SAVE THE QUEENS
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 Je t’enlacerai, tu t’en lasseras

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Message Sujet: Je t’enlacerai, tu t’en lasseras   Je t’enlacerai, tu t’en lasseras Empty Mer 12 Mai - 19:40

save the queens ---- / Kaïs Al Jamal

25 ans ---- / Ace of Hearts ---- / Flamur Ukshini
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
identité complète - : Al Jamal. Une famille de notables. Fière de son lignage et de ses prestigieuses ascendances. Membres illustres du gotha américain, ils gravitent depuis plus d'une décennie dans les hautes sphères et possèdent leurs entrées pour tout les événements les plus huppés, où se côtoie l'élite de la société. Ton premier, c'est Kaïs. Fierté. Ton deuxième, Nadim. Qui regrette, se repent. Ton troisième, c'est Munir. Fulgurant, éclairant, lumineux. Ouh ouh, et ton tout fait des souvenirs. Tout un programme ... ahem ! lieu de naissance et origines - : Second et dernier fils de l'Ambassadeur du Liban aux Etats-Unis et d'une mère qui fut jadis élue Miss Lebanon avant de devenir une gravure de mode dans les 80'S, tu es né le 9 Décembre 1995 à Washington D.C. Les eaux du placide Lac Qaraoun qui ondoient au fond de tes yeux de suie. Ta charpente tannée taillée dans la roche enneigée du Mont Sannine. La liberté planant dans la luxuriante Forêt des Cèdres de Dieu qui pulse dans tes veines. Le Liban dans la tête, dans le cœur et dans le sang. Sans rien pour en diluer la pureté … ou presque. De fait, ta mère étant native d’une région frontalière, il est plausible que d’éventuelles origines syriennes se soient greffées aux branches de l’illustre arbre généalogique. A l'instar de tes frères et sœurs, et bien que né sur le sol américain, seul le visa libanais fait foi sur ton passeport. Entant que chauviniste chevronné, il aurait été inconcevable pour ton père que sa progéniture puisse jouir d'une double nationalité. Préférence nationale exacerbée et orgueilleuse fierté quand vous nous tenez ... .  études ou métier - : Arrivé au crépuscule d’un cycle, tu entames ta dernière année de Médecine, sur les bancs de l'Université de Columbia. Enclin à te spécialiser en Traumatologie et Chirurgie Reconstructrice, tu espères embrasser la carrière de chirurgien au sortir de l’exigeant Internat de Médecine. orientation sexuelle - : Aux yeux des tiens, des médias et de l’opinion publique, tu es un éminent jouvenceau sensible aux attraits des ladies sophistiquées et des roturières au charme brut. Seulement en ton for intérieur, c’est bel et bien les plastiques musculeuses des éphèbes, apollons et adonis, qui te font vibrer et t’émoustillent. statut civil - : Officieusement, tu demeures à ce jour célibataire. Bien que les médias te prêtent d'innombrables relations avec des membres du gratin mondain, des célébrités et de parfaites inconnues que tu ne connais ni d'Eve ni d'Adam. Officiellement, tu es depuis longtemps promis à la fille d'un mania des nouvelles technologies. Un projet fomenté par deux patriarches, avides d'associer leurs noms, afin d'asseoir davantage leur pouvoir économique, politique et financier aux Etats-Unis. Une mascarade imaginée, avant même la conception des deux pantins. Eux que cette idée n'enchante pas le moins du monde. Eux qui rongés par la crainte, n'ont ni le cran, ni l'audace, ni le courage pour s'opposer à cette pure folie. Eux qui dans le silence, donnent sans le vouloir leur consentement et leur approbation. pi, scénario ou prélien - : Personnage inventé.

save the queens ---- / TELL ME WHO YOU ARE

once upon a spirit ---- / a soul ---- / a shining star
traits de caractère / Charismatique et magnétique, tu es celui vers qui convergent, se polarisent et se cristallisent les regards. Celui qui armé de sa seule prestance et de son allure, parvient à mettre les souffles et les corps en suspension. Jusqu'à ce qu'un volubile rouleur de mécaniques t'éclipse et t'occulte, en s'accaparant l'attention de l'assistance. Te métamorphosant ainsi en une belle gueule parmi tant d'autres noyée dans la foule. Ce qui dans le fond n'est pas totalement pour te déplaire. Pourtant loin d'être en reste lorsque tu évolues sur le terrain de l'éloquence, ta discrétion, ta réserve et ta retenue font de toi quelqu'un de taciturne, silencieux et peu loquace. Aux antipodes d'un leader d'opinion, tu es cependant capable de te forger ton propre avis, même si tu te gardes bien de le divulguer. Pas vraiment conforme au stéréotype du "fils de" ; tu te distingues de tes frères et sœurs et tires ton épingle du jeu par le biais de ta culture, ton savoir et ton érudition. Calme, pondéré et toujours souriant même quand le cœur n'y est pas, tu es à ton grand dam le béguin d'une flopée de ladies. L'archétype du gendre idéal, qui comblerait belle-maman et beau-papa de bonheur. Celui qui en toute circonstance, s'arrange pour toujours être propre sur lui, impeccable et irréprochable. Tant dans l'attitude et les propos que dans l'apparence.

