

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