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 devil in me (moscoe)

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Message Sujet: devil in me (moscoe)   devil in me (moscoe) Empty Mer 6 Nov - 20:05

T’as encore dans les veines, le rythme de la foule, la clameur délirante, la folie collective, passée de lèvres en lèvres. Ton coeur qui ne redescend pas, comme si t’étais partie trop haut, encore une fois.
Un, deux, trois.
Un, deux, trois.
Un, deux, trois.
Hurlements, ton rire, celui de Bowie et puis sa voix. Hurlements, ton rire, un sourire sur le visage de Roscoe.
T’es bien.
Un, deux, trois.
Un, deux, trois.
Mais pour combien de temps ?
T’as encore dans les veines, l’adrénaline, la respiration trop rapide, shooté à tes émotions, tu veux pas redescendre. Dans la loge, les regards échangés avec Cobain quand ça parle de la soirée d’après, et ce coeur qui cogne. qui cogne. Les doigts qui tremblent, un peu, légèrement, les cacher entre tes jambes, alors que tu continue à bafouiller des conneries indistinctes sur le public, sur la set-list, sur les erreurs de parcours et les fausses notes qui arrivent parfois. Ca serait pas du rock sans ça.
Un, deux, trois.
Un, deux, trois.
Un J’vous rejoins balancé quand ils s’apprêtent à partir, t’es encore là avec tes trainées de maquillage, et puis tes doigts, qui tremblent. Besoin d’un instant, d’un moment, avant de de les rejoindre. besoin de toi, de ta solitude, pour respirer, redescendre.
Un, deux, trois.
Un, deux, trois.

La musique est forte, comme s’il n’y avait qu’un pas à faire entre la scène et le club, entre l’avant et l’après, sauf que cette fois ci t’es plus aux commandes. T’as toujours aimé ce genre de soirées, toi et les autres, toi et le reste, envoyer au placard toutes ces putains d’idées noires qui parasitent tes songes. La musique trop forte, à t’en faire exploser les tympans, verre à la main quand tu les rejoins, le pas dansant, les doigts plus stables - merci les trois shot de tequila offerts - et ce sourire que t’affiche rarement. Hey babe, comme une marque d’affection, clamer à tout le reste de la boite qu’il est à toi, quand tu t’installe sur ses genoux sans aucune gêne, venir plaquer tes lèvres sur un coin de sa bouche.
Tu peux encore goûter votre dernière dispute.
Pourtant terminée depuis longtemps, de retour chez lui, chez vous, se rabibocher avant le concert, comme vous le faite trop souvent. Première gorgée de ton verre en équilibre, sans que tu ne le quitte des yeux. Il n’y a que lui et toi, comme trop souvent. Juste lui et toi, comme une évidence. Tu bois quoi ? comme pour l’inciter à t’accompagner, c’est la fête après tout, et tu voudrais pas qu’il reste dans son coin comme il le fait si bien. Autour de vous c’est comme une bulle, Bowie et Cobain hors de vue, ptêtre pour vous laisser un brin d’intimité, t’en sais rien, surement que tu t’en fous, nouvelle gorgée, tu fais attention. Ne pas boire trop vite. Comme avant. Ptêtre un petit tremblement. Non c’est rien, ton imagination. Les doigts qui se resserrent sur le verre, incapable de détourner ton regard, perdue, paumée, noyée dans les opales du seul qui peut clamer, détenir ta vie entre ses doigts.
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Message Sujet: Re: devil in me (moscoe)   devil in me (moscoe) Empty Mer 13 Nov - 21:28

@morgiana darling

la musique qui fait vibrer, qui embaume le coeur à s'en éterniser les sentiments. le son des amplis qui gonfle tout, qui envoie des notes à s'en arracher les phalanges. la violence heureuse de cette symbiose à quatre. en sourire comme un imbécile, devant tous ces gens qui ne sont pas totalement des inconnus. lire les paroles sur leurs lèvres, voir les têtes qui battent le tempo, mer qui porte leurs chansons, une à la fois, une après l'autres. roscoe s'écorche les doigts sur les cordes, heureux de la sensation. la vision de mo, de l'autre côté de la scène, le visage balayé de ses cheveux en bataille. un énergie stellaire dans un corps si frêle. et roscoe se plait à l'observer, elle, alors que tous les regards de fer sont tournés vers eux, groupe magnétique. il pourrait tendre le bras, dans l'espoir futile de la rejoindre. scotchés l'un à l'autre quand ils partagent le même oxygène, découpés en individus distincts quand les projecteurs s'allument. garder pour la vraie vie l'amour bancal qu'il lui réserve. le concert monte en flèche, alors que bowie passe en éclair entre eux deux, commandant tout l'air dans la pièce. euphorie qui a le goût de la panique. le goût des soirées à oublier. le goût des sentiments saccagés.

