SAVE THE QUEENS
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
(02.06.2023) STQ FÊTE SES 5 ANS HAPPY BDAY !
Le deal à ne pas rater :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : où l’acheter ?
Voir le deal

Partagez

 

 envole-moi. (Kenan)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Aller à la page : Précédent  1, 2
Invité;

Invité
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


avatar




envole-moi. (Kenan) - Page 2 Empty
Message Sujet: Re: envole-moi. (Kenan)   envole-moi. (Kenan) - Page 2 Empty Dim 29 Nov - 20:28


☆ ☆ ☆
{ envole-moi }
crédit/ tumblr ☆ w/@Kenan Brixton
Et, tout doucement, elle commence à l’apprivoiser.
Comme un animal blessé, qui refuse d’être caressé, qui pourrait s’enfuir à peine approché. Il est là, si calme mais paraît prêt à bondir si elle y allait trop fort, trop vite. Pourtant, la blonde incendiaire n’a pas tout à fait conscience du risque qu’elle peut prendre en voulant s’avancer jusqu’à lui si rapidement. Elle ne s’en rend pas compte, car elle n’y songe pas, trop occupée à lui parler comme s’il était déjà son meilleur ami. Trop occupée, simplement, à être elle-même, Cassey. Elle décèle un sourire qu’il peine à voiler sur son minois, comme s’il retenait la provocation ultime. Elle pourrait supporter sans mal une énième pique, bien loin d’être susceptible. Mais le silence la laisse deviner qu’il endure sa présence bien mieux qu’il ne veut le laisser croire,
et ça lui donne, à elle, une lueur d’espoir.
La faible clarté est de bien courte durée devant les pensées assombries. Il est tout enveloppé de noir, le jeune homme, pas seulement dans ses iris ; mais aussi au fond d’une âme visiblement obscurcie. Mais la lumineuse n’a pas l’intention de le laisser se submerger par cette agonie, elle fera tout pour lui provoquer un sourire. Ou, juste, lui faire entrevoir la vie autrement ; comme elle, elle l’entend. « Alors ne choisis pas. Laisse-moi le faire pour toi. » elle lui propose, presque candidement, la poupée naïve.

Prête à l’entraîner dans ses folies,
pour enfin voir un sourire.


C’est un rire qu’il semble, enfin, retenir face à ses bêtises. Mais c’est trop tard, elle l’a vu, Cassey. Elle l’amuse, c’est déjà bien assez ; assez pour qu’il soit susceptible de se laisser tenter. « Tu verras, d’ici quelques minutes, tu le feras car tu ne pourras plus te passer de moi. » elle laisse échapper de sa voix enjôleuse, sans tout à fait être sérieuse. Elle n’a pas la prétention de croire que quiconque puisse être dépendant d’elle. C’est bien tout le contraire, pour celle qui voit les hommes venir et aussitôt repartir de son existence sans un regard pour elle.
Peut-être qu’ils ne se reverront plus jamais,
peut-être qu’il s’agit pour tous les deux d’une chimère qui prendra fin avec cette journée,
peut-être qu’il l’oubliera, même, mais l’espace de quelques heures,
elle veut essayer de lui apporter un peu de bonheur.
«  Tu sais, ce n’est pas ton physique le souci. C’est ta bouche, tu parles beaucoup trop. » qu’elle affirme pour le faire taire, avant de se lever de son siège ; et lui, il est prêt à la rejoindre. Prêt à lui offrir une confiance, même, éphémère. Cassey, elle est bien décidée à en prendre soin. « Et je te promets que tu ne le regretteras pas. » confesse-t-elle, cette voix, le ton consciencieux de celle qui comprend l’honneur qu’il lui offre. Il ne doit pas être évident de suivre une parfaite inconnue dans les rues de la ville. Moins encore lorsqu’on se retrouve privé de sa vue. Kenan, il pourrait facilement se sentir démuni. Mais le fait qu’il ait accepté de la suivre lui prouve qu’il a encore cette envie, ce désir,
cette soif infinie,
ce goût pour la vie.
Pas après pas, il se laisse attirer par la sirène, il laisse son chant le guider, puis c’est son bras qu’il enlace fébrilement de la main. Le papillon a une idée précise de l’endroit où elle veut l’emmener mais elle ne dit rien. Rien, jusqu’à ce qu’il l’arrête. Le cœur qui se serre devant ses paroles, elle s’en veut, lorsqu’elle entend sa plainte. Peut-être n’a-t-elle pas suffisamment fait attention à lui. Mais tout de suite, elle le rassure. « Je suis désolée, c’est un peu loin. Mais on arrive bientôt. » et, instinctivement, elle entrelace ses doigts aux siens, pour ne plus le perdre. Pour que rien, ni personne, ne puisse les séparer l’un de l’autre. « Je comprends que t’aies peur. Tu suis une inconnue, dans cette ville de dingues, sans même savoir où je t’entraîne. Mais t’as accepté de me suivre… tu sais pourquoi ? » pas seulement parce qu’elle est insupportablement convaincante. Pas parce qu’elle l’amuse et qu’il s’est laissé céder à la tentation présente.
Pour autre chose, une chose bien plus importante.
« C’est parce que t’as toujours cette envie de vivre en toi. Elle est là, moi, je la vois. Alors, laisse-moi te le montrer.  On est juste à côté. » elle promet, sa main toujours dans la sienne. Elle la serre, assez fort, comme il a serré son bras un peu plus tôt.

Elle veut lui signifier qu’elle est là,
Cassey, qu’elle ne le lâche pas,
lui signifier qu’elle est là,
et qu’elle le voit.

Revenir en haut Aller en bas
Invité;

Invité
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


avatar




envole-moi. (Kenan) - Page 2 Empty
Message Sujet: Re: envole-moi. (Kenan)   envole-moi. (Kenan) - Page 2 Empty Mer 9 Déc - 19:08

Et ton monde est sombre, sous ton manteau noir,  ta vie ne trouvera pas la clarté d’autre fois. T’as pas envie d’y accéder, pas envie de caresser à nouveau les anges, tu les saliras et tu tomberas à nouveau. Tu avais bien compris que tu n’avais aucun pouvoir, plus fort dans les ténèbres, tu avais voulu jouer, essayant d’imposer tes choix, imposer tes cartes au destin,  la mauvaise main entres les doigts, bluffer pour offrir le monde aux tiens. Désormais, tu savais que tu n’avais pas le pouvoir, que la vie n’était qu’une rivière vous emmenant dans son sillage, sans laisser la moindre chance à âme qui vive. Tes lippes qui s’étirent à nouveau, tu n’arrives pas à l’effacer plus vite que les autres ce sourire, incapable de lutter contre l’âme endiablée et naïve de l’être à tes côtés.  Tes choix, tu les prenais seul et accompagnés, se finissant à chaque seconde par des déceptions, par des maux que tu ne parvenais plus à vaincre.  Elle a confiance en elle, en la vie, tout l’inverse de toi, incapable de croire à nouveau en toi, croire que la vie pourrait t’offrir un meilleur, un jour.  Elle pénètre dans ta carapace, sans être invité, sans que tu puisses la repousser, tu avais déjà lutté, mais elle y parvenait, avec douceur.   «  Et tu m’emmènerais où ?   » des choix pour toi, ces choix-là, t’entraîneraient où ? tu imagines déjà la bienveillance de la jeune femme, alors que toi, tu creuserais un peu plus le trou de tombe, pour trouver ta place dans les enfers.  Les déboires de la vie loin de ta carcasse, l’âme s’épanouissant contre la clarté de la jeune femme, et toi continuant de lutter. Peine perdue, quand un éclat de rire parvient à briser le silence dans lequel tu voudrais te plonger, pour la faire déguerpir, la faire fuir. Des piques, des mots, tu avais essayé, mais elle était là, encore accroché à tes basques. Apaisante poupée, légère comme une plume, douce comme un nouveau-né, elle te donnait l’envie d’y croire, mais tu ne te laisseras pas si facilement berner. La tête se secouant de gauche à droite. «  tu sais que je ne vais pas te remercier … me passer de toi, tu verras tu finiras par fuir sans même que j’ai à faire un seul pas loin de toi !   »  cajolé par sa clarté et rappelé à l’ordre par ta pénombre. T’as pas le temps de te remettre de tes émotions, pour ne pas céder à elle, mais ses mots, t’arrache un rire, alors que tu ne peux que lâcher prise. La lumière qui jaillit en toi, émanant d’elle est incontrôlable, tu perdais la bataille, dérapant là où tu n’avais plus mis le pied depuis des mois.  Le bon côté de la vie, tu avais basculé depuis des mois dans un endroit pesant et insoutenable, pour finir par une rencontre te faisait oublier, le temps d’un instant, cette maudite vie. «  c’est moi qui parle trop ?  pour le moment c’est moi qui me tape un mal de crâne !   » que tu lâches essayant vaguement de reprendre ton image de personne froide et dure, impossible. Le sourire encore fixé à tes lippes, tu pennes à retrouver l’engouement que tu avais pour ce monde que tu pensais mériter.  Tu te laisses glisser dans son monde, petit à petit, te laissant dompter, tu te dis dans le fond que tu ne perdais rien à essayer, puis à te replonger corps et âme à ta vie. Celle que tu penses mériter. Une misère, une vie pleine de désarroi et de maux.  Chaque pas est un monde perdu pour toi, un monde où tu ne sais pas où tu es. Tu es à sa merci, elle pourrait te jeter sur la chaussée, sous un bus, une nouvelle fois, mettre ta vie en péril ,en faisant confiance, tu n’auras jamais pris peur, comme habitué à tomber. La peur se lissant sur ton épiderme, tes poils levés, tu luttes pour ne pas sombrer un peu plus dans le mal, voulant te raccrocher à cette fille, parfaite inconnue, pourtant tu voulais faire confiance, voulant retrouver ce cœur qui autrefois se battait en toi, sans douter, sans jamais lâcher l’affaire. Enfant terrible et sauvage, tu n’avais pas eu la vie dorée qu’on imaginait, mais tu avais su te débattre sans lâcher l’affaire, cette vue en manque finissait par faire de toi, une personne que tu n’étais pas. Blottit dans les bras des démons, tu ne pensais plus tomber sur les anges, un ange à tes côtés guidant tes pas dans cette danse qui te sonnait.  Des mots qui font résonner tes battements de ton organe central entre tes tympans, à te les éclater en plein vol. comme ci elle était là depuis toujours, comme si ta solitude n’était plus qu’un mauvais souvenir, un souvenir que tu aurais voulu briser, mais la peur collée à ta carcasse n’avait jamais laissé une chance à tes ailes de s’ouvrir à nouveau. Que dire, que prétendre ? la vie est en toi ? et si elle voyait mal, que ce n’était que la mort, que le flottement d’une ancienne vie qu’elle entrevoyait.   «  Je sais où tu m’emmènes, dans un sacrifice humain !   » tu essayais juste de reprendre le contrôle de cette chute non ordinaire de la poupée, cette poupée tombant dans tes maux, usant de tes couches de protection pour t’apprendre, pour te récupérer là où tu penses que ta place est, l’enfer.   «  ce qui fait vraiment peur ce n’est même pas de suivre une inconnue … c’est de ne même pas savoir le monde qui m’entoure, le sentir sans le voir, c’est …   » ton silence laissant le monde expliquer à la belle ce que tu ressentais.   «  c’est énorme.   » le moindre bruit, le moindre pas des êtres te croisant te perturbe, des mélodies diverses s’imposant à toi, des effluves de parfum charmante se mélangeant et te donnant la nausée, la moindre chose qu’avant tu pouvais louper, ce n’était plus le cas, avant tes opales maitrisaient les choses en dirigeant ton monde, à présent elles étaient mortes tes prunelles. «  Je te suis, mais crois-moi tu te trompes …   »  marcher main dans la main avec elle dans une rue bondée, prouvait qu’elle avait réussi à séduire ta confiance, où ce côté complétement fou que tu avais. «  Pourquoi tu t’arrêtes ?   » que tu demandes, tu avais pris la cadence, continuant à compter le nombre d’épaule que tu avais pu recevoir, l’épaule droite achevée par ces coups. «  je dois faire trois pas et me jeter dans le vide ?   » c’était ça, chaque pas que tu faisais, tu avais l’impression que tu allais chuter dans le vide, ne pouvant même pas deviner quand serait la fin de cette dégringolade.  Imaginer le pire alors que tu étais sans doute arrivé là où désirais la nymphe.
@CASSEY WARREN envole-moi. (Kenan) - Page 2 3227196488 envole-moi. (Kenan) - Page 2 4199206909
Revenir en haut Aller en bas
Invité;

Invité
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


avatar




envole-moi. (Kenan) - Page 2 Empty
Message Sujet: Re: envole-moi. (Kenan)   envole-moi. (Kenan) - Page 2 Empty Ven 18 Déc - 0:47


☆ ☆ ☆
{ envole-moi }
crédit/ tumblr ☆ w/@Kenan Brixton
Il est assailli par des ténèbres qu’elle ne connaît pas. D’abord, car elle est encore dotée de ce don qui permet de voir. Mais, aussi, car elle vogue dans la lumière, l’astre solaire. Elle ne sait pas ce que c’est de se laisser sombrer, de couler sans avoir la volonté suffisante, l’envie, ou bien la force, de se relever. Privilégiée, certainement, elle n’a pas connu de malheurs assez grands pour comprendre la détresse qui étreint Kenan. Elle n’ose pas même imaginer, ce qu’il peut éprouver. Alors, peut-être n’est-elle pas la mieux placée pour le comprendre ; pour apaiser de ses mots les maux qu’il ressent. Ou peut-être que c’est tout l’inverse. Peut-être que, au contraire, il a besoin d’une âme qui l’éclaire. Une personne qui lui rappelle, la beauté d’un univers qu’il n’arrive plus à percevoir dans l’obscurité de ses prunelles. Une personne, comme… elle ? La nymphe arrive à lui décrocher un sourire et, surtout, à faire apparaître une certaine curiosité en lui. Contente de sa maigre réussite, Cassey refuse de lui dévoiler la surprise. Pas si vite. « C’est bien mieux si tu le découvres directement. » C’est aussi ce qui le poussera à accepter l’idée de la suivre. Elle en est convaincue, poupée naïve, poupée trop candide. Plus âgée que lui, elle donne l’impression de n’pas avoir autant vécu. Ou c’est son envie de vivre qui est plus forte que tout, cette soif infinie pour la vie. Même plus forte que la mauvaise humeur de son interlocuteur. Il a beau essayer de la garder à distance, elle lui impose toujours sa présence. De plus en plus proche, même, elle sent qu’elle parvient à dépasser ses frontières. Les limites qu’il doit poser, d’ordinaire, entre lui et tous ceux qui se posent sur son chemin. « Alors là, il n’y a pas de risque ! C’est impossible de me faire fuir. » c’est qu’elle est tenace, Cassey. La détermination en personne, elle a la capacité extrême à suivre les idées qui peuvent la traverser, sans aucune notion de morale ou de raison pour l’en empêcher. Puis, elle a trop tendance à s’accrocher auprès des autres et ce sont eux, ceux qui bien souvent finissent par l’abandonner. Kenan, toutefois, n’a pas l’air de vouloir lui échapper. Nouveau rire qu’elle arrive à lui arracher, il commence à son tour à la taquiner. Ce qui aurait pu passer pour une provocation quelques secondes plus tôt tend peu à peu à ressembler à une complicité.

Comme s’ils esquissaient,
tout doucement,
les premières ébauches d’une amitié.

Le sourire empreint de malice, elle le contemple du coin de l’œil, non sans un soupçon espiègle dans ses iris. Pas facile à vexer, Cassey, elle est loin d’être susceptible. Elle est surtout ravie de constater qu’il ne l’est pas lui non plus. À l’opposé même, il paraît prendre ses aises avec elle. Comme si, peu à peu, il osait se révéler davantage à elle. « Je plaide coupable. Il te faudra deux comprimés contre le mal de tête après quelques heures avec moi. » Comme si elle avait besoin d’un étranger, hein, pour lui dire comme elle pouvait se montrer agaçante. Il n’empêche qu’il est prêt malgré tout à la suivre, Kenan. Heureuse, touchée même, de la confiance qu’il lui offre, le papillon est bien destinée à la mériter. Elle veut lui faire vivre un beau moment, améliorer cette journée qui semblait si ternie quand elle l’a trouvé. Elle n’a pas besoin de réfléchir longtemps pour savoir où elle veut l’emmener. Mais si la destination n’est pas si éloignée, l’inconsciente a sans doute négligé le fait qu’ils seraient forcément retardés. Elle tâche de faire attention à lui, comme peut-être elle ne l’a jamais fait avec autrui. Seulement elle sent bien l’inquiétude dans la voix de son comparse, comme si soudain, il était traversé d’un remord incontrôlable. Un faible sourire sur les lèvres alors qu’il imagine l’improbable, c’est quand il se confie plus sérieusement à elle qu’elle retrouve l’usage de la voix. « Mais… tu le sais, le monde… tu dois… entendre des choses que je n’entends même pas. Tu dois sentir tout ce que je ne remarque même pas. Si on devait décrire cette rue, toi et moi, t’y mettrais sûrement bien plus de détails que moi. » Elle ne peut pas imaginer. Elle ne peut pas savoir comme c’est déroutant, déstabilisant, perturbant. Comme c’est terrible d’être assailli par un monde aussi violent sans pouvoir l’observer, pour mieux s’en rassurer. Elle ne sait pas, Cassey, et peut-être qu’elle fait preuve de maladresse en voulant apaiser ses craintes.  Mais s’il y a une chose dont elle n’arrive pas à le tirer, c’est de ses ténèbres. Elle reste silencieuse quand il la contredit, parce qu’elle ne peut pas s’opposer à ce que lui, il peut ressentir. Elle espère, juste, qu’il puisse changer d’avis. « Parce qu’on est arrivés. » elle lui affirme en l’attirant avec elle. Ils passent la petite porte à l’entrée du parc. Les rires enfantins se font entendre, brièvement, mais redeviennent lointains alors qu’ils arrivent jusqu’au lac, celui où la baignade est interdite. « Tu penses qu’on est où, dis-moi ? » elle lui demande soudainement. Le laisse imaginer, lui, tout seul, avant de dire quoi que ce soit. S’il refuse de rêver, Kenan, elle va le forcer à y arriver. Car elle ne dira rien, c’est à lui de deviner. À lui de sentir, à lui… d’exister.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé;

- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -






envole-moi. (Kenan) - Page 2 Empty
Message Sujet: Re: envole-moi. (Kenan)   envole-moi. (Kenan) - Page 2 Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
envole-moi. (Kenan)
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 2 sur 2Aller à la page : Précédent  1, 2
 Sujets similaires
-
» Better now Ϟ (Kenan)
» new beginning. (kenan)
» SMS / kenan ft aspen.
» silience ft. kenan
» l'obscurité de ma prison |kenan

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
SAVE THE QUEENS :: 
 :: boulevard of broken dreams :: version #23 et #24 :: rps
-
Sauter vers: