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 (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot)

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Message Sujet: Re: (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot)   (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 8 Empty Mar 10 Déc - 5:23



still into you
Gabriel - Joanne

«La vie c'est des étapes... La plus douce c'est l'amour... La plus dure c'est la séparation... La plus pénible c'est les adieux... La plus belle c'est les retrouvailles..» nicolas antona
T'es loin d'être parfaite. T'es gorgée de défauts, hantée par de vieux démons ne comptant pas se faire la belle de suite. T'as comme un boulet enchaîné à ton pied, t'empêchant de t'ouvrir. D'être épanouie et heureuse comme le reste du monde. Tu t'dis mature, précoce comparé au reste de ta bande. C'est la plus grosse des blagues, il n'y a qu'à voir à quel point t'es une handicapée du sentiment notoire. Tu ne laisses que très très très peu de personnes entrer ta vie et même ce cercle restreint tu restes persuadée qu'il te mènera à ta perte. Parfois, t'as peur de ne pas être assez pour Torbjorn et 'Bel ton jeune apprenti. T'es clairement pas aussi joyeuse et présente mentalement que tu n'aimerais l'être combien même ta carcasse se traîne chaque jour péniblement entre les murs de ton shop. T'as peur qu'ils te tournent le dos et qu'ils viennent à trouver un endroit bien plus chaleureux que Red Devil Tattoo. T'es persuadée qu'ils t'abandonneront à un moment lorsqu'ils verront précisément quelle garce au cœur froid tu peux être. Lorsqu'ils s’apercevront que t'es paralysée, incapable de tendre ne serait-ce que la pulpe de tes doigts pour tenter de les rattraper. Tu l'sais toi que je suis comme ça Gaby, que je me contente de regarder les choses s'étioler à mon touché plutôt que de rattraper les pièces et tenter de réparer ce que j'ai endommagé.

Le pire, c'est que tu ne veux pas gâcher les choses. Tu ne veux pas être cette handicapée du sentiment notoire, incapable de se laisser réellement aller. A la fois trop adulte et hantée par le fantôme de cette enfant délaissée, mise de côté, forcée à endosser trop rapidement des responsabilités dont elle aurait dû tout ignorer. Tu revois tes beaux pères vous quitter, laissant parfois deux gamins derrière eux sans la moindre arrière pensée. Ta mère pleurant, assise à la table de cuisine en faisant le compte des factures à chaque instant du mois car trois bouches à nourrir pour une femme seule sans aucune aide ça devient rapidement compliqué. T'es devenue grande sœur, maman à temps partiel et nounou. Faut dire que ta daronne enchaînait les petits boulots pour remplir le frigo, t'payer une bonne éducation que t'as foutu à la poubelle dès que t'as pu pour te baigner dans l'monde du travail. En vérité le salon de tatouage c'était aussi pour l'emmerder ta petite maman. Juste pour lui prouver qu'tu pouvais être plus qu'une simple baby-sitter, que toi aussi tu pouvais foutre la main à la pâte dans quelque chose qui te ressembles. Tu pensais pas vraiment y faire carrière, dans le tatouage. Mais c'est ce qui s'est révélé être ta voie. Alors t'as délaissé tes amis, grandement poussée par ta rupture avec Gab pour ne pas terminer le lycée. C'était trop pénible que de le voir tous les jours sachant que t'avais pas pu être assez pour lui. J'ai jamais été la petite copine que tu méritais Gabriel, j'étais trop abîmée pour ça. Amer, aigrie. Bouffée par la jalousie et la possessivité. Tu serais étonné si je te disais que tout cela n'a jamais changé? Que mon cœur il bat toujours aussi fort pour toi qu'au premier jour?

Mais à Vegas, tout change. T'essaies d'être une meilleure version de toi même, de prendre sur toi du mieux que tu ne le puisses pour ne pas faire le moindre faux pas. Depuis plusieurs jours, si ce n'est semaines maintenant tu te veux presque parfaite. Tu ne cries pas, tu ne t'emballes pas et tu n'exploses pas en un tas de reproches parfois justifiés mais tantôt injustes. T'as le sang trop chaud, t'es trop spontanée dans ta colère pour pouvoir te retenir. Parfois tes mots dépassent de loin ta pensée et tu regrettes ces derniers si-tôt qu'ils aient eu le loisir de s'échapper de tes lippes. Dans ces cas là, il ne te reste plus que tes yeux pour pleurer lorsque tu te retrouves seule en noyant les larmes dans tes draps. Pas de ça ici, tu te veux joueuse. Rieuse. Et t'essaies même de détendre l'atmosphère alors que toujours fauchée par le plaisir tu te mets à rire de la situation dans laquelle vous avez été coupés un peu plus tôt par le marié. Mais vu la gêne de ton encré, tu ne risques pas de lui dire qui est venu vous déranger en pleins ébats. Tu ne peux cependant t'empêcher de sourire plutôt que de te "moquer" gentiment alors que ton tatoué se veut boudeur et presque jaloux en confessant que l'intrus aurait pu entrevoir plus qu'un bout de genoux et quelques orteils à travers tes escarpins. "Il était trop occupé à se couvrir les yeux crois moi! Et puis j'avais ton corps pour me camoufler" Que tu commence par t'esclaffer en finissant ta phrase sur un ronron. Il semblait bien plus gêné que vous, pivoine comme il se peut et bien plus que lors de son échange de vœux. Puis au pire Gab il n'y a que tes fesses moulées dans ton pantalon de smoking et ma crinière défaite que notre petit voyeur ait eu l'occasion d'entrevoir. N'est-ce pas le prix à payer pour des années de folies?

Presque mécontents, vous finissez par vous lâcher pour remettre de l'ordre à vos tenues tout en prévoyant votre fuite vers les escaliers que tu penses avoir aperçu entre deux baisers des plus fous alors que vous ricochiez comme des billes de flipper entre les murs de ce foutu couloir plus fréquenté que vous ne l'auriez prétendu. Lorsque ton compagnon émets l'idée de remettre le couvert dans votre suite des plus vastes, tu imposes ton veto en déclarant ton envie irrépressible de te noyer dans la mousse de la gigantesque baignoire n'attendant que ta carcasse débraillée. T'étais pas franchement habillée de base, mais tes cheveux sont emmêlés, ton rouge à lèvre s'est répandu bien plus contre Gabriel qu'il n'est resté sur tes lippes... Tu mérites bien une pause! "Alors primo, ouais je sais bouder monsieur! Et secundo, après l'effort le réconfort!" Tu roules des yeux et c'est sur ces derniers mots que vous quittez la pièce pour vous extirpez comme deux faux agents secrets. Tu t'étais pas foutue de lui avec ton intuition féminine et ton souvenir vague d'un logo lumineux. Vous trouvez aisément la cage d'escaliers et tu te permets de râler cette fois, vue la tonne de marches à gravir alors que tu peines déjà à supporter tes talons hauts. Quelle idée d'être une femme, de se vouloir à la fois désirable et sophistiquée hein?! Se moquant presque de toi et te menaçant de te priver de tes bulles de savon, l'encré te passe ouvertement devant en enchaînant les foulées rapidement. Tu t'arrêtes, défaits les boucles à tes chevilles et tu finis par saisir la paire de louboutins à pleine mains le menaçant presque du bout d'un talon. "T'oserais pas d'abord!" Et la prochaine étape c'est quoi Jo'? Tu lui tires la langue? Regarde un peu l'effet qu'tu peux avoir sur moi au long terme Gaby. Un journée, une soirée et un début de nuit passée ensemble et voilà que je ne me ressemble plus vraiment. J'suis peut-être bien ouverte au changement.

C'est à pieds nus que tu tentes de rattraper ton retard certain sur ton cavalier ne prenant pas la moindre peine de t'attendre. C'est cependant pour ton plus grand plaisir alors que tu peux te permettre de mater ouvertement son fin fessier moulé dans ce foutu pantalon que tu rêves de finir par arracher. T'as pas pu jeter ton dévolu artistique sur le bas de son corps, il passe trop de temps à s'abîmer sur son putain d'vélo à la con pour que tu t'y tentes. T'as beau avoir arrêté de skater, tu sais bien que Gab lui s'offre quelques sessions bmx avec les gars du groupe. Ils finiront par se tuer, ces fous. "Franchement tu sais quoi? Restes devant." T'ajoutes dans ce silence entrecoupé de vos bruits de pas. Tu t'arrêtes un moment contre la rambarde pour minauder, mais aussi pour rattraper ton souffle en t'avançant vers lui après avoir capté son attention. Tu t'arrêtes à sa hauteur pour lui dérober ses lèvres fiévreusement, bouffant sa lippe inférieure avec gourmandise un air de défi dans tes opales assombries. Tu le relâche de ton étreinte fauve, laissant l'une de tes chaussures tomber comme Cendrillon alors que tu fuis pour mieux continuer ton ascension. "Blablablaaa c'est la rouquine qui l'emporte!" Ta voix se veux triomphante. Tu profites de cette avance gagnée lâchant ton deuxième soulier à la volée quelques étages plus haut. Tu roules des hanches, l'attend par moment tout en te retournant pour le guetter arriver à tes côtés pour mieux reprendre du rythme et rejoindre votre suite. Il n'y a que vos rires cristallins, votre joie de vivre à crever les cœurs des malheureux. Vous ne craignez pas le lendemain, vous n'avez pas mal, aucune souffrance ne pointant le bout de son nez. Pour la première fois depuis bien longtemps vous êtes bons enfants, sans peurs. Est-ce que ça saura durer Gabriel? Est-ce que cette fois-ci on saura se tenir loin de nos démons? De nos déviances?

(c) DΛNDELION / MORPHINE (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 8 3794924939  


@Gabriel Dixon  (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 8 2288768012 (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 8 3227196488
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Message Sujet: Re: (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot)   (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 8 Empty Mar 10 Déc - 21:49




Still into you.
J'te revois perdue dans la foule
Avec tous ces mongoles bourrés qui dansent n'importe comment
Et j'me revois moi essayant de t'atteindre en évitant les gens qui hurlent
Et font des grands gestes absurdes
Et toi qui attend, terrorisée, au milieu du chaos
Et puis tes joues et puis ta peau.



T'as la sensation d'en avoir déjà trop dévoilé devant Joanne, d'un coup d'un seul. Ce n'est pourtant vraiment pas dans tes habitudes que de dévoiler certains de tes points faibles devant elle. Tu n'aimes pas du tout qu'elle puisse voir ces petites choses là qui te rendent pourtant plus humain encore. Tu préfères tellement passer pour le crétin de service qui enchaîne les conneries parce que rien ni personne ne semble avoir le don de l'atteindre. Même devant elle. Surtout devant elle. Parce que ça ne fait aucun doute, pour toi, qu'elle te supporterait moins que jamais encore, si elle venait à réaliser qui tu es véritablement et quel genre de doutes tu trimbales avec toi. Tu ne veux pas qu'elle se rende compte que t'es juste carrément terrifié par la vie toute entière et sous toutes ses formes. Et terrifié par l'idée que rien n'avance jamais pour toi parce que tu ne sais pas quoi faire et de quelle façon. T'es aussi et surtout terrifié par l'idée de finir seul en fin de compte. De voir tous tes potes se caser et fonder une famille chacun de leur côté. Jusqu'à t'oublier. Quand ils parleront amour et mômes au cours de vos réunions et que tu seras le seul à être complètement largué. T'as peur que ça ne finisse par arriver. Et t'es persuadé que ça arrivera tôt ou tard. Que tu finiras seul et plus déprimé encore que tu ne l'es déjà. Tu seras le vieux pathétique qui continue de sortir et à essayer de se faire de nouveaux potes. En vain.

T'es déjà un peu ce type là. A part que tu n'es pas encore complètement pathétique et que tu parviens encore à faire rire le plus grand nombre. Il n'y a même que Joanne pour ne pas même se dérider face à tes conneries parfois démesurées. Pas même un semblant de sourire, autre qu'ironie ou froid à ton égare. Sardonique même, quand c'est elle qui se permet une plaisanterie. Bien consciente qu'elle risque de te choquer avec son humour noir que tu ne comprends pas du tout et qui arrive parfois à te mettre relativement mal à l'aise. C'est tout juste bon à te faire grimacer et frissonner d'horreur. Tu ne comprends pas que l'on puisse rire de choses horribles et de la mort. Tu ne comprends pas ce qu'il y a de drôle, même dans l'ironie. Mais t'es peut-être idiot dans le fond, pour ce que t'en sais. Toi qui préfères rire de bêtises qui amuseraient beaucoup des gamins de dix ans tant le niveau est bas. Toi qui se fout pas mal de se mettre en spectacle parfois. Du moment que tu n'as pas à trop en dévoiler sur toi même. Du moment que ça ne dit pas tout de toi. Pour ne pas dire, rien du tout. Tu joues un rôle pour étouffer le vrai toi. Celui qui finit toujours par se dévoiler quand t'es seul face à toi même et face à tes sales démons. Quand t'es le plus fragile et le plus susceptible de vraiment te faire beaucoup de mal, tant qu'à faire. Avec un peu de chance, la présence de Joanne à tes côtés le temps d'un week-end entier, suffira à apaiser les monstres qui vivent dans ta tête qui dévorent chaque jour un peu plus ta lumière.

En attendant, t'es encore bien mal à l'aise une fois votre étreinte consommée, appréciée et achevée. Parce que tu repenses très vite au fait que vous venez d'être surpris en plein ébat. Et rien ne vient calmer cette gêne des plus évidentes. Surtout pas Joanne qui pense utile de te rappeler qu'il n'a pas eut le temps de voir grand chose. Pour ne pas dire rien du tout. Dans le fond, tu le sais qu'il a seulement compris que vous étiez en train de coucher ensemble tous les deux. Sans voir grand chose finalement. Mais c'est déjà trop à ton goût. C'est supposé m'rassurer ? Que tu continues de ronchonner. Un peu pour la forme et un peu avec beaucoup de sérieux. Quoi qu'elle en dise, t'es toujours mal à l'aise après cette arrivée fracassante, bien que très temporaire. Très rapide. T'es pas mécontent quand enfin vous pouvez quitter la pièce avec l'espoir de rejoindre aussi discrètement que possible, votre suite. Vous y enfermer aussi vite que possible. Vous y planquer, surtout. T'as juste envie de pouvoir profiter librement d'elle sans témoin aucun autour de vous. T'es mignonne à bouder de cette façon. J'ai envie de te mordre là, là et là. Que tu énumères en appuyant de ton index, sur l'une de ses joues, sur le bout de son nez et sur ses lèvres, pour l'embêter. Et, tant qu'à faire, pour qu'elle cesse de "bouder".

N'empêche que tu vas faire en sorte qu'elle profite autant que possible de son bain. Parce que tu veux qu'elle profite de toutes les façons possibles de son week-end de luxe. Ce n'est pas tous les jours qu'elle a droit à tout ça. Comme ce n'est pas tous les jours que vous passez de si bons moment ensemble d'ailleurs. Mais là n'est pas tellement la question. Tout ce qui importe pour toi, c'est qu'elle se repose et se requinque comme elle le mérite. Qu'elle fasse une vraie pause dans sa vie, à tout prix. Ne m'tente pas ... Non, tu n'oserais pas. Mais t'as encore le droit d'essayer de le lui faire croire. Parce que ça t'amuse, d'une certaine façon. A vrai dire, tout ou presque semble avoir le don de t'amuser. Tu prends sur toi pour ne pas monter les marches quatre par quatre tant t'as hâte de t'enfermer avec elle dans votre suite. Le but n'est pas de la semer alors tu te contentes de monter tranquillement. Ouvrant la marche, parce que t'espères la convaincre d'accélérer le pas, mine de rien. Pourquoi ? Tu t'arrêtes pour lui lancer un coup d'oeil par dessus ton épaule. Et finalement pivoter à demi quand tu réalises où se porte son regard.

Tu me mates le cul, Joanne ? C'est limite si la surprise ne te fait pas élever le volume de ta voix pour le coup. Et très vite, t'en ris. Hey mais d'habitude c'est moi qui fais ça ! La dévorer du regard, encore et encore, sans parvenir à te lasser outre mesure. Parce qu'elle est belle. Parce qu'elle est tentante. Parce qu'elle te fait toujours un effet certain. Et de plus en plus au fil du temps qui passe, plutôt que de se tasser pour mieux s'effacer ou se calmer. T'es justement en train de la regarder alors qu'elle semble prendre le temps de se remettre des quelques étages que vous venez de grimper. Tu patientes, le sourire au coin des lèvres. Quand finalement elle te rejoint pour t'embrasser chaudement. T'arrachant, au passage, un bref grognement de pur contentement. Malheureusement, elle s'éloigne bien trop vite et trop vivement de toi. Sous ton regard aussi enflammé et affamé, que frustré. C'est pas du jeu ça ! En sachant que tu vas devoir prendre ton mal en patience le temps qu'elle se détende dans son bain, ce n'est effectivement pas du jeu du tout. Tu jures pour de bon dans ta barbe quand elle te passe devant et grimpe rapidement les marches. Laissant apparaître son postérieur bien trop tenté et que tu sais bien trop peu couvert. Et forcément, elle prend un malin plaisir à bien rouler des hanches pour que tu ne puisses détourner ton regard d'elle. T'es fasciné par tout ça alors que tu prends quand même le temps de récupérer la chaussure qu'elle a laissé tomber. Cette fois tu n'hésites plus et grimpes rapidement les marches qui te séparent d'elle. Et t'attends d'être arrivé à votre étage, pour la rattraper. Et venir te coller à son postérieur, tes bras autour de sa taille et tes lèvres au creux de son cou, pour faire les derniers mètres. Vous ralentissez, forcément. Mais tu goûtes à sa peau de la pointe de ta langue, te frottes à son postérieur et la serres fort contre toi. Et tu maîtrises assez la situation pour n'avoir pas trop de mal à ouvrir la porte une fois que vous êtes devant. Je te prépare un verre pendant que tu fais couler ton bain et t'y installes ? Que tu proposes, mine de rien. Autant profiter du mini-bar qui trône au milieu de votre suite.

CODAGE PAR AMATIS



@Joanne De Luca  (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 8 3794924939 (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 8 1967697819
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Message Sujet: Re: (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot)   (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 8 Empty Mer 11 Déc - 4:10



still into you
Gabriel - Joanne

«La vie c'est des étapes... La plus douce c'est l'amour... La plus dure c'est la séparation... La plus pénible c'est les adieux... La plus belle c'est les retrouvailles..» nicolas antona
Forcément que tu t'amuses de la façon dont Gabriel semble si horrifier à l'idée que vous vous fassiez surprendre en pleins ébats. Si tu te souviens bien, c'est lui qui suggérait un peu plus tôt l'idée que vous rejoigniez tous les deux la fête dans vos tenues d'Adam et Eve. Votre plus simple appareil pour rejoindre le buffet. Sa folie semble soudainement envolée alors que le marié vous a surprit au détour d'une pièce que vous pensez inutilisée. A combien de mariages des choses comme ça arrivent sérieusement? Puis vaut mieux que ce soit la tatoueuse de la mariée qui soit chopée sur le fait avec son cavalier que la mariée elle même avec le témoin ou n'importe lequel des invités non? Après tout t'auras peut-être à subir quelques railleries de la part de Mira car tu t'doutes bien que son tout frais mari ne pourra retenir la bombe bien trop longtemps. Tu peux voir qu'en ce qui concerne ton tatoué la blague ne semble pas vraiment passer alors qu'il tente de se parer d'une moue des plus boudeuses alors que tu tentes de lui démontrer que tout cela n'est pas si grave et que ça aurait surtout pu être pire. "Tu sais qu'on aurait pu se faire chopper mille fois avant celle-ci? Au bar, dans notre cabine de toilettes préférée. Dans l'impasse de la ruelle non loin ou bien dans l'une des culs de sacs sombres sur la route jusqu'à chez toi ou chez moi..." T'essaies de détendre l'atmosphère, ce n'est rien et il n'y a franchement pas de quoi se biler. Allez viens on passe à autre chose Gaby, après tout il n'a pas pu voir quoi que ce soit si ce n'est ton magnifique dos et ton fessier vêtu. Pas de quoi en faire un plat pas vrai?

T'évoques le souhait d'un bon bain brûlant pour te relaxer avant toutes autres galipettes. Tu l'as bien mérité faut dire à te socialiser de la sorte, perchée sur tes hauts talons à tenter de faire bonne figure sans mordre qui que ce soit. T'as été sage, tu ne t'es pas attaquée à la moindre pétasse riant aux blagues de ton encré. Tu t'es contentée d'observer de loin et de marquer la peau de Gab de violet. Juste pour marquer ton territoire, prouver que la chasse est pleinement gardée sous peines de violences. A ton tour, tu fais mine de bouder non sans être taquinée par ton compagnon de mariage qui vient appuyer de part et d'autres de ton visage en riant. Tes joues, ton nez, tes lèvres. Tu ne peux de saisir la pulpe de son index entre des dents alors que ce dernier ce dépose tout contre tes lèvres pour te pousser à arrêter ta moue boudeuse à retrouver le plus joli des sourires lorsque ton bain te semble bien négocié. "Regardes moi je n'me gêne pas!" T'ajoutes, sa phalange toujours logée entre tes quenottes alors que ton visage semble se mettre soudainement à rayonner. Vos tenues et vos allures débraillées semblent être plus présentables et vous vous hâtes tous les deux à fuir cette sale de malheur ayant été témoin elle aussi de vos ébats désespérés. Il ne vous reste plus qu'à retrouver la cage d'escalier qui vous permettra de regagner votre suite. Le confort et surtout la tranquillité totale loin des regards indésirables. Mais franchement, t'abuses Gabriel. Les marches, en talons? Faudra pas venir se plaindre si je met du temps parce que t'as aucune idée de la torture que ça peut être!

Tu te fais faussement menacer, que si tu traînes trop la patte ton bain ou vos ébats seront raccourcit pour te ""punir"". Tu ne manques pas d'opter pour un air offensé, offusqué alors que tu te joues de ton tatoué. Saura t'il te résister bien longtemps? Faire preuve de retenues alors que tu te joues de lui en te collant à son corps brûlant ou en enchaînant les poses lascives telle une mannequin que tu n'es pas? "Maaaaaaaais babe! Pis t'façon, t'es sûr que tu peux réussir à me refuser ça?" Tu viens rouler à nouveau des yeux alors que tu tentes péniblement de rattraper ton retard. T'es essoufflée, tes talons claquent contre les marches dont que tes pas tentent de gravir pour le moins rapidement. Tu profites cependant ton retard pour lorgner sur le fessier s'agitant devant tes prunelles attentives. Finement serré dans son pantalon de smoking ce sont les fesses de ton ex qui ravissent ta vue. Tu minaudes sur sa position de leader, alors qu'il se retourne presque stupéfait de te retrouver entrain de le mater pour le moins ouvertement. Tu peux l'entendre au son de sa voix. "Genre tu mates, t'es trop occupé à regarder les autres pour m'regarder moi." Que tu lui lances alors que petit à petit tu regagnes ses côtés en espérant tromper sa garde quelques instants. Tu lui dérobes un baiser fiévreux, langoureux. Tu geins alors que tout ton être te hurle "encore" mais tu fais de ton mieux pour te décoller et filer à l'anglaise comme une traître en profitant de ton charme pour le berner. Alors t'en dis quoi de ça Gab? Tu vois que moi aussi j'peux être joueuse quand je veux. Pas seulement cynique, avec un humour noir des plus dégueulasses. J'peux être aussi bon-enfant, joyeuse tout simplement.

Sa voix semble s'indigner dans ton dos, clamant l'injustice de ta démarche alors que tu sembles triompher. Tout bonnement ravie que ta combine ait fonctionné alors que tu sèmes tes louboutins comme Cendrillon lorsqu'elle s'enfuit de son bal lors des douze coups de minuit. "Gnagnagna je t'entend pluuuuuuus! T'es trop loin d'abord!" Super répartie n'est-ce pas? La plus fine que t'aies utilisée de toute ta vie. "T'as qu'à m'attraper si t'es pas content!" Tu lances en lui jetant un regard des plus clairs. T'as pressé le pas alors maintenant il ne lui reste plus qu'à faire de même. Tu joues cependant de tes courbes. De tes hanches, de tes reins pour lui offrir une vue des plus délicieuses sur ta croupe découverte de tous sous-vêtements si son œil se veut aiguisé et vif dans certains que mouvements que tu lui offres tu lui laisses le plaisir de zieuter contre l'ombre de tes cuisses que tu resserres volontairement rien que pour l'embêter, lui obstruer la vue pour faire durer le plaisir. Ce n'est uniquement lorsque tes pieds atterrissent au palier de votre étage que tu peux sentir le bras de ton tatoué se nouer contre ta taille fine pour l'enlacer, son bassin collé à tes fesses pour ne plus te laisser te dérober. Incapable de fuir. "Tu vois quand tu veux." Tu ronronnes en appréciant cette étreinte sauvage surgissant de nulle part. Tous les deux vous vous engouffrez dans le dédale de couloirs menant à votre suite alors que sa bouche vient taquiner la peau électrisée, frissonnante de ta carotide offerte à son bon vouloir. Est-ce qu'un jour on s'est déjà comporté de la sorte tous les deux Gaby? Aussi complices, simples que ça? Sans se poser de question, en étant nous même tout simplement. J'sais pas, j'sais plus. C'est impossible n'est-ce pas? Sinon pourquoi on aurait lâché tout ça?

Sa langue taquine ta jugulaire palpitante, ses reins s'activent à t'échauffer pour le moins fortement alors que d'une main il te maintient captive de ses bras et que de l'autre il fait céder la porte menant à votre chambre tout en tenant tes escarpins. Foutrement adroit, tu dois lui reconnaître ça. Tu manques de fondre alors qu'il te propose le plus naturellement du monde de te préparer un verre alors que tu te mets à l'eau. Des étoiles mêlées de paillettes dans les yeux, tu te retournes et vient libérer sa main de tes chaussures jonchant à présent dans l'entrée. Menant sa seconde paluche encrée contre tes hanches, tu te hisses sur la pointe des pieds pour lui roucouler quelques mots. "C'est si gentiment proposé... Mais penses à te préparer un petit quelque chose aussi!" Parce que t'pas égoïste Jo', pas le moins du monde. Tu penses toujours aux autres avant d'penser à toi. Depuis gamine. Tu lui adresses un tendre baiser puis vient faire glisser ta robe pour finir à nouveau nue, observée par les prunelles assombries de Gab que tu peux voir reluire grâce aux rayons lunaires filtrés à travers les larges baies vitrées de votre confortable suite. "A toute suite alors!" Que tu ajoutes avant de filer tout droit en direction de la dite baignoire. Tu ne comptes pas t'y tremper seule, bien au contraire. T'espères pouvoir profiter d'un énième moment de complicité. De tendresse entre vous. Tu te mets à chantonner, chose rare car t'es la première à détester ta voix de fumeuse éraillée. Mais t'es ravie alors que l'eau se met à couler et que le bain moussant permet à un mont de particules reluisantes de gagner en puissance. Tu finis par t'immerger dans le fond d'eau grandissant, rêveuse. Tu viendras me rejoindre pas vrai Gabriel? Tu vas servir deux verres puis lorsque je vais te le proposer tu viendras gagner la mousse à mes côtés dis? Que l'on puisse profiter d'une nouvelle étreinte, d'un nouveau rapprochement. De s'aimer pleinement.

(c) DΛNDELION / MORPHINE (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 8 3794924939  


@Gabriel Dixon  (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 8 2288768012 (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 8 3227196488
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Message Sujet: Re: (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot)   (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 8 Empty Jeu 12 Déc - 18:45




Still into you.
J'te revois perdue dans la foule
Avec tous ces mongoles bourrés qui dansent n'importe comment
Et j'me revois moi essayant de t'atteindre en évitant les gens qui hurlent
Et font des grands gestes absurdes
Et toi qui attend, terrorisée, au milieu du chaos
Et puis tes joues et puis ta peau.



Tu sembles avoir déjà complètement oublié la proposition que tu as fait un peu plus tôt dans la soirée. Quand t'as émis l'idée de vous rendre tous les deux à la fête, entièrement nus. Dans les faits, tu n'as pas oublié. En revanche, tu ne le pensais pas du tout. Mais cela va s'en dire. Et forcément, tu doutes qu'elle l'ait prit si sérieusement que ça. Elle ne sait que trop bien que tu passes ton temps à faire le con et à raconter des conneries bien plus grosses que toi. Avec ça, il n'y a donc aucun doute possible. Bien sûr que tu ne le pensais pas du tout. Et bien sûr que t'en serais bien incapable de faire une chose pareille. Tu ne te vois définitivement pas te trimbaler en tenue d'Adam ou même en caleçon, à gauche et à droite. Il n'y a que pour faire un gros zoom sur tes tatouages en photo ou quand tu te rends à la plage ou à la piscine, que tu acceptes de perdre quelques couches de fringues. En dehors, tu ne te montres pas tant que ça. Et depuis le temps, t'as envie de croire que Joanne s'en est un tant soit peu rendue compte. Sans aller jusqu'à te connaître par coeur puisque tu fais en sorte que ça ne soit justement pas le cas. Tu fais tout pour qu'elle ne te connaisse pas véritablement. Tu fais tout pour qu'elle ne réalise pas le monstre que tu es, dans le fond. Parce que t'en es un. T'es intimement convaincu de la chose et tu ne devrais pas changer d'avis de sitôt.

Ouais ... Mais le danger est excitant tant que ça n'arrive pas pour de vrai ... Que tu ronchonnes comme un véritable gamin. Pourtant, tu le sais bien que tu n'as pas la moindre raison d'en faire tout un foin de cette façon. Que tu n'as aucune raison de te tendre autant à la seule idée que l'on vous ait surpris en pleine étreinte. D'autant plus qu'elle a bien raison quand elle appuie sur le fait que la personne en question n'a franchement pas eut le temps de voir grand chose. Et que ladite personne s'est cachée les yeux, par dessus le marché. Tu le sais. Mais tu ronchonnes quand même un peu pour la forme. Mais si tu te veux boudeur, ça ne dure guère longtemps. Très vite, elle prend le relais et en fait de même. De quoi te dérider et te faire ricaner. Ceci dit, elle a surtout le don de te troubler au possible quand elle referme ses dents autour de ton doigt qui s'est voulu taquin sur ses lèvres. Tu grondes tout bas, le regard maintenant rivé sur sa jolie bouche des plus joueuses. Et t'es sexy quand tu l'fais ... Que tu grognes tout bas. Ouais, elle est sexy à jouer de ses dents sur toi de cette façon. T'es pas franchement certain que le résultat serait le même à l'inverse. Tout au plus, t'aurais l'air d'un idiot. Et s'il te prend l'envie de réellement la mordre, pas sûr que tu te contentes de l'un de ses doigts. Tu aurais bien trop envie de marquer sa poitrine de tes dents, plutôt. Ou autre partie sexy de ce genre là. Quitte à la mordre, autant le faire bien et autant te contenter vraiment. En mordant dans ces courbes parfaites qui te rendent fou depuis plus d'une décennie.

Vous trouvez finalement le courage de quitter la pièce pour rejoindre votre suite. Pour ce faire de la façon la plus discrète qui soit, il vous faut passer par les escaliers. Et tout naturellement, il ne vous en faut pas plus pour vous provoquer inlassablement l'un et l'autre. Tu marmonnes dans ta barbe rien que quelques mots, avant de lui offrir un regard amusé. J'sais pas ... A ton avis ? Non, bien sûr que non t'en serais incapable de la priver de sexe. T'as bien trop envie d'elle, tout le temps, pour ça. Elle est terriblement désirable. Et c'est encore peu de le dire. Elle te fait un effet certain et grandissant. Le temps qui passe ne fait que confirmer toujours plus toutes ces choses et te donner toujours plus l'envie de la posséder et de lui appartenir tout à la fois. Tu ne sais simplement pas comment faire pour que ça dure et fonctionne sur la durée. Pff. Comme si j'savais te résister ! Et tu roules des yeux pour appuyer tes dires. T'es tout bonnement incapable de lui résister. La question ne se pose donc pas vraiment. Et ça te surprend qu'elle se la pose quand même. Tu manques trébucher et t'étaler dans les escaliers, quand elle affirme que tu passes trop de temps à mater les autres femmes, pour le faire avec elle. Tu me vois vraiment mater les autres ? Ton ton est à l'ironie parce que la réponse te semble évidente. Quand bien même elle prétendra peut-être le contraire pour garder la face.

Le fait est que tu n'as pas l'habitude de mater. Et surtout pas quand elle est là. Elle capte toute ton attention. Tu ne quittes même jamais une soirée à laquelle elle se trouve, au bras d'une autre. Tu n'as pas le temps de vraiment ronchonner, qu'elle vient étouffer tes lèvres des siennes pour un baiser des plus fiévreux et incandescents. Si ça n'tenait qu'à moi, j'passerais mon temps à te tripoter. Que tu viens ronronner tout contre ses lèvres. Avant qu'elle ne se défile et ne file. Elle monte rapidement les escaliers, non sans abandonner une chaussure en cours de route. Véritable Cendrillon des temps modernes. Sérieux ? C'est quoi ces gamineries ? T'avais l'intention de faire mine de la gronder comme un véritable adulte, avant d'ouvrir la bouche, de te rendre compte de l'ironie de tes mots et d'en rire très franchement. De vous deux, c'est évidemment toi le plus gamin. Un vrai gosse perdu sur Terre, dans un corps d'adulte. Tu ne te fais pas prier pour faire la course dans les escaliers d'ailleurs. Restant volontairement quelques marches derrière elle, pour pouvoir la mater tout à loisir. Alors qu'elle roule ouvertement des hanches pour te rendre dingue. Et le moins que tu puisses en dire, c'est que ça fonctionne du tonnerre. Elle t'excite au delà de tout entendement et tu ne manques pas de la rattraper aussitôt que vous arrivez à votre étage. J'ai toujours envie d't'attraper. Que tu lui réponds d'une voix chaude, en raffermissant la prise de tes bras autour de son corps fin. Ce qui ne vous empêche pas d'atteindre enfin la porte de votre suite.

Une fois à l'intérieur, tu ne manques évidemment pas de lui proposer de lui ramener un truc pendant qu'elle profitera de son bain. Tu n'es pas sûr de bien interpréter ses mots en guise de réponse mais il te semble vraiment qu'elle t'invite à la rejoindre dans la salle de bain pour plus que simplement y déposer son verre. tu lui rends ses quelques délicats baisers, avec toute la tendresse du monde, avant de la laisser filer du côté de la salle d'eau. Tu la suis du regard alors qu'elle perd la robe qu'elle portait jusque là. Ton regard assombrit ne manque pas de réchauffer sa peau nue. Encore un peu et t'afficherais déjà un filet de bave au coin des lèvres alors qu'elle te tente de façon démesurée pour ne pas changer. Il faut qu'elle disparaisse de ta vue, pour que tu trouves le courage de t'éloigner et rejoindre le coin bar. Si t'es plutôt doué en cuisine, tu l'es également quand il s'agit de préparer des cocktails. C'est à force de fréquenter les bars et les boîtes de la ville, bien sûr. Tu prépares donc deux verres alcoolisés, sucrés et colorés avec lesquels tu entres bien vite dans la salle de bain. Pour trouver Joanne installée dans l'immense baignoire. T'étais en train de chantonner ? Que tu demandes avec un tendre sourire, en posant l'un des verres sur le rebord de la baignoire, près d'elle. Et non sans te pencher ensuite vers elle pour lui voler un tendre baiser.

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@Joanne De Luca  (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 8 3794924939 (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 8 1967697819
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Message Sujet: Re: (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot)   (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 8 Empty Ven 13 Déc - 22:58



still into you
Gabriel - Joanne

«La vie c'est des étapes... La plus douce c'est l'amour... La plus dure c'est la séparation... La plus pénible c'est les adieux... La plus belle c'est les retrouvailles..» nicolas antona
Vous ronchonnez tour à tour comme deux gamins alors que vous vous rhabillez progressivement pour pouvoir regagner votre suite. Il commence, toujours aussi mécontent du fait que vous vous soyez faits pincés par le marié qui devait chercher son chemin ou bien une veste laissée à l'abandon quelque part. Faut dire qu'il avait l'air sacrément gêné le peu de temps qu't'as eu le loisir de le voir avant qu'il ne s'enfuie à toutes jambes pour votre grand soulagement. Tu ne t'es pas découragée cependant, t'étais bien décidée à dérober un orgasme à ton tatoué coûte que coûte. Tu ne l'aurait pas laissé t'échapper si facilement. Pour mettre fin à sa bouderie tu te met toi même à adopter une moue des plus adorables. Vous vous taquinez tendrement. Tu mords l'un de ses doigts doucement entre tes quenottes blanches pendant que tes opales se perdent dans les siennes de façon claire. Percutante sur vos envies évidemment partagées. "Le danger, c'tout le temps excitant. Tu t'en remettras va, une fois en treize ans ça va on a plutôt un bon ratio. Puis j'croyais que j'étais sexy tout le temps?" Tu t'amuses en roulant des yeux, laissant sa phalange s'échapper finalement. Faut dire qu'on a tenté combien de fois le diable Gaby? Combien de fois on a joué pour sortir gagnant? Fallait bien que ça arrive, on passera vite à autre choses crois moi.  

Tu le laisses prendre de l'avance dans la cage d'escaliers que tu avais bien repéré un peu plus tôt. Le truc c'est que tes talons te ralentissent très clairement et t'es une bien plus grosse fumeuse que Gab. T'enchaînes cancéreuses sur cancéreuses et les seuls moment où l'on ne te choppe pas avec une blonde entre les lippes sont quand tu dors ou lorsque tu tatoues. Forcément qu'tes poumons en ont prit un sacré coup d'puis les années tu comptes pas les paquets avec lesquels tu t'es enfumée depuis l'adolescence. Toujours est-il que ce léger détail mêlé à tes hauts escarpins, tout semble te pousser à pouvoir mater ouvertement ton tatoué qui lui semble enchaîner les marches en petites foulées. Tu finis par ôter tes chaussures pour pouvoir rejoindre ses côtés plus rapidement que tu n'aurais pu le faire chaussée. Vous vous taquinez encore, l'ambiance est si bonne entre vous. "Si tu laisses daddyxon parler comme un peu plus tôt j'me laisse faire!" Tu t'amuses à ajouter finalement alors que très vite il te rappelle qu'il n'est en rien capable de te résister. C'est ton cœur qui rate très clairement un battement. Si seulement. Si seulement ce qu'il disait était vrai. Qu'il n'émettait aucune lutte et qu'il se rendait à l'évidence. Vous êtes incapable de vivre séparés l'un de l'autre. Même si c'est compliqué, douloureux, fatiguant. Même si vous avez des différences de goût, d'humeur ou d'opinion. C'est comme ça Gabriel, c'est genre bien plus fort que nous. Combien de fois on a essayé de se faire du mal pour forcer l'autre à lâcher? Combien de fois on s'est déchiré, en se balançant les pires immondices à la gueule parce que c'était plus simple que de discuter de nos peurs?

Tu finis par le distraire et il manque presque de louper une marche lorsque t'évoques les autres gonzesses. Faut dire que quand tu le regardes jamais tu ne trouves son regard croisant le tien. Même maladroitement. Non il est toujours bien trop occupé à rire avec d'autres. Parce qu'il est faussement joyeux Gabriel, qu'il se sent toujours obligé d'en rajouter des couches et des couches pour se croire drôle. Alors que sans tout ces artifices il reste le même à tes yeux. Même s'il venait à te dévoiler ses démons tout cela ne changerait pas. Mais tu dois pas être assez méritante pour qu'il te confie autant de choses personnelles. Après tout tu es une hydre dont les têtes ne cesses de repousser à chaque dispute pour toujours plus lui tendre de pièges. T'es loin d'être tendre avec lui aussi, jusqu'à peu tu le faisais presque fuir. "Bah quand j'te regarde bizarrement c'pas sur moi que tes deux yeux sont Dixon." Que t'ajoutes en gagnant finalement ses côtés. Abandonnant tes chaussures après un baiser. Surtout destiné à apaiser ton cœur, à ne pas aller trop loin dans le jeu. A ne pas dépasser les limites et encore moins jeter de l'huile sur le feu. Cendrillon des temps modernes que tu te veux être, tu abandonnes tes souliers pour finalement monter les marches quatre par quatre en distançant ton encré sans le moindre mal une fois tes mains libre. Tu t'amuses, ton rire cristallin résonne au fur et à mesure que tu peux entendre les réprobations de ton compagnon dans ton dos alors que t'accentues volontairement tes mouvements de hanches pour le faire grogner. T'attendras le dernier étage pour succomber Gab? Tu profites bien trop de la vue à mon goût si tu me demandes mon avis! Tu veux pas m'enlacer? Mettre fin à ce supplice pour de bon?

En effet, il profite jusqu'à votre étage pour venir t'enlacer. Tu te mets instinctivement à ronronner lorsque l'étreinte de son bras se referme autour de ta taille pour te presser furieusement contre lui. Tu t'électrises, tu frissonnes, tu te tends. C'est bien trop agréable pour que tes canines puissent se retenir de lacérer ta lèvre inférieure alors que ses lippes à lui se perdent contre ta veine jugulaire palpitante, saillante. Boules de flipper à nouveau lâchées dans le long couloir c'est comme sur un programme de pilote automatique que vous regagnez la porte de votre chambre pour le weekend et que cette dernière vient s'ouvrir pour laisser vos carcasses enfin se retrouver en intimité. Loin du mariage et des invités. Des faux semblants et de la mondanité. T'es bien trop mal à l'aise lors de tels rassemblements, si tu as fait l'effort de venir c'était pour voir Mira épouser l'homme de sa vie pendant que tu te tiendrais aux côtés du tien. "Je préférerais que tu ne me lâches jamais." Que tu te contentes d'ajouter avant que le bois ne se referme une bonne fois pour toutes derrière vous. Tu te défaits de tes chaussures, l'embrasses langoureusement et sur ses conseils tu files te baigner. Parce que tu vas me rejoindre pas vrai Gaby? Tu ne vas pas te contenter de me regarder roucouler dans ma mousse n'est-ce pas?

Tu te déshabilles, tu finis par entrer dans la baignoire où tu te perds quelques instants. Ton regard dans le vide, tu te dis que Las Vegas était vraiment une bonne occasion. Une bonne idée pour vous rapprocher et t'es si heureuse que cela fonctionne. Que vous soyez capables de vous aimer plus que de vous déchirer comme deux idiots incapables de quoi que ce soit d'autre. Tu te mets même à chantonner, chose pour la moins étonnante étant donné que tu ne supportes pas ta voix. Pas du tout et ce pour le moins du monde. Ton compagnon de voyage ne manque pas de te tirer de ta rêverie lorsqu'il finit par te rejoindre deux verres des plus colorés entre ses mains. Doué en cuisine, en mixologie... Il possède un réel talent pour faire parler les saveurs entre elles et c'est avec un large sourire que tu accueilles sa bouche contre la tienne lorsqu'elle vient s'y déposer pour te voler un tendre baiser que tu ne manques pas de prolonger aussi longtemps que tu le puisses, jusqu'à en perdre haleine. "Peut-être bien!" Tu rétorques en faisant mine de ne pas tout à fait comprendre de quoi sa remarque veut bien pouvoir parler. Il ne manquerait plus qu'il te demande de continuer tien ça serait le chapeau. Tes yeux se posent contre son corps encore bien trop couvert à ton goût. Ton visage vient adopter une moue des plus enfantines alors que ta voix elle, ne manque pas de reprendre dans une plainte. "Et mon câlin? Non parce que tu risques de mouiller tes vêtements comme ça..." Tu veux qu'il te rejoigne, pouvoir te lover contre lui et la mousse qui viendrait crépiter à vos oreilles. Ronronner au rythme de vos myocardes synchronisés. Tes jambes viennent gagner ta poitrine alors que tu lui laisses toute la place du monde à tes côtés pour qu'il vienne gagner l'eau brûlante en ta compagnie. Tu prends même le soin de couper l'eau en prévision de son corps qui viendrait en faire monter le niveau. Jouant de tes phalanges dans la mousse, faussement patiente et le palpitant sur le point de rendre son dernier battement tu attends. Dans ces instants là Gabriel j'ai si peur que tu te refuses à moi. Que tu ne me fuis, que tu te rendes comptes que je n'en vaux pas la peine. Parce que toi tu mérites mieux qu'un boulet tout esquinté. Aux réactions disproportionnées, avec la peur de l'abandon au ventre. Constamment. Parce que dans le fond, c'est impossible. Que tu sois un jour tombé amoureux de moi.

(c) DΛNDELION / MORPHINE (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 8 3794924939  


@Gabriel Dixon   (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 8 2781936883 (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 8 3794924939
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Message Sujet: Re: (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot)   (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 8 Empty Dim 15 Déc - 16:10




Still into you.
J'te revois perdue dans la foule
Avec tous ces mongoles bourrés qui dansent n'importe comment
Et j'me revois moi essayant de t'atteindre en évitant les gens qui hurlent
Et font des grands gestes absurdes
Et toi qui attend, terrorisée, au milieu du chaos
Et puis tes joues et puis ta peau.



T'aimes beaucoup trop la Joanne taquine et joueuse au possible. T'es pas forcément habitué à ce qu'elle se comporte de la sorte avec toi. Alors forcément, t'es bien décidé à en profiter le temps que ça durera. Avec un peu de chance, ça ira au delà de ce fameux week-end. Avec un peu de chance, ces deux jours ne sont que le début d'un renouveau pour tous les deux. Pour votre relation. Tu te prends à rêver alors que ce n'est définitivement pas dans tes habitudes. Ce n'est pas toi de te montrer si rêveur et même, relativement positif dans le genre. Ce n'est pas toi tout ça. Et pourtant, ça se fait de façon naturel alors que vous êtes ensemble. Et que vous êtes en train de vivre un truc inédit et magique, surtout. Forcément que ça t'arrangerait de savoir qu'il ne s'agit là que d'un début de quelque chose de nouveau pour vous. Il te faut croire que c'est possible. Histoire que tu ne fasses pas de bourde, pour changer. Tu ne dois surtout pas jouer au con. Alors que tu ronchonnes encore parce que vous avez été surpris en plein ébat, elle s'amuse à mordiller l'un de tes doigts. T'es sexy tout le temps. T'es carrément sexy même ... Que tu grondes d'une voix chaude, le regard rivé sur ces dents qui taquinent ton doigt. Elle est même de plus en plus sexy au fil du temps qui passe. Et toi, tu te laisses tomber et te faire emprisonner dans ses filets. Tu ne vois pas de raison de lutter. De moins en moins au fil du temps qui passe. Vous êtes bien ensemble. Quand bien même ça vous demande de constants efforts. Quand bien même ça ne se fait pas du tout de façon naturelle.

Ce week-end, elle est assez détendue pour vous permettre de rire ensemble et de jouer comme deux gamins. Ce que vous faites dans la cage d'escaliers en vous lançant dans une course idiote au possible. Là encore, vous ne manquez pas d'ajouter quelques provocations bien senties. Elle surtout, qui te taquine encore et toujours. Tu grondes tout bas et lui offres un regard enflammé. T'aimes bien daddyxon ? Que tu fais mine de l'interroger, un petit sourire au coin des lèvres. Tu n'es pas forcément le type le plus dominateur qui soit. Mais pour elle tu veux bien jouer ce genre de rôle. Si ça lui fait réellement l'effet qu'elle semble être en train de te vendre. Parce que t'aimes lui plaire de toutes les façons possibles. Parce que sans ça, absolument rien ne fonctionnerait entre vous, c'est évident. Si tu ne faisais pas tout pour lui plaire, ça ne marcherait pas et elle ne serait pas même attirée par toi. Quand bien même tu n'es que trop conscient du fait que ce n'est pas suffisant. Elle ne ressent pas pour toi tout ce que tu souhaiterais qu'elle ressente. Mais tu ne vois pas comment tu pourrais changer ça. Si tu le savais, tu l'aurais fait depuis bien longtemps. Plutôt que d'enchaîner les bourdes en tous genres et de faire plus de pas en arrière que de pas en avant, à longueur de temps. T'aimerais simplement que Joanne elle même soit en mesure de te dire précisément ce qu'elle attend de toi. Ce qui est sans doute trop demander. Dans le fond, elle même ne le sait sans doute pas. Ou elle même n'est que trop consciente du fait que jamais tu ne changeras tout à fait.

Quand elle insiste sur le fait que tu passes bien plus de temps à mater les autres filles, qu'à la regarder elle, tu ne sais très vite plus que dire. Le fait est que tu la trouves bien plus belle que la moyenne et donc, que la majorité des femmes que tu pourrais croiser. Alors forcément que ton regard est toujours attiré par elle et uniquement elle. J'suis juste pas doué. Mais c'est bien toi que je passe mon temps à dévorer du regard. T'es tellement belle Joanne. Même quand t'es énervée contre moi, t'es magnifique. Que tu tentes de lui faire entendre à tout prix. Tu n'as aucune envie de lancer une nouvelle dispute. T'aimerais faire autrement pour une fois. T'aimerais vraiment que ça fonctionne à tout prix entre vous. Quand bien même tu n'es pas le plus doué des hommes. Surtout en ce qui vous concerne. Tu enchaînes les erreurs, les faux pas, les conneries plus grosses que toi. Et jamais tu n'as su faire marche arrière pour effacer tout ça. Peut-être que tu n'y parviendras tout simplement jamais. Malgré tes nombreuses tentatives et ton envie véritable de le faire. Tu n'es pas fait pour tout ça, point à la ligne. Et ce n'est pas comme si de son côté elle semblait être plus douée. Ce n'est pas comme si elle y parvenait mieux que toi. Elle qui passe quand même un temps fou à t'envoyer chier pour une raison ou pour une autre. Tu vois bien qu'elle ne s'en sort pas mieux que toi. Qu'elle est aussi maladroite que tu peux l'être, si ce n'est plus encore. Vous êtes pour de bon, deux handicapés des sentiments qui ne savent pas assumer, tout simplement. Et tant que vous serez incapables d'affronter cet état de fait, jamais rien ne changera.

Enfin, vous atteignez ensemble la suite que vous allez occuper pour le reste du week-end. Le corps féminin collé au tien, pivote une fois à l'intérieur pour te voler quelques baisers et te souffler des mots qui font battre plus rapidement encore, ton coeur. Tout naturellement, tu lui rends son baiser sans te faire prier. Tu t'emballes toujours plus, toujours trop. T'es à bout de souffle alors que vos langues se font tendrement la guerre. Il te faut pourtant la laisser filer du côté de la selle de bain. Elle est bien décidée à profiter à fond de ce moment en solitaire dans la baignoire. Et toi, t'es bien décidé à la laisser faire. Tu veux juste qu'elle soit heureuse pour une fois. Et qu'elle prenne le temps de se reposer. Elle qui te donne l'impression de ne plus le faire depuis trop longtemps. Rien à voir avec toi qui ne fait justement rien du tout de ta vie. On ne peut pas dire que tu sois du genre à beaucoup t'épuiser dans la vie de tous les jours. Pour le coup, c'est même tout le contraire. Et pourtant, t'arrives encore à être crevé à longueur de journée. Sans doute le côté psychologique. L'esprit embrumé parce que constamment secoué par tes démons qui ne te laissent jamais une minute de répit. Qui sont toujours là et contre lesquels tu dois constamment te battre pour ne surtout pas te laisser sombrer par leur faute. C'est souvent moins une. Mais jusqu'à présent, t'es parvenu à te relever des chutes diverses et variées.

Tout naturellement, tu prends grand soin de la jolie Joanne qui se prélasse déjà dans l'immense baignoire. Après avoir chantonné de la façon la plus adorable qui soit selon toi. Tu ne manques pas de lui faire remarquer la chose. Sans insister. Ton but n'étant pas de la mettre mal à l'aise. Mais uniquement de constater à voix haute la bonne humeur qui semble soudainement être la sienne. Tu lui apportes une cocktail des plus sucrés et colorés, quand elle tiens à préciser son envie de te voir rester. T'étais plutôt bien parti pour la laisser profiter tranquillement de son bain. Mais si elle tiens vraiment à te voir rester, tu ne vas pas lutter contre. T'es tellement heureux qu'elle ait ce genre d'envie, que tu ne peux retenir un sourire démesuré de venir prendre place sur ton visage. Je pensais que tu voulais rester tranquille. Que tu précises en haussant finalement les épaules. T'abandonnes ton verre près du sien sur le rebord de la baignoire, pour pouvoir ôter tes vêtements. Tu ne vas pas tenter le sort en faisant mine d'hésiter. Tu ôtes déjà chemise, pantalon et sous vêtement, pour prendre la place qu'elle vient de te faire dans son dos. Tu veux bien lui faire tous les câlins du monde si c'est vraiment là ce qu'elle souhaite et attend de ta part. Tu trouves sans mal ta place dans la baignoire, derrière elle. Tes cuisses encadrant les siennes et tes bras s'enroulant autour de sa taille pour la ramener contre toi quand tu bascules toi même en arrière. Tu rencontres le frais de l'acrylique blanc alors qu'elle même peut désormais reposer son dos contre ton torse. Dans la foulée, tu viens embrasser la peau délicate au creux de son cou. T'es bien trop heureux qu'elle ait eut envie d'un moment de ce genre en ta compagnie. T'es bien comme ça ? Que tu prends quand même le temps de t'inquiéter.

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@Joanne De Luca  (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 8 3794924939 (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 8 1967697819
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Message Sujet: Re: (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot)   (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 8 Empty Mar 17 Déc - 4:14



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Gabriel - Joanne

«La vie c'est des étapes... La plus douce c'est l'amour... La plus dure c'est la séparation... La plus pénible c'est les adieux... La plus belle c'est les retrouvailles..» nicolas antona
T'ignores ce qui t'arrives. Pourquoi ici t'es capable de te laisser aller, de rire et même pleurer. Parce que t'es du genre qui se la joue à la dure, qui s'laisse pas aller aux sentiments devant les gens. Il n'y a que lors de très très grosses disputes que tu te laisses aller aux larmes de colères. De frustration. Lorsque tu pestes des mots blessants, que t'espères percutants pour au final les voir retomber comme si t'y avais pas mis tout ton cœur. Ici pas de tout ça, c'est dingue. Faudrait peut-être que vous pensiez à déménager dans l'fond. Non trêves de plaisanteries, t'es carrément dans votre bulle. Pas d'appels du boulot, pas de projets à boucler ou de stress. Juste une ambiance bonne-enfant, les bras de Gabriel et son odeur sur ta peau. Voilà de quoi passer un bon moment. Vous ne vous êtes jamais risqués à passer un tel séjour ensemble auparavant. Il y a de ça encore quelque semaines vous n'aviez jamais passé la nuit ensemble. Parce qu'il est maître expert en ce qui concerne la fuite le tatoué. Autant qu'tu n'es douée pour tout gâcher alors qu'tu penses être claire et concise et qu'tu t'emmêles les pinceaux. Mais là il aurait du mal à s'faire la malle pas vrai? Il oserait pas t'abandonner ici. Faudrait qu'le ciel nous tombe sur la tête pour ça, n'est-ce pas Gaby? Toi même tu l'penses non, qu'on vit un beau moment? Le plus beau peut-être même depuis toutes ces années?

T'as cependant toujours un mal de chien à croire Gab lorsqu'il te dit que tu es belle, désirable, sexy. C'est comme ça, dans le fond la Joanne adolescente qui ne pouvait supporter son regard sur elle est toujours bien là. Mais ça, tu doutes qu'il le sache. Vous finissez par atteindre la cage d'escalier et vous vous mettez à vous taquiner toujours plus franchement. Faut dire que t'aimes bien quand ton tatoué se veut dominant, qu'il prend des décisions et des initiatives. Bon jusqu'ici ça n'arrive qu'au lit et que lorsque tu le pousses dans ses retranchements pour finalement le laisser exploser pour ta plus grande satisfaction. "Ouais j'trouve ça terriblement sexy lorsque je te fais péter les plombs." Mais ça c'est uniquement parce que vous savez vous jouer de l'un l'autre pas vrai? Parce qu'il ne ressent pas c'que toi tu peux ressentir à son égard. C'est pas possible, après tout c'est lui qui a émit l'idée de votre séparation il y a dix ans. C'est lui qui t'as mise de côté, qui t'as empêché de faire partie de sa vie. Son amitié? T'en as jamais réellement voulu de son amitié quand t'y penses. Il y a toujours eu cette attirance, même le premier jour lorsqu'il est venu t'faire une blague des plus douteuses sur ta façon de t'exclure en permanence. Parce que quand t'as levé tes yeux d'ton sandwich triangle c'est comme si tu t'étais mangée un train à pleine vitesse. T'as toujours su que ça serait lui, seulement lui. Comme une biche sur l'autoroute s'faisant taper par un camion. Quand on m'demandait à l'époque si j'croyais au coup d'foudre j'me contentais de rire comme une idiote Gabriel. Puis j'te cherchais du regard dans la foule, et j'avais ce goût amer dans la bouche. Celui de l'absence.

Peinant à regagner les côtés de ton compagnon pour le weekend tu finis par évoquer l'fait que ses yeux sont pas franchement rivés sur toi. T'as bien plus l'habitude de l'observer entrain d'rire à gorge déployée avec d'autres ou bien d'se lancer dans des histoires passionnantes plutôt que d'crever d'admiration pour tes beaux yeux. Tu lui arraches un baiser, puis un deuxième alors que tu regagnes ses côtés avant d'abandonner tes escarpins comme une bonne Cendrillon modèle et que tu ne files pour prendre de l'avance comme une enfant qui n'aurait su grandir. T'es pourtant électrisée de toute parts, comme stoppée en plein mouvement lorsque la voix de Gaby semble t'assurer à quel point il peut te trouver jolie. Mais tu ne serais jamais assez intelligente, assez aimante, assez douce ni même assez jolie. Ce que tu peux essayer en revanche c'est d'être la plus fine, d'avoir le corps parfait. Tu te mords la lèvre, réfléchis à ce que tu pourrais bien lui répondre. "Faux! Y'a plein d'choses pour lesquelles t'es doué." Il est aimable avec les gens, il cuisine foutrement bien et il est toujours aux petits soins avec ses amis. Tout ce que tu ne sais pas faire, il excelle. Mais tu tiens pas trop à te couvrir de honte et à devoir énumérer toutes les choses pour lesquelles tu le trouves plus que qualifié. Tu t'contentes de reprendre ta course en direction du haut de ces foutus escaliers avec pour seul et unique but le confort de votre suite luxueuse et cette intimité qu'elle seule saura vous apporter. Un jour peut-être que j'y arriverais Gab, à te dire toutes ces choses qui me brûlent la langue. Peut-être qu'un jour j'y arriverai tu sais. A te dire que je t'aime.

Pour le moment et après avoir roulés de mur en mur comme des billes de flipper vous finissez enfin par retrouver cette chambre bien trop grande pour un seul couple. Embrassades auxquelles tu mets un terme péniblement avant de t'élancer en direction de la salle de bain et sa baignoire immense tant convoitée. Tu as le temps d'ôter la robe, de te glisser parmi les particules mousseuses ne cessant de croître au fur et à mesure que l'eu ne se remplit que ton homme rejoint tes côtés accompagnés de deux verres des plus colorés. T'es prise en flagrant délit de chantonnement, faut dire qu'tu prends drôlement tes aises et qu'tu comptes pas franchement t'arrêter là dans la ville de tous les excès. T'affiches même une moue boudeuse lorsque tu quémandes un câlin non sans étonner ton tatoué qui pensait plutôt que tu voudrais te relaxer tranquillement. Et puis quoi encore? Rester loin de lui? Très peu pour toi. Tu comptes bien te lover contre lui et ronronner de tout ton être aussi fort que tu le puisses. Un sourire vient étendre ses traits divins ce qui ne fait évidemment, qu'en faire naître un sur le tien et vous vous souriez tendrement comme deux amoureux idiots toutes quenottes dehors. Récoltant un peu de mousse dans ta main, tu finis par lui répondre joueuse au possible. "Tatatata. Et te laisser une chance de filer loin de moi?" Tu finis ta phrase en soufflant un peu, joues creusées sur les paillettes crépitantes s'envolant vers ton encré. Tes deux mains contre l'acrylique de la baignoire accompagnées d'une bouille de gosse, tu ne peux que mater ouvertement lorsque Gabriel se met à se déshabiller sans plus attendre. Te bouffant la lippe inférieure de tes canines tant le spectacle est à se damner. Parce que je ne m'en lasserais jamais d'te regarder Gaby. Toi et ton corps des plus parfaits vous êtes juste bons à m'ensorceler pour m'attirer dans vos filets. J'suis trop faible pour savoir te résister tu sais?

Tu finis par reprendre sagement ta place lorsqu'il s'invite à tes côtés sans tressaillir le moins du monde de ce bain de l'enfer tant il est brûlant que t'as fais coulé. Ouais le bain sauna, c'est un concept. Ses jambes entourant les tiennes et ton dos retrouvant la chaleur de son torse, tu te niches confortablement contre lui non sans gémir de contentement. Le creux de ton cou se retrouve recouvert de baisers entre deux mots des plus adorables. "J'ai jamais été aussi bien de toute la soirée." Que tu réponds, très sincèrement et presque malgré toi en toute spontanéité. Jamais vous n'êtes tendres de cette façon l'un envers l'autre. Jamais, tu ne quémande un câlin de cette façon. Tes yeux se ferment, tes bras viennent retrouver les siens que tu caresses affectueusement sous l'eau. Ton cœur ne bat pas la chamade, au contraire tu te sens apaisée. Calme et relaxée. Comme si rien ne pouvait vous atteindre, vous faire du mal. Comme si le temps s'était totalement arrêté pour pouvoir vous offrir le luxe de vous aimer loin des yeux du monde entier. Pour que vous puissiez vous concentrer enfin sur l'important. Sur vous. "Je ne t'écrase pas?" Tu t'inquiètes à ton tour, n'osant pas vraiment laisser aller ton poids contre lui pour ne pas le gêner ou bien lui faire mal par mégarde. Ça doit bien être la première fois aussi que vous prenez un bain ensemble. Les douches coquines ça pour sûr c'est votre domaine de prédilection. Mais les moments amoureux de la sorte vous débutez très franchement. C'est dommage, que vous ayez perdu tant de temps à essayer de vous fuir pour au final vous aimer toujours plus fort. Ton visage se frotte contre l'encre de la tempe de Gab, tes fesses descendent légèrement contre le fond de la baignoire pour laisser ta poitrine à demie recouverte par le niveau de l'eau. L'une de tes main quant à elle file contre le verre aux couleurs plus qu'agréables que tu portes entre tes lèvres. "J'crois que c'est l'un des meilleurs que t'aies préparé!" Que tu t'exclames en te redressant, la mine toujours aussi radieuse et ravie. Bordel c'que c'est bon! Moue des plus adorables sur la gueule tu prends une nouvelle gorgée avant d'abandonner ce mélange de jus et d'alcool à tomber à la renverse. "Fais voir si c'est aussi bon sur tes lèvres?" Ta voix s'élève, mutine à souhait dans son intonation. Sans attendre tu te retournes légèrement pour voler un énième baiser à ton complice. En effet, c'est même meilleur Gabriel. Mais ça, c'est pas franchement étonnant. Le goût de tes lippes doit bien être celui que je préfère plus que tout au monde.

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@Gabriel Dixon  (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 8 2288768012 (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 8 3227196488
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Message Sujet: Re: (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot)   (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 8 Empty Mar 17 Déc - 22:33




Still into you.
J'te revois perdue dans la foule
Avec tous ces mongoles bourrés qui dansent n'importe comment
Et j'me revois moi essayant de t'atteindre en évitant les gens qui hurlent
Et font des grands gestes absurdes
Et toi qui attend, terrorisée, au milieu du chaos
Et puis tes joues et puis ta peau.



Tu n'es pas le type le plus sauvage et le plus imprévisible qui soit. A vrai dire, t'es plutôt le genre à toujours prendre sur lui quand il s'agit de sa colère. On ne peut d'ailleurs pas dire que tu sois très souvent énervé. Bien loin de là. Et tu sais que c'est un truc qui a tendance à pas mal agacer Joanne. Elle aimerait que tu te lâches un peu plus quand elle vient te provoquer. Tu peux comprendre la frustration que ça doit être pour elle que d'être la seule de vous deux à vraiment s'énerver. Mais tu ne peux et ne veux pas. Ce n'est pas toi. Si tu perds le contrôle, ce n'est que dans le plaisir en sa compagnie. Parce qu'elle provoque un ras de marée de sensations chez toi et que ça te plaît au delà de tout entendement. Dans ces moments là, t'es bien incapable de te retenir. A vrai dire, tu ne peux prétendre réellement essayer de le faire. Moins encore depuis que t'es conscient qu'elle aime ça, te voir perdre les pédales et t'emballer de façon féroce. Et ce week-end plus que jamais. Parce que, pour une raison que tu ignores, ça fonctionne comme jamais ça n'a fonctionné entre vous. Et que tu aimes vraiment ça. T'es bien décidé à en profiter jusqu'au bout de ces deux jours et tu sais qu'il en va de même pour elle. Qu'elle en a tout autant envie et besoin que toi. Pour une fois que vous vous montrez capables de mettre de côté vos incessantes prises de bec ...

Je pensais pas que tu utiliserais un jour le mot 'sexy' pour moi ou mes réactions. Que tu ne peux t'empêcher de t'amuser. A moitié seulement. Puisque l'autre moitié n'est surtout pas du tout insensible à ce mot pour le coup. T'aimes bien l'idée qui va avec l'emploi de cet adjectif. A savoir, l'effet que tu peux bien lui faire. Et dont tu ne risques certainement pas de te plaindre. Comme bien des choses, ce n'est que trop agréable. Et avec un peu de chance, tout ça n'est que le début d'un certain renouveau entre vous. Vous qui n'avez eus de cesse de vous faire du mal et de vous blesser au cours de ces dernières années. Il est grand temps que vous passiez à autre chose. Pour toi, c'est une évidence. Mais tu n'es pas le seul à décider, bien entendu. Vous devez le faire ensemble ou rien. Vous devez être d'accord et avoir les mêmes envies. Raison pour laquelle tu espères que ce week-end la convaincra, elle aussi, de faire toujours plus d'efforts. Pour vous et votre bien à tous les deux. Forcément, vous allez encore et encore frôler les erreurs de parcours. Tu le fais quand tu dois insister pour lui faire entendre raison. Elle est définitivement la plus belle et la plus sexy à tes yeux. Ce qu'elle refuse d'entendre, sous prétexte que selon elle tu passes ton temps à regarder toutes les autres mais pas elle.

Sa réponse finale te prend de court et te fait plisser le nez. De quoi tu parles ? T'sais très bien qu'c'est faux ça. Que tu râles comme un gamin boudeur. Quand bien même ça partait d'un bon sentiment de sa part. Il est rare qu'elle ait envie de te complimenter à propos de quoi que ce soit. Parce qu'il est rare que tu lui donnes matière à le faire surtout. T'en es bien conscient. Mais c'est ainsi. Tu ne sais faire autrement qu'être toi même. Forcément beaucoup trop à son goût. Et au sien aussi, tu n'en doutes pas. Quoi qu'il en soit, la conversation s'éteint tout naturellement alors que vous atteignez enfin l'étage de votre suite et que tu la rattrapes pour lui offrir une ébauche de câlin. C'est sans te décoller de son corps parfait, que tu rejoins la porte de votre suite avec elle. Derniers échanges des plus tendres avant qu'elle ne rejoigne la salle de bain. Et que de ton côté, tu ne te charges de vous préparer deux cocktails des plus fruités, colorés et sucrés. Tu sais qu'elle n'est pas forcément fan de ça en règle générale. Mais elle ne dit jamais non aux verres que tu prépares toi. Il en va de même pour la nourrir. D'elle même, elle ne se nourrie pas correctement. Mais il suffit que tu te mettes aux fourneaux, pour qu'elle retrouve soudainement l'appétit. C'est peut-être là la seule chose que tu sais faire pour lui faire plaisir correctement, dans le fond. La seule chose pour laquelle tu sois doué en vérité.

En lui apportant innocemment son verre dans la salle d'eau où elle est déjà installée dans l'eau chaude et mousseuse du bain, tu ne pensais pas qu'elle te retiendrait. T'hésites alors que tu pensais qu'elle préférerait se reposer seule et tranquillement. Tu n'as aucune envie de lui gâcher son moment alors tu restes un moment, planté là comme un crétin. T'as le regard qui pétille quand elle insiste à sa façon. Y ajoutant son petit geste des plus adorables, lorsqu'elle souffle de la mousse dans ta direction. J'avais pas l'intention de filer. Juste de te laisser profiter tranquillement. Que t'affirmes d'une voix douce, en ôtant quand même tes vêtements les uns après les autres pour finir entièrement nu. De quoi te permettre de la rejoindre dans son bain, bien entendu. L'eau est brûlante. Trop sans doute. Et pourtant, tu n'as pas trop de mal à y entrer. Du moment que c'est pour te coller à elle et la câliner de tout ton être, ça ne peut qu'aller. Son dos repose désormais contre ton torse et tu ne manques pas de t'enquérir de son état actuel. A savoir si elle est bien ou non. Sa réponse ne laisse pas vraiment de place au doute tant elle transpire la sincérité. Alors ça va ... Que tu réponds, un sourire des plus démesurés sur tes lèvres.

Tu la câlines comme jamais tu ne l'as fait jusqu'à ce soir. Parce que vous n'avez tout simplement jamais eus l'occasion véritable de le faire. Pas avec cette relation conflictuelle qui est la votre. Malgré tout, tu ne te fais pas prier pour la câliner davantage encore. Toujours plus tendrement alors qu'elle même repose à merveille contre toi. Pas du tout. C'est très confortable ... Que tu te contentes de lui répondre avec sincérité, toi aussi. Vos échanges sont tous plus tendres les uns que les autres. Vos regards le sont, eux aussi. Entre deux baisers des plus délicats. Quand elle ne se détourne pas pour goûter au cocktail que tu as préparé. Tu la regardes faire et attends qu'elle ait avalé une première gorgée, avant de faire de même à ton tour. T'es plutôt satisfait du résultat. Mais apparemment pas encore autant que Joanne elle même qui ne manque pas de te complimenter. C'est idiot mais ça suffit à faire battre ton coeur plus vite encore. C'est tellement rare qu'elle ait des mot gentils à ton encontre, que ça te fait forcément un effet des plus dingues. Et tu le prends ce compliment. Avec grand plaisir et un sourire sur les lèvres. J'ai mis un peu tout ce que t'aimes, dedans ... Y'avait de tout dans le bar. Que t'avoues à voix basse. Presque rougissant alors que tu reconnais ouvertement connaître ses goûts. Tu ricanes quand elle se retourne pour te voler un rapide baiser. Qui n'est évidemment pas assez à ton goût. Toi qui poses une main douce sur sa joue pour l'embrasser plus encore. Alors ? Que tu fais mine de lui demander tendrement, alors que tes lèvres dansent avec sensualité et douceur sur les siennes. Ton regard cherche le sien dans le même temps, sans que tu n'éloignes ta bouche de la sienne.

CODAGE PAR AMATIS



@Joanne De Luca  (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 8 3794924939 (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 8 1967697819
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Message Sujet: Re: (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot)   (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 8 Empty Mer 18 Déc - 7:03



still into you
Gabriel - Joanne

«La vie c'est des étapes... La plus douce c'est l'amour... La plus dure c'est la séparation... La plus pénible c'est les adieux... La plus belle c'est les retrouvailles..» nicolas antona
Même lorsque vous étiez jeunes on ne vous a jamais vu aussi amoureux l'un de l'autre. Aussi joyeux et heureux d'être en compagnie de l'un de l'autre qu'aujourd'hui. Vous êtes complices, passionnés, tendres. Vous faites attention à l'autre, vous êtes même aux petits soins. Pourquoi vous n'êtes pas capables de vous comporter de la sorte tous le temps? Pourquoi vous êtes trop stupides pour vous éviter de souffrir comme deux idiots et que vous ne vous laissez pas la chance d'être aussi beaux tout le temps? C'est comme si le bonheur à longue durée vous effrayait. Que cela vous paralyse tellement qu'vous agissez de façon écervelée, tout juste bonne à tout foutre en l'air à chaque fois. Non mais le pire c'est que vos disputes se ressemblent toutes. Un vrai serpent se mordant la queue, un truc fou. Et malgré ces treize ans de je t'aime moi non plus vous êtes incapables d'apprendre de vos erreurs. T'es incapable de te calmer, de prendre sur toi avant d'imploser et il est incapable d'ouvrir les yeux sur ses maladresses et de trouver des solutions. Vous faites une belle paire d'abrutis foutus incapables et vous devriez avoir honte de gâcher de si belles années avec vos conneries. Parce qu'un jour on sera vieux, on regardera tout c'qu'on aurait pu vivre Gaby et on s'dira qu'on a été cons. Trop fiers et prétentieux pour s'laisser aller au bonheur, le vrai. Celui qui était là, à portée de main.

"Et bien tu vas devoir t'y faire, parce que vous êtes très très très sexy m'sieur Dixon!" T'as pas trop de raisons de te retenir à vrai dire, il vient encore de te le prouver à quel point il te fait de l'effet bien que cela ne fasse aucun doutes. Aucun homme ne lui arrive à la cheville. C'est un fait avéré, certifié. Quittant la salle inconnue dans laquelle vous vous êtes laissés aller à cette folie dévorante, vous montez finalement les marches de la cage d'escaliers finement débusquée. Tu râles lorsque tu peines à gravir les marches avant d'ôter tes escarpins pour regagner les côtés d'un Gab taquin. Tu le distrais, l'embrasse et évoque le fait qu'il ferait mieux de te regarder plus souvent avant de te dérober. Tu ne manques pas de tirer la langue au gamin boudeur lorsqu'il affirme qu'il n'est pas doué dans plein de choses comme tu le prétends. "Beeeeeeh" Que tu lances comme une gosse en grimpant les étages les uns après les autres comme la véritable rebelle que tu es en profitant de ces quelques secondes de brume que tu as semé dans son esprit pour gagner la course. Bien que tu te doutes qu'il soit coopératif, il ne lui aurait fallu que quelques enjambées pour rattraper tes petits pas et venir se coller à toi avant d'atteindre le seuil de votre étage. De façon bien plus adroite que la première fois, il fait sauter la sécurité de la porte pour vous permettre de vous faufiler à l'intérieur de votre suite pour le weekend. Je sais que j'passe énormément de temps à t'rabâcher le fait qu'avec moi tu sois un incapable Gabriel, mais AVEC moi. T'es tellement doué pour plein d'autres choses, c'est ça qui est si vexant. C'est comme si j'étais un monstre que tu es incapable de comprendre.

Vous rentrez dans votre chambre et encore une fois t'en as le souffle coupé. Jamais t'aurais pensé à un lieu si démesuré, faut dire que t'avais même pas pensé à google l'adresse de la réception avant que vous ne soyez arrivés à l'aéroport après votre vol. Les lieux sont splendides, tous conforts et vous ne manquez d'absolument rien. Tout est juste parfait. Vous vous embrassez encore pendant de longues minutes, c'est bien trop agréable cette sensation de légèreté entre vous. Comme si vos disputes et orages n'avaient jamais existé. Comme si tout cela, c'était naturel chez vous alors que vous passez le plus clair de votre temps à vous déchirer en vous faisant du mal à outrances. Sur les recommandations tendres de ton tatoué, tu files jusqu'à la salle d'eau pour pouvoir commencer à faire couler votre bain. Car il est hors de question que tu te trempes seule et qu'il se contente de compter les dalles du plafond de la suite en ton absence. Tu laisses tomber ta robe au sol, garnis le fond de la baignoire d'une dose généreuse de gel douche ou de bain moussant tu sais pas trop mais les nombreux petits échantillons bordent l'un des pans de l'acrylique pour t'offrir un large choix limite plus grand que ce que tu peux déjà avoir toi dans ta propre collection alors que tu tentes de te résonner sur la quantité de produits de soins à avoir. Les femmes et leurs cheveux, c'tout une putain d'histoire et les tiens c'est un peu ta signature. Ta fierté. Car tu sais qu'il aime cette couleur de feu. J'me souviens d'cette fois quand on était plus jeune Gab et qu'tu m'avais dis qu'j'avais fais du rouge l'une de tes couleurs préférées. Comment tu voulais qu'je vienne à changer un jour après ça hein?

C'est une fois déjà dans l'eau et déjà bien recouverte de mousse que ton encré fait sa grande entrée deux verres à la main. Tu ne manques pas de t'impatienter, quémandant un câlin. Oui c'est inhabituel mais bon foutus pour foutus autant profiter de la situation. "Bah viens me laisser tranquille, mais genre dans l'eau contre moi avec tes bras qui me prennent comme ça!" Tu mimes, en t'enserrant toi même de tes petits bras comme une gosse. T'es évidemment ravie lorsque tu le vois se déshabiller pour finalement te rejoindre sans perdre un instant. Il est tellement beau Gabriel, y'a pas à dire t'as beau connaître son corps par cœur et pouvoir redessiner les yeux fermés le moindre de ses tatouages tu resteras toujours époustouflée par l'effet qu'il peut te produire. C'est juste un truc de malade. Son dos trouvant la baignoire et le tien son torse, tu réponds plus que favorablement lorsqu'il s'inquiète de ton confort. Tu le trouves bien trop adorable que ton cœur semble fondre comme neige au soleil Joanne t'es dans de beaux draps. Evidemment, tu t'inquiètes à ton tour à savoir si tu ne l'écrases pas trop, t'es pas trop confortable comme gonzesse faut dire. Mais il ne manque pas de t'assurer que tout va bien dans le meilleur des mondes alors autant profiter de cette accalmie des plus agréables. Vous vous embrassez tendrement, vos œillades sont douces et profondes. Il n'y a pas à dire, tu ne t'es jamais autant sentie heureuse, à ta place, vivante qu'à cet instant. Tentant de ne pas trop mourir d'amour, tu te redresses légèrement et trempes tes lèvres dans le mélange alcoolisé préparé avec soin pour toi. Tu ronronnes d'autant plus fort, en prenant une nouvelle gorgée tant tu trouves ça bon. Que ce soit par ta cuisine ou tes boissons toutes plus folles les unes que les autres tu sais toujours me régaler Gaby. Puis, même si c'est pas forcément à mon goût t'arrives toujours à me le faire aimer d'une manière ou d'une autre. J'sais pas pourquoi ni comment, mais c'est comme ça.

Tu complimentes sans la moindre retenue, ce qui ne manque pas de faire sourire ton tatoué. Tu prétextes sans perdre de temps vouloir voir si le goût est aussi bon sur les lèvres. Question rhétorique, tu sais qu'il sera encore meilleur. "Premièrement j'apprécie énormément cette petite attention." Tu souffles, à quelques centimètres de ses lippes qui t'appellent outrageusement. Le feu entre vous continue de brûler, tous comme vos prunelles éclatantes de plusieurs petites étincelles. Sa main douce vient caresser ta joue que tu presses volontairement un peu plus contre sa paume pour en apprécier le confort. "Ensuite, c'est un pari relevé. C'est définitivement meilleur sur ta bouche." C'est un feulement qui s'échappe de ta gorge alors que tu romps cet espace bien trop tentant pour mêler ta langue à la sienne. Le verre reposé de côté depuis quelques instants à présent et dans une gymnastique presque improbable vous vous faites maintenant face. Tes cuisses par dessus les tiennes, chacune entourant vos bassins ce sont tes bras qui se mêlent à sa nuque pour que tu puisses laisser ta poitrine reposer contre son torse. La mousse crépite, s'amenuise à chaque mouvements mais tu n'en as que faire. Tout ce qui compte c'est de sentir son cœur battre contre le tien. De pouvoir l'embrasser à pleine bouche pour ne pas l'abandonner un seul instant. T'aimerais que tout ceci ne prenne jamais fin, que vous ne soyez pas obligés de rentrer ni de faire éclater cette bulle d'intimité vous entourant. Tes pouces caressent la peau de son cou bien plus tendrement que tu ne l'embrasses, te laissant toujours plus aller à cette fougue et cette passion que tu peux ressentir. J'espère qu'un jour tu sauras te rendre compte que tout ceci est vrai Gabriel, bien présent. Plus puissant que tout ce que l'on pouvait imaginer. J'espère qu'un jour, on sera en capacité de se donner une réelle chance. Un vrai nouveau départ.

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@Gabriel Dixon (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 8 2625458459 (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 8 2746359131 (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 8 917228000
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Message Sujet: Re: (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot)   (LAS-VEGAS) still into you ± joaniel (hot) - Page 8 Empty Jeu 19 Déc - 18:42




Still into you.
J'te revois perdue dans la foule
Avec tous ces mongoles bourrés qui dansent n'importe comment
Et j'me revois moi essayant de t'atteindre en évitant les gens qui hurlent
Et font des grands gestes absurdes
Et toi qui attend, terrorisée, au milieu du chaos
Et puis tes joues et puis ta peau.



C'est idiot sans doute, mais t'as le palpitant qui fait une pirouette puis qui s'emballe sérieusement, quand Joanne elle même affirme que tu es très sexy. Selon elle, bien sûr. Mais ça te suffit largement. Tu dirais même que t'es heureux de savoir que t'es à ce point à son goût. C'est idiot d'être aussi heureux de l'entendre alors que dans le même temps ça semble relativement logique et évident depuis un bout de temps maintenant. Mais c'est plus fort que toi. T'es bien incapable de ne pas te réjouir d'une telle nouvelle. Parce que t'es rendu dingue par le moindre compliment qu'elle peut bien souffler à ton adresse. C'est assez rare pour te faire un effet pour le moins insensé dans le genre. Ca m'fait de l'effet de t'entendre le dire ... Que t'avoues tout bas. Un peu penaud, un peu taquin aussi. T'aimes bien trop quand elle te dit des trucs de ce genre. Quand elle te parle gentiment tout court. Parce que ça aussi c'est assez rare pour mériter d'être notifié. Elle qui passe nettement plus de temps à t'envoyer chier. Pour un oui ou pour un non, bien trop souvent. Parce que tu l'agaces, la plupart du temps. Mais t'as la sensation, trop souvent, que ta seule présence suffit à la foutre en rogne. Un regard sur toi et elle est déjà en train de s'enflammer contre toi. Rien qu'à cause de ça, tu ne comprends pas du tout comment font les gens pour vous imaginer parfaitement ensemble tous les deux. Alors que ça te semble évident qu'elle te déteste depuis toujours ou presque. Une évidence qui s'apaise le temps d'un week-end en revanche.

Plus vous montez ensemble les escaliers, plus vous vous taquinez l'un et l'autre. Et là encore, t'es loin de t'en plaindre. T'aimes beaucoup trop cette alchimie et cette complicité grandissantes entre vous. T'espères juste que ce n'est pas trop temporaire. Que vous allez être capable de maintenir la chose sur la durée, tant bien que mal. Vous jouez encore quand vous atteignez l'étage de votre suite. Alors que tu la rattrapes pour te coller à elle. Aussi joueur que câlin alors que vous entrez enfin dans votre chambre. Où tu la laisses enfin filer de son côté pour qu'elle puisse rejoindre la salle de bain. T'as bien compris sa véritable envie de prendre un bain aussi relaxant et tranquille que possible. Alors tout naturellement, tu la laisses faire. Et prends toi même le temps de vous préparer deux cocktails fruités et alcoolisés. Histoire de vous relaxer un peu plus encore. De partager un truc tranquille ensemble. Tous les deux. A profiter aussi fort que possible de ce fameux week-end loin de la réalité. Tu t'attends quand même à ce qu'elle profite un peu toute seule du luxe de votre suite -de la salle de bain surtout- mais elle ne manque pas de t'inviter à la rejoindre dans l'immense baignoire. T'es un peu surpris sur le coup, tu dois bien le reconnaître. Et en même temps, tu ne vas pas te faire prier. Surtout s'il est question de te coller à elle. D'avoir son corps tout contre le tien ... D'autant plus qu'elle parle bel et bien d'un "câlin". Tu vas définitivement de surprise en surprise avec elle et tu n'as envie de rien d'autre que de répondre plus que présent à chaque fois.

Alors tout naturellement, tu commences à faire disparaître tes vêtements, les uns après les autres. Tu les retires jusqu'à finir entièrement nu, sous son regard que tu sens peser sur toi. Ce qui est loin de te déplaire. C'est tout juste bon à te confirmer un peu plus encore, qu'elle te trouve vraiment sexy comme elle a pu te le dire un peu plus tôt. Et forcément que ça te plait et te fait déjà un certain effet. Forcément que tu te laisses faire avec ravissement. Encore un peu et tu prendrais plus encore ton temps pour apprécier un peu plus longtemps encore ce regard qui pèse sur toi. Mais au lieu de ça, tu viens enfin la rejoindre dans l'immense baignoire et prendre place dans son dos. Si c'est une nouvelle façon de te "laisser tranquille" sache que j'approuve à deux cent pour cent. Que tu commentes tout bas, en refermant déjà tes bras autour de son corps fin. Presque trop fin depuis quelques temps, d'ailleurs. Pour autant, tu ne fais aucun commentaire. Beaucoup trop désireux de profiter autant que possible de ces instants des plus tendres que vous partagez tous les deux. Parce que tu ne sais pas le temps que ça durera. Même si tu as évidemment envie que ça dure longtemps. C'est beaucoup trop parfait quand Joanne s'apaise et met de côté la colère qu'elle semble constamment ressentir à ton encore. Quand elle se montre plus douce et plus patiente. Et quand elle te montre aussi qu'elle est bien en ta compagnie, mine de rien.

T'es satisfait au possible quand elle affirme beaucoup aimer le cocktail que tu as pris le temps de préparer. Pour elle comme pour toi. Quand bien même ce sont ses goûts préférés à elle, que tu as foutu dans ces verres, pour tenter de la satisfaire autant que possible. Alors forcément, quand elle affirme qu'elle adore, t'es soulagé. Et tu lui avoues le choix des choses que tu as flanqué là dedans. Avant qu'elle ne fasse mine de vouloir le goûter directement sur tes lèvres. Forcément que tu te laisses faire, sans te faire prier. Que tu souris contre cette bouche qui échoue tendrement sur la tienne. Fait sur mesure pour toi. Que tu lui fais remarquer d'une voix douce et caressante. Elle te fait carrément rire contre sa bouche, quand elle affirme que c'est effectivement meilleur ta bouche. On devrait tester d'en verser ailleurs ... Que tu ne peux t'empêcher de plaisanter très ouvertement. T'aimes bien trop la taquiner. C'est plus fort que toi. A tous les coups. Et tu ne vois pas de raison de te contrôler. Alors même que tu sais que ce soit parfois tes blagues qui sont le lancement de disputes entre vous. Parce qu'elle n'est définitivement pas fan de ton humour et qu'elle aimerait que tu les gardes un peu plus pour toi tes "conneries". Et en même temps, t'as besoin de donner le change. A tous les coups. Histoire de ne pas montrer qui est le vrai toi, la plupart du temps. Cette part de toi que tu n'assumes pas du tout.

Tu ricanes tout doucement quand elle remue plus encore dans la baignoire pour se retourner, tant bien que mal. Et finalement te faire face. T'apprécies plus encore ce genre de position où tu peux la contempler tout à loisir. Autant son visage des plus parfaits que ce côté là de son corps. Des plus divins. Des plus magnifiques. Que tu prends bien trop de plaisir à dévorer du regard, à tous les coups. Et tu ne t'en lasseras jamais, ça ne fait aucun doute. T'en ronronnerais presque de plaisir contre ses lèvres, tant tout ça est bon. Ses lèvres qui dansent sur les tiennes et vos langues qui se font tendrement l'amour. C'est délicat, délicieux et ça te ravage tout entier de l'intérieur. T'as le coeur qui s'emballe férocement alors que vous échangez un baiser de plus en plus profond et passionné. Alors que ses doigts logés sur ta gorge, se font nettement plus tendres et délicats. Un mélange détonnant qui te fait un effet certain. Qui continue de faire palpiter ton coeur, toujours plus vite. Toi qui ne te lasses définitivement pas de cet ensemble des plus parfaits. Toi qui perds finalement tes mains sur sa taille pour la soulever et la ramener au plus près de toi encore. Sur toi, plutôt. Qu'elle repose tout à fait sur toi. Que vos intimités se trouvent et se frottent l'une contre l'autre. Que le désir soit pas mal secoué entre vous. Toi qui ne vibres soudainement plus que pour et par elle. Toi qui n'aspires à rien d'autre qu'à profiter toujours plus intimement. Entre deux baisers profonds, tu mordilles sa lèvre inférieure. Quand ce n'est pas sa langue. J'ai envie d'toi ... Que tu commentes, malgré l'évidence qui palpite déjà contre son bas ventre.

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