Lying in my bed I hear the clock tick, And think of you - Warston

Lying in my bed I hear the clock tick and think of you
you & me

Cette attraction, il la ressent lui aussi, puisqu'il ce laisse doucement aller, il s'approche même doucement d'elle, proche, bien trop proche pour que ce soit innocent. Leurs doigts ce mélange, alors qu'ils ce rapprochent tous les deux instinctivement. Nick avait finalement brisé toutes les barrière entre eux, tous les compromis, tous ce qui semblait faire si peur à la jeune femme. Une fois proche d'elle, la jeune femme ne semblait plus avoir beaucoup de crainte, au contraire, elle semblait peu à peu ce laisser aller elle aussi, brisant le peu de barrière qui restait entre eux. Elle venait même de déposer sa main contre sa joue le poussant à fermer les yeux quelques secondes comme pour ce laisser le temps d'apprécier cette douceur, ce geste si tendre, ça lui en donne même des frissons. Il ne veut pas qu'elle arrête, il ne veut pas qu'elle brise ce moment et elle ne le fait pas ! Aussi surprenant que ça puisse être, elle reste auprès de lui. Plongeant une fois de plus son regard dans le sien, Nick ce risque à s'approcher d'avantage d'elle venant frôler ses lèvres et contre toute attente elle répond à ce doux contact en faisant de même. Ils ce cherchaient mutuellement avant qu'il ose enfin aller lui voler ce baiser. Un baiser tendre et timide, comme si c'était la première fois qu'il embrassait une femme. Le reste n'avait plus la moindre importance, le monde autour d'eux n'avait plus d'importance, tous ce qui comptait c'était de sentir la douceur de ses lèvres contre les siennes. Un baiser qu'ils prolonge toujours aussi tendrement, presque innocent. Seulement au bout de quelques instants, la jeune femme le rend beaucoup plus passionné en venant plaquer sa main contre sa nuque, venant même chercher sa langue pour rendre le baiser bien plus passionné, bien trop passionné. Une passion qui l'envahis lui aussi alors qu'il répond à ce baiser de la même façon en venant l'enlacer dans ses bras, la soulevant même du sol pour venir l'asseoir sur le capot de la voiture sans pour autant quitter ses lèvres qu'il refuse de lâcher sauf pour reprendre son souffle au bout de quelques secondes. Venant poser son front contre le sien, les yeux toujours clos, Nikolaï tente de reprendre ses esprits bien qu'il ressente déjà le manque de ses lèvres.      

♛ Lying in my bed I hear the clock tick, And think of you. 

Took you like a shot, Thought that I could chase you with a cold evening, Let a couple years water down how I'm feeling about you. And every time we talk, Every single word builds up to this moment And I gotta convince myself I don't want it, Even though I do. You could break my heart in two. But when it heals, it beats for you. I know it's forward, but it's true. I wanna hold you when I'm not supposed to. When I'm lying close to someone else. You're stuck in my head and I can't get you out of it. If I could do it all again. I know I'd go back to you, I know I'd go back to you, I know I'd go back to you...

C’est arrivé. Comme par effraction et, paradoxalement, comme une évidence à la fois. C’était comme retarder l’inévitable, comme empêcher l’incontrôlable. Depuis le début, elle est là, cette attraction qui les pousse à se rapprocher encore et encore. Elle a été tellement forte ce soir, plus forte que lui, plus forte qu’elle, plus forte qu’eux. Elle ne cherche plus à résister, Isabella. Plus depuis l’instant où les lèvres de Nikolaï sont venues effleurer les siennes. Elle s’enivre de leur baiser, elle s’en imprègne, comme si c’était la dernière chose qu’elle devrait ressentir. Comme si c’est la dernière chose qu’elle va vivre et, en même temps, elle a l’impression que c’est la première. Elle ne s’est jamais sentie aussi vivante. Elle vit le moment le plus intense de sa vie, et le plus irréel à la fois. Sa langue cherche la sienne sans cesse, ses lèvres se raccrochent aux siennes, irrémédiablement, dans ce ballet endiablé qu’ils découvrent pour la première fois. Elle ne veut plus s’en détacher, non, elle veut profiter de ce baiser aussi longtemps qu’elle le pourra. La douceur des premiers instants laisse de plus en plus de place à la passion. Elle sent cette chaleur se diffuser en elle, cette flamme au creux de son ventre qui se ravive. Son désir est différent de celui qu’elle connaît habituellement. Plus violent, plus saisissant. C’est peut-être l’interdit qui rend ce baiser si incroyable, le fait qu’elle fasse quelque chose qu’elle ne devrait surtout pas faire. Encore moins ici, où n’importe qui pourrait subitement arriver. Mais c’est surtout parce que c’est lui, Nikolaï, celui qui hante ses esprits depuis déjà trop longtemps. Elle se laisse totalement envoûter par le goût enivrant de ses lèvres. Quand il l’enlace dans ses bras, elle sent tout son corps s’électriser avant qu’il ne la soulève pour l’installer sur le capot de sa voiture. Ses jambes se raccrochent par instinct autour de la taille du jeune homme, comme pour mieux rester contre lui. Elle ne relâche pas son emprise une fois assise, au contraire, elle le garde précieusement auprès d’elle alors que leur baiser se prolonge avec la même intensité. C’est seulement lorsque le souffle commence à trop manquer qu’ils interrompent leur baiser. Elle laisse échapper un soupir brûlant alors que son front se pose contre le sien. Elle réalise à cet instant seulement combien les battements de son cœur se sont accélérés. Elle rouvre doucement les yeux qu’elle a fermés durant leur baiser, surprenant le visage de Nikolaï juste à sa portée alors que ses yeux sont toujours fermés. Elle laisse un tendre sourire apparaître sur ses lèvres avant d’embrasser fiévreusement sa bouche, puis sa joue, son menton et descendre contre son cou. Elle a envie d’embrasser chaque parcelle de sa peau, chaque parcelle de lui. Nichant sa tête au creux de son cou, elle peut respirer son odeur, elle en perd un peu plus la tête alors que ses baisers deviennent de plus en plus brûlants. – Apprends-moi… murmure-t-elle au creux de son oreille, par écho aux dernières paroles qu’il a prononcées avant que ce baiser ne vienne tout basculer en elle. Elle veut qu’il lui apprenne à suivre son envie. Et la seule chose dont elle a envie, tout de suite, c’est lui.

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Il n'a suffit que d'un seul baiser pour avoir raison d'elle, raison de lui ... un seul contact contre ses lèvres pour lui faire perdre totalement pied. Maintenant qu'il partageait ce baiser, c'était comme si il sentait qu'il pouvait devenir accro, il pourrait même le devenir facilement et surtout bien trop rapidement. D'abord tendre, le baiser devint bien plus passionné, leurs langues partageaient cette danse alors que leur deux corps ce rapprochaient bien plus. L'enlaçant dans ses bras, il l'assoie sur le capot de sa voiture sans pour autant rompre ce baiser. Il n'avait jamais ressenti une telle passion, c'était comme si tous son être était chamboulé par ce simple baiser, un simple baiser. Il oubliait le reste, sa femme, leur situation, leur dispute, non plus rien n'avait d'importance en ce moment sauf elle ! Ce n'est qu'une fois  bout de souffle qu'il rompt ce baiser pour aller poser son front contre le sien. Les yeux toujours clos, il sent son cœur s'affoler dans sa poitrine, cette sensation agréable, il ce sentait bien ... c'était donc ça de ce sentir enfin comblé ! Tous ça pour un simple baiser ! Ses doigts toujours posés conte sa taille, il sent toujours son souffle contre ses lèvres de quoi le faire sourire alors qu'il sent les jambes de la jeune femme ce serrer autour de sa taille comme pour le garder prêt d'elle. Elle pensait vraiment qu'il en avait envie ? Par après tous ce qu'il lui avait dit ! Et visiblement, elle non plus n'avait pas envie de briser ce moment, ce contact. Souriant au baiser qu'elle vient déposer contre sa bouche, elle continue sa course en venant contre sa joue, puis son menton, son cou. Il sent ce frisson parcourir tous son être alors qu'un sourire amusé ce dessine contre ses lèvres en entendant ses mots. Elle voulait apprendre, apprendre à ce laisser aller, suivre son envie. Ouvrant enfin les yeux, il approche lui aussi ses lèvres de son cou pour venir y déposer de tendre baiser, tous aussi brûlant que ceux qu'elle lui offrait. - Tu me fais confiance ? Ils venaient de passer du vouvoiement au tutoiement, mais vu qu'ils avaient brisés toutes les barrières restantes, ça n'avait plus vraiment d'importance. Déposant des baisers dans son cou alors que ses mains glissaient doucement le long de ses cuisses, il recula doucement pour pouvoir croiser son regard. - Ne réfléchis pas, ne pense plus à rien d’autre qu'à ce que toi tu désire ! La fixant quelques instants, il maintenait son regard alors que ses doigts faisaient très doucement glisser les bretelles du débardeur qu'elle portait.           

