M / THEO JAMES (non négociable)

identité complète / Alistair Jefferson Montgomery. Le prénom et le nom restent entièrement négociables mais il faut garder en tête qu'il est issu des classes privilégiées du pays et d'une famille de politiciens. Ainsi pas de prénom à tendance hippie tel Shadow, Zeus ou autres et de nom à consonance étrangère (car on sait tous que pour un pays composé d'immigrés les USA ne sont pas les plus ouverts). tranche d'âge / Entre 30 et 35 ans, il débute tout juste sa carrière politique ce qui induit qu'il a fait de longues études et quelques années de stage avant de débuter sa campagne actuelle pour le poste de gouverneur de l'Illinois .statut civil / Fiancé, du moins il l'était avant de se réveiller un matin sans la femme qu'il aime à ses côtés. études ou métier / Il a fait des études en sciences politiques en Majeur avec au choix Droit ou Economie en Mineur. Il mène une campagne pour devenir gouverneur de l'Illinois, un État gouverné par les membres de sa famille depuis un moment et où son nom est influent. groupe conseillé / ACE OF DIAMONDS ou ACE OF SPADES à bannir les ACE OF CLUBS qui ont tendance à subir la vie et à s'apitoyer sur leur sort. Or Alistair prend sa vie en main et lui impose les directives. avatar souhaité / Théo James car son duo avec Anna Ewers est juste ultime. Et même si ça sera compliqué de me faire adhérer à quelqu'un d'autre, je reste ouvert aux suggestions.

Tempérance Richardson / Tu as rencontré Tempérance à la fin de tes études, une grande blonde insolente et rayonnante, mais surtout une Richardson. Et tout le monde le sait les Richardson et les Montgomery ne se mélangent pas, une haine due à la politique qui s’étend sur des générations. Peut-être est-ce cela ou bien le fait qu’elle soit une it girl, mais la combinaison de tous les préjugés que tu as pu avoir sur elle ont fait qu’avant même de lui parler tu savais déjà au fond de toi que tu la détesterais. Et la haine fut présente, pendant près d’un an vous vous êtes ignoré du mieux que possible, étant extrêmement froids et secs et franchement désagréables l’un envers l’autre lorsque vous n’aviez pas d’autre choix que de vous côtoyer. Mais il n’y a qu’un pas de la haine à l’amour. En cette soirée du nouvel an, tu ne sais pas si c’est l’alcool ou bien la façon dont sa robe flattait sa silhouette, ou même encore la combinaison des deux. Mais lorsque minuit sonna tu ne pus t’empêcher de te tourner vers elle pour échanger un baiser. Un baiser qui dura plus que prévu, un baisa qui changea drastiquement la nature même de votre relation. L’alchimie entre vous était indéniable alors tu appris à la connaître, et à ta grande surprise elle n’était rien de ce que tu avais imaginé et toi rien de ce qu’elle ne pensait. Dans le fond vous aviez bien plus en commun que ce que vous n’aviez pu vous avouer. Très vite l’amour devint indéniable et son visage te revenait constamment en tête quand tu t’imaginais ton futur alors tu posas un genou à terre au bout d’un an de relation. Tu n’aurais pas pensé qu’elle puisse dire oui. Elle c’était ouverte à toi, t’avais parlé de sa famille, des traumatismes de son enfance et de la haine qu’elle nourrissait pour toute la sphère aisée et politicienne du pays. Mais elle accepta de devenir ta femme, une femme de politicien qui se tient aux côtés de son homme et le soutient dans sa campagne. Pendant plus d’un an votre relation survécut à ce milieu, mais tu la vis disparaître. La femme tu avais épousé n’était plus, la lumière qui l’habitait s’éteignait un peu plus chaque jour dans cette prison. Mais tu te disais que ce n’était qu’une phase, le temps d’adaptation, qu’elle te reviendrait un jour. Vos moments juste tous les deux eux étaient quant à eux toujours parfaits, comme à la naissance de votre relation. Il était indéniable que la situation ne vous convenait pas mais l’amour lui était toujours là et intense peut-être même plus qu’au premier jour. Vous étiez la drogue, l’addiction l’un de l’autre. C’est pour cela que tu ne compris pas le jour où en te réveillant tu ne vis pas la femme de ta vie à tes côtés mais une lettre manuscrite dont tu ne connaissais que trop la calligraphie sur l’oreiller.
« Cher Alistair, quand tu liras cette lettre je serai déjà partie. Je suis désolée de te quitter ainsi par écrit. Mais je sais qu’il aurait suffi d’un mot de ta part, d'un effluve de ton parfum pour me retirer toute volonté. Je t’aime n’en doute pas, mais l’amour est-il seulement suffisant ? Nous ne nous rendons pas heureux au quotidien, moi dépérissant dans ce milieu que j’ai fui il y a de cela des années et toi souffrant de faire ce constat chaque jour. Ne nous devons-nous pas d’essayer d’être heureux l’un sans l’autre que misérables ensembles ? Je te demande pardon d’avoir cru l’espace d’un instant que la vie que tu as à m’offrir puisse me correspondre. Mais la vérité c’est que nous attendons deux choses différentes de nos existences et nos chemins ne suivent pas la même voie. Peut-être la vie nous ramènera l’un à l’autre un jour, mais pour le moment nous ne sommes pas faits l’un pour l’autre. Car vivre ensemble signifie que l’un de nous doit s’oublier que ce soit moi pour soutenir ta carrière ou toi en l’arrêtant pour moi. Et crois-moi s’oublier entraîne forcément toute autre chose que le bonheur car il est bon d’aimer mais surtout de s’aimer soit même avant toute chose. Je te souhaite de trouver une femme qui saura t’apporter ce que je n’ai pu te donner et d’enfin trouver le bonheur. Et surtout je te remercie de m’avoir montré ce que sont l’amour et la confiance.
Probablement éternellement tienne, Tempérance.
Ps: Et sachez Monsieur le président (du moins le futur président) que vous avez mon vote peu importe les élections. »
Et alors comme tout homme qui aime réellement la femme de sa vie, tu respectas sa volonté et la laissa partir.