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 (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna

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Message Sujet: Re: (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna   (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna - Page 4 Empty Jeu 22 Aoû - 4:15



cinquanta modi per dire addio
Gabriel - Annalisa

«Le plaisir présente un avantage : contrairement au bonheur, il a le mérite d'exister.» frédéric beigbeder
Tu découvres un tout nouveau Gabriel. Encore plus passionné, clairement moins discret. Une bouffée d'air frais alors que tu t’asphyxies, à la recherche de la moindre goulée d'air qu'on puisse t'offrir. Tu pensais pas toi, retrouver vie dans les bras d'un infirmier d'passage. Tu pensais pas, pouvoir encore faire preuve de passion, d'un peu d'vie. Et pourtant, il s'agite, ton palpitant. Il se secoue dans ta cage thoracique pour te maintenir éveillée combien même t'es fatiguée, combien même t'as tout envoyer en l'air. Le truc 'lisa, c'est qu'tu sais pas comment faire. Combien même t'aimerais ça, pouvoir abandonner et tout simplement t'laisser crever. T'en as bien été incapable ce soir, appelant au secours tes larmes roulant sur tes joues creusées. Parce que jusqu'à cet instant ou le plaisir se veut ardent, t'étais qu'une pâle imitation de toi même essayant de tenir debout sur ses courtes jambes. Tu t'es cassée la gueule en beauté, et pourtant t'es pas bien haute. Tu t'es écrasée de tout ton poids, brisant chacun de te os, te laissant désarticulée, incapable de fonctionner correctement.

Et pourtant, ton souffle se retrouve bien court. Tes mouvements parfaitement exécutés pour le rendre transit de plaisir au moins autant que toi. Parce que combien même tu t'sens sur le point de crever, tu t'permets un dernier élan de palpitant. Un dernier électro-choc avant d'pouvoir clamser tranquillement. Parce que tu tiendras pas longtemps comme ça, t'aurais bien pu y passer cette nuit. S'il n'était pas venu, s'il n'avait pas fait le déplacement. S'il n'était pas resté, s'il n'était pas là en train de te montrer que tu peux bel et bien ressentir autre chose qu'une immense tristesse te donnant envie d'en finir. Ton cœur s'est retrouvé comme électrisé, tout comme ta carcasse semblant retrouver de sa bestialité pendant que ton corps vient retrouver celui de Gabriel pour le surplomber. Tu l'as mis en garde, tu lui as demandé de fuir. Et pourtant, il reste là, entre tes griffes aiguisées et tes crocs acérés à savourer ce vas-et-vient contre la fente de ton intimité trempée de cette jouissance secouant encore ton corps de légers spasmes. Ton nez se perd tout contre ses cheveux humides pendant que tes doigts complices viennent le faire glisser en toi. Et c'est dans une longue complainte de plaisir, qu'enfin vos corps se lient l'un à l'autre dans un lent ballet de coups de reins.

C'est tout naturellement que tes jambes viennent trouver son bassin pour s'y nouer lorsque vos corps encrés viennent quitter le sol carrelé de la cabine de douche à l'italienne. Tu te remercies de nombreuses fois d'avoir pensé à faire les travaux dans la salle de bain tout particulièrement avant d'emménager, bien trop habituée à ton petit cocon napolitain après y être restée des années. Profitant de l'espace à votre disponibilité, ton dos vient de nouveau trouver l'un des murs pour mieux t'y redresser. T'accueilles, dans un tonnerre de gémissements, ces coups de butoirs assénés parfois avec douceur tout comme avec puissance juste pour le plaisir de te faire perdre toute raison déjà abandonnée il y a bien longtemps. Vos langues complices se trouvent par moment, pour mieux s'abandonner et explorer d'autres zones d'épidermes qu'elles pourraient avoir négligées. Tu restes féline, impose toi aussi ton rythme lorsque ton dos quitte le mur pour venir compter uniquement sur l'appui de Gabriel. A cet instant, tu es entièrement sienne, ne vibrant que pour cette étreinte réchauffant ta carcasse d'un feu ardent. Il en profite pour se délecter de la vue de ton corps secoué, de ta peau fièrement compressée entre ses phalanges que tu as toi même tatouées.

Tu perds la tête, lorsque les prunelles noircies par le plaisir et l'excitation de l'encré viennent percuter les tiennes pour s'y perdre un instant. Car ton plaisir ne fait qu'accentuer le sien, tu le sens bien. Il capture ton regard avec assurance et fