no dejaré de quererte // opaline.

save the queens ---- / OPALINE BROZ

22 ans ---- / ACE OF CLUBS ---- / anastasiya scheglova

identité complète / opaline, pierre précieuse, elle perd peu à peu de sa valeur. au regard de son père, elle était plus précieuse que le plus beau des joyaux. elle n'est plus qu'un robin des bois, volant aux riches pour donner à sa cave. broz, ce patronyme encore bien trop douloureux. celui à qui elle doit tout, celui qui lui a appris les vraies valeurs de l'existence. lieu de naissance et origines / la croatie l'a vu naître. pourtant, elle n'y a passé que quelques maigres années. avant le divorce. avant qu'elle ne prenne la fuite au côté de son père. études ou métier / petit enfant gâté, pas la peine de travailler dans les faits. mais, le besoin d'adrénaline l'y force. elle vole. son petit corps s'infiltrant entre les fissures de confiance. se faisant passer pour une femme d'entretien (ou bien pire) afin de se faire ouvrir les portes. et la nuit, pour palier à sa solitude, elle prend sa voiture et parcoure le monde en faisant voyager autrui, chauffeur uber. orientation sexuelle / les hommes, les femmes. bisexuelle. elle accepte tout ce qui peut de près ou de loin lui procurer le plaisir qu'elle attend. statut civil / la belle butine, papillonnant à droite et à gauche pour son propre bonheur. célibataire en quête de sensations nouvelles. pi, scénario ou prélien / inventé, toujours.

save the queens ---- / TELL ME WHO YOU ARE

once upon a spirit ---- / a soul ---- / a shining star

traits de caractère / elle a besoin de se sentir vivante. l'idée de seulement survivre lui donne la nausée. d'après elle, il faut faire de la vie un rêve éveillé. il faut foncer. prendre la vie comme elle vient, et la tordre dans tous les sens afin d'en faire une décharge d'émotions. elle pourrait ne rien faire de sa vie, et se contenter de l'argent que lui a laissé son père en quittant ce monde. mais non. trop facile. pas assez d'adrénaline. alors, elle vole. elle veut avoir peur qu'on la surprenne, avoir peur de finir derrière les barreaux pour des bricoles dont elle ne se servira jamais. femme forte au visage de poupée. elle se sert de cette apparence naïve pour arriver à ses fins. une grande manipulatrice des temps modernes. depuis que papa est décédé. depuis que celui qui la couvrait d'or a poussé son dernier soupir. c'est cela qui l'a transformé en la sirène au cri strident qu'elle est aujourd'hui. devoir vivre ainsi sans celui qui faisait de son existence une réelle vie. pourtant. ce n'est pas cela qui a comblé le malheur. pour parfaire le tableau de l'agonie, il fallait bien plus qu'un décès. un souvenir. un fantôme venu du passé pour la faire sombrer. un appartement qu'il ne fallait pas visiter. une demeure à ne pas violer. les pièces ne dormaient pas. les tableaux, qu'elle voulait voler, n'étaient pas seuls. ils étaient là. cette bande difforme. les hommes. les femmes. ivres. morts. les larmes aux yeux, elle avait subi leurs gestes d'impudeurs. le viol. l'abattement. elle en est sortie changée. plus envieuse encore de croquer la vie, de ne pas se laisser abattre par le souvenir de leurs mains sur son corps. bouffée par la honte, par contre. et enceinte. l'enfant déployé entre ses entrailles de fille trop chétive. elle en meurt. elle n'en veut pas. ça lui donne la nausée, et des démangeaison dans l'coeur. et deux mois plus tard, une lettre. quelques mots pour récupérer l'enfant. pour l'élever dans leurs rangs. pour faire de lui le petit prodige de cette bande de détraqués. le papier entre les doigts, l'enfant dans son ventre, le souvenir de son père derrière le regard, opaline a pris sa résolution. vivre jusqu'à la mort. vivre à fond. vivre à en mourir. vivre plus que tout au monde. enchaîner les plaisirs, les bonheurs et tout ce qui peut la faire frissonner de vie. et si elle doit embarquer l'enfant dans sa descente aux enfers, alors tant pis.