Le garçon de bonne famille ayant toujours un petit mot gentil et aimable, qui vous fait vous sentir important et considéré. Poli, courtois, prévenant et avenant ; tu es rompu à l'art des bonnes manières, en particulier avec ces Dames. Un parfait Lord anglais timoré et Gentleman d'antan. Baise main suranné, compliments galvaudés, formules de politesse alambiquées sont autant de petits détails, trahissant ton haut lignage. De désuets éléments comportementaux que tu t'emploies pourtant à dissimuler dans ta vie d'étudiant, par crainte de t'attirer les convoitises, les jalousies voire l’hostilité, de jeunes gens n'ayant pas la chance de goûter les saveurs de ta vie de privilégié. À même de conserver ton calme dans l'urgence, tu es très réactif sous la pression et sais rester efficace au plus fort de la tempête. Des qualités sine quo none et qui te sont d'un grand secours sur le champ de bataille de la Traumatologie. En dehors aussi d'ailleurs. Acteur né, tu es doué d'improvisation et sais faire face à l'imprévu. Rester digne, sauver les apparences et te complaire dans un rôle qui n'est pas le tien, sont également des choses que tu réalises de main de maître. Après tout, ne te grimes-tu pas quotidiennement depuis vingt-cinq ans dans la peau d'un hétérosexuel ?

Naïf, crédule, influençable, manipulable et ayant foi en l'être humain ; tu ne vois souvent que le bon chez autrui et peines à déceler la bassesse. Magnanime et clément, tu accordes trop facilement ton pardon aux personnes t'ayant causé du tort. Diplomate, pacifiste et médiateur dans l'âme, tu te retrouves souvent à faire le tampon entre deux hostilités et as le chic pour trouver les mots permettant d'éteindre les feux de l'animosité. Fleur bleue, grand romantique et rêveur, tu te plais parfois à déclamer en cachette des vers de ton cru ou empruntés à d'illustres hommes et femmes de Lettres de naguère. Palpitant de guimauve fondant comme neige au soleil devant le sourire d'un galant, tu tombes pour ton plus grand malheur facilement amoureux et as la fâcheuse tendance de te projeter dans l'avenir sentimentalement parlant. Chose qui rend les chagrins d'amour considérablement douloureux et ardus à surmonter. Étudiant assidu, volontaire et appliqué, tu n'es toutefois jamais le dernier lorsqu'il s'agit de t'amuser et relâcher la pression en faisant la fête. Même si tu ne t'aventures que très rarement en dehors de ta zone de confort, et ne te risques guère à élargir ton cercle d'amis et de connaissances.
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Message Sujet: Re: Je t’enlacerai, tu t’en lasseras   Je t’enlacerai, tu t’en lasseras Empty Mer 12 Mai - 19:40

save the queens ---- / TELL ME MORE

once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share

Once upon a time

9 Décembre de l'an de grâce 1995. Prélude de ton passage ici bas. Un incipit sans grande pompe, ni cérémonial. Tambours et trompettes restent muets dans le tout Washington, qui emmitouflé d'un blanc manteau, tourne au ralenti et se paralyse en cette glaciale matinée hivernale. Une éclosion feutrée, discrète et conforme à ce que tu es. Le ton est donné, la couleur est annoncée. Ton caractère et ton essence s'inscriront d'ailleurs dans la droite lignée de cette aurore.

Ta venue au monde eut au moins le mérite de faire de ta mère la femme la plus heureuse du monde. Pour ce qui est de ton père, c'est un bonheur en demi-teinte. Après avoir engendré un héritier mâle, "Papa" aurait bien aimé avoir une petite princesse à pouponner. Mais qu'il se rassure, il sera très vite exhaussé. Par trois, et même quatre fois. A l'image de bien des couples, le choix de ton prénom fut sujet à d'âpres tractations. Papa jeta son dévolu sur Nadim. Maman n'en démordit pas et s'accrocha à Kaïs. Comme toujours, ou presque, Madame eut le dernier mot. Ce sera donc Kaïs. Kaïs Nadim Munir Al Jamal. Oui, tu as du pedigree.


Parents figures

Unique raison de vivre d'une génitrice abusive et possessive, faisant passer les mères juives pour des modèles de laxisme ; ton éveil et ta prime jeunesse se firent en vase clos et autarcie. Au sein d’un rupin hôtel particulier sur l'Avenue de Georgetown. Cadre édénique où tu crûs à l'ombre d'une petite cellule familiale soudée et presque exclusivement féminine. Maman, tes sœurs, mamy, tes tantes, tes cousines, l'armada de nourrices et de gouvernantes à tes petits soins ... . Retenu par sa flopée d'obligations, quand il n'était pas parti par monts et par vaux en emmenant Salem avec lui tel un hippocampe mâle portant sa progéniture, "Papa" est ce solennel Monsieur que tu admires autant que tu crains et qui te fait épisodiquement la grâce de t’honorer de sa présence à raison de quelques heures les week-ends.

"Le courant d'air". Sobriquet dont tu l'affubleras à posteriori. Dorloté, choyé et bichonné comme un véritable petit coq en pâte, tu as bien conscience de n'avoir manqué de rien. Simplement ... tu déplores le fait de n'avoir eu de modèle et de figure d'autorité masculine sur laquelle te calquer. Un homme à prendre en exemple. Tu aurais apprécié pouvoir t'appuyer sur l'épaule patriarcale et trouver conseil lorsque tu en avais le plus besoin. Notamment au moment de la puberté où ton corps changea et que toute une déferlante de questions t'assaillirent. Convaincu depuis toujours devoir mériter la tendresse de ton paternel, tu vis avec l'éternel et indéfectible souci de te montrer digne de ce dernier. De lui prouver que tu es quelqu'un de bien. Que tu vaux quelque chose. Que tu n'es plus ce gosse vulnérable et efflanqué. Que tu es désormais grand et fort, comme lui. Qu'il peut être fier. Que tu es un tant soit peu digne d'intérêt. D'être aimé.

