(+18) falling like the stars ± nicholas

Thinking out loud

You should treat a muse like a fairy.

T'as pas des masses besoin de réfléchir quand tu travailles avec la jolie Briannah. Pour la simple et bonne raison que tout se fait de la façon la plus normale et naturelle possible. Ta passion pour la photographie et le corps féminin, y est pour beaucoup là dedans, soit. Mais la passion que t'as pour Son corps en particulier, y est pour bien plus encore. T'es toujours plus inspiré par elle. Un coup d'oeil sur ses photos parfois, suffit à réveiller l'artiste épris de nouveautés toujours plus folles, toujours plus belles. Y'a des tas de trucs que t'as sacrément envie de faire avec elle. Que tu finiras par faire, c'est certain. Vous vous entendez à merveille et tu penses vraiment qu'elle s'amuse autant que toi pendant ces folles séances photo. Ou elle joue vraiment très bien la comédie. C'est possible également. Même si tu préfères te dire qu'elle prend autant de plaisir que toi à tout ça. Elle qui n'a de cesse de te provoquer. Y'a de quoi te coller un frisson dans le dos quand elle affirme aimer ton petit côté sévère. Il est vrai que même si t'as jamais à perdre sérieusement patience avec elle, parfois tes directives sont un peu plus sévères. Quand tu lui ordonnes sans y penser, de faire ceci ou cela, d'aller ici ou là bas. Tu préfères quand j'te donne des ordres Briannah ?Que tu demandes sur un ton qui se veut séducteur et caressant à souhait. T'aimes jouer toi aussi. T'es juste pas sûr d'avoir autant de cartes qu'elle à utiliser.

Tu joues d'ailleurs encore un peu quand tu t'approches pour laisser courir ton pouce sur sa lèvre inférieure. Tu prends le temps de la contempler cette jolie bouche tentatrice. Et son adorable forme de coeur. Il te semble qu'elle fait en sorte de le prolonger ce trop bref contact entre vous. Mais tu l'imagines peut-être. C'est plus simple pour toi de penser de cette façon. Les mots qui suivent viennent effacer ce faux doute dans ton esprit. Tu ricanes et lui offres un regard aussi taquin qu'enflammé. Tu jouerais avec mon zizi aussi, finalement ? Que tu fais mine de demander en prenant un air de gamin. Ce que t'es encore un peu parfois, sur les bords. Un grand gamin. Un gosse qui n'a pas tout à fait fini de grandir. Et t'as l'impression que cette tendance s'accentue quand t'es en présence de Briannah. Elle a ce genre d'effet sur toi. Tu te sens libre d'être un peu immature. Sans doute parce qu'elle même est une femme enfant et que tu sais qu'elle ne te jugera pas pour des plaisanteries à la con et parfois plus que limites. De nouveau quand même, t'es concentré sur le shooting photo. Tu la mitrailles avec toujours le même plaisir insensé. Tu prends plaisir à la voir se courber et se tendre sous ton nez. Avec le drap noir qui caresse sa peau divine maintenant. Qui vient frôler ses pointes durcies autour des quelles t'as une terrible envie de refermer tes lèvres. Dieu ce que cette fille est tentante.

Le temps de ta pause, tu t'éloignes un peu. Elle est en pleine lumière Briannah. T'as tout le loisir de la dévorer du regard alors que t'es toi même dans l'obscurité. Et comme toujours, elle te fait un effet dingue. Elle est tellement belle putain. Tu comprends pas que t'ais pas le droit d'y toucher plus que ça. Inconsciemment, tu fais un pas vers elle. Pour continuer de la contempler en silence quand elle glisse ses doigts délicats dans les paillettes. La façon qu'elle a de contempler son doigt ensuite, innocente et enfantine, te fait un effet dingue. C'est pas l'excitation pour un côté gamine. C'est autre chose. C'est de la fascination. Elle t'intrigue Briannah. T'as envie de tout savoir d'elle. Entre deux étreintes passionnées, bien sûr. T'as envie de lui arracher des rires autant que des gémissements. T'as envie de l'entendre te parler d'elle, autant que de te supplier de la prendre. T'as envie de tant de choses avec elle, sans être capable de comprendre pourquoi ni d'où ça vient. Elle te touche en plein coeur et tu t'en rends à peine compte. Alors que tu la rejoins toujours sans un mot. C'est toi qui te mords inconsciemment la lèvre inférieure quand elle tend sa main dans ta direction, l'expression enfantine sur le visage. T'as le coeur qui loupe un battement avant de s'emballer. Cette innocence sur ce corps de femme fatale, pourquoi ? Comment est-ce seulement humainement possible ? T'as autant envie de la câliner avec tendresse que de la prendre avec force. T'es troublé. Beaucoup trop.

