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 (hot) flag of the beast ± trishua

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Message Sujet: Re: (hot) flag of the beast ± trishua   (hot) flag of the beast ± trishua - Page 3 Empty Lun 9 Sep - 4:21



flag of the beast
Joshua - Tri

«Quand on peut user de violence, il n'est nul besoin de procès.» thucydide
T'apprécies bien trop ça, lorsque le tatoué abdique à ta proposition et qu'il vient se défaire de ses vêtements. Tu n'manques pas d'lui faire remarquer qu'il aurait pu partager sa bière, ou n'serait-ce que penser à ramener ta vodka. Bah ouais quitte à boire un coup, autant pas l'faire en solo. Ta curiosité à toi est piquée lorsqu'il ajoute ne pas avoir forcément regardé ta veste, et qu'en plus de ça, trois années se sont passées depuis qu'il s'est éloigné du milieu. Un sourire malsain s'étire sur tes lippes. "Ah parce que t'as traîné dans les sales affaires? J'me souviens pas avoir vu ta gueule chez les hells en tout les cas. Saraï était du genre tatillonne sur ses recrues." Qu'tu lances en y réfléchissant un instant. Comparé à Ezéchiel et son envie de gonfler à nouveau les rangs des outlaws, tu n'peux que saluer la qualité des rangs des hells. Ca manque d'anciens, chez vous. D'vieux d'la vieille n'hésitant pas à éclater les mâchoires contre le pavé. Et puis t'as bien dû frapper sur la gueule de chacun des bleus rejoignant vous rangs, tu t'serais souvenue si t'avais croisé l'tatoué plus tôt dans ta vie. T'as généralement bonne mémoire en ce qui concerne les visages que tu viens abîmer de tes poings vengeurs. "Et j'aurais pu la partager, ma vodka si t'avais pas été égoïste. J'ai bien fini par t'partager mes gazelles l'autre soir." qu'tu t'indignes faussement. T'as pas vraiment l'envie d'lui rentrer dedans toute en violences comme votre rencontre, t'as plus envie d'voir c'qui ce cache derrière ces muscles et ces tatouages. Voir de quel bois Joe peut-être fait.

Il gagne finalement l'eau, qui vient s'élever un peu plus manquant presque de déborder avec vos deux carcasses immergées. Il s'amuse encore, finalement apaisé de ton petit coup de pression imposé lors de votre entrée dans ton appartement. T'pas du genre à t'laisser faire, et combien même ça l'fait grogner le tatoué, tu sais qu'il aime ça. "Mouais. J'rajoute de l'art sur de l'art, tu devrais t'estimer heureux." Que t'ajoutes lorsqu'il dit préférer profiter de son encre plutôt que des ecchymoses que tu lui offres. Tu t'demandes s'il a bien profité de ces quelques semaines de repos, après que tu l'aies fait dérouillé si fort la première fois. Faut dire, que c'était sacrément bandant que de pouvoir enchaîner les coups sur sa couenne pour venir noircir son épiderme. Puis vient le moment qu'il devait attendre avec impatience, le début de ton récit. Celui sur les jeunes faux, la manière dont vous avez été récupérés, où vous avez étés emmenés. Dans le froid sibérien, loin de toute aide autre que celle prodiguée par l'armée à coup de torture, de violence et de maltraitance. T'es devenue plus forte, tes os se sont épaissit à force de se briser à force d'essuyer les coups. Car Siém et toi étiez les boucs émissaires, considérés comme les plus faibles jusqu'à ce que vous veniez à leurs prouver le contraire.

Tu prends ton temps, perds ton visage dans l'aube à présent bien présente le soleil venant se dessiner au loin à travers les immeubles vous couvrant la vue. Tu lui expliques le destin funeste de ceux n'ayant survécu à cet entraînement ayant duré dix ans. Deux vies ôtées volontairement de vos mains, l'une égarée dans le désert glacé de Lakoutsk. Parce que t'as pas pu protéger ta soeur à l'époque, parce que t'étais déjà bien trop occupée à veiller sur Sept. Ton visage est littéralement absorbé par l'extérieur et au jour se levant venant illuminer vos carcasses abîmées trônant dans la baignoire. Tu ne regrettes pas, cette vie que l'on t'as imposée. T'es fière de la femme que t'as réussi à devenir, la bête hargneuse, violente, ayant réussi à fuir l'étau de l'armée. Parce que t'aurais pu passer ta vie entière à leurs bottes, t'aurais pu accepter d'évoluer comme militaire, devenir instructrice, à ton tour casser les os des jeunes faux. Mais tu pouvais pas, supporter de voir ces enfants souffrir comme vous aviez souffert. C'était bien trop pour toi, bien trop pour que tu puisses l'accepter en courbant l'échine. Alors t'as fuis, en prenant un petit oiseau aux ailes tuméfiées sur ton épaule pour l'arracher à son destin funeste. Parce qu'elle aurait peut-être la chance de vivre la vie qu'on ne t'as pas accordée combien même tu méritais d'y prétendre.

Ce qui est fait, est fait. Tu es désormais une arme de destruction massive, une assassine aguerrie n'hésitant pas avant de faucher les âmes. Tes poisons sont les plus redoutables qu'il soit. T'as travaillé ton art jusqu'à atteindre la perfection. Les combats au corps à corps. Le maniement des armes à feu et armes blanches. La création d'explosifs. Tu es la seule des quatre faux restante à t'être intéressée au domaine des autres, pour ne pas te laisser mettre hors circuit par tes frères. Car c'est toi qui les enverras tout droit dans la tombe, et non pas l'inverse. Si l'une des faux doit survivre à tout ça, ce sera toi. Tu laisse la pointe de l'un de tes pieds venir effleurer la cuisse de Joe, pendant que tes opales assombries dans une teinte verte profonde se reportent dans les siennes orageuses. Le ton que tu emploies se veut traînant, lascif alors que tu viens finalement gagner ses côtés en surplombant son corps du tien. Ses mains trouvent tes fesses pendant que tes jambes viennent se nouer autour de son bassin, au moins aussi brûlant que l'eau chaude vous immergeant. La voix du tatoué vient t'agacer un peu plus, alors que t'accoles ta poitrine dénudée à son torse recouvert d'encre. "J'te fais déjà de l'effet." Qu'tu lui lances, en faisant référence à son intimité bien réveillée contre ta croupe que tu frottes contre lui, un sourire carnassier s'étirant sur tes lèvres pendant que ces dernières effleurent celle de Joe.

Tu n'vois pas le but d'faire dans la demie mesure avec lui, depuis votre rencontre vous l'savez que vous êtes faits pour vous entraîner dans les ténèbres l'un l'autre. Y'a qu'à voir la façon dont ses poings venaient cogner furieusement contre ta cage thoracique alors que tu te débattais comme une diablesse pour échapper à son étreinte. "A mes dix neuf ans, je me suis faite connaître à Chicago comme l'empoisonneuse. Cinq cadavres, quatre scènes de crimes, quatre poèmes abandonnés. Un simple contrat, tourné en amusement pour mon bon vouloir." C'que tu t'es donnée en spectacle à ce moment là. Ce que tu t'es délectée du chaos laissé dans ton sillage. Parce que t'étais puissante, que tu ne réfléchissais pas avant d'agir et que tu te contentais de tout prendre comme un jeu. Y compris cet agent du FBI, avec lequel tu as repris contact lors de ton retour. Comme un pion que tu pourrais abattre au moment opportun pour venir faire échec et mat peut importe le tableau. "Cinq politiques, hommes et femmes importants ayant récoltés des informations sur notre programme d'éducation de soldats, sur nous. Je me suis faite un plaisir de les réduire au silence. J'ai d'abord commencé par le couple... J'ai éteint la femme devant les yeux d'son mari, en lui ayant promit l'antidote pour sauver sa peau. Dommage, il aurait eu plus de chance s'il avait tenté d'sauver son épouse..." Qu'tu fais mine de remarquer tout en marquant une légère pause. C'bâtard avait préféré voir sa femme clamser d'ton poison plutôt que de lui sauver la vie en s'dévouant. Résultat, t'es toujours debout et eux reposent six pieds sous terre.

Tu viens lui chuchoter également tout contre le creux de son oreille, que tu ne comptes plus les âmes que tu as pu éteindre. Parfois succombant à tes poings, à ton poison, tout simplement à ta colère. Parce que t'es la déesse de l'hiver Tri. Comme ton tatouage l'indique, première femme ayant survécu aux faux. Première arme de destruction massive aux traits féminins, possédant mille et un personnages à son arc pour pouvoir s'immiscer au mieux lors de ses contrats. Parce que tu possèdes de nombreux masques, tous t'allant comme un gant. Parce que toi et tes nombreuses identités, vous vous perdez souvent pour vous confondre. Que c'est dur, pour quelqu'un comme toi d'rester ancrer dans la réalité sans s'égarer. Et pourtant, t'es toujours là à susurrer dans le creux de l'oreille de Joe les diverses atrocités que tu aies pu commettre laissant tes dents à présent venir maltraiter la peau de sa jugulaire pendant que tes doigts referment leurs étreintes tout contre son épiderme. Tu n'le laisseras pas s'enfuir l'tatoué. Pas après qu'il t'aies tant donné envie d'le posséder, lui n'étant pas effrayé mais bel et bien excité par le monstre que tu es.


(c) DΛNDELION


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Message Sujet: Re: (hot) flag of the beast ± trishua   (hot) flag of the beast ± trishua - Page 3 Empty Mar 10 Sep - 16:30




Flag of the beast.
It's the moment of truth and the moment to lie
The moment to live and the moment to die
The moment to fight, the moment to fight
To fight, to fight, to fight!



