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| Do I kill myself or kill them all ? | |
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| Sujet: Do I kill myself or kill them all ? Mer 24 Fév - 12:27 |
| save the queens ---- / ADONIS WORALL
36 ans ans ---- / Ace of clubs ---- / Louis Garrel
identité complète - Né Adonis Usman, à l'heure de la fuite le nom du père devient de trop. Worall. Un nouveau patronyme choisi par sa soeur, un mélange de lettres et de sonorités pour rendre hommage à cet artiste qu'elle aimait tant. Un pied de nez face à la culture d'un pays qui ne les a pas choisis. lieu de naissance et origines - 1984, Manchester, Dad's watching you. À deux ils ont vu le jour, à deux ils ont grandi. Adonis et Anthea, le deux facettes d'une même pièce, un diptyque aux multiples nuances de vie. Une enfance où les côtes se brisent sous les coups d'un père et les espoirs s'évaporent dans le silence d'une mère. La fuite pour seul synonyme de survie, Adonis et Anthea quittent l'Angleterre pour les Etats-Unis le jour de leur dix-sept-ans. Un faux passport, un nouveau nom, pour une vie sans rien, mais une vie sans lui. études ou métier - L'amour de la peinture à l'huile, du rouge et du noir qui s'étalent et se mélangent. Adonis a toujours été passionné par l'Art. Très jeune il y a trouvé un moyen d'échapper à sa violente réalité. Il a vécu à travers des tableaux, rêver devant des sculptures. Un talent qu'il a développé dans l'ombre, à l'abris du regard de ce père qui n'aurait pas supporté cette sensibilité. Malgré les galères, la peinture ne l'a jamais quitté, l'a toujours suivi dans le meilleur comme dans le pire. Mais bien qu'il se transforme en génie une fois un pinceau glissé entre ses doigts, jamais son nom n'a été reconnu par une institution. Aujourd'hui membre du Dark Mist depuis plus de dix ans, la violence qu'il a longtemps dépeint déborde hors de ses toiles, se glisse entre ses mains. Les pinceaux sont remplacés par les armes et la peinture par le sang. orientation sexuelle - Un éternel goût pour les femmes, leurs corps délicats qui ne demandent qu'à se briser et leurs personnalités multiples qui l'inspirent. statut civil - Incapable de construire, voué à la destruction, Adonis ne s'estime plus digne de la vie à deux depuis qu'Anthea est partie. pi, scénario ou prélien - pl @sahel al assad.
save the queens ---- / TELL ME WHO YOU ARE
once upon a spirit ---- / a soul ---- / a shining star traits de caractère / Gasping but somehow still alive This is the fierce last stand of all I am Gasping, dying but somehow still alive This is the final stand of all I am the smiths, well i wonder Adonis colère c'est la colère qui l'anime, la haine qui le guide. Elle s'est glissée au creux de son coeur alors qu'il n'était qu'un bambin, dans l'ombre de la main assassine de ce père qui le punissait pour un crime qu'il n'avait pas commis, pour le simple fait d'être en vie. Les années ne l'ont pas chassée, et cette colère est aujourd'hui enracinée au plus profond de ce qui l'est. Une colère contre son père, contre sa mère, contre ce monde qui semble n'avoir jamais voulu de lui, mais surtout en colère contre lui. Choisi par la violence avant même d'être venu au monde, elle est ce qu'il connaît le mieux, une constante qu'il a fini par chérir. Un moyen pour exprimer toute cette rage qui le dévore peu à peu, un moyen pour parfois provoquer la souffrance qu'il ressent chez les autres, pour venger cet enfant recroquevillé sous son lit, un moyen pour faire taire la douleur quand elle devient insupportable. Adonis mélancolie Main dans la main avec la colère, la mélancolie règne sur le trône de son coeur. Parfois son regard glisse vers des paysages que les autres ne voient pas, loin des couleurs, sur le fil tendu de toutes ses erreurs. Anthea s'est envolée en emportant avec elle la seule partie de lui qui souriait à la vie et lui a laissé un goût de rien, un vide, une abysse profonde et éternelle, un terrible trou noir qui aspire tout ce qu'il croise, tout ce qui s'approche. Sa lumière s'est éteinte pour laisser place à l'obscurité du deuil et de la culpabilité. Une triste douceur au milieu du chaos dans le coeur d'un homme qui ne sera plus jamais plein. Dans l'opéra de mon âme dansent des ballerines entre cour et jardin sur le rythme d'une mélancolie monotone.Adonis peinture La peinture qu'il étale, les corps qu'il étire, les visages qu'il déforme. Une peinture convulsive pour exprimer tous les mots qu'il ne parvient pas à trouver, pour représenter ce monde dans les bras duquel il s'est brisé. Adonis pourrait passer des heures seul dans son atelier, la musique toujours assez forte pour qu'il ne s'entende plus penser, de la peinture perdue dans ses boucles brunes, le regard animé par cette étrange flamme noire où brille son génie. Adonis, maître du faux, divin créateur du surréel ; il renie la logique, refuse la morale, n'exclut pas l'imaginaire du réel. Il reproduit magistralement les chef-d'oeuvres des grands noms qui l'ont toujours inspiré et dégueule violemment ses propres idées sur le lin tendu. Picabia, Tanning, Miro, Dali... Bacon, jamais loin de lui. Adonis loyauté Il n'a jamais appris à vivre pour lui, il a grandi en construisant ses envies autour de celles de sa soeur, chacune de ses décisions étaient motivées par la volonté de voir le sourire d'Anthea réapparaître au milieu du chaos. Aujourd'hui, sa soeur partie loin de lui, cette loyauté infaillible est destinée à cette nouvelle famille recomposée. Capable du meilleur, et surtout du pire, pour empêcher quiconque de s'approcher trop près, de menacer cet équilibre qu'ils ont réussi à trouver ensemble. Pour Monet, celle qui dans les eaux noires est venue le repêcher. Pour Béa, le feu follet qui tourbillonne dans son coeur. Pour Sahel et son regard ingénu, pour Mona et sa douceur étrange. Adonis excès Il a toujours préféré le trop au pas assez. Déjà dans les caves de Manchester, sur le rythme des guitares qui chantaient la détresse d'une génération toute entière, il ne savait pas s'arrêter. Son sourire malin qui étire ses lèvres quand l'ivresse l'emporte, son regard absent quand la défonce l'assomme ; Adonis aime la fête et se perd souvent dans la nuit. Une machine qui une fois lancée ne parvient plus à s'arrêter. People, places, parties, you don't wanna get me started.Adonis folie Depuis quelques temps des fantômes du passé viennent rendre visite à Adonis. Il lui arrive de voir des choses qui ne sont pas réelles, les manifestations d'un traumatisme dont il ne pourra jamais se remettre. Alors, il se réfugie dans les bras de la violence, sans voir qu'elle est en train de l'étouffer. Sa rage consume sa raison, l'attire vers un terrain glissant et dangereux dont il pourrait ne pas réussir à revenir. Pourtant il continue d'avancer, toujours un peu plus loin, la tête baissée et les poings serrés. |
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| Sujet: Re: Do I kill myself or kill them all ? Mer 24 Fév - 12:28 |
| save the queens ---- / TELL ME MORE
once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share Anthea, toi par-dessus tout, moi par-dessous toi. Mon soleil dans la nuit, ma douceur dans l’horreur. Depuis le tout premier jour tu es là, tu incarnes la plus belle partie de moi. Mon sourire n'a toujours fait que répondre au tien, mon rire était un écho du tien. C’est pour toi que je suis resté droit quand il abattait ses poings sur mon corps d’enfant, quand mes petits os se brisaient sous ses doigts. J’ouvrais ma bouche, provoquais sa sentence pour qu’elle s’abatte sur moi plutôt que sur toi. Je me souviens encore de sa voix, du bruit de ses pas dans le couloir, de la manière qu’avait le parquet de craquer différemment quand l’heure du châtiment était sur le point de sonner. Elle, la traitresse, celle qui devait nous aimer et nous protéger, n’a jamais rien dit, n’a jamais rien fait. Elle se contentait de ce silence pesant qui a englouti toute notre innocence, qui nous a volé notre enfance. Un sourire parfois dessiné sur ses lèvres quand à genoux tu le suppliais d'arrêter. Tu crois que c'était le crack ou que ça lui plaisait vraiment ? Puis y'a ton corps de femme qui s’est dessiné en même temps que le regard de l'autre connard sur toi a changé. J’ai gardé les coups quand toi tu as hérité d’une horreur que je n’ai jamais goûté. C’est dans cette violence que nous sommes nés, que nous avons grandi, que nous nous sommes forgés. Toi et moi contre le reste du monde, pas vrai ? Tu te souviens du jour où on les a achetés ? les billets pour notre liberté ? Moi, je me souviens du sourire hilare sur ton visage, du rire plein d’étoiles qui résonnait dans ta bouche alors que tu me montrais fièrement le nom que tu nous avais choisi. Je me souviens de ce bonheur en hyperbole que tu débitais à la minute sans me laisser en placer une. On est partis loin d’eux, loin de Manchester et de ses paysages bouffés par le béton et humidifiés par la brume. Le rêve américain, comme tu disais. On a galéré, c’est vrai. On n’avait pas une thune, et on a pas toujours mangé à notre faim. Mais putain, qu’est-ce qu’on était heureux. Avec toi, dans cet appart’ miteux le monde était plein. Je t’y ai vu sourire comme tu ne l’avais encore jamais fait. Loin de l’ombre de l’ogre et de la sorcière tu brillais tellement que tu éclipsais tout le reste. Tu te souviens de ce soir-là ? de la nuit où tout a volé en éclats ? Moi je me souviens de ton visage endormi sur le siège passager et des lumières qui dansent dans l’ombre de la nuit. J’étais complètement fait, tu préférais qu’on attende mais j’ai voulu te ramener. Les mains accrochées au volant, mon pied appuyé sur l'accélérateur, on se faufilait à vive allure dans cette ville qui écrase tout. Les lumières brillaient, elles se mélangeaient à la pluie et s’étalaient en des serpentins dorés sur le pare-brise, on aurait presque dit une toile de ce bon vieux Gustav. Puis y’a eu cette lumière blanche, ce fracas assourdissant. Mon dernier souvenir avant le néant. Quand je me suis réveillé, je t’ai cherchée partout Anthé. Et putain, t’aurais vu mon sourire quand je t’ai retrouvée dans cette chambre au bout du couloir. T’avais les yeux ouverts, alors j’ai crié ton prénom en pensant retrouver tes joues roses et tes yeux qui pétillent. À la place, j’ai trouvé un corps désarticulé, un regard vide et un visage que ton sourire solaire avait déserté. Ton corps était là, mais toi, tu ne l'étais plus. Les médecins sont venus, m’ont filé des putains de dépliants avec des adresses de centres où te planquer. T’aurais été fière de moi, je leur ai servi un Adonis colère comme tu les aimes. Je crois que j’ai même insulté leurs mères. Puis je t'ai ramenée à la maison avec moi, le seul endroit sur terre où tu dois être. C'est comme ça que t'es arrivée ici, allongée sur ce lit. T’entends la musique ? Je sais à quel point tu aimes les smiths. Le seul patrimoine anglais que t’aies jamais renié en dehors de notre foutu accent. T’es belle Anthea, même si t’es plus vraiment là. C’est pour ça que je dois mettre ce coussin entre ton regard vide et moi. La liberté avant tout, c’est ce que tu m’as toujours dit. Alors pour toi, j’appuie sur le tissu, j'enfouis ce visage qui pourrait être mon reflet. Et même si je tremble, même si je pleure, même si j’entends ton corps qui cherche désespérément de l’air, je ne m’arrête pas. Je te pousse hors de cette peau qui te sert de prison. Je te laisse partir loin de moi. Anthea, moi par-dessus toi, toi par-dessous moi. Tu emportes avec toi tout ce qu’il reste de moi. - - - Anthea, depuis que t'es partie c'est le chaos dans ma vie. Nous qui pensions avoir connu le pire, nous ne savions pas ce qui se préparait pour moi. Un monde sans toi c'est comme une longue nuit sans réveil, c'est comme un univers sans soleil. Et le temps n'y fait rien, les années passent mais n'arrangent rien. Tu es ma plus belle douleur, la plaie béante dans ma poitrine qui ne cicatrisera jamais. Quand t'es partie, y'a tout qui s'est mis à tourner, et c'était comme si je ne voyais et n'entendais plus rien. J'ai coulé si profondément que j'ai oublié que la lumière avait un jour existé. J'avais envie de tout brûler, me foutre en l'air et te rejoindre. J'ai pointé le flingue sur ma tempe, mais j'ai pas eu le putain de courage de tirer Anthé. Alors, j'ai bu, je me suis plantée des aiguilles dans les veines, j'ai bouffé des cartons pour déformer le monde, je me suis appliqué à griller les quelques neurones qui me restaient. J'ai insulté des mecs plus forts que moi juste pour le plaisir d'avoir le goût du sang dans la bouche. Je me suis brisé les phalanges contre du béton armé, contre les pommettes de connards que je ne connaissais pas en espérant qu'il me frappe assez fort pour que je ne me réveille plus jamais. Puis, un jour, elle m'a trouvé. Monet. Elle m'a choisi. Elle m'a redonné un but, et par je ne sais quel miracle un sens à ma vie. Le Dark Mist pour ralentir mon naufrage. Elle est dure, elle est douée. La première fois que je l'ai vu j'ai cru halluciné, j'ai cru que c'était la came qui me faisait dérailler. Mais elle est bien réelle, et cette nouvelle famille qu'elle m'a donnée aussi. Sans elle, je pense que j'aurais fini par réussir à me foutre en l'air, qu'on m'aurait retrouvé le crâne éclaté contre un trottoir, un camaïeu de rouge étalé sur la gueule. Pourtant, étrangement, je suis toujours là, mais toi tu ne reviens pas. Et puis, Bea est arrivée. Le e dans mon a. C'était qu'une gamine quand elle a débarqué avec ses lunettes et ses longues tresses noires. Je l'ai détesté si fort, car j'ai jamais appris à composer une relation à trois. J'avais jamais eu à compter au-delà de deux avec toi. Mais tu la verrais quand elle danse au milieu des autres, qu'elle irradie de cette énergie digne