Sujet: Re: (+18) north side gal ± Nashua Jeu 26 Sep - 6:12
north side gal
Joshua - Nashandrä
« L'enfant qui sait se pencher sur l'animal souffrant saura un jour tendre la main à son frère. » Albert Schweitzer.
Pendant longtemps, les enfants perdus t'ont prêchés le fait de ne jamais t'amouracher. Si tu voulais vivre parmis eux à Neverland, il te fallait respecter le code. Interdiction de se prêter aux choses d'adultes: La colère, l'amour, les pleurs. Tout ça vous était interdits. Vous n'aviez le droit que d'être heureux, aventureux. Pendant longtemps ce mode de vie a été ta seule ancre, ton seul repère combien même toi tu possédais une famille à laquelle retourner combien même Siobbhan et Milo n'étaient pas ton sang à proprement parler. T'étais l'une des moins à plaindre, tout comme la princesse de votre Royaume toi tu avais quelque part où rentrer le soir. Et de nombreuses fois, tu accueillais les enfants ayant tous fait le murs de là où ils proviennent pour que vous puissiez vous rejoindre et passer la nuit à festoyer ensemble. Le frisé et ses chewings gums, Clochette et sa réglisse, Peter jamais sans ses sucettes. Le bon zigue et cette insupportable plume n'ayant de cesses que de se chamailler. Elle t'as longtemps manqué cette époque, avant que tu ne te rendes compte qu'au final tu n'valais rien. Qu'au final, t'avais jamais vraiment fait partie des leurs. Tu t'es faites chassée, bannir de vos contrées sans en avoir le choix.
T'es devenue une femme tout à fait différente après cela. Tu t'es rangée, tu t'es calmée dans tes conneries. T'as essayée d'être responsable, d'utiliser la richesse de tes parents à bon escient. Vous vous êtes décidées à revendre le manoir, vous vous êtes chacun trouvés un lieu douillet où poser vos bagages. T'as pris ton indépendance, tu t'es mise à travailler avec Phil ne comptant pas les heures de présence. T'avais besoin d'appartenir à quelque chose d'important, quelque chose de plus grand. T'as guetté les enfants perdus d'un coin d’œil discret tout en menant ta barque. Tu t'es assombrie, t'es devenue finalement adulte. Ce que vous aviez tous tant redouté pendant des années. Tu t'es détournée du droit chemin lorsqu'on t'en as chassé la Guigne, tu t'es laissée attirée par les bras tendres des capitaines crochets tous plus nombreux les uns que les autres pour noyer ton mal-être, ce manque d'appartenance. T'es devenue féline, tu t'es mise à chasser pour te sentir supérieure. Tu ne veux plus te sentir utilisée Nash, tu ne veux pas qu'on abuse de toi pour mieux te jeter après. Alors tu t'es renfermée sur toi même, t'as su cultiver cette image de nana sûre d'elle et indépendante. Plus jamais, tu ne te reposeras sur qui que ce soit. Plus jamais, tu ne feras confiance à qui que ce soit. T'es plus cette enfant naïve et pleureuse. T'es devenue affamée et impitoyable Nash, et ce soir le montre bien.
Tu te laisses totalement aller, entre ces bras tatoués n'ayant de cesse que de t'agripper, de te malaxer. T'aimes bien trop ce moment où ton cerveau vient à disjoncter pour laisser une boule de plaisir totalement autonome ayant les rennes de ta personne. Toi aussi t'pourrais finir par crever comme tes darons d'un tragique accident, tu pourrais venir à claquer d'une crise cardiaque fulgurante où d'une maladie incurable. Tu t'en branles Nashandrä tu fonces tête baissée vers le mur en vivant ta meilleure vie. Parce que tu sais ce qu'elle représente, la chance que tu peux avoir de respirer. Alors tu vis chaque jour comme si c'était le dernier. Comme si cette chance de ne pas te réveiller à l'aube était plus importante qu'elle ne peut en avoir l'air. Tu t'dis qu'il vaut mieux avoir des remords que des regrets, alors tu profites entièrement. T'es survoltée, rebelle, passionnée. Tu t'offres entièrement à Joe, ce tatoué étant revenu sur ses pas datant d'il y a quelques semaines pour mieux te retrouver. Tu t'y attendais pas vraiment, à revoir sa ganache traîner dans l'atelier et pourtant t'as été plus que ravie et t'as installé un climat joueur d'emblée. T'avais peut-être bien cerné l'animal et sa démarche menaçante. T'as peut-être su lire sa bestialité et son besoin que d'se laisser aller à des envies primaires sans retenues. Après tout, il a si bien répondu à ton jeu.
Tu t'es voulue dominante, amazone déchaînée et avide de plaisir alors que tu le chevauchais de tout ton être. Tu t'es délectée de son visage dont les traits se sont tordus sous l'effet de son visage pendant que tes mains venaient caresser ton propre épiderme avant de venir s'échouer contre le sien. T'as joué des reins, roulant du bassin avant qu'il ne vienne te retourner laissant ton dos s'échouer contre le cuir de l'assise de ton large canapé. Faut dire que pour une enfant perdue, t'as une sacrée situation putain. T'es déjà propriétaires de plusieurs biens, t'as des parts dans la société qui t'emploies. T'as ce don pour savoir placer tes billes, miser sur le bon cheval. Et t'as l'impression que le tatoué est ce genre de mec à qui tu peux faire confiance en ce qui concerne ton plaisir alors que les coups de butoirs se veulent toujours plus effrénés. T'aimes la façon dont il se déchaîne en toi, t'arrachant nombre de râles de plaisir toutes plus intenses les unes que les autres. T'espères bien qu'il s'attardera un peu plus qu'un simple round, car tu comptes bien prendre ta revanche quant à ce manque de domination de ta part. Tu le sens que Joe est ce genre de mecs à qui s'frotter pourrait bien t'coûter tes ailes fragiles. Et pourtant tu t'jettes à corps perdu et totalement nu à son bon vouloir, facilitant même sa manœuvre lorsque à nouveau il te positionne à sa guise cette fois-ci ton ventre se retrouvant aplati.
Tu viens t'redresser sur tes genoux, accueillant volontiers toujours plus le tatoué te malmenant sans vergogne. Vous n'êtes que gémissements, plaintes rauques adressés à la lune pour la faire gauler avec violence. L'air de ton appartement s'est nettement réchauffé, la tension étant aussi palpable que tes fesses à cet instant ne manquant pas de claquer et rougir sous l'effet des paluches encrées de Joe. Il te percute, vient feuler contre le creux de ton oreille alors qu'il s'agite toujours plus fort en toi. T'es sur le point d'exploser, déjà. Son bassin vient heurter ta croupe toujours plus fort, faisant gagner en importance la boule de plaisir grandissant dans l'creux de ton bas ventre. "Mais p'tain d'bordel." Ouais, la politesse n'a clairement pas sa place alors que t'es sur le point d'exploser dans un orgasme des plus dévastateurs. Il n'y a plus que toi et lui, la nana aux cheveux bleutés et le barbu tatoué. Plus rien n'compte, plus rien n'semble avoir d'importance alors que la jouissance vient te tendre délicieusement les bras. T'accueilles les coups d'butoirs comme un miracle venant t'arracher gémissements sur gémissements. Tes doigts s'referment violemment contre les coussins d'ton canapé alors que tu viens y enfouir ton visage pour retenir un long cri de plaisir. T'en demandes encore, puis encore alors que tes jambes flagellent et que ta moiteur vient s'accroître à vitesse grand v. Qu'il se déchaîne, qu'il te donne tout ce qu'il peut avoir en stock c'est tout c'que tu lui demandes.
Tes ongles viennent griffer les tissus, tu t'accroche à la réalité à ce que tu peux pendant que tu t'permets d'exploser dans un tonnerre de rugissements. T'es aussi animale que lui dans le fond, dans une toute autre forme. T'acceptes ce rodéo sauvage tout en lui rendant la pareille avec la même passion. Le même déchaînement. T'es plus une enfant, t'es une jeune femme qui s'assume pleinement. Qui assume ses envies et ses désirs. Qui se laisse aller aux bras se tendant à elle pour mieux s'perdre dans des nuits chaudes et pleines de chaleur. Ton corps entier se met à frissonner alors que l'orgasme pointe son nez. Tes jambes fléchissent pour finalement te laisser reposer dans la position dont le tatoué espérait te voir reposer lors de sa manœuvre. Tu n'es que plaisir Nash, plaisir et tremblements. Tu t'contractes et palpite sous l'effet ravageur de cette bombe relâchée dans une longue plainte suivie de ta respiration effrénée. Tes cheveux bleutés couvrant ta vue, très certainement trop décoiffés pour ressembler à quoi que ce soit, t'viens laisser ton visage s'porter au dessus de ton épaule pour capter les opales assombries par le plaisir de l'encré. T'as sacrément bien fait d'te vouloir bonne samaritaine cette fameuse soirée, et tu n'peux qu'affirmer que Joe paye bien ses dettes comme il se doit.
Sujet: Re: (+18) north side gal ± Nashua Sam 28 Sep - 13:38
North side.
Why so serious ? Let's put a smile on that face !
T'es pas le genre de mec à beaucoup te soucier de l'histoire des filles contre lesquelles ton corps échoue. Tu te fous pas mal de savoir si telle nana est en couple, si telle autre a trop souvent été brisée par les hommes ou si telle autre se raccroche au plaisir d'amants de passage pour une raison quelconque. Tu ne penses qu'à prendre ton pied quand tu viens rencontrer ces corps féminins tous plus beaux et excitants les uns que les autres. Tu ne penses qu'à toi parce que t'es égoïste jusque dans le sexe. T'emportes ta partenaire du moment si elle veut bien se donner correctement à toi et se laisser aller au plaisir que tu lui offres. Si son corps fait de la résistance face à l'extase ou si d'elle même elle se met des freins, tu ne cherches pas à faire davantage d'efforts. Les gonzesses frigides ce n'est pas ton affaire. T'as pas de temps à perdre avec ça Joe. Alors tu passes rapidement à la suivante sans tourner plus longtemps autour du pot. Parce que t'as pas envie de te prendre la tête pour si peu. Et parce qu'il y a trop de nanas qui n'attendent que ça, de partager des nuits fauves en compagnie d'un mal qui ne fait pas dans la dentelle. Qui va droit au but. Qui recherche le plaisir avant tout et non pas des relations toutes plus inutiles les unes que les autres. C'est le cas de cette nana que t'es allé retrouver dans le bar dans lequel tu l'as rencontré la première fois, t'en es sûr.
Elle n'est que flammes de plaisir et de désir la jolie barmaid aux cheveux bleus. Elle qui se donne entièrement à toi, sans restrictions apparentes. Elle qui s'exprime à grands coups de gémissements et de cris. Elle dont le corps danse au même rythme que le tien qui la ravage toute entière. Elle qui se tend et se crispe pour toujours plus de plaisir surtout. T'as aucune raison de t'arrêter en si bon chemin alors tu ne le fais pas. Loin de là. Tu continues de la ravager de l'intérieur. De démolir ce corps féminin à coups de reins ravageurs. Tu sais pas si vous vous reverrez à l'occasion tous les deux. Alors tu prends tout ce que tu prends prendre de ce corps pleinement offert. De cette petite minette provocatrice qui a tout fait pour réveiller l'animal en toi. Elle y est parvenue au delà de tout espoir et ne peut maintenant plus qu'encaisser ce qu'elle a si bien provoqué. Vous offrez vos plaintes de plaisir à l'appartement vide qui semble résonner de vos sons érotiques. Vous offrez votre étreinte ravageuse à la lune qui se fait témoin de l'extase qui ne tardera pas à vous ravager. Tu grognes, animal, alors que ton bassin continue inlassablement ses vas et vient. Que tu percutes toujours plus fermement les fesses redressées. Alors que tu plonges en elle à corps perdu. Que tu provoques le clament des chairs autant que les cris d'extase. Les injures aussi, bientôt. T'es ravi par les sons qui s'échappent de cette jolie bouche. Tu grognes et souris tout à la fois.
Tu secoues encore son corps sans douceur. T'es qu'un animal qui possède. Tes doigts encrés crispés sur elle pour la maintenir bien en place alors que tu continues de la claquer furieusement de ton bassin. Tu fais rougir ses fesses tendues vers toi et plier sa colonne vertébrale sans doute bien mise à mal elle aussi, par tout ça. Par tout ce que tu n'arrêtes plus de lui imposer. Pour son plus grand plaisir, ça ne fait aucun doute. Tu sembles vouloir tester la résistance de ce corps féminin qui tremble de plus en plus à mesure que tu lui imposes toute cette violence et le plaisir qui est livré avec. Elle hurle plus fort. Toujours plus fort. Elle bascule en avant sans que ton bassin ne se décolle du sien. Impossible que tu la laisses s'échapper si facilement. T'es bien au chaud en elle et t'as pas l'intention de t'en passer tout de suite. Pas tant que tu n'auras pas jouis, pour commencer. Alors ton corps suit le sien alors qu'elle hurle son plaisir dans les coussins du canapé. Qu'elle râle, grogne, crie encore à s'en briser les cordes vocales. Autant de décharges électriques qui te parcourent tout entier. Tu te forces à rester un tant soit peu concentré sur les coups de butoir qui continuent de pleuvoir sur le corps féminin. Alors que tu n'es plus que ça. Qu'un animal qui domine la femelle séduisante et sexy à souhait.
Elle palpite autour de toi quand elle ne se crispe pas si fort que tu peines à poursuivre tes vas et vient. Tu forces quand il le faut pour ne jamais cesser de glisser en elle. Tu ne lui laisses pas le temps de retomber de son orgasme. Tu continueras jusqu'à ce que l'extase t'atteigne à ton tour. Tu ne ralentis que lorsqu'elle tourne tant bien que mal la tête vers toi. T'as un sourire de pure satisfaction à la vue de son visage sur lequel collent ses cheveux bleus. T'es presque tendre quand tu viens retirer ces mèches de sa peau moite de sueur, pour libérer son visage. Animal, quand ta langue vient taquiner sa joue. Encore ? Que tu fais seulement mine de l'interroger alors que tu n'as pas la moindre intention de t'arrêter en si bon chemin. Non seulement t'as l'intention d'atteindre le septième ciel toi aussi. Mais en plus, tu comptes bien profiter de son corps aussi longtemps que la lune continuera de surplomber cet appartement. Aussi longtemps que la nuit sera là pour vous voir faire. Ce n'est qu'au petit matin que tu daigneras laisser ce corps trouver un peu de repos pour aller retrouver le tien dans tes draps où Morphée doit t'attendre bien sagement. Toi qui cesses peu à peu les mouvements de balancier de ton bassin. Juste pour venir taquiner encore le corps féminin. De ton souffle chaud qui caresse son visage qui n'a franchement pas besoin de ça. De l'une de tes mains qui vient caresser cuisse, hanche et fesses. Et de son bassin qui, de temps à autre, va et vient avec lenteur. En longs mouvements pour te permettre de glisser en elle de toute ta longueur. C'est ta façon de te maintenir dans cet état d'excitation avancé et de t'assurer que de son côté elle ne file pas trop loin non plus. Qu'elle ne fuit pas tout à fait le plaisir que vous prenez et que tu comptes encore lui offrir.
Sujet: Re: (+18) north side gal ± Nashua Jeu 3 Oct - 4:15
north side gal
Joshua - Nashandrä
« L'enfant qui sait se pencher sur l'animal souffrant saura un jour tendre la main à son frère. » Albert Schweitzer.
Vivre ta meilleure vie, c'est de ça dont il est question non? Vivre à deux cent à l'heure, bien trop fortement et rapidement. Combien même t'étais pas l'une des plus bruyantes en ce qui concerne le genre de gamine que t'as pu être, t'en as fais voir de toute les couleurs à Siobbhan. Comme si Milo ne lui posait pas assez de soucis comme ça pour que t'en rajoutes sur la couenne de ta mère adoptive. T'as pas assez pensé à elle, à ce qu'elle pouvait être. T'as longtemps été proche d'elle avant une certaine rupture. Alors que les enfants perdus t'occupaient bien trop et que t'étais incapable de comprendre l'amour indéfectible qu'elle pouvait bien te porter. Parce que S, c'est elle ta daronne. C'est à elle, à qui tu dois rendre des comptes. Tes parents t'ont été arrachés lors de l'accident des tours jumelles, t'as fais ton deuil et t'as appris à avancer sans eux. Trop jeune, trop vite. Mais c'était peut-être mieux ainsi, t'en aurais sûrement bien plus souffert si t'avais été vraiment en âge de comprendre ce qui te tombais sur le coin de la gueule. Si t'avais été capable de comprendre que l'être humain est profondément mauvais et qu'il ne mérite aucune repentance. Juste de brûler dans sa propre bêtise pour venir s'éteindre de lui même.
T'es pas le genre de gonzesse à vouloir d'une belle maison, d'un chien aboyant dans l'allée et des gamins pour venir illuminer le tout. T'as envie de profiter jusqu'à ce que mort s'en suive, de ne pas penser au lendemain et de faire comme si tout pouvait venir à s'éteindre. Comme si toi aussi, t'pourrais venir à crever demain. T'es ce genre de meuf qui pense qu'il vaut mieux avoir des remords que des regrets, alors t'agis comme ton coeur te dicte de le faire. Toujours plus fort, avec toujours plus de sincérité. Tu sais pas être fausse Nash, t'arrives pas à cacher ce que tu ressens. T'es juste née sans filtres, t'arrives pas à mettre des formes à ce que tu peux éprouver alors tu déballes comme ça te vient. Tu vis comme tu le penses, sans lois. T'as été longtemps cette nana adorable, aimante, qui fait attention aux autres plus qu'à elle même. Et t'as eu quoi comme remerciements la Guigne? Comment est-ce que les enfants perdus ont pu te le rendre? En t'abandonnant salement, comme si t'étais une moins que rien. Une pièce de seconde qualité ne méritant même pas d'faire partie d'une chose aussi belle que l'aventure que vous viviez depuis des années. Combien même c'était fou, combien même votre histoire était compliquée. T'étais férocement persuadée que l'amitié était importante. Qu'elle régissait vos vies et que jamais vous ne viendrez à vous faire de sales coups. T'étais naïve Nash. T'étais bien trop conne à l'époque.
Aujourd'hui, tu profites sans te soucier des dommages collatéraux. Tu prends ce que tu désires sans arrières pensées, t'as pas le temps pour ça. Parce que le tatoué, il pourrait bien avoir une copine comme une femme aimante que ça ne te refroidirais même pas. Pourquoi toi, tu penserais aux autres? Pourquoi toi, tu ferais preuve d'empathie alors que toute ta vie les gens n'ont cessés que de quitter ton paysage ne te trouvant jamais assez importante pour y rester? T'as rien à perdre Nash, si c'n'est ta famille bancale et ton boulot. L'reste peut bien brûler en cendres pour s'éparpiller aux quatre vents que tu t'en balancerais tout aussi fort. T'as des priorités différentes, tu préfères exister trop fort que trop peu. Et tu t'en fous si ton crâne vient heurter le mur pour s'réduire en bouillie et que ton corps se désarticule sous l'poids de l'impact. T'auras appuyé volontairement sur l'champignon pour précipiter ta chute. Et après? T'y peux quoi si tu t'shootes à l'adrénaline, à tes envies dévorantes.
Combien même pour l'instant, c'est le tatoué qui n'a de cesse que de s'éprendre de toi son corps meurtrissant le tien avec passion. Tu lui reconnais cette façon qu'il peut avoir de s'occuper de toi, comme si vous pouviez en crever. Parce que dans l'fond, le but c'est de profiter non? Alors tu ne résistes pas longtemps alors que t'exploses sous l'effet de ses traitements des plus brûlants. Tu ne te contrôle plus, ondule rageusement tout en exprimant ton plaisir qui t'assailles avec violence. Tes ongles saisissent le cuir de ton canapé, le tissu d'un coussin, ta peau elle même pour venir la faire rougir sous le passage de tes griffes. C'est bien trop bon, et il n'est toujours pas satisfait l'animal rageur qui s'éprend de toi. Tes cuisses se mettent à trembler par la force de cet orgasme dévastateur te faisant presque oublier jusqu'à ton prénom. Faut dire que le plaisir vient te frapper comme un éclair, te transcendes pour mieux faire frémir ton épiderme tatoué et entièrement dénuder. Les coups de bassins effrénés se calment, devient bien plus lents alors que d'un geste qui se voudrait presque tendre Joe vient replacer tes cheveux te permettant de recouvrer la vue. Qu'il est beau putain, puissant comme jamais derrière toi en te surplombant de ses pupilles noircies et désireuses de s'éprendre toujours plus de toi. T'en redemandes Nash, inconsciente que t'es alors que son souffle vient taquiner ton cou et sa langue caresser ta joue. "Encore!" Tu susurres, tes dents claquant dans l'air alors que ta croupe humide vient percuter son bassin. T'es mauvaise joueuse Nashandrä, et t'as dû mal à accepter le fait d'être venue bien avant lui. Mais comme on dit, tout vient à point à qui sait attendre non? Alors autant que tu lui rendes la monnaie de sa pièce, ne serait-ce que pour lui redonner envie de remettre le couvert une fois que vous aurez retrouver vos esprits et surtout vous être hydratés parce qu'il fait putain d'soif par ici.
Tu profites de lui avoir ton offert ton orgasme sans même prendre la peine de retenir pour te redresser et venir coller ton dos à son torse tatoué alors qu'il continue ses mouvements des plus lents n'ayant de cesses que de te faire tourner la tête délicieusement. Il en joue bordel l'encré, il le sait à quel point il est désirable et qu't'as envie de lui. Et après tout, lui aussi non? C'est pas c'qu'elle t'hurle sa virilité toujours bien maintenue dans tes contrées intimes resserrées autour de lui? Tu viens faire glisser volontairement ses mains que tu retrouves jusqu'à ta poitrine, laissant à ses doigts le plaisir de s'en éprendre s'ils le désir. Tu t'veux de nouveau en quête d'initiatives, t'es pas du genre à te laisser faire bien longtemps. Tes mains se raffermissent contre les siens retenant tes seins en otages et triturant leurs pointes de façon goguenarde. N'aiment-ils pas ça les hommes lorsque vous prenez les commandes pour vous vouloir tout aussi puissantes qu'eux? Désirables et avides de conquêtes? Tu feules, ne te retiens définitivement plus alors que ton visage rabattu vers l'arrière vient s'éprendre de la carotide offerte à tes caresses. Furtivement, tu les remplaces par tes canines aiguisées qui viennent saisir la peau pour la teinter d'une trace légèrement ouvertes. Tu te veux diablesse, outrageusement en proie au plaisir alors que vos plaintes de satisfactions s'offrent gratuitement à l'astre lunaire trônant haut dans les ténèbres du soir.
Sujet: Re: (+18) north side gal ± Nashua Sam 5 Oct - 13:29
North side.
Why so serious ? Let's put a smile on that face !
T'es pas capable de la moindre stabilité. Loin de là. Toi t'as trop envie de t'éprendre de tous les corps féminins qui se présentent. Toi t'as trop envie de laisser libre court à tous tes désirs, tout le temps. T'aimes bien trop ça marquer les peaux délicates de tes doigts sauvages. Tout autant que t'aimes arracher des plaintes de plaisir et des supplications pour toujours plus, quand tu te perds contre ces corps. T'aimes faire disjoncter les êtres tout entier de ces petites minettes qui se donnent à toi sans restriction, sans limite, sans hésitation aucune. Toi même t'es incapable de garder le plein contrôle sur ta personne. T'y peux rien, t'es juste comme ça et tu prends bien du plaisir à l'être. Ce soir encore tu le prends à revivre les nuits fauves à l'infini. Tu le maîtrises bien ce sujet. Avec toutes les femmes un brin sexy que tu croises. Ce soir tu t'en donnes à coeur joie avec la sexy petite barmaid que t'as rencontré dans un bar parmi tant d'autres. Qui n'a pas froid aux yeux, pour ton plus grand plaisir. T'as aucune envie de lutter contre tes désirs. Et contre les siens du coup. Parce qu'elle n'hésite pas à se donner. Comme si c'était normal et que vous vous connaissiez depuis toujours elle et toi. Toi qui continues de posséder ses courbes toujours plus rageusement. Toujours plus frénétiquement.
Juste là sur son canapé qui va en voir de sacrés ce soir. Parce que vous avez déjà eut l'occasion de vous amuser sur trois positions différentes pour connaître et vivre le plus de plaisir possible. Parce que c'est bon et bien meilleur quand il n'y a pas une once de gêne. Parce que t'aimes bien trop la sentir se cambrer, se tendre, se détendre, s'empaler sur toi aussi. Parce qu'elle est aussi folle furieuse que toi quand elle permet à sa croupe de rebondir contre ton bas ventre qui continue de la percuter de plein fouet. T'as le souffle qui se fait irrégulier, le coeur qui bat frénétiquement et le corps qui se recouvre d'une fine pellicule de sueur. Parce que t'es pas du genre à faire semblant ni à jouer la demi mesure. Tu donnes et prends tout, ou rien. Tu ravages avec la rage qui t'habite. T'es prêt à t'en briser le corps contre ces courbes féminines que tu n'aimes que trop posséder. T'as aucune raison de t'arrêter. Surtout cette nuit alors que cette nana a ouvert sa porte sans hésitation et te reçoit maintenant entre ses cuisses. Tu le sens quand elle se perd dans les abysses du plaisir orgasmique. Trop fort, trop vivement, trop profondément. Qu'elle geint/gémit/soupire/crie son extase à s'en briser les cordes vocales et qu'elle se crispe assez fort pour t'emprisonner en elle.
