just enough madness to make her interesting (Scotty. )

traits de caractère / Forte personnalité. Complexe. La folie rencontrant la fragilité.  Profondément humaine et altruiste, tu possèdes une forte sensibilité doublée d’une intuition remarquable, parfois étrange, on te dit ultrasensible aux restes du monde. Très équilibrée, hypernerveuse, tu tends à apaiser les situations, car tu détestes  les conflits de toutes sortes. Pourtant impatiente, impulsive, s’emportant fréquemment , tu  ne gères pas tes émotions bien trop souvent explosives. La richesse,  ne t’a jamais intéressé, bien trop porté sur l’humain. Tu ne désirs qu’une vie tranquille, ce qui est difficile avec tes crises de somnambulisme, qui t’ont souvent causé bien trop de tracas. Toutes ses émotions, ne seront pas toujours vécut à vive allure, parfois ce sont des rêveries agitées, mêlant ton hypersensibilité à  ta fragilité émotionnelle, à cette dépendance d’être aimé, qui bouffe ton couple. Un esprit de sacrifice, tu rêves sans doute d’un monde utopique qui s’adapte mal au quotidien. Attachante, l’envie de faire plaisir, de rendre justice à tous, même aux cadavres. Faible, mais capable de soulever des montagnes pour la vérité, véritable bulldozer dans son travail. T’amuser, ne pas tout prendre au sérieux, c’est le remède pour survivre.  

(( fly away, family.))Princesse abandonnée devant une église. Un être de plus dans la misère du monde. Univers qui ne tourne pas rond. Trois années entassées sur les autres anges mal aimé, câliné, pas des sœurs. Puis l’homme le père. Ce père qui te donna l’amour que tu n’aurais jamais dû manquer, arriva. Une famille, un besoin énorme d’avoir une famille, pleine d’enfant . sans songer à ce que les enfants biologiques pourraient penser. Toi t’as toujours voulu avoir une place, toujours voulu être aimé, et aimer en retour. Tu aimes, prenant parfois des murs, des maux qui restent gravé dans tes tissus.  Toi, une autre, et ainsi de suite. Jusqu’à finir à sept filles biologiques et adoptées. L’amour, la folie de ce père qui n’a jamais voulu que le bonheur de tout le monde. Dépendante, en recherche d’une place, que tu trouveras sans vraiment la trouver. Des conflits, de l’amour, des déchirures troublant ton sommeil. Depuis que tu as six ans, tu es possédé par tes nuits, naviguant, te mettant en danger dans ton somnambulisme. Tu ressens le monde bien trop fort, détruisant le calme des nuits que tu devrais avoir.   ((passionate, heartbreaking.)) ensemble à jamais. Promesse sur le balcon du monde, à deux doigts de tomber à la renverse. Le sol appelant son corps, toi le retenant. Droite, prête à le suivre, pour le détourner de ce choix. Amitié, l’amitié qui régissait vos battements de cœur, ces cœurs laissant leur mélodie vous bercer d’une complainte enivrante vers la mort. Son choix, prêt à le suivre, prêt à sauter à en finir car il est le soldat pour lequel tu veux tomber. ton cœur pouvant s'arrêter avec le sien.  Qu’ami. Il n’est que ça. Elle n’est que ça, qu’une petite sœur. Des mots, que vous lanciez, à tout ceux riant de cette relation, de ce besoin d’être ensemble, de se défier, de se rentrer dedans. Là pour l’autre. Dans son absence, ton désarroi, tes pressentiments beauté, tu n’étais pas prête pour ce manque. Cœur déchiré en imaginant sa carcasse éclatée sur le naphte. La pulpe de tes doigts jouant sur sa main, opales contre opales, il a essayé de combattre avant de tomber, puis tous les deux, dans les bras de l'autre.  Un début fracassant, un chemin trop rapide et pourtant fort. Ensemble, à toujours. Promesse tenue, haut et bas, affrontant ensemble dans les larmes, les éclats de rires  de cette vie. Le mariage, comme ça, un battement de cil, des  promesses jetée en l’air, d’aimer, de se déchirer, aussi.  La passion qui animera à toujours vos êtres, vos cœurs en rythme. L’amour au plus haut, les réseaux sociaux, vous étalant, à la pointe de la dernière vague de popularité, tik tok, instagram. Un couple qui ferait pâlir les âmes solitaires, mais parfois dans la pénombre, loin des caméras, tout part en vrille, tout s’envole dans votre monde, les objets qui volent, vous qui vous aimez passionnément au point de ne pas pouvoir contenir la pression de cette amour, jusqu’à vous en blesser. ((medicine, fear.))Avoir le myocarde des autres entre tes mains, c’est effrayant. Affolant, toi trop intuitive, trop observatrice, devinant chaque écorchure des autres. Malaisant. Cette façon de toujours voire juste. Ton hypersensibilité et cette façon d’être ultra lucide, ne t’ont jamais aidé dans le monde des vivants. Étrange petite brune, l’énergie brûlant trop vite auprès des maux des vivants, tu t’es réfugiée dans la morgue, glissant dans les ténèbres des êtres incompris. Méritant la vérité oublié des âmes courant après le temps. Poupée brisée par le monde l’entourant, incapable d’oublier ce que tu ressens, ce que tu vois. Job t’étant destiné, besoin de donner le dernier verdict à tes patients. Leur accorder des adieux dignes de ce nom, devinant les tragédies de leur vie, la fin déchirante ou apaisante. Tu es douée et tu n’hésite pas à remue la poussière d’ancien cas quand pour toi la dernière vérité n’est pas assez juste.