du plus bel astre de la nuit. Tu l'aimerais c'est sûr, peut-être même plus que moi je ne le fais. Tu sais ce que je fais aujourd'hui ? Je casse des bouches, je brise les côtes de ceux qui osent menacer cette famille que Monet m'a donnée. Et à chaque fois que je frappe, à chaque fois que j'ouvre une plaie sur un visage, je pense à l'autre connard et aux larmes qui roulaient sur tes joues quand tu sortais de sa chambre. Ça me donne l'impression de contrôler cette violence qu'on a trop souvent subi. Ma manière à moi de prendre ma revanche sur cette connasse de vie qui nous a brisé, et qui t'a emporté loin de moi. Mais je crois que je commence à perdre le fil. Je sais pas si c'est le manque de toi, si c'est la came ou si c'est les coups que l'autre connard m'a trop souvent foutu sur le crâne, mais je crois que je commence à voir des choses qui n'existent pas. Je le vois lui et son regard assassin, des fois c'est elle et son putain de garrot autour du bras, mais par contre, c'est jamais toi. Pourquoi toi tu ne viens pas ? Tu m'en veux ? T'as toutes les raisons de m'en vouloir, c'est moi qui conduisais cette voiture, c'est moi qui ai appuyé sur ce coussin. Tu veux que je vienne c'est ça ? Qui sait Anthea, peut-être que je vais enfin finir par y arriver, à me foutre en l'air. Je te dois bien ça. save the queens ---- / BEHIND THE MASK
Lola ---- / 27 ans ---- / rpgiste
ville - toujours au soleil dans le sud de la France. études ou métier - chargée de production dans le spectacle vivant. avis général sur le forum - tellement beau et agréable que je n'ai pas pu résister à me dédoubler. le détail qui t'a fait craquer - ce pl pensé pour les passionnés d'Histoire des Arts. fréquence de connexion - tous les jours. crédits des icons - tumblr. le mot de la fin - kamoulox ! - Code:
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[b]louis garrel[/b] / [i]adonis worall[/i] |
| | | Invité;
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| Sujet: Re: Do I kill myself or kill them all ? Mer 24 Fév - 13:09 |
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| | | Invité;
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| Sujet: Re: Do I kill myself or kill them all ? Mer 24 Fév - 15:59 |
| OH putain. - joachoux a écrit:
- Tu es mon Bacon et
mes oeufs! je suis morte à cause de cette phrase... ahah, merci. sinon qu'est-ce que ça s'annonce la perfection votre DM, et ce perso ma belle est à ta mesure, si bien écrit, si bien décrit. à la fois dans une sorte de violence rentrée et aussi au travers de beaucoup d'élégance artistique. j'adore ** j'ai hâte de vous lire avec vos nouvelles têtes. re-bienvenue <3 |
| | | Invité;
Invité - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
| Sujet: Re: Do I kill myself or kill them all ? Mer 24 Fév - 16:02 |
| Quel personnage prometteur, et quelle plume Rebienvenue à toi ! |
| | | Invité;
Invité - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
| Sujet: Re: Do I kill myself or kill them all ? Mer 24 Fév - 18:31 |
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| | | Invité;
Invité - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
| Sujet: Re: Do I kill myself or kill them all ? Mer 24 Fév - 18:36 |
| J'ai faim maintenant.Je sors. Désolée pour la pollution sur ta fiche. Kiss kiss. |
| | | Terrence Figueroa;
-- défaite de famille -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
nick hargrove. all souls. 4339 1296 29 le coeur volage à l'image de ta vie. tu glandes quand tu n'te la joues pas, tour à tour, serveur, ou vendeur dans une station essence. jusqu'à t'implanter dans les écrans de la télé-réalité. oksana - shaye (3) - toi ? - toi ? - toi ?
| Sujet: Re: Do I kill myself or kill them all ? Mer 24 Fév - 19:33 |
| re-bienvenue à toi sur stq. |
| | | Invité;
Invité - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
| Sujet: Re: Do I kill myself or kill them all ? Mer 24 Fév - 21:47 |
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| | | Coban Sorrentino;
-- play your cards -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
jacob bixenman. aeroplane (avatar) ; hécate (icons) ; élissan (sign) 815 966 32 doucereux célibat. livreur pour un resto pas franchement étoilé. queens effervescent, là où on ne dort pas. -- on dit que l'argent n'a pas d' o d e u r
| Sujet: Re: Do I kill myself or kill them all ? Mer 24 Fév - 22:22 |
| rebienvenue à toi ! ta plume est magnifique |
| | | Contenu sponsorisé;
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| Sujet: Re: Do I kill myself or kill them all ? |
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