T'es pas peu fier de toi alors que tu ralentis sensiblement la cadence pour lui laisser le temps de vaguement se remettre de son orgasme. Alors que t'empêches le tien de venir se loger dans tes reins et mettre fin à cette étreinte. Tu te veux endurant cette nuit pour la posséder de longues heures durant. Tu te fais même tendre dans tes gestes pour t'assurer qu'elle est toujours là et toujours en phase avec tout ça et avec ta petite personne. Les spasmes ont à peine le temps de ralentir dans le corps féminin, qu'elle en redemande. Sans surprise, t'aimes salement ça. T'as un sourire démesuré sur la gueule pour le prouver. Tu fais même entendre ton approbation d'un grognement léger. Elle t'invite de manière assez explicite, à reprendre. Vite et fort comme tu viens de le faire pour la faire jouir une première fois. Tu comptes bien récidiver toute la nuit durant. Tu te redresses en même temps qu'elle lorsqu'elle relève le bustier pour venir coller son dos à ton torse. Et souris plus encore quand lorsqu'elle guide tes mains sur ses seins pour en épouser la forme parfaite. Tu ne te fais pas prier pour empoigner fermement.
Tu penches légèrement la tête sur le côté pour permettre à ses lèvres et à ses dents de venir taquiner ta carotide. Elle peut sentir l'état dans lequel tu te trouves en cet instant. L'état dans lequel cet ébat frénétique est en train de te mettre. L'état dans lequel, elle, elle te met. Un nouveau grognement roule dans ta gorge alors que la jeune femme aux cheveux bleus trouve toujours plus le moyen de te retourner le cerveau et le corps. De nouveau ton bassin danse plus fort et plus vite contre elle. Ton bas ventre recommence à heurter ses fesses alors que tes mains fermes empoignent plus franchement ses seins. T'es pas doux le moins du monde. T'es ferme, animal, possessif. Tu marques sa peau fragile de tes doigts trop forts qui se plantent dans la chair. C'est ce qu'elle veut, tu le sais, tu le sens. Alors tu ne te prives que moins encore. Utilisant cette prise pour posséder de nouveau pleinement ses courbes. Et aller et venir avec plus de fermeté encore. Quelques minutes. Avant que tu ne repousses le haut de son corps pour la faire se pencher en avant. De quoi pouvoir poser tes mains sur ses épaules et la maintenir dans cette position. Trop haute pour qu'elle puisse loger les siennes sur les coussins du canapé. L'invitant à maintenir son équilibre en les refermant autour de tes hanches, de tes cuisses ou de son propre corps. T'es trop occupé à la culbuter pour te soucier de ces détails.
Sujet: Re: (+18) north side gal ± Nashua Sam 12 Oct - 20:40
north side gal
Joshua - Nashandrä
« L'enfant qui sait se pencher sur l'animal souffrant saura un jour tendre la main à son frère. » Albert Schweitzer.
Joe, c'était c'genre de clients que tu n'comptais pas forcément revoir. Il y en a des mecs comme ça qui viennent et qui t'charment un peu. A qui t'adresses un sourire ou deux pour mieux cultiver ton côté mystérieux et les abandonner pantelant de leur côté du bar. Tu t'éprends pas franchement d'tes clients, tes plans habituels savent où te trouver s'ils désirent réellement te voir. Tu cours après personne la guigne. T'as bien trop été blessée par ce genre d'épisodes dans le passé, t'en portes encore certaines cicatrices de ton passage à vide de part et d'autres. T'essaies d'oublier les enfants perdus et tout ce que ça un jour pu signifier à tes yeux. T'aimes pas vraiment te remémorer cette époque joyeuse où Peter, Wendy, Clochette, Plume, Le bon Zigue, le frisé sans t'oublier fidèle guigne vous pouviez régner sur le Queens. T'as franchement l'impression qu'il c'est passé une vie, depuis vos histoires héroïques. Depuis ces espoirs de gamins trop épris du futur pour en connaître les limites. T'as envie d'y retourner parfois, de redevenir cette gosse insouciante. Puis tu te rends compte que t'as grandis. Que Milo avait raison lorsqu'il te rabâchait que tu valais mieux que ces histoires à dormir debout. Que t'étais rien, juste Nashandrä. Cette gosse aux parents disparus dans les world trade center, rien que cette petite norvégienne élevée à l'écossaise.
Il est revenu pourtant avec sa gueule enfarinée et son sourire en coin. Comment t'aurais pu lui refuser quoi que ce soit? Comment t'aurais pu refuser ne serait-ce que de lui servir un verre? Il est foutrement sexy Joe avec ses airs de dur tatoué, qui n'se laisse faire par personne. T'as un penchant en ce qui concerne les mauvais garçons Nash. Plutôt que de leurs trouver des défauts tu leurs trouve bien trop de qualités t'éprenant toujours plus d'eux fortement. T'es mauvaise en amour et t'auras beau essayer t'es pas l'air d'être sur le point d'changer. Comme si t'en étais incapable, comme si c'était ancré dans ta chaire qu't'étais réservée qu'à ces mauvais traitements à ton égard. Comme si tu t'complaisais à t'faire négliger d'la sorte alors que toi dans l'fond tout c'que tu désires vraiment c'est d'te laisser aller totalement. D'trouver l'chanceux qui mériterait peut-être la douceur que tu refuses à tout autres. Combien même tu t'laisses aller aux plaisirs rapprochés, il ne reste pas loin celui que tu attends. Tu sauras le reconnaître, lui laisser une chance. En attendant tu profites pleinement de ce que l'on t'offre comme ces coups d'reins que tu ne ressens que trop bien.
Forcément, que tu l'as invité à rejoindre ton humble demeure. Faut dire que t'avais pas vraiment envie de traîner à l'atelier ce soir. T'avais pas de quoi fumer, Salem n'était pas nourri. Tu pouvais amplement profiter d'une occasion telle que celle ci pour proposer à Joe de te ramener jusqu'à tes draps s'il voulait bien. S'y perdre le temps de quelques heures était très largement sous-entendu. Puis vous r'partirez à vos petites vies l'esprit plus léger. T'es pas idiote, loin d'être folle et tu ne sais que trop bien ce que ce genre d'hommes n'est pas fait pour toi. Que tu peux t'en éprendre inlassablement, leurs offrant tout ton être le temps de longues minutes mais tout ça ce n'est que du bluff. Que de la poudre aux yeux alors que tu tentes de berner tout ton petit monde en leur prouvant que tu peux être tout aussi forte sans leurs soutiens. Sans leurs forces. D'un côté c'est pas faux. T'as pu conter que sur Phil dans tes heures les plus sombres pour toujours mieux te ramener vers le droit chemin. En te montrant ce qui pouvait être bien et ce qui ne l'était pas. T'es devenue ainsi une bartender de confiance, une de ces nanas qui vient tenir les cheveux de ses habituées pour mieux leurs faire faciliter leurs renvois gastriques. Tu connais tous le monde foutrement par cœur. T'es amie avec chacune des âmes venant hanter ta grotte au fil des jours pour mieux te divertir, te persuader que la vie se trouve ici dans cette antre renfermée. Que tu n'rates rien alors que l'extérieur ne t'attends pas. Mais t'as des envies de grandeurs, des envies de changement. T'aimerais vivre de ta musique, te persuader qu'un jour il te sera possible que d'accomplir une telle chose. T'aimerais t'en persuader Nash, que tout ce chemin n'a pas été vain.
En attendant, tu profites comme tu le peux. T’égayes ta nuit en bonne compagnie, vos corps n'cessent d'apprendre à s'connaître pour mieux s'oublier lorsque l'jour viendra vous menacer d'ses rayons. Amnésie soudaine qui viendra vous frapper pour vous permettre de r'prendre tranquillement le chemin d'vos existences. Vos épidermes se mettent à brûler si fort que ta couenne te picoterait presque d'un feu agréable venant faire rougir ta peau ou même tes joues. T'as le souffle haletant, que tu tentes d'attraper au vol alors que ton dors retrouve son torse et que ses doigts invités par les tiens lui intiment le chemin jusqu'à ta poitrine s'agitant au même rythme que votre ballet bestial. Il n'a aucune retenue, prend ce qu'il a prendre pour son plaisir tout en pensant au tiens malgré tout lorsque le bout de ses phalanges agacent la pointe raidie ornant tes seins ou que ses doigts partent en direction de ton clitoris gonfler pour lui rendre et prouver qu'il n'est pas oublié. Tu n'as de cesses que de mêler tes rugissements aux siens, les jurons se ressemblant fortement peu importe d'entre quelle paire de lippes ils sont poussés. Ils transpire la passion réchauffant la pièce de son animosité. T'es pas totalement soumise à lui, faut dire que combien même tu te plais dans ce rôle parfois t'aimes tout autant prendre les décisions et c'est ce que tes reins viennent chanter alors que tu ondule toujours plus autour de l'encré.
