Lying in my bed I hear the clock tick, And think of you - Warston

Lying in my bed I hear the clock tick and think of you
you & me

Il sait ce qu'elle veut, bien sur qu'il le sait, mais il veut qu'elle en prenne pleinement conscience, qu'elle le dise de vive voix pour l'entendre elle aussi. Et tant qu'elle ne l'aura pas dit, Nick ne comptait pas aller plus loin du moins, il allait surtout prendre plaisir à la rendre complètement dingue. Ses caresses, ses baisers, il sentait combien elle était réceptive à chaque caresses qu'il lui offrait, il sentait qu'elle avait envie de bien plus, mais il refusait de lui donner. Il prenait même le temps de la taquiner en murmurant quelques mots tous contre ses lèvres avant de dévier une fois de plus dans le creux de son cou pour venir mordiller sa peau sans laisser de trace. Il avait envie de bien plus lui aussi, il avait envie de la posséder toute entière et c'était un véritable supplice aussi bien pour lui que pour elle. Ses soupirs, c'était agréable à entendre, elle était même de moins en moins silencieuse et il aimait ça parce que c'était lui la cause. Laissant ses doigts glisser le long de son corps, il laisse sa main ce glisser dans sa petit culotte, alors qu'il lui demande si c'est vraiment ce qu'elle veut dans un murmure, cette voix chaude. Il sent même qu'elle resserre cette emprise qu'elle a sur lui pour être sur qu'il ne tente pas de fuir pour la faire languir un peu plus. A son avis ? Oui, elle c'est exactement ce qu'elle veux même si elle espère avoir bien plus que de simple caresses. Souriant amusé, il dévore toujours son cou de baiser caressant doucement sa féminité sentant déjà combien ça lui faisait de l'effet. Puis, c'est désormais elle qui ce charge de lui détacher son pantalon tentant de le faire descendre autant qu'elle le pouvait. Lui de son côté la débarrasser finalement de ce sous vêtement pour avoir un accès plus facile, sans pour autant arrêter ses caresses. Elle murmure son prénom d'une voix bien plus fébrile, elle allait craquer ... elle devait craquer et puis il faisait tous pour c'est ce qui le pousse d'ailleurs à rendre ses caresses bien plus appuyées histoire de l'achever un peu plus. Son pantalon venait de lui tomber sur les chevilles, il ce retrouvait désormais en boxer devant elle, même si il doute le garder encore longtemps. Enfin, elle venait de le dire, elle venait de l'avouer ! Elle le voulait, lui ! C'était tous ce qu'elle désirait pour le moment. Reculant doucement son visage pour pouvoir croiser son regard, il lui adresse un faible sourire avant de retourner l'embrasser avec envie, mordillant sa lèvres avant d'aller chercher sa langue pour qu'elles puissent à nouveau partager cette danse torride. De son autre main, il avait cessé ses caresses pour faire doucement descendre son boxer et ce guider jusqu'à sa féminité. Posant ses mains une fois de plus contre ses cuisses, il l'attira contre lui créant ce contact tant désiré par les deux amants.                               

♛ Lying in my bed I hear the clock tick, And think of you. 

Took you like a shot, Thought that I could chase you with a cold evening, Let a couple years water down how I'm feeling about you. And every time we talk, Every single word builds up to this moment And I gotta convince myself I don't want it, Even though I do. You could break my heart in two. But when it heals, it beats for you. I know it's forward, but it's true. I wanna hold you when I'm not supposed to. When I'm lying close to someone else. You're stuck in my head and I can't get you out of it. If I could do it all again. I know I'd go back to you, I know I'd go back to you, I know I'd go back to you...