Mais elle t'arrache un bref grognement de surprise quand elle attrape ta main pour te faire basculer et trouver ta place sur le matelas, à ton tour. T'as à peine compris ses mots, que le pot de paillettes se retrouve dans ta main. T'as le coeur qui bat bien trop fort alors que tes yeux suivent la trajectoire de son doigt sur sa peau. Tu crèves d'envie qu'elle descende plus bas encore. Qu'elle les perde entre ses cuisses qu'elle maintient résolument serrées. Elle s'arrête. Elle attend. Elle t'attend. D'accord ... Sans crier gare, tu viens passer une jambe une jambe par dessus sa hanche. A califourchon et lévitation au dessus d'elle. Prenant grand soin de ne pas lui permettre de sentir l'érection qui trahit ta trop grande envie d'elle, surtout. Tu parsèmes un peu de paillettes sur le haut de son corps, en suivant une trajectoire bien précise. Tu fais une ligne qui passe entre ses seins et qui descend plus bas. Qui passe à côté du nombril, sur le haut du mont de vénus et file disparaître sur sa hanche. Je m'occupe de chaque partie hm ? Que tu demandes quand même pour être sûr. Maintenant tu laisses ta main prendre le relais. Tes doigts dessinent. Tracent des lignes bien précises. Précises pour toi bien sûr. T'oublies de respirer quand tu passes sur son sein. Du plat de tes doigts t'étales les paillettes sur la moitié de celui ci. Evitant la pointe durcie. Tu crèves d'envie de refermer tes doigts dessus pourtant. Mais ça ne fait pas partie du tableau que t'as l'intention de réaliser. C'est du plat de la main que tu places le reste selon ton bout vouloir. Un trait plus épais sur le centre de son corps, qui s'étale savamment sur le côté. Ne bouge pas ! Que t'exiges juste avant de te pencher un peu plus encore pour souffler sur le plus gros des paillettes. De sorte à ce que certaines filent s'étaler de l'autre côté de son corps. Une fois fait, tu te redresses mais poses tes mains sur le matelas, de part et d'autre de son corps. Pour planter ton regard assombrit par le désir dans le sien. Malgré le petit sourire coquin et joueur au coin de tes lèvres. C'est bon ? on reprend ? L'innocence, le retour.

Thinking out loud

You should treat a muse like a fairy.

Elle trouve encore une fois le moyen de t'arracher un petit rire, la jolie Briannah. Quand elle te fait remarquer qu'elle pourrait y prendre goût. A ton "petit" côté autoritaire. T'es pas sûr qu'elle le pense vraiment. Parce que tu doutes même qu'elle t'ai vraiment vu t'emporter contre une mannequin qui n'était pas assez réceptive à ton goût. S'il s'avère qu'elle a bel et bien assisté à la chose mais qu'elle éprouve quand même l'envie de te voir devenir un peu sévère avec elle, alors ça risque surtout de salement t'exciter. Un peu plus un peu moins ... Vous n'êtes plus à ça près dans le fond. Tu te demandes comment tu fais pour ne pas insister davantage. Encore un peu et tu finiras par la supplier de t'ouvrir ses cuisses en grand pour que tu t'y engouffres. T'as besoin de croire qu'un jour ça arrivera. Que ta patience se verra récompensée tôt ou tard. T'es encore en droit de rêver. C'est ce qui rend les choses presque supportables. Du moins t'en as l'impression. Ou t'essaies de te le faire croire pour te simplifier l'esprit. Parce que ça tourne constamment dans ta tête, qu'elle soit là ou non. T'arrêtes pas de te demander à quel moment cet incroyable désir va se calmer. S'il vous faudra vraiment coucher ensemble pour qu'il s'atténue ou si tu parviendras à t'en débarrasser à un moment ou à un autre. T'as pas vraiment envie de t'en débarrasser, toi qui as l'impression de redécouvrir ce genre de tension incroyable. Mais c'est de plus en plus difficile.

Toi aussi tu joues un peu avec elle en retour. Surtout aujourd'hui. Elle semble en forme ... Malheureusement, vous ne jouez pas du tout dans la même cours tous les deux. Elle te frappe de plein fouet avec ses mots. Le rappel de tes fiançailles qui ne mènent à rien mais auxquelles tu t'accroches pour une raison que t'ignores toi même. Parce que t'as eus des sentiments pour cette mannequin magnifique, soit. Mais surtout parce que tu veux donner le change et faire croire que ta vie va toujours aussi parfaitement bien. Que t'as rien à te reprocher. Que t'es un ange. Hm ... T'as au moins réussis à r'faire tomber la température de quelques degrés. Que tu marmonnes sur un ton qui se veut relativement boudeur. Mais tu ne lui en veux certainement pas. Déjà parce que ce n'est pas plus mal de te ramener sur terre de temps en temps. Ensuite, parce qu'elle est en droit de refuser de se donner à un type qui est déjà promis à une autre. Surtout en sachant qu'elle est vierge. Tu ne doutes pas qu'elle offrira son corps à un type aussi bien et bon pour elle, que possible. Tu doutes simplement d'être capable de la fréquenter encore quand ce sera le cas. Le petit jeu de séduction entre vous s'arrêtera forcément lorsqu'elle tombera amoureuse d'un type bon sous tous rapports et qui aura au moins le mérite d'être célibataire, lui. Et surtout, de ne pas être du genre à coucher à gauche et à droite continuellement. Pas comme toi, tout simplement. Et t'es complètement d'accord sur le fait qu'elle mérite tout ça.

T'as beau avoir été un peu calmé dans tes ardeurs, elles se réveillent aussitôt que tu te concentres de nouveau sur la séance photos. A voir ses pointes se dresser si joliment à la caresse de la soie qui glisse sensuellement ... T'aimerais tellement la caresser du bout de tes doigts. Et faire naître la chair de poule sur ton passage délicat. Juste pour lui rappeler qu'elle n'est pas insensible à toi. Et espérer la voir succomber, finalement. De nouveau, les choses s'emballent. C'est surtout toi qui t'emballes en fait. Toi qui as besoin d'une pause, encore. Qui t'éloignes pour retrouver ton souffle et avaler un peu d'eau fraîche. Comme si ça allait suffire à faire de nouveau retomber la température de ton corps. Toujours en surchauffe quand t'es avec elle, c'est assez incroyable ... Mais ça ne t'aide en rien. Pire, tu l'observes de loin et tu fonds. Tu tombes toujours plus avec/pour elle. Tu ne sais pas pourquoi ni comment. Tu sais juste que t'as parfois la sensation de tomber de plusieurs mètres de haut quand elle fait des trucs comme ça. T'es à peine conscient du fait qu'il ne puisse s'agir uniquement de désir purement sexuel. T'as l'impression de ne connaître que ça toi. Tu t'es épris d'une femme au moins une fois, bien sûr. Sans quoi tu ne serais pas fiancé à l'heure actuelle. Mais ça n'a pas duré bien longtemps. Et t'as pas l'impression que ce soit la même chose là.

Briannah, elle a vraiment le don de te rendre complètement fou. Elle sait exactement quoi faire pour que tu t'enflammes. Elle te le prouve encore en t'invitant à t'occuper toi même des paillettes pour les étaler sur son corps. Aucun risque que t'ais besoin de te faire prier. T'es déjà en train de tracer une ligne épaisse de ces paillettes dorées sur une bonne partie de son corps. C'est évidemment de façon tout ce qu'il y a de plus volontaire, que t'es venu t'installer au dessus d'elle pour ça. C'est plus simple pour te concentrer sur ta tâche, bien entendu. Mais il n'est pas uniquement question de ça. C'est une excuse comme une autre pour avoir cette position de dominant sur elle. Lui offrir un aperçu de la chose, quand bien même tu fais en sorte d'éviter les contacts trop poussés. Tu ne tiens pas non plus à ce qu'elle ait ton érection collée à son bas ventre ou à une hanche. Qu'elle puisse l'apercevoir et la constater de temps à autre, étant bien suffisant à ton goût. Je ne vais pas te toucher sans ton consentement Briannah. Que tu lui réponds avec beaucoup de douceur, en plantant brièvement ton regard dans le sien. Tes yeux juste assez longtemps sur son visage pour que tu vois qu'elle est encore une fois en train de mordre sa lèvre inférieure.

Tu serres les dents pour ne rien dire. Pour ne surtout pas t'emballer. Quand enfin tu termes et peux t'échapper à cette peau qui se recouvre bel et bien de chair de poule quand tu passes tes doigts dessus. Ton souffle chaud sur sa peau pour étaler un peu plus les paillettes et le tour est joué. Tu ris à sa remarque suite à ton ordre. De quoi te faire lever les yeux au ciel, par la même occasion. Tais-toi donc ! Le ton est plus à l'amusement qu'à l'ordre cette fois. En te relevant pour de bon, t'attrapes ses mains. Et suis moi ! Toujours le même ton alors que tu l'aides à se relever. Evitant de justesse que vos corps ne se heurtent. Uniquement parce que t'as pas envie de gâcher le travail sur son corps. Tu ne gardes que l'une de ses mains dans la tienne pour lui passer devant et rejoindre le mur peint de noir devant laquelle tu la positionnes. De nouveau tu joues des lumières. De sorte à faire briller les paillettes sur ses courbes alléchantes. Tu fais des tests derrière ton appareil puis tu reviens près d'elle. Trop près. Du bout de tes doigts, tu déplaces ses mèches de cheveux. Une moitié dans le dos, l'autre qui s'écoule en cascade sur ses épaules délicates. Je te laisse jouer de nouveau. Offre moi tes meilleurs profils ... Et meilleures positions. Que tu souffles, encore. Avant de t'éloigner, à reculons, pour recommencer tes photos.

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T'as beau très bien comprendre les raisons qui poussent la jeune femme à ne pas se donner à toi, t'en n'es pas moins frustré. Il faut dire que, de plus en plus, elle te trouble. Ce n'est pas comme si tu fantasmais sur un corps que tu ne faisais que deviner. Pour le coup, tu le connais par coeur le sien. Au point d'avoir été capable de la redessiner simplement de tête. Ses tatouages inclus. Elle est parfaite, à ton goût. Et t'as envie de bien plus que de juste la toucher du bout des doigts quand tu viens parfaire les tableaux. Tu veux tatouer sa peau à l'encre invisible déposée du bout de tes lèvres. Tu veux la goûter de la pointe de ta langue. Tu veux te fondre en elle. En elle, autour d'elle, contre elle. Tu veux te perdre entre ses bras délicats et l'embrasser à en perdre le souffle. Tu te demandes souvent d'ailleurs, quel goût ont ses lèvres. A cause de la jolie forme de coeur de sa bouche, tu les imagines avec un délicat goût fruité. Tu sais pas pourquoi. Tu t'emballes certainement pour rien. Mais putain ce que t'aimerais les goûter. La goûter elle, toute entière. Et arracher quelques feulements bien sentis à sa gorge délicate dans la foulée. Tu profites de pouvoir poser tes mains sur ses courbes, pour le faire. Tes doigts parcourent et dessinent, tes paumes étalent et ton souffle caresse une ultime fois. Avant que tu ne t'éloignes.

Sur des mots presque boudeurs de la jeune femme. Tu poses un regard un peu surpris sur son visage. Tu te dis que t'interprètes mal. Qu'elle n'est pas du tout en train de bouder ou quoi que ce soit de ce genre. Tu te dis qu'elle joue encore la comédie, elle qui sait si bien faire ça pour vos séances photos. Qu'elle boude vraiment ou pas, elle prend la pause la jolie gamine. De façon plus ou moins lascive et provocatrice. Elle maîtrise toujours tellement bien cet art là qui consiste à te provoquer et à te rendre fou. Tu sais que tu ne dois pas tout prendre pour toi. Mais c'est parfois compliqué, tant elle te fait de l'effet. T'aimerais surtout qu'elle ne s'arrête jamais de faire ça. Tu t'es beaucoup trop habitué. Et plus encore, t'es beaucoup trop accro pour que ça change désormais. Tu la regardes maintenant jouer devant ce mur sombre devant lequel sa peau contraste à merveille. Les paillettes qui brillent sous la lumière dirigée droit vers elle. Qui donne un autre aspect à ses courbes. Qui les prononce selon la position qu'elle prend. Tantôt d'un côté, tantôt de l'autre, face à toi, les bras levés et réunis loin au dessus de sa tête, une jambe repliée ou pas, les jambes croisées ou non. Elle fait de nouveau battre ton coeur beaucoup trop fort. T'es presque persuadé qu'elle peut l'entendre. En tout cas toi, tu l'entends. Et tu le sens très bien alors qu'il fait pulser ton sang plus au sud de ton corps. Tu brûles à petit feu Nich. Tu comprends pas qu'une séance te fasse tant d'effet. Surtout en considérant le nombre d'autres séances que vous avez réalisé ensemble tous les deux, jusqu'à présent.

T'es ramené sur terre par la voix de la jeune femme, justement. Elle qui hante continuellement tes pensées, jusqu'à te faire rêver d'elle bien trop souvent. T'entends sa voix même lorsqu'elle n'est pas prêt de toi, c'est dire. Il abaisses ton appareil pour croiser son regard directement du tiens. Et laisse tout naturellement tes yeux flirter avec ses fesses sous lesquelles elle glisse justement ses doigts. Touche pas ! Que t'ordonnes spontanément. Avant de te débarrasser de ton appareil que tu poses sur le lit. Tu récupères les paillettes et en fait tomber une bonne partie dans l'une de tes paumes. Tu frottes les deux ensemble en t'approchant d'elle. Tu te places dans son dos, le regard rivé sur sa croupe offerte. Et finalement, tu viens poser tes mains bien à plat sur la forme arrondie. T'appuies un peu avant d'aller jusqu'à pincer avec douceur. Provocation. Tu profites, bien sûr. T'es pas idiot au point de ne pas comprendre qu'elle a envie de tes mains sur elle, cette fois ci. C'est prétendre le contraire qui serait vraiment con. Ou preuve d'une folle naïveté. T'as encore tes mains bien en place quand tu t'approches un peu plus. Assez pour qu'elle devine ta présence toute proche, près de son dos. Ton bassin séparé de ses fesses uniquement par tes mains.

Tu sais ... T'as juste à le demander si tu veux mes mains sur toi. Que tu lui susurres, la chaleur dans la voix, la douceur dans le ton. Ton souffle chaud qui vient doucement caresser sa nuque en partie dévoilée par les mèches claires qui coulent en cascade soyeuse. Ce serait dommage de se priver en sachant qu'ils ont clairement envie de bien des choses ensemble, tous les deux. Et parce que t'as bien assez de photos avec ces paillettes que tu as préalablement installées sur sa peau, tu peux te permettre de modifier le tableau. Raison pour laquelle tu fais lentement remonter tes mains. Evitant juste de déformer les traces bien définies de tes cinq doigts dessus. Pour aller courir sur ses hanches, remonter sur ses flans, sur son ventre plat retracer l'arrondi de ses seins du bout de tes index. Elle a clairement envie que tu la touches ta jolie muse. Tu ne vois aucune raison de lui refuser ça. Il s'agit d'une occasion qui ne se représentera sans doute pas de sitôt. T'as pas envie de la laisser filer. Alors qu'elle te l'offre sur un plateau d'argent. Peu importe le fait qu'il ne s'agisse finalement que d'une torture sans nom. Parce qu'elle ne va pas se donner à toi après tout ça et que tu le sais. Tu vas juste pouvoir prendre une douche froide pour faire retomber tes ardeurs.

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You should treat a muse like a fairy.

Comprendre les raisons pour lesquelles la jolie Briannah se refuse à toi, est loin de rendre la situation plus facile à accepter. C'est même tout le contraire. Parce que sa virginité a plutôt le don de te donner plus envie d'elle encore. Ce que tu t'es toujours bien gardé de lui faire remarquer. T'es certain de ne pas être le premier à ressentir ça. Les autres doivent même davantage insister. Excités au possible par l'idée de déflorer la belle. Là où toi tu penses plutôt qu'elle a raison de se préserver pour un type qui saura la mériter. Et ce type ne peut décemment pas être toi. Toi qui cours continuellement après les minettes, tu ne peux prétendre mériter qu'elle s'offre et s'ouvre à toi, c'est une évidence. Mais t'as beau vouloir te la jouer gentleman au possible, t'es toujours salement perturbé par elle. Certaines fois plus que d'autres d'ailleurs. Cette séance par exemple, prend une tournure presque trop brûlante à ton goût. Impossible pour toi de ne pas être plus excité que jamais alors qu'elle prend un malin plaisir à te provoquer. Elle ne te laisse pas même le temps de redescendre en pression. Elle enchaîne. Trop vite à ton goût. Elle t'excite. Non stop. Mais à tous les coups tu réponds. Tu fonces droit dans les portes qu'elle t'ouvre. Tes mains sur ses fesses en sont le parfait exemple. T'es tenté de faire plus encore, bien entendu. T'as envie de perdre tes doigts fins entre ses cuisses. Juste pour t'assurer que t'es pas le seul à être vraiment très excité par la situation. Mais tu te retiens de le faire.

T'as la moue de l'innocence à lui offrir, quand elle bascule juste assez la tête en arrière pour trouver ton regard du sien. Ses prunelles d'ordinaire si claires, qui semblent une teinte plus foncée en cet instant. T'as vraiment la sensation qu'elle est dans le même état que toi. Joueur, tu laisses tes mains errer sur ses courbes. Elle a bien assez joué comme ça, il est temps que t'en fasses de même. Temps que tu lui rendes la monnaie de sa pièce ... Et ça fonctionne. En témoigne son gémissement quand tes mains arrivent sur ses seins magnifiques. Un son qui te fait l'effet d'une bombe. Quelques secondes, tu fermes les yeux. Pour tenter de revenir à toi et de ne surtout pas t'emballer. Il ne le faut pas ! Surtout pas ! Malgré la sensation qui t'électrise tout entier et te fout la violente envie de te coller plus encore à elle. A ces courbes qu'elle offre bien volontiers à ton regard et à ton appareil photo. T'es trop près d'elle en cet instant, pour ne pas remarquer comme elle tremble et vibre contre toi. Juste de quoi faire gonfler ton envie d'elle, ton envie de te perdre contre son corps brûlant. Envie de l'embrasser aussi. Une furieuse envie de ça. Plus encore lorsque le son de sa voix se fait de nouveau entendre. Des mots qui te font te redresser dans son dos. T'es pas sûr de savoir comment tu dois interpréter cette semi-confession. T'as pas envie d'essayer. Tu préfères qu'elle te le dise plus clairement.

Tu ne te recules pas quand elle même pivote sur place pour te faire face. T'arrives pas même à sourire tant t'es troublé. D'ordinaire quand t'es si proche de son corps nu, c'est que t'as l'intention de replacer quelque chose ici ou là dans le tableau qu'elle t'offre, pour que ce soit assez parfait à ton goût. Mais c'est loin d'être le cas en cet instant. Et tout naturellement, ton regard vient se heurter à ses lèvres qui te font penser à un fruit juteux en cet instant. Dans lequel t'as une sacrée envie de mordre ... Elle en rajoute une couche pour être bien certaine que tu piges le fond de sa pensée, en posant ses avant bras sur tes épaules pour t'attirer à elle. Tu te rapproches sans te faire prier. Le regard qui n'a de cesse d'aller du sien à sa bouche. Elle se rapproche encore. Ton souffle se fait plus court, ton coeur plus rapide. Vos respirations s'entremêlent l'une dans l'autre alors que vos nez viennent doucement se frôler. T'aimes ce genre de rapprochement. T'aimes la douceur qui en émane. La sensualité grandissante aussi et surtout. A leur tour, tes doigts se faufilent sur son visage. Laissent deux traînées de paillettes sur chacune de ses joues joliment arrondies. Tu prends ses baiser avec un étonnant plaisir. Alors même qu'ils sont tout ce qu'il y a de plus chastes et innocents.

Et tu ne tardes pas à lui rendre la pareille d'ailleurs. Tes lèvres déposent des baisers délicats ici et là. Son menton, sa mâchoire, une joue, une tempe, le front, le bout du nez et même le creux de son cou pour t'éloigner temporairement de sa bouche. Mais t'y reviens. Baisers qui se rapprochent. De nouveau la mâchoire. Avant de t'arrêter sur la commissure de ses lèvres. Rien qu'un baiser délicat avant d'en voler un à ses lèvres. Le contact t'arrache un violent frisson. Tes doigts se crispent légèrement sur ses joues qui leur sont toujours prisonnières. Tu redresses un peu le visage pour planter ton regard dans le sien. T'assurer qu'elle en a autant envie que toi et qu'elle n'est pas en train de changer d'avis. Avant d'enchaîner. Tu lui voles un autre baiser tout aussi doux. Puis un autre. Et encore un autre. Rien que des smacks presque enfantins. Mais qui ont le don de te réchauffer. La chaleur semble irradier de tout ton corps. Et ça ne s'arrange pas lorsque tu presses plus sérieusement ta bouche sur la sienne pour l'inciter à te rendre ton baiser. Et à l'offrir à ta langue qui vient déjà frôler. Joueuse et délicate. Tu la goûtes avec gourmandise. Un soupir mélangé à un gémissement étouffé, t'échappes tout de suite. Elle a un goût fruité. Tout en douceur, à son image. Tu te laisses tomber pour de bon dans le tourbillon de sensations qui te percutent de toutes parts. Qui t'englobent et font battre ton coeur tellement plus vite ... Cette fois t'en es bien sûr, tu n'as jamais ressentis ça.

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T'as l'habitude de devoir te retenir avec elle. Garder autant que possible tes mains pour toi même. Mais l'air de rien, elle vient de te faire saisir qu'elle crevait d'envie de tes mains sur elle. C'est bien la première fois qu'elle se laisse ainsi aller au point de même te le demander. Quand bien même ce n'était pas tellement prévu départ, tu viens donc profiter des paillettes sur tes mains, pour les poser sur son si parfait postérieur. Tu profites pour te rapprocher plus encore d'elle, sans grande surprise. Assez près pour constater qu'elle est frémissante et gémissante, pour ton plus grand plaisir. T'as forcément envie de continuer toi. Et tu ne te fais pas prier pour le faire. Ton souffle vient doucement caresser sa nuque où ses cheveux volent légèrement. T'es de plus en plus conscient de l'effet que t'es en train de lui faire. Et t'as énormément de mal à résister à la tentation de plus encore. Si ça ne tenait qu'à toi, tu la tripoterais davantage encore. Tu la sens qui frissonne toujours plus fort au passage délicat de tes doigts sur sa peau. T'as tout de suite un sourire démesuré sur la tronche. Parce que tu sens que ton désir est de plus en plus partagé. Et que t'as la quasi certitude qu'avec le temps les choses évolueront dans le sens que tu rêves de voir arriver. T'as aucune idée de ce qu'il adviendra de toi si ça n'arrive finalement pas. Tu sais que tu ne dois pas te faire de faux espoirs. Mais elle est en train de t'en offrir une tonne là.

Sa confession te prend de court. Pour appuyer ses propres dires, elle pivote pour te faire face et se rapprocher encore de toi. T'es autant perturbé par son corps uniquement vêtu d'une pluie de paillettes presque collé au tiens, que par ses lèvres de plus en plus proches des tiennes. L'envie de la plaquer contre le mur pour l'embrasser à en perdre haleine, te brûle les reins. La sensation est folle. Mais t'as pas le droit. Non, t'as pas le droit, pas vrai ? Tu ne dois pas t'emballer. Tu ne dois pas t'imaginer des choses sous peine d'être rapidement déçu. Vos visages ne tardent pas à se chercher l'un l'autre. Vos nez se frôlent et vos lèvres se rapprochent plus encore. T'as le coeur qui bat bien trop fort. T'en perds complètement le contrôle de celui là. Il te fait presque mal le con. Tu ne tardes pas à jouer un peu. Tes lèvres embrassent ici et là. Tu réponds à ton envie avec douceur. De peur de trop t'emballer et de te crever sur place. Elle réagit à chacun de tes baisers. Plus encore lorsque tu t'attardes au creux de son cou. Tu notes dans un coin de sa tête que ça semble être un endroit pour le moins sensible chez elle. Ce qui te plait pas mal. Depuis le temps que tu rêves de mordiller sa peau fragile à cet endroit ... Mais maintenant, tu meurs d'envie de goûter enfin à ses lèvres. Elle ne s'est pas du tout reculée. Ce qui doit forcément signifier qu'elle n'est pas en train de changer d'avis ...

Du bout des lèvres, t'embrasses enfin les tiennes. Cette fois c'est clair, ton coeur se fait la malle alors que tes poumons de leur côté, se vident de tout l'air qu'ils contenaient jusque là. La tension au creux de tes reins se fait insupportable. Pourtant, c'est un baiser toujours aussi tendre que tu voles à ses lèvres. Il ne te faut guère longtemps avant de lui offrir un véritable baiser. Ta langue se faufile entre ses lèvres pour filer à la conquête de la sienne. Pour envahir sa bouche toute entière surtout. Et elle te ne le rend bien. Une décharge électrique te traverse tout entier dès l'instant où vos langues se rencontrent. Impossible pour toi de ne pas t'imaginer te perdre entre ses cuisses après ça. T'en crèves forcément d'envie. Tu n'oses même pas penser aux sensations folles que ça provoquerait dans l'ensemble de ton corps. Ça pourrait t'crever, qui sait ? Tes lèvres dansent plus sexuellement encore avec les siennes alors que vos langues flirtent sévèrement ensemble. T'as le coeur qui bat dans ton bas ventre. C'est une véritable torture. Mais une délicieuse, sexy, parfaite torture. Que t'as envie de prolonger aussi longtemps que possible. T'es concentré sur les folles sensations qui continuent de te tirailler, au point de ne pas remarquer qu'elle te fait reculer. T'en prends conscience uniquement quand tu bascules en arrière.

Ton regard assombrit par le désir, se plante dans celui de la jeune femme qui se dresse fièrement devant toi, toujours en tenue d'Eve. T'as plus aucun mot qui franchit la barrière de tes lèvres. Elles même trop occupées à l'embrasser encore et encore de toute façon. C'est de nouveau le cas aussitôt qu'elle est penchée sur toi. Son corps nu collé au tien. Tes mains se logent une nouvelle fois sur ses fesses. Se font plus caressantes tandis qu'elles remontent dans son dos. Le bout de tes doigts taquinent la chute de reins et se faufilent ensuite le long de sa colonne vertébrale que tu peux sentir sous la peau fine. Elle souffle ton prénom, tu cherches son regard du tien. T'es incapable de penser. Uniquement de ressentir. Et t'en ressens des choses démesurées ... Comment tu fais ça ... ? Que tu souffles d'une voix à peine audible. Question rhétorique dans le fond. Tu sais pas comment elle fait pour te retourner le cerveau de la sorte. Et le corps, au passage. Et tu ne doutes pas qu'elle n'en saura pas plus que toi en retour. Elle qui se laisse certainement porter par la vague. Elle et son peu d'expérience en la matière. Elle s'imaginera sans doute même que t'as ce genre de réactions et de mots avec toutes les femmes avec lesquelles tu termines les shooting, vos corps entremêlés. C'est pas le cas du tout pourtant. Mais tu ne te vois pas t'en défendre. T'es tellement ... Sexy ... Et brûlante... Que tu souffles tout bas, en caressant encore son dos de tes doigts pailletés.