les lumières qui se ferment.
le noir total.

les oreilles qui bourdonnent à en gueuler par dessus le silence de l'après-chaos. roscoe se débarrasse du t-shirt qui lui colle à la peau, trouvant une chemise noire un peu froissée dans l’étui de sa basse. la boutonner qu'à moitié, ne pas regarder ce qui les entoure, mo qui marmonne qu'elle les rejoint, cobain qui range quelques trucs, bowie qui est toujours incapable de rester en place. les rouages d'un mécanisme bien huilé. la seule chose qui grince, c'est quand mercury pose les yeux sur bowie, se demandant dans quels draps il terminera la nuit, avalant difficilement à l'idée de ne pas pouvoir tendre la main vers lui, pour laisser ses phalanges dire tout ce qui reste coincé dans sa gorge. la musique accumulée sous sa peau, celle qu'il est encore trop dangereux de filer à bowie. enfermés dans quatre murs pour l'entendre mettre les mots qu'il faut sur des notes qui font vibrer le squelette. bowie et sa façon de faire tout disparaître.

roscoe secoue la tête. les colliers à son cou clinquent ensemble. la bague à son pouce grince contre celle à son majeur. habit de rockeur sobre, sombre, quelques accessoires étincelants pour s'accorder à son regard bordé de noir. les épaules qui roulent alors que les trois se dirigent vers le bar, bowie avec un air de chasse sous ses pas. mercury se contente de détourner le regard. il veut pas voir, il veut pas savoir. signe au barman. une bière aux lèvres. le derrière perché sur un tabouret. puis la sensation de plus être seul, quand la présence envoûtante de mo vient se poser partout, devant ses yeux, dans son coeur, sur sa cuisse. « Hey babe » qu'elle lance, juste comme ça, comme si c'était facile, de s'aimer à en crever. et pour un instant, il lui appartient, complètement, sans retenue, sans doutes. mo, la jet du groupe, sa mo. mo qui fronce le nez dans son sommeil en se recroquevillant contre son épaule. mo qui lui donne envie de chialer quand elle fait grincer les cordes de sa guitare dans un solo lancinant. mo quand elle laisse couler le moins beau à travers les craques de son armure. « hey, love. » que roscoe l'accueille. n'ayant d'yeux que pour elle, chaviré par ses lèvres décalées. et dans ces moments, il se demande pourquoi ils se disputent autant. ça devrait être comme ça, tout le temps. sauf que son baiser, il a un arrière goût de tequila, un arrière goût qu'il aime pas. roscoe ne dit rien, sachant déjà comment la soirée va se terminer. « Tu bois quoi ? » demande son amour, innocence coupable. il veut pas se disputer, pas dire ce qu'il faut pas, pas accuser alors que la faute lui appartient. il suffit de se faire croire que c'est pas grave, qu'il peut pas avoir ce qu'il veut, que ça va passer. que peut-être un jour, il aura plus à se battre avec les vices de mo pour savoir qui aura son âme, que peut-être un jour, ça ne fera plus mal de voir bowie charmer tout ce qui bouge. alors mercury serre ses phalanges autour de sa bière, avant de caler les quelques gorgées qui stagnaient au fond du verre. « je sais pas, la même chose que toi ? » qu'il propose. peut-être qu'avec un peu d'euphorie liquide, ça ira mieux. peut-être que ça chassera les balades tragiques qui tremblent au bout de ses doigts écorchés. jouer à en saigner, se mentir à en crever. mercury fait signe au barman de les resservir, deux fois comme mo. peut-être qu'à boire autant qu'elle, ça ira mieux. qu'il trouvera le même sourire qu'elle a placardé sur sa bouille des bons jours. sourire de carton. plonger les lèvres dans le verre qui est placé devant lui. tenter un sourire blindé, un pouce passé sur la ligne de la mâchoire de sa belle. un doigt rugueux, un geste tendre. « je crois pas que je vais un jour en avoir assez de te regarder sur scène. » et en studio, et à l'aurore avec sa guitare calée sur une cuisse, et quand le seul son est celui de son silence. parce que son son silence, à mo, il crie plus fort que bowie dans son micro. « à un excellent show, ce soir. » qu'il propose, levant son verre, un bras posé de travers sur la guitariste. sienne, même s'il s'égare parfois.  
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Message Sujet: Re: devil in me (moscoe)   devil in me (moscoe) Empty Lun 18 Nov - 18:47