C'est un regard noir que t'offres à la rouquine quand elle sous entend encore une fois que t'aurais jamais été à la hauteur de son gang à la con. C'est peut-être vrai. Et tu t'en tapes bien. Tu ne supportes juste pas ses grands airs. Sa condescendance à ton égard que t'as envie de lui faire ravaler. Pas chez les hells. Arrête de m'briser les couilles avec eux putain. Que tu grognes, finalement sans en dire plus. Elle n'a pas besoin de savoir. Elle n'a pas besoin d'en connaître plus à ton sujet de toute façon. Qu'elle se raconte si elle en a envie et qu'elle rabâche au sujet de son gang, si ça lui chante. Toi, tu ne lui dois absolument rien. Toi, t'as pas balancé que t'étais prêt à discuter et à lui raconter ta petite vie. Tu grondes et fais ouvertement rouler tes yeux dans leurs orbites quand elle insiste à propos de cette bière que tu n'as pas partagée. Alors qu'elle même a été si généreuse lors de votre précédente rencontre, avec ses deux minettes du soir. P'tain mais t'es une vraie gonzesse en fait. A râler et t'plaindre comme ça. T'as pris trop d'coup sur l'crâne ? Que tu fais mine de vraiment t'interroger, en posant un regard peu amène sur son visage. Tu ne te rappelais pas d'elle aussi emmerdeuse. Et en même temps, faut bien dire que la fois dernière vous n'avez pas des masses eus l'occasion de discuter tous les deux. Vous n'avez même fait que baiser.

Néanmoins tu finis par entrer dans l'eau du bain en sa compagnie. Par te préparer à écouter ses récits qu'elle promet d'horreur. T'es pas sûr que ce soit suffisant à t'effrayer. Mais tu restes ouvert à tout ça. T'es tout ouïe quand elle entame le récit de sa vie. Qui n'a, effectivement, absolument rien d'un conte de fée. Tu restes concentré sur ce récit que tu ne t'attendais pas à entendre un jour. Tu ne pensais déjà pas la revoir la rouquine. Alors en apprendre autant à ce sujet ... T'es quand même pas surpris d'apprendre qu'elle est née pour devenir une véritable machine de guerre. Et uniquement ça. Elle est probablement dénuée de tout sentiment humain Houna. T'en viens alors tout naturellement à te dire qu'il y a une raison pour laquelle elle ne s'est pas contentée de te tuer cette fameuse soirée là. Tu ne poses pas de question pourtant. Tu te contentes de pincer les lèvres et d'écouter la suite. D'apprendre à quel moment de sa vie elle est officiellement devenue une tueuse. D'écouter comme elle a continué ça par la suite, sans une once de sentiment. Comme les morts sont arrivés, les uns après les autres autour d'elle. Souvent de sa main. Elle conte encore ses jolies horreurs, quand de son pied elle vient provoquer ta peau immergée dans l'eau. Elle s'est tue un petit moment, quand elle se décide à remuer plus encore pour venir à toi. Elle vient s'installer à califourchon au dessus de toi. Frôlant sans surprise ton désir apparent.

Moi qui espérais être discret ... Que t'ironises alors que ses lèvres viennent frôler les tiennes. Caresse délicate et à peine perceptible. Mais tu ne peux définitivement pas alors qu'elle frotte outrageusement son postérieur à ton érection. Tu penches légèrement la tête sur le côté pour l'observer quand elle reprend son récit. De nouveau tu dévores tous les mots qu'elle souffle sans la moindre trace de culpabilité. T'aimes ça, forcément. De quoi te faire toujours plus sourire alors que tu continues d'écouter avec intérêt. Une vraie tueuse en série. Que tu t'amuses presque, quand elle mentionne ses aventures à Chicago et son histoire de poème. La signature d'une tueuse expérimentée qui ne craint pas le moins du monde de se faire attraper et coffrer. Mais tu comprends un peu mieux d'où elle vient et la raison pour laquelle elle ne se séparera jamais de la haine qui l'habite. Elle ne peut pas. Pour la simple et bonne raison qu'elle est née et a grandit avec. Qu'elle fait partie intégrante de sa personnalité. D'elle toute entière. Elle est dénuée de tout sentiment. Elle le prouve toujours plus dans ses récits. Dans cette façon qu'elle a eut de tuer une innocente sous les yeux de son époux pour le faire parler, en vain. T'as tué pour la première fois ce soir Joe. T'es pas encore en mesure de savoir ce que ça te fait. T'es bien trop captivé par les histoires de la rouquine au corps esquinté, qui te domine par la position.

T'es bien trop excité aussi. Et surtout. Quand l'une de tes mains trempée se perd dans ses cheveux roux et s'y accroche pour lui faire légèrement relever la tête pour que vos regards se retrouvent. Et que l'autre se dirige entre vos corps. L'incite à se redresser légèrement pour guider ton désir à son entrée. Que tes doigts remontent sur sa hanche pour qu'elle descende et te reçoive tout entier en elle. T'appuies plus encore sur le corps abîmé pour pénétrer en profondeur. Qu'elle palpite autour de toi. Encore ... Que tu grognes, animal, d'une voix chaude et profonde. Désireux de toujours plus de ces détails qu'elle vient chaudement souffler à ton oreille. Tu les aimes ses histoires. Tu pourrais la baiser en l'écoutant les raconter dans les détails, les unes après les autres comme elle le fait déjà si bien. Tu te savais sadique et sans coeur, Joe. T'ignorais juste à quel point tu pouvais l'être. Tu le réalises maintenant que t'es salement excité par ces mots sanglants. Et que tu demandes à en avoir plus encore alors que t'es plongé bien au chaud dans ce corps qui a subit et fait subir tant d'atrocités.

CODAGE PAR AMATIS



@Houna Tchernychev   (hot) flag of the beast ± trishua - Page 3 4113627247
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Message Sujet: Re: (hot) flag of the beast ± trishua   (hot) flag of the beast ± trishua - Page 3 Empty Mer 11 Sep - 18:27



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Joshua - Tri

«Quand on peut user de violence, il n'est nul besoin de procès.» thucydide
T'aurais pu t'contenter d'l'éteindre, le tatoué lors de votre première rencontre. Choisir une autre seringue, v'nir lui planter tout pareil dans la carotide pour y déverser un poison différent, mortel. Tu t'serais contentée d'regarder sa carcasse s'tortiller au sol dans d'atroces souffrances. T'aurais pu. A la place, tu t'es contentée d'un peu d'etorphine pour venir l'assommer et l'ramener sur ton épaule pendant qu'l'une de tes poulettes s'occupait d'la victory. Après mûres réflexions, t'es venue à la conclusion qu'si le barbu est toujours en vie c'est parce que t'as été impressionnée par la vigueur de la rage qui s'est mise à le brûler en quelques instants après qu'il ai cédé à tes provocations. Il t'as bien rendu les coups, t'as porté fièrement ces ecchymoses sur ta peau tuméfiée. Quitte à être cognée, autant qu'ça soit par quelqu'un qui sache le faire. T'as horreur de ceux qui cognent mais qui sont incapables d'bien placer leurs coups. T'aimes pas les p'tites frappes toi Houna, c'que t'aimes c'est les grands méchants loups. Ceux qui n'hésitent pas à enfoncer leurs crocs aiguisés dans les chaires pour les déchirer et faire jaillir le sang d'leurs entrailles. Ceux qui savent encaisser tes coups sans broncher, tout-en en redemandant encore. Comme avec Joe cette fameuse nuitée.

Et vous voilà quelques semaines plus tard dans cette baignoire assez grande pour recevoir sans mal vos deux carcasses. Vous en avez assénés des coups ce soir encore, mais pas l'un contre l'autre. Ce soir, c'est ensemble que vous vous êtes battus. L'un avec l'autre. C'est pas quelque chose qu'tu fais généralement, t'préfères bien plus les aligner tous de ta main, mais faut dire qu't'as pas eu le choix, et qu'il tombait foutrement bien. Alors t'as partagé, soixante/quarante, parce qu'il faut pas déconner. C'était tes cibles à la base. Mais faut dire aussi qu't'as bien trop apprécié le spectacle offert par l'tatoué alors que tu lui intimes de faire tomber la muselière et d'tomber avec toi dans ton monde où la mort règne. D'voir ses poings aller jusqu'à enlever la vie, tes seringues s'agiter entre ses phalanges désormais assassine. C'était un spectacle des plus agréables, encore plus que lorsqu'il s'évertuait à cogner et cogner tes côtes pour tenter de te déstabiliser et de te forcer à lâcher prise il y a de ça quelques jours maintenant. Bordel qu'le destin fait bien les choses, car t'en sortir seule après avoir essuyé autant d'coups aurait été faisable. Ça aurait sûrement demandé une erreur de leur part ou une fenêtre de temps suffisante pour te laisser le temps de fuir en regagnant ta victory. Auquel cas tu n'aurais pas tenu bien longtemps, tu te serais p'têtre bien éclatée dans l'décor pour redécorer l'pavé d'ta matière grise.

Alors tu montres patte blanche, enfin après avoir laissé la pression nettement redescendre y'a qu'à voir la façon dont t'as accueilli Joe dans l'entrée de ton appartement en l'foutant au sol d'un coup dans l'un de ses genoux. T'es comme tous les autres au final, quand tu rentres chez toi, faut pas t'faire chier. Faut t'laisser un p'tit temps d'relaxation, qui dans ton cas s'caractérise par un peu d'coke et d'la vodka pour faire passer le tout. Le bain de ce soir étant clairement un luxe, comme une perche tendue au tatoué. T'es plus que ravie quand il vient enfin t'rejoindre dans l'eau bouillante pour qu'tu puisses lui conter tes histoires à en faire lever le cœur. Mais pas l'sien, ça tu l'sais bien. Car dans l'fond, il est comme toi, à s'extasier dans le chaos. Alors après l'avoir observé, goguenarde pendant qu'il se déshabillait tu lui laisses finalement une place à tes côtés, de nouveau. Tu lui raconte l'histoire de ces sept enfants russes emmenés dans la toundra pour subir un entraînement des plus dangereux, dans certains cas mortels. Tu donnes des détails, parle sans filtres. La pointe de l'un de tes pieds vient caresser l'une de ses cuisses, l'effleurant pendant certains de tes dires comme pour les ponctuer. Lorsque ta voix se meurt, la sienne reprend pour toujours faire monter la température. T'viens alors t'échouer contre/sur lui. Bien sûr, qu'il est excité l'animal lorsque vos bassins se retrouvent après une absence de quelques semaines. "Difficile d'être discret, avec ce que tu portes entre les jambes" Qu'tu lances en passant la pointe de la langue sur tes lèvres une lueur animale brûlant tes yeux.

Tu passes alors à la vitesse supérieure, lui parle de ton expérience en tant qu'assassine. Tu ne peux que t'amuser à frotter vos intimités l'une contre l'autre au rythme des mots effroyables que tu peux lui glisser dans le creux de son oreille. Tu prends bien trop ton pied à le sentir se raidir contre ton mont de vénus pour venir en agacer l'entrée dont il connait le chemin. Tu laisses monter le désir toujours plus, te mets à susurrer à propos de Chicago et des cadavres que tu as volontairement laissé à la vue de l'agent Cohle. Juste pour l'amusement, juste pour voir si t'étais aussi douée que tu ne le pensais. Tu t'es rendue sur les scènes de crimes en présence des forces de l'ordre comme toute bon serial-killer est attendu à le faire. T'as même poussé le vice jusqu'à rentrer dans cet agent du fbi forçant sa mégarde pour le gratifier d'un large sourire en t'excusant. T'es bien trop sadique, bien trop perverse pour ne pas t'être régalée de ces instants à mener le jeu, à semer le chaos. Tes dents glissent contre l'épiderme encré, tu n'as que faire de ses lèvres pour le moment tout ce qui t'importes c'est de laisser à nouveau une trace de ton passage tout contre sa peau. La main de Joe vient se perdre dans tes mèches rousses humidifiées par l'eau mousseuse du bain. Ton visage forcé de quitter les contrées de sa carotide vient à se relever vers le sien dans un défi. Décidément ta crinière n'auras de cesse que de se faire malmener. De son autre main crispée tout contre l'un des hématomes couvrant ta peau, le tatoué vient intimer à son bassin de s'imbriquer au sien sans ménagements.

Tes ongles viennent s'enfoncer sans douceur contre la peau s'étendant sous tes doigts par l'effet de la surprise. Tu ne peux t'empêcher de feuler, toujours fermement maintenue par l'emprise de l'encré sur ta chevelure flamboyant. Ce sont tes reins qui mettent le coup suivant avec puissance et à nouveau ce jeu de dominance reprend. Tu rapproche tes lippes des siennes, laissant vos bouches s'éffleurer d'une torture partagée. "S'il te plaît?" que tu t'amuses comme un goût de déjà vu dans cette soirée. Tes yeux ancrés dans les siens luisent d'envie. Parce que t'as envie de le bouffer Joe. Qu'il réveille tes instincts les plus primaires, tes envies de dominations les plus extrêmes. L'une de tes mains quitte l'épiderme qu'elle malmène pour venir gagner l'un des rebords de la baignoire te permettant de prendre appui et donner un peu plus de force à tes vas-et-viens contre le membre logé à l'intérieur de ta fente gourmande et avide de plus. "Ou alors tu veux que je te raconte l'histoire de cette cicatrice là..." T'viens désigner des yeux l'épaisse cicatrice se dessinant contre l'un de tes flancs. Tout en continuant tes mouvements de bassin, ta poitrine collée à son torse tu te mets à lui murmurer l'histoire du supérieur que t'as éteint d'un accès de colère lors de ton départ de Moscou. La joie et la puissance que t'as ressenti en cognant cet enculé d'pédophile de toutes tes forces. La manière que t'as eu d'lui trancher l'bras dans un lancer d'couteaux des plus magnifiques. Le poison qu'il t'avait lui même intimé de choisir il y a de ça plus d'une dizaine d'années venant faucher sa vie après un corps à corps des plus mémorables de ta carrière. Vos grognements se mêlent, tes doigts se perdent à présent contre l'une des cuisses du tatoué pour s'y refermer pendant que t'accueilles les hanches qui te pilonnent avec ravissement. T'viens finalement perdre tes lèvres contre les lippes de Joe, que t'embrasses à présent furieusement. T'es couverte d'ecchymoses, il s'acharne déjà en toi, tout le nécessaire pour passer une fin d'nuitée des plus intéressantes.

(c) DΛNDELION


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Message Sujet: Re: (hot) flag of the beast ± trishua   (hot) flag of the beast ± trishua - Page 3 Empty Dim 15 Sep - 0:02




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C'est sans doute parce que t'es un vrai dur à cuire que Houna n'a pas prématurément mis fin à ta vie. Pas le genre qui se vante de l'être pour finalement se révéler être tout autre. Tu ne joues pas la comédie Joe. Tu le regrettes presque dans le fond. T'aurais presque aimé être différent. Histoire de ne pas constamment risquer ta vie comme tu le fais si bien. Parce que t'aimes bien trop ça pour être capable de t'en passer. Parce que sans ça tu ne vis pas. Alors tu ne tentes même pas dans le fond. T'es constamment là à te foutre sur la gueule avec le premier crétin qui passe. Quand tu ne te mêles pas aux guerres de gangs qui ne te concernent pourtant pas comme t'as pu le faire ce soir. Impossible de regretter alors que tu te retrouves dans cette grande baignoire, face à la jeune femme aux cheveux de feu que t'as subis une fois déjà. Dans le fond, tu t'en fous un peu de savoir à quel gang elle appartient la rouquine. Ce soir t'as profité de ses emmerdes pour cogner. Tu prends tous les prétextes qui viennent quand il s'agit de flanquer ton poing dans des tronches. Tu lui as rendu service par la même occasion. Et tu comptes bien sur elle pour s'en rappeler de ça, surtout.

Dans l'immédiat, il semble que c'est toute autre chose que vous avez en tête tous les deux. Ton corps est salement en train de réagir au sien qui se rapproche. Elle ne manque pas de te le faire remarquer. Des mots qui ont le don de satisfaire l'animal qui sourit de toutes ses dents. Dis donc c'est qu'tu commences à savoir m'parler ... T'ironises un peu. C'est plutôt simple de flatter l'ego de n'importe quel mec. Lui faire remarquer que ce qu'il a entre les jambes est pour le moins conséquent, a le don de suffire en règle générale. Tu ne fais pas exception à la règle. A ce niveau là, t'es qu'un mec parmi tant d'autres. Sans surprise, t'es troublé par ce rapprochement physique entre vos corps. Un peu plus troublé encore par les mots qui s'échappent de la bouche féminine. Elle en est consciente Houna, que t'es friand des histoires d'horreur. Elle sait que ça te fait beaucoup trop d'effet de l'entendre raconter des trucs pareils. C'est violent, sanglant et glauque à souhait. Mais plus ça l'est, plus t'es excité. C'est plus fort que toi. Et la russe n'a d'autre choix que de s'en rendre compte. Et par conséquent, de continuer pour t'achever pour de bon. Tes mains attrapent ses cheveux pour lui faire basculer la tête en arrière. Tandis que tes autres doigts se chargent de malmener et guider un peu plus le corps féminin pour l'inciter à se refermer autour de ta virilité qui trouve sa place en son coeur moite.

Y'a rien de tendre dans vos gestes. Et moins encore quand elle plante ses ongles dans ta peau en retour. Tu la devines plus que tu ne la vois, sa surprise. Mais elle ne fait rien pour arrêter la chose. Tout au contraire. Elle feule. C'est agréable à tes oreilles. T'as un petit sourire. Qui s'accentue quand elle t'offre un coup de bassin en retour. Grognement délicat qui te tombe de la bouche alors que tu plantes ton regard dans le sien. Que t'exiges surtout qu'elle continue ses petites histoires. Des mots qui semblent avoir le don de te tomber sur les reins. La tension y est de plus en plus présente. Vos lèvres se frôlent quand elle se penche vers toi pour se faire moralisatrice. Encore ... Que tu préfères répéter, provocateur encore, provocateur toujours. T'aimes bien trop titiller la patience de la tigresse. Qui trouve toujours le moyen de te rendre la politesse. Elle te troubles toujours plus alors qu'elle entreprend de remuer sur toi. Y'a une certaine sensualité dans ses mouvements de bassin. Mais surtout beaucoup trop de bestialité pour ton propre bien. Parce que t'aimes bien trop ça. Mais surtout, parce que ça te colle une furieuse envie de la retourner pour la prendre avec toute la rage qui t'anime constamment.

Tu mords inconsciemment ta lèvre inférieure pour retenir un gémissement qui menace de t'échapper, quand elle prend appuie sur le rebord de la baignoire pour mettre plus de rage dans ses coups de bassin. T'aimes bien trop la façon violente qu'ont vos corps de se percuter. Ouais ... Raconte moi ça ... Ton ton est bas. Ta voix chaude et rauque. T'es à deux doigts de refermer tes crocs sur la chair abîmée de ce prédateur qui te domine l'espace de quelques minutes. Parce que c'est de ça que t'as envie. Qu'elle te domine et la dominer en retour. Que vos carcasses se percutent fort et se fracassent l'une contre l'autre. Jusqu'à l'épuisement. Jusqu'à la mort. Tes doigts frôlent la cicatrice en question. Avant d'accueillir plus encore son corps contre le tien quand elle se penche pour murmurer à ton oreille. Voix caressante qui n'a rien à voir avec ses reins qui se creusent et cognent contre ton bassin à chacun de ses mouvements. Et la caresse de sa poitrine contre ton torse encré. Tu t'emballes. Tu perds ton souffle et ta patience. Tu grognes, animal. Ta main raffermit sa prise autour de ses cheveux humides et tu mords ses lèvres sans même y penser, dans vos baisers qui vous consument. Tu cherches à la dévorer, toute entière.

Ta main libre se faufile maintenant à l'arrière de son corps. Caresse presque gentiment ses fesses, pour finalement échouer entre elles. Bien vite tu la possèdes d'un doigt. Raffermit ta prise sur son corps de cette façon pour lui asséner quelques coups de reins puissants. Vous submergez d'eau la salle de bain mais t'y penses pas. Ou tu t'en fous. Un mélange des deux. Tu ne penses qu'au corps esquinté qui rebondit sur le tien, les mouvements amplifiés par l'eau encore présente dans la baignoire. Tu ne penses qu'à ses dents qui percutent les tiennes quand elles ne se referment pas sur tes lèvres. Tu ne penses qu'à la liaison de vos deux corps. La sensation des flammes qui vous dévorent l'un et l'autre. Tu jures et tu grognes contre sa bouche. Tu répètes des 'encore' quand elle trouve le silence trop longtemps à ton goût. Te frustre à ne plus te raconter ses histoires toutes plus belles et plus captivantes les unes que les autres. T'en veux plus. Toujours plus. Et profiter de ces belles histoires pour déchiqueter la peau rougit et bleuit qui s'offre à portée de mains et à portée de dents.

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Message Sujet: Re: (hot) flag of the beast ± trishua   (hot) flag of the beast ± trishua - Page 3 Empty Dim 15 Sep - 10:39



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Joshua - Tri

«Quand on peut user de violence, il n'est nul besoin de procès.» thucydide
T'as ce truc avec Joe, que tu ne retrouves avec personne d'autres. Ce côté animal, bestial ne demandant qu'à être exploité. Tu l'as bien vu ce soir, lorsqu'il s'est laissé aller à ses accès de violences pour venir terrasser tes ennemis. T'sauver la vie, où ne serait-ce que t'aider à t'en sortir intacte. Parce que même à huit contre toi, t'avais du mal à les gérer Tri. Parce que tu t'es laissée avoir par ta haine, ton envie de frapper. Tu t'es vite retrouvée encerclée, acculée, retenue par l'arrière pour mieux recevoir les coups. Parce qu'ils le savaient que t'es une dure à cuire, et qu'un simple passage à tabac ne suffirait pas à te faire renoncer. C'est bien pour ça qu'ils t'ont tous prit d'assaut en même temps. Ils ont pas cherchés à t'isoler. Ça aurait été bien trop dangereux pour eux, un par uns, ils seraient tous tombés comme des mouches. Et c'est alors que l'tatoué s'est arrêté par là, sûrement attiré par le bruit environnant. Il a même prit le temps d'te demander d'être polie. T'as grincé des dents, pour finalement abdiquer. Connard d'encré, sachant jouer sur les termes d'un accord pour en tirer profit.

T'aimes pas vraiment ça, t'sentir utilisée Houna et pourtant lorsqu'il s'agit de Joe tu te laisserais presque faire car il n'a tout simplement pas peur de toi. Ni de tes mots, ni de tes agissements. Qu'il n'a pas l'air de craindre les faux et le danger que vous pouvez représenter. Il le sait, à présent pourquoi tu lui as bondis dessus de la sorte la nuit de votre rencontre. T'es comme ça Tri, à t'protéger avant tout, avant d'penser aux autres. Et pourtant t'as été capable d'empathie, capable de montrer que toi aussi tu méritais un peu d'honneur entre certains rangs. Les hells, puis les outlaws, ce gang reconstitué que tu ne tarderas pas à quitter lorsque viendra sonner le glas de la vengeance. T'es comme ça Tri, à prévoir chaque détail dans la moindre de ses configurations. T'établies nombre de stratégies, phases à adopter se basant uniquement sur la colère voisine. Alors tu t'empales un peu plus violemment contre lui, le laisse te pénétrer dans toute sa longueur alors que tu ne peux t'empêcher de pousser un gémissement fortement sonore de bien être. Bordel Houna, si t'avais su qu'une telle bête endiablée se cachait sous ces traits... T'aurais pas pris la peine de l'amocher, tu t'serais contentée de l'amener chez toi, directement sans même y repenser à deux fois. T'aurais sûrement abattu ta seringue bien sentie tout contre sa jugulaire d'la même façon qu'tu ne l'as fais pour l'endormir d'un sommeil profond durant quelques heures. Juste assez pour l'traîner contre ton épaule à travers le queens.

Et ce soir tu viens lui conter ton histoire, de celles qui glacent le sang, qui donnent la nausée. Il est excité, le mâle pendant que tes mots viennent glisser le long de son oreille. T'es bien trop excitée par la situation toi aussi, t'aimes bien trop ça Tri. T'crains pas l'danger, c'est toi l'danger. T'es la faux accompagnant la mort et tu lui fais bien comprendre au barbu. Il semble capter le message, fasciné par ce que tu peux lui raconter. T'es pas devenue ce que t'es pour rien Houna, quitte à devoir semer le chaos autant que tu y prennes du plaisir. Toujours plus, et c'est le cas lorsque Joe vient s'empaler en toi en agrippant tes cheveux. Alors tu redoubles d'horreurs, tu lui racontes l'histoire de certaines de tes cicatrices tout en continuant d'aller et venir dans cette eau des plus brûlantes. Vos ébats prennent une teinte différente des précédentes. Vous étiez clairement dans une démonstration de force là où maintenant vous vous respectez à forces presque égales. Parce qu'faut pas déconner, t'restes jamais soumise plus de cinq minutes. C'pas ton genre, que d'te faire dominer d'la sorte. Mais pour lui, t'pourrais presque t'laisser aller. T'es pas du genre à apprécier la compagnie masculine rapprochée, et pourtant l'tatoué vient réveiller en toi bien des instincts, tout en t'culbutant rageusement.

T'apprécies bien trop le souffle rauque de Joe venant grogner contre toi après qu'il se soit dévoré les lèvres. Il est bien trop désirable lorsqu'il agit de la sorte, il t'embrase bien trop. Alors tu claques plus nerveusement ton bassin contre lui encore alors que ses mains quittent tes mèches rousses pour trouver les plaines de ton corps le maintenant sous l'eau de la baignoire. Vos échanges sont frénétiques, incontrôlables. Tu peux t'laisser aller avec le tatoué, tu sais que peu importe combien tu viendras serrer autour de son épiderme il ne se brisera pas. Et vice versa. Car t'as déjà eu la chance de pouvoir goûter à sa haine, celle que t'as su déchaîner cette première nuitée vous opposant. T'as essuyé ses coups avec succès, peu importe s'il tapait aussi dur que toi. Au moins, ça te donnais une bonne raison de lui répondre avec toute ta hargne et ta haine possible. Ce soir, il a tué pour toi, éteint ces sales bâtards sans arrières pensées venant te prêter main forte. Alors tu lui dois bien ça, qu'de te montrer aimable, mais pas trop. Lui redevoir, sans qu'il n'en abuse. Parce que combien même sans son coup de main t'aurais bien eu du mal à t'en échapper, tu te le laisses petit à petit gagner la moiteur la plus profonde se trouvant entre tes cuisses. Tu lui offres tes lèvres à malmener s'il le veut. Qu'il en profite le tatoué, ça sera pas comme ça tout les jours.

Vous vous dévorez littéralement, deux corps se consumant l'un l'autre pour venir l'attirer plus profondément dans ses ténèbres. Il te rend bien trop dingue,  il a ce je ne sais quoi qui t'donne envie d'le mater sérieusement. Mais t'as à la fois été piquée par son caractère, son refus d'se plier aux règles. S'il avait reçu votre entrainement, il aurait sûrement été un parfait élément. Y'a rien qu'à voir sa carrure, il aurait définitivement pu faire parti de l'un des votre. Vos corps se dévorent se laissent aller. Ton bras quitte le rebord, tes jambes se dénouent pour laisser tes genoux reposer contre le font de ta baignoire. Et c'est avec une impulsion bien différente que tu viens continuer ces coups de reins des plus déchaînés. T'peux pas t'empêcher de gémir, surtout lorsque les dents de Joe viennent te saisir et ne plus te lâcher. "Et ça, c'est quand j'ai sauvé la fille chérie des hells." Que tu désignes au niveau de ta hanche, puis dans ton dos. T'as de la chance qu'elle soit repartie aussi rapidement que ça, la balle. Joe t'investis de part en parts, gagne du terrain, se répand rapidement. Tu ne peux qu'apprécier ce genre de rencontres/personnes. Celles qui partagent tes sales travers, tes envies malsaines, tes envies d'chaos. Et dans un sens, c'est à la liberté qu'tu veux faire goûter l'tatoué. La vraie, celle qui donne envie d'disparaître quarante huit heures sous les draps. Alors à ton tour de mordre avec violence, de venir laisser tes phalanges se perdre dans les mèches de cheveux. Tes opales émeraudes dans les siennes orageuses, vous apprenez un peu plus à vous apprivoiser tandis que vos corps se mettent à danser d'un rythme dont ils ne se souviennent que trop bien. Énième feulement, tu ne peux que gémir lorsqu'il s'agite en toi le baraqué. Alors tes canines viennent se planter contre sa jugulaire, laissant volontairement les marques de ton passage. Tu t'en fous, si une pétasse tenant à lui vient à tomber sur ta marque, au moins, elle saura que t'es passée par là.



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Message Sujet: Re: (hot) flag of the beast ± trishua   (hot) flag of the beast ± trishua - Page 3 Empty Dim 15 Sep - 16:50




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It's the moment of truth and the moment to lie
The moment to live and the moment to die
The moment to fight, the moment to fight
To fight, to fight, to fight!



Tu prends bien trop de plaisir à ces étreintes violentes, d'égale à égal avec la rouquine, pour y renoncer. Ce n'est que la seconde fois. Mais elle n'est là que pour te confirmer que tu ne t'y es pas trompé. Et que t'as bien fais d'y revenir cette fois encore alors même que la fois précédente ne s'est pas si bien terminée. Avec une autre, tu te serais certainement contenté de passer ton tour. Conscient qu'il n'y avait rien de bon à tirer de tout ça. Mais Houna elle a un truc que peu de femmes ont. Sauvage, violente, dominatrice, qui n'a pas froid aux yeux. Y'a rien de tendre chez elle et c'est loin d'être fait pour te déplaire. Au contraire, ça a uniquement le don de salement t'exciter toi. Sans surprise, t'aimes salement le fait que vous pouvez échangés autant de coups de reins que de coups de poings. Uppercuts comme pénétrations vigoureuses. Dans tous les cas, t'y trouves ton plaisir. Tu prends ton pied. Et tu sais qu'il en va de même pour elle. A sa façon elle est dans le même état que toi. A sa façon elle est satisfaite aussi. Sans quoi, elle ne t'aurait pas demandé de la ramener chez elle. Et ne t'aurait pas fai saisir qu'elle attendait que ta présence s'éternise un peu au sein de son foyer. Sans parler de la vision ô combien érotique qu'elle a eut le don de t'offrir, nue dans cette baignoire autant éclairée par les lumières artificielles que par la lueur de la lune qui entre à flot par les grandes baies vitrées. Il est impressionnant son appartement aussi, c'est un fait.

Tu te laisses dominer Joe. Parce qu'elle sait y faire et qu'elle ne fait qu'atteindre les limites de ce que tu peux supporter, sans les dépasser. Pas sûr que t'en fasses de même en retour. Tu perds facilement les pédales et la conscience de ce qui est bien et de ce qui ne lest pas. Autant quand tu te bats que quand tu baises. Tu le sais que ça va encore partir dans une étreinte de ce genre avec elle. Vous êtes deux animaux sauvages qu'il est impossible de dompter. Soit, son histoire te donne une autre image d'elle. D'une certaine façon, elle a été domptée. Dès son plus jeune âge même. Mais elle est là aujourd'hui, à faire claquer ses crocs pour effrayer. Ça ne fonctionne pas sur toi mais tu ne doutes pas que ça fonctionne sur d'autres. Tant mieux pour elle. T'es le même genre de bête sauvage alors tu comprends son besoin de domination. Tu ne reculeras certainement pas devant ça. Devant elle. Il t'en faudra plus. Et elle en est bien assez consciente pour venir "prendre le risque" te conter des histoires horribles au creux de l'oreille. Le genre d'histoire qui te font gronder de plaisir. Qui achèvent de réveiller ton désir, toi qui ne manques pas de lier enfin vos corps de façon brutale. Rien de tendre entre vous. Jamais. Tu préfères ça. C'est toi.

T'es déjà plus que halètement, grognements et supplications soufflées à voix basse et rauque pour l'inciter à poursuivre. Autant ses mouvements secs que ses mots durs et puants le sang et la mort. Tu grognes plus fort quand elle fait évoluer votre position. En appuie sur ses genoux pour monter bien plus haut et descendre bien plus fort. L'eau quitte la baignoire par vagues. Tu jures dans ta barbe. Des putain et des bordel bien sentis qui s'échappent en cascades. Tu perds pied, peu à peu. Et tu ne cherches tout simplement pas à t'en cacher. A quoi bon ? Pourquoi faire ? A part te frustrer à force de retenue. Tu ne sais pas faire ça de toute façon, te retenir. Tu perds jusqu'au fil de ses histoires. Tu ne les comprends pas toutes, parce que tu n'interceptes pas tous les mots. Tu ne prends que ceux qui te plaisent le plus. Ceux qui sont porteur de mort, de rage, de violence. Tu grondes encore, animal, alors qu'elle remue toujours plus furieusement. Elle te fait autant de bien qu'elle fait du mal à vos corps qui se percutent si fort, si violemment, si vite. C'est sans fin. Comme vos dents qui provoquent l'autre. Qui semblent vouloir abîmer jusqu'au sang. C'est quand le goût de ferraille se répand un peu dans ta bouche, que tu saisis que vous y êtes parvenus. Tu te fous de savoir lequel des deux a la lèvre la plus abîmée. Tu ne fais rien pour calmer les choses. Au contraire. Alors que ta main qui n'est pas perdue entre ses fesses continue de tirer sur ses cheveux, tu imposes à sa bouche un baiser tout aussi bestial que votre étreinte.

Tu grognes encore quand elle plante ses crocs au creux de ton cou. Tu ne mets que plus d'ardeur encore à tes coups de reins rendus désordonnés par la position et l'eau qui vous baigne encore. En partie. A peine. La plupart est sur le carrelage. La violence t'achève vite. Trop vite. Tu te répands en elle dans un énième grognement animal, sans chercher à te contenir. Tu grognes encore et tu bascules la tête en arrière pour la poser contre le rebord de la baignoire. Ton doigt va et vient en elle, presque avec douceur, alors qu'elle remue encore sur toi et autour de toi. T'es à bout de souffle et ton visage brille davantage de sueur que de l'eau du bain. La suite va pas t'plaire. C'est presque une promesse alors que ton visage s'orne d'un sourire presque mauvais. T'attends ni réponse, ni autorisation, ni refus formulé de sa bouche. Tu te lèves en entraînant son corps avec le tien. T'espères même lui faire mal dans la manoeuvre. Quand tes doigts attrapent, malaxent et malmènent sa peau pleine de couleurs toutes plus sexy les unes que les autres. Tu lui voles un baiser goût fer et c'est à ton tour de la faire chuter sur le sol, à genoux. T'attends pas qu'elle ait le temps de réagir pour enchaîner. T'es déjà à genoux derrière elle, à poser une main entre ses omoplates pour plaquer le haut de son corps sur le sol froid et trempé. T'enchaînes encore. Te guidant entre ses fesses sans demander son autorisation ni son avis. D'un mouvement sec tu te plantes de toute ta longueur, sans plus de préparation, sans plus de mots échangés. T'as promis de l'esquinter un peu plus. Tu tiens toujours tes promesses. Et t'es justement déjà à te fracasser encore et encore contre sa croupe relevée et maintenant pleinement possédée et envahit par tes soins.

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Message Sujet: Re: (hot) flag of the beast ± trishua   (hot) flag of the beast ± trishua - Page 3 Empty Mar 17 Sep - 3:27



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Joshua - Tri

«Quand on peut user de violence, il n'est nul besoin de procès.» thucydide
Joe, c'est le genre d'animal qui te passionne. Parce que t'as beau lui raconter l'horreur de ta vie, les mauvais traitements qu'ils ont pu t'infliger il ne cille pas. Bien au contraire. Lorsque tu viens lui conter la façon par laquelle tu es devenue celle que tu es, il ne peut s'empêcher de s'embraser au rythme de tes mots, toujours plus avec violence. Parce que t'as pu le sentir raidir au fur et à mesure que tu laisser tes mots couler dans le creux de son oreille pour éveiller celui de ses reins comme s'ils communiquaient directement, complices. Il n'a pas peur de toi, combien même tu pourrais venir éteindre sa vie en moins de temps qu'il ne faut pour le dire. T'aurais déjà pu le faire, à de nombreuses reprises. Pourtant, tu le gardes en vie. C'pas qu'tu deviendrais sentimentale Tri, mais tu commences à saisir l'importance de garder certaines personnes en vie. Comme le tatoué, combien même il passe son temps à t'agacer un peu plus. A croire que c'est l'genre de relation à laquelle vous êtes voués à vous livrer. Une dualité constante, combien même tu restes la plus cruelle et morbide des deux.

Tu t'gênes pas pour venir le posséder, mener l'jeu au gré de tes vas et viens contre son intimité te possédant avec toujours plus d'ardeur. Fut dire qu'tu retires un plaisir énorme, à l'chevaucher Joe. Que t'apprécies quand vous vous mettez à baiser comme des forcenés enchaînant les coups de reins comme les coups de poings. T'aimes ça quand vous venez couvrir vos épidermes d'ecchymoses comme lors de votre premier ballet où vous enchaîniez les saloperies comme des forcenés. T'as trouvé un drôle d'animal Houna, t'en es bien consciente. Et c'est pour ça qu'tu lui as confié ton poison sans même hésiter. Parce qu'il aurait très bien pu t'éteindre un peu plus tôt. S'ranger aux côtés de ces putains d'irlandais tous plus dégonflés les uns que les autres au lieu de ça il s'est décidé à t'aider. A les éteindre à tour de bras et d'aiguilles que tu lui procurais. T'as pris bien trop de plaisir à le voir les assassiner de sang froid, commettant ses premiers meurtres en ta présence. Ça t'as salement excitée que de le voir devenir un peu plus un monstre comme celui que tu peux être laissant de nombreuses victimes dans son sillage. Si tu lui apprenais ne serait-ce que deux trois tours, tu pourrais faire de lui quelqu'un de redoutable. De puissant. Et l'idée de le transformer en un être d'une violence parfaite te réjouis grandement. Tu comptes pas en rester là avec Joe, tu comptes bien le pousser à l'excellence. Tu n'sais que trop bien qu'il sera attiré par l'idée de pouvoir déverser sa colère sans barrières ni limites.

Vous vous laissez aller comme des diables sortit de leurs cages pour l'heure du sabbat. Vous dansez rageusement, laissant l'eau de la baignoire s'étaler contre le sol pour venir l'inonder. Tu prends bien trop d'plaisir pour penser au ménage que tout ceci résultera. Après tout, c'pas comme si c'était toi ou Elzay qui mettiez les mains à la pâte concernant les tâches ménagères. Tout comme pour tes scènes de crimes, t'as ta petite équipe de ménage qui vient nettoyer derrière toi pour l'bordel que tu mets. Vous n'aurez même pas l'temps de l'apercevoir que la salle de bain sera déjà comme neuve, comme si vous ne vous étiez pas élancés dans des ébats des plus furieux. Parce que ça a l'air de vous coller à la peau comme l'un de vos tatouages, comme une étiquette impossible à retirer. Lorsque Joe et toi vous vous retrouvez, ce n'est que pour laisser les enfers se déchaîner. Que pour laisser votre colère parler, vos envies de repeindre le monde d'un rouge ressemblant à l'hémoglobine qui vous obsède tant. Vos coups de bassins vous remuent, se percutent avec cette colère qui anime vos êtres. Vos lèvres se mordent jusqu'au sang, furieusement, sans pitiés aucunes. T'as comme une envie de le démonter au propre comme au figuré, de venir couvrir sa peau de tâches violacées parce que tu trouves que ça lui sied d'une façon indécente. D'une façon qui t'excites bien trop pour que tu ne te laisses pas aller.

Tes canines tout contre sa nuque, Joe vient lâcher un énième grondement des plus violents. La baignoire s'est quasiment vidée de son eau, le soleil commence au fur et à mesure à vous baigner de sa lumière maintenant plus orangée et bleutée que rosée comme il y a quelques instants. T'es prise de toute parts par l'encré qui laisse retomber sa tête contre le rebord de ta baignoire pendant que tu te laisses aller toujours plus furieusement à vos coups de butoirs qui n'ont de cesses que de faire grandir la boule dans le creux de ton bassin à fur et à mesure que son dernier va et viens verticalement contre le membre bandé enserré par tes chaires moites des plus intimes. Celles que peu d'hommes sont autorisés à franchir se comptant sur les doigts d'une main au cours de ta vie entière. Tu préfères bien trop te laisser à la facilité que les femmes représentent généralement pour apprécier pleinement la dualité que tu livres avec rivaux masculins. T'as l'impression d'avoir déchaîné suffisamment l'envie chez le tatoué lorsque celui ci vient grogner comme une menace que la suite risque de ne pas te plaire. T'attends de voir ça avec impatience, cela n'aura de cesse que d'augmenter ton envie de le marquer avec violence pour mieux te venger de ses mauvais traitements. Ni une ni deux, tu t'retrouves soulevée rapidement par la force de Joe auquel tu te cramponnes pour ne pas manquer d't'échouer comme une merde contre les parois solides de ta baignoire ce qui ne manquerait pas de te foutre au tapis après une telle soirée.

Tu viens goûter au sol humide de ta salle de bain sans que tu n'puisses résister, manipulée non sans douceur par un animal des plus déchaînés. Faut croire que la danse de vos bassins l'ont échauffé à un point tel qu'il craque, se montre incapable de la moindre retenue à ton égard. Ses paumes maltraitent, te font souffrir volontairement bien que tu en retires plus de plaisir qu'autre chose. Tes genoux noircit par les coups reçus au cours de cette soirées viennent trouver le carrelage trempé sur lequel tu manques de glisser lorsque l'encré vient agacer une nouvelle entrée de ton anatomie. Salopard, tu comprends mieux l'origine de ce doigt aventureur. Tu ne peux pas t'empêcher d'émettre une râle des plus bestiales tandis qu'il s'enfonce avec nettement plus de résistance en toi que précédemment. Tu comptes bien lui faire payer cet affront. L'une de ses mains tente de maintenir tes omoplates pour te forcer à garder tes poitrines contre le sol pendant qu'il te malmène encore plus durement que jamais il n'a osé le faire jusque la. Camée jusqu'aux os, tu trouves la force de te relever en venant te frotter à sa propre force brute, pour laisser ton crâne heurter son front avec violence. Bordel t'arranges pas ton cas Tri, toi qui suspectais une commotion cérébrale, tu vas être bonne pour roupiller plusieurs heures après tout ça.

Ton crâne te fait mal, et t'espères que c'est le cas du tatoué qui s'est cru pousser des ailes le temps d'un instant pour te posséder de la sorte en espérant que tu n’émettes aucune résistance. Et puis quoi encore? Combien même ta croupe continue d'aller trouver la sienne avec délectation, tu grognes d'une façon des plus bestiales. Tu sauras lui faire payer, te venger d'ce traitement des plus fourbes Tri. "T'as intérêt à bien m'prendre sinon j'te bute." Qu'tu lui lances le plus sérieusement du monde pour venir attiser un peu plus la rage qui anime vos carcasses dansant l'une contre l'autre furieusement. T'es tout ce qu'il y a de plus sérieuse quant à ta remarque grognée entre deux râles de plaisir venant t'faire perdre les pédales un peu plus. T'as envie de le massacrer, pour c'qu'il te fait subir. T'as envie d'lui rendre la monnaie d'sa pièce en venant l'torturer, en venant l'déchirer. Alors tes griffes viennent trouver les chaires de ses cuisses pour s'y enfoncer profondément. Tu n'te laisseras pas faire, et s'il compte te souiller d'la sorte il faudra bien t'maintenir car sinon t'viendras te venger d'la pire des façons en lui faisant payer au centuple le fait de n'pas avoir été à la hauteur, ce que au fond, tu ne doutes pas. Parce qu'il en faut du courage pour venir s'frotter à toi, et qu'tu sais que l'tatoué il en est capable s'il s'y met pour de bon.


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Message Sujet: Re: (hot) flag of the beast ± trishua   (hot) flag of the beast ± trishua - Page 3 Empty Ven 20 Sep - 13:37




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To fight, to fight, to fight!



Il faut croire que la rouquine t'apporte quelque chose, d'une certaine façon, pour que tu continues à y revenir presque avec plaisir. Tu ignores si c'est vraiment le terme approprié. Mais ce n'est pas loin de la réalité des faits non plus. T'es pas mécontent de te retrouver dans cette baignoire en sa compagnie. Combien même, très vite et sans grande surprise, il y a davantage d'eau par terre qu'à l'intérieur. Pas de quoi t'émouvoir. Ce n'est pas comme si c'est toi qui allais nettoyer tout ça. C'est hors de question et, à vrai dire, la question ne se pose pas. De toute façon, t'es bien trop captivé par les histoires horribles que vient te souffler la jeune femme aux cheveux roux, au creux de l'oreille. Elle en est bien consciente de l'effet qu'elle te fait et elle ne manque pas de l'ajouter à ses histoires. Confession déposée juste là, juste comme ça. D'une voix chaude et provocante. Elle sait te faire réagir Houna. Elle connait sans mal tes points faibles. Et tu ne t'en plains pas. Loin de là. T'aimes bien trop entendre ce genre de mots et tu comptes sur elle pour continuer ainsi, entre deux plaintes de plaisir et supplications pour plus, toujours plus. T'es bien trop accro à cette violence Joe. Tu peux pas t'en passer. Quand tes doigts s'accrochent, se plantent ou percutent. Tu ne peux pas t'en passer et tu n'essaies même pas. Moins encore quand t'es en compagnie de Houna qui s'en donne tout autant à coeur joie en retour.

Elle se lâche sur ta peau en réponse à tes agissements à toi. Pas de raison que tu te prives du coup. Tu n'y vas que plus franchement. Tu la percutes de tout ton corps et de tout ton être. La bestialité encore. La bestialité toujours. Pas de raison de se priver. Pas de raison d'être tendre l'un envers l'autre. Pas de raison de tourner inlassablement autour du pot. Vous savez ce que vous voulez alors vous le prenez. Avec rage et violence. Puisque vous ne savez globalement faire que ça, l'un comme l'autre. Alors ensemble c'est forcément un incendie sans nom qui ravage tout sur son passage. T'écoutes encore ses contes d'horreur alors même que votre corps à corps continue de laisser des marques sur les peaux, et de faire s'échapper loin de vous, l'eau de la baignoire. Elle aussi est prise de panique par ces flammes qui vous animent. Elle même prend la fuite en réalisant quel genre d'animaux vous êtes. Instables et intenables. Vous continuez de vous déchaîner l'un contre l'autre et l'un dans l'autre sans vous soucier de grand chose. Pour ne pas dire, de rien du tout. Et tu le sens que, très vite, t'es susceptible d'imploser et de te perdre en elle pour la conclusion finale. Tu sens que ça monte et la cadence infernale qu'elle continue d'offrir à votre étreinte, ne va pas t'aider à rester sous contrôle. T'es déjà pas bien doué pour ça. Et ta parte de contrôle est rapidement effective. Tu prépares vaguement la jeune femme avec la menace dans ta voix.

Avant d'enchaîner. A même le sol trempé, logé dans son dos et tes mains sur ses courbes qui attrapent fermement. Tu remplaces ton doigt joueur en elle. Tu percutes sa croupe relevée. Encore et encore. Toujours rien de tendre dans cet ébat combien même tu risques de lui faire mal. Au fond, c'est le but. La briser toujours un peu plus. La réduire en bouillis à tout prix. L'entendre geindre autant de douleur que de plaisir. T'es qu'un animal sans limite. Un monstre dévoreur de chair. Et plus elle est abîmée, avant et après ton passage, plus t'aimes ça. Plus t'es satisfait. T'y vas franchement Joe. T'apprécies bien trop l'idée de la foutre à terre une fois de plus. Dans tous les sens du terme ce coup ci. Tu lui colles le haut du corps contre le carrelage froid et trempé de la salle de bain. Ce qui ne l'empêche pourtant pas de s'en libérer en partie. Quand elle se redresse vivement pour laisser son crâne heurter ton front de plein fouet. Tu grognes et l'attrapes fermement par les cheveux pour l'empêcher de recommencer. T'es le dominant de cette étreinte encore en cours d'évolution. Tu la prends comme il te plait. Et tu te fous bien de savoir ce qu'elle en pense. Si tu te souciais vraiment d'elle, tu ne l'aurais pas laissé sur le carreau sans orgasme la fois dernière. Mais c'est sans éprouver le moindre remord que tu t'es tiré.

Tu râles quand tu la repousses de ta main toujours dans ses cheveux pour l'empêcher de recommencer. Elle semble mécontente d'être ainsi dominée et pourtant, elle remue ce corps contre le tien. Se donne à toi et t'offre/s'offre toujours plus par ses mouvements tout aussi intenses et frénétiques que les tiens. C'est bien qu'elle n'est pas si mécontente que ça de la tournure qu'ont prit les choses. Elle n'est simplement pas habituée à être ainsi manipulée et malmenée par un homme. Et forcément, incapable de se laisser simplement faire. Ce qui est fort dommage de ton point de vue. Tu ricanes à ses mots et en guise de punition pour ceux ci et le coup de tête qu'elle vient de te flanquer, tu la fesses. Fort. T'as pas tellement l'air de te plaindre jusque là. Que tu grondes en retour. Faisant autant référence à ses incessantes plaintes de plaisir qu'à ses mouvements vifs que pour laisser vos corps s'emboîter toujours plus furieusement. Elle se redresse juste assez pour trouver tes cuisses de ses mains. De ses ongles plus précisément, qu'elle plante sans douceur ni tendresse dans ta peau tatouée. Pas de quoi te filer l'envie de fuir pour autant. Loin de là. Tu profites qu'elle soit légèrement redressée, pour glisser ta main qui n'est pas dans ses cheveux, entre ses cuisses. Te permettre d'aller taquiner son bouton de plaisir avec bien de douceur que tu ne mets à aller et venir en elle. Tu sais très bien que c'est le genre de geste qu'elle a fuit la dernière fois pour éviter l'arrivée de l'orgasme qui menaçait d'être destructeur. Tu ne lui laisses aucun autre choix que celui de tout prendre et tout encaisser ce coup ci, dans cette position et avec l'état de vos corps qui n'est pas comparable. Elle aura plus de mal à t'échapper cette fois.

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Message Sujet: Re: (hot) flag of the beast ± trishua   (hot) flag of the beast ± trishua - Page 3 Empty Lun 23 Sep - 14:24



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Joshua - Tri

«Quand on peut user de violence, il n'est nul besoin de procès.» thucydide
D'aussi loin que tu te souviennes, t'as toujours eu cette envie de voir le monde brûler misérablement dans une lente agonie. Certes, c'est un des buts ultimes que l'on vous a inculqué mais t'y as trouvé toi même ta propre vocation. L'être humain est corrompu, sale et égoïste. Il ne s'intéresse qu'à lui même, n'hésite pas à détruire pour se retrouver au dessus d'autrui, au dessus de tout les autres. T'as jamais cru en l'humanité, tu t'es dis que soit vous finiriez par l'éteindre ou bien elle s'auto-détruira seule en vous emmenant à ses côtés dans une apocalypse des plus sombres. Et même à ça, tu s'rais foutue d'y survivre Houna. Juste pour avoir le plaisir d'achever les derniers encore debout, de parcourir cette planète brûlée, détruite, à l'agonie. Tu te montreras impitoyable laissant ta colère retenue pendant des années se déverser dans un flot d'horreurs pour aller terrifier les foules, glacer le sang des armées. Tu redeviendras ce monstre qui hante le dessous des lits des enfant, ici aussi le surnom de la divinité de l'hiver mortel se fera connaître. La Morana régnera sur ses enfers en se délectant du chaos qu'elle aura crée pour son amusement, créant un royaume pour les âmes aussi damnées que la tienne Tri.

Et si Joe faisait partie de ces gens que tu aimerais amener au meilleur d'eux même? Et si il devenait plus sérieux, minutieux, entraîné. Tu le sens, que le tatoué pourrait être redoutable il n'y a qu'à voir votre première rencontre et la façon dont il s'est débattu de tout les diables contre toi pour essayer de marquer ta peau d'autant d'ecchymoses qu'il ne le pouvait. Il a cogné, encore et encore tout en grognant nombre d'insultes contre ta couenne. T'as bien trop aimé ça Houna, c'est sûrement pour ça qu'tu lui as pas fais la peau dans cette ruelle merdique où il n'aurait sûrement pas été retrouvé avant le lendemain aux premières lueurs du jour par n'importe quel joggeur passant par là. Pour c'qui est de tes bastons de bar, t'as plutôt tendance à laisser les cadavres derrière toi plutôt qu'd'envoyer le service de nettoyage. T'aimes bien alimenter les mythes et légendes à ton encontre. Parce que t'le sais qu'on vient à parler de cette russe aux cheveux roux qui déchaîne New-York d'sa colère. Du temps de Sarai, tu te contentais de faire profil bas et de ne te déchaîner uniquement lors de vos raids ou de vos différentes missions à mener. Depuis que le brun est arrivé au pouvoir en s'l'appropriant salement, tu n'te gênes même plus Tri. Tu t'amuses encore plus, passe le plus clair de ton temps droguée jusqu'à l'os. Depuis combien d'temps t'as pas été totalement sobre Houna?

Là n'est pas là question pour le moment t'as bien d'autres animaux à fouetter. Tout comme le tatoué qui semble prendre bien des aises lorsqu'il vient t'coller contre le carrelage froid et trempé d'ta salle de bain pour te malmener. Tu peux pas t'empêcher d'grogner, de l'insulter en russe entre deux râles de plaisir. T'aimes méchamment ça Tri, lorsque le plaisir vient se teinter de douleur. Lorsque les nuits fauves laissent des traces qui resteront le temps de plusieurs, juste assez pour se laisser l'temps d'se retrouver et d'se remettre à danser de la plus violente des façons. Il n'y a qu'avec le tatoué, qu'tu puisses te lâcher autant sans avoir peur d'le casser. Sans craindre qu'il ne se mette à pleurer dans un coin en position fœtale. Il est fort Joe, il a du caractère et le meilleur est qu'il ne te criant pas. Pas encore, sûrement. T'espères qu'un jour t'arriveras à lui tirer un frisson d'horreur juste pour lui rappeler qui tu es et d'où tu viens. Parce pour le moment, il prend bien trop d'initiatives à ton goût lorsqu'il tente de pénétrer tes parois profondes de longs coups d'butoirs assénés sans la moindre douceur. Ses mains t'saisissent, te bousculent. Viennent marquer, griffer toujours plus. C'est un ballet presque mortel que vous vous livrez lorsque vos instincts viennent s'entrechoquer au même rythme que vos bassins. Tu lui rends le moindre de ses coups, trouve même un instant pour te dégager et envoyer ton crâne vers l'arrière tout contre le sien. Ta façon d'lui faire du bien à toi.

Ta tête se met à vrombir sous l'effet du choc. T'es vraiment conne Tri, t'as déjà surement une commotion et faut qu't'en rajoutes. Au moins, t'risques de bien dormir après tout ça. La poigne de Joe se raffermit contre tes cheveux, ses phalanges se nouant à tes mèches de feu. Vous n'êtes que grognements rauques venant tapisser les murs de ta salle de bain d'votre animosité des plus virulentes. Après l'effort, l'réconfort comme ils disent les américains. Tu l'menaces, comme à ton habitude comme les gens lambdas pourraient y glisser des mots d'amour. Toi tu t'contenteras d'le buter s'il vient à t'déplaire. Tu manques pas d'te manger une fessée bien sentie qui laisse exploser un différent claquement à ceux orchestrés par vos reins dansant furieusement. La retenue, vous n'connaissez ni l'un ni l'autre. T'arrives à t'redresser lorsque sa voix s'meurt pour laisser place à toujours plus de râles rauques. T'laisses tes griffes venir s'planter non sans violence dans ses cuisses aux muscles raides sollicités par la position qu'il maintient d'une poigne de fer. T'es furieuse Houna, lorsque ton visage s'retrouve tiré fortement vers l'arrière et qu'le bras tatoué vient s'faufiler contre ton ventre pour laisser à sa main l'plaisir de t'torturer encore plus. Tu lui as pas laissé c'plaisir la première fois d'te faire venir combien même il doit s'trouver bien fier de t'avoir laissé sans orgasmes. Faut dire que tu t'es pas mal vengée sur tes poulettes ce soir là, et que t'as pu jouir comme tu n'l'avais pas fait d'puis bien longtemps avant d't'endormir dans les bras des gazelles un demi sourire carnassier sur ta gueule.

Au fur et à mesure que son bas ventre vient claquer contre ta croupe et que ses doigts s'activent contre ton bouton d'plaisir tu peux sentir cette boule de chaleur croître dans l'creux de tes entrailles. L'exacte même que tu lui avais refusé l'autre nuit ne supportant pas d'te retrouver possédée d'la sorte. Parce qu't'es foutrement pas habituée Tri à trouver en un homme des qualités qui sont tiennes. Et faut dire qu'il les accumule dans l'fond. "Alors on ralentit l'tatoué?" Qu'tu viens lui glisser contre l'oreille en laissant tes canines félines saisir fermement son lobe pour venir y laisser la trace de tes dents. Dans un mouvement de balancier improvisé, refusant d'être dominée alors que tu t'en viens à exploser dans ta jouissance, t'arrives à faire glisser sous son poids Joe qui vient trouver le sol lourdement en grognant comme à son habitude. T'es goguenarde, toujours fermement empalée contre lui mais tu chevauches de nouveau Tri. T'lui laisseras pas s'plaisir, tu t'battras jusqu'au bout et dans l'fond c'est c'qui lui donne toujours envie de plus au barbu pas vrai? Alors tu t'laisses aller, furieuse aller et venant telle une amazone enragée. T'as su profiter d'ton environnement pour r'tourner la situation, lui montrer que t'es maligne en toutes circonstances combien même ton cerveau se laisse embrumer par le plaisir grimpant. Ta croupe frottant contre son bassin, sa main toujours fermement bloquée entre tes cuisses en compensation d'ton insupportable comportement tu sens la chaleur continuer de croître pour laisser tes membres se raidir, ton étreinte autour de ses cuisses se raffermir laissant tes ongles s'enfoncer profondément tout contre son épiderme. Tu jures, accélère, n'est plus que violence alors que tu sens le plaisir t'assaillir comme un éclair qui foudroie un arbre en plein orage d'été. Il aura réussi à t'faire lâcher prise l'tatoué, et ça reste quelque chose à dénoter à la fin d'cette putain d'soirée des plus (d)étonnantes.


(c) DΛNDELION


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Message Sujet: Re: (hot) flag of the beast ± trishua   (hot) flag of the beast ± trishua - Page 3 Empty Sam 28 Sep - 13:04




Flag of the beast.
It's the moment of truth and the moment to lie
The moment to live and the moment to die
The moment to fight, the moment to fight
To fight, to fight, to fight!



Tu sais que tu prends beaucoup trop de risques à jouer de la sorte avec le corps de la folle aux cheveux roux. De la dangereuse donneuse de mort. Mais c'est bien plus fort que toi, c'est un fait. T'aimes trop ça la dominer en sachant qu'elle pourrait bien mettre fin à ta vie si la folie et l'envie la prenaient. T'aimes faire ployer son corps selon ton bon vouloir. T'aimes lui arracher des couinements et grognements de plaisir alors qu'elle préférerait sans doute les taire pour ne pas t'offrir la satisfaction que ça te procure d'être responsable de tout ça. Tu ne prétendras certainement pas la connaître par coeur la rouquine, au point de pouvoir anticiper le moindre de ses agissements et la moindre de ses réactions. Mais tu comprends sans grand mal le genre de personne qu'elle est. Pour la simple et bonne raison que vous êtes tous les deux de la même trempe. Deux animaux sauvages qui ne craignent pas de planter leurs crocs. Deux bêtes affamées qui n'ont pas peur de faire mal et dont le but ultime ne semble être que de détruire tout ce qu'ils touchent. Tu prends bien trop à répandre le chaos sur ton passage. Tu sais qu'il en va de même pour elle. Sans doute à un autre niveau, soit. Mais c'est du pareil au même. Vous prenez bien trop de plaisir à détruire aussi fort que possible sur votre passage. Et ce soir t'apprends de quelle façon et pour quelle raison elle est devenue cette arme de destruction massive. T'aimes bien ce que t'entends. T'aimes ça au point de vite finir salement excité. Et tu ne te prives pas pour le lui montrer et le lui faire sentir.

C'est à grands renforts de coups de reins brutaux et frénétiques que tu lui communiques cette excitation brûlante et dévorante qui te ravage de l'intérieur. Tu sais sans trop de mal pourquoi elle te fait tout cet effet la tarée intenable. Ses mots sont autant de coups de fouet dans ton désir d'homme. Et la façon qu'elle a de râler et de te faire comprendre qu'elle n'apprécie pas que tu assois ainsi ta domination sur elle, ne t'aide pas non plus. Plus elle tente de t'envoyer chier et de te faire mal dans la foulée, plus t'as envie de l'étaler face contre terre pour la prendre avec toute la rate qui t'habite et qui fait partie intégrante de toi. Dans le fond, elle apprécie tout ça et tu le sais. Son corps parle pour elle. Ses hanches qui remuent à la même cadence infernale que ton bassin frénétique. Et la façon qu'elle a de se crisper autour de toi. Comme une façon de te faire saisir qu'elle ne veut pas tellement être libérée de ton emprise grandissante. T'as pas besoin de tant de preuves pour continuer à cette allure à vrai dire. T'as même besoin de rien du tout. Parce que t'as envie, tu prends. Avec davantage de haine encore, après le coup de tête bien placée. T'as pas vacillé pour autant. La douleur ne t'aura finalement donné l'envie que de lui rendre au centuple. De lui faire plus mal encore. De marquer sa peau au fer rouge, là où les coups des irlandais ne l'auront pas déjà teintée.

Vous êtes deux fauves qui cherchent à se briser en même temps qu'ils se baisent. S'empoigner pour se dominer l'un l'autre. Alors même que de tes reins tu continues de la posséder avec vigueur. Aucun de tes gestes n'est tendre. Tes doigts sur elle ne sont là que pour se planter avec fermeté et pour la maintenir dans la position dans laquelle tu la désires. Levrette exigée et imposée. Doigts tatoués qui pressent le crâne plutôt que de caresser les cheveux de feu, humides. Tu commets l'affront de la fesser. Parce que t'aimes bien trop ça la provoquer, quitte à ce qu'elle t'offre de nouveaux coups bien sentis. Quitte à ce qu'elle tente de t'ôter la vie. Qu'elle fasse donc si ça lui fait plaisir. Tu vis en sachant qu'un jour on te butera de toute façon. Parce que c'est ainsi que s’achèvera forcément ta course. En attendant tu vis ta vie comme ça te chante. Et prendre le risque de réveiller cet animal furieux, c'est agréable, c'est bon, c'est excitant. Tu t'imposes au corps féminin. Elle répond en plantant ses ongles dans la peau de tes cuisses. Avant que tu ne la redresses pour que tes doigts aient accès au bas ventre féminin. Qu'ils puissent se faufiler sur le bouton de plaisir que tu viens agacer avec une certaine tendresse. Juste ce qu'il faut pour ne provoquer que plaisir sur cette partie si sensible du corps féminin. Tu la sens qui se tend et qui se crispe toujours plus contre et autour de toi.

Toi qui continues de t'imposer entre ses fesses récalcitrantes. Tu sais qu'elle prend plaisir à tout ça même quand elle râle. Elle n'essaie même plus de se dégager de ta prise ferme sur elle. Au contraire. Son corps prend tout ce que tu lui offres et lui imposes. Ses mots en font que t'arracher un grognement et une ébauche de sourire. Elle te provoque pour te rendre fou, c'est tout. Tes doigts libres viennent tout naturellement s'enrouler autour de sa gorge pour lui couper brièvement le souffle et la coller plus étroitement contre toi. Ton bas ventre se frotte langoureusement contre sa croupe à chaque fois que tu te propulses en elle. La provocation vise sans doute à te faire perdre les pédales. D'autant plus que dans la foulée elle t'offre un coup de bassin bien senti pour te faire perdre l'équilibre. Tu grognes, mécontent et excitant tout à la fois alors qu'elle se retrouve au dessus de toi. Que son bassin se charge de la suite. Elle danse de nouveau sur toi. Roulant merveilleusement bien des hanches pour prendre tout ce qu'elle peut prendre. De toi, profondément planté en elle. Tu punis en laissant deux doigts se perdre dans sa moiteur et ta paume continuer le manège sur son bouton de plaisir. Tu possèdes encore pleinement son corps alors qu'elle te possède en retour. Vous êtes ainsi à égalité tous les deux. Face au plaisir également, qui continue de grandir et grandir encore. De gonfler dans vos deux corps transits de bien être absolu. D'extase grandissante. Tu serres les mâchoires et te tends à mesure que le plaisir grimpe. Conscient que l'orgasme est là. Qu'il n'y a que pour toi qu'il attend. Ta permission, pour se laisser aller à imploser/exploser en elle. Et c'est finalement dans un râle de plaisir que tu cesses la lutte et rejoint la rouquine toujours perchée au dessus de toi. Percuté par l'extase quelques secondes après elle. Sensations affolantes après lesquelles tu te laisses finalement basculer tout à fait en arrière, dans un ultime soupir de bien être.

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