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| Sujet: Did you see a ghost? Welcome to the club Ven 27 Nov - 16:26 |
| save the queens ---- / VALENTINA RIVERA
32 ans ---- / ace of diamonds ---- / María Valverde
identité complète - Valentina María Isabella Rivera lieu de naissance et origines - née le 7 mars 1988 à Madrid(Espagne) d’origines anglaise et écossaise par son père, sa mère est une pure espagnole. études ou métier - médecin urgentiste orientation sexuelle - bisexuelle à préférence pour les homme statut civil - célibataire au cœur pris depuis presque dix ans pi, scénario ou prélien - pi
save the queens ---- / TELL ME WHO YOU ARE
once upon a spirit ---- / a soul ---- / a shining star traits de caractère / dépendante – possessive – réactive – créative – intériorise ses sentiments, ce qu’elle pense – altruiste – têtue – charmeuse – énergique – excessive – fêtarde – intelligente – observatrice – passionnée save the queens ---- / TELL ME MORE
once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share
avril 1998 – 11 ans « Mama, vous ne pouvez pas y aller. C’est trop dangereux. Je vous dis qu’il me l’a dit. Vous allez avoir un accident. » Valentina suppliait ses parents de ne pas sortir ce soir là. Elle avait entendu la voix, l’avait même vu. S’ils sortaient, ils allaient avoir un accident de voiture et mourir.
Ses parents ne croyaient pas aux affabulations de leur fille. Tout du moins, c’est ce qu’ils pensaient. Les esprits, ça ne communiquent pas. Ils en sont persuadés malgré leur grande croyance en Dieu. Valentina, elle, elle les a vu. Ils finirent par partir, ils ne pouvaient pas rater cette soirée, c’était impossible. L’enfant resta sur le canapé, recroquevillée sur elle-même jusqu’à l’annonce de la terrible nouvelle. Il était une heure du matin lorsque l’on frappa à la porte. Valentina avait déjà les larmes aux yeux. Personne ne sonnait à cette heure là normalement. Elle avait sentit son cœur se serrer une heure plus tôt. Elle savait qu’ils étaient morts. Elle alla ouvrir. Elle aperçu un policier devant elle. Il lui parla mais elle n’écoutait pas. Ses parents n’avaient pas écouté son avertissement et ils en étaient morts.
mars 2001 – 14 ans « Tu bouges quand tu veux Rivera. Si tu ne le fais pas, tu sais ce qui t’attends. J’en ai marre de toi et de te voir. »Valentina était passée de foyers en foyers depuis l’âge de onze ans à la mort de ses parents. Lorsqu’ils étaient morts, ils avaient tentés de savoir si elle avait de la famille en Ecosse ou en Angleterre dans la famille de son père et même en Espagne dans la famille de sa mère. Elle ne savait pas. Elle avait quitté l’Espagne lorsqu’elle avait six ans. Elle se souvenait de grands-parents mais qui étaient morts lui semblait-il. Sa mère était allée aux enterrements. Du côté de son père, elle ne connaissait personne. Ses grands-parents paternels n’avaient jamais été dans le tableau. Elle ne se doutait pas que c’était parce que son père avait préféré épouser une espagnole plutôt une fille riche de Londres. Elle était donc orpheline et avait été placé. Pour le moment, ça n’avait pas été la joie. On la maltraitait. Entre les insultes et les coups, Valentina gérait à sa manière. Elle ne parlait pas, évitait de se faire remarquer mais on lui tombait toujours dessus. Pourtant, elle ne faisait rien de mal, évitait de se mélanger aux différents groupes pour ne pas se retrouver dans des « guerres » qu’elle ne comprenait pas. C’était peut-être ça le problème. Elle ne se mélangeait pas.
Valentina s’écarta, alla s’installer dans une autre pièce, beaucoup plus loin. Elle n’avait pas vraiment envie de se retrouver avec un nouveau poignet cassé ou une autre cicatrice parce qu’elle n’avait pas voulu se déplacer un petit peu. Un jour, elle devrait peut-être penser à se rebeller. Si ça continuait elle risquait d’y passer mais ce n’était pas qui elle était.
octobre 2003 – 16 ans Valentina se réveilla dans un lit douillet. Elle resta allongée un instant dans ces draps propres qui sentaient encore la lessive, les yeux posés sur le plafond. Elle ne sait pas ce qu’elle fait là. Elle ne sait pas où elle est. Elle se lève doucement. Ca doit être un rêve ou alors, elle est passée de l’autre côté du voile. Elle se souvenait avoir été fatiguée et affamée lorsqu’elle s’était arrêtée dans ce hall d’immeuble. Elle voulait juste un peu de chaleur et de répit. Qu’était-il arrivé ? Elle ouvre la porte et sort la tête discrètement. Elle sent la bonne odeur du café, les toasts chauds. Elle s’avance sur la pointe des pieds, se rendant compte qu’elle est habillée d’un simple tee-shirt. Elle le plaque contre elle. Elle doute, qui lui a enlevé ses vêtements, que lui est-il arrivé ?
Elle suit l’odeur et le découvre. Elle découvre Frederickson devant les fourneaux. Elle ne le connait pas encore, ne sait pas qu’il deviendra sa bouée de sauvetage, celui qu’elle va aimer jusqu’à n’en plus pouvoir, celui de qui elle aura le plus besoin dans sa vie. « Holà. » Il se retourne vers elle et ses yeux se plantent dans les siens. Il tente de la sonder et elle le laisse faire alors qu’elle ne le connait pas. Son ventre gronde. Instinctivement, elle plaque ses mains dessus. Trois jours qu’elle n’a pas mangé un repas digne de ce nom. Elle picore ce qu’elle trouve mais c’est compliqué. Elle s’est enfuit du refuge où elle se trouvait et étant mineure, elle doit toute faire pour ne pas se faire remarquer. Elle ne veut pas y retourner. Les coups, les blessures plus ou moins visible, la violence morale. Elle n’en pouvait plus de sursauter à chaque pas qu’elle entendait. Elle avait dû faire un choix. Un jour après le lycée, elle n’était pas rentrée. Quatre mois que cela durait mais elle n’en pouvait plus. Elle était épuisée moralement, physiquement aussi. Elle avait dû s’endormir et ne pas l’entendre arriver, elle qui normalement un sommeil si léger qu’un rien ne la réveille.
« Tiens, tu devrais manger. » Elle regarde l’assiette qui lui est tendue, méfiante avant de l’attraper après un autre grondement sourd.« Gracias. » Dans des temps comme ça, elle revient à sa langue maternelle. Elle commence à manger alors même qu’elle n’est pas installée. Elle le regarde souriante avec ses yeux remplis de remerciements.
mars 2009 – 22 ans «Je dois partir en mission pour un moment. » Il la regarda dans les yeux. Six ans étaient passés depuis qu’il avait recueillit la jeune fille. Six ans que cette présence auprès de lui lui faisait du bien. Il savait cependant que la laisser seule allait être difficile pour elle. Il était sa seule famille, la seule personne sur qui elle comptait. Il était son monde. « Tu pars combien de temps ? » Elle le regarda inquiète. Il allait l’abandonner, la laisser seule et elle ne pouvait pas le supporter. « Je ne sais pas encore mais je n’ai pas le choix. Je rentrerai aussi vite que je peux. » Il la pris dans ses bras, posant un baiser sur sa tête. Il la voulait près d’elle à chaque instant. C’était son petit oiseau. Son oiseau fragile qui avait dû mal à voler lorsqu’il était loin. Elle n’avait pas encore tout à fait confiance en elle, elle n’avait pas confiance dans les autres. Elle n’avait confiance qu’en lui. Il le savait et c’est pourquoi il s’inquiétait de partir, de la laisser se débrouiller toute seule mais il était persuadé qu’elle serait suffisamment forte. Il n’imaginait pas à quel point il avait tord.
Il la regarda dans les yeux. « Je veux que tu me promettes quelque chose. »Elle recula, croisant les bras tel une enfant mécontente. « Qué ? » Il la savait sur la défensive, qu’elle avait peur de ce qu’il allait lui dire. « Je veux que tu me promettes de continuer tes études. Tu dois continuer quoiqu’il arrive et devenir médecin comme tu le veux vraiment. » « Tu parles comme s’il allait t’arriver quelque chose. No me gusta eso. » « Je ne sais pas ce qu’il peut m’arriver, je ne sais pas combien de temps je serai parti alors tu dois me le promettre. » Elle secoua la tête positivement après plusieurs minutes. Elle ne voulait pas le voir partir. Elle voulait rester dans ses bras, rester auprès de lui. Elle le voulait lui tout simplement.
juin 2010 – 23 ans Valentina n’entendit pas la porte s’ouvrir. Depuis plus d’un an, elle était seule dans cet appartement. Enfin seule, lorsqu’il ne s’agissait pas de se retrouver en compagnie d’un ou plusieurs amis. La vaisselle trainait dans l’évier et sur la table de la cuisine. Dans le salon, il y avait encore les marques d’une fête trop arrosée. Plusieurs sachets de drogues, plusieurs paquets de cigarettes, de bouteilles d’alcool. Rien n’était rangé. En voyant ce désordre et ce qu’il retrouvait Frederickson entra comme une furie dans la chambre de Valentina. Il la retrouva en compagnie d’un jeune homme plus âgé qu’elle. « C’est quoi ce bordel ? Il est trois heure de l’après-midi, un jeudi en plus et tu es à la maison complètement défoncée. » Elle se retourna vers l’endroit où émanait les cris. Elle rêvait. Ce n’était pas lui. Plus d’un an qu’elle n’avait pas eu de nouvelles. Il devait être mort et enterré depuis le temps. On ne lui avait juste pas dit. Elle se leva, décalée et dans le brouillard. Les mélanges de la veille avaient été mauvais mais au moins, elle n’avait plus revu l’esprit qui était venue la voir deux semaines plus tôt. Celui qui lui avait dit d’avertir la voisine du dessus d’une mauvaise chute qu’elle allait faire bientôt. Elle avait voulu que tout s’arrête et elle avait trouvé que l’alcool était une bonne méthode pour ça.
Elle lui caressa la joue pour s’assurer que c’était bien lui. Il semblait réel en tout cas et plaqua son corps nu contre lui pour le serrer fort. Plus d’un an qu’elle n’avait pas ressenti un tel plaisir, une telle joie et qu’importe ce qu’elle prenait. Il fini par la prendre dans ses bras tandis que l’autre homme sortait de l’appartement aussi vite qu’il le pouvait ayant vu l’arme que Frederickson portait à la ceinture.
Deux jours plus tard, elle entrait dans un centre de désintoxication. Il avait compris que ce n’était pas seulement lors de fêtes qu’elle consommait mais tout le temps. Elle lui avait même avoué. Ca ne servait à rien de mentir. Il était flic aux stup après tout. Il savait reconnaître les signes. Il promit à son petit oiseau d’aller le voir dès qu’il le pourrait et c’est ce qu’il fit. Dès qu’il y avait un créneau où le temps de visite était autorisé, il y allait, quitte à prendre sur son temps de travail. Il ne voulait pas la perdre. Elle était trop importante pour lui, il l’aimait comme il n’avait jamais aimé personne et se haïssait de l’avoir mis en péril. Cela dura quatre mois. Quatre longs mois où l’un comme l’autre ne voulait qu’une chose, se retrouver.
octobre 2016 – 28 ans Après beaucoup d’épreuves et des années de travail, Valentina avait enfin réussi à décrocher son diplôme pour devenir médecin urgentiste. Elle en était tellement heureuse. Elle allait enfin pouvoir aider les autres, faire quelque chose de sa vie. C’était ce qu’elle avait toujours voulu. L’adrénaline l’aidait à avancer. C’était mieux que de se droguer. Chose qu’elle n’avait plus fait depuis qu’elle était passée par ce centre de désintoxication cinq ans plus tôt.
Elle allait commencer sa première journée à l’hôpital. Sa première journée tout du moins en tant que titulaire. Elle allait sauver des vies. Cependant, elle ne se doutait pas qu’elle verrait autant d’esprits la suivre. Elle aurait dû se douter de ce qui allait se passer non ? Elle ne pouvait pas dire qu’elle les voyait. On l’enverrait en hôpital psychiatrique alors qu’elle savait que c’était réel, qu’ils étaient là. Ces voix avaient eu raison plus d’une fois. L’accident de ses parents, la mort des coéquipiers de Frederickson un jour où il reste avec elle car elle avait fait une crise de panique, persuadée de le perdre, la chute de sa voisine. ET de nombreux autres évènements qu’elle taisait sous silence. Elle n’en avait d’ailleurs jamais parlé à son sauveur. Elle ne voulait pas qu’il la prenne pour une folle, qu’il pense que c’était dû à tout de qui lui était arrivée.
Travailler à l’hôpital s’avérait donc très dur pour elle mais elle ne pouvait pas tout laisser tomber. Elle devait avancer et les laisser de côtés. Laisser ce qu’elle entendait et voyait. Elle ne pouvait pas tous les guider, c’était trop dur. Elle avait besoin de vivre. Il fallait qu’elle vive pour elle, pour ses parents, pour Frederickson et tout ce que sa vie lui avait fait subir.
juillet 2018 – 30 ans Valentina n’avait jamais osé dire à Frederickson ce qu’elle ressentait pour lui. Elle n’avait jamais osé lui dire qu’elle l’aimait comme elle n’avait jamais aimé au par avant. Ce n’était pas juste de l’amour qu’elle pourrait avoir parce qu’il l’avait sortit de la rue, l’avait pris sous son aile, lui avait redonné goût à la vie. Elle n’avait jamais ressenti ça pour personne au part avant. Elle savait que c’était un amour différent car elle n’avait jamais aimé ses parents de cette manière là. C’était différent mais tout aussi fort. Elle le voulait lui, personne d’autre et pourtant, elle ne le disait pas. Elle avait peur qu’il la rejette. Elle avait peur d’être déçue, qu’il la vire de chez lui pour ne pas se sentir mal en sa présence. Elle ne s’imaginait pas vivre sans lui et se taisait donc. Elle taisait ce qu’elle éprouvait.