Tu frissonnes lorsque le plat de ses mains quitte ta poitrine pour chercher tes épaules, te faire culbuter toujours plus contre lui comme pour mieux chasser les démons d'vos corps à tous les deux. Maître de ton équilibre à présent, tes ongles affûtés se perdent contre un bout de cuir lui appartenant. Son bassin, ses cuisses tu saisis de tout ce que tu peux alors que ces traitements menacent de faire imploser ta matière grise sous le coup d'un plaisir trop important, venant t'en faire perdre ton latin et tes gammes. Les soufflent s'emmêlent, vos corps se choquent et vous palpitez l'un contre l'autre alors que vos âmes solitaires se prennent au plaisir de se partager une fois encore. De s'éprendre d'une personne qui ne comprend que trop bien ce genre de sales travers, de quelqu'un n'émettant aucun jugement se contentant de prendre le plaisir là où il est. Un point c'est tout. T'es pas de ces nanas qui s'attachent, de celles qui attendent un message le lendemain comme une désespérée. Si tu ne croises plus sa route alors t'auras été ravie que de partager ton corps contre le sien pour vous laisser tomber ensemble dans les nuits fauves. Tu provoqueras pas le destin, tu laisses la porte ouverte aux éventualités aléatoires du destin. C'est bien plus amusant de le voir de cette façon.
Tes jambes se mettent à trembler sous le poids du plaisir qui ne demande qu'à se laisser aller. Vous dansez formidablement ensemble, projetant toujours plus vos gémissements étouffés contre les murs de ton appartement. Il n'y a aucune douceur, pas de sentiments. Un défouloir, un exutoire très clairement en revanche. Tu te laisses pleinement aller à ses sévices ayant vues le jour pour ta plus grande satisfaction alors que ta peau claque accord avec les siennes. Tu ne peux pas t'empêcher que de retourner ton visage à nouveau vers le sien pour capter ses opales orageuses noircies par le désir qui l'assaille. Les vas-et-viens t'arrachent de nombreux souffles audibles que tu tentes de réprimer alors qu'il cogne nerveusement l'animal, sans même te laisser une chance d'un répit. Tes lèvres se posent tout contre cette main reposant contre ta clavicule alors que tes canines mutines viennent taquiner un doigt trouvé dans le coin pour venir le faire rouler entre tes quenottes puis entre tes lèvres. A défaut de pouvoir mordre ou embrasser quelque chose c'est le revers de l'une de ses paluches contre laquelle tu frottes l'une de tes joues comme pour lui intimer toujours fortement à ton cou alors que tu lances les hostilités pour la montée de sa jouissance en appuyant sur ces frottements de lui contre ton intimité pour te ravager toujours plus. Ce soir, la solitude se fait la malle pour laisser place aux plaisirs charnels que vous ne savez que trop bien apprécier l'un comme l'autre.
Sujet: Re: (+18) north side gal ± Nashua Sam 19 Oct - 11:11
North side.
Why so serious ? Let's put a smile on that face !
Tu te fous bien de savoir si la jolie barmaid a l'habitude ou non de permettre à ses clients un tant soit peu beaux parleurs, d'échouer dans son appartement. Tu t'en fous, parce que t'as l'occasion d'en profiter. Quand bien même vous ne savez absolument rien l'un de l'autre. Ce n'est pas utile. Vous pouvez tout à fait vous passer de ça. Tant que vous profitez pleinement du corps de l'autre avec fougue et passion, pourquoi perdre du temps à se poser mille et une questions ? T'as pas besoin de savoir qui elle, d'où elle vient et quelle est son histoire, pour prendre plaisir à la sauter sur son canapé. C'est sans doute même si t'en apprenais trop sur elle, que tu serais moins intéressé. T'aimes pas avoir à trop réfléchir à l'autre Joe, c'est un fait. Si ce n'est à son plaisir, pour sûr. Ne serait-ce que parce que c'est beau à voir une nana qui jouit. Même quand tu ne la connais pas. Ou surtout quand tu ne la connais pas. Tu ne sais pas trop. Mais tu prends clairement ton pied à la voir elle même se perdre dans cette étreinte bestiale que vous partagez. Tu ne sais pas non plus si vous aurez de nouveau l'occasion de remettre ça tous les deux à l'avenir. Là encore, tu ne te poses pas plus de question que ça. A quoi bon ? T'aimes trop salir et abîmer son corps du passage ardent et fougueux du tien. Et tu pourrais bien reproduire ce schéma infernal tout au long de la nuit, si elle te le permettait.
Parce que tu peux tenir toute une nuit à cette même cadence infernale, si t'es suffisamment bien accompagné pour ça. Et t'as bien la sensation que c'est le cas ce soir. Que la jeune femme aux cheveux bleus est en mesure de te faire tenir tout ce temps et plus encore si l'envie lui prenait. Elle est sexy. Surtout quand elle s'amuse à te provoquer et à t'exciter pour te voir et t'entendre rugir d'envie puis de plaisir. Et elle semble bien trop aimer quand tu te perds rageusement contre ses courbes, pour s'en priver d'une quelconque façon que ce soit. C'est en tout cas bien la sensation qu'elle te donne et à toit, sans surprise, ça te convient. T'aimes bien les petites minettes qui ne se prennent pas du tout la tête et qui se contentent de prendre et donner avec passion. Sans se poser de question et sans tourner démesurément autour du pot. Et t'as bien la sensation qu'elle est de ces filles là, celle ci en particulier. Qu'elle peut se donner sans compter et sans rien attendre dans la foulée. Elle se fait toujours plus fougueuse et pleine d'ardeur alors qu'elle fait passionnément danser son bassin contre le tien, alors que son dos est pressé contre ton torse. Dieu ce que t'aimes la façon qu'elle a de se donner et de prendre toujours plus. Ses petits seins que tes mains empaument et maintiennent avec une certaine fermeté. Ses petits seins aux pointes tendues que tes doigts n'ont de cesse de malmener.
Vous êtes clairement sur la même longueur d'ondes tous les deux. Vous attendez exactement les mêmes choses de cette rencontre aussi délicieuse que soudaine. Vous ne souhaitez rien d'autre que partager quelques heures de sexe sans sentiment. Tu ne sais pas si t'auras envie de la revoir par la suite ou si, elle, le souhaitera. Tu ne te poses pas la moindre question alors que vous prenez votre pied ensemble. Vous n'allez certainement pas risquer de foutre en l'air cette étreinte des plus bestiales, en commençant à vous poser mille et une questions qui s'avéreraient bien inutiles. Et uniquement ça. Vous vous entendez bien sur ce plan physique alors il n'y a aucune raison pour que vous vous en priviez tous les deux, n'est-ce pas ? C'est ainsi que tu vois les choses en tout cas. Alors que tu continues de la prendre avec une douce fermeté. Que tu continues de malmener ses courbes parfaitement harmonieuses, de ton corps recouvert d'encre. Tu grondes tout bas alors qu'elle se fait presque chaton délicat quand elle vient se frotter à l'une de tes mains. Elles n'ont eut de cesse de malmener ses courbes délicates et pourtant, elle prend plaisir à s'y frotter comme si elles avaient été tendres avec et pour elle.
Tu grognes fort. Et tu bascules en avant avec elle pour plaquer son corps contre les coussins du canapé qui voit votre étreinte se faire toujours plus ferme et frénétique. Tu grognes encore alors que ton bassin ne claque que plus fort et plus violemment contre sa croupe relevée et alors que tes doigts se faufilent au plus profond de sa bouche. Joueur et provocateur au possible, tu les fais aller et venir. Sans te soucier du risque qu'elle les morde si la jouissance venait à la heurter de plein fouet à présent. Tu prends le risque parce que t'aimes bien trop posséder l’entièreté de ce corps parfait qui se donne au tien sans limite apparente. Ou tu ne les connais pas encore sans doute. Et dans le fond, tu ne demandes que ça de les connaître. Pour pouvoir profiter plus encore de cette compagnie des plus agréables. T'as vraiment bien fait d'aller la retrouver dans ce bar la jolie petite barmaid qui t'a rendu un fier service y'a de ça quelques semaines. Alors même que t'es venu sans rien attendre de spécial. Sans prévoir du tout qu'elle allait se donner à toi, ainsi.
Sujet: Re: (+18) north side gal ± Nashua Jeu 31 Oct - 3:31
north side gal
Joshua - Nashandrä
« L'enfant qui sait se pencher sur l'animal souffrant saura un jour tendre la main à son frère. » Albert Schweitzer.
Tu vis ta vie en solitaire, réglé comme du papier à musique. Tu te lèves chaque jour à la même heure combien même cela peut te sembler compliqué par instant. Tu te forces à traîner ta couenne à travers les murs de ton appartement pour y errer parfois nue ou bien couverte d'un tee-shirt bien trop grand pour toi alors que tes pas sont suivit de près par un Salem aux alertes en quête de nourriture. T'as perdu tes amis d'enfance, t'es persuadée qu'toi et les enfants perdus c'est de l'histoire ancienne. Quelque chose ne méritant pas d'être débattu car mort depuis trop longtemps pour mériter une quelconque importance. T'as été chassée de Neverland pas vrai? Ils t'ont banni alors que t'as été trop faible pour protéger votre héros. Le défendre ne serait-ce que quelques secondes pour lui offrir une fenêtre de temps nécessaire pour lui permettre de se faire la belle, s'enfuir dans la pénombre afin de mieux sauver sa peau. T'as été foutrement faible cette nuit là, la guigne. T'as été égoïste, t'as eu le malheur de penser que ta survie permettrait à Pan de s'en tirer plus tard alors que tu viendrais jouer des tours affreux aux poulets pour ne serait-ce que détourner l'attention des bleus quelques instants. Impitoyables, froids comme le marbre c'était leur décision plus forte que la tienne. Alors ils ont quittés un par uns ta chambre pour mieux t'abandonner. Te réduire à l'état de néant.
Tu t'es renfermée, devenant toujours plus secrète, distante avec ceux qui pouvaient t'entourer pour ne pas leur laisser la capacité que de t'atteindre. Ils ont su bâtir une carapace épaisse autour de toi même les enfants à qui t'as accordé toute ta confiance et ce pendant de nombreuses années. Plume, Clochette, Le frisé et le bon zigue. Il n'y a que ce dernier qui eut de la peine quant à la sentence irrévocable du groupe. La princesse ayant fuit depuis belle lurette n'ayant aucun droit de vote personne n'a prit la peine de te défendre. Parler en ton sens pour justifier ta peur et ton besoin de revenir en groupe. Qu'est-ce que la petite guigne inoffensive que tu faisais aurais pu faire contre ce flic déchaîné? L'agent Craven si ta mémoire ne te joue pas de tour, celui dont la fille est décédée des suites d'une mauvaise came vendue par Peter lui même alors que vous passiez la soirée ensembles, côte à côtes sans vous lâcher jusqu'à ce que tu aies besoin d'un verre d'eau et qu'elle fut introuvable jusqu'à ce que tu débouches sur cette ruelle. Shabh penchée vers le corps inanimé d'une gamine, ce mec déboulant de nulle part pour lui refaire le portrait accompagné des sirènes virulentes des véhicules envahissant la rue. T'étais mineure, alcoolisée, droguée. Tu pouvais pas te faire arrêter également, tu pouvais pas laisser deux enfants perdus tomber dans les filets des indiens alors t'as couru. Jusqu'à en perdre haleine, jusqu'à ce que tu n'aies plus aucune larme à pleurer.
T'as contacté les autres pour une réunion d'urgence, en espérant que ces derniers répondraient présent. Les enfants perdus de Neverland, parce que vous aviez promis que c'était un pour tous et tous pour un par vrai? Alors forcément qu'ils allaient t'accompagner pour faire trembler le lieu ou Peter se voudrait prisonnière. Bien sûr que vous trouveriez un plan en béton pour venir la délivrer et la récupérer. Au lieu de ça, tous ou presque sont venus te cracher au visage. Incapable petite guigne, trop effrayée pour sortir les griffes et se défendre qu'ils t'ont balancés. T'aurais dû la protéger quitte à te mettre en danger. Quitte à décevoir Siobbhan, te faire inculper pour homicide également alors que tu pouvais ignorer tout ce que Pan pouvait tramer. Tu ne méritais pas un tel jugement, pas un tel châtiment et pourtant t'as encaissé alors qu'ils quittaient un par un ta chambre par la fenêtre entrouverte. T'as pas laissé une larme filer alors qu'ils t'abandonnaient tous pour mieux disparaître dans la nuit sans laisser aucune traces. La princesse elle, n'a jamais rien su de tout ça. Mr et Mrs Darling ayant prit soin de l'éloigner de vous il y a ça de bien longtemps. Toi aussi t'aurais dû écouter S. Ne pas t'offrir autant des enfants de la rue, il n'y a qu'à voir la considération qu'ils ont eu à ton égard alors que l'une des votre se voulait en danger. Préférant vous déchirer plutôt que de vous unir pour aller récupérer votre leader.
T'as roulé ta bosse, t'as fait ton petit bonhomme de chemin comme on peut dire. T'as évolué seule, te faisant partie par partie en comblant les trous laissés par ceux t'ayant abandonnés. T'as été relevée par ton boss, par S' aussi qui se voulait plus impitoyable que jamais alors que t'enchaînais les heures au bar pour te faire un peu d'argent. L'atelier, c'est ton foyer. Ta fierté. Forcément que lors de votre rencontre t'as laissé Joe filer. Tu voulais pas créer de mauvaise pub à ton bar et tu voulais encore moins subir la présence insupportable des poulets que tu ne peux voir en couleur. Alors il peut bien rembourser sa dette en coups de reins incessants, t'arrachant toujours plus de soupirs et de plaintes lors que tu t'offres à/contre lui. Tu t'es redressée, forcément pour mieux apprécier la chaleur de son corps contre le tien. T'implorerais presque, suppliante de toujours plus. Son doigt que tu malmènes entre tes lippes serrées les coups de butoirs n'ont de cesses que de te faire gagner les coussins de ton canapé en profondeur pour y étouffer tes gémissement toujours plus retentissants. Grognements que vous vous offrez en guise de réponse lorsque votre plaisir frappe tel un éclair, foudroyant vos couennes agitées de spasmes incontrôlables.
T'es sur le point d'exploser à nouveau pour lui alors que votre étreinte se veut toujours plus bestiale. Il est comme ça Joe. Déroutant, impatient, violent. Il te fais perdre les pédales, jouir encore et encore alors que ses coups de butoir ne manquent pas de faire rougir ta croupe que tu lui offres malgré les soubresauts de ton corps transit de plaisir et d'envie. T'es clairement sur le point de te briser alors que t'ondules toujours aussi furieusement pour ne pas le lâcher. Le mener jusqu'à l'orgasme à son tour pour enfin craquer rageusement en toi sans aucune retenue. T'es une grande fille, tu sauras apprécier un si beau final des plus retentissants. Tes dents taquinent son doigt alors que tu le sens se débattre toujours plus, te fouiller encore et encore alors que t'oublies toute notion du temps et de l'espace. Petite guigne est devenue grande, à apprit à se défendre par elle même et tu n'en es pas peu fière. De cette image, de cette aura que tu renvoie aux autres. Masque porté très certainement mais avec brio. Tu grondes, grognes même alors que tu te retrouves totalement offerte, presque désarticulée par le bonheur physique faisant trembler tes muscles. Prêt ou pas, te voilà à nouveau. T'exploses inlassablement, encore une fois plus fortement que les autres alors que tes yeux peuvent presque apercevoir des étoiles tournoyant autour de toi. Voilà ce qu'être vivant veut dire.
Sujet: Re: (+18) north side gal ± Nashua Dim 3 Nov - 20:59
North side.
Why so serious ? Let's put a smile on that face !
A ta façon, t'es fascinée par la jeune barmaid aux cheveux bleus. Qui t'a clairement sauvé d'un mauvais pas il y a de ça quelques semaines. Ce qui n'était sans doute pas grand chose pour elle. Mais qui t'a tout de même rendu un fier service à toi. T'aurais été dans une sacrée merde si tu t'étais fait prendre ce soir là. T'aurais rapidement retrouvé le chemin de la prison que t'as quitté il y a encore trop peu de temps à ton goût. Pour y terminer ta peine que tu n'as pas eus à finir pour soit disant bon comportement. T'étais pas prêt pour ça. T'as fait un sacré boulot sur toi même pour avoir le droit de sortir si tôt. Ce n'est pas pour tout foutre en l'air maintenant que t'es libre. Même si t'es tout bonnement incapable de te montrer sage. T'es bien trop épris de liberté. Et chez toi, la liberté vient justement avec tout ça. Avec ce chaos que tu prends bien trop de plaisir à voir s'étendre sur ton passage. Il se manifeste avec la violence que tu provoques de tes doigts et de tes poings. Toi qui prends autant de plaisir à te battre qu'à baiser. C'est une stupide bagarre de bar qui t'a fait rencontrer la gamine aux cheveux bleus. Et c'est maintenant en la baisant avec une certaine hargne, que tu craches toute ta rage continuelle. Et répétée. Tu prends trop de plaisir à ne pas réfléchir quand t'y vas fort comme ça. Alors forcément, t'es pas mécontent qu'elle soit apte à encaisser le tout sans rechigner. Plutôt que de se plaindre, elle ne fait même rien d'autre que t'inciter à y aller toujours plus franchement. Ce que tu fais donc, sans surprise. C'est sans surprise non plus, que t'es en extase simplement parce que tu vois sa peau se parer de nouvelles couleurs après le passage de tes doigts. Et de ton bas ventre qui cogne si fort contre ses fesses.
Tu prends évidemment beaucoup de plaisir à entendre les gémissements d'extase de la jeune femme qui se donne toujours plus à toi. Avec toujours moins de restrictions, t'en es bien conscient. Il n'y en n'a sans doute pas eut non plus. En tout cas pas ailleurs que dans ta propre tête. Toi qui ne laisses pas toujours libre court à toutes tes envies dès les premières minutes, pour des raisons relativement évidentes. Tu n'es jamais sûr de pouvoir tout te permettre lorsqu'une nana se donne à toi. Il est évident que si ça ne tient qu'à toi, tu fais à coup sûr preuve de pas mal de rage. T'es un animal. Une bête sauvage. Tu refermes tes crocs avec férocité, autour des chairs fermes qui s'offrent à toi. T'empoignes trop fort comme pour retenir tes proies et les empêcher à tout prix de t'échapper. Quand bien même jamais aucune ne le cherche vraiment. A tous les coups, elles se donnent bien volontiers. Tendent sans se faire prier leur croupe parfaite pour que tu les possèdes avec vigueur et fermeté. Il n'y a que celles qui ne sont finalement pas tant avides que ça de la violence dans les ébats, qui en sortent relativement déçues. Tout le monde ne trouve pas son plaisir là dedans. Et toi, tu ne demandes pas aux autres de se faire à cette violence qui t'habite et ne te quitte plus. Alors ces autres ne peuvent exiger de toi que tu sois en mesure de t'en débarrasser non plus. Soit, ce qui est évident pour toi ne l'est pas forcément pour tout le monde. Tu l'apprends parfois un peu contre ton gré. Comme tout le monde, sans doute. C'est l'histoire de la vie.
Et parfois tu rencontres des personnes qui sont presque sur la même longueur d'ondes que toi. Celle ci par exemple. Cette barmaid qui encaisse non sans lâcher de nombreuses hurlements, cris et gémissements d'extase pure. Toi même tu ne peux retenir quelques grognements alors que le plaisir continue de grimper dans ton propre coeur. Poussé bien plus fort encore par l'orgasme qui fini par l'attraper et la faucher en plein vole. Tu jures et tu grognes. Tes doigts se plantent plus fort dans sa peau faussement délicate alors que tes reins ne font que se creuser toujours plus. T'as tout l'air de vouloir la démolir alors que tu continues d'y aller si fort, si vite, si violemment, si brutalement. L'animal se déchaîne. S'apprête à ne laisser que des morceaux de sa proie du jour/soir. T'auras encore pris trop de plaisir à tous ces échanges violents. Alors que tu déverses tout ton plaisir au creux de son ventre palpitant. Que tu grognes fort, de nouveau. Que tu te colles plus franchement à cette croupe tendue, tes mains toujours refermées autour d'elle. Dernier coups de reins et tu la libères. D'un mouvement sec pour l'éloigner de toi en la faisant basculer en avant. T'aimes bien trop malmener ces jolies courbes qui s'offrent à toi. Dis donc, tu r'gorges de surprises toi. Que tu ronronnes presque gentiment maintenant que vos corps se sont vaguement éloignés l'un de l'autre. Juste de quoi permettre à vos peaux couvertes d'une fine pellicule de sueur, de sécher. Et parce que vous n'allez tout simplement pas commencer à fricoter l'un avec l'autre. Du sexe pour du sexe. C'est bien là ce que vous recherchez tous les deux. Vous devriez donc vraiment être d'accord sur ces points là et ne pas chercher plus. Ni elle, ni toi. Si ce n'est à reproduire ce genre de rencontre entre vos deux carcasses, à la rigueur. Puisque vous vous êtes découvert une entente à ce niveau là. Que tu ne rencontres pas forcément très souvent.
Sujet: Re: (+18) north side gal ± Nashua Jeu 28 Nov - 6:04
north side gal
Joshua - Nashandrä
« L'enfant qui sait se pencher sur l'animal souffrant saura un jour tendre la main à son frère. » Albert Schweitzer.
Bosser à l'Atelier te permets d'être quelqu'un. D'exister malgré les Ledottir, d'exister malgré les enfants perdus. Tu es Nash', la barmaid aux cheveux bleutés dont la joie de vivre résonne entre les murs des lieux que tu hantes depuis près de huit ans maintenant. Les clients te connaissent, tu connais les habitudes de tous le monde sur le bout de tes doigts. L'enfant dont Siobbhan a eut à s'occuper malgré elle, la petite sœur que Milo à eut à endurer quasiment tout le long de sa vie. Peu de choses font ce que tu es aujourd'hui. Tu t'es détachée des choses du passé, celles qui te rendaient déprimée. Nostalgique. La guigne n'était dans le fond qu'un personnage. Un être imaginaire voué à disparaître aussitôt que les responsabilités viendraient t'heurter de plein fouet. Ça n'a pas manqué pas vrai? Lors de ta fuite face aux flics lorsqu'ils se sont vus embarquer l'héroïne de ton enfance. Lorsque tu as dû faire face à l'alcoolisme de ta mère adoptive et combler l'absence de son incapable de fils tout juste bon à vous fuir sans vous donner la moindre nouvelles. Combien même tu n'as rien à voir avec leur dispute. T'es multi-casquettes Nashandrä, et parfois t'as ce besoin de penser à toi. D'être égoïste.
Ce soir tu ne penses qu'à toi. T'en as rien à foutre qu'une jolie gazelle attende patiemment Joe une fois que celui-ci en aura fini avec toi et qu'il se décidera à regagner ses quatre murs fièrement perché sur son fidèle destrier à deux roues. Tu te fous de savoir si tu peux éventuellement t'attirer des problèmes auprès d'une petite amie jalouse ou quoi que ce soit. T'es pas là pour faire dans le social, pas là pour faire attention. T'as essayé d'être une bonne personne. D'être droite dans tes bottes et de ne pas heurter la sensibilité de qui que ce soit. Mais qui pouvait bien se foutre de la tienne pas vrai? Qui pouvait bien faire attention à toi Nash lorsque que tu te sentais acculée par toutes les misères du monde. Personne. Si t'es encore debout, tu le dois à ta force d'esprit. A ta niaque et à cette envie de ne jamais lâcher. De rendre la moindre morsure au centuple, de ne plus laisser la tristesse entrer dans ta vie. Tu préfères cette version de toi. Tu n'es plus la pauvre petite guigne qui passait son temps à se cacher dans les jupons de la princesse de Neverland bien au contraire. A présent tu mènes ton petit monde à la baguette, tu te veux barmaid sévère et appliquée. En général tu n'es pas tendre avec les fauteurs de troubles et tu préfères les renvoyer tout droit de là où ils viennent à coups de vacheries finement placées. Mais le tatoué lui, le soir où tu l'as aidé à prendre la fuite il avait rien demandé. Encore moins à se faire emmerdé par le premier connard bourré. Alors c'est dans un élan de bonté et de gentillesse que tu lui as indiqué la "sortie de secours". Une seule et unique fois, plus de passe droits possibles.
Vient l'explosion des sens, ce sentiment d'être finalement légère. Tu vibres de façon compulsive, ton corps tremble frénétiquement. Tout ce que le tatoué te fait endurer tu l'accueilles avec le plus grand des plaisir. Tu gémis, geins tout le plaisir qu'il te fait ressentir avec force. Tu n'es que trop rarement entre de si bonnes mains, voir pas du tout il faut dire. De temps à autres tu te laisses aller à un client au charme intéressant, au charisme prometteur alors tu l'emmènes dans ta garçonnière. Pour quelques heures, juste ce qu'il faut histoire de fatiguer les corps. Le barbu se veut de plus en plus rageur, son bassin te culbutant toujours plus férocement pour venir faire rougir ta croupe. Tu ne recherches aucune douceur lors de se genre d'étreintes. T'as juste ce besoin irrépressible de te sentir en vie. De ressentir quelque chose tout simplement, autrement qu'avec tes doigts scotchés au manche de ta guitare que tu saignes inlassablement. Les phalanges tatouées malmènent ta peau, s'y ancrent fortement alors que les râles se déchaînent. Rebondissent clairement dans ton duplex pour retentir quelques secondes après de leurs résonnements. Les feulements se tirent dans les graves, l'étreinte se crispe puis se relâche après que tu aies été gratifié de sa chaleur explosant en toi en un millier de particules de plaisir. Tu halètes, trembles alors que tu t'écrases franchement sur tes coussins. L'entièreté de ton corps tremble, offert à la vue de l'encré ayant finalement explosé à son tour.