C’est complètement dingue, l’effet qu’il a sur elle. C’est dingue, combien il parvient à lui faire oublier toutes ses réserves, toutes ses barrières… Tous ses principes, aussi. Il est définitivement en train de la marquer, Nikolaï. Il laisse son empreinte sur son corps à chacun de ses baisers langoureux, à chacune de ses caresses torrides. Elle n’a jamais été aussi demandeuse, aussi désireuse de ne faire plus qu’un avec un homme. Mais il ne se gêne pas pour la faire languir pour autant. Au contraire, c’est peut-être bien parce qu’il la pousse autant au-delà de ses limites qu’il arrive à la rendre aussi folle. Folle de lui. Elle en prend bien conscience alors qu’elle est incapable de retenir ses soupirs de plaisir à chaque fois que ses doigts s’activent un peu plus intensément au creux de ses cuisses. Elle en prend bien conscience, aussi, quand elle ne peut pas s’empêcher de le déshabiller alors qu’il continue ses attentions contre sa féminité. Mais, surtout, elle en prend conscience quand elle le dit à voix haute, quand elle dit tout haut ce qu’elle ressent plus bas depuis longtemps, trop longtemps. Elle le veut, lui, en elle. Elle veut qu’ils ne fassent plus qu’une seule et même personne. Elle veut pouvoir enfin combler ce vide qui ne fait que grandir au fil des secondes, au fil de ses caresses de plus en plus appuyées. Elle ne se rend même pas compte qu’il la débarrasse de sa petite culotte tellement elle est prise par tout le plaisir qu’il lui procure. Elle sent juste cette chaleur, cette chaleur torride qui en devient presque insoutenable. Mais, enfin, elle semble avoir dit ce qu’il attend depuis le début alors qu’il recule à peine son visage juste assez pour lui offrir un sourire. Ce n’est pas un ordre, ce n’est pas non plus une supplique. C’est juste un aveu, une confession, une qu’elle n’aurait jamais imaginé pouvoir formuler un jour. Mais elle n’a pas le temps de s’y attarder, parce que Nikolaï revient très vite auprès d’elle pour capturer ses lèvres dans un baiser enflammé. Ils s’embrassent avec envie, avec fougue, avec avidité même. C’est comme s’il était l’oxygène dont elle manquait pour respirer… Pour vivre. Leur langues se cherchent, se poursuivent et s’enlacent inlassablement quand elle sent ses caresses s’arrêter bien malgré elle. Mais sa frustration disparaît tout de suite quand il approche sa virilité d’elle pour enfin lui donner ce qu’elle attend depuis le début. Cette fois, il lui a fait complètement oublier le reste du monde. Elle ne pense plus du tout au risque qu’on les surprenne, ni même à celui qu’ils prennent en omettant de se protéger. Elle ne pense plus du tout. Car, enfin, ils ne font plus qu’un. Leur baiser se prolonge toujours, et heureusement, parce qu’elle serait incapable de retenir son plaisir. C’est tellement bon, tellement libérateur. Elle finit par entourer ses bras autour de la nuque de son amant pour mieux dévorer ses lèvres. Mais, plus elle sent ses mouvements en elle, moins elle parvient à prolonger ce baiser. Des soupirs d’extase s’échappent de ses lèvres, qui se transforment en gémissements de plus en plus explicites. Son cœur bat si fort qu’il pourrait exploser. Elle a l’impression que tout son corps n’est plus qu’une marionnette qu’il contrôle à chacun de ses vas et viens. Elle cambre son bassin, suivant son rythme alors que le plaisir augmente de plus en plus au fil des minutes. Il approche peu à peu de son apogée mais elle tente encore naïvement de garder un semblant de contrôle en se mordant violemment la lèvre pour éviter de crier. Jamais, elle n’a ressenti une symbiose aussi forte, aussi violente, jamais avec personne d’autre.

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Il avait finit par entendre ce qu'il voulait et il était surtout incapable de jouer plus longtemps avec elle, même si il était bien tenté de prolonger encore un peu cet instant. Mais il ne voulait plus patienter lui non plus et puis elle venait d'admettre qu'elle avait envie de lui. Que c'était lui qu'elle voulait plus que tout au monde, maintenant ! C'est ce qu'il cherchait à avoir depuis le début ... des aveux. Lui offrant un bref sourire, Nick peut enfin passer aux choses sérieuses, venant capturer les lèvres de la jeune femme, il part à la recherche de sa langue pour partager une fois de plus cette danse torride. Elle lui fait perdre l'esprit, il ne réfléchis plus, il ne pense plus à quoi que ce soit, sauf à lui offrir ce plaisir. Il l'embrasse comme il n'a jamais embrassé qui que ce soit ... même son épouse n'a jamais eu le droit à un tel baiser. Il ne sait dire si c'est à cause de cette passion dévorante, à cause de l'interdit ou ... elle uniquement ! Bien sur que c'est elle ! Si il semble parfaitement contrôler tous ça ... ce n'est pas du tout le cas ! Elle le rend complètement dingue au point de ne pas pouvoir attendre plus longtemps pour sceller leurs deux corps. Enfin, ils étaient liés, ne formant plus qu'un seul et unique être. L'attirant contre lui, il laisse un soupir de satisfaction s'échapper d'entre ses lèvres alors qu'il entame déjà des mouvements de va et vient qu'elle suit en cambrant légèrement son basin contre lui. Il tente de prolonger tous comme elle ce baiser, mais leur souffle ce mélange, leurs soupirs, ils ne parviennent qu'à ce voler de simple baiser. Elle ne pense plus au risque de ce faire prendre, puisqu'elle gémit de plus en plus fort à chaque fois qu'il entre en elle. Posant une main contre sa taille et l'autre contre le capot de la voiture, Nikolaï accélère légèrement la cadence, donnant un rythme beaucoup plus soutenue elle continue de suivre en ce retenant de crier, elle ce mordait même la lèvres comme si ce simple geste pourrait l'aider à rester silencieuse. Le plaisir approche de son apogée un peu plus à chaque fois jusqu'au dernier coup de rein. Il sent enfin cette chaleur envahir tous son corps, cette envie satisfaite ... même si il sentait qu'il ne pourrait jamais vraiment s'en passer. Son cœur bat encore à vive allure, tout contre son souffle qui vient ce mêler à celui de la jeune femme qu'il fixe toujours de son regard bleuté. Ce qu'ils venaient de vivre était indescriptible, mais tellement bon.                                   

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Ils ne sont plus qu’un. C’est… Indescriptible. Donner des mots pour exprimer ce qu’elle peut ressentir reviendrait à amoindrir l’intensité de ses émotions. Il y a ce plaisir fou en premier lieu, bien sûr, qui la prend aux tripes. Qui la possède un peu plus à chaque fois qu’elle le sent entrer en elle, à chaque fois qu’il revient au plus profond d’elle. C’est incroyable combien tous ses sens sont en émoi, combien la moindre particule de son corps peut réagir à celui de Nikolaï. C’est comme si son corps était fait pour le sien, comme si son intimité était faite pour la sienne. Ce n’est pas seulement du plaisir, c’est une communion, une fusion violente qu’elle n’a connue avec personne d’autre. Une fusion qui, sans aucun doute, n’a rien à voir avec leur statut ou bien la situation. C’est eux, c’est lui, seulement lui. C’est comme si tout ce qu’elle a vécu avant n’était rien, comme si rien ne pouvait se mesurer à ce qui se passe entre eux en ce moment. C’est aussi enivrant qu’explosif, aussi euphorisant qu’addictif. Elle a l’impression qu’elle ne pourrait jamais s’en passer. Que, maintenant qu’elle a connu une telle symbiose, elle serait incapable de vivre sans. C’est comme si elle était morte avant de le rencontrer, et qu’elle venait tout juste de naître, là, en ne formant plus qu’une seule et même personne. C’est incroyable, inimaginable, mais pourtant bien réel. Tout son corps réagit trop pour qu’elle puisse en douter. Son cœur s’affole tandis que sa respiration devient de plus en plus haletante. Son bassin se cambre de plus en plus pour mieux sentir les vas et viens puissants et intenses de son amant. Les mouvements s’accélèrent, les gémissements aussi. Elle en oublie peu à peu de se retenir, il la rend trop folle pour ça. Et même quand elle tente de s’empêcher de crier, sa main contre sa taille, il l’attire plus fortement, plus profondément contre lui, lui faisant perdre davantage encore l’esprit. Alors que ses coups de reins s’accélèrent, la belle devient incapable de se contenir. Le plaisir grandissant commence à avoir raison d’elle alors qu’elle laisse échapper plusieurs cris d’extase. Le feu monte, monte puissamment en elle avant d’arriver à son summum subitement dans une explosion de plaisir. Toute cette chaleur s’échappe de son corps alors qu’elle sent ce déferlement d’émotions la submerger. Elle est, comme, dans un autre monde. Encore toute retournée, elle est incapable de prononcer une seule parole, ni même de l’embrasser. Toujours allongée sur le capot, ses jambes encore autour de lui, elle se contente de le regarder, encore et encore, se noyant dans ces grands océans qu’il a à la place des yeux. Le souffle court, elle a besoin de longues secondes pour retrouver ne serait-ce que l’usage de la parole. – C’était… Incroyable… lâche-t-elle entre deux respirations saccadées, le regard plongé dans celui de son amant… Son amant. Elle ne réalise pas encore ce qui vient de se produire, Isabella. Mais ce dont elle a conscience, c’est qu’elle vient de vivre le moment le plus magique de sa vie.