Cependant, être dans le même appartement car elle n’avait jamais eu le courage de partir et lui, n’avait jamais voulu qu’elle s’en aille, voulait dire que parfois, l’un et l’autre se retrouvait dans ses positions compromettantes. Parfois, elle ne rentrait pas et s’amusait ailleurs, d’autres fois, elle s’amusait un peu trop dans l’appartement. Lorsque les choses dégénéraient sans qu’elle ne sache comment. Ce soir là, Frederickson ne devait pas rentrer. Il devait rester la nuit au poste. Elle avait organisé une soirée films avec un ami mais ça avait fini bien différemment. Ils n’avaient pas pris le temps d’aller dans la chambre de Valentina, ils devaient seuls. Lorsque l’homme rentra plutôt que prévu, il s’énerva. Il s’énerva contre elle, contre ce garçon qui était dans ses bras, qui pouvait l’embrasser. Bien entendu, il ne frappa personne, ce n’était pas son genre mais les mots qui passaient ses lèvres étaient mauvais. Il exprimait la fureur de sa journée compliquée. Il avait pensé se retrouver seul à rire avec Valentina, à la prendre au creux de ses bras alors qu’ils regardaient un film stupide ensemble. Il n’avait pas imaginé la voir nue et encore moins en pleins ébats.
Ils n’ont jamais reparlé de cette soirée. Elle a mis ça sur le compte de la fatigue. Elle n’imagine toujours pas qu’il puisse avoir des sentiments pour elle. Elle, de son côté, toujours follement amoureuse, évite désormais d’inviter des gens à l’appartement ou alors pas avec qui elle passerait la nuit. Ca réduit pas mal le champs étant en plus attirée pr les hommes et les femmes. Elle pourrait déménager mais elle ne peut pas vivre sans lui, alors il devra la supporter jusqu’au bout.
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| Sujet: Re: Did you see a ghost? Welcome to the club Ven 27 Nov - 16:27 |
| save the queens ---- / PRENOM NOM
célébrité ---- / groupe ---- / [url=lien ici]lire ma fiche[/url] ce qu'il faut savoir / ici, note quelques infos en vrac ou rédige un bref résumé de ton personnage.
nom du personnage / description du lien nom du personnage / description du lien. nom du personnage / description du lien.
rps en cours nom du personnage / [url=lien vers le rp]titre du sujet[/url].
rps terminés ou abandonnés nom du personnage / [url=lien vers le rp]titre du sujet[/url]. |
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| Sujet: Re: Did you see a ghost? Welcome to the club Ven 27 Nov - 16:34 |
| A vous les loulous |
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| Sujet: Re: Did you see a ghost? Welcome to the club Ven 27 Nov - 21:33 |
| Il nous faut nécessairement un lien As tu besoin de quoi que ce soit de particulier ? |
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| Sujet: Re: Did you see a ghost? Welcome to the club Sam 28 Nov - 18:53 |
| Coucou Mais clairement oui, ils pourraient être binômes, je ne sais pas trop si ça existe en vrai Sinon, il me faut de tout en fait. Tu as une envie ou un besoin particulier de ton côté? |
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| Sujet: Re: Did you see a ghost? Welcome to the club Sam 5 Déc - 15:47 |
| Désolée pour le délai de réponse ! En dehors du boulot Ambroise est quelqu'un de trèèèès solitaire, mais on peut partir du principe qu'au travail ils se connaissent depuis quasiment le tout début et qu'ils font souvent équipe, genre "meilleur collègue" ? |
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| Sujet: Re: Did you see a ghost? Welcome to the club Dim 6 Déc - 12:34 |
| @Ambroise Marshall C'est pas bien C'est parfait, ça me va complètement. "Meilleur collègue" depuis que la miss est arrivée il y a quatre ans en faisant souvent équipe |
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| Sujet: Re: Did you see a ghost? Welcome to the club Lun 4 Jan - 18:16 |
| Est-ce que tu veux de moi ?! :) Je lui cherche une amie de longue date ... |
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| Sujet: Re: Did you see a ghost? Welcome to the club Lun 4 Jan - 18:24 |
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| Sujet: Re: Did you see a ghost? Welcome to the club Lun 4 Jan - 18:34 |
| On peut les faire s'être rencontrés vers 17-18 ans, ça me va.:) Elles auraient pu du coup se soutenir au moment de leur étude, les premières grosses déception et réussites de la vie. |
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| Sujet: Re: Did you see a ghost? Welcome to the club |
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