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 (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna

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Message Sujet: Re: (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna   (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna - Page 5 Empty Mar 3 Sep - 21:48



cinquanta modi per dire addio
Gabriel - Annalisa

«Le plaisir présente un avantage : contrairement au bonheur, il a le mérite d'exister.» frédéric beigbeder
Tu repousses les limites, toujours plus. Ton corps est sur le point de claquer, il est fatigué et abîmé.  Tu te sens douloureuse, trop à l'étroit et pourtant tu retrouves comme un élan de vitalité. Comme une envie de sortir les dents une dernière fois, de donner un dernier coup de rein. De montrer que t'auras lutté, jusqu'à la fin pour essayer d'trouver un peu de lumière dans ce bas monde. Ce soir, t'as l'impression que c'est un peu moins pénible. Parce que ta solitude en a trouvée une autre à laquelle elle s'est mêlée. Vous vous serrez les coudes, en espérant que cela retiendra vos démons assez loin le temps de vous reposer. Tu ne penses à rien d'autre qu'à Gab. Sa douceur teintée de passion, ce côté affirmé et sûr de lui. Tu vibres entre ses doigts, sous ses coups de reins n'ayant pas de peine que de te faire gémir. T'aimes bien trop ça, te laisser aller lorsqu'il se retrouve en toi et il est clair que tu ne manques pas de lui faire savoir. Encore et encore, ton corps intime au sien de ne pas le lâcher. Car il pourrait bien en crever.

Tes instincts reprennent vie, la lionne se réveille finalement pour de bon et vient chevaucher le tatoué. Ce besoin de dominer, de mener le jeu qui ne te quittes pas. Tu t'animes de plus belle lorsque tu te trouves sur Gabriel pour le chevaucher tout ton être. Tes yeux se délectent des traits du tatoué, de ce plaisir que tu peux y lire. De l'envie aussi. Ton bassin va et vient, tes reins brûlent littéralement de ce feu vous consumant. T'en veux plus, tu ne le laisseras pas s'échapper avant d'avoir pu saisir les étoiles du bout de tes doigts. La chaleur a bien du augmenter de plusieurs degrés, au même rythme de ta peau qui s'est nettement échauffée elle aussi sous les caresses de l'encré. T'es cheveux ne sont plus qu'une vague flamboyante aux pointes dorées retombant sur vos visages lorsque ta poitrine vient trouver le torse tatoué. Ta main vient trouver sa gorge dans laquelle tes ongles viennent se loger. La politesse et la douceur commencent à se faire la mal, vous avez eu votre premier round pour ça. Maintenant, tu te laisses totalement aller à tes envies. Tu lui as dis de fuir, il est resté, prêt à en assumer les conséquences. Tu n'es que feulements tout contre sa carotide, lui offrant la pointe de tes canines acérées qui se mettent laisser leurs trace ici et là. Tes mouvements de croupe sont nettement plus désordonnés qu'il y a encore quelques instants. C'est bien trop bon, bien trop puissant. Et pourtant tu te contient, parce que tu veux lui en donner toujours plus.

T'apprécies lorsqu'il gronde, qu'il jure pendant que son membre te pénètre dans un jeu de bassin des plus endiablés. Vos dires n'ont pas grand sens, ne sont certainement pas les plus belles des paroles que vous pourriez échanger et pourtant tu n'as de cesses que de t'enflammer lorsque sa voix vient trouver ton ouïe lui étant entièrement dévouée. T'es transie, comme électrisée lorsque les doigts de Gabriel viennent s'entourer autour d'une mèche de tes cheveux pour te forcer à trouver de nouveau ses lippes desquelles tu es restée éloignée trop longtemps. Votre baiser n'a rien de tendre, il reflète totalement l'état dans lequel vous vous trouvez actuellement. Les dents s'agacent, les langues se retrouvent passionnément pour se livrer à un ballet des plus langoureux. Tu ne peux pas t'empêcher de rebondir contre lui pour autant, le claquement de vos peaux se trouvant être bien trop agréables à bien des points de vues. Tu n'as pas le temps de signaler ton mécontentement lorsque l'une de ses mains vient quitter tes fesses pour trouver ton dos et te faire basculer de nouveau contre le matelas. La danse reprend, elle ne s'est pas vraiment arrêtée non plus. Tes mains viennent se perdre dans ses cheveux, alors que tu tentes de réprimer une longue plainte de plaisir. Ton palpitant bat la chamade dans chacune partie de ton corps, y comprit ton mont de venus frottant contre le bas ventre de Gabriel toujours aussi furieusement.

Ses doigts malmènent ta cuisse délicieusement, tu lui offres en venant la presser encore plus fort contre cette étreinte. T'apprécies les marques laissées avec passion, alors qu'il se fasse plaisir. La tête de Gab vient trouver ton cou, ses canines traînent de parts et d'autres pendant que ta moiteur ne cesse de croître dans ton intimité investie du tatoué. Tu pourras pas te retenir bien longtemps, t'aimes bien trop ça. Et pourtant tu lui en demandes encore, encore et encore. "N'arrêtes pas..." Parce que t'es prête à exploser une nouvelle fois. Ses lèvres remontent, ta langue retrouve la sienne. Tes doigts à toi s'enroulent dans ses ses cheveux comme si c'était là ton unique centre de gravité, le seul moyen pour toi de te rattacher à la réalité tant tes sens s'emballent. Tu lui souffles entre deux baisers, que t'es sur le point de venir. De laisser cette vague de jouissance te balayer et l'inonder au passage ainsi que tes draps. Vous continuez de taper furieusement l'un contre l'autre, comme si vos vies en dépendait vraiment. Tu l'implores de te prendre toujours plus profondément, venir taper de façon furieuse et incontrôlée. Parce que vous êtes deux fauves, s'éprenant de l'autre en plantant vos canines sans cesses pour proclamer cette domination passagère. Vous échangez volontiers les rôles tantôt dominant ou dominé. Vous vous laissez allez à vos envies des moins sages.

Tu t'arraches à lui le temps d'un instant, sa virilité quittant ta chaleur pour retrouver son apparence arrogante, fièrement tendue. Tu récupères ta cuisse, roules sur ton autre flanc pour lui offrir une vue sur ton dos tatoué d'art japonais et tes fesses qu'il apprécie tant. L'une de tes mains se faufile entre ton corps et le matelas pour venir le replacer à sa place, c'est à dire en toi pendant que tes phalanges libres viennent écarter tes fesses pour lui dégager la vue sur ta croupe toujours aussi quémandante. Centimètres par centimètres, il te possède à nouveau de son entièreté. Tu te redresses sur l'un de tes coudes, ton visage tourné vers celui de Gab pour laisser tes prunelles s'ancrer dans les siennes. Il est foutrement beau, quand vous vous laissez allez ensemble.



(c) DΛNDELION



@gabriel dixon (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna - Page 5 2470315465 (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna - Page 5 2470315465
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Message Sujet: Re: (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna   (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna - Page 5 Empty Sam 7 Sep - 11:41




addio.
Le bonheur est une bulle de savon qui change de couleur comme l'iris et qui éclate quand on la touche.



T'es généreux jusque dans le sexe Gab. A penser à l'autre bien avant de penser à toi. Au plaisir de ta partenaire avant le tien, à tout prix. Mais ce soir / cette nuit, c'est plus vrai encore. Parce que Anna exprime son plaisir sans limite et sans hésitation aucune. Qu'elle n'est que vibration et plaintes d'extase, pour ton plus grand bonheur à toi. T'aimes bien trop le son de sa voix dans ce genre de moment. T'as certainement pas envie qu'elle cesse alors tu n'arrêtes plus de lui donner de bonnes raisons et de vraies occasions de poursuivre. Quand ce n'est pas de ta bouche joueuse, c'est de ton sexe profondément planté en elle. Vos bassins continuent de danser à un rythme infernal. Alors même qu'il s'agit de votre seconde étreinte. Tu ne te lasses pas. Et tu doutes fort qu'elle se lasse de son côté. Tu n'as pas cette sensation en tout cas. Alors tu ne profites que plus encore. Toujours bien décidé à t'éloigner aussi loin que possible de la réalité, en sa compagnie. T'envoler haut. Très haut. Elle se fait féline contre toi, la tatoueuse sexy. Qui n'hésite pas à planter griffes et crocs quand vos bassins se heurtent avec une certaine frénésie. Ses fesses claquent sur tes cuisses alors qu'elle te chevauche avec une sensualité ardente et fougueuse. Ses cheveux encore humides te frôlent de la même façon que ses pointes tendues contre ton torse. T'es incapable de la quitter des yeux. Au lieu de ça, tu la dévores du regard avec un appétit certain.