En dépit d'un père aux abonnés absents, il est une personne qui joua un rôle capital et prépondérant dans ton tortueux cheminement vers l'âge de raison. Une femme pouvant se targuer d'être la co-architecte de l'homme que tu es aujourd'hui. "Tante Yara". Yara Al-Kateab. Surnommée affectueusement "Lady Yaya" par le peuple et la presse libanaise. L’ex-femme de "Oncle Taïm", ténor émérite et de renommé internationale. La paria de la famille. Une Lady Diana en plus Rock’n’roll et trash. Tu gardes d'inoubliables et fabuleux souvenirs de toutes les fois où cette fantasque, indomptable et excentrique rabelaisienne te gardait pour les vacances. Aujourd'hui encore, tu te revois entrain de trépigner d'impatience les jours précédent cette parenthèse enchantée. Tandis que ta mère se rongeait tout les sangs, à l’idée de te savoir loin d’elle et en compagnie de l’électron libre lui servant de sœur.

Quelques instants volés qui se sont envolés, où il était dès lors possible de faire des monceaux de bêtises et de choses prohibées en temps normal. Manger des fast-foods ainsi qu'une multitude de douceurs sucrées. Porter des jeans, des baskets et des T-shirts "Rolling Stones". Folâtrer jusqu'à te rompre de bonheur dans les parcs d'attractions et les fêtes foraines. Écouter de la musique Pop et entraînante jusqu'à pas d'heure. Regarder des films d'horreurs et d'épouvantes. S'abrutir toute la sainte journée devant des jeux-vidéos. Dire des gros mots et jurer comme un charretier.

Une désinvolte nantie qui te fit prendre conscience que tu devais avant tout être à l'écoute de ton cœur, tes envies et ton instinct. Être à leur écoute, et surtout ne jamais aller à leur encontre. Grâce à elle, tu sais. Tu sais désormais qu'il est interdit d'interdire, et que tu as le droit imprescriptible d'être ce que bon te semble. Reconnaissant et redevable pour avoir fait de la chrysalide que tu étais un papillon prenant doucement son envol, tu restes aujourd'hui en étroit contact avec cette loufoque dilettante que tu appelles régulièrement et à qui tu rends plusieurs visites annuelles. Pour rien au monde tu ne raterais son anniversaire chaque 15 Octobre. Une soirée placée sous le signe de la liberté, accessoirisée d'un revigorant grain de folie. Une appréciable bolée de fraîcheur, dans ta vie bien stricte et monochrome.


Siblings

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]. Le conquérant, le flamboyant, l'éblouissant. Petit morceau de roi cochant tout les critères du fils idéal selon "Papa". Nec plus ultra et incarnation dépassant toutes les espérances et les attentes paternelles enorgueillies ; même les plus exigeantes. Lui, le Yang ; terre à terre, cartésien, ambitieux et déterminé. Toi, le Yin ; rêveur, cultivé, sensible et raffiné. Un majestueux Phœbus à côté duquel il est bien difficile d'exister. Conscient de ne pouvoir rivaliser, tu as bien vite compris que jamais tu ne ferais le poids, ni ne serais en capacité de soutenir la comparaison face à cette âme de leader. Le despote en culotte courte a d'ailleurs très tôt marqué sa suprématie et annihilé tes maigres envies de lui tenir la dragée haute, en prenant un malin et cruel plaisir à te rappeler que tu n'es "que" le second. Ses mots résonnent encore à tes oreilles comme le fer d'un couperet que l'on abat. Tu lui dois respect et obéissance, vociférait-il. Tu n'es qu'une erreur de la nature, s'égosillait-il. Jamais papa ne t'aimera, tonitruait-il. Les injures crachées à la figure allant crescendo avec le temps.

Les coups qui pleuvaient lorsqu'il te sommait de baisser tes billes de pétrole embuées de rosée. La maturité s'en venant et les peurs de ton aîné quant à tes velléités, pourtant inexistantes, de lui faire ombrage dissipées ; vos rapports s'avèrent pour le moins complexes et fluctuants. Le lot de maints frères proches en âge. Tantôt cordiaux et solidaires ; tantôt rivaux et antagonistes. Depuis ton entrée à l'Université, les choses tendent à se bonifier. Tanguant sur le filin de l'indifférence, vous ne vous voyez plus que lors des réunions familiales et les représentations publiques auxquelles vous ne pouvez vous soustraire. Des banalités affligeantes échangées, des futilités d'usage distillées de-ci de-là, d'assommantes platitudes débitées avec parcimonie : voilà bien tout ce qui vous relie à présent.

Quand le ventre de "Maman" s'est arrondi pour la troisième fois, tu étais à des années lumière de réaliser et comprendre qu'un heureux événement se profilait à l'horizon. A ta décharge, et du haut de tes six petits mois de vie, ce qui faisait ton monde se résumait aux bras aimants de ta mère, ses douces berceuses, tes biberons bien chauds et les jouets colorés suspendus à ton mobile, que tu n'avais de cesse de faire tintinnabuler de tes mimines malhabiles, en babillant et rigolant. Sans oublier ton fidèle Teddy Bear auquel tu t'accrochais comme une sangsue vampirisant la sève rubis de son hôte. Au seuil de tes deux ans, ce ne fut pas une mais bel et bien deux heureuses surprises qui pointèrent le bout de leur nez. Des jumelles monozygotes. [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] et [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]. Deux siamoises indissociables l'une de l'autre, et qui ne manquaient jamais une occasion de gentiment t'embêter et t'asticoter, en te coiffant et jouant avec toi comme un Ken de chair et d'os. "Maman !", t'époumonais-tu en accourant tel un petit faon à la démarche incertaine. Tes doigts agrippées au tissu chatoyant de sa robe, en t'abritant derrière ses jambes et attendant que l'orage se calme.

Quand Madame ta mère amorça sa quatrième et dernière grossesse, tu étais cette fois-ci en âge de pleinement saisir ce que cela signifiait. La famille allait une fois de plus s'agrandir. Au fond de toi, tu entretenais le secret espoir que la cigogne t'apporte un petit frère. Un "allié" qui t'aurait permis de rééquilibrer les forces en présence et déjouer les desseins des jumelles infernales. Mais comme dit le proverbe ; "Jamais deux sans trois". Une autre sœur : [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]. Ambivalente, la benjamine de la fratrie pouvait selon son humeur du jour aussi bien jouer avec toi que se liguer avec ses sœurs. Toutefois, la venue de Kyan vous permis de former un solide noyau d’atomes agglutinés entre eux, sans que jamais l'un d'entre vous ne soit laissé pour compte.

En grandissant, les caractères de chacun se sont affirmés, et d'infimes divergences ont fini par rendre cette connivence friable. Bien malgré toi, tu es à l'origine de quelques fissures ayant morcelé cette insouciante complicité d'antan. La faute à ta soudaine prise de distance depuis que tu te sais homosexuel, et ton éloignement inexpliqué afin de le dissimuler aux tiens. Nonobstant, tu continues à ce jour d'entretenir dans l'ensemble de bons rapports avec tes cadettes. Nettement meilleurs qu'avec ton frère, et même si vos études ne vous offrent que très peu de disponibilités pour passer du temps ensemble. Ce qui finalement n'est peut-être pas plus mal. Ainsi, les chances que ton secret soit percé à jour s'amenuisent considérablement.


Soulmate

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]. Ton supplément d’âme. Ton oxygène. Ta moitié. La femme de ta vie. Ce petit angelot qui naguère avança vers toi à quatre pattes et fit tomber ta version bien à toi du Capitole en Lego, que tu étais entrain d’ériger à grand renfort de briques en plastique versicolores. Pour venir se blottir et s’endormir tout contre toi. Ton petit cœur en guise d’oreiller chantant. La genèse. Votre "Il était une fois". Une bribe de tendresse passée depuis à la postérité et figée dans l’éternité. Immortalisée sur pellicule et trônant sur la cheminée du salon de ta dulcinée spirituelle. Elle est belle Safaa. Quand elle habille le silence de son mélodieux rire cristallin. Quand le vent s’engouffre et fait danser ses boucles brunes. Quand elle caracole gracieusement dans les champs de tournesols. Tes soucoupes de suie scintillent, ta mécanique cardiaque s’emballe et cette niaise et extatique risette élit domicile sur tes lippes, à chaque fois que vous êtes réunis.

Un candide entichement enfantin qui n’échappa pas à l’œil affûté de maman, qui entra dans une colère monumentale et te passa le savon de ta vie, alors que tu mirais piteusement le bout de tes Derbys en cuir. Oui … elle est belle Safaa, mais pas pour toi. Un fruit défendu qui porte le nom de "cousine". Car tu étais trop jeune jadis pour entendre toute la vérité dans son plus simple appareil. Que c’est le même sang qui coule dans vos veines. Demi-sœur, cousine, parfaite inconnue : qu’importe. Jamais cela ne changera d’un iota ce que tu ressens pour elle. Cette indicible sensation ressemblant à s’y méprendre, à l’attirance physique et charnelle que t’inspire un mignon. Un honteux et platonique amour, que tu t’évertues depuis des années à taire et révoquer. Il n’y a qu’elle dans ton ciel. Les autres ? Tu t’en fiches pas mal. Tu ne vois qu’elle. Tu ne veux qu’elle. Tout ou rien. La morale et les convenances t’interdisant "tout" … alors tu prends et te satisfait de "rien du tout".

Si vous n’étiez pas ce que vous êtes et que le destin avait distribué les cartes différemment : il y a déjà bien longtemps que tu aurais demandé la main de ton Iseult d’Arabie. Tu as besoin d’elle pour te sentir vivant. Viscéralement. Besoin de la toucher. De la sentir. D’entendre son palpitant battre. Sur le campus de la FAC, assise sur tes genoux. Son bras assoupi autour de ta nuque. Les tiens ceignant sa taille gracile et le verrou de tes mains jointes plaqué sur sa hanche. Front contre front, la pointe de vos nez jouant à touche-touche. Sous le regard sceptique de certains étudiants, trouvant ces attitudes quelque peu équivoques et déplacées pour des frères et sœurs. Mais tu n'en as cure. Ils ne peuvent pas comprendre. Jamais ils ne pourront. Elle t’appartient autant que tu es à elle. Vos gourmettes échangées, tel des alliances scellant cette connexion dépassant l’entendement.


Fall from high

Du jardin d’enfants au lycée, ta scolarité s’est apparentée au paisible cours de l’Hudson par une caniculaire journée aoûtienne. Exception faîte des deux premières années universitaires, où tu trimas pour t’acclimater et trouver tes marques, loin de ton illégitime alter ego. Pourvu d’une forte sensibilité, d’une créativité et d’une fibre artistique intrinsèque ; tu présentes une prédisposition évidente pour les matières littéraires, et n’es pas en reste lorsque tu te frottes au versant scientifique. N’ayant connu que les brimades de ton tyran de frère, tu étais ravi de constater que moult enfants de ton âge puissent se montrer affables avec toi.

Toutefois, ce bonheur naissant flétrit et se fana, lorsque tu constatas que certaines personnes de l’espèce des hypocrites, te côtoyaient uniquement pour ce que tu représentes et non pour ce que tu es entant qu’individu. Se faire bien voir auprès de toi et t’utiliser, tout cela pour avoir un quart d’heure de célébrité et se faire mousser auprès d’autrui … ça fait mal. Une fois de plus. Que cela soit à cinq ou vingt-cinq ans ; la déception reste la même et la chute demeure aussi haute. Des attentats au cœur dont tu ne sors jamais indemne. Des petites portions de toi que l’on pille, arrache et s’accapare. Encore et encore.


Guilty pleasure

8 Août 2010. Arrêt sur image. Sur l’été de ton quinzième anniversaire. Date gravée au fer rouge dans tes notables chairs. A l’ordre du jour : visite diplomatique du Député Maire de Washington et son immuable pattern. Comme toujours, "Papa" et Salem palabrent avec leurs homologues américains sur de pompeux sujets économiques, politiques et financiers de la plus haute importante. Ces Dames se perdent en salamalecs sur la splendeur de leurs atours, cancanent et parlent chiffon en sirotant élégamment leur Earl Grey. Les filles écument les boutiques de Pennsylvania Avenue, en compagnie des invitées du beau sexe et sous la protection d’un cheptel de malabars constituant le service de sécurité de l’Ambassade. Et toi … toi tu te retrouves face à ce Kennedy en herbe de dix-sept ans. Cody. Peau laiteuse, œil d’émeraude, lèvres gourmandes, chevelure châtain, voix satinée, carrure égarée dans un no man’s land entre adolescence et âge adulte … .

La glace qui se brise très vite sous le torrent de similitudes et analogies caractérielles. Des rires comme s’il en pleuvait. Une balade à bride abattue à dos de pur-sang dans le parc du domaine. Une halte au bord de l’étang. Crapuleusement allongés sur le flanc, l’un en face de l’autre, sur l’étendue chlorophylle. Des quatrains de Thomas Stearns Eliot récités, alors que le rouge montent aux pommettes. Des sonnets de William Butler Yeats, déclamés avec des sequins pleins les yeux. Les Cantos d’Ezra Pound qui s’égrainent et transforment le palpitant en castagnettes. Avec en toile de fond les lueurs de l’astre solaire déclinant et le pépiement du geai indiscret. Déjà, il faut rentrer et prendre part au façonnier dîner, dans la fastueuse salle de réception de l’ostentatrice bâtisse. Foudroyé par un coup d’audace, ta paume téméraire se faufile sous la table et se pose délicatement sur sa rotule. Pas de sursaut, pas d’à-coup, pas de mouvement défensif. Alors, tu pétris langoureusement l’articulation et remontes pianissimo vers son quadriceps. Les doigts qui s’échouent sur son entrejambe durci, au moment où il feint de se rasseoir convenablement. Une profonde inspiration qui te fait frémir.

L’impression de te sentir enfin vivant. Comme si le poids d’une enclume comprimant ta poitrine se volatilisait soudainement. Fébriles, tes phalanges gambadent et se nouent autour de sa hampe avant que tu ne formules respectueusement une excuse fallacieuse pour sortir de table. Dix interminables minutes à faire les cents pas et te ronger les cuticules dans le corridor de l’aile est. Le péché incarné qui te rejoint enfin. Vos lèvres s’entrelacent dans le confinement d’une alcôve. Vos langues qui joutent et croisent le fer. La découverte de vos corps enfiévrés à grands coups de caresses empressées. Sa main dans la tienne, il t’emmène. Ce fut ta première fois. Donnée et reçue. Longtemps, tu as cru ne plus jamais rien connaître de tel. Aujourd’hui avec le recul et l’expérience, ce souvenir te semble catastrophique et désastreux. Mais les premières fois ne le sont-elles pas par définition ?


Legacy

Lorsque ton aîné n’est point enclin à remplir ses obligations, il n’hésite pas à sortir de sa manche sa botte secrète et défausser son joker. Toi. En bonne roue de secours toute désignée, c’est donc à toi qu’incombe la tâche de remplacer ton frère au pied levé et de le représenter auprès des dignitaires étrangers, lorsqu’il t’en intime l’ordre. Tâche dont tu t’acquittes de bonne grâce et que tu réalises consciencieusement, avec un éternel souci de gravité et de dignité. Ne pouvant décemment pas honorer ces impératifs avec à ton bras ton amant du moment, tu remplis bien souvent ces formalités accompagné de la femme de ta vie – quand "ta promise" n’est pas disponible.

Une façon de la nimber dans la lumière qu’elle est en droit de recevoir et de la seoir à la place qui est la sienne. Ta manière de prouver à la face du monde qu’elle n’est pas une bâtarde, une pestiférée ou une ignominie qu’il faut à tout prix cacher. Qu’elle fait partie à part entière de la famille. Seule petite ombre au tableau à déplorer ; les nauséabondes et putrides calomnies concernant la nature de votre relation, relatées par les publications à sensations pour faire le buzz. Des intox qui, en ce qui te concerne, n’en sont pas tellement. Oui … c’est en gros titres que s’étalent et sont déterrés tes inavouables et avilissant désirs à jamais inassouvis.


Kind heart

Généreux et humaniste, tu t’impliques dans la défense de tout un cortège de causes t’étant chères, sans jamais compter ton temps et ton énergie. Des visites aux enfants gravement malades et hospitalisés. La concrétisation avec le Prince Harry des Invictus Games, à destination des vétérans et blessés de vos Forces Armées. Ton vif soutien à la cause animale et environnementale, t’ayant valu le titre d’Ambassadeur de la World Wildlife Fund. Un altruisme des plus innés et naturels, t’ayant permis de te voir auréolé par la presse et la population du surnom de "Petit Prince des cœurs". Ton dévouement sans borne et ta personnalité attachante te permettent aujourd’hui de briguer la seconde place sur le podium des personnalités préférés des libanais. Juste derrière le chanteur Joseph Attieh, et loin devant ton père et ton frère. Ce qui n’est guère pour plaire à ce dernier. Avec toi, les conseillers en image et communication de l’Ambassade sont loin d’être surchargés de travail et savent qu’ils peuvent dormir tranquilles sur leurs deux oreilles.


Vocation

A onze ans, ton père a pour la première fois décidé de t’emmener avec lui à la place de Salem, dans un de ses déplacements à l’étranger. Histoire de "t'endurcir" et essayer de faire de toi "un homme, un vrai". Une visite aux hommes déployés sur le front en Irak. Une immersion au milieu des bombes, des armes de poing et des balles traçantes. Chaotique théâtre uniquement composé de vaillants et athlétiques acteurs en uniforme, dont la simple contemplation t’émoustillait déjà et attisait tes "vilains penchants". Mais l’acte fondateur de ce voyage tint dans le fait d’avoir assisté aux efforts d’un trio de médecins, pour sauver un soldat aux viscères s’échappant d’une gigantesque béance abdominale. Du sang, de la suer et au final des larmes. Profondément marqué par cette scène qui continue d’habiter tes nuits, tu as dès lors su quel était ton rôle. Où était ta place. Ce à quoi tu étais destiné. L’émergence d’une vocation. La Traumatologie. Pour le sauver. Pour les sauver. Pour que plus aucune vie ne chavire. Pour que plus aucun œil ne s’embrume. Pour que plus jamais. Plus jamais ça.


Downside of fame

Depuis le mariage du footballeur libanais Hassan Maatouk, tu t’es à ton plus grand regret retrouvé catapulté au sommet de la liste des plus beaux partis du Moyen-Orient. Une mise sur le devant de la scène et sous le halo des projecteurs dont tu te serais bien passé. Entant qu’aîné, l’attention des médias et des chasseurs de scoops se focalisent et se concentrent - pour l’instant encore - essentiellement sur ton frère, qui te sert de dernier rempart et paravent humain. Un pavois des plus précaires, qui ne suffit malheureusement pas à chasser les vautours journalistiques planant au-dessus de ta carcasse. Épie, traqué comme un gibier de choix et ne connaissant désormais que très peu de répit ; tu redoutes que cet intérêt intrusif et frénétique autour de ta personne, mette à mal la confidentialité de ton secret. L’étau se resserre, tu le sais. La corde abrase le fin épiderme de ton cou. Ta tête est sur le billot. Ce n’est plus qu’une question de temps avant que la lame de la guillotine ne tombe, et que le "Petit Prince des cœurs" devienne la "Reine des invertis".


I wish I could ...

La huitième et dernière année universitaire se profile à l’horizon. La fin imminente d’un cycle. Bientôt, et si aucun nuage n’entache ton ciel grisonnant, tu décrocheras ton Doctorat. Le temps des études périra. Celui de l’internat de médecine s’en viendra. De la théorie à la pratique. Des cadavres ayant généreusement fait don de leur corps à la science, aux patients luttant pour s’accrocher à la vie. Quel homme seras-tu ? Dans un mois. Un an. Dix ans. Te complairas-tu dans ce costume étriqué de faux-semblants et faux-fuyants, qui te pèse et te plombe chaque jour un peu plus ? Auras-tu enfin le courage d’être toi ? De libérer de sa geôle celui que tu es réellement. Qu’importe les murmures, les injures et les poings sur la figure. Comprendront-ils ? Ceux que tu as aimé. Dont tu t’es éloigné. Que tu as délaissé. Resteras-tu leur frère, leur fils, le leurs ? "S’il vous plaît … ne me détestez-pas.", soupires-tu quand vient le soir en dénouant ton mouchoir.
save the queens ---- / BEHIND THE MASK

MTE ---- / 27 ans ---- / rpgiste

ville - Pas de changement, ni démanagement depuis la dernière fois. Caen, made in Normandy 🇫🇷 études ou métier - Toujours à DGAC  Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 1948873765  avis général sur le forum - Un petit coin de paradis peuplés d'anges aux plumes défiant les étoiles ; que demander de plus ?  Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 1252774950 le détail qui t'a fait craquer - Vous, vous et trois fois vous qui me permettez de concrétiser toutes les idées qui me passent par la tête.  Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 2470315465  fréquence de connexion - Un peu tout les jours. Ou 5/7 J. crédits des icons - @flamuruk le mot de la fin - Amour sur vous et paix sur le monde.  Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 3227196488

Code:
[b]flamur ukshini[/b] / [i]kaïs al jamal[/i]
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Message Sujet: Re: Je t’enlacerai, tu t’en lasseras   Je t’enlacerai, tu t’en lasseras Empty Mer 12 Mai - 19:47

lepfkzelferkflkl
bonjour Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 4113627247
je dépose l'une des plus belles sur ce coin de paradis, si tu me le permets ?
je suis trop heureuse de te voir te dédoubler Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 3227196488 j'espère que tu t'amuseras autant avec ce personnage qu'avec Spyros. comme toujours, sans aucune surprise et pourtant avec toujours autant d'émerveillements, c'est un délice de te lire, de voir tes mots, ton vocabulaire tout fleuri, je suis sous le charme de Kaïs déjà Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 3227196488 j'ai hâte que Phèdre et lui se fritent le nez comme il le faut ! et qu'elle aille emmerder le grand-frère aussi Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 4113627247  [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] je ne t'oublie pas Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 2480631781 Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 3227196488
j'ai trop hâte d'en lire encore et encore et de me poser convenablement pour dévorer la biographie mais rien que le caractère me charme Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 3176379322
t'es un joyau de jolis mots qui me font tomber le cœur #envoléelyriquenulle
je t'envoie plein de love et bon courage pour la suite de la rédacation
et surtout, rebienvenue chez toi petit chat  Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 225861324  Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 225861324
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Kurtis McDonald;

-- le bigmac d'la street --
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Kurtis McDonald



king.
a devious route - av | self, sign.
betsi - peltz | brynn - o'neil | cez - o'connell | oona - piekarz | sage - gauthier | sonny - bador | tad - piper.
7943
810
29
véritable bras cassé.
effervescent.
( m o o d b o a r d )

NOA(2) / KAAN / KIDD / SOFIA / TRIPP
JOLENE / SOCO / SCYLLA / YOU ?
(voir le répertoire complet)

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Message Sujet: Re: Je t’enlacerai, tu t’en lasseras   Je t’enlacerai, tu t’en lasseras Empty Mer 12 Mai - 19:55

bon, on sait déjà que ce personnage sera au top, aucune surprise Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 4113627247
la description dans le flood des mc était déjà très intéressante, donc j'ai bien hâte de découvrir tout ça sous ta plume dans cette fiche Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 1948873765
rebienvenue par ici chaton Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 3227196488

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Message Sujet: Re: Je t’enlacerai, tu t’en lasseras   Je t’enlacerai, tu t’en lasseras Empty Mer 12 Mai - 20:21

je suis beaucoup trop fan de ce duo Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 1349592055
j'aime aussi beaucoup trop ce titre !
t'as pas chômé pour ta fiche, des félicitations s'imposent Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 3128434294

edit: franchement sur la photo que t'as posté, je sais même pas lequel est qui...
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Message Sujet: Re: Je t’enlacerai, tu t’en lasseras   Je t’enlacerai, tu t’en lasseras Empty Mer 12 Mai - 20:58

encore un personnage fort complet que tu présentes là
et le choix de fc est hyper cohérent donc chapeau!!
rebienvenue Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 3227196488
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Message Sujet: Re: Je t’enlacerai, tu t’en lasseras   Je t’enlacerai, tu t’en lasseras Empty Mer 12 Mai - 21:31

mais je suis Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 2746119247
je me répète mais ce perso tellement complexe et vrai, ta plume, ta poésie, toute cette famille et ce petit univers qui les lie, la fratrie, tata yaya  Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 2480631781 je suis tellement contente de pouvoir faire partie de tout ça, t'as créé un véritable bijou et kaïs en est l'accomplissement parfait Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 3176379322
j'suis aux aguets pour la suite What a Face

PUIS REBIENVENUE Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 1813423790  Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 3794924939
l'hypocampe Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 3128434294
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Message Sujet: Re: Je t’enlacerai, tu t’en lasseras   Je t’enlacerai, tu t’en lasseras Empty Mer 12 Mai - 22:31

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] : Hello to you Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 1747131343 Bien sûr fais donc, je t'en prie. Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 2480631781  Qui suis-je pour refuser l'hospitalité au candide crush enfantin de mon big bro' (slash petite peste & bourreau d'antan avec des couettes Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 2480631781 ).
T'as vu ça ; je ne serais donc pas resté longtemps sain d'esprit et avec une personnalité unique. Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 3132515876
Oh je pense que oui ! D'jà, rien qu'avec ce que nous avons prévu tout les deux et ce que les frérots vous préparent : j'pense je vais élire résidence au septième ciel. Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 7591526
Mooooh, heureux que le petit échantillon que tu aies lu jusqu'à présent t'ait plu et te donne envie d'en apprendre plus. Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 1948873765
C'est vraiment le jour et la nuit avec Spyros pour le coup ^^ Une machine à câlins ambulante, avec une petite bouille de bébé koala tout mignon, tout doux et qui comme Lorie a besoin d'amouuuuur. Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 2209339977
Azdjaifiaz, stop it ou tu vas me transformer en homard dans son faitout à force de me faire rougir. Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 1252774950 Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 3794924939
Merci pour tout ma starlette du septième art Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 225861324 (Et que Misha range ses crocs et rétracte ses griffes de Tigre de Sibérie ; ce n'est pas lui qui va lui faire du mal Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 2567319068 En revanche, j'en connais un qui ferait bien de se méfier What a Face ).