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Il ne pouvait pas mettre de mots sur ce qu'ils venaient de partager tous les deux, c'était juste torride et bon, tellement bon qu'il en oubliait tous le reste. Il en oublierait presque son propre prénom tellement ça l'avait retourné. Jamais il n'avait connus une telle passion avec une femme, j'avais une femme ne la chamboulé de cette façon et pourtant, elle, il n'a suffit que d'un regard, d'u baiser pour le faire basculer complètement. Il en oubliait totalement leur deux situations, leurs mariages ... tous ça n'avait plus d'importance. Il ce sentait encore coupé du monde, son regard plongé dans le siens, leurs deux corps toujours l'un contre l'autre. La respiration irrégulière, le cœur battant qu'il avait presque l'impréssion qu'il allait sortir de sa poitrine. Et pourtant, il ce sentait bien ... comblé, heureux et satisfait. C'était officiellement le début de quelque chose entre eux, quelques chose de fort, ils venaient surtout de s'engager dans quelques chose, une relation cachée ... même si ils n'en prenaient pas encore conscience. Son regard plongé dans le sien Nick n'arrive toujours pas à dire un mot, il ce contente juste de la fixer avant de lui offrir un beau sourire. Incroyable ... oui c'était bien le mot le plus approprié pour décrire ce moment. Posant sa main contre sa joue, il la caresse doucement. - Oui, c'était ... incroyable. Ça fait toujours ça de lâcher prise ... Dit il avant de lui voler un baiser puis reculer doucement pour ce redresser. Lâcher prise oui, seulement la réalité revenait souvent bien trop vite et si pour Nick ce n'était pas un problème, son amante elle, allait certainement avoir des regrets. Attrapant sa main pour la redresser pour qu'elle ce retrouve assise, il l'attire contre lui comme si il n'en n'avait pas encore eu assez. - Alors ? Ça fait quoi d'obéir à ses envies ?                                    