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C’est complètement incroyable. Il est incroyable. En un baiser, un seul baiser, il a réussi à balancer toutes ses convictions, toutes ses craintes, toutes ses hésitations. Elle n’a plus aucun doute alors qu’elle l’embrasse langoureusement encore et encore. Elle se délecte de ses baisers, de cette sensation de pouvoir enfin laisser libre cours à ses envies. Elle ne sait même pas comment c’est possible qu’un simple baiser puisse lui provoquer tant de sensations. Elle n’a jamais connu ça. Mais plus les secondes passent, plus elle ressent le besoin d’avoir plus. L’embrasser ne suffit plus. Elle a besoin de le toucher, le caresser, le sentir contre elle. Partir à la découverte de ce corps qu’elle ne connaît pas mais dont elle a cruellement envie. A son désir pour lui, s’ajoute l’excitation de se retrouver dans une telle situation avec lui. C’est le truc le plus dingue qu’elle n’ait jamais vécu. Les folies sont loin d’être dans son habitude. Mais ce genre de folies, elle peut vite, très vite, trop vite même, s’y faire. Assise sur la voiture, ses jambes autour de lui, elle n’attend pas une seconde pour retourner l’embrasser, sur chaque centimètre de son visage, jusqu’à atterrir dans le creux de son cou. Elle a l’impression qu’elle pourrait le dévorer, là tout de suite. Elle perd pied, éperdue de désir, jusqu’à oublier l’endroit où ils se trouvent ou son propre mari. Mais elle est loin d’être inconsciente, elle sait pertinemment ce qu’elle est en train de faire. Elle a juste décidé d’arrêter de réfléchir et de l’écouter, lui, et ses conseils. C’est tellement libérateur, et tellement… Facile. Approchant de son oreille, elle lui murmure quelques mots qui semblent avoir leur effet sur le jeune homme. Il vient à la rencontre de son cou à son tour, parsemant sa peau de baisers torrides. Elle sent tout son être réagir, elle sent surtout des frissons la parcourir. C’est électrisant. C’est fou le pouvoir, l’effet qu’il a sur elle. Elle laisse échapper de brefs soupirs sous le coup de ses baisers alors qu’elle entend sa voix briser à son tour le silence. – Oui, je te fais confiance… déclare-t-elle sans l’ombre d’une hésitation. Comment pourrait-elle faire autrement… Elle est complètement à sa merci. Comme elle l’a rarement été. Et pourtant, il n’a encore rien fait, mais elle sent que cela ne saurait tarder. Quand il passe ses mains contre ses cuisses, elle sent le tissu de son jean la brûler, comme s’il était de trop, et c’est le cas. Elle passe quant à elle ses mains sous le haut de Nikolaï, dans son dos, pour sentir sa peau glisser contre ses doigts. C’est tellement bon, tellement euphorisant. Elle frissonne toujours sous ses baisers mais il finit par se reculer. Elle soupire de frustration, comme déjà accro, avant que son regard ne se plonge dans le sien. Ses mots parviennent à accélérer un peu plus son rythme cardiaque. L’excitation sans doute. Mais elle ressent une certaine hésitation tout de même, tout à coup. – Ici… ? demande-t-elle dans un souffle, se rappelant une fraction de seconde du lieu dans lequel ils se trouvent. Mais elle n’a pas envie d’arrêter, au fond, elle le sent déjà. Elle le sent un peu plus encore quand il pose ses doigts contre les bretelles de son débardeur pour les faire glisser contre ses épaules. Elle le fixe, le regard sombre de désir, alors que ses ongles se resserrent instinctivement sur le dos de son amant. Il va lentement, trop lentement. C’est en train de la rendre folle. Ses mains redescendent finalement pour agripper le tee-shirt du jeune homme. Elle s’en débarrasse instantanément avant de le laisser tomber Dieu sait où. Elle ne se reconnaît plus, Isabella. Elle n’est plus que désir. Exactement comme il lui a demandé.

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Elle a une effet tous aussi délirant sur lui, Nick n'a jamais connus ça avec qui que ce soit d'autre, même sa femme ne lui faisait pas un tel effet, même lorsqu'ils ce sont embrassés pour la première fois. Isabella n'a rien d'une femme comme les autres et ça il la comprit dès qu'il a posé les yeux sur elle pour la première fois dans ce bureau. Elle n'était pas du tout cette femme qu'elle montrait en apparence, elle avait quelque chose de bien plus attrayant, une partie de sa personnalité qu'elle refusait de montrer du moins dans le monde dans lequel elle vivait quotidiennement. Mais, quand elle était avec lui, elle n'était pas cette femme ! Peu à peu, elle ce laissait aller. Elle répondait aux moindres baisers, aux moindres caresses mais elle semblait surtout avoir envie de bien plus que de simples baisers. Elle n'était pas la seule à ressentir ça ! Assise sur le capot de la voiture, elle était totalement à sa merci, ils s'embrassaient comme jamais, poussé par cette passion, cette envie qui ne fait qu'augmenter au fur et à mesure. Tout comme elle, Nick a déjà envie de plus ! Reculant quelques secondes pour la regarder elle retrouve bien vite le contact en venant couvrir son visage de baisers tous aussi brûlant les uns que les autres pour finir sa course dans le creux de son cou. Fermant les yeux, Nick profitait de cette tendresse bien que ses baisers soient bien trop brûlant, ce n'était plus vraiment de la tendresse mais bien de la passion. "Apprend moi" venait elle de murmurer, elle voulait qu'il lui apprenne à lâcher prise de quoi le faire sourire. Pour une femme qui contrôle tous, qui prévois tous c'était plutot drôle à entendre mais il s’exécute en venant déposer des baisers brûlant contre sa peau parfumée. Son parfum ... mon dieux ce parfum ... cette douceur, comment ne pas en devenir dingue ? Comment ne pas devenir accro ? Murmurant quelques mots au creux de son oreille, Nick lui demande avant tous si elle lui fait entièrement confiance maintenant. Elle lui répond sans l'ombre d'une hésitation, comme si c'état presque évident. Déposant ses mains contre ses cuisses, il les fait doucement glisser contre le tissus alors qu'elle profite de cette proximités pour aller glisser ses doigts sous le tee shirt qu'il porte pour aller à même sa peau. Ce ne sont que de simples caresses, pourtant ... pourtant c'est tellement agréable. C'était comme une décharge électrique, comme si ses doigts laissaient une trace contre sa peau, comme si elle le marquait à jamais ! Quant a lui, il en profite pour continuer de couvrir son cou de baiser, il l'embrasse, la couvre de baiser tous aussi brûlant les un que les autres comme si il cherchait à la rendre dingue. Puis il finit par reculer, pour venir prolonger son regard dans le sien, murmurer quelques mots. Elle devait arrêter de penser juste ce laisser aller. S'approchant pour venir déposer un baiser contre ses lèvres, il sourire amusé à sa question. "Ici ?" Oui, c'était ce qui rendait les choses plus excitantes encore, déjà qu'ils n'étaient pas censés être ensemble, le risque de ce faire surprendre rendez les choses encore mieux non ? C'était ça agir sans réfléchir ! Il ne lui donne pas de réponse, elle allait certainement comprendre par elle même puisque Nick faisait déjà glisser les fines bretelles de son débardeur. Des gestes lents, comme pour lui laisser le temps de comprendre et surtout de le repousser à tous instant si elle ne voulait pas aller plus loin. Mais c'est elle qui accélère les choses en venant lui retirer son tee shirt. Il n'oppose aucune résistance, bien au contraire, il lui offre même un beau sourire avant d'aller capturer ses lèvres dans un baiser passionné, autant que les précédents avant de la débarrasser elle aussi de son haut pour le laisser rejoindre le sol. Enfin, il peu toucher sa peau, enfin il a le droit de connaitre cette douceur, mais il en veut plus ! Bien plus que ce qu'il a tous de suite. Déviant une nouvelle fois ses lèvres dans le creux de son cou, il descend jusqu'à sa gorge, la poussant légèrement en arrière pour ce pencher au dessus d'elle et faire descendre ses lèvres contre sa poitrine encore couverte pour arriver jusqu'à son ventre. Ses doigts viennent s'agripper à sa tailles caressant de temps à autre ses cuisses qu'il maintien contre lui. Couvrant son ventre de baisers toujours aussi brûlant, il tire légèrement sur le jean qu'elle porte sans pour autant le détacher mais juste assez pour descendre ses lèvres un peine plus bas.                 

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Elle a connu quelques hommes au cours de sa vie, Isabella. Assez pour se rendre compte que ce qu’elle ressent en cet instant auprès de Nikolaï n’est pas anodin. Elle n’a jamais connu quelque chose d’aussi intense, aussi prenant. Le reste du monde est complètement sorti de sa tête, comme si plus rien ne comptait, comme si plus rien n’existait. Il n’y a plus que lui et elle, partageant le moment le plus torride de sa vie. Tout son être est focalisé sur lui, sur ses sourires, ses baisers, ses mains qui parcourent son corps. Elle sent de l’électricité au contact de ses doigts sur sa peau, et puis cette chaleur de plus en plus forte qui l’envahit. Il la rend dingue. Il n’est pas un homme comme les autres, définitivement pas. Il est tellement différent de tout ce qu’elle a connu, par le passé comme ce qu’elle connaît encore aujourd’hui. Il a le don de lui faire perdre la tête, et depuis le début. C’est comme si, avec lui, elle pouvait être une autre. Ou, plutôt, avec lui elle peut être elle-même. Elle n’a pas peur de ce qu’il peut dire, penser, ou faire. Elle se sent libre, vivante. Pour la première fois de sa vie, elle a la sensation qu’elle peut se dévoiler telle qu’elle est. Se mettre à nu est tellement naturel avec lui qu’elle en oublie toutes ses appréhensions. Elle ne réfléchit plus, Isa. Elle se laisse guider par lui, et par ce désir aussi qui la submerge de plus en plus. Elle est totalement envoûtée par ses baisers dans son cou. Ils semblent brûler sa peau tellement ils sont intenses, tellement elle y est réceptive aussi. Elle pourrait presque croire qu’il est en train d’y laisser une marque. Assurément, il laissera son empreinte sur elle, parce qu’elle est incapable d’oublier un tel moment, une telle passion. S’il veut la rendre accro, il est bien parti pour y arriver. Sans un mot, juste un regard, il parvient même à lui faire oublier les risques qu’ils sont en train de prendre. Elle n’arrive plus à se raisonner quant à elle, elle n’essaye même plus. C’est tellement agréable, c’est tellement bon de lâcher prise et se contenter, enfin, de savourer cet instant. Son envie se décuple au fil des secondes au point qu’elle se débarrasse du tee-shirt du jeune homme sans plus attendre. Son sourire la fait fondre avant qu’il ne vienne capturer ses lèvres dans un baiser enflammé. Elle le prolonge avec la même ferveur, déjà dépendante de toutes ces sensations. Et, très vite, son propre haut se retrouve à son tour par terre. Ils sont à demi-nus, l’un contre l’autre, alors que ses yeux le dévorent sans retenue. Mais elle n’a pas le temps de s’y attarder davantage parce que Nick revient très rapidement à la charge. Il embrasse son cou, sa gorge, la poussant à basculer la tête en arrière pour mieux savourer ses baisers. Elle soupire doucement de plaisir sous ses assauts alors que ses propres mains trouvent leur place sur le torse de son amant. Elle peut enfin le toucher, sentir sa peau contre ses doigts, son odeur qui la transporte. C’est tellement hypnotisant qu’elle a tout juste conscience de ce qu’il fait quand il commence à la faire basculer en arrière. Elle se laisse faire, s’allongeant contre le capot, elle profite au mieux de ses attentions le long de son corps. Ses lèvres contre ses seins la rendent dingue, tout autant que ses mains qui viennent caresser ses cuisses. Quand il descend ses lèvres contre son ventre, la jeune femme se redresse à peine, prenant appui sur ses coudes pour le regarder. Comme si elle avait besoin de garder, tout de même, un semblant de contrôle. Elle le contemple, penché contre son ventre, sentant son envie se décupler instantanément en voyant de ses yeux qui est en train de l’embrasser. Il finit par tirer sur son jean, le descendant de quelques centimètres par la même occasion, pour poursuivre ses baisers plus bas. Elle se mordille la lèvre, comme pour se contenir, alors qu’elle le regarde toujours avec intensité. Elle caresse ses épaules, sa nuque, ses cheveux du bout des doigts avant de s’y agripper un peu plus fermement. Ses yeux déjà noirs deviennent plus sombres que jamais sous le désir qu’elle ressent. Elle a tellement envie de l'embrasser, tellement envie de lui.

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Le monde à cessé de tourner au moment ou elle est venue le rejoindre sur la plage. Au moment ou elle à choisi de laisser son mari pour venir le rejoindre lui. Le reste n'avait plus du tout d'importance. Et maintenant, ils en étaient à échanger des baisers brûlants, ils étaient bien plus proche qu'ils ne le devaient, mais ils ne faisaient qu'écouter leur envie, écouter leur désir, ils ce laissaient juste guider par cette passion communes. Elle lui faisait confiance, elle voulait qu'il lui montre ce que ça fait d'agir sans ce soucier des conséquences, ce laisser guider par l'envie et le désir tout simplement. Il allait lui montrer ou plutot il allait l’entraîner avec lui en venant déposer des baisers brûlants contre sa peau. Partant de ses lèvres, il descend lentement, son cou, sa gorge, sa poitrine pour arriver au niveau de son ventre qu'il couvre de baisers alors qu'elle caressait ses cheveux. Il sentait qu'elle le regardait, elle c'était même légèrement redressée sur ses coudes pour pouvoir suivre le moindre de ses mouvements. Pourtant, Nick ne releva pas les yeux vers elle, il savait qu'elle le fixait ... il savait ce qu'elle voulait et il comptait bien lui donner. Tirant légèrement sur le jean qu'elle portait pour le descendre de quelques centimètres seulement, il descend ses baisers alors qu'elle s'agrippe plus fermement à ses cheveux. Il comprenait sans mal son impatience, elle n'en n'avait pas assez ! Relevant enfin son visage vers le sien, il remarqua sans mal ce regard noir de désir. Détachant d'un geste habile le bouton de son pantalon, il tira dessus pour le faire descendre le long de ses cuisses, de ses jambes tous en prenant le temps de frôler sa peau. Puis il ce redressa pour venir retrouver ses lèvres, pour les frôler avant de les embrasser avec envie. Entrelaçant ses doigts aux siens pour venir les plaquer contre le capot de la voiture. Il voulait faire durer ce moment, contrairement à elle qui semblait de moins en moins patiente. A bout de souffle, il recula son visage avant de lui adresser un petit sourire joueurs. Elle était pratiquement nue en dessus de lui, il ne lui restait que ses sous vêtements et il profitait de la vue qu'elle lui offrait. Ce mordant légèrement la lèvres, il ce redressa doucement pour la contempler quelques instants.                     

