|
| il y a toujours de la lumière dans ce monde , même en plein coeur de la nuit. |KB | |
| |
Invité;
Invité - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
| Sujet: il y a toujours de la lumière dans ce monde , même en plein coeur de la nuit. |KB Sam 13 Oct - 4:50 |
| save the queens ---- / KENAN O'SHEA BRIXTON
23 ans ---- / ACE OF CLUBS ---- / sergio carvajal
identité complète / Kenan O'Shea Brixton. Nom à consonance Anglaise, venant d'un père ayant choisir la femme qu'il aime plutôt que ses trois enfants. Ton pères vous abandonné après plusieurs tentative de meurtre sur vos personnes. Kenan est le reflet de la personnalité de ta mère, douce et magnifique, mais ça c'était avant, qu'elle ne s'évapore dans son propre monde :la folie. lieu de naissance et origines /t'es né à Leeds, pas loin de la capitale anglaise où tu as vécu les premières années de ta vie jusqu'à tes cinq ans. Puis tu es retourné dans le pays natale de ta mère. douce amérique qui fait vivre bien des rêves à des millions de personne, oubliant parfois certaines personnes sur le côté. du sang ricain et anglais qui coule dans tes veines avec une amertume de la belle italienne. études ou métier / Rien. Tu trifouilles encore dans le noir, touchant à tout, butant sur des montagnes qui ont l'air bien trop déconcertante. Un avenir en or brisé par une famille, par des parents ne méritant pas ce nom. Ton père vous a abandonné et toi tu t'es battu pour ta fratrie. sacrifiant bien des choses, devant donner de ta personne pour payer les factures, car tu avais beau touché une bourse elle n'était pas assez énorme pour aider. né avec la cuillère en or dans la bouche, on te l'a arraché en tentant de tuer les tiens. orientation sexuelle / Les courbes féminines. leur lèvres, leur sourire , leur yeux et tout ça te manque. te manquera. Loin de collectionner les filles, pas comme ça, le respect, l'amour, mais incapable de rester en place, incapable de trouver celle qui sait te chérir avec tout son amour et comprendre les sacrifices que tu as ait et fera encore pour les tiens. statut civil / célib à terre. autant dire que tu es même sous terre, que tu ne penses pas aux femmes qui voudrait d'un éclopé de la vue, qui voudrait d'un mec souffrant d'anoptie ? Qui ? Personne ne lèvera la main, car façon tu ne le verras pas. Alors, façon tu te dis la famille avant tout, ton frère, ta soeur et le jour où une fille, une prête à t'avoir avec tous tes maux, pourra joindre son coeur au tien et faire partie de la famille. pi, scénario ou prélien / personnage inventé.
traits de caractère / lunatique -rancunier - méchant- - débrouillard - protecteur - aimant - borné - protecteur- loyal - timide - taciturne. Jeune homme complexe. qui se complet dans son silence, qui se plaît à ne rien dire. toujours divaguer sur des sujets plus où moins important. pas besoin d'étaler ta vie, le récit de ta vie peu intéressante, alors qu'elle l'est. Tu as du mal à fondre des mots sur cette dernière, elle ne peut se résumer, c'est impossible, y a toujours des choses à dire sur celle-là. tu étais heureux de vivre avant, heureux de respirer, d'affronter les méandres de la vie, mais maintenant tout est différent. à présent, tu es plus lunatique, méchant. tu laisses ton âme découler dans tes mots et ça fait souvent mal, mal à toi, aux autres. Une personne loyal et fidèle en amitié et à ta famille, ta fratrie, elle est importante pour toi, beaucoup trop importante.