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Elle est encore sur un petit nuage, Isabella. Ce qu’elle a vécu avec Nikolaï est tellement fort, tellement indescriptible, qu’elle a besoin de plusieurs minutes pour retrouver les pieds sur terre. Elle a besoin de temps, aussi, pour que son corps se remette du moment si intense qu’elle vient de vivre. C’était tellement torride, tellement prenant, mais surtout tellement bon. Elle n’a jamais vécu un moment aussi fort de toute sa vie. L’endroit n’y est pas étranger, les circonstances non plus. Mais c’est surtout lui qui fait la différence. Nikolaï. Ils ont partagé quelque chose d’incroyable ensemble. Leurs deux corps se sont mêlés d’une telle façon, provoquant des sensations en elle qu’elle n’a jamais connues. Jamais, elle n’a partagé un truc pareil avec personne d’autre. Elle ne pourrait jamais, ô grand jamais, oublier cette nuit. Elle peine encore à s’en remettre même si, au fil des minutes, elle retrouve tout doucement une respiration un peu plus régulière. Son corps semble retrouver un certain calme mais son esprit, lui, est encore complètement déconnecté de la réalité. Elle est, comme, coupée du reste du monde. Avec lui, uniquement avec lui. Leurs regards ne cessent de se plonger l’un dans l’autre, tentant d’exprimer tout ce qu’ils n’arrivent pas à dire avec des mots. Mais elle finit par laisser un bref aperçu de ce qu’elle ressent au jeune homme qui ne tarde pas à déposer sa main cotre sa joue. Sa caresse soudaine, inattendue, arrive à faire frissonner son corps encore brûlant mais c’est sa tendresse qui la bouleverse le plus. Peu à peu, elle réalise ce qu’elle a fait, ce qu’ils ont fait tous les deux. A ses paroles, elle lui sourit doucement sans lui répondre. Elle ne sait pas s’il ressent ce genre de choses souvent mais, elle, c’est bien la première fois. Elle ignore ce que cela signifie, elle ignore même ce qui va arriver. Tout ce dont elle est certaine, c’est qu’elle n’a aucune envie de mettre un terme à ce moment. Elle prolonge quelques secondes son baiser avant qu’il ne se redresse. Saisissant sa main, il l’aide à en faire de même. Elle se rassoit à nouveau sur le capot, encore rêveuse de l’instant qu’elle vient de vivre. Mais il l’attire déjà contre lui, comme s’il n’en avait pas eu assez, comme s’il n’avait plus envie d’en rester éloigné. Elle se laisse docilement faire, laissant même sa tête se poser contre son épaule. A sa question, elle ne répond pas tout de suite. Elle reste pensive, de longues secondes, profitant dans ses bras de la légère brise qui vient rafraîchir leurs corps. – Je me sens bien. Terriblement bien. C’est peut-être étonnant, déconcertant même. Elle vient de tromper l’homme qu’elle a épousé avec un autre qu’elle connaît à peine. Mais elle s’est rarement sentie si bien, si… En phase avec ses actions. Elle se recule, juste à peine, assez pour plonger son regard dans le sien. Sa main vient caresser délicatement le torse de son amant avant qu’elle ne relève la tête vers lui. – Est-ce que tu crois que j’aurais le droit à d’autres leçons ?

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Après ce genre de moment, normal d'avoir du mal à retrouver les pieds sur terre non ? Ce n'était pas la première fois qu'il faisait l'amour avec une femme, non ce n'était pas sa première fois et pourtant c'était bien la première fois qu'il ce retrouvait totalement en phase avec une femme. Et cette femme, il ne la connaissait que depuis quelques temps seulement. Mais en peu de temps, en si peu de temps elle avait réussi à réveiller cette passion en lui, cette obsession. Il n'arrive pas trop encore à comprendre pourquoi il ce sent aussi attiré par elle ... même si le moment qu'ils viennent de partager l'aide déjà à comprendre mais il ce rend surtout compte qu'il n'a pas envie de lui dire au revoir. A peine redressé, voilà qu'il l'attire de nouveau contre lui, comme si il avait désormais besoin de ce contact pour ce sentir bien. Comme si il ne voulait plus s'en passer surtout. Accro ? Non, Nick n'avait jamais était accro à une femme avant et ce n'était certainement pas aujourd'hui que ça allait lui arriver ... et pourtant il agissait exactement comme un mec en manque. Il avait besoin de sentir cette douceur, sa douceur ! Son corps contre le sien ... comme ce moment qu'ils venaient de vivre. Il n'allait pas oublier d'aussitôt ! Venant poser sa tête contre l'épaule de Nick, la jeune femme ce laisse faire alors qu'il la tiens contre lui encore un peu. Pour quelqu'un qui ce laisse aller pour la première fois, il fallait avouer qu'elle s'en sortait bien. Au moins elle avait apprécié l'instant d'après ce qu'elle venait de dire autant que lui même si il ne le dit pas directement. - C'est l'essentiel alors ! C'est le but aussi ! Caressant son dos nue du bout des doigts il pourrait rester comme ça pendant des heures même si, il savait que ce moment allait ce terminer prochainement. Reculant doucement pour croiser son regard, il ne sait même pas pourquoi elle pose la question. Alors qu'elle caresse son torse du bout des doigts, il la fixe quelques secondes sans répondre avant de reprendre. - Uniquement si tu en as envie, je serais ravi de t'apprendre encore ... Venant déposer un baiser contre ses lèvres il murmure. - Et encore, et encore ... il n'y a cas demander. Puis reculant doucement son visage il ajoute d'une voix beaucoup plus sérieuse. - Je veux te revoir.                                      

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La passion entre eux a été si forte, si dévorante, qu’elle a eu raison d’eux. Ce qu’ils ont partagé est aussi inexplicable que magique. Elle s’est sentie connectée à Nikolaï, à chaque parcelle de sa peau, de son corps. Lui tout entier, il était fait pour elle. Mais ce qui est le plus fou, c’est qu’elle a toujours cette sensation. Elle recouvre peu à peu les esprits mais il y a toujours ce sentiment de plénitude en elle, ce… Bonheur ? Elle ne sait pas, peut-être. C’est la première fois qu’elle se sent aussi bien. La fougue a laissé place à la tendresse. Les deux amants sauvages semblent, eux, laisser place à cette bulle de douceur qui lui paraît encore plus inattendue que l’instant qu’ils viennent de vivre. Il pourrait se lever, s’habiller et partir. Elle pourrait en faire autant. Mais ils restent blottis dans les bras l’un de l’autre. Ils n’ont pas l’air de deux amants à cet instant, mais bien de deux amoureux. Il n’y a pas d’amour pourtant, certainement pas… Ils ne se connaissent pas ! Et, surtout, ils sont mariés. Mais, pour autant, pour rien au monde, elle n’a envie d’interrompre ce moment. Elle pourrait rester là des heures, profitant uniquement des tendres caresses qu’il lui offre, sans rien de plus. Elle est trop bien, trop comblée. C’est d’ailleurs ce qu’elle finit par lui dire, la tête toujours blottie contre son épaule. A sa réponse, elle laisse échapper un petit rire, insouciant. Elle se sent plus légère qu’elle ne l’a jamais été. Ça aussi, c’est nouveau pour elle. Nikolaï a un effet dingue sur elle. Ce n’est pas seulement physique même si, ils l’ont prouvé à l’instant, l’attirance entre eux est incontestable. Il y a aussi cette alchimie, ce sentiment d’osmose qu’elle éprouve en sa compagnie. Il la libère de ses démons. Il n’a même pas conscience à quel point. C’est sûrement pour cette raison, au-delà du plaisir qu’il lui a procuré, qu’elle n’a aucune hésitation sur le fait qu’elle souhaite le revoir. Elle se sent trop bien pour ne pas en profiter. Tout ce dont elle a besoin de s’assurer, c’est que c’est aussi ce dont il a envie. Il laisse passer quelques secondes, qui semblent durer des heures pour Isabella, avant de lui en faire la confirmation. Elle sourit, sourire qui s’agrandit au fur et à mesure de ses paroles. Elle est heureuse, presque, soulagée. A son tour, elle approche son visage du sien pour capturer ses lèvres dans un baiser bien plus long que le sien. – Tu me reverras. Très vite. précise-t-elle avant d’enlacer à nouveau son cou pour l’embrasser plus passionnément. C’est fou, elle se sent comme déjà accro à ses baisers, à lui. Elle n’a aucune envie de s’en détacher, et pourtant, elle sent bien qu’elle va devoir le faire. Elle va devoir s’y accoutumer surtout. Mais, peu importe, il en vaut largement la peine.