Quand vous êtes en contact, il n’y a plus rien autour.
Plus rien.
Anesthésie totale de l’extérieur, et t’es suspendue, dans cet instant, à ses yeux, à ses lèvres, à son coeur. Résonnance douloureuse. Et encore maintenant tu te demandes, comment, pourquoi, comment. Surtout comment. Comment c’est possible d’avoir l’impression d’étouffer comme ça, comme si c’était encore, le premier jour, la première heure, la première fois. Quatre ans et des tempêtes qui ont pris la fuite entre vos doigts, vortex temporel, t’essaye de pas y penser - ça te panique parfois - cette facilité. T’as jamais vraiment connu ça. Un foyer stable, un peu bancal mais toujours plus agréable, que les hurlements de ta mère, que les pleurs de tes frères, de tes soeurs, que l’absence de ton père et de toutes les autres douleurs.
Plus rien, et tu te drogue à cette sensation, celle d’étouffer le reste, les larmes au bord des yeux qui menacent de couler à chaque instant, cette impression de tomber dans le vide, quand t’as rien dans les veines, rien dans la tête, rien dans ton verre.
Ton verre.
Son verre.
je sais pas, la même chose que toi ? Surprise qui s’étale sur ton visage, Roscoe jamais dans l’excès, à l’opposé de toi, et son sermon brûlant qui te fait rougir les joues à chaque fois. Pourtant ce soir, y a les verres envoyés par le barman, les verres qui continuent de filer, entre tes doigts, entre les siens, tu ravale tes questions, tes mots, l’envie de profiter avec lui, juste une fois, tous les deux. Sans rancune.
Toi et lui, ses doigts sur ton visage, et le contact qui te fait frissonner. Te rapprocher un peu plus, comme si la distance était encore trop grande. Comme s’il t’avait manqué.
Terriblement.
Comme à chaque fois.
Et ce vide encore.
Sous ses doigts, sous ses mots, jouer du bout des ongles avec sa chaine sans le quitter du regard, ce sourire que tu ne sais pas camoufler, qui t’échappe comme une réponse, à ses gestes oubliés. je crois pas que je vais un jour en avoir assez de te regarder sur scène.
Pourtant s’il savait.
A quel point.
A quel point ça te terrifie.
A quel point parfois t’en rêve la nuit.
Qu’il t’abandonne comme ça, pour une autre plus jolie, pour un autre plus doux, pour quelqu’un de plus fougueux, à mettre des étincelles dans sa vie. Le sourire qui tremble et le coeur qui tombe, fermer les yeux un instant et poser ton front contre le sien. Du bout des doigts, parcourir sa mâchoire, ses lèvres, sa nuque. T’assurer qu’il est là. Bien là. Et que ses mots.
Ses mots.
Pourquoi t’as aussi mal Morgiana ?
Tu leurs dis ça à toutes le rire qui t’échappe, la douleur dans la poitrine, venir l’embrasser de nouveau. moi je sais que j’en aurais jamais assez de toi murmuré à l’oreille, comme un demi-aveux, encré sur ta peau, pas loin du coeur.
Et déjà tu t’écarte de nouveau, pas envie d’imposer la vue de votre proximité à tous les autres, juste un bras autour de toi ça suffit, pudique, un peu trop, dans cette intimité qui n’appartient qu’à vous. Uniquement à vous.
à un excellent show, ce soir. Réflexe mauvais qui attrape le deuxième verre à ta portée, le vider d’un trait comme si t’avais besoin de courage, besoin de ça, arrêter tout le reste, le brouillard dans ton crâne, et déjà que tu te redresse, les mains qui cherchent les siennes. Viens danser, ça fait longtemps et l’alcool qui pourrait déjà monter un peu, sous ta peau, fourmillement, juste un sourire, et sa main dans la tienne, serrer fort, pour qu’il ne te lâche pas.
Plus.
Jamais
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Message Sujet: Re: devil in me (moscoe)   devil in me (moscoe) Empty Jeu 12 Déc - 21:45