Tu perds le fil alors qu'elle même t'offre des mouvements de plus en plus désordonnés. Elle s'emballe, pour ton plus grand bonheur. Se donne plus vite et plus fort, sans avoir l'air de pouvoir tenir un rythme régulier plus longtemps. T'aimes ça. C'est le signe certain qu'elle est tout autant en train de s'emballer que toi. Tu n'es, forcément, que plus excité encore. Désireux de la voir et de la sentir poursuivre ainsi. Encore. Et encore. Tu fais basculer vos corps pour vous retrouver sur un pied d'égalité, à nouveau. L'un en face de l'autre, allongés sur vos flans. Vos regards assombrit par le désir qui n'ont de cesse de se retrouver, quand vous n'êtes pas trop occupés à vous dévorer/embrasser/mordre. Tu manques de souffle mais tu poursuis. Avec toujours une certaine rage dans les reins que tu laisses éclater. Comme si j'pouvais ... Que tu parviens tout juste à grogner alors que ta langue retrouve déjà la chaleur de sa bouche. Pour un énième baiser brûlant. En retour elle coince ses doigts fins dans tes cheveux noirs. Tire parfois plus fort quand l'un de tes coups de reins la fait tressaillir plus sérieusement. Mais elle finit par s'échapper la jolie italienne. Fort heureusement, pas pour longtemps. Elle enchaîne trop vite pour que t'ai le temps d'être frustré. Mais pas non plus le temps de reprendre ton souffle. D'autant plus qu'il se coupe quand elle t'offre une vue plongeante sur sa croupe tendue dans ta direction. Et que l'une de ses mains vienne embellir davantage encore cette vision.

T'es crispé au possible quand elle tourne la tête vers toi. Simplement parce que t'es bien trop en train de te laisser porter par le plaisir que tu prends à tout ça. Le plaisir que tu prends une nouvelle fois avec elle et grâce à elle. T'es bien incapable de te résonner en te disant que tu dois calmer les choses. Parce que dans le fond, il n'y a aucune raison de faire ça. A part te frustrer au possible. Vous frustrer tous les deux même. Ce serait dommage. Alors que vous partagez ces quelques heures ensemble, de la meilleure façon qui soit. Vos corps continuant de s'emboîter à la perfection. De danser toujours plus furieusement l'un contre l'autre et l'un dans l'autre. Les mouvements ne sont plus aussi réguliers et ordonnés maintenant que vous laissez parler le plaisir grandissant. Que vous êtes à la conquête d'un nouvel orgasme qui promet d'être destructeur encore une fois. Comme à chaque fois, tu n'attends que l'explosion du sien pour te laisser aller à ton tour. Toi qui profites encore de ces courbes qui s'offrent totalement à tes mains joueuses. Qui filent déjà la conquête de sa peau. Quand tes doigts encrés ne se plantent pas dans sa cuisse ou sur sa hanche, ils caressent l'épiderme tatoué.

Tu te retiens de lui faire remarquer à quel point elle est sexy, encore une fois. Mais tu n'en penses pas moins. Ton regard qui n'a de cesse de flirter avec son corps et son visage parfois tourné vers le tien, en dit bien plus encore. Dans cette position, ta main peut également échouer sur un sein que t'empoigne fermement. Que tu maintiens captif et empêche ainsi de danser au rythme infernal qui est le votre dans cette étreinte ardente. Tu peux également te faufiler entre ses cuisses et tu ne t'en prives pas. Tu grondes tout bas de constater encore une fois à quel point elle est trempée. Tes doigts taquinent le bouton de plaisir gonflé par l'excitation. Et de nouveau tu te fais impatient. Intenable Gab quand le plaisir te ravage de l'intérieur. Une nouvelle fois les corps basculent. T'es au dessus d'elle, dans son dos. Toujours vif mais désordonné, tu claques contre sa croupe légèrement relevée. Tu vas et vient plus rageusement encore. Tu ne fais plus montre de la moindre douceur tandis que tu heurtes frénétiquement son corps du tien. Faisant rebondir son bassin contre le matelas et heurter franchement ton bas ventre à chaque fois. Tes mouvements son plus courts pour être plus rapides. T'es à demi collé à elle, le souffle irrégulier et chaud qui vient caresser sa nuque quand ce ne sont pas de brefs grognements, jurons et son prénom, qui s'échappent de tes lèvres et qui viennent rebondir sur sa peau encrée. 

CODAGE PAR AMATIS



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Message Sujet: Re: (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna   (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna - Page 5 Empty Mar 10 Sep - 4:24



cinquanta modi per dire addio
Gabriel - Annalisa

«Le plaisir présente un avantage : contrairement au bonheur, il a le mérite d'exister.» frédéric beigbeder
Quand Gabriel est arrivé, t'étais prête à jeter l'éponge. A te taillader les bras jusqu'à ce qu'il n'en reste pas moins que d'la chaire abîmée. T'étais en peine, en proie à la rage et au désespoir. Tu sais pas vraiment ce qui a réussi à te calmer. L'aura bienveillante dégagée par Gab, les mots qu'il a pu prononcer, le calme qui c'est installé à son arrivée. Il ne t'as pas jugé 'lisa. Aucunement. Il s'est contenté de t'aider à nettoyer tes blessures, à trouver un peu de repos dans tout ce chaos. Il a su calmer tes envies de meurtre à ton égard, chasser le zombie amnésique de ta tête ne serait-ce que quelques heures. Car c'est trop pénible, trop douloureux que d'être le dernier vestige de votre amour ayant à peine vu le jour. Que c'est trop difficile à supporter, son indifférence à ton égard. Ces regards vides, dénués de cette étincelle que tu savais allumer autrefois par ta simple présence. Plus rien. Plus d'homme à demi vivant se rattachant à son apprentissage pour voir un peu de lumière au bout du tunnel, plus d'animal apprivoisé apprenant enfin à aimer quelqu'un d'autre que sa propre personne, plus de regards embrasés tout contre ton épiderme pour venir te réchauffer. T'as tout perdu.

Et pourtant, te voilà perdue dans les bras d'un infirmier tatoué à qui tu t'offres corps et âme. Parce que c'est bien trop bon, ce qu'il peut te faire ressentir en ce moment présent. Que t'es égoïste, prédatrice. Tu l'as prévenu, tu lui as demandé de te fuir. Il est resté, bien décidé à camper sur ses positions. Alors t'as laisser tes crocs s'enfoncer tout contre sa jugulaire battante, tes ongles venir tracer des traces rougeâtres qu'il portera plus que le temps de la nuitée pour marquer ton passage temporairement. Les choses ont dérapé rapidement pour votre plus grand plaisir, car il à répondu instinctivement à ton assaut. Te rendant tes baisers avec d'avantage de passion, tes caresses rendues avec davantage de précisions. Il est bien décidé à remettre en route ton palpitant d'une manière où d'une autre Gabriel. Peu importe si ça doit se faire en multipliant les orgasmes déjà bien nombreux. C'est comme s'il avait changé la météo de ton quotidien, te laissant entrevoir une belle éclaircie dans tout ce ciel noir gorgé d'orages des plus violents où la pluie s'abat en torrent et où les éclairs viennent déchirer l'étendue des cieux de part et d'autres. Il est venu adoucir cette douleur lancinante pour y apposer un pansement, certes temporaire, mais tellement libérateur rien que dans le but de te soulager. De prendre un peu de ta tristesse pour t'en délester et s'en séparer un peu plus loin. Il est là 'lisa. Là pour toi.

Et tu ne peux que lui rendre la pareille. Alors tu te donnes à fond, comme si tu vivais ta dernière nuit sur cette putain d'terre infâme. Tu lui donnes le bon comme le pire, la douceur comme l'animosité. Tu le sais qu'il est capable d'encaisser, capable de le supporter. Qu'il ne se brisera pas sous tes phalanges assassines et prêtes à en découdre. Alors tu chevauches furieusement, te contentes de feuler ton plaisir à gorge déployer pendant que tu vas et viens en claquant vos bassins l'un contre l'autre à un rythme des plus effrénés. Que le monde entier aille se faire foutre s'il n'est pas content, tu les emmerdes tous sans exceptions. T'as bien trop souffert, t'as bien trop encaissé pour refuser cet instant t'étant offert. Alors t'en profites, rend autant qu'il ne te donne si ce n'est plus. Parce que tu le remercies, d'être resté. De ne pas avoir fuis même si tu lui as soufflé maintes et maintes fois de le faire. Alors tu laisses ton corps parler pour toi, vos sens s'emballer pour mieux s'embraser au passage. Les rôles viennent à s'égaliser par un Gabriel toujours aussi joueur. Tu te retrouves sur le flanc, ta poitrine accolée à son torse pendant qu'il continue d'aller et venir comme un diable en toi ne manquant pas de faire grossir cette boule de plaisir dans le creux de ton ventre, signe de ta jouissance prête à déferler.

Alors tu te retournes, te sépares de cette étreinte des plus parfaites pour lui offrir à nouveau cette vue en plongée contre ta croupe humidifiée et ton dos où l'art japonais de ton maestro se veut dominant. Légèrement relevée sur l'un de tes avants bras pour mieux te délecter des traits durcit par le plaisir du tatoué, tu ne peux t'empêcher de gémir fortement lorsque le ballet brûlant de vos reins reprend. Ses mains aventureuses parcourent ton épiderme de part et d'autres, l'une se faufilant vers ton bouton de plaisir raidit et ne demandant qu'à te soulager dans un orgasme des plus dévastateur pendant que l'autre file de tes fesses à ta poitrine percée. Tu commences à ne plus en pouvoir, le plaisir n'a de cesses que de grimper tout comme la chaleur dans l'entièreté de ton corps. Il le comprend Gab, lui aussi vibre à l'unisson de vos mouvements désordonnés. Dans un élan dont tu aurais été incapable tant ton cerveau commence à se déconnecter sous la vague dévastatrice se préparant, les plaines de ton ventre plat viennent trouver le confort de ton matelas tandis que le tatoué toujours fièrement dressé en toi trouve place dans ton dos pour un levrette des plus endiablée. Tu ne peux pas retenir un juron, tu ne les comptes plus de toute façon tant ils auront étés nombreux cette nuit.

Les fauves sont lâchés, la douceur s'est faite la malle en même temps que vos palpitants. Furieusement, Gabriel va et vient en toi se laissant aller au désir de vos corps imbriqués l'un dans l'autre comme deux pièces d'un puzzle s'étant trouvées. Tu n'es capable que de t'agripper fermement aux draps de ton lit tout en grognant son plaisir, haletante. T'en veux plus, encore plus et tu lui fais savoir. T'accueilles chaque coup de butoir comme un miracle destiné à te maintenir en vie un tant soit peu. "Me lâches pas Gab." Que tu lui interdis,  traduction: t'es sur le point de jouir. Tu ne te contrôles plus, n'es que râles bestiales pendant que tu donnes tes dernières forces en te relevant sur tes paumes de main cambrant ton dos un maximum pour atteindre l'angle parfait, celui qui te fera chavirer à coup sûr si fort que t'en perdras ton italien. Alors il s'évertue lui aussi, donne ses dernières forces également alors que tu sens crépiter son membre dans la moiteur de ton intimité ne cessant de croître. Et c'est comme ça que tu t'abandonnes, tout en lâchant son prénom dans une plainte violente à la lune, faisant gauler les étoiles au passage. Tu te mords violemment, si fort que la rouille vient trouver tes papilles pour y laisser ce goût de fer que tu ne te connais trop bien. Ton corps entier se raidit, se contracte tout en relâchant cet orgasme que tu as retenu de ton mieux pour vos plus grands plaisirs. Le flot inonde Gabriel toujours en toi, tes genoux lâchent tout comme tes paumes te laissant t'échouer de nouveau contre le matelas tremblante de tout ton long.

(c) DΛNDELION



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