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Plus rien n’existe. Le monde entier pourrait s’écrouler qu’elle ne s’en apercevrait même pas. Elle n’est plus que sensations, désir et envie. Elle a tellement envie de lui que, si elle était encore capable de réfléchir, elle se demanderait comment elle a pu résister auparavant. Comment elle a pu, même, rester auprès de lui sans lui sauter dessus. Comment elle arrive encore maintenant à garder ses ardeurs pour elle alors qu’il est littéralement en train d’embraser tout son corps. A chacun de ses baisers sur sa peau, cette sensation de brûlure l’envahit. Elle se sent fiévreuse, mais surtout désireuse d’avoir plus. Elle a envie de plus, elle a besoin de plus. Oublier sa bonne conscience, sa raison et toutes les choses qui font qu’elle ne devrait pas est bien plus facile qu’elle ne l’aurait jamais cru. Il a, comme, éteint les craintes en elle pour allumer quelque chose de beaucoup plus fort et d’incendiaire. Le plus difficile n’est pas de suivre son envie, oh non, c’est incroyablement facile. Le plus compliqué, au contraire, c’est de pouvoir garder patience alors qu’il la fait languir. Les yeux rivés sur lui, elle ne rate pas une miette de la scène qu’il est en train de lui offrir en dévorant son ventre de ses baisers. Elle n’en a même pas conscience mais, plus il descend, plus elle s’agrippe à ses cheveux avec fermeté. Elle a de plus en plus de mal à contenir ses soupirs. Il ne se contente pas de l’entraîner dans les chemins du désir, il la pousse à s’y plonger la tête la première, à perdre l’esprit, à s’y perdre tout court. Il ne jette pas un regard vers elle, trop occupé qu’il est à embrasser chaque parcelle de sa peau. Ce n’est qu’au bout de ce qui lui semble être une éternité qu’il relève la tête vers elle. Il plonge ses yeux dans ceux assombris d’Isabella. Mais ce n’est que pour mieux la provoquer alors qu’il détache le bouton de son pantalon pour le faire glisser le long de ses cuisses. Tout son corps s’électrise un peu plus à chaque seconde, à chaque caresse qu’il lui offre subtilement alors qu’il prend tout son temps pour la déshabiller. Ses escarpins tombent au sol dans un léger bruit, suivis de près par son jean. Et, enfin, il se rapproche à nouveau de son visage pour s’emparer de ses lèvres. Elle répond immédiatement à son baiser avec la même ferveur, la même envie insatiable. Elle est avide de ses lèvres, avide de lui tout entier. Elle laisse échapper un petit gémissement qui se perd dans la bouche de son amant alors que, profitant de leurs doigts entrelacés, il plaque ses mains contre le capot de la voiture. Le baiser s’interrompt alors que, le souffle court, elle le fixe sans bouger. Il affiche un sourire, un sourire joueur, un sourire qui ne fait que la rendre un peu plus folle. Elle voudrait se redresser, pour capturer ses lèvres dans un nouveau baiser, mais il maintient toujours son emprise sur elle. Elle est totalement à sa merci. Et il ne se gêne pas pour en profiter. Au contraire, il se redresse entièrement pour mieux contempler son corps à demi-nu. Allongée impudiquement sur le capot, presque nue, elle est comme offerte à lui. Elle le voit se mordre la lèvre, l’air d’apprécier la scène alors que de son côté, elle sent l’impatience la gagner bien malgré elle. – Qu’est-ce que tu attends… demande-t-elle d’une voix chaude avant que, de ses jambes, elle ne parvienne à enlacer sa taille pour l’attirer à nouveau contre elle.

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Il cherche à la pousser à bout, au bout de ses limites. Il veut qu'elle oublie le reste, qu'elle ne puisse plus retenir son envie. Alors il la cherche oui, il la pousse à bout en prenant son temps, en embrassant chaque recoin de sa peau, uniquement pour la pousser à céder. Ses lèvres glissent contre son ventre avant qu'il ne tire sur son jean qu'il ne descend pas complètement mais juste assez pour la titiller un peu. Il sent les doigts de la jeune femme ce serrer dans ses cheveux de plus en plus à chaque fois qu'il laisse ses lèvres glisser contre sa peau. Il ce rend bien compte de l'effet qu'il lu fait, il le sent ... mais ce n'est pas pour autant qu'il lui donne ce qu'elle veut. Puisque retrouvant ses lèvres après s'être débarrassé de son jean, il l'embrasse avec passion, un baiser auquel elle répond avec la même ferveur, la même envie si ce n'est plus. Entrelaçant ses doigts aux siens, Nick vient les plaquer contre le capot de la voiture avant de reculer son visage seulement une fois à bout de souffle pour la contempler. Le spectacle lui plait, bien plus qu'il ne l'aurait cru. Il avait déjà vu des femmes nues ou presque. Enfin pour dire que ce n'était pas la première fois qu'il ce retrouvait dans ce genre de situation, mais avec elle ... ça n'avait pas du tout le même effet. Il aimait ce qu'il voyait au point de s'en mordre la lèvres, comme si il n'avait qu'une envie c'était de la dévorer. Elle s'en rend même compte en lui demandant ce qu'il attendait ! - Je savoure cet instant ! Dit il en souriant avant qu'elle ne l'attire de nouveau contre elle. - Madame est impatiente ? Déposant un nouveau baiser contre ses lèvres, il laissa également ses doigts glisser le long de ses bras jusqu'à sa taille, s'attardant un peu plus sur le sous vêtement qui ce trouvait au même niveau. Déviant ses lèvres dans son cou, il parti mordiller sa peau prenant garde de ne pas laisser de traces visible alors que d'un geste habile, l'une de ses mains venait de ce glisser dans le bas de son sous vêtement. - C'est vraiment ce que tu veux ? Viens t'il murmurer d'une voix chaude au creux de son oreille entre deux baisers. Alors qu'il lui offre déjà des caresses bien moins innocentes.                      

♛ Lying in my bed I hear the clock tick, And think of you. 