@morgiana darling

elle est là, ce soir, accrochée à sa peau, quelques phalanges enlacées, douloureuse proximité. parce que roscoe, son coeur se serre à chaque respiration qui soulève la cage thoracique de son amour. parfois, la nuit, il écoute le son de son souffle, pour se convaincre que son coeur bats encore, qu'il est pas encore trop amoché pour continuer. tornade envoûtante qui fait chavirer sa vie. dès le premier jour. ça fait peur. de se reconnaître, de s'aimer trop. de vouloir pour elle ce dont elle ne rêve même pas, certaine de mériter moins, de ne mériter rien.

boire la même chose, chercher le même état d'esprit. se retrouver. ne rien dire quand elle a déjà le goût de l'euphorie liquide. si c'est que ça, ca ira, se convainc mercury, les doigts craqués des nuits à jouer, dans son studio, pour personne, chasser l'absence de mo, les souvenirs mouvants de bowie au bar. les choses qu'il a dites, les choses qu'il faut oublier. « Tu leurs dis ça à toutes » roucoule mo, amusée. rosoce hausse un sourcil, le coeur en étau. non, pas à toutes, mais les échos d'une conversation bousillent le moment. la musique me ramène toujours à toi. qu'il a dit à un autre, trop vrai, trop laid. et le bassiste voudrait répliquer un truc, lui dire que c'est pas vrai, qu'elle sait bien qu'il n'a d'yeux que pour elle. ça serait plus facile, s'il avait un oeil sur une groupie, plutôt qu'une envie de toucher son meilleur ami. mo fait taire sa connerie d'un baiser, comme un timbre sur une missive bonne à envoyer. ses lèvres qui le font frissonner, juste à lui, devant ces gens qui les entourent, qui ont oublié qu'ils étaient sur scène il y a moins d'une heure.
« moi je sais que j’en aurais jamais assez de toi » qu'elle murmure dans un arrache-coeur. pincée de culpabilité, bordée de honte. avaler tout ça, vouloir lui dire moi aussi, garder les mots au chaud dans son œsophage. la regarder avec l'envie de la dévorer. le besoin de la marquer. le désir de la toucher.

mais elle s'éloigne assez pour rompre la force invisible, mais pas assez pour éteindre la flamme. trinquer. vider son verre pour l'accompagner. laisser le jugement au tapis. il ira où elle ira. ce soir seulement. « Viens danser, ça fait longtemps » qu'elle propose, aucun choix. ses phalanges qui tirent. ses sutures qui déchirent. s'aimer à en crever. s'aimer à se tuer. alors roscoe la suit, sur le plancher de danse. entre ces gens qui cherchent un amour temporaire. ces gens qui se trouvent dans l'extase pour se perdre dans la lumière du matin. sauf que mo, il veut jamais la perdre. jamais l'oublier. jamais la blesser. trop tard pour le dernier. c'est l'épargner, de pas avouer, qu'il se convainc alors qu'elle ondule avec la musique. alors qu'il pose une paume au bas de son dos, pour la garder proche, pour se perdre dans ses mouvements. son autre quintuplet de phalanges trouvant place contre la nuque de mo, glissant dans ses cheveux, le nez plongeant vers celui de sa belle. s'accotant contre son front, pour fermer les yeux, pour s'accrocher au contact, pour se laisser glisser. sentir le pétillement des deux verres avalés à l'arrache. voulant lâcher prise, vraiment. sans se soucier de demain ou des secrets qui le hantent. peut-être que mo elle comprendrait, peut-être qu'elle a des secrets en banque, qu'ils pourraient échanger des horreurs, des contes des nuits passées séparés. sauf que roscoe, il veut pas savoir. c'est facile de penser qu'elle n'appartient qu'à lui, alors qu'en fait, elle ne s'appartient qu'à elle-même. désir futile. se prouver quelque chose. trouver ses lèvres pour y glisser les siennes, mordre sa lèvres pour ne pas lâcher prise, s'en foutre des gens autour. vouloir qu'ils disparaissent. « t'es la plus belle des chansons. » qu'il murmure contre sa bouche, pas certain que ça fasse du sens ailleurs que dans son coeur.
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