save the queens ---- / TELL ME MORE

once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share

Les arbres défilent devant ses yeux. Elle ne sait plus depuis combien de temps elle roule. Dix minutes, peut-être plus. Une femme, assise derrière elle semble dévastée. Les larmes coulent le long de ses joues comme des perles de honte. Elle semble gênée lorsque Opaline dépose son regard sur elle, à travers son rétroviseur. Ses yeux, rougies par l'émotion, restent alors accrochés au sol. Pudeur. Honte. Opaline sent l'atmosphère enserrer son coeur. La belle au volant avait beau ne pas aimer se mêler des affaires des autres, elle ne pouvait se demander ce qui pouvait bien rendre une femme dans un état aussi lamentable. Alors, regardant l'homme assis à ses côtés, elle lui lance un regard accusateur. « Je peux savoir ce qui lui arrive ? » D'un geste de la main, l'homme élude la question en se contentant de quelques mots. « Elle chiale toujours pour rien. » la belle reporte son attention sur la route, phares allumés, et la langue claquant contre le palet. elle n'est pas satisfaite de la réponse. quelques minutes plus tard, alors que les arbres continuent de défiler à sa vitre, opaline retente une question. « il vous a fait du mal ? » cette fois-ci, elle s'adresse directement à la jeune femme assise à la place arrière. la petite femme brune assise à l'arrière semble ne pas vouloir répondre. tombée dans un mutisme parfait, elle se contente de jeter un regard à l'homme dans lequel la peur tient une place prédominante. opaline comprend. la petite marque dépassant du décolleté de la belle lui donne assez d'indice pour qu'elle prenne sa décision. doucement, elle gare la voiture sur le côté après avoir fait tous les contrôles nécessaires à la sécurité. « monsieur, descendez s'il vous plaît. » un rire roque s'échappe de la gorge de celui installé à ses côtés. il ne la prend pas au sérieux, pensant qu'elle plaisante simplement. le problème, c'est qu'elle ne plaisante pas. opaline ne plaisante jamais avec ce genre de chose. opaline n'aime pas ceux qui plaisante avec ça. elle fixe sur l'homme un regard menaçant, un rictus mauvais soulevant le côté gauche de ses jolies lèvres. « sortez, ou je vous fais sortir de force. » puis, elle ajoute après quelques secondes. « je n'ai pas peur de vous. » c'était la vérité. elle n'avait plus peur de rien. même la mort semblait lui être une amie appréciable. alors, elle flirtait avec le danger, sans penser à l'objet naissant au fond de ses tripes. elle attend que l'homme soit descendu, plus par dépit que par peur, et remet le contact en adressant un sourire semi-rassurant en direction de la jeune femme qui s'était mis à pleurer de plus belle. « moi, c'est opaline. n'essayez pas de me sonner de surnom comme op', cela ressemble à hope, et je n'ai rien à voir avec cette connerie que l'on appelle "espoir". » elle hausse les épaules. « vous pouvez dormir chez moi, ce soir. il faut laisser le temps à votre ami de se calmer. »

elle est comme ça, opaline. entière. profonde. spontanée. le coeur enrobé d'une couche étrange depuis la nuit de son malheur. la nuit qui fait gonfler son ventre d'un enfant malheureux. elle le garde, précieusement, bien qu'elle n'en veuille pas. ils ne l'auront pas. ces gens qui ont fait d'elle une femme sans peur, une femme courant après la mort et la destruction. plutôt mourir que de leur rendre l'enfant. elle sait qu'ils viendront un jour le lui prendre. elle les attend. ce jour-là, elle sera prête. prête à se battre pour l'enfant, à se battre pour elle-même, à se battre pour rendre fier son pauvre père.