[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] : Mohalalalala, venant de toi ces mots prennent vraiment une toute autre dimension et une saveur sans égal Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 1948873765 (Limite après avoir lu ça, j'peux mourir tranquille t'sais Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 2209339977 ).
J'espère en tout cas qu'il sera à la hauteur de tes attentes et du p'tit teasing que j'ai fait en amont (et j'en garde un peu sous le coude que je dévoilerai irp Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 4288722507 Because, j'vais tout de même pas griller toutes mes bonnes cartouches d'entrée de jeu, isn't it. Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 1747131343 ).
Un grand merci à toi chaton qui reste au top et au summum, afin de nous offrir le plus beau et merveilleux espace créatif communautaire. Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 857285543 Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 3227196488

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] : T'as vu ça : ils envoient du lourd les frères Al Jamal Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 2480631781 Tu combines les deux et tu as l'homme parfait. Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 2209339977 M'enfin, c'est peut-être pas plus mal comme ça ; deux fois plus de plaisir des yeux. ;) Et malgré ce que pourrait laisser penser leur ressemblance physique ; ils sont treèèèèèèèèèèèès loin d'être jumeaux (rien qu'avec les caractères ; tout est dit XD).
J'avoue que j'ai fait fissa XD Il faut dire que j'ai eu le plus merveilleux des grands frères pour m'inspirer, me motiver et me hyper. Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 805256838 Cela fait quelques jours que l'on n'arrête pas et que l'on battit doucement mais sûrement notre petite cellule familiale. Du bonheur à l'état pur. Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 3794924939
Merci pour ton p'tit mot ô jolie Rani Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 1948873765
(Troublante c'te ressemblance n'est-ce pas What a Face Et encore, c'est rien comparé à Rim et Noor qui sont pour le coup des jumelles monozygotes. Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 2209339977 ).

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] : Moooh, merci beaucoup. Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 1948873765 Oui, tu connais mon amour pour les personnages qui sont des sommes romanesques à eux tout seuls ^^ Avec une vie passée au crible dans ce souci d'exhaustivité (non, non, j'suis à peine obsessionnel comme garçon Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 2209339977 ). Yeah, ce fc est juste de l'or en barre pour un pairing avec Zayn Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 946831849 Comme être devant un miroir. Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 1386125702


[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] : Habibi ! Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 3794924939 Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 3794924939 Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 3794924939 J'vais aussi me répéter comme un 45 tours rayé et qui grince, mais sans ton arrivée, jamais je n'aurais pu donner vie et concrétiser cette idée de personnage. Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 3794924939 Tu es vraiment la clé de voûte. L'étincelle qui a mis le feu aux poudres de l'inspiration et de la créativité.
A mon tour, je te dis merci, merci et mille fois merci d'avoir posé tes valises sur STQ, et d'avoir bien voulu me suivre dans ce drama familial faisant passer Dallas et Dynasty pour du pipi de chat. Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 1948873765
Découvrir et dévorer ta fiche m'a tellement galvanisé que j'ai booké une bonne moitié (voire les trois quarts) de cette présentation en une soirée. Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 2288768012
J'meurs véritablement d'impatience de pouvoir doucement mais sûrement rabibocher ces deux antithèses. Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 3176379322 Puis rien que de penser à la montage de feels et de dramas qui nous attend avec les révélations sur toile de confessions à demi-mot de leur vie privée respective .... feihfiehf, j'défaille rien que d'y penser. Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 2746119247 Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 2470315465
You're magical my big bro' : la charbon qui alimente la chaudière de mon inspiration Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 3794924939
T'as vu comment elle déchire "Tata Yaya" Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 2567319068 (J'avoue j'me suis un peu beaucoup inspiré de Sarah Fergusson alias Ferguie Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 3132515876 ).
Merci pour tout mon royal Hypotrempe Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 3227196488
Bien à toi,
Ton Kaïs qui - malgré tout ce que tu lui a envoyé dans les dents par le passé - t'aime to the moon and back. Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 2470315465 Et qui entretient en son for intérieur - depuis aussi longtemps qu'il s'en souvienne - le secret espoir que cela puisse être réciproque un jour. Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 946831849 Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 3176379322 Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 2306000062
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Message Sujet: Re: Je t’enlacerai, tu t’en lasseras   Je t’enlacerai, tu t’en lasseras Empty Mer 12 Mai - 22:56

ça c'est du service express Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 697000959
plus sérieusement, ton personnage est super bien construit, hyper prenant à lire avec ta jolie plume Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 3476085353
j'ai bien hâte de suivre votre duo mais aussi le reste de la famille, ça promet Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 2480631781
rebienvenue chez toi Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 3227196488  
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Kemen Herrera;

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Kemen Herrera



alejandro speitzer.
waldosia.
kaan.
3552
895
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29
libre comme l'air, à la recherche d'une nouvelle âme à sauver.
gérant de ta propre boîte d’événementiel. et boxeur en salle à tes heures perdues.
au creux du traditionnel.
Je t’enlacerai, tu t’en lasseras A1ab3fbbfb05c96959f5920b568e4120inés - larissa - shaye - you ? - you ?

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Message Sujet: Re: Je t’enlacerai, tu t’en lasseras   Je t’enlacerai, tu t’en lasseras Empty Jeu 13 Mai - 10:21

re-bienvenue par ici Je t’enlacerai, tu t’en lasseras 3476085353

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je veux que ton corps,
m'envoie dans le décor.
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