T'es presque étonnée de ses ronronnements alors que sa voix vient s'élever dans ton dos, saccadée par sa recherche d'air aussi intense que la tienne. Tu roules sur le flanc en dégageant tes jambes raidies tant bien que mal afin de libérer la place. La boule d'euphorie dans ta gorge explose en un rire cristallin. "Et encore, t'es resté sage." Que tu te contentes de joué en roulant des yeux, te plaçant sur tes deux jambes fièrement, les poings sur les hanches et tes cheveux bleutés totalement décoiffés. "J'espère que t'as de la réserve." C'est faussement innocente que ta voix chantonne alors que totalement nue tu files à travers ton appartement d'un pas léger presque dansant. Tu mérites foutrement une brève douche. "J'te laisse faire comme chez toi, laisse moi juste un peu de whisky soit mignon. Si tu tiens à t'occuper, j'te laisse nous rouler un joint aussi beau que le mien! Impressionnes moi!" Tu joues, alors que ton visage se retourne pour se poser contre ton épaule pendant que tu reposes contre la porte menant à ta salle de bain t'appelant désespérément tant ton épiderme brûle. Tu finis par disparaître rapidement, laissant la porte entre-ouverte derrière toi avant de t'engouffrer dans la pénombre de la pièce. Tes doigts tâtonnent, à la recherche de l'interrupteur qui finalement cède sous la pulpe de tes phalanges.
Ni une ni deux, tu te laisses glisser dans la cabine de douche dont l'eau fraîche ne manque pas de mordre ta peau pour la faire frissonner. Tu te savonnes, une légère odeur de miel venant recouvrir ta peau. Tes cheveux attachés en un bun bien haut sur ton crâne, tu évites soigneusement de les mouiller et tu finis ta douche en un temps record juste ce qu'il te fallait pour redescendre brièvement en température avant un nouveau round des plus tarés t'y comptes bien. Te drapant dans l'un de tes draps de bain, tes pieds encore mouillés tu regagnes le parquet de la salle principale. Salem apparaît dans ton champs de vision grimpant les marches menant à l'étage du duplex deux par deux pour se réfugier au calme et loin de vous surtout. "J'ai pas été trop longue?" Que tu t'inquiètes en regagnant peu à peu le salon. Tu viens attraper l'une de tes guitares d'une main et te laisses lourdement tomber dans ton sofa. Toujours aussi peu vêtue et les jambes installées en tailleur tu te mets à grattouiller quelques accords en fredonnant joyeusement. T'es pas forcément pressée, t'es loin d'être une couche tôt. Il peut bien quitter les lieux à huit heures du matin comme à quatorze, tu pourrais toujours être éveillée s'il se voulait joueur et avide de toi. Tu balayes un regard rapide sur la table et lâche un instant ton médiator pour attraper ton verre et offrir à ton œsophage une gorgée de ce liquide ambré bien âgé que tu réserves pour les meilleures soirées. "J'vois que t'as pas transformé mon chat en sushi! J'en conclu donc qu'il a été plutôt docile!" Que tu notifies en riant alors que ce gros tas noir poilu à fuit à l'étage. Peut être que l'un des regards de Joe à suffit à le faire fuir. Heureusement que sa maîtresse est bien plus téméraire et n'hésite pas à se frotter à cet animal inconnu ayant prit place entre vos murs pour ton plus grand plaisir.
Sujet: Re: (+18) north side gal ± Nashua Dim 15 Déc - 19:02
North side.
Why so serious ? Let's put a smile on that face !
Tu ne connais ni le passé ni le présent de cette jeune femme aux cheveux bleus, que tu as rencontré tout à fait par hasard. Et avec qui tu sembles pouvoir bien t'entendre alors que vous vous rencontrez pour la seconde fois. Et que ce soir vous faites bien plus que discuter, déconner et quoi que ce soit d'autre de ce genre. Loin de vous êtes tournés autour bien longtemps, vous n'avez pas manqué de vous jeter l'un sur l'autre en un rien de temps. De la façon la plus chaude et la plus torride qui soit, assurément. A quoi bon tourner autour du pot alors que c'était d'une telle évidence, que la finalité serait celle ci ? Vous n'êtes pas des gamins. Loin de là. Vous êtes deux adultes bien sûrs de ce qu'ils font, en pleine possession de leurs moyens et bien décidés à ne faire que ce que bon leur semble. Jusqu'au bout. De l'heure, de la nuit, de plusieurs jours, tu n'en sais trop rien. Ce n'est peut-être l'histoire que d'une seule fois et ça te convient parfaitement également. T'as bien l'intention d'en profiter le temps que ça durera et ça ne fait aucun doute qu'il en va de même pour elle. Elle semble être autant accro à la liberté que toi même tu l'es. Deux adultes consentants prêts à partager une nuit passionnée et probablement sans lendemain, donc. Ce n'est pas toi qui iras t'en plaindre. Tu n'as pas à jouer la comédie ce soir.
Tu ne sais pas du tout à quoi elle pensait ce fameux soir de votre rencontre, quand elle t'a offert une porte de sortie. Tu ne sais pas si elle t'a prit pour un mec sympa qui n'avait vraiment rien demandé et qui n'avait rien fait pour mériter la violence de cet ivrogne. Ou si elle a bel et bien cerné le genre de personnage que tu pouvais bien être. Dans tous les cas, elle t'a rendu un service qui vous aura finalement mené à ce qui se joue entre vous ce soir. Dans cet appartement qui est le sien. Sur son canapé qui aura eut une certaine dose de passion à encaisser. Parce que vous n'avez pas non plus fait dans la dentelle tous les deux. Trop de rage au creux des reins, pour ta part. Après quelques provocations de sa part, surtout. Qui n'ont pas manqué de secouer ton envie d'elle de plus en plus pesante alors qu'elle se jouait de toi dans le bar témoin de votre rencontre. Et plus elle t'a fait sentir son plaisir à encaisser tant de violence de ta part, plus tu en as fait preuve. Bien incapable de faire autrement à vrai dire. Désireux de toujours plus. T'es ainsi. Et toutes les femmes ne sont pas forcément faites pour encaisser ce genre de rage aux reins. Toutes les femmes n'apprécient pas forcément, c'est une évidence. De la même façon qu'il est évident que Nashandrä, pour sa part, apprécie ça. Et qu'elle ne manque pas d'en demander toujours plus, avec l'orgasme retentissant.
Après l'étreinte, la taquinerie/provocation. Avant que tu ne t'éloignes quelque peu d'elle, pour permettre à vos respirations de retrouver de leur régularité et à vos peaux de se rafraîchir. J'suis resté sage moi ? Que tu grognes, animal mécontent. Animal presque froissé alors que tu n'avais certainement pas la sensation de te montrer doux avec elle. Tu doutes fort qu'elle apprécierait d'encaisser quelques coups entre deux coups de reins bien sentis pourtant. Tu te contentes de lever les yeux au ciel quand elle t'invite à faire comme chez toi, mais pas trop finalement. En revanche, tes yeux reviennent à elle quand elle s'éloigne. Dans sa tenue d'Eve des plus sexy, elle rejoint la salle de bain. Posture aguicheuse qui ne manque pas de faire naître un petit sourire joueur sur tes lèvres. T'as déjà une féroce envie de coller ton corps au sien pour une nouvelle étreinte des plus torrides et bestiales. Tu restes pourtant sage et te contente de remettre un semblant d'ordre dans ta tenue. Jean qui recouvre de nouveau pleinement tes fesses et tes hanches, quand bien même tu ne prends pas la peine de le refermer. Tu remplis son verre de l'alcool ambré qui trône toujours fièrement sur la table basse et ne manque pas d'en remplir un pour toi également, au passage. Que tu portes à tes lèvres pour une profonde gorgée. Avant de te concentrer sur la tâche qu'elle t'a donné avant de disparaître.
Tu prends ton temps pour vous rouler un joint aussi parfait que possible. Pas tout à fait digne d'une oeuvre d'art, mais pas loin non plus. T'es sans doute moins habitué qu'elle à la chose. Tu l'abandonnes au bord de la table et ne manque pas de repousser le chat quand il tend la truffe pour sentir le cône. Il prend le temps de t'offrir un regard plein de dédain, avant de te tourner le dos et de s'éloigner. Tête haute, queue en l'air. La fierté évidente. Tu n'aimes vraiment pas ces bestioles là. Quand Nash sort de sa salle de bain, la boule de poils lui passe sous le nez pour se tirer pour de bon. J'sais pas, j'étais trop occupé à m'appliquer pour r'marquer quoi que ce soit. Que tu réponds en désignant le joint d'un mouvement de menton. Tu te cales confortablement contre le dossier du canapé, en récupérant ton verre pour en avaler une nouvelle gorgée. Hein ? J'déteste ces machins là. Ils sont encore plus imbus d'eux mêmes que n'importe quel être humain. Et Dieu sait qu'j'supporte pas les Hommes non plus ! Que tu grognes en levant de nouveau les yeux au ciel. De toute façon il était plus intéressé par ton joint qu'par moi et ça m'arrange. Conclusion faite dans un énième grognement. Pour ne pas trop changer. Tu ne sais pas parler autrement il faut croire. Tu ne sais pas parler, tout court.