save the queens ---- / BEHIND THE MASK

fürelise // léa ---- / 22 ans (bientôt) ---- / rpgiste

ville / valence. études ou métier / master en littérature, et leclerc drive pour payer l'appart', j'ferai un bon perso de forum, ouais. avis général sur le forum / ça sent le monsieur propre au citron, et ça, j'achète. le détail qui t'a fait craquer / la touche "e". (me demandez pas, j'sais pas). fréquence de connexion / tout le temps. no dejaré de quererte // opaline. 3240963260

no dejaré de quererte // opaline. 3240963260

le mot de la fin / Vous savez, moi je ne crois pas qu’il y ait de bonne ou de mauvaise situation. Moi, si je devais résumer ma vie aujourd’hui avec vous, je dirais que c’est d’abord des rencontres. Des gens qui m’ont tendu la main, peut-être à un moment où je ne pouvais pas, où j’étais seul chez moi. Et c’est assez curieux de se dire que les hasards, les rencontres forgent une destinée... Parce que quand on a le goût de la chose, quand on a le goût de la chose bien faite, le beau geste, parfois on ne trouve pas l’interlocuteur en face je dirais, le miroir qui vous aide à avancer. Alors ça n’est pas mon cas, comme je disais là, puisque moi au contraire, j’ai pu : et je dis merci à la vie, je lui dis merci, je chante la vie, je danse la vie... je ne suis qu’amour ! Et finalement, quand beaucoup de gens aujourd’hui me disent « Mais comment fais-tu pour avoir cette humanité ? », et bien je leur réponds très simplement, je leur dis que c’est ce goût de l’amour ce goût donc qui m’a poussé aujourd’hui à entreprendre une construction mécanique, mais demain qui sait ? Peut-être simplement à me mettre au service de la communauté, à faire le don, le don de soi.

Code:: [b]anastasiya scheglova[/b] / [i]opaline broz[/i]

MAIS TU T'ARRÊTES PAS no dejaré de quererte // opaline. 2746119247

c't'avatar, stp... nous faudra un lien, là... no dejaré de quererte // opaline. 2432992258

rebienvenue chez toi, trésor! no dejaré de quererte // opaline. 2323690026

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fearless child, broken boy ; tell me what it's like to b u r n .

t'as intérêt de me garder un lien bc marre re-bienvenue chez toi princesse
jtm

TA SIGNATURE
c'est l'une de mes chansons préférées de tous les temps bordel, tdg la vie.

rebienvenue bichette, t'es chez toi ici.
j'sens encore le perso qui va m'faire tomber à la renverse mais on va essayer d'y survivre.

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-fuis-moi comme le cholera parce que j'suis un voyou, c'est comme ça qu'on dit. et au pire, ça t'donnera envie d'me cracher à la gueule -

j'ai faim.

lyes - et non, je veux que le forum soit entièrement peuplé de moi.
j'vais envahir le monde.

grand merci, babe.
et pas de problème pour le lien, on s'fera un truc qui déchire.

athena - tu peux parler avec toutes tes merveilles là. mais ouais, il faudra qu'on s'mette d'accord sur un lien, un de ces jours.
jtm too.

cez - tu dis ça mais on a toujours pas de lien. moi j'dis que c'est un complot contre moi.
t'as intérêt de rattraper ça, et vite. (faudra s'y mettre )

et pour la signa, c'est aussi une de mes chansons, j'suis absolument folle de tdg.
et si le perso te tue, j'suis preum's pour le bouche à bouche.

jake - j'ai envie de faire pipi.

ah. moi j'y suis finalement allé il y a un quart d'heure.
mais maintenant j'ai faim.

(t'es belle bb t'es ma mienne comme d'habitude voilà)

t'es pas tombé de ton échelle ?
c'est une arme de destruction massive, ne l'oublie pas.

ps : t'as fini de raconter ta vie sur ma fiche, c'bon ?

(évidemment, jtm bb, j'suis trop contente qu'on reforme le duo de gens qui puent le swagg.)

Opaline Broz a écrit:: cez - tu dis ça mais on a toujours pas de lien. moi j'dis que c'est un complot contre moi.
t'as intérêt de rattraper ça, et vite. (faudra s'y mettre )

mais prout déjà scar est jamais revenue dans la fiche de liens de kurtis.
mais j't'ai dit que c'était une obligation qu'on se trouve un lien parce que Y'EN A MARRE.
~~pour le bouche-à-bouche par contre faut faire la queue, j'sais plus où j'en suis~~. en vrai tqt, j'sais bien feindre les malaises.

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-fuis-moi comme le cholera parce que j'suis un voyou, c'est comme ça qu'on dit. et au pire, ça t'donnera envie d'me cracher à la gueule -

» misery loves my company // opaline.