(+18) north side gal ± Nashua

North side.

Why so serious ? Let's put a smile on that face !

T'es pas tellement cabossé en ce moment, Joe. T'es même carrément frais avec tes grands yeux bleus sans coquard pour alourdir ton regard ni de cernes pour l'assombrir. C'est rare de te voir comme ça. Mais faut croire que t'as, en quelques sortes, besoin d'une petite pause. C'est ton corps, plutôt, qui en a besoin. Sans ça, tu vas bientôt finir à plat et être incapable de continuer sur ta si belle lancée. Ce que tu ne peux décemment pas accepter. T'as trop besoin de cette violence dans ta vie pour évacuer ton éternelle rage. Alors la dernière fois que tu t'es fais cogner dessus, remonte à ta nuit avec Houna. Qui n'est pas si ancienne que ça. Mais quand tu t'es joint à elle ce soir là, t'as été plutôt sage et t'as fait en sorte d'éviter les coups pour ne pas finir trop cabossé. T'aimes ça. Mais tu dois quand même penser à l'état de ton corps ensuite. Si t'as envie qu'il continue de fonctionner. Au moins assez pour pouvoir gérer ton second passe temps préféré : le sexe. T'as même été capable de fuir une bagarre dernièrement. Pas parce que tu craignais de prendre des coups pourtant ... T'as surtout fuis à l'idée des flics. T'as pas envie de retourner en prison à cause d'un crétin qui t'a cherché des noises. Mais ce n'est pas arrivé de toute façon. Non seulement t'as même pas eus le temps de foutre ton poing dans la tronche de ce mec. Mais en plus, y a cette nana aux cheveux ultra colorés, qui t'a rendu un sacré service. Quand elle t'a permis de prendre la fuite avant l'arrivée des flics. T'as pas du tout pris le temps de te poser mille question. T'as suivis puis t'as fuis sans demander ton reste.

T'as beau n'avoir rien fait ce soir là pour mériter de te faire attraper par la police, tu sais qu'ils n'auraient pas tourné autour du pot bien longtemps malgré tout. Toujours satisfaits au plus haut point de pouvoir foutre les petits cons dans ton genre, derrière les barreaux. Tu sais que tu l'aurais quand même bien mérité. Mais t'as pas envie d'finir en tôle putain. Du coup, tu t'es dis que tu lui devais une fière chandelle à la minette aux cheveux bleus. Elle n'a pas manqué de te faire remarquer que tu lui revaudrais ça d'ailleurs. Alors tu te pointes devant le bar dans lequel elle bosse, bien décidé à payer ta dette. C'est rare que tu ne foutes pas les pieds dans un lieu comme ça, pour y faire régner le désordre. Ce soir, t'as l'intention d'être sage. L'animal est relativement calme alors tu le laisses dormir le temps qu'il a besoin. Le temps pour ton corps de se remettre complètement sur pieds. C'est pour reprendre de plus bel ensuite, cela va s'en dire. Aussitôt que la bête se réveillera, il te faudra te remettre dans le bain. Vite et fort. C'est comme ça que t'es le plus heureux. Le plus en phase avec toi même. Mais ce n'est pas pour ce soir. Quand t'abandonnes ta bécane juste devant le bar, c'est le signe que t'espères ne pas rester trop longtemps. Normalement le bar devrait être fermé à cette heure ci. Tu te dis que la minette va bientôt être disponible. Et pouvoir éventuellement te dire ce que tu pourrais faire pour "la remercier". Parce que toi t'as pas la moindre idée. Mais que t'as besoin de te "débarrasser" de ça au plus vite.

Tu viens quand même t'installer au comptoir. Tu réponds rien à sa première exclamation alors qu'elle semble surprise de te voir entrer. Au lieu de répondre, t'attends sagement qu'elle descende de son perchoir. Elle le fait et t'arraches un ricanement en t'appelant par ton prénom. Elle s'en rappelle. T'ignores si c'est une bonne ou une mauvaise chose. Ouais tant qu'à faire j'vais bien prendre un verre. Un Whisky ! Le meilleur tant qu'à faire. T'es accro au Whisky et à la bière comme pas mal d'hommes, selon toi. T'es pas tellement original à ce niveau là. Mais t'assumes surtout. Mais j'suis pas venu pour ça à la base. J'ai toujours une dette envers toi. Alors j'passais voir si t'avais une idée de c'que je peux faire pour toi en retour. Et comme si t'étais le gars le plus adorable et le plus innocent de la terre, tu flanques ton crâne contre ton poing refermé, de ton bras replié sur le comptoir. Le tout pour la regarder avec un sourire presque enfantin. T'es pas vraiment comme ça bien sûr. Tu joues la comédie. Parce que tu fais que ça, tout le temps. Jouer la comédie pour amadouer. Ce soir tu ne le fais pas avec un but véritable. Si ce n'est le fait de t'amuser un peu. Parce que cette fille t'a donné bonne impression du peu que tu l'as vu la fois dernière. Entre deux verres que tu t'es enfilé pendant qu'un emmerdeur cherchait à rencontrer tes poings. Elle aurait pu se contenter de rester en dehors de tout ça. Au lieu de ça, elle est intervenue pour te guider vers l'extérieur, par une porte à l'arrière. T'as pas eus le temps de la remercier. Mais t'es pas vraiment du genre à dire merci. C'est comme les dettes que t'as ensuite. Tu fais en sorte de vite t'en débarrasser pour pouvoir passer à autre chose sans risquer que ça ne te retombe sur le coin du nez un jour ou l'autre.

North side.

Why so serious ? Let's put a smile on that face !

T'as pas vraiment le temps d'apprécier les quelques notes que les doigts féminins arrachent à sa guitare. Très vite, elle descend de son perchoir pour se concentrer sur toi. Tu sais que l'heure de la fermeture a plus que sonné. C'est même la raison de ta présence à cette heure ci. Toi qui offres un petit sourire à la jeune femme qui évolue de nouveau derrière le comptoir, les deux pieds bien sur terre. Ton sourire qui s’accentue plus encore quand elle t'appelle par ton prénom. Elle n'a pas oublié votre dernière rencontre. Avec un peu de chance, elle aura même l'idée du service que tu pourrais lui rendre en retour du sien. Elle t'a aidé. Il est normal que tu lui rendes la faveur. T'espères simplement qu'elle ne sera pas trop gourmande en te faisant une demande à laquelle tu ne pourras répondre par la positive. Elle se rappelle aussi de ta préférence en ce qui concerne l'alcool. Et très vite, elle te prépare une boisson alcoolisée. Tu ne peux refuser l'offre si gracieusement proposée. Tu la regardes même avec un certain sérieux quand elle te prépare ton cocktail. T'es le genre à boire son whisky pur avec rien que de la glace. Mais c'est elle la barmaid. Et c'est elle qui offre. Alors tu ne vas pas te plaindre. Tu profites qu'elle soit plongée dans cette préparation, pour lui rappeler la dette que tu lui dois toujours. T'espères que si elle n'y a pas encore réfléchit, elle va le faire maintenant et être en mesure de te dire ce qu'elle attend de toi.

C'est tout ? Que tu t'étonnes un peu à sa réponse. Puis tu hausses les épaules. Pourquoi pas ? C'aurait pu être pire. Tu désignes d'un vague mouvement de menton ton deux roues visible juste devant les fenêtres du bar. Si t'as pas peur de grimper là dessus... Rares sont les nanas qui refusent une telle proposition. Ne serait-ce que parce que ce n'est pas un bolide qui roule démesurément vite. T'as eus de ça également. Et puis t'as atterris derrière les barreaux et ta mère a revendu une partie de ton bordel parce qu'elle ne pouvait tout stocker. Mais t'es consciente que j'pourrais être ta mauvaise rencontre du soir ? Que t'enchaînes avec un petit sourire provocateur au coin des lèvres. T'es pas un adorable petit animal qui attend qu'on le grattouille entre les oreilles. Tu peux devenir dangereux, très vite. Même avec les petites minettes qui veulent jouer aux plus malines avec toi. Mais elle t'a vu à l'oeuvre, la barmaid, en soit. Elle t'a vu capable de résister à des provocations durant quelques minutes. Mais tout aussi capable de flanquer ton poing sans prévenir, dans la gueule du type venu t'emmerder. T'es capable de tout ça et de plus encore. Elle doit s'en douter. Même si en cet instant, t'as l'air d'un vrai petit ange quand elle pivote pour t'apporter ton verre. T'en es conscient puisque t'en joues de façon très volontaire. Puisque tu t'amuses à ça aussi. Toi, le petit enfoiré de service, sans foi ni loi. Tu sais tout aussi bien être un vrai petit ange, juste pour donner le change ou pour t'amuser. T'as pas de raison particulière de le faire à l'instant présent. Si ce n'est t'amuser, un peu. Et apparemment, déclencher l'hilarité chez la barmaid qui rit à gorge déployée. En retour, tu ne ris pas. Il t'en faut plus pour te laisser aller. Mais t'affiches un petit sourire amusé parce qu'elle a quand même le rire communicatif.

Tu portes déjà ton verre à tes lèvres pour le goûter, non sans une certaine appréhension. Alors que ton regard flotte toujours dans la direction de la jeune femme qui passe par dessus le bar pour revenir du côté de la salle. Tu notes la souplesse et l'élégance des mouvements. Tu notes toujours ce genre de petite information. C'est presque plus fort que toi. Tu perds de ton air innocent aussitôt que tes yeux rencontrent les fesses joliment moulées dans un petit short. T'as plus l'air d'un fauve qui guette une jolie gazelle innocente qui s'abreuve tranquillement, inconsciente de ta présence dans les fougères. T'as toujours l'air de ce fauve en filature quand tu relèves la tête pour croiser ses yeux vairons qui te fixent, au dessus de ce balais à la con. J'paie toujours mes dettes. Surtout celles que j'ai envers une jolie fille. Que tu rétorques, le sourire aux lèvres toujours. Beau parleur de base. Tu cherches pas à innover pour le coup. Parce que t'as rarement besoin de faire plus d'effort avec ta belle gueule. Et que ça t'arrange. Tu sais avoir l'air d'un amoureux transis au passé de petit délinquant, quand ça t'arrange. Mais tu sais aussi être le coureur de jupons de base qui n'a pas grand chose à faire pour attirer les filles. En soit, cette fille là tu ne cherches pas particulièrement à prendre place entre ses cuisses. Ou pas encore du moins. T'es d'abord très sérieux dans la raison qui t'a fait venir dans ce bar ce soir. Ton intention de lui rendre un service pour la remercier pour la fois dernière. J'ai même attendu l'heure de la fermeture. Ok, c'était aussi pour éviter les types en mal de bagarres. Mais peu importe ! Tu roules des yeux à ce souvenir. Quand toi t'es sage et t'évites de te foutre sur la gueule, ce sont les autres qui viennent pour t'emmerder. Pour une fois que t'avais rien à te reprocher.

North side.

Why so serious ? Let's put a smile on that face !

Tu n'es vraiment pas du genre à vivre en gardant des dettes. Si tu peux t'en débarrasser rapidement, tu le fais. Tu ne tiens vraiment pas à ce que la personne à l'encontre de laquelle t'as ces dettes, puisse débarquer du jour au lendemain pour exiger un paiement quelconque. C'est un risque que tu n'apprécies pas du tout. Raison pour laquelle tu fais en sorte que ça ne dure pas trop longtemps ça. Mieux vaut rendre un service quelconque/gentillet plutôt que de te retrouver avec un truc démesuré à faire en guise de remerciement. C'est déjà arrivé que ça te tombe sur la gueule un beau jour, tout à fait par hasard, alors que t'étais bien passé à autre chose depuis un moment. C'est depuis cet épisode là que tu te montres aussi prudent. Même si t'imagines assez mal la petite barmaid te demander un truc totalement fou. Dans le fond, tu ne peux pas savoir. Ce n'est pas comme si tu la connaissais outre mesure. Une rencontre ce n'est définitivement pas suffisant pour pouvoir prétendre connaître une personne et deviner le genre de vie qu'elle peut bien mener. Surtout pas une rencontre comme la votre. Pour le moins atypique. Au cours de laquelle vous n'avez absolument pas discuté tous les deux. A tel point, que tu n'as pas même eus l'occasion d'apprendre son prénom. T'es pourtant curieux de le connaître maintenant que t'es là devant elle, à l'observer plus ou moins en silence.

T'es surpris que sa seule requête soit d'être ramenée chez elle. Mais pas étonné d'apprendre que la moto ne l'effraie pas. Loin de là apparemment. Sa réponse est claire, nette et précise. Et elle t'arrache un rire presque doux. Presque chantant. Qui se fait grognement qui roule dans ta gorge quand elle reprend tes mots pour inverser les rôles. Se mettre dans celui du prédateur de la soirée qui pourrait prochainement refermer ses crocs autour de ta gorge. T'es pas fait pour le rôle de la proie. Mais soit. L'idée est tout de même très excitante. T'es consciente qu'en disant ça t'arrives juste à m'filer l'envie d'me retrouver seul avec toi ? Juste pour voir ... Que tu rétorques, sourire provocateur et joueur au coin des lèvres. Si elle est véritablement dangereuse, tu demandes à voir. Parce que l'idée te plait. Parce que t'es loin d'être un gamin innocent et sans défense. Ce dont elle doit se douter. Suffit de voir comme ta gueule est à peine remise de tes dernières altercations violentes. Tu te cales un peu plus confortablement sur ton tabouret quand la minette passe par dessus le bar pour rejoindre la salle principale. Histoire de nettoyer un peu le tout avant de fermer l'endroit. Ce qui ne vous empêche pas de discuter encore. Tu parles de la dette que t'as envers elle, de nouveau. N'abuse pas des bonnes choses ... Que tu grondes tout bas. Tu ne te veux pas encore menaçant pourtant. Pas tout à fait. T'es plus dans le jeu ce soir. Avec elle. Parce qu'elle t'amuse. Et uniquement ça.

T'as un nouveau grognement qui roule dans ta gorge mais que tu te forces à étouffer, à ravaler avec une gorgée de ton cocktail, quand elle parle récompense. Tu le termines ton verre, avant de le faire claquer sur le comptoir et de le faire glisser dans sa direction. Pour qu'elle puisse le récupérer, le laver et le ranger. Tu te doutes qu'elle doit avoir hâte de quitter enfin le bar. Qu'elle aime ou non son boulot, elle doit être heureuse de voir la fin de sa journée/soirée/nuit de travail arriver. Et tu seras là pour la raccompagner chez elle. Si ce n'est pas parfait ça ... ! Évite de me mettre l'eau à la bouche. J'ai vraiment peur d'être déçu. Que tu balances, amusé. Vous parlez peut-être la même langue. Mais peut-être que non, aussi. Peut-être que toi t'entends quelque chose de sexuel là où il n'est pas du tout question de ça en réalité. T'es le genre d'homme qui n'hésite pas à espérer et demander des faveurs sexuelles en guise de remerciements, Joe. T'as jamais prétendu être un gentil petit gars qui respecte les femmes à l'excès. T'estimes que les sauter, c'est déjà leur faire montre d'un certain respect. Tu ne les sautes pas toutes. Juste celles qui te plaisent un minimum. Il est vrai que tu n'es pas difficile. Mais ce n'est qu'un détail.

Tu ne réponds rien quand elle fait remarquer qu'elle ne s'est pas présentée. En effet, elle ne l'a pas fait. T'attends donc maintenant qu'elle le fasse. Tu ne doutes pas que c'est dans ses intentions du coup. Elle abandonne tout ce qu'elle était en train de faire pour se ramener vers toi. Tu ne te sépares plus de ton petit sourire. Il prend simplement différentes teintes. Tantôt amusé, tantôt provocateur, tantôt joueur. Elle t'amuse autant qu'elle te file l'envie de l'embarquer dans un coin plus sombre du bar pour te perdre en elle. Tu ne te fais pas prier pour refermer tes doigts encrés autour des siens. Plus simple à ret'nir. Que tu constates simplement en ce qui concerne son prénom. Inutile que j'te rappelle mon prénom. Me semble que t'as plutôt bonne mémoire. Elle te l'a prouvé en se rappelant précisément quel alcool tu préfères boire et en t'appelant par ton prénom d'ailleurs. Ce n'est pas rien. Comment tu peux prétendre être un potentiel danger pour moi, et ensuite afficher un tel sourire de gamine ? Que tu commentes, à la vue de son regard des plus pétillants. Au premier abord, Nash n'est pas le genre de minette sur laquelle tu t'arrêtes. Elle est sexy et elle a de la gueule, assurément. Mais elle est bien trop solaire, trop spontanée, trop souriante, trop pétillante. Mais sa malice se mêle à une petite dose de provocation. C'est suffisant pour foutre le feu au brasier avec toi.

North side.

Why so serious ? Let's put a smile on that face !

T'es bien obligé de t'amuser alors qu'elle sous entend clairement que de vous deux, c'est peut-être elle la plus dangereuse. Tu sais qu'il ne faut pas se fier aux apparences. Mais tout de même. T'es loin d'être une brebis innocente. T'es pas le genre qui se fait dévorer par les grands prédateurs. C'est plutôt ton rôle ça. C'est toi qui refermes tes crocs sur les gorges fragiles et les corps trop peu résistants. C'est bien parti pour que la jolie barmaid soit l'une de tes proies, dès ce soir. Elle te provoque beaucoup trop pour qu'il en soit autrement, c'est certain. Elle te fait d'ailleurs remarquer que vous n'êtes justement que tous les deux. Tu lances un coup à la ronde pour vérifier. Et constater que, effectivement, les quelques derniers traînent-la-patte ne sont plus là. Hm ... j'me demande ce qui me retient de salir l'une de ces tables... En salir une, des fesses féminines moites de sueur qui glisseraient dessus au rythme de ses vas et vient entre ses cuisses ouvertes. Par exemple. Ce qui te retient de le faire, c'est probablement l'idée d'atterrir bientôt chez elle. Beaucoup plus de confort. Et de possibilités. Un lent sourire vient étirer tes lèvres à sa nouvelle répartie. T'sais que t'en arriverais presque à m'plaire là ? Que tu commentes, relativement amusé. Et pas moins excité. Il y a de quoi. C'est qu'elle est ouvertement en train de te provoquer Joe. Et ça, tu sais pas comment y résister. Tu n'essaies, à vrai dire, pas du tout. A quoi bon ?

T'apprends finalement son prénom. Tu ne le retiendras pas. Le surnom est bien plus simple à mémoriser. Apparemment t'as pas sa mémoire à toutes épreuves. J'imagine que c'est aussi chouette que c'est emmerdant. De retenir des détails qu'elle préférerait parfois oublier, sans doute. Tu sais pas. T'en sais rien du tout. Et dans le fond, ça ne t'intéresse pas autant que les questions qui commencent à te tourner en tête. Des questions existentielles comme ; comment sont ses sous vêtements à cet instant précis ? Quelle taille de poitrine est planquée sous ce haut ? Est-ce que ses fesses sont fermes ? T'es venu presque innocemment Joe. Mais la petite bleutée a eut vite fait d'allumer la flamme du désir chez toi. Il faut dire que t'es toujours très réactif quand une gonzesse un tant soit peu jolie et bien roulée, te tourne autour. Et sait parfaitement jouer la carte de la provocation comme c'est tout à fait le cas de celle ci. Tu ne peux toutefois que remarquer ses airs un peu plus enfantin quand elle t'offre un sourire de gamine au regard qui pétille. A sa réponse, tu grondes un peu. Elle ne peut s'empêcher de te provoquer apparemment. Parce que tu doutes d'avoir juste l'esprit mal placé. Même si c'est vrai également. On verra ça. Que tu rétorques maintenant que t'as plus aucun doute quant à la suite de cette soirée / nuit.

T'es nouveau sage pour l'attendre patiemment. Ton coude plié et posé sur le comptoir, ton poing sous ton menton et ton regard rivé sur le postérieur toujours en action alors qu'elle s'attelle à sa tâche. Qu'elle frotte le sol avec énergie. Dieu merci, ça ne dure pas bien longtemps avant qu'enfin elle ne soit libre. Tu ne te fais pas prier pour te lever et prendre la direction de la porte par laquelle t'es entré. Elle t'arrache encore un grognement bien involontaire, quand elle balance un énième sous entendu. Tu lui offres un regard sombre. Presque menaçant. Alors que chacune de ses petites provocations provoque un mini ras de marée dans l'ensemble de ton corps. Qu'ils sont là pour titiller la boule de tension au creux de tes reins. Tu vas finir salement excité et être tout bonnement incapable de te retenir de lui bondir dessus comme tu te vois déjà très bien le faire. Tu ne réponds rien. Tu rejoins ta moto sur laquelle tu prends tranquillement place. Tu ne prends pas la peine d'enfiler ton casque ni de lui en proposer un. T'as pas de temps à perdre avec ça. Et la liberté offerte par l'absence de casque sur ton crâne, est bien trop bonne pour être constamment bafouée et/ou étouffée. Alors tu passes outre cette règle, au moins pour ce soir. C'toi que j'attends j'te signale. Que tu réponds en faisant ronronner ton deux roues.

T'attends quand même qu'elle t'indique son adresse et soit installée dans ton dos, pour t'engager sur la route. T'es un peu trop conscient de ses cuisses de part et d'autre des tiennes et de ses bras autour de toi. Tu tentes tout de même de faire un minimum abstraction de tout ça. Sans quoi, tu risques de t'arrêter n'importe où pour la prendre dans une ruelle. Contre un mur d'immeuble ou à moitié sur ta moto. Il existe mille solutions pour ça. Mais l'objectif reste son appartement alors tu ne tardes pas trop à accélérer pour arriver plus vite. Concentré sur ta conduite. Aussi vigilant que possible. Pour "enfin" arriver à bon port et en un seul morceau. Là encore, tu patientes sagement le temps qu'elle descende avant de faire de même. Quand t'attends qu'elle te passe devant pour se diriger vers son logement, ce n'est pas uniquement parce que t'ignores où aller. C'est aussi et surtout pour pouvoir mater tout à loisir. C'est que son short lui va à ravir. T'es déjà à extirper une clope de son paquet pour la porter à tes lèvres et en enflammer le bout. Avec la ferme intention de suivre la louve dans sa tanière. Tu doutes qu'elle ait finalement juste envie de profiter que tu l'ais raccompagné pour rapidement rejoindre son appartement et s'y installer seule et tranquillement.

North side.

Why so serious ? Let's put a smile on that face !

Tu t'amuses de la regarder faire son ménage avec une telle hâte. Tu ne sais pas si c'est la hâte de rentrer chez elle ou la hâte de se retrouver ailleurs qu'ici en ta compagnie. Tu préfères la seconde option à présent. Parce qu'elle a quand même bien réussit à te titiller la petite barmaid sexy. T'attends de voir ce que ça vaut après ces petits échauffements. Mais tu ne peux t'empêcher de songer que tout ça vaut le coup. Assez pour que t'ai pas envie de te contenter d'une étreinte à la va vite dans un bar fermé. Dans le pire des cas, y'aura d'autres occasions pour ça. Pour l'heure, tu penses davantage à l'idée de vous retrouver dans son appartement pour laisser libre court à des envies de plus en plus évidentes. Tes yeux clairs qui n'ont de cesse de croiser les siens, vairons, sont là pour le confirmer. Vous êtes en train de vous chauffer, l'un et l'autre. Tu ne files pas excessivement vite sur la route qui vous mène à son appartement. Rien à voir avec la peur de te faire choper à rouler trop vite ou la peur d'un accident. T'es juste assez sympa pour lui laisser le temps d'apprécier la balade. T'ignores si c'est fréquent pour elle de se retrouver sur une moto comme ça. Alors tu lui offres quelques minutes supplémentaires de cette balade sur ton bolide. Avant de lui offrir d'autres sortes de chevauchées. Plus sauvages et plus intenses encore. Même pour toi qui ne vis presque que pour tes deux roues.

Une fois descendu de ta bécane, tu suis la petite minette sans te faire prier. Le regard rivé sur son postérieur qui remue exagérément à chacun de ses pas pressés. Tu te fous un peu de son appartement dans lequel tu pénètres à ton tour. Tu n'y lances qu'un bref coup d'oeil avant de revenir à la jeune femme qui évolue tranquillement dans son intérieur. Une boule de poils entre les bras. T'as encore ta veste en cuir sur les épaules quand tu te laisses tomber dans le canapé. De quoi extirper une clope de ton paquet. Tu demandes pas vraiment. T'as croisé un cendrier, tu pars donc du principe que c'est permis. Tu m'trouves sage ? Que tu demandes sans la regarder. Concentré sur la flamme que tu fais danser devant la cancéreuse que t'as coincé entre tes dents. Le briquet retrouve sa place dans ta poche, tu tires une première latte sur ta clope et tu poses enfin de nouveau les yeux sur la barmaid. Sage j'sais pas. Sympa, certainement. J'te laisse le temps de souffler un peu avant d'm'occuper d'ton cul. C'différent. Que tu rétorques en détournant une nouvelle fois le regard. Presque fasciné par la fumée que tu souffles. Tantôt en un nuage éparse. Tantôt en des ronds plus ou moins réguliers. Mais ton regard, il est forcément rappelé par ce fameux cul divinement moulé dans un petit short en jean quand elle se relève pour attraper un plateau. En vérité tu te fous bien de ce qu'elle fait. Tu ne t’intéresses qu'à son corps qu'elle n'a de cesse d'offrir à ta vue.

Sympa, tu l'es également assez pour répondre positivement à sa requête. Tu te redresses dans le canapé et attrapes la bouteille de sky dont tu remplis généreusement les deux verres. De nouveau ton dos rencontre le dossier épais quand tu t'y ré-installes pour tendre son verre à la jeune femme. Un sourire à peine perceptible flotte sur tes lèvres quand ton regard passe du sien à la pointe rosée de sa langue qui se faufile entre ses lèvres. Langue que t'imagines à des endroits bien plus intéressants. Tu laisses entendre un bref ricanement avant que tu ne te redresses pour écraser ton mégot dans le cendrier, après une dernière taffe. T'avales plusieurs profondes gorgées de whisky, te débarrasses enfin de ta veste en jean que tu balances sur un autre dossier et reviens enfin à Nash qui n'a de cesse de t'enflammer avec ses regards incendiaires. Elle en est forcément consciente de l'effet qu'elle peut faire. Autant avec son postérieur bien rond qu'avec son regard atypique mais surtout profond au possible. Qui en dit long sur les pensées qui sont les siennes. Elle n'a pas besoin d'ouvrir la bouche pour que tu devines le genre d'images qu'elle a en tête. A demi tourné vers elle, t'attrapes le joint sur lequel elle a à peine eut le temps de tirer, pour le coincer entre tes lèvres.

Tu le lui piques juste le temps de lui retirer son haut et de venir flanquer un bref coup de langue à ses lèvres, avant de tirer une fois sur son joint. T'attrapes son menton entre tes doigts tatoués et attires son visage au tien pour que vos lèvres se heurtent. Qu'elle entrouvre les siennes pour y souffler la fumée. T'as un petit sourire quand, ensuite tu te recules et replace le cône entre ses lèvres. Ton regard s'assombrit quand il se pose enfin sur la poitrine moulée dans un soutien gorge. Le sourire gourmand qui apparaît quand tu dénoues ses jambes croisées de tes mains. Qui tirent ensuite sur ses cuisses pour la faire basculer sur le canapé, sans douceur. Tu l'allonges sur le dos et rabats ton corps sur le sien. J'espère qu'ton chat est partageur. Que tu susurres en caressant son corps de tes yeux, teinte ciel orageux. Tu t'en tapes un peu de la bestiole. T'espères surtout pour lui qu'il n'est pas du genre à planter ses griffes dans tout ce qui bouge. T'es le genre à avoir de mauvais réflexes. Même si dans l'immédiat, tes doigts sont surtout occupés à courir sur le corps féminin. T'es presque doux encore. Quand tu parcours l'épiderme. Qu'ils se faufilent entre ses seins, viennent courir sur son ventre plat. Un court instant. Ils font sauter le bouton du short et descendre la fermeture. Avant de se faufiler directement sous les couches de tissu. Sous le jean et sous le sous vêtement. L'index tournoie atour du bouton de plaisir. Ne fait encore que flirter .