save the queens ---- / TELL ME MORE
once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share 01/ joueur de piano depuis ton plus jeune âge, tu aimais en jouer quand ta mère peignait, passant du temps avec elle. elle était une bonne mère avant qu'elle ne soit prise de crise de paranoïa et soliloque. 02/ Doué en sport, plus qu'en étude, il a pas obtenu de diplôme et sa carrière de footballeur américain pro ou même en seconde ligue n'est plus possible de part son handicape. 03/ Parfois la nuit, tu fermais ta porte à clef pour éviter qu'elle ne vienne tenter de te tuer, mais elle tentait de te faire ouvrir, te jurant qu’elle t'aimait, qu'elle ne ferait rien, puis ton père venait la chercher, c'était angoissant à souhait, horrible même. Mais tu as survécu avec les jumeaux, car l'amour que vous partagez est fort. 04/ tu as un don que personne ne connait jusqu'à ce que cette fille Ariane ne te le fasse découvrir, tu as un nez, tu es doué pour sentir les odeurs, et cela bien avant de ne souffrir d'anopsie. Tu songes as accepté sa proposition, mais tu n'es pas sûr. 05/ il a des cicatrices au bras du à une attaque au couteau de sa mère, une cicatrice au bras droit et trois au bras gauche. Il a aussi une brûlure à la paume, qui fait que la paume droite ne ressent plus aucune sensation. . |
| | | Invité;
Invité - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
| Sujet: Re: il y a toujours de la lumière dans ce monde , même en plein coeur de la nuit. |KB Sam 13 Oct - 4:51 |
| save the queens ---- / TELL ME MORE
once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share (enfance) Il y a d’abord eu Kalvin, puis Tara. À quelques secondes d’intervalles. De faux jumeaux. Ils étaient pressés de dire bonjour au monde. Toi tu avais quatre ans quand ils sont arrivés. Elle n’était pas prévu la petite, mais elle a été accueilli parfaitement dans cette famille. Ta famille, les Brixton étaient des gens bien, des personnes qui avaient bien une place dans le monde des riches. Un père homme d’affaire, une mère qui est une artiste reconnue, qui vit pour son art. Une maison d’amour, les seuls crient qu’on pouvait entendre était souvent ceux de Tara qui faisait les frais des bêtises de ses grands frères. Une famille proche, tu peux la décrire ainsi ta famille. Ton frère, ta sœur sont tout pour toi, tes parents aussi, mais tout a fini par s’en aller. Tout a fini par s’en aller quand les anciens démons de Monica Brixton. Tu ne savais pas pourquoi tu avais quitté ton pays natal avant, à vrai dire tu ne te souviens pas trop de ta vie là-bas. Tu l’as vite su quand ta mère après quelques années commença à dérailler, à laisser des choses se produire, à parler seule, puis tout finis par aller bien vite.
(onze années) Exténué. Beaucoup trop fatigué. Tu n’avais pas mis longtemps avant de t’endormir. Très loin d’imaginer que tu allais te réveiller de la pire des façons. Laissant tes songes s’emparer de toi, tu rêvais, mais sans aucun souvenir de ce dont tu voyais ou vivait dans ce sommeil de plomb. Une sensation de froid sur le cou te fit gigoter, puis tu commenças à suffoquer, cherchant de l’air. Mais rien. Une pression horrible se faisant sentir sur ton cou, tu ouvres les yeux et tes opales se déposent dans ceux de cette femme, une femme complétement inconnue de celle que tu as connu bien avant. Ta mère pourtant. Tu commences à te débattre, l’air commençant encore plus à manquer, tu commences à sentir un mal de crâne qui te détruit, alors que tu commences à pleurer. Laissant des larmes glisser le long de tes joues, tu essayes encore de la faire partir, mais elle murmure des choses, encore. « Tues le, il fait partie des leurs, ils vont venir te prendre ! » Elle parle et tu essayes d’en faire autant bredouillant son nom, le nom de la femme qui t’as donné la vie. « ma.. man. » Tu as des spasmes en essayant de parler. Tu fermes les yeux petit à petit puis plus de pression. Des cris qui percent tes tympans. « Non. Je dois le faire, laisse-moi ! » Elle hurle, elle hurle et toi tu te rétracte sur toi-même, laissant tes larmes couler le long de tes joues. Tu sers ton lapin contre toi, le cœur lourd, les larmes coulant toujours, ton père tenant ta mère, qui lance des regards meurtriers à ton égard. Toi te demandant bien ce que tu avais pu faire pour la rendre si énervé contre toi. « Je suis désolé maman … maman … » Tes lèvres tremblent, ton cœur bat si vite qu’il va faire exploser ta cage thoracique. Ton père la prend avec elle et referme ta porte en te demandant de dormir. Mais tu ne dormiras pas, tu ne dormiras plus comme avant, cette nuit et les nuits qui suivront.
(treize années) Aspen meilleure amie de ta jeune vie. Une petite fille qui passe son temps avec toi, tout le temps. L’un sans l’autre ce n’est pas possible, voire impossible. Il est impensable de vous voir l’un sans l’autre. C’est trop étrange. Pas une relation fraternelle, mais bien plus. Tu ne le sais pas, mais tout ce que tu veux c’est elle, rien d’autre. Qu’elle soit là, que tu sois là pour l’écouter, pour l’entendre parler des méandres de ce vide que la mort de son père mort dans les attentats de la tristement connu à présent : la grosse pomme. Elle a perdu son père, un homme d’affaire qui bossait avec ton père, lui était dans l’avion, mais pas le tien. Elle vivait à Londres avant la jolie Aspen, elle est arrivée deux ans après vous avec sa famille. Petite fille unique, sa mère rêvait de grosse famille, c’était le cas, c’était prévu, jusqu’à ce que l’effluve du mal ne vienne aspirer tous ses rêves. Aspen allait être une grande sœur avant que son père ne meurt, elle avait hâte, mais sa mère n’a pas été jusqu’au bout du voyage de cette seconde grossesse. Trop de mal à survivre, à vivre avec le poids de la perte de son amour de jeunesse. Aspen ne savait pas ce que ta mère avait essayé de faire, comment mettre des mots sur ce geste ? Impossible pour toi. Tu ne pouvais pas y songer. Puis elle avait changé, redevenant la femme que tu avais connue durant ton enfance. Douce et aimante. Mais plus malheureuse qu’avant. Elle ne parlait pas trop, elle se plongeait dans son art souvent sombre, trop sombre. Ton père était là malgré l’entreprise à faire tourner. Puis il avait le soutien de la mère d’Aspen, deux familles unis et ça allait à tout le monde.
(quinze années) Du sang partout. Les infirmières et médecin qui commencent à s’agiter autour de toi. Des questions qui fusent, des réponses que tu ne donnes pas. La police qui parle à ton père, toi qui est silencieux. T’as envie de tout dire protéger Tara et Kalvin. Mais, ils n’étaient pas ceux visé par les délires de ta mère. Non, c’était toi. Ses voix dans sa tête, celle que tu pouvais parfois entendre toi aussi quand elle les faisait parler, demandant ta mort, demandant à te voir disparaître. Tu ne l’aimais pas qu’elle disait. Tu l’aimes, enfin tu crois. T’es plus sûr de rien. Comment ne pas avoir peur de cette femme ayant déjà tenté de t’étrangler dans ton sommeil. Cette fois ce fût à la sortie de la douche. Un couteau à la main, son regard noir et glaçant. Tu ne parviens pas à te l’enlever de la tête. Impossible. t’as plus confiance, tu l’aimes, mais la confiance envers cette femme s’est envolée si loin, comme si on te l’arrachait de ton corps avec une violence inouïe, la même violence qu’elle utilise contre toi. Des blessures aux avant-bras, car tu as essayé de te protéger, plus que de lui rentrer dedans. Tu aurais pu, tu colles au sol des gars plus baraqué qu’elle, mais t’en as pas eu le cran. T’avais pas le mentale pour faire ça, t’avais pas le cran, alors t’as ramassé les coups, essayant de la retenir au loin avec tes jambes. Tu auras des cicatrices que tu entends, mais tu bouges d’avant en arrière, cherchant moyen d’oublier cette peur qui ronge ton être à cet instant, ce qu’on dit, ce qu’ils disent n’est plus important, clairement. Façon t’as juste été maladroit dans cette histoire, voilà la version, la bonne version. Pourtant tu l’entends encore le médecin de famille dire à ton père de la mettre en institut, le temps que ça aille mieux, car les crises de paranoïa deviendront plus forte, et là tu te demandes comment pense-t-elle te tuer la prochaine fois ? Comment ? Le pire c’est que tu t’inquiètes plus pour tara et Kalvin. Te demandant quand elle va craquer et s’en prendre à eux. Quand est la seule question qui te brise le cœur, car tu ne le supporterais pas.
