through the stars // theo [délai : 27/12]

traits de caractère /  accessible – amusant – audacieux – authentique – bienveillant – brouillon – confiant – curieux – désordonné – déterminé – direct – drôle – dynamique – empathique – humble – intelligent – impulsif – intéressé – intuitif – joueur – libre – maladroit – moqueur – obstiné – ouvert d’esprit – passionné – sans gêne – sociable – souriant – tenace – vrai

une certaine facilité d’approche, comme cette impression qu’on peut tout de suite lui faire confiance. car, effectivement, on peut te faire confiance à toi. le sourire, toujours sur le coin de tes lèvres. le rire qui n’est d’ailleurs jamais bien loin à suivre. le regard pétillant, qui déborde de vie. la curiosité sans limite, si bien que parfois, ça en devient exaspérant. la maladresse, à la limite légendaire. ce don, venu du ciel, de te mettre les pieds dans les plats, et ce, même sans le vouloir vraiment. l’étrange facilité à dire tout ce que tu penses, à voix haute, la plupart du temps. cette mauvaise manie, à voir de monde comme un terrain de jeu, à avoir du mal à prendre les choses au sérieux. une grande détermination, pour les choses qui te tiennent à cœur, qui te font vibrer, vivre même.

(one)tu as toujours admiré ton père. homme, incarnant la réussite. c’est pourtant aussi ça qui t’as si longtemps empêché d’avancer. l’impression que tu ne lui arriverais jamais à la hauteur. lui qui pourtant, ne t’en aurait jamais demandé autant de toi. gamin qui a pourtant grandi sans mère. ou plutôt sans sa mère. qui en a pourtant jamais souffert. puisque toi, tu avais ton père, et tu avais muse aussi. (two) muse, ta sœur. celle pour qui tu serais probablement prêt à décocher la lune si elle te le demandait. celle pour qui tu remurais ciel et terre s’il le fallait. celle dont tu ne supportes pas voir souffrir. pourtant, tu l’auras abandonné à un certain moment. et bien que tu ne regrettes en rien ta décision d’être parti, il n’en reste pas moins que tu regrettes de lui avoir fait du mal. parce qu’au fond tu te doutes que tu aurais probablement dû rester présent pour la guider. (three) gamin, rendu adulte. qui a pourtant eu une longue période de questionne. toi, qui a fait une pause, tu a enfin pris le temps de t’arrêter. le temps de te demander où la vie te mène, où tu vas. et toi tu n’as pas manqué de réaliser le problème. parce qu’à cet époque tu ne savais pas. où la vie te menait, mais pire encore tu ne savais même pas qui tu étais, ce que tu devenais.  mal de tête, mal de cœur, mal de vivre. tu ne sais pas, tu ne sais plus. si tu n’es pas justement entrain de ficher ta vie en l’air. (four) alors, tu as décidé de mettre tes pensées à pause, l’espace d’un instant. tu arrêtes de trop réfléchir, de te demander ce que tu devrais faire, pour eux. et tu as décidé de partir, de disparaitre. sur un coup de tête. les informer, tu l’as fait. mais seulement quand ils ne pouvaient plus te retenir. parce que tu as besoin toi, de savoir qui tu es, d’enfin être toi-même. bloomsbury, que tu affichais fièrement durant toutes ces années. mais qui étais-tu d’autre que le fils de ton père ? c’est ce que tu voulais savoir, c’est ce que tu devais découvrir. mais par toi-même. (five) gamin, qui a beaucoup voyagé. parce que toi, t'as pris le premier vol que t'as réussi à trouver en direction de l'europe. t'as atterri en angleterre, puis tu t'es mis à te chercher à partir de là. à chercher de déterminer qui theo était avant d’être cette personne modelé pour plaire. t'aurais bien mis trois ans, trois ans pendant lesquels t'as voyagé, parcouru le monde, dans l'espoir d’enfin te trouver. (six) puis, lors de tes nombreux voyages, tu l’as rencontré elle. elle et son regard d’océan ce regard qui t'as tout de suite fait chaviré. ça n'a pris que quelques moments pour que vous vous parliez, pour que vous vous apprivoisiez. complètement sous son charme, tu t'es laissé prendre par ces sentiments nouveaux, par ces sentiments puissants. ceux qui t’étais pourtant inconnu jusqu’à cet instant. si bien que pour elle, tu aurais été prêt à tout abandonner. parce qu'à cet instant de ta vie, il n'y avait qu'elle qui semblait y donner un sens certain. jeune homme amoureux. (seven) vous filiez le parfait bonheur. avant que la réalité ne vous rattrape. avant qu’elle finisse par te briser le cœur, avant que tu ne la retrouves dans les bras d’un autre homme. gamin, qui a eu le cœur complètement brisé, qui a après coup décidé d’évoluer en solitaire, de continuer ton voyage, de faire tes expériences, mais en te concentrant sur toi cette fois. (eight) t'as voulu laissé une autre chance à l'amour après ça. t'as essayé, mais t'y es pas arrivé. peut-être était-ce car la douleur était trop récente, ou peut-être était-ce plutôt car tu as réalisé qu'après ça tu n'aimerais jamais quelqu'un de la manière dont tu l'as aimé, elle. mais dans tous les cas, t'as fait une croix sur l'amour. t'as décidé de ne plus y accorder la moindre important, de ne plus t'attacher comme tu l'as fait par le passé. parce que t'en es venu à croire que l'amour n'est qu'une erreur. une erreur que tu n’es pas prêt à répéter pour l’instant. alors, tu ne t'attaches pas plus que le temps d'un soir. et tu tentes de te convaincre que c'est ce que tu veux, que c'est pour le mieux. (nine) t'as toujours été particulièrement intelligent. premier de classe, et ce, durant toute ta scolarité, tu excellais notamment en mathématique et en sciences, mais tout particulièrement de langues étrangères. véritable talent que tu as toujours possédé, on t'a donc encouragé à persister dans cette voix. et si bien que tu as suivi les pas de ton père dans un premier temps en affaire, tu as fini par faire des langues ton métier. d'ailleurs, tu parles aujourd'hui cinq langues soit l'anglais, le français, l'allemand, l'italien et le russe. tes voyages qui auraient pu durer encore quelques années, qui ont pourtant été écourtés bien vite. quand tu as reçu un appel inquiétant de la part de ton père, quand tu as appris que ta sœur s’était retrouvé sur une pente glissante suite à ton départ, qu’elle avait fini par toucher le fond d’ailleurs suite au décès de cet homme qui pourtant, n’avait fait que la tirer vers le bas. mais tu n’as pas hésité toi. tu es revenu t’installer à new-york, cette fois avec l’intention de rester. parce qu’au final toi, tu as bien fini par réaliser qui tu étais, tu le concrétise d’ailleurs encore aujourd’hui. seulement, eux aussi ils font partis de toi. ta famille, ton sang.