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 (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna

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Message Sujet: Re: (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna   (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna - Page 3 Empty Dim 18 Aoû - 18:28



cinquanta modi per dire addio
Gabriel - Annalisa

«Le plaisir présente un avantage : contrairement au bonheur, il a le mérite d'exister.» frédéric beigbeder
Le monde continue de vivre tranquillement, pendant que toi, monstre de tristesse t'attends patiemment la fin. T'attends presque sagement, presque sans provoquer le destin. Tu te contentes d'évacuer ta rage des seules manières que t'as trouvées. En balançant avec violence la peinture sur ces grandes toiles à l'aide de tes pinceaux. Les gouttes venant s'abattre à grande vitesse pour venir parsemer et assombrir le tableau à l'image de ton palpitant calciné et encore fumant présent dans ta poitrine te faisant un mal de chien. Car on peut pas crever de l'amour pas vrai? C'est pas ça que le médecin légiste inscrira sur son rapport quand il aura ton corps d'amener sur sa table. Non. Au mieux tu seras passée sous les roues d'une bagnole après avoir cédé à l'hésitation.  Au pire, tu t'passeras la corde au cou pour venir t'y balancer. Parce que combien même le manque de Jabez te tue, c'est bien trop malsain pour avoir ta peau. Ça serait trop facile, que de te donner cette satisfaction sans que tu ne souffres à ton tour comme lui il a souffert lorsque tu as tourné les talons la première fois pour t'enfuir le plus loin de lui que tu ne le pouvais.

Tu comprends pas pourquoi il ne te fuit pas. Pourquoi il est resté là lorsque tu t'es endormie après l'avoir étreint longuement en étant bercée par ses battements de palpitants. Tu sais pas pourquoi il se résigne à vouloir réchauffer ton âme, ton cœur aussi lorsqu'il te dit qu'il est là, qu'il ne t'abandonnera pas. Tu l'mérites pas, tu mérites pas cette douceur dont il fait preuve à ton égard. Tu veux pas être une énième connasse qui pourrait profiter de son temps ou bien même de sa gentillesse. Tu les mérites pas ces regards qui t'répètent "t'inquiètes plus, t'inquiètes plus". Pourquoi lorsque tu te montre menaçante, prête à laisser tes crocs acérés s'abattre contre sa gorge il reste là pour toi sans se démonter, sans ciller? Pourquoi est-ce que sa main vient trouver ton visage pour le relever tout droit vers le sien et venir chercher tes prunelles de ses opales sombres? Pourquoi est-ce qu'il s'efforce à vouloir remettre la machine en marche, avec ses lippes tentantes et son souffle chaud venant caresser ton visage? Et puis, pourquoi tu y penses à ses lèvres devenant subitement tentatrices? Car elles sont bien là, si proches des tiennes que tu pourrais fondre sur elles en un rien de temps. Lui montrer qu'il aurait mieux fait de fuir alors qu'il en avait encore le temps avant que tu n'cèdes à tes démons, avant que la lionne ne vienne de nouveau à l'attaque.

Tes phalanges assassines viennent trouver ses cheveux de jais, s'emmêlent dans les mèches pour venir tirer son visage vers l'arrière. L'eau continue de tomber, continuant de vous tremper jusqu'au os bien que ce soit actuellement le dernier de vos soucis aux vues de ce duel de regards que vous vous lancez. Tu comprends pas ce qu'il fait encore là, prêt à se faire dévorer. Tu lui auras laissé le temps, de te fuir. Tu l'auras mis en garde encore et encore. Il aurait du le voir que t'étais pas stable, prête à craquer de n'importe quelle manière tu jugerais bonne sur l'instant. Parce que t'es faible 'lisa, et tout ce que tu veux c'est savoir si t'es encore capable de ressentir quelque chose. Ta main glisse jusqu'à sa nuque pour venir rapprocher son visage du tiens. Vos souffles s'entremêlent, t'es incapable de faire preuve de sang froid plus longtemps et de te retenir éternellement. Tu cèdes à cet appel de proximité, viens poser tes lippes fatiguées tout contre celles de Gabriel presque comme une ultime défiance. Mais pas tout à fait, parce que ça crépite, dans ta poitrine. Que tu sais pas vraiment d'où ça vient, mais que c'est bien là. Tu feules, tout contre ses lèvres en donnant une seconde impulsion à ce baiser. Ce qui semble venir lui parler, car tu sens l'une de ses mains venir gagner ta chevelure flamboyante pour s'y perdre une nouvelle fois d'une façon brûlante. Sa langue vient trouver la tienne, avec une curiosité et une gourmandise manquant de te faire défaillir lorsqu'il se redresse pour venir s'accoler encore plus contre toi.

Vous perdez ce qui vous restait de raison, vos lèvres se mélangeant d'une manière fiévreuse. T'avais pas prévu, que ça tourne comme ça. Tu l'avais pas anticipé, ni vu venir. Tu pensais pas, que sa chaleur serait si communicative, si enivrante pour te donner envie de te perdre dans ses bras pour pouvoir espérer ressentir quelque chose. La moindre miette de quoi que ce soit. Comme à cet instant où tu deviens chose lorsque sa main se perd contre dos pour presser ta poitrine trempée toujours plus contre son torse. Dans un feulement tu quittes ses lèvres pour venir trouvé son cou encré que tu parcoures laissant dans ton sillon de nombreux baisers ardents. Tes dents viennent goûter également à sa jugulaire pour venir s'y planter tendrement pendant que vos bassins s'échauffent dans une danse que tu viens instaurer sous l'effet procuré par vos lippes se trouvant pour mieux s'abandonner et venir embrasser une autre zone de peau non loin. Maladroitement, tes mains viennent trouver le bas de ton ventre où tu viens saisir le morceau de voile blanc trempé te servant de haut. Toujours contre lui, tu viens faire rouler le tissu vers le haut pour t'en débarrasser et l'envoyer dans un coin de la cabine où il ne vous gênera plus. Compressée dans ton soutien-gorge de dentelle noire, tu reviens à la charge cherchant toujours plus ce contact de palpitant à palpitant.

Petit à petit, la froideur de ton âme et celle de la pluie s'abattant sur vous n'importe plus. Tu t'abandonnes entre ces doigts parcourant ton dos et tes cheveux, gémissante entre chaque baisers ardents. Ton bas ventre s'éveille, plus le creux de tes reins vient agacer Gabriel contre lequel tu te retrouves. Peut être que si les mots n'ont pas suffit, vos corps se mélangeant suffiront à te prouver qu'il reste bien quelque chose, au fond de ta carcasse que tu pensais inanimée.


(c) DΛNDELION



@gabriel dixon (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna - Page 3 946831849  (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna - Page 3 3794924939
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Message Sujet: Re: (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna   (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna - Page 3 Empty Dim 18 Aoû - 23:56




addio.
Le bonheur est une bulle de savon qui change de couleur comme l'iris et qui éclate quand on la touche.



La tension dans l'air, présente depuis plusieurs minutes déjà, vient d'évoluer. La chatte sauvage qui avait tout l'air de vouloir planter ses crocs dans ta gorge pour te convaincre de fuir, change de comportement. Ses mains sur toi sont plus douces. Tout comme son regard planté dans le tien qui brille d'une lueur nouvelle. Consciemment ou non, son corps est en train de remuer sur et contre le tien. C'est encore délicat, à peine perceptible. Mais assez pour que t'en prennes consciences. Et peu à peu, ça t'fait sauter l'cerveau. Le palpitant fait des siennes, ton regard s'assombrit plus encore et t'as bien du mal à ne pas lorgner sur ses lèvres si proches des tiennes. Dangereusement proches. Tu crains trop de mal interpréter les changements dans l'air, pour te risquer au moindre mouvement. T'as pas envie d'être le sale petit con qui aura profité d'une faille chez elle, d'un moment de faiblesse de sa part. Alors tu la laisses venir à toi. Ou ne pas le faire, peut-être. Tu patientes parce que t'es pas qu'un foutu pervers qui ne sait pas se contenir. Pourtant elle est vraiment jolie la tatoueuse. Tu l'as sans doute toujours pensé, parce que t'as des yeux faits pour voir. Mais ça ne t'avais encore jamais heurté de la façon que ça te heurte en cet instant. Alors que son corps semble appeler le tien et que son souffle vient te taquiner, lui aussi. T'es de plus en plus conscient de ses courbes qui se dévoilent sous le tissu trempé de ses vêtements. L'envie de la débarrasser de ces couches superflues, te heurte de plein fouet elle aussi.

T'es sage même quand elle rapproche son visage du tien. Tu l'es encore quand sa bouche échoue sur la tienne. Pas encore ... Une pression supplémentaire et tu réponds. Ta bouche curieuse. Ta bouche gourmande. Ta bouche qui se soude à la sienne et ne semble plus vouloir s'en décoller alors qu'elle ne s'entrouvre que pour laisser la possibilité à vos langues de se trouver. Et d'entamer un ballet des plus sensuels. Plus sûrement encore que lorsque tu l’étreignais avec douceur, tu sens le courant de la vie qui file de l'un à l'autre, qui vous lie et vous relie. T'oublies d'essayer de te battre contre ta raison qui te propose plutôt de prendre la fuite avant d'être une raison supplémentaire à la peine de la jeune femme. Vos lèvres se séparent pour vous permettre de retrouver un peu de vos souffles. Et permettre à Anna de laisser les siennes errer au creux de ton cou. T'en fermes les yeux tant t'apprécies la chaleur des baisers qu'elle dépose sur ta peau et les mordillements qui suivent. Tes veines sont en sens unique désormais. Tout ton sang afflue vers le bas et t'essaies plus de lutter contre ça. Impossible alors que son bassin danse doucement sur le tien. Presque tendrement. La chaleur soudaine de son corps suffisant largement à réchauffer le tien. Tu profites qu'elle se soit redressée pour retirer son tee shirt, pour retrouver ses lèvres des tiennes dans la foulée. Pour un baiser plus passionné encore. Plus profond. Ta langue mimant l'acte, au creux de sa bouche. Quand tu recules le visage, tu ne manques pas de coincer sa lèvre inférieure entre tes dents rien qu'une seconde ou deux. Taquiner et provoquer, même dans le sexe qui se profile. Surtout dans le sexe.

Et parce que la position ne vous permettra pas de retirer les pantalons encombrants, tu la repousses avec délicatesse pour te relever et l'entraîner avec toi. Debout, l'un devant l'autre, l'un contre l'autre, vous êtes sur un pied d'égalité. Plus encore quand tu te débarrasses à ton tour de ton tee shirt. La tension au creux de tes reins rend tes gestes fébriles mais étonnamment précis dans le même temps. Chaque seconde semblant être trop précieuse pour que tu prennes le risque d'en manquer une par un geste maladroit. Avec une douceur teintée de passion, tu la plaques contre le carrelage froid pour coller de nouveau ton corps au sien. Torse contre poitrine. Tes lèvres désertant les siennes pour atterrir au creux de son cou où ta langue vient taquiner sa peau. Récupérer quelques perles translucides. Tes doigts s'attellent déjà à faire sauter l'ouverture de son pantalon. S'ils restent lents, ce n'est parce que tu hésites à poursuivre. Discrètement, tu lui laisses surtout le temps de t'arrêter. Sans geste ou mot de sa part, tu glisses tes doigts dans le pantalon pour le faire glisser de ses fesses. Non sans une certaine difficulté qui te fait sourire alors qu'il colle à sa peau. T'as le regard qui pétille de ta malice habituelle quand tu le plantes dans le sien. Bien que teinté d'autant de désir que d'amusement en cet instant. Elle est en sous vêtement contre toi et t'es bien incapable de faire autrement que de contempler son corps presque nu. De prendre le temps d'en apprécier les courbes, les creux et les plats. Sa taille marquée sur laquelle tes mains échouent un court instant pour mieux dévaler la pente de ses hanches rondes et finalement aller se perdre du côté de sa croupe. Sur laquelle tes doigts se referment avec juste ce qu'il faut de fermeté pour ramener son bassin contre le tien. Les faire se percuter avec douceur. Danse des hanches qui s'appellent. Des corps qui s'interpellent. Des peaux qui s'apprivoisent.

CODAGE PAR AMATIS



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Message Sujet: Re: (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna   (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna - Page 3 Empty Lun 19 Aoû - 6:16



cinquanta modi per dire addio
Gabriel - Annalisa

«Le plaisir présente un avantage : contrairement au bonheur, il a le mérite d'exister.» frédéric beigbeder
La première fois où tu as rencontré Gabriel, c'était chez l'un des artistes où tu te trouvais en guest. Client du patron, il était de passage lorsque tu t'empressais d'attaquer du bout de ton dermographe une autre énorme pièce pour venir noircir l'épiderme offert à ton joug. Il s'est arrêté, il t'a sourit et a commenté ton travail en le complimentant. T'as relevé tes yeux sombres pour trouver les siens. Déjà à ce moment, il t'avait réchauffé un peu l'âme toi qui te trouvais à l'époque dans la détresse de la perte de Pierre. Tu lui as grommelé que si ça l'intéressait, t'avais encore de la place. Il s'est contenté de maintenir le sourire et de te réserver un créneau. Pas grand chose, tu t'es contentée de ses phalanges, endroit que tu aimes d'ailleurs beaucoup tatouer comparé à certains tatoueurs. Il s'est assit, est t'a observé sans broncher. De toute façon, t'aurais pas été en capacité de parler de grand chose d'autre que cette aiguille venant noircir ses doigts. Quand tu y repenses, déjà à cette période, t'avais pu remarquer qu'il était bel homme. Même endeuillée, il aurait fallu te crever les deux yeux pour ne pas reconnaître le charme communicatif de Gabriel.

Tu l'as retrouvé dans ton salon peu après ton ouverture, afin de retoucher son biceps et de rendre à sa grand mère ses couleurs datant d'il y a une bonne dizaine d'années si tu te souviens correctement des dires du tatoué. Forcément qu'une fois un peu plus penchée, tu t'es bel et bien rendue compte que son corps était fortement agréable à regarder et à couvrir d'encre. Son rire est agréable à entendre, tout comme sa voix pleine de sourires et de douceur. T'étais bien plus réceptive que lors de votre rencontre, t'intéressant davantage à sa personne et à ce qu'il pouvait apprécier. Gabriel n'en reste pas moins quelqu'un qui ne parle pas facilement de lui, après presque un an à vous connaître tu ne connais toujours pas sa profession, ou ses autres centres d’intérêts à part le tatouage et ses sorties avec ses amis. Dans ton travail de tatoueur, t'en vois passer des gens qui viennent à se confier lorsque ton dermographe vient les torturer pour apposer ton art sur leurs épiderme. Gab lui s'est contenté une nouvelle fois de t'observer religieusement sans trop discuter bien trop affairé à regarder le moindre de tes mouvements comme si ils le méritaient.

Jamais, tu n'aurais cru un jour venir poser tes lèvres tout contre les siennes. Jamais la pensée ne t'as traversée l'esprit avant que tu ne viennes céder pour lancer le début d'un échange fiévreux et passionné. Tu n'aurais pas penser qu'il vienne le prolonger non plus, sa langue venant trouver la tienne pour se lancer dans un échange de caresses. Ta peau froide pressée tout contre la sienne brûlante, vient picoter de façon agréable signe d'un réchauffement important. D'un instant à l'autre, tu as l'impression de t'embraser pour te laisser consumer par ce feu sacré unissant deux corps désireux de s'apprendre. La pulpe de tes doigts effleurent sa nuque et ses cheveux de jais tandis que tes lippes viennent se perdre afin de venir goûter à la peau fine de son cou sous tes canines aiguisées que tu laisses traîner de façon lascive le long de sa carotide. Vos bassins commencent à se chercher malgré les couches de vêtements gênantes. Tu décides dans un élan de lucidité de venir attraper le haut de ton débardeur en voile blanc pour t'en débarrasser et l'envoyer mourir dans un coin de la cabine commençant à s'embuer de vous souffles chauds malgré la pluie froide s'abattant sur vous n'ayant aucune pitié pour tes tétons percés dressés à travers ton soutien-gorge pressé contre le torse encré de Gabriel. Vos lèvres se retrouvent pour un ballet des plus passionnés, tandis que vous restez un instant comme ça à vous dévorer mutuellement dans un tonnerre de gémissements étouffés entre deux baisers.   

Ses dents viennent retenir un instant ta lèvre inférieure lorsque vos opales se retrouvent après être restées closes un moment. Le monde entier se met à tourner autour de vous, comme laissant la cabine de douche à l'italienne seul point stable ne souffrant pas de cette altération de la gravité. Tes fesses retrouvant un instant le carrelage du sol froid t'arrachant une courte plainte, le tatoué vient se relever tout en t'entraînant par les mains. Vous voilà face à face, lui te surplombant de toute sa hauteur venant couvrir ton mètre soixante cinq de sa silhouette ardente. Vos langues se retrouvent comme trop avides l'une de l'autre pour se séparer, l'encré vient vous mettre sur un pied d'égalité en venant ôter son tee-shirt laissant découvrir son torse encré à ton bon vouloir. Pas le temps pour toi de faire le moindre geste que ton dos viens taper avec douceur le mur froid de la cabine t'arrachant un léger hoquet de surprise. Son torse brûlant vient trouver ta poitrine serrée de façon aguicheuse dans ce soutien-gorge dont tu ferais mieux de te débarrasser rapidement. Sa bouche mutine vient abandonner la tienne étonnamment sage pour venir ton cou cette fois. Endroit le plus érogène de ton corps, t'arrachant une longue plainte de contentement. Ses doigts viennent défaire le bouton de ton jean qui ne manque pas de sauter de par leurs dextérité après t'avoir tenté bien trop longtemps. Tu ne peux que l'encourager en venant presser ton corps toujours plus contre le sien, gémissante de plus.

Non sans difficulté, ton jean vient finalement tomber le long de tes chevilles et tu t'en débarrasses dans un léger jeu de jambes. Ne te voilà uniquement vêtue d'encre et de dentelles, chacune de tes cicatrices étant apparentes. Tes prunelles ancrées dans les siennes que tu peux deviner aussi sombre que la pénombre résidant avant l'aube, elles semblent pétiller d'envie que de te découvrir inlassablement. Ses doigts viennent trouver à nouveau ta peau pour parcourir ton bassin puis fermement empoigner tes fesses pour attirer tes hanches aux siennes avec douceur. Vos lippes se retrouvent, et cette fois ce sont tes dents qui s'invitent pour maintenir la lèvre inférieure de Gabriel pendant que tes doigts de coton se mettent à l'aventure de sa boucle de ceinture qui ne tarde pas à sauter. Viens le tour de son propre bouton de jean qui vient lâcher lorsque vos langues s'apprivoisent de nouveau dans un échange effréné ne manquant pas de te faire défaillir.

Tu le sens, ton palpitant venir se réveiller peu à peu dans ta poitrine, comme si sa camisole chimique se voyait disparaître le temps d'un instant. Comme si tout se mettait entre parenthèse, juste pour penser à toi, et uniquement à toi. A ce besoin de te sentir vivante sous les doigts de l'encré t'attrapant avec passion pour mieux te ramener à lui lorsque de nouveau l'égalité se veut presque parfaite. L'envie de libérer ta poitrine pour pouvoir respirer un peu mieux en étant moins comprimée, tu viens prendre une nouvelle fois l'initiative que d'ôter ton soutien-gorge d'un geste plein de dextérité pour le faire chuter au sol également. Ta main droite vient finalement s'échouer contre sa nuque, le forçant à faire un pas vers toi pour toujours plus venir te caresser de l'entièreté de son corps. Vos langues se mêlant. Tu parviens à murmurer dans un élan de plaisir lorsque sa virilité bien éveillée viens trouver place tout contre ton entre-cuisse ardente malgré les derniers bouts de tissus. Ta main gauche quant à elle vient quitter le dos qu'elle occupait jusqu'ici pour aller se loger sous le boxer dangereusement comprimé pour venir caresser la peau douce de l'une de ses fesses et s'y planter avec gourmandise. Tes tétons percés dressés par l'excitation viennent trouver place contre Gabriel dont tu feules une nouvelle fois le prénom, le suppliant de bien vouloir te dévorer sur le champs.
(c) DΛNDELION



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Message Sujet: Re: (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna   (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna - Page 3 Empty Lun 19 Aoû - 21:25




addio.
Le bonheur est une bulle de savon qui change de couleur comme l'iris et qui éclate quand on la touche.



Tu ne regrettes pas d'être venu. Tu ne te sens plus tellement inutile maintenant qu'elle a cessé de lutter et de vouloir te foutre à la porte à tout prix. Certainement parce qu'elle t'a enfin pris au mot et cru quand t'affirmais qu'elle ne pouvait rien te faire. T'es pas complètement intouchable. Simplement habitué à la souffrance. Et personne ne peut te faire plus de mal que tu ne t'en fais à toi même. Tu penses qu'elle est enfin en train de se détendre Annalisa. De se dire que temporairement elle peut arrêter de lutter. Qu'elle peut juste enfin se laisser aller. Qu'elle ne craigne pas de jugement de ta part. Tu n'es tout simplement personne pour juger. Et parce que tu ne sais pas ce qu'elle traverse en ce moment, il y a moins de risque encore qu'il ne te prenne l'envie de donner ton avis. Même si déjà d'ordinaire tu n'es pas du genre à le faire non plus. Tu ne sais que trop bien rester à ta place. C'est bien pour ça que les gens s'imaginent que tu ne sais carrément pas faire. Que t'es juste bon à faire le con. A être sympa et à mettre l'ambiance. Ce qui n'est pas si mal non plus, de ton point de vue. Mais tout le monde ne pense pas forcément ainsi. Certains trouvent que t'en fais trop justement. Tu prouves aujourd'hui que tu sais rester mesuré. Que t'es capable de douceur, de patience et d'écoute. Tu ne t'attendais pas à ce que ça évolue au point que vous vous embrassiez dans sa cabine de douche. Que votre relation bascule de cette façon là. Qu'un désir purement sexuel s'éveille entre vous. Vous pousse à craquer dans cette douche à l'italienne.

Mais tu ne te plains définitivement pas de cette soudaine évolution. De cette amitié qui dérape. Plutôt que d'éprouver le moindre regret, tu fais le choix de profiter du goût de sa bouche et de la douceur de ses lèvres sur les tiennes. De son palpitant que tu devines battre au même rythme que le tien alors que vous vous serrez si fort l'un contre l'autre. De son corps qui danse doucement contre le tien, sur le tien, aussi. Juste de quoi achever de réveiller le désir dans ton corps. Bas ventre qui palpite d'envie de se perdre en elle. Un désir qui vous fait gémir à l'unisson. Qui fait vibrer vos corps toujours plus fort alors que vous les libérez peu à peu des couches superflues de vêtements. T'enchaînes rapidement, maintenant que tu perds peu à peu le contrôle. En vous relevant pour que vous ayez tous les deux le même impact sur l'autre. Tu te nourris de la longue plainte qu'elle laisse échapper au passage de ta langue au creux de son cou. Elle est réceptive. T'aimes beaucoup ça, bien sûr. Juste de quoi te donner plus encore l'envie de poursuivre ainsi. De la dévorer toute entière. Elle n'est plus qu'en sous vêtements et t'es bien incapable de faire autrement que de découvrir son corps de tes yeux sombres. Elle est diablement bien faite ... Et la dentelle qui colle à sa peau ne met que plus encore ses courbes en valeur. Malgré l'envie grandissante d'ôter le peu qui reste à retirer, tu prends le temps de la ramener contre toi. Coller vos corps, encore. Tes mains fermes enroulées autour de ses fesses délicieusement rondes. T'as un petit sourire quand, à son tour, elle provoque la fermeté de ta lèvre inférieure de ses dents. Qu'elle tire dessus pour te rendre la pareille tout en s'occupant de l'ouverture de ton pantalon. Tu n'as pas la moindre difficulté à te laisser ainsi faire. Que vous soyez de nouveau sur un pied d'égalité tous les deux. Les corps peu à peu libérés de vos prisons de tissu.

T'as la sensation qu'elle revit la jolie tatouée. Qu'elle met temporairement de côté ses problèmes pour vibrer entre tes bras. Ce qui te va bien. T'as pas le temps de la dévorer du regard, encore une fois, quand elle se débarrasse de son soutien-gorge. Parce que tu te laisses faire quand elle ôte ton pantalon et quand elle te ramène à elle. Que vos peaux entrent en fusion ensemble, s'embrasent ensemble. Bientôt, tu remues ton bassin contre sien. Pour apprécier la chaleur de l'intimité encore planquée sous la dentelle sombre, de ta virilité. Tu t'impatientes Gab. La folie du désir en toi te pousse à reprendre un semblant de contrôle. Tes lèvres dévalant rapidement la pente de sa gorge. Tes dents ne tardant pas à venir se perdre sur un sein, puis l'autre. Tu mords pour provoquer, embrasses pour apaiser, lèches pour dorloter. Avant de rejoindre une pointe tendue et percée. Sur laquelle tu joues avec une tendre insistance. Pas trop longtemps. Ton impatience te pousse à reprendre ton exploration. Baisers papillons sur son ventre plat tandis que tes doigts attrapent la dentelle pour l'en débarrasser enfin pour de bon. Son corps fièrement dressé devant toi, pleinement dénudé. Baisers nettement plus intimes lorsque tu te perds entre ses cuisses. L'une que tu l'incites à reposer sur son épaule pour libérer l'accès. Que ta bouche puisse dévorer. Lèvres qui aspirent les chairs moites, langue qui se faufile et explore. Tu goûtes à son désir. Tu joues pour l'éveiller plus encore. Pour le rendre aussi insupportable que possible, avant de lier vos corps pour de bon. Laisser l'excitation imploser. Vous péter à la gueule.

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@Annalisa de Bertolis (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna - Page 3 2781936883
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Message Sujet: Re: (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna   (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna - Page 3 Empty Lun 19 Aoû - 22:46



cinquanta modi per dire addio
Gabriel - Annalisa

«Le plaisir présente un avantage : contrairement au bonheur, il a le mérite d'exister.» frédéric beigbeder
Tu t'égares, petit à petit dans ce désir venant irradier ton corps froid. Peu à peu, tu te laisses sombrer dans cette douce chaleur venant t'entourer pour venir mettre tes sens ni dessus sans dessous. Tout ce sur quoi t'es capable de te concentrer, c'est les mains de Gabriel attrapant tes fesses pour t'attirer contre lui et vos langues se mélangeant passionnément. Tu n'es que gémissements et plaintes étouffées, te consumant sous le toucher des phalanges qu tu as encrée avec soin. Tu frissonnes à leurs contact, ils vous reste cependant bien des entraves avant de vous retrouver finalement peau contre peau. Pendant que l'encré vient capturer tes lèvres du bout de ses dents, des doigts font sauter la bouche de la ceinture pour ensuite s'affairer à faire lâcher le bouton de son jean qui ne t'opposes pas grande résistance. Tu peux le sentir, son sourire de coin lorsqu'il t'embrasse appréciant ta prise d'initiative quant à continuer à égaliser les scores. Parce que tu resteras toujours cette lionne affamée, spontanée laissant son corps parler pour elle dans ce genre de moments plus que sa raison.

De nouveaux baisers, une nouvelle fois vos corps se pressent. Tu ne te détaches de Gab uniquement pour te séparer du tissu couvrant ta poitrine. Tes seins galbés viennent apparaître fièrement, les barres en titanes traversant tes tétons te faisant frissonner d'un chaud/froid contre l'épiderme sensible de la zone. Ta main vient trouver sa nuque, l'attire à toi pour la énième fois. Plus question de fuir, de faire marche arrière. T'es pas capable de penser à quoi que ce soit si ce n'est à cette envie irrépressible de le découvrir encore et encore. De venir couvrir sa peau de tes lèvres, la recouvrir de tes gémissements de plaisirs et de satisfaction à chaque nouvel endroit où elles viendront se déposer. Son entrejambe se réveillant tout contre ton bas ventre ardent, tu le sens commencer à s'impatienter et peu à peu s'abandonner à ses reins se jouant des autres. Ses lippes quittent les tiennes pour venir s'échouer contre ta mâchoire puis dévaler ta carotide. Ta main s'étant frayée un chemin contre l'une de ses fesses vient remonter le long de son dos en laissant tes ongles venir marquer la chaire sous leurs emprise. Ses dents viennent trouver l'un de tes seins, t'arrachant une nouvelle plainte que tu tu peines à contenir. Petit à petit, c'est tout ton corps qui capitule sous le joug des lèvres de Gabriel venant te caresser de part en parts pour toujours continuer de descendre jusqu'à ton bas ventre, rempli d'abeilles assassines n'ayant de cesse que de bourdonner à l'intérieur.

Ta tête se balance instinctivement vers l'arrière et c'est l'entièreté de ton corps qui vient se cambrer lorsque les mains du tatoué viennent faire glisser le dernier bout de tissu encore présent sur toi. C'est son souffle chaud, qui vient à présent habiller le mont de vénus présent entre tes cuisses tremblantes, électrisées, sur le point de flancher. Tu ne peux empêcher tes canines de venir se planter sur la lèvre inférieure fermement pour te garder dans la réalité lorsque l'une de ses mains vient guider l'une de tes cuisses sur son épaule pour venir s'y reposer. Tu passes à la casserole, entièrement offerte, prête à être dégustée. Tu gémis nettement plus fort, lorsque ses baisers reprennent sur cette zone sensible qu'est ton intimité. L'une de tes mains vient retrouver les mèches de jais pour venir s'y entremêler pendant que l'autre vient se planter dans l'épaule libre de Gabriel. Tu peux bien retirer tes pensées de plus tôt, la gravité se retrouve bien altérée ici aussi, c'est ce que tu pourrais jurer lorsque le bout de sa langue vient se mêler à la danse ne serait-ce que pour te faire perdre pieds encore et encore. L'entièreté de ton corps se retrouve secoué de spasmes de plaisir, tant tu te laisses aller à ces lippes inquisitrices bien décidées à venir te découvrir en profondeur s'invitant tantôt sur ton bouton de plaisir bandé ou entre tes lèvres pour pouvoir venir goûter ton humidité ardente.

Il aspire, lèche, vient rencontrer de sa bouche la moindre parcelle de toi te rendant chose sous ses caresses. Parce que t'es pas capable d'autre chose si ce n'est que de répéter son prénom en gémissant comme une douce litanie destinée à te maintenir les pieds. Que lorsque ses mains viennent s'inviter pour mieux t'inciter à lui faire place, à venir ajouter encore une dizaine de degrés à la chaleur grimpant en flèche à chaque action de sa part. Tes joues se mettent à te brûler malgré la pluie toujours aussi froide venant s'abattre doucement sur elles pour tenter de chasser le rouge les gagnant. L'étreinte de tes doigts se referme de plus en plus, au fur et à mesure que tu sens la jouissance te gagner pour ne faire de toi une boule de plaisir ronronnante et palpitante d'un orgasme généreusement offert. Tu jures, tout en le laissant faire pendant plusieurs minutes. Viens alors le moment de non-retour, quand tout tes membres viennent se raidir pour te laisser exploser quand ses doigts viennent se mêler au ballet effréné destiné à t'emmener aux portes du septième ciel. Tu te mets à bégayer, pour finalement venir lâcher le prénom de Gabriel dans une râle de plaisir incontrôlable tapissant la cabine de douche.

Haletante, sur le point de t'effondrer, ta jambe maintenue vient quitter l'épaule sur laquelle elle se permettait de reposer pour venir faire basculer tendrement une nouvelle fois le tatoué contre le sol carrelé de la douche à l'italienne. Tes yeux ayant trouvé un éclat félin tout autre que celui de la lionne désespérée prête à attaquer, tu te veux chat venant fondre sur sa proie. Ton corps ne tardes pas à venir recouvrir celui de ton infirmier d'un temps pour que tes lippes viennent regagner les siennes le temps d'un instant. Les instincts primaires ayant bel et bien reprit leurs droits, c'est à ton tour de couvrir son corps de baiser pour venir le débarrasser de ce boxer bien trop superflu à ton goût. Ta bouche vient de nouveau se perdre tout contre sa jugulaire pour descendre jusqu'à son torse encré. Tu continues ta chute jusqu'à ses abdos dessinés que tu couvres de baisers passionnés laissant parfois traîner tes canines pour venir piquer son excitation ne serait-ce qu'un peu plus. Tes doigts ayant retrouver de leurs rigueur, ils viennent faire sauter la dernière pièce de tissu sombre te séparant du membre raidit par l'ambiance brûlante qu'a prit cette douche. Bien décidée à lui rendre la pareille pour cette vague de jouissance t'ayant secouée un peu plus tôt, c'est au tour de ton souffle de venir agacer avant de laisser tes lèvres s'éprendre de cette nouvelle zone à découvrir. Ta langue percée, bien plus impatiente quant à elle ne peut s'empêcher de venir traverser tes lippes serrées pour parcourir sur sa longueur la virilité offerte à tes caresses.Tant pis pour les apparences, tant pis pour le lendemain. Tout ce qui compte, c'est cet instant présent redonnant un peu de vie à ton palpitant meurtri.
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@gabriel dixon   (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna - Page 3 3740053451
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Message Sujet: Re: (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna   (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna - Page 3 Empty Lun 19 Aoû - 23:49




addio.
Le bonheur est une bulle de savon qui change de couleur comme l'iris et qui éclate quand on la touche.



L'eau froide qui coule encore sur vos corps de plus en plus nus, a su se faire oublier. La chaleur qui irradie de tous vos pores, réchauffent largement l'atmosphère et la température dans la cabine de douche. Toi tu ne penses qu'au contact de sa peau sur la tienne, au goût de sa bouche et à cette découverte qui ne fait que commencer. T'aimes ce que tu vois. Et ce que tu sens contre toi et sous tes doigts. Et tu ne t'en caches pas. Difficile de le faire quand le désir fait pulser le sang dans une partie bien précise de ton anatomie. Bientôt pressée contre son bas ventre, que t'imagines brûlant et trempé sans t'y être encore attardé de tes doigts. Les corps s'embrasent toujours plus et tu ne peux que t'impatienter. Tu la veux entièrement nue contre toi. Courbes à portée de mains et libérées de sa dentelle. Vos corps s'éloignent et se retrouvent sans cesse. Ballet sans fin qui trouve encore le moyen de t'exciter. Comme ses doigts perdus dans ses cheveux de jais pour t'attirer de nouveau à elle. Encore et encore. Tu ne te lasses pas. Tu te contentes de t'impatienter parce que t'as besoin de toujours plus, plus vite, plus fort. Alors tu prends. De toi même. Tes lèvres aguichent sa poitrine offerte. Tu joues des barres pour la provoquer un peu plus. Pour finalement aller te perdre plus bas encore. Au passage elle laisse ses ongles glisser dans ton dos. Griffer ta peau dénuée de tout tatouage pour faire certainement apparaître quatre traits rouges. Enfin, t'atterris entre ses cuisses qui s'ouvrent tout naturellement à toi. Elle est réceptive Anna. Très. Et ça te plaît. Juste de quoi te filer plus encore l'envie de poursuivre et d'aller plus loin.

Elle se cambre, tend son bassin en direction de tes lèvres qui se font tout autant gourmandes que joueuses. T'as plus conscience de rien d'autre que de ce corps parfait qui te domine, de son goût qui se répand sur ta langue et de sa façon de bouger plus ou moins consciemment. Les plaintes qui s'ajoutent à la partie pour te confirmer que tu fais bien. Que tu fais plus que bien pour la contenter. Ta langue est précise sur son bouton de plaisir. Provoque plus encore le gonflement, preuve apparente de son excitation. Les gémissements, porteurs de ton prénom qui s'échappent de ses lèvres entrouvertes, tombent un à un dans tes oreilles bien ouvertes pour elle. Pour capter chaque son qui s'échappe d'elle et t'en nourrir. Elle palpite tout contre ta langue. T'as la sensation qu'elle pourrait jour très vite. Alors t'ajoutes quelques doigts à la manoeuvre. Deux qui se faufilent au coeur même de son intimité. Qui dansent en son intérieur pour prendre plus de place encore dans le plaisir qu'elle prend et qui s'étire. Encore. Et encore. Qui gonfle. Qui se fait incontrôlable. Elle tire plus fort sur tes cheveux. Ta langue torture son bouton de plaisir avec plus de frénésie et tes doigts vont et viennent à un rythme certainement infernale. Pour elle. Pour son corps qui abandonne toute idée de lutte. Elle éclot autour de toi. Jolie fleur qui s'ouvre à la lueur de l'orgasme, pour ton plus grand plaisir à toi aussi.

Tes doigts ralentissent leur danse, ton regard se lève pour croiser le sien, embué de plaisir. Et déjà, elle vient te faire basculer pour que tu retrouves le sol de la cabine. De nouveau elle te surplombe, de son corps désormais nu que tu as tout loisir de contempler avant que sa bouche ne vienne recouvrir la tienne. En appuie sur tes coudes après avoir rabattu tes cheveux bruns vers l'arrière de ton crâne, tu te laisses aller. Lui rendant son baiser avec gourmandise, encore. Ta langue taquine de nouveau la sienne. Joueuse, toujours. T'ignores encore à quelle sauce tu vas être mangé. Et ça ajoute du piquant à la chose. Excitation, toujours. Accentuée quand finalement elle entreprend de descendre le long de ton corps. Ses lèvres découvrent à leur tour. Dessinent des routes invisibles à grands coups de baisers délicats et de coups de dents joueurs. Tu la suis des yeux. La dévores du regard quand elle tire sur ton boxer pour te le retirer. Tu redresses le bassin pour l'aider. Son souffle chaud qui caresse, t'arrache un frisson délicieux. Frisson qui se fait crispation de tout ton corps quand elle poursuit. Ses lèvres serrées, soit. Mais sa langue percée, surtout. C'est un juron qui vient briser le silence presque complet de la pièce. Suivit de son prénom, très vite. Alors que le métal taquine la peau fine et fragile. Toujours redressé sur tes coudes, tu ne manques rien du spectacle ô combien érotique qu'elle est en train de t'offrir. Sauf lorsque les vagues de plaisir se font trop intenses et que t'es bien incapable de ne pas laisser ta tête basculer vers l'arrière. Entièrement offert à sa bouche. A elle toute entière, s'il lui prend l'envie de passer à la suite. Ou de s'offrir de nouveau à toi. Toi et tout le désir qui t'habite. Les gémissements à peine audibles, se font bref grognements incontrôlables. Parfois tu redresses la tête pour la contempler, sexy comme jamais. Pour mieux la détourner ensuite pour lutter quelques secondes de plus contre tes envies animales. Rapidement, tes mèches de cheveux se font hors de contrôle et s'étalent sur ton front où se mêlent eau fraîche et perles de sueur.

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Message Sujet: Re: (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna   (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna - Page 3 Empty Mar 20 Aoû - 5:40



cinquanta modi per dire addio
Gabriel - Annalisa

«Le plaisir présente un avantage : contrairement au bonheur, il a le mérite d'exister.» frédéric beigbeder
Parce que bordel que c'est bon, de tout envoyer en l'air pour se laisser aller. Penser à soi, laisser parler ses instincts les plus primaires sans retenue. Ne pas réfléchir, laisser son cerveau en silencieux. La conscience sur répondeur, pour toutes réclamations, veuillez rappelez plus tard. Lorsque tu seras sûrement en train d'agoniser de nouveau, souffrant d'une gueule de bois des plus terribles avec cette même envie de mettre fin à tes jours. Peut-être qu'avant de partir, tu rédigeras quelques notes pour trop tard. Parce que t'as l'impression que personne te comprends, même pas toi même. Adulte ébranlée, manquant de s'envoler en un millier d'éclats au moindre changement. T'es trop sensible, tu prends les choses et les gens trop à cœur. Parce que t'es comme ça 'lisa, une nana bancale qui tend sa main pour aider et qui au final se retrouve les fesses par terre avec moins que ce qu'elle n'avait avant de chuter. T'as beau te relever, encaisser, espérer, ça fait toujours aussi mal de te prendre un revers du destin en plein visage. Tu t'y feras pas, ni maintenant ni jamais. T'as pas la force de continuer à encaisser, la vie est un calvaire. Un truc hideux, pervers, perfide. T'es au moment de ta vie où tu pourrais avoir ce que tu veux, sauf ces belles promesses formulées dans ce fameux bain.

La vie n'est qu'une suite de cycles, tu penses être heureuse et au final tu t'retrouves fauchée par le destin. T'as eu l'occasion de voir pas mal de personnes trop pressées partir avant toi, combien même elles ne le méritaient pas. Tu laisseras pas faire, tu laisseras pas la faucheuse continuer de venir tourmenter tes proches de sa faux acérée. Tu t'contenteras de rendre les armes d'une façon paisible, comme dans un dernier compromis, sans bruit. Ils seront mieux sans toi 'lisa, sans tes angoisses et tes crises de colères. Parce que t'es trop abîmée pour pouvoir continuer, trop fragilisée pour ne pas t'éparpiller aux quatre vents à la moindre bourrasque. Tu tiendras plus longtemps, tu l'sais au fond de toi. Ça fait partie des combats que tu pourras pas gagner, il te suffit juste de l'accepter, d'arrêter de te débattre. T'auras ça en moins sur les épaules, ça t'apporteras peut-être même un peu de paix. Fini de te tailler rageusement, fini de te souler jusqu'à ce que l'ivresse ne vienne te frapper pour te laisser t'éveiller difficilement le lendemain. Tu profiteras un maximum de ces derniers instants offerts, ceux qui te prouvent que ton palpitant est bien là, mais trop fatigué. Parce que tu pourras pas supporter un énième coup du destin, une perte de trop. Parce que si tu ne peux pas avoir l'israélien dans ta vie, tu n'en veux simplement pas.

Pour l'heure, tu n'es que gémissements. Ton corps se cambre entièrement sous les caresses buccales de Gabriel s'affairant entre tes cuisses. L'une de tes jambes vient reposer sur l'une de ses épaules pour lui permettre de venir te dévorer encore plus en profondeur pour ton plus grand plaisir. Son prénom vient tapisser les murs de la cabine de douche de nombreuses fois, s'échappant de tes lèvres dans de nombreux murmures de plaisir plus ou moins sonores en fonction des gestes de sa bouche venant attiser l'excitation toujours plus. Ses doigts viennent rejoindre la partie, s'insinuent en toi t'arrachant une nouvelle plainte, plus violente que les précédentes cette fois révélant clairement ton état. Ta tête se balance en arrière pour venir trouver le mur carrelé de la douche. Tes canines s'enfonçant sur ta lèvre intérieure pendant qu'inconsciemment tes doigts se resserrent autour des mèches précédemment saisies. Ton corps se met à trembler non pas de fraîcheur mais bel et bien en vue de ce premier orgasme prêt à te ravager entièrement pour te laisser pantelante, venir éclater tes dernières barrières. Rendant à césar ce qui est à césar, te rendant ton besoin animal de contact, cette envie irrépressible de saisir, posséder, agacer, torturer. Tu te laisses aller, tout contre cette langue aller et venant avec frénésie tout contre ton clitoris gonflé lui hurlant de ne pas l'abandonner.

Tu ne tardes pas à exploser tout contre sa bouche, tu bégaies avant de venir gémir son prénom une nouvelle fois dans une longue complainte. Il ne s'en va pas de suite non, il prend le temps l'encré. De savourer le moindre de tes soubresauts pendant que tes doigts se crispent de part et d'autres tout contre lui comme pour te raccrocher à la réalité. Ton visage vient retrouver le sien, lorsqu'il se décolle de tes cuisses ardentes pour venir chercher tes opales et se délecter un peu plus du plaisir se trouvant sur tes traits après y avoir vu tant de tristesse ces dernières heures. Les larmes n'ont plus leurs place, ni tes envies d'en finir sauf si c'est dans un dernier orgasme. La pointe de ton pied droit vient faire glisser lentement le tatoué une nouvelle fois contre le sol tandis que tu t'empresses de le recouvrir de ton corps nu entièrement nu, fatigué, tailladé, mais vibrant encore de plaisir. Maintenu sur ses coudes et ses avants bras, tu viens trouver ses lèvres pour venir y goûter le nectar de ton plaisir encore présent sur le bout de sa langue habile. Tu ne cherches pas longtemps avant de venir couvrir l'entièreté de son corps par tes lippes mutines cherchant à toujours faire grimper l'excitation à son summum.  Tu continues de glisser vers le bas, viens le libérer de l'emprise de la dernière pièce de tissu vous séparant aidée par son bassin se soulevant pour te faciliter la tache. Une fois le boxer ôté tu l'envoies voler dans le décor résider avec le reste de vos vêtements trempés là où ils ne pourront plus vous gêner.  

Ta langue, affamée, vient rouler le long de son membre jouant de ta barre de titane que tu fais rouler généreusement sur le haut de sa verge dressée pour ensuite venir la recouvrir de ta bouche dans une douce caresse humide. Rapidement, c'est ton prénom qui vient remplacer celui de Gabriel pour venir surplomber le bruit de l'eau s'abattant contre vos carcasses encrées. Il ne rate pas une miette du spectacle que tu lui offres lorsque ton visage accompagné de ta main gauche s'en vient quérir sa virilité pour aller et venir dans un rythme lent tout autour. Centimètre par centimètres, juste ce qu'il faut pour le rendre fou, ivre de toi. Juste ce qu'il faut pour à ton tour réveiller l'instinct bestial résidant dans le creux de ses reins pour le laisser de déchaîner dans un feu sacré. Ta main libre vient planter ses griffes tout contre son torse nettement dessiné de ses courbes parfaites ayant été couvertes également de tes lèvres un peu plus tôt lorsque tu entamais ton infernale descente entre ses jambes. Tes cheveux retombant en une cascade trempée tout contre l'une de tes épaules, tes yeux n'ont de cesse que de se fermer ou de venir chercher ceux de Gabriel lorsqu'il vient porter son regard sur ton dos entièrement recouvert d'art japonais, pouvant entre-apercevoir la fidèle pieuvre également apposée sur l'une de tes fesses.

Ta langue vient finalement abandonner le membre raidit par l'excitation pour te laisser te poser une nouvelle fois à califourchon sur le tatoué, tes mains venant chercher les siennes pour le forcer à se redresser. Son torse vient se presser contre sa poitrine nue, vos deux intimités venant s'échauffer glissant l'une contre l'autre dans des mouvements de bassins que vous ne pouvez contrôler. Tu ne sens que ça, sa virilité aller et venant tout contre ta croupe pour finir de déchaîner tes derniers instincts des plus sauvages. Ses mains retrouvent tes fesses tatouées pendant que tu laisses ton poids reposer contre tes genoux. Cinq de tes phalanges partent en direction de ses cheveux tandis que les cinq autres viennent le guider à l'entrée de ton intimité pour qu'il puisse enfin y pénétrer et que tout deux vous glissiez dans les nuits fauves. Et dans un gémissement, tu le laisse venir te posséder. Chassant l'astre lunaire pour accueillir celui solaire. Laisser baigner ton âme et ton corps dans une douce errance dont seuls les bras de ton infirmier sont capables de t'offrir. Parce qu'il à su réveiller ton palpitant, toi qui étais paralysée, apeurée, prête à bondir pour se protéger. Vos corps se mélangent, provoquent un tonnerre de râles toutes plus chaudes et sensuelles les unes que les autres. "Me laisses pas..." Que tu lui demandes entre deux baisers, souffle venu de nul part. Tu supporterais pas qu'ce soit un rêve et que le réveil se veuille des plus violents pour te rendre compte que t'es seule. Toujours aussi agonisante et prête à claquer.


J'ai besoin de toi comme d'un infirmier.
Que tu répares ma tête et mes sentiments,
Qui fonctionnent plus bien.
Que tu refasses mes stocks de sérotonines,
Que tu me dises que c'est rien.



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Message Sujet: Re: (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna   (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna - Page 3 Empty Mar 20 Aoû - 14:23




addio.
Le bonheur est une bulle de savon qui change de couleur comme l'iris et qui éclate quand on la touche.



T'as l'espoir que la jeune femme ne soit plus du tout en train de penser à ses problèmes. Qu'elle soit trop concentrée sur le plaisir que vous commencez à prendre ensemble, pour réfléchir à quoi que ce soit d'autre. Il te semble qu'elle est pleinement avec toi en cet instant. Physiquement et par la pensée. Qu'elle est toute concentrée sur ta langue qui navigue sur son corps. Entre ses cuisses ouvertes. Pendant qu'elle même joue à faire danser ses hanches pour revenir au contact de ta bouche qui goûte, dévore et provoque le plaisir. Elle se crispe autour de tes doigts quand tu les glisses dans ses chairs moites. Elle geint plus fort, répète ton prénom encore. Tu poursuis sans te faire prier. Tu prends ton propre plaisir à lui en offrir autant. Conscient que ton corps ne tardera pas à connaître les mêmes émois. Elle s'emballe de plus en plus et te le prouve en crispant ses doigts sur ton épaule, les autres perdus dans tes cheveux qu'elle tire sans douceur. Mais tout ça aussi ,t'es en mesure de l'apprécier. Tout ce qui prouve qu'elle prend son pied, est bon pour toi. Et justement, l'orgasme ne tarde plus. Il lui explose en plein visage et lui arrache de nouvelles plaintes. Tu redeviens doux alors que tes doigts poursuivent leur danse en elle, quelques secondes supplémentaires. Et que tes yeux dévorent le spectacle de son corps alanguit et de ses prunelles assombrit.

T'as un nouveau petit sourire joueur lorsque de son pied, elle te fait doucement basculer. Que tu retrouves ta place initiale, à même le sol carrelé. Avec son corps nu, trempé et vibrant, au dessus du tien. Elle t'apparaît de plus en plus sexy et désirable. Son visage qui n'exprime plus rien d'autre que le désir et l'envie de jouer encore. Sa poitrine ronde aux tétons percés te fait de l'oeil rien que quelques secondes avant qu'elle ne s'échappe. T'en as le souffle qui se coupe et les oreilles qui sifflent quand elle arrive à hauteur de ton érection. Son souffle chaud vient tendrement te cajoler. Alors que sous tes yeux, s'affiche son fessier tatoué, redressé par la position qu'elle occupe. Elle te fait bien trop d'effet. Et t'arrache tout de suite un grognement et un juron, lorsque de sa langue elle vient provoquer toute ta longueur. Elle te file une envie de plus en plus furieuse de la posséder. Ce corps chaud qui appelle le tien. La tension au creux de ses reins se fait insupportable lorsqu'elle s'attarde sur l'endroit le plus sensible, son piercing lui servant de véritable outil de torture. Clairement, ton coeur est à deux doigts de se faire la malle. A battre aussi fort, il ne va pas tarder à s'échapper de ta cage thoracique. Pourtant, t'es bien incapable de l'arrêter. Elle te fait beaucoup trop de bien. Encore, lorsqu'elle referme ses lèvres autour de toi et t'enfonce de plus en plus profondément. Nouveau gémissement incontrôlable. Accentué par le regard enflammé qu'elle t'offre et ses longues mèches trempées qui encadrent son visage et caressent ta hanche à chaque fois qu'elle monte et descend. Vision beaucoup trop érotique pour que tu sois en mesure de te contrôler.

T'es aussi soulagé que frustré lorsqu'elle retire la chaleur moite de sa bouche à ton membre. Mais c'est pour mieux revenir à toi. C'est de nouveau torse contre poitrine. Vos intimités n'ont jamais été aussi proches l'une de l'autre. Vos bouches se retrouvent dans un baiser des plus gourmands, que t'inities pour étouffer une énième plainte torturée tout contre ses lèvres. Sa chaleur te recouvre tout entier. Ses mouvements de bassin parviennent à faire grimper l'excitation d'un cran supplémentaire. La sensation de ses fesses contre ton membre n'aide pas non plus. L'envie de perdre tes mains sur ses fesses se fait de nouveau ressentir et encore une fois, t'y réponds. T'attrapes fermement et l'incites à poursuivre ses mouvements contre toi. Cette danse lascive qu'elle maîtrise à la perfection. La libération est douce lorsqu'elle te guide entre ses cuisses pour enfin t'accueillir en elle. D'un mouvement souple elle te laisse prendre place, entièrement. Je suis là. J'pars pas. Que tu souffles tout bas. Voix hachée par le plaisir mais assurance dans le ton tout. Sincérité dans les prunelles rivées aux siennes. Tes mains remontent dans son dos. Caressent sensuellement la peau tatouée avant que tes bras ne s'enroulent pour la serrer contre toi. Que sa poitrine se colle de nouveau à ton torse et que tes lèvres puissent errer du côté de son cou.

Cette peau qui se recouvre de chair de poule quand tu t'y attardes un peu trop. Tu sens son sang pulser frénétiquement, juste sous ta langue. T'apprécies chacune de ses vibrations, chacun de ses frissons. Et tu poursuis avec plaisir, tes bras autour de sa taille fine l'incitant à poursuivre quant à elle la danse sensuelle de son bassin. Jusqu'à ce qu'encore une fois la position ne se montre trop frustrante pour toi. Ou que la crainte de jouir trop vite ne te prenne, peut-être. Dans tous les cas, tu uses de l'énergie supplémentaire apportée par le désir, pour te relever. Vos corps toujours liés, tu la ramènes contre le mur. Tes mains sous ses cuisses pour la maintenir en équilibre et l'inviter à enrouler ou non ses jambes autour de tes hanches. Dans tous les cas, la position est amenée à changer de nouveau. Juste le temps de faire grimper le plaisir trop haut, trop fort, pour le couper en plein vole, l'arrêter temporairement et le relancer dans la foulée. De quoi prévoir un orgasme des plus retentissants. D'abord, tu gères les nouvelles pénétrations. Va et vient en elle de toute ta longueur et avec une certaine lenteur. Puis plus franchement. Coups de reins plus courts et plus secs qui secouent le corps féminin. Qui font claquer les chairs. Pour finalement revenir à la douce lenteur. T'alternes ainsi les cadences durant les minutes qui suivent. Tes lèvres tantôt sur les siennes, tantôt au creux de son cou. Ton torse parfois contre sa poitrine, parfois éloigné pour permettre à tes yeux de contempler sa poitrine secouée par les coups plus francs de ton bassin.

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Message Sujet: Re: (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna   (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna - Page 3 Empty Mar 20 Aoû - 22:23



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Gabriel - Annalisa

«Le plaisir présente un avantage : contrairement au bonheur, il a le mérite d'exister.» frédéric beigbeder
A cet instant la seule chose à laquelle tu es capable de penser est à quel point la chaleur du corps de Gabriel te fait du bien. A quel point ses lèvres tout contre ton mont de vénus t'ont faites perdre pieds pour te laisser éclater tel une bulle de jouissance autour de lui. A quel point tu peux le trouver attirant, son regard assombrit par le plaisir qui le gagne pendant que ta langue vient taquiner du bout de la boule de ton piercing le membre bandé offert à la passion animant ton corps. Un juron est lâché, très vite suivit de ton prénom plusieurs fois dans des râles de plaisir. Tu te laisses bercer par ce regain de palpitant, de férocité, parcourant l'entièreté de ta carcasse mise à nue. Le désir est présent, le désir est trop fort. Tu abandonnes les contrées de son bas ventre pour venir enfin libérer les dernières retenues et abattre les derniers murs. Tes mains venant gagner les siennes pour le ramener de nouveau tout contre toi, tu viens enfouir ton visage contre le sien laissant vos langues se mêler de nouveau. Il y a son coeur, qui pulse contre le ta poitrine comme pour lui inciter à faire de même, à ne penser qu'à l'instant présent vous unissant.

Transie, ne désirant plus qu'une chose, ta main venant guider son membre caressant tes fesses pour l'emmener à l'entrée de ton intimité brûlante d'une chaleur humide résiduelle de sa langue étant venue t'explorer plus tôt. Ses mains retrouvent tes fesses et la pieuvre y étant encrée pour te maintenir tout contre lui dans ces échanges de bassins lascifs. Une longue râle de plaisir s'échappe de ta gorge lors que peu à peu, sa virilité vient te posséder de sa longueur s'insinuant d'une façon délicieuse en toi. Tes mouvements de reins reprennent, lentement pour savourer chaque instant de ces allers et venus tout contre le tatoué. Tes lèvres trouvent fiévreusement ses lippes, toujours plus ardente de cette nouvelle liaison connectant vos corps l'un à l'autre dans un élan de plaisir commun. Ta voix souffle, implore presque. Tu pourrais en crever, s'il s'arrêtait. La sienne vient te rassurer. Il est là 'lisa, il partira pas. Ses bras viennent t'enrouler, te rapprocher. Ses lippes quant à elles viennent rejoindre les élancées de ton cou pour venir s'y poser ne manquant pas de te faire défaillir au passage. Tu n'es que vibrations et frissons, poupée de chiffon pourtant bien réveillée. Ton nez vient s'enfouir contre ses cheveux mouillés, ton corps surplombant légèrement le sien. Vous vous laissez aller comme ça un moment, savourant cette étreinte charnelle dans une symphonie de gémissements s'entremêlant.

Gabriel d'un geste habile et surement en se concentrant de toute ses forces pour ne pas vous faire glisser, vient vous relever sur vos deux jambes. Nouvelle position, étreinte différente, mouvements toujours aussi brûlants. Tes dents viennent saisir sa lippe inférieures qu'elles ne relâchent pas de suite tant le plaisir monte dans l'entièreté de ton corps offert. Ton dos retrouve le mur froid, venant le mordre agréablement. Maintenue par les phalanges encrées de Gabriel sous tes fesses, tes jambes viennent s'enrouler dans une légère impulsion autour de son bassin t'arrachant une énième plainte de contentement. Tes bras forment à présent un étau autour de sa nuque pendant que ta chute de rein vient épouser parfaitement les mouvements lents imposés par Gab venant se loger toujours plus profondément au cœur de ton intimité. Puis la cadence vient à changer, devient plus rapide, plus autoritaire presque te gardant toujours plus haut confinée au septième ciel. Sa bouche vient se perdre contre ta poitrine, vient une nouvelle fois agacer la pointe de tes tétons en faisant rouler les barres d'acier chirurgical de la langue experte. Puis elle se mutine, remontant de ton cou où il laisse traîner le bout de ses dents pour ta plus grande satisfaction et enfin arriver tout contre tes lèvres où vos langues se retrouvent. Son visage finit par quitter le tiens, se délectant de la vue offerte à lui de ton corps secoué par les soubresauts de plaisirs, et de ses coups de béliers invoqués comme un miracle.

Vos corps se mélangent tels deux œuvres d'art humaines, mêlant les styles d'encre apposés sur vos épidermes. Vos doigts saisissent de tout ce qu'ils peuvent les mèches de cheveux, les épaules, les bras ou bien même les hanches pour venir se rattacher un peu plus à cette réalité enivrante. Tu peines à retenir tes gémissements, réussissant à se frayer un chemin entre tes canines plantées tout contre le cou du tatoué d'un nouvel élan de passion. Ton dos cogne doucement contre le mur carrelé, venant rafraîchir ta peau subitement devenue irradiante. Ton rythme cardiaque s’accélère au moins autant que ton souffle se saccade. T'essaies de le repousser, ce nouvel orgasme venant pointer son nez rapidement pour venir faire vriller ton cerveau une nouvelle fois. Pas maintenant, encore un tout petit peu. Tu sais que tu peux te retenir encore un instant. Tu feules, te redressant légèrement toujours tenue fermement par Gabriel tenant sa promesse. Parce que ses yeux viennent toujours chercher les tiens, laissant vos prunelles se perdre l'une dans l'autre partageant ce moment ensemble. Sombrant à vos travers, vous laissant aller à ces envies de vous apprendre, de vous découvrir toujours plus. Parce que tes yeux, ils lui disent beaucoup d'chose pas vrai 'lisa? Qu'tu le remercies d'avoir répondu à tes messages même s'il a pas dû y comprendre grand chose. Qu'tu lui dis merci, d'être resté malgré ton état, malgré tes larmes. Merci, d'être là, à réveiller ton palpitant.

Tes jambes se desserrent, la pointe de tes pieds regagnant le sol doucement. Lentement, tu viens rompre cette étreinte intime pour laisser à ta poitrine le luxe de se refroidir et à ton cœur de se stabiliser contre la fraîcheur du carrelage humide. C'est ta pieuvre qui vient à présent être empoignée de la main du tatoué pendant que ta tête vient se pencher vers l'arrière trouvant son torse. Tu lui offres tes lippes, ton cou, l'entièreté de ton dos s'il le souhaite. D'un geste de bassin, vous venez vous rapprocher de nouveau, bien incapables de vous arrêter dans un si bon élan. Vos plaintes se retrouvent, vos prénoms s'emmêlent ensemble chaudement tout comme certaines de vos phalanges jointes en hauteur contre le mur de la cabine italienne. La danse reprend, nouvelle position, nouveaux plaisirs. Le mélange de cadence se veut partagé, tes fesses venant taper à présent contre son bassin pour mieux venir le chercher, épouser son membre raide un maximum pendant qu'il te fait perdre toute raison. Cette fois-ci, t'es incapable de te retenir plus longtemps. Tes doigts libres viennent maladroitement trouvée l'une des cuisses tendues de Gab pour s'y cramponner, le sol manquant de s'effondrer par la jouissance te tendant de nouveau les bras. Parce que c'est bien trop bon, bien plus que ce que tu ne peux retenir. Ta voix vient clairement fendre la nuit dans un juron, fendre vos râles pour exprimer la décharge orgasmique traversant ton corps. Tu t'efforces, de maintenir tes paupières ouvertes pour laisser le temps à te opales de chercher le regard sombre de Gabriel une nouvelle fois. Pour lui montrer, à quel point à cet instant, tu te sens bien et en vie.

(c) DΛNDELION



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Message Sujet: Re: (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna   (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna - Page 3 Empty Mer 21 Aoû - 18:13




addio.
Le bonheur est une bulle de savon qui change de couleur comme l'iris et qui éclate quand on la touche.



T'as pris ton pied à faire jouir la jolie colorée. T'en prends forcément plus encore maintenant que t'es entre ses mains. Entre ses lèvres, pour être plus précis. Sa langue qui te taquine / joue de la sensibilité de ton membre et de son bout surtout. Tu profites de chaque seconde que passe cette langue à te faire du bien et ces lèvres qui enserrent. Tu geins ton plaisir, l'extériorise en soufflant son prénom. Et elle trouve encore le moyen de te retourner le cerveau lorsqu'elle vient s'installer à califourchon sur toi. Qu'elle te guide directement à son entrée brûlante pour te permettre de t'enfoncer en elle. De nouveau, t'es percuté de plein fouet par une vague de plaisir des plus puissantes. De nouveau, tu te laisses submerger sans te faire prier. Tu t'exprimes sans retenue maintenant qu'elle danse sur toi et pour toi. Plus tu t'enfonces en elle, plus elle aussi exprime son plaisir. C'est bon. Vous êtes tous les deux d'accord sur ce point. Vos gémissements se trouvent étouffés par vos incessants baisers. Vos échanges toujours plus fougueux et profonds. Sensuels et profonds. Les plaintes féminines reprennent aussitôt que t'as libéré sa bouche de la tienne. Quand tes lèvres filent se perdre de nouveau au creux de son cou. Où tu peux parfaitement le sentir, son palpitant qui bat de façon désordonné. Où tu peux les sentir, les frissons qui parcourent son corps trempé. Tu le sais qu'il ne s'agit pas du froid. C'est le plaisir qui s'exprime de toutes les façons possibles. Qui fait vibrer tellement fort. Qui fait trembler de la tête aux pieds. Mais qui, dans le même temps, répand de sa douce chaleur dans les membres entremêlés.

T'entames une nouvelle chorégraphie quand tu te lèves en l'entraînant avec toi. Ses jambes fermement enroulées autour de tes hanches, son corps encaisse désormais tes mouvements de bassin. Tu grondes tout bas quand elle provoque ta lèvre inférieure. C'est toujours aussi agréable, tu dois bien le reconnaître. Toi qui vas et vient encore avec lenteur et sensualité en elle. Pour lui permettre de mêler ses mouvements aux tiens. Que vos bassins dansent le même rythme, que vos corps chantent la même mélodie. La position te permet aussi et surtout de te plonger de toute ta longueur en elle. D'en apprécier caque petit centimètre avec volupté. Et les sens s'emballent lorsque t'accélères franchement la cadence. Coup de reins après coups de reins, tu provoques le plaisir. Tu le titilles pour le faire venir à vous. A elle surtout. Que tu sens vibrer de nouveau si fort contre toi. Coups de butoir sonores durant lesquels tu la dévores. Tes yeux qui se délectent du spectacle de sa poitrine ballottée en tous sens. Quand ce n'est pas ta bouche qui vient les apprécier comme il se doit. Tes dents, tes lèvres, ta langue. Qui se perdent ensuite du côté de son cou que tu sais sensible. Tu fais tout pour lui faire tout à fait perdre la raison dans cette douche. Qu'elle oublie tout ce qui n'est pas ce corps à corps tantôt tendre, tantôt endiablée. Qu'elle se concentre uniquement sur le plaisir qu'elle ressent à se faire prendre de la sorte. Tu jures encore lorsqu'elle tire sur tes cheveux et plante ses dents dans ta peau encrée. Juste de quoi éveiller un peu plus l'animal au creux de tes reins. Te donner l'envie d'y aller plus vite et plus fort.

Vos regards embués de plaisir se croisent, tu ne cherches pas à fuir le sien. Au contraire, tu l'affrontes avec fierté et assurance. Et Anna qui ne tarde pas à dénouer ses jambes pour se libérer de cette étreinte. Temporairement, t'en es conscient. T'as le souffle court alors tu profites de ces quelques secondes d'accalmie pour tenter de le retrouver. Elle même est déjà en train de pivoter. De t'offrir le côté pile de son corps, aussi sexy que le côté face. T'apprécies la vision de ce tatouage impressionnant au moins autant que le contact de ce cul parfait, contre ton bas ventre. Qui s'y frotte rien qu'un court instant, avant que de nouveau vos corps ne fassent plus qu'un. Tu tentes de retenir le gémissement sonore qui t'échappes à cette nouvelle union. Difficilement. A peine étouffé par tes lèvres serrées. Vos mains se retrouvent sur le carrelage froid. Vos bassins reprennent le temps de s'apprivoiser dans un rythme lent. Mais qui s'accélère bien vite. La danse se fait frénétique. Tu gardes pourtant un semblant de contrôle sur toi. T'as envie de gagner du temps. De garder un peu de retenue pour vibrer dans la durée. Alors qu'elle même se fait désordonnée. Dans ses mouvements, dans ses plaintes de plaisir, dans sa main qui vient t'attraper une cuisse et y planter ses ongles. Tu ne ralenties pas la nouvelle cadence. Au contraire. Tu fais en sorte de la guider dans le nouvel orgasme qui vient la secouer de la tête aux pieds. T'enroules simplement un bras autour d'elle, juste sous la poitrine pour en apprécier encore le galbe parfait, pour l'aider à se maintenir en équilibre. Précaire, sur la pointe de ses pieds pour rester à bonne hauteur pour te maintenir en elle. Parce qu'à aucun moment tu ne te retires. C'est pas encore l'heure pour toi. Tu restes profondément fiché en elle et tu viens déposer un baiser joueur sur le bout de son nez quand elle tourne la tête vers toi. Tu t'arrêtes seulement de remuer en elle pour lui laisser le temps de revenir un tant soit peu à elle. Qu'elle retrouve un peu ses esprits et son souffle avant ta propre salve finale. Celle qui, partie comme c'est partie, lui offrira une nouvelle vague de plaisir qu'elle ne saura contrôler. Elle qui est si délicieusement réceptive et qui se laisse aller dans le plaisir sans retenue apparente. Rien que pour ça, t'as envie de continuer aussi longtemps que ton corps te le permettra. Pour le plaisir de la voir jouir, inlassablement. Tu lui laisses quelques minutes, avant de te rappeler à elle en glissant doucement dans ses entrailles encore palpitantes de son orgasme. Et en embrassant les parcelles de peau à portée de ta bouche.

CODAGE PAR AMATIS



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