(seize années) Une nouvelle étape dans votre relation avec Aspen. Ensemble depuis un an, quand cette dernière, la petite cheerleader a choisi ton casier en t’écrivant une lettre pour te dire que c’était plus que de l’amitié, plus que ça, plus vous. Alors, t’as foncé jusqu’à son cours d’histoire, t’as été l’embrasser, entendant les applaudissements des autres élèves. La belle histoire comme dans les films, alors que vos histoires vous ont détruites à bien des niveaux, mais ensemble plus rien ne comptait. Elle apaisait tes mots et t’espérais faire la même chose pour elle, car la douce princesse le méritait. Depuis, vous êtes ensemble, comptant vos histoires les plus sombres. Dans ce lit, vient de se passer l’un des moments les plus doux, le plus beau que tu n’aies eu le droit de vivre. Votre première fois, suite à une nouvelle dispute d’Aspen et sa mère. L’entente n’y est plus, car sa pauvre mère se détruit, elle était pourtant si heureuse, tu l’entends encore rire en vous voyant vous bécoter sur son canapé. Mais, elle a l’air si mal. Alors, tu étais là, puis elle a décidé que c’était le moment, ça serait mentir de dire que tu n’en avais pas envie. Et là, allongé sur ce lui, elle caresse les cicatrices de tes avant-bras, une au bras droit et trois autres au gauche. La douceur et la décadence qui sort de tout ça est bon, mais effrayant, tu ne sais pas comment ça ira dans le futur, mais tu espères beaucoup, peut-être trop, beaucoup trop. Tu attends peut être trop de cette première relation, mais c’est Aspen et la perdre n’est pas une chose à laquelle tu veux songer, sinon tu te blâmerais d’avoir foncé dans la relation ainsi, car la perdre est une chose impensable. Ta meilleure moitié, ta moitié et ta meilleure amie.
(dix-sept années) tu étais sorti, tu étais parti avec Aspen, visiter un peu plus New-York dans tous les recoins, tous les arrondissement connu de la grosse pomme. S’embrasser dans le Queens, s’aimer à Brooklyn, se promettre dans le Bronx ou encore se perdre l’un l’autre dans votre Manhattan. Oui, car fallait se dire au revoir, mais à bientôt. Pas un adieu, du moins c’était ce que tu pensais. Tu rentrais chez toi en courant quand tu vu la fumer, une fumée noire et dévorante. Brûlant tes poumons, alors que ton père détenait ta mère entre ses bras pour la garder contre elle. « Ils sont où, ils sont où ? » Tu demandes, tu hurles et ton père regarde en direction de la maison, eux se tiennent devant les marches à l’abri. Tu fonces dans le nuage noir, ça pique et brûle, tu tentes d’atteindre la chambre de ton frère et ta sœur ce que t’arrive à faire. Kalvin tentait de sortir Tara, mais il n’y parvenait pas, alors tu l’aidas, sortant main dans la main votre sœur. Très vite les pompiers aidèrent dans la démarche. Sain et presque sauf, vous étiez tout trois avec de l’oxygène dans une ambulance, vous faisant soigner. Toi brûler à la main droite, ta sœur au niveau du coup, quand Kalvin à tenter de la sortir il a dû la trainer à travers les flammes et lui au niveau des jambes. Marqué à vie par nuit affreuse. Peinant à respirer sans cracher tes poumons tu vas vers ton père, suppliant déjà du regard. « Il faut qu’elle aille se faire interner ! » Il te regarda, un regard qui en disait long sur tout l’amour qu’il venait de faire partir pour vous. Ça se voit, il vous aime mais pas plus que sa femme, pas plus que son premier amour. « Non. Il est hors de question. » Une seconde claque en une nuit. Puis on te demanda de suivre pour qu’on t’emmène à l’hôpital.
(quelques semaines après.) Le froid du Queens vous entoure. Pas de toit, sauf celui de la vieille voiture que tu as eu quand tu avais eu seize ans, un bijou cette voiture, une vieille relique de collectionneur. Les mots de ton père font encore rage en toi : elle est heureuse sans vous, quand vous n’êtes pas là, alors partez. Ce que vous avez fait. Aspen aurait pu venir avec vous, mais elle a refusé de te parler, refusé de te répondre, alors tu es parti, le cœur lourd. Maintenant, faut savoir faire, faut réussir à survivre. Tout est compliqué, il te versera cinq milles euros tous les mois jusqu’à tes dix-huit ans, qui arrive dans cinq mois. On frappe à la porte de ta porte et tu regardes la personne, peur sur le coup, tous. Toi comme eux, Tara et Kalvin ne sont que des gosses qui ont été jeté dans la nature comme ça. Tu vois une jolie brune qui te regarde, tu souris, tout en étant paniqué, alors tu ouvres la porte prenant une batte de baseball que vous avez choppé dans les affaires à récupérer quand il vous a laissé le faire avant de vous dire adieu. Cette brune à qui tu venais d’ouvrir la porte, allait t’aider, et vous aidez. Une grande aide qui se démontrera être mutuelle.
(vingt-et-un an) trop de pression, trop de chose à faire. Mais tu le fais. Pour eux, pour ta famille, car c’est ainsi que tu fonctionnes. Les entraînements, les magouilles qui rapportent de l’argent, toi vendant de la drogue à l’université, le plus discrètement possible. Une bourse qui t’aide à survivre, avant tu avais deux boulots en plus de tes cours et du sport dans lequel tu excelles. Mais tu n’en pouvais plus, alors tu as commencé à bosser pour des personnes. Tu ne les apprécies pas, mais l’argent que tu gagnes et clairement suffisant pour vivre ou survivre peu importe le choix de mot. Alors tabassage de mec devant de l’argent, vente de drogue et cambriolage, pas fier de le faire, non, mais tu n’avais pas le choix, non clairement pas. Puis, savoir que les jumeaux allaient bien c’était le principal, vraiment. Puis vous vivez à quatre, comme une petite famille, une petite colocation alors c’était parfait. Mais les nuits, les tiennent, les leurs étaient parfois dure, bien trop dur, car ne pas rêver encore de tout ce qui s’est passé est bien trop dur, clairement. Mais vous faites comme vous pouvez, toujours. Et l’amour que vous vous portez est si bon, mais à la fois triste. Tu penses de moins en moins à Aspen, à qui tu as cessé d’écrire des messages, tu veux avancer, oublier. Pourtant elle manque, mais elle ne voulait peut être pas d’un gars sans argent comme elle t’avait répondu une fois.
(Y a trois mois.) Le mois d’ Août est fort en chaleur et en humidité. Tu as bossé toute la nuit en vendant à des petits jeunes qui n’avait qu’une envie s’amuser. Toute la nuit. Toi, tu songes encore à tes rêves un peu brisé, car tu n’as pas pu passer professionnel, t’as pas été choisi. Tu as le potentiel, mais tu n’as fait que louper des entraînements durant cette année, tout fût bien compliqué avec Tara qui était de plus en plus mal. Des crises de peur, d’angoisse. Et cette peur qu’elle ne soit comme votre mère. Elle a peur, elle se rend malade, se détruit et ça te brise de voir ta princesse si mal. Vous êtes inutile, tous, personne n’arrive à rien faire. Enfin, t’as l’esprit ailleurs que tu n’entends pas les cris, tu n’entends rien, trop pris dans tes propres maux. Puis tes opales qui se posent sur ces hommes, des hommes que tu as déjà vu, alors ils te demandent de venir. Tu le fais. C’est juste un tabassage de plus, rien d’autre. Tu y vas serein, bien trop, c’est devenu une putain d’habitude. Mais une arme et tu partis en cacahuète. Plusieurs coups de feu et toi tu fus juste tétanisé, complétement mal. Puis plus rien. Le noir complet et tu es loin de te dire que ce serait éternel.
(maintenant) Chacun de tes sens est décuplé, mais tu ne sais pas encore trop comment faire de tout ça, ce que tu veux c’est ta vue, voir les couleurs danser devant tes opales, mais non. Impossible. Cette balle prise en pleine tête à détraqué cette dernière et ton esprit, un peu. Des sens plus présent pour compenser l’inutilité de ta personne, de tes yeux. Tu t’habilles, tu interroges l’heure de ta montre que l’hôpital t’a confiée pour cent dollars par mois, ce que tu ne voulais pas, mais elle, celle qui est ta béquille pour le moment a insisté. Alors, tu n’as rien dit, la laissant gaspiller l’argent. Dans l’obscurité de ta prison, tu fais ce que tu faisais avant, t’habiller, de quinze minute avant, il te faut : « Il est 10h55. Nous sommes le 24 Octobre. » Que tu viens d’interroger cette triste montre à ton bras qui dit si joyeusement l’heure et le jour qu’il est. Toi tu ne vois pas ce qui a de joyeux à ça, non tu ne vois pas grand-chose. En même temps tu es atteint de cécité, comment tu pourrais y voir une logique. Tu vois plus rien, tu n’es plus rien alors à quoi bon. T’as qu’une envie envoyer tout promener. Mais tu penses à Tara et Kalvin, toujours.
.
save the queens ---- / BEHIND THE MASK
cindy ---- / 00 ans ---- / rpgiste - Code:
-
[b]sergio carvajal[/b] / [i]kenan brixton[/i] possible de me réserver le beau monsieur sergio carvajal stp merci par avance ma belle |
| | | Sage Abrath;
-- angel in disguise -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
a.gauthier. self, av. betsi - peltz | brynn - o'neil | cez - o'connell | kurtis - king | oona - piekarz | sonny - bador | tad - piper. 4101 1175 29 ( m o o d b o a r d )
| Sujet: Re: il y a toujours de la lumière dans ce monde , même en plein coeur de la nuit. |KB Sam 13 Oct - 4:56 |
| |
| | | Invité;
Invité - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
| Sujet: Re: il y a toujours de la lumière dans ce monde , même en plein coeur de la nuit. |KB Sam 13 Oct - 5:00 |
| @Sage Abberline (le bouton mentionner amen je peux redevenir feignasse ) PROSTERNE TOI DEVANT L'HOMME PARFAIT, BEAU ECT Vas y emballe toi tu peux lui faire cevque tu veux.. Il y voit que dalle donc bon profite de lui Tu me fais pas une visite guidée style... On pourrait en faire des choses sur ce laps de temps ( t'en fait pas je te mp demain ou ce soir avec des infos et on trouveras notre bonheur à naviguer sur un nuage) |
| | | Invité;
Invité - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
| Sujet: Re: il y a toujours de la lumière dans ce monde , même en plein coeur de la nuit. |KB Sam 13 Oct - 5:23 |
| (re)bienvenue chez toi, avec ce charmant demoiseau. |
| | | Invité;
Invité - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
| Sujet: Re: il y a toujours de la lumière dans ce monde , même en plein coeur de la nuit. |KB Sam 13 Oct - 5:35 |
| |
| | | Invité;
Invité - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
| Sujet: Re: il y a toujours de la lumière dans ce monde , même en plein coeur de la nuit. |KB Sam 13 Oct - 8:10 |
| rebienvenue |
| | | Invité;
Invité - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
| Sujet: Re: il y a toujours de la lumière dans ce monde , même en plein coeur de la nuit. |KB Sam 13 Oct - 10:17 |
| |
| | | Invité;
Invité - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
| Sujet: Re: il y a toujours de la lumière dans ce monde , même en plein coeur de la nuit. |KB Sam 13 Oct - 11:28 |
| |
| | | Invité;
Invité - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
| Sujet: Re: il y a toujours de la lumière dans ce monde , même en plein coeur de la nuit. |KB Sam 13 Oct - 12:10 |
| |
| | | Contenu sponsorisé;
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
| Sujet: Re: il y a toujours de la lumière dans ce monde , même en plein coeur de la nuit. |KB |
| |
| | | |
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |