L’éternitá, prima di te, dietro di me, in noi ((BABY))

identité complète - Sale môme. Dans les recoins sombres de la baraque branlante. Gamine désabusée. Rancœur qui a lentement éclos dans ton cœur rachitique de gosse désenchantée. Cette putain volonté de vouloir devenir un mythe parmi les tiens. De rester vibrante. Vivante aussi. De devenir un jour une jeune femme. Babylone comme tout le reste ça pue. Babylone Aka devient Baby. Chaque syllabes jouissant de ce plaisir simple de les sentir glisser sur ta langue. Entre tes lèvres. Sourire versatile. Baby. Peau de requin, toile émeri, abrasif touché, tant d’agressivité. Baby. Intensité démesurées, le grésillement. Ton létal. Morsure, brûlante. Acide, le goût hostile…L’ange déchu. L’oiseau détruit. L’oiseau fragile. L'oiseau blessé. Tu es la fragilité à l’état brut. Divine. On te devine. Oh Sainte Amara. Les cinq lettres de l’imposture. Toi, déesse fatale, dont les consonances volcaniques et intemporelles, celle qui combat le monde et fait mourir les hommes d’un claquement de doigt, ton sourire angélique n’en est pas un. Tu es née pour régner sur ce monde et pas pour être l’esclave. Prénom en l’honneur de ta nona, cette femme teigneuse, forte et courageuse. À la crise d'adolescence, t'es devenue la meuf qui assasine à la ''Vaffanculo'' . Corléonesi, tu connais ? Pourtant, tu devrais connaître. Celle qui gère depuis des décennies... Arés, Sergio et Vittorio Corléonesi, ça ne te dit toujours rien ? Tout ce que j'ai à te dire, c'est que notre famille représente l'honneur et le respect. Ce nom de famille ne passe pas vraiment inaperçu et vaut mieux pour toi. Tu en est fière et le petit joyaux de cette famille, puisque tu es la princesse de Daddy. De cette famille dont tu t'estimes être un atout primordial, chaque syllabe est une énième piqûre de rappel à ton devoir. Ta main sur ton coeur ou ce qui s’y ressemble, dans chaque famille rien n’est gravé dans la roche. Siripuleux et Luciférienne. Un démon dans les ténèbres, dont la lumière se fait discrète. Sans état d’âme, C'est une étincelle de flamme, un ouragan qui fait tout cramer à des kilomètres. Extrêmement mal. Un nom que tu arraches à tout va. Avec tes dents. Nom de dieu que cela fait mal. Princesse à la peau dorée, non ou peut-être ensanglantée par tes démons. lieu de naissance et origines - New-York. New-York. Une naissance désirée. Toi, seule fille de la famille. Princesse pointa le bout du nez. Un bonheur inouïe. Puis un cri, un unique cri plus rien d’autre - à part le battement incessant de la pluie contre les vitres de la chambre de ta douce mère. Un orage qui éclate pour accueillir cette tornade à la crinière noire. Tu aimes cette ville, tu en est presque la reine. Princesse de ton macadam. Ton territoire. Ton joyeux bordel. L’Italie, le charme à l’italienne. Quelque chose glisse en toi. Doux et enivrant parfum héritage,enchanteresse et divine, si dure, si complexe, remplie de rêve et de voyage. Le vin et la sauce tomate à la place du sang. Y'a pas de doutes, même si t'es un peu trop flemmarde pour faire la cuisine comme maman. Sauf que t'as jamais mis tes pieds dans l'eau salée d'où tes ancêtres se sont cassés. Ciao. Dieu sainte mère de Dieu comme c’est jouissive de faire claquer cette langue. Une langue que tu adores utiliser. C’est goûteux. Bavant a en mourir. études ou métier - On a dit de toi que tu aurait pu être mannequin, vu ta grandeur et surtout ta beauté, car c’est vrai que tu a toujours eu un corps de déesse. Mais petite, tu n’étais que la princesse de Daddy. Puis, baignant dans cette affaire familiale, tu voulais en apprendre plus d’avantage. Tu as donc commencé des études de marketing, pour faire plaisir à Daddy. C’était surtout ta manière d’être à ses côtés. Officiellement étudiante en marketing, voulant developer ta propre affaire. Pendant ta préface adolescence, tu es devenue l’égérie d’une marque bien connue à NY, défilant comme la reine que tu es. C’est peut-être là que les problèmes ont commencé, car tes parents divorcent au courant de cette année. Ce fut un choc pour toute la famille. Suceuse de fric de beau papa. Ta mère a touché le jackpot en se remariant avec un mec blindé de tunes. C'est à peu près le seul point positif que tu as adorer chez cet homme qui a tout du véritable enfoiré. Princesse de ton château. « B. Queen » n’a pas besoin d’une reconnaissance, tu es déjà une icône. Le fric, tu dis ? Tu le reluques. Le touche le bout des doigts avec envie même parfois avec dégoût. Et puis à côté, tu joues les garces. Celle qui trouve amusant d’en balancer un peu partout. Petite peste. Marque du diable. Ni plus ni moins. Folie phagocytant peu à peu la jeunesse érodée de la gamine, aujourd’hui, devenue femme fatale, peut-être pas certainement pas totalement saine, vilain petit monstre baignant dans l’ondine purpurine. Désarmant fantassin. D’un coup de surin. Officieusement, tu arpentes les rues, adores danser sous le regard des hommes plus matures et ayant la main généreuse sur les pourboires.  orientation sexuelle - Néophyte. Nana dont le regard n’a de cesse de chercher, rechercher l’attention. Les hommes. Les femmes. La question qui se pose mais incapable de répondre de part ton incompétence maladive. Chaleur constante. Entre tes cuisses. Les mains tendues. La bouche ouverte. Tu a toujours aimer le sexe. Les deux sexes. Comme cela fait du bien. Mal d’amour. A baiser, sucer, dévorer. Ton âme a la dérive. Trop tendre. Trop innocente. Le désir biaisé, l’attachement maladroit. A la recherche du plaisir. Chimérique et acide. S’enivrer de leur essence, d’ardeurs fusionnelles oubliant l’incertitude gagnée devant tant d’errances, partant en décadence, égarée dans cette solitude. statut civil - Oh l’amour dis-tu ? Tout le monde en rêvent et pourtant si peu de personnes arrivent à être combler. Cœur meurtri. Le prince charmant, tu n'y croyais point. C'est ce que tu laissais entendre, en tout cas... Mais le bonheur, s'arrêtent un jour ou l'autre, tu ne comprends toujours pas les gens. L'amour est-il vraiment pour toi ? Aujourd’hui, promise à Roméo, mais ce n'est aucun cas une idylle heureuse, de part sa réputation, de par son argent, de par bien des manières, il y a beaucoup trop de monde qui te poussent dans ce sens, trop de choses qui te force à ne croire en rien. Il n'y a qu'un seul homme dans ton esprit et encore dans ton cœur, Mercutio, c'était lui et personne d'autre, l'homme que tu n'arrivera jamais à oublier. C’était un amour qui comptait pour toi, l’amour qui t’a fait hurler, l’amour qui te pousse jusqu’au précipice de l’enfer. Tu as été contrainte de le dénoncer, obligeant de vivre avec. Oups. Baby. pi, scénario ou prélien - PI.