just a bloody ass british - -

01. Je suis né le 14 Février 1994 dans la charmante ville reine qui est Londres en Angleterre et je suis aussi l’enfant du milieu, mais ceci n’a jamais affecté ma relation avec mes parents, car mon père et ma mère nous traites tous et chacun dans l’égalité. C’est aussi très rare que ça arrive dans des familles de six personnes. D’habitude, l’enfant du milieu n’est pas aussi chanceux que les aînés et les cadets, mais chez moi, c’est le cas contraire. Chez moi, j’ai grandi dans le monde du Rock and Roll. Mon père est Phil Collen, co-fondateur du groupe Def Leppard et aussi guitariste et vocaliste. Disons que mes professeurs au primaire et au lycée étaient sur le point de tomber dans les pommes chaque fois qu’elles croisaient mon père. Pour ma mère, ce n’était pas une insulte, car elle savait qu’elle avait pêché une perle rare. Mon père m’a souvent raconté que c’était difficile d’avoir ma mère dans les années 80, car elle était déjà mariée à une légende du Rock and Roll, Eddie Van Allen. Mon père et Eddie était de très bon copain avant que Ed décide de commettre l’adultère dans son mariage. Mon père aurai pu faire la même chose des centaines de fois, mais l’amour qu’il éprouve pour ma mère est inconditionnelle. 02. Au primaire, j’étais ce petit nerd boutonneux avec des broches. Oui, j’étais ce petit garçon qui se faisais intimider à l’école, mais qui se retrouvais sans arrêt dans le bureau du directeur, car je laissais sortir mes démons lorsque j’en avais assez de me faire tabasser et rabaisser par les autres. Mes parents ne m’ont jamais donné de discipline, car c’était un comportement qu’ils désirais voir en retour pour démontrer aux autres qu’il ne fallait sous-estimer les apparences. J’ai souvent changé d’école à cause de mon comportement avant que ma mère décide de me faire l’école à la maison. C’était la meilleure solution pour mon moral et surtout pour mon apprentissage, car je ne pensais pas devenir moi-même un intimidateur. Au lycée, je ne connaissais personne, car j’ai été éloigné des autres à part de mon meilleur ami, Brody McMorris qui était comme un frère pour moi depuis plusieurs années, car nos mères sont tous les deux aussi proche que nous le sommes. Mon expérience scolaire était beaucoup plus jouissante durant mon adolescence, car même si mes notes scolaires était soi-disant correct entre guillemet, j’ai découvert l’univers de la drogue assez rapidement. J’ai du terminé mon lycée dans une maison de réhabilitation pour me remettre sur le droit chemin et ceci ne m’a pas empêché d’avoir mon diplôme. Aujourd’hui, je suis sobre depuis l’âge de dix-huit ans, mais je fume toujours la cigarette, mais beaucoup moins. 03. À vingt ans, j’ai décidé de changer ma vie et d’aller m’établir dans la grosse pomme. Mes parents avaient un appartement dans le Queens pour être un peu éloigné de la ville en tant que t’elle, mais le Queens Uppé était parfait pour ce que je désirais faire avec mes projets. J’ai découvert rapidement que les arts étaient quelque chose que j’aimais beaucoup. Vous s’avez quand on nous demande se qu’on désire être plus tard et bien pour moi, j’ai découvert ma profession quelques années après avoir beaucoup d’erreur et après avoir mis ma propre vie en danger. Vieillir fait partie de la vie et parfois, ont réalise un peu tard ce qui est bien pour nous. J’ai passé deux ans comme apprenti dans un salon de tatouage très bien réputé de Brooklyn avant devenir employer pour mon mentor. Jerry Burns était comme mon deuxième père, un parrain qui m’a tout montré et tout appris pour que je devienne encore meilleur que lui. J’ignorais que Jerry m’avait inclus dans son testament pour être le successeur de son salon. Son avocat m’avait conseillé de garder ça secret et j’ai été en contact avec un agent d’immeuble pour que la famille pense que j’ai acheté sa business. Son secret est très bien gardé avec moi et même que son fils n’a pas essayer de me contacter pour la business, car Jerry n’a jamais eu une bonne relation avec celui-ci. Je suis chanceux d’avoir une bonne relation avec mon père et même mes deux parents. Je ne changerais pas mes parents pour d’autre personnes. Aux files des années, j’ai fait beaucoup de changement pour le salon. Ma sœur s’occupe de notre image sur les réseaux sociaux et mon frère est tatoueur avec moi. On m’a souvent dit de ne pas inclure la famille dans nos affaires personnelles, mais faire confiance à sa famille est plus sécuritaire que de faire confiance à des étranger et avec ma mère à la comptabilité, il ne manquera aucun sou dans la banque. 04. Il y a quatre ans, je vivais le parfais bonheur avec ma copine, Alexis Jean. Disons que c’étais le grand amour, car nous nous sommes rencontrés sur le plateau de la série Ink Master et croyez-le ou non, j’ai été le grand vainqueur de cette saison-là et Alexis avait terminé 2ème. C’était une très belle expérience, car j’ai aussi prouvé à beaucoup de gens que mon talent en valais la peine. J’ai fermé mon salon à Brooklyn pour m’établir dans le Queens. Cette nouvelle localisation était deux fois plus grande et Alexis travaillais pour moi avec mon frère, ma sœur et le reste de ma famille. Je dos avouer que c’est à cause de moi qu’elle soit partie. Un peu trop possessif envers elle, son talent et je la questionnais énormément, mais aussi, elle a aussi causé cette séparation lourde lorsque j’ai su qu’elle avait été dans une clinique d’avortement. Elle était enceinte de notre premier bébé et elle la tuer sans que je le sache. On m’en veut de ne pas l’avoir amené à la cour pour avoir justice pour mon enfant qui n’était pas encore un enfant. Le manque de respect, de jugement, d’amour et de communication avait mis fin à ce que nous avions bâti et je lui ais enlever tout ce qu’elle avait investi. Elle me demande encore aujourd’hui de la dédommager, mais après ce qu’elle a fait, c’est hors de question pour moi de tout lui redonner. 05. Personnes dans ce monde a demandé à être au monde. Faut croire que c’est le destin, car je suis un homme assez spirituel. Je crois beaucoup en la force, le karma et ses choses-là. Je suis loin d’être fou, mais nous avons tous une préférence dans nos croyances. Avec le temps, j’ai été intelligent avec mes investissements et mes businesses. Je suis propriétaire d’une magnifique galerie d’art à Manhattan, je gère un studio d’enregistrement avec mon père ici dans la grosse pomme et je suis aussi propriétaire d’un grand magasin d’instrument de musique qui est fréquenté par beaucoup d’artiste. On m’a aussi souvent demandé pourquoi j’habitais encore dans le Queens. Honnêtement, je dois penser à mettre un toit au-dessus de ma tête et New York n’est pas la ville la plus simple pour y trouver un logement abordable sans se mettre dans le trou avec rien sur la table pour manger. Je suis conscient de ce que je fais et je fais beaucoup de mise de fond dans un compte épargne pour profiter d’une retraite bien méritée dans quelques années. Faire des sacrifices ne m’empêche pas de réaliser mes rêves.