Took you like a shot, Thought that I could chase you with a cold evening, Let a couple years water down how I'm feeling about you. And every time we talk, Every single word builds up to this moment And I gotta convince myself I don't want it, Even though I do. You could break my heart in two. But when it heals, it beats for you. I know it's forward, but it's true. I wanna hold you when I'm not supposed to. When I'm lying close to someone else. You're stuck in my head and I can't get you out of it. If I could do it all again. I know I'd go back to you, I know I'd go back to you, I know I'd go back to you...

Peu à peu, elle sent ce contrôle qu’elle aime tant lui échapper totalement. Elle se sent perdre toute maîtrise d’elle-même, toute maîtrise de son propre corps. Il est en train de la pousser au plus profond de ses limites. Plus les secondes passent, plus le désir qu’elle ressent devient violent, inimaginable. Elle ne parvient plus du tout à raisonner. Ses baisers brûlants l’en empêchent totalement. Tout ce qui préoccupe toujours tant ses pensées a totalement disparu. Il est en train de lui donner la plus belle leçon de sa vie. Apprendre à lâcher prise, finalement, c’est beaucoup plus agréable qu’elle n’aurait pu l’imaginer. Elle savoure l’instant, uniquement l’instant qu’il lui offre en faisant abstraction de tout le reste. Seul son désir compte, mais il est si fort, trop fort pour qu’elle puisse résister. Elle ne parvient plus à attendre. Alors qu’il profite de quelques secondes de calme pour la dévorer des yeux, la belle est incapable de contenir son impatience. Elle ne répond pas même à ses paroles, préférant l’attirer contre elle à l’aide de ses jambes. Elle enlace par instinct ses cuisses autour de la taille de son amant, pour qu’il ne lui échappe plus, cette fois. Il trouve encore le moyen de la taquiner. Il veut la faire languir, il s’amuse même de son empressement. Il peut parfaitement se rendre compte combien il la rend folle et semble s’en délecter. Mais, très vite, leurs lèvres se retrouvent dans un nouveau baiser ardent. Elle devient accro, littéralement accro à cette sensation dévorante qu’elle éprouve à chaque fois qu’ils s’embrassent. Elle se sent comblée, juste une seconde, mais déjà l’envie d’avoir plus la submerge à nouveau. Elle a envie de lui, lui tout entier. Elle n’a jamais éprouvé un désir aussi prenant, aussi irrésistible. Une fois encore, elle ne répond pas à sa petite provocation. Elle lui mord légèrement la lèvre inférieure en guise de réponse, retrouvant un petit sourire en coin, satisfaite. Mais c’est sans compter sur Nikolaï qui est bien décidé à la pousser à bout. Tandis que leurs lèvres scellent un énième baiser, elle sent les doigts du jeune homme glisser le long de son corps. Il déclenche un déferlement de frissons en elle tandis que tout son être semble s’électriser. C’est fou combien il suffit qu’il la touche pour la faire frémir, pour lui procurer du plaisir. Mais elle n’a encore rien vu. Elle sent les battements de son cœur s’accélérer alors qu’il vient titiller sa petite culotte tout en retrouvant son cou de ses baisers qui n’en sont plus. Elle ferme brièvement les yeux à ses assauts passionnés. Il sait parfaitement comment la rendre à sa merci. Elle finit par laisser échapper un gémissement aussi incontrôlable qu’imprévisible alors qu’il insère insidieusement sa main dans son sous-vêtement. Sa question la trouble un peu plus. A-t-il vraiment besoin qu’elle lui donne une réponse ? – A ton avis… murmure-t-elle entre deux soupirs de plaisir. Elle sent ses doigts contre sa féminité, elle sent ses caresses qui lui font totalement perdre l’esprit. Il peut sentir à quel point il lui fait de l’effet, là, contre sa main. Déboutonnant fébrilement son pantalon, elle tente de le débarrasser à son tour du reste de ses vêtements comme pour l’inciter à accélérer les choses. – Nikolaï… gémit-elle, perdant pied sous ses caresses. Mais il semble vouloir l’entendre le dire de sa bouche. Comme s’il voulait qu’elle assume pleinement son envie, qu’elle n’en ait pas honte. Le plaisir qu’elle ressent ne fait que décupler cette envie et, par la même occasion, la libérer de ses dernières barrières alors qu’elle lâche finalement dans un soupir. – C’est ce que je veux… Je te veux, toi…