don't believe me just watch - altan

tableau de famille. Aurait sans doute tourné tout autre Altan sans le début de la fin, de ce dont il n’était finalement pas responsable, n’a pas choisit de se retrouver comme vainqueur d’une course aux spermatozoïdes, de ces égarements qu’on fait sans trop s’en rendre compte, de ce qui s’offre trop rapidement, dans ce qui n’est pas encore assez certain. D’être l’erreur de parcours faisant grossir le ventre, de bien le savoir que ce n’est pas la norme, de le remarquer assez vite dans les remarques des autres parents, de ces autres mères, de ce qui ne se cache à peine, de ce qui prend cette drôle de tournure. N’était pas prête à l’élever, à être mère, à l’occuper cette fonction et finalement ne l’a fait qu’à moitié. De cette relation plus copain que responsable, de ces types trouvés, de ces pansements pour mieux venir espacer les morceaux du palpitant, de l’avoir trop vu pleurer sur ces types qui n’en valaient pas la peine, d’être le parent et l’enfant de la même demeure. Jusqu’à lui, jusqu’à ce riche-là, de ces cadeaux, de ce tout mal compris par son regard d’enfant. Ne voit pas qu’elle est sa sugar baby avec un gosse elle-même, de ses voyages, de ces passages chez la voisine pour la laisser retrouver une belle vie, une vie au-dessus des moyens de son petit appartement, de sa vie trop merdique. De ce qui a changé, d’un nouveau coup du sort, d’une nouvelle erreur ou malchance. Vraiment ? N’a jamais su, n’a jamais cherché à savoir comment le tout s’est déroulé, si elle l’avait cherché ou seulement que c’était arrivé. Du ventre se remplissant, de cette bague au doigt, du mariage rapide, de ce changement de vie, de nom, de tout. De cette maison pouvant contenir plusieurs étages de son immeuble, de ce tout trop grand, trop parfait, trop tout dans lequel on le projette sans vraiment lui donner les codes. Est-là, doit bien suivre mais n’est pas bienvenue pas malvenu non plus seulement là et faut faire avec, pas dans la parfaite image de la famille hein. Dans ce qui se construit avec les années de la petite sœur, demi-sœur, de la mère se transformant en vision de la femme de riche, ne les ratant jamais ses injections, voulant la garder cette image de perfection, de lui plaire finalement. De se moquer qu’il aille voir ailleurs parfois que son bonheur c’est sa maison, c’est son domaine, c’est la richesse, sa fille, tout ce monde artificiel dans lequel elle essaye de faire sa place, prendre tous les codes. Et lui, le gosse qui ne doit pas les faire les vagues, pas les causer les soucis, à le droit d’être là tant que ça ne dérange pas trop. De la discrétion demandée, d’être un Payne sans vraiment l’être, uniquement pour faire oublier que le petit monde n’existe pas comme ça depuis le début. Que le type auquel il a du sourire tous les jours n’est pas uniquement un vieux bourge ayant épousé sa mère uniquement par désir d’avoir enfin un enfant à lui. Qu’elle n’était pas faite pour durer dans le paysage et que maintenant c’est le cas et qu’il s’en est accommodé, comme de lui, tant que ça va dans le bon sens en tout cas. De tout ce qu’on ne comprend finalement qu’après les années passées, de ce qu’on ne saisit pas tellement enfant ou même adolescent mais qui vient frapper l’adulte en pleine face et changer toute sa définition même de l’existence, de sa propre vision de l’avenir.

kardeş. Elle est là, arrivée comme par magie presque, de ce qui lui semblait si inattendu mais l’était-ce vraiment ? Coincer entre les désirs d’un homme d’âge mur d’un jour avoir une descendance et ceux d’une trop jeune mère en quête de davantage. Pion d’un jeu dont elle n’a certainement jamais eu conscience, qu’il s’est toujours interdit de lui énoncer Altan, de la laisser être le fruit pur de leur arbre sans toute bien loin de l’être. Petite sœur à protéger, à maintenir dans les secrets des horreurs de ce monde. Elle qui a toujours connu le même univers, toujours su comment y être le précieux diamant. Et lui ? La laisse vivre dans ce monde bien plus beau qu’il ne l’est réellement, pour la laisser être heureuse, pour lui offrir un peu égoïstement en même temps, cette même bulle. Fausse il le sait mais bien appréciée pourtant.

altan payne N’appartient pas à ce monde Altan, pas au départ, de ces codes qu’il a fallu apprendre pour mieux savoir comment s’en déjouer par la suite. Parce que c’est ce qu’on attendait de lui, de n’être qu’une ombre, de ne pas faire de vagues, d’être là quand on le demande mais de ne pas exagérer sa présence. Fantomatique présence pourtant dans les tréfonds déjà le sait, ne restera pas ombre, deviendra lumière à tous les éclipser, de cette amour-haine se mélangeant envers cette mère qu’il peine de plus en plus à considérer comme telle. Bien plus intéressée par sa prochaine opération de chirurgie que par l’avenir de ses enfants. Mais peut-il seulement lui en vouloir de jouer le jeu ? De perpétuer ce qu’elle considère naïvement comme la seule et unique voie ? Et lui ? A comprendre le système petit à petit, voir comment l’influer, comment le posséder, comment trouver sa place pour que personne plus jamais ne doute qu’il en ait été autrement auparavant. De calmer les doutes, d’être différent, d’être cette version qui ne laisse rien l’arrêter. Prendre possession d’Altan Payne et faire oublier toute autre version. Là, durant ces études de droit déterminantes, dans le besoin de ce nom, le besoin de cette renommée, de racheter ce qui par le vieux avait été bafoué, obligé.

gloire contre amour. Ce n’était rien finalement, juste un passetemps, juste un moyen de pimenter le passage. De ce stage trouvé pour l’été, pour faire beau pour le CV, pour le devenir ce grand homme. De ce boulot d’avocat touché presque du bout des doigts. Et elle, l’erreur dorée, le symbole même de tout ce qu’il hait entre ses doigts, de ce qui n’était que rage, envie de destruction. D’avoir fauté, rien qu’un instant, d’un baiser égaré devient bien davantage. Et qui tient l’autre finalement ? De la fille à papa désirant jouer avec les interdits, menaçant de révéler l’échange que papa n’approuverait pas. Qui ferait perdre au golden boy sa place en or, son futur d’une certaine manière. Le tient entre ses doigts, le croit quand finalement il est difficile de savoir qui est le chat et qui est la souris dans leurs échanges assourdissant. Dans ce qui prend vie entre eux, de ces été passion, déraison dans l’instant, de ce qui prend tellement de place dans le secret, dans ce qui s’affiche pourtant en même temps sur les écrans du téléphone. De ce qui était destiné à se terminer une fois le dernier stage, une fois l’apprès. De ce qui finit par se faire découvrir là, par le dit patriarche Gold et de ce qui aurait pu sonner sa fin. L’homme veut détruire mais le jeune premier sait comment s’y prendre. D’une image affichée, de ce tout posséder qu’elle a envoyé de son plein gré Ada. De ce qu’il vient suggérer, de la vie entière de sa petite fille chérie qui pourrait finir affichée, détruire la belle réputation des Gold, joue avec le sale avec les éléments en sa possession. Et dans l’envie de puissance, de gloire, la sacrifie elle sans même y repenser. D’une poignée de main, des années sont balayées. Là, de ce contact qu’il accepte de rompre sans attendre contre une belle place dans un beau cabinet, contre un avenir. Contre la non-divulgation du manque de vertu d’Ada Gold. Et se persuade que tout n’en sera que plus facile, l’un sans l’autre.  

l'erreur de trop. Pourquoi ? Pourquoi accepté tout cela ? Accepté finalement de la défendre elle dans ce divorce ? Ce de quoi il ne devrait pas se mêler n’est-ce pas ? Ada Gold, devenue Hughes, redevenant Gold finalement. Et lui s’entremêlent de ce qui est de plus intime, venant s’insinuer là où ça fait mal, de ses questions dérangeantes, de ce qu’il ne devrait nullement savoir. Vient creuser, vient titiller, vient la retrouver d’une certaine manière. Trop là, de cette distance qui n’a tenue que jusqu’à la signature des papiers, une fois divorcée, une fois retrouvée dans ce qui n’est pas comme autrefois. Dans ce qui est davantage, autrement. Se laisserait presque aller, séduire, dans le jeu continué, progressé, changé, là, d’eux dans l’instant et finalement la supercherie qui vient les cueillir. La réalité énoncée, du pourquoi, de la décision d’un autrefois, de l’abandonner contre un avenir. De la délaisser contre une réputation. Et la rage colère vient signer la fin de ce qui aurait pu être le début de tout autre chose, qui aurait pu signé le commencement d’un chemin à trois qui s’efface déjà, de son départ à Ada.. Des erreurs d’autrefois venant se payer dans le temps présent. .

ça y est, le queens est tout à toi !  ton personnage est fin prêt à jouer les cartes que le destin lui a distribué. et nous, nous attendons avec impatience de pouvoir jouer avec toi.

les liens utiles / le temps est venu de te rendre dans les fiches de liens [✩] pour te construire un beau petit entourage et faire des rps à gogo avec les relations que tu auras créées / les recherches [✩] sont également là pour toi si tu es en quête de rps ou que tu souhaites proposer tes propres contextes de folie / si tu es plutôt timide, les mini-floods [✩] sont idéals pour papoter au sein d'un petit groupe. néanmoins, si tu n'as pas peur de sauter dans le grand bain, nous t'attendons de pied ferme dans le flood général [✩] ainsi que dans les jeux [✩] pour un maximum de délire !

les activités permanentes / pour essayer de gagner des points, tente ta chance grâce au tirage de cartes [✩]. si tu fais partie des plus frileux, fais péter le compteur du système de points classique [✩].
si tu souhaites écrire pour toi-même sur des thèmes divers et variés, des writing prompts sont mis en place régulièrement rien que pour toi [✩].

les choses en cours actuellement / il y a quelques mois, un event solo a été mis en place et est toujours exploitable. un indice sur cette animation ? la couleur des émotions. si tu fais partie des curieux, tu trouveras toutes les explications nécessaires dans la catégorie "new-york et le reste du monde" en cliquant sur les différentes coloяrooms mises à votre disposition [✩].

le petit mot de la fin / nous avons déjà hâte de partager cette superbe aventure à tes côtés. alors à ton clavier, c'est parti pour de l'amusement à la pelle !  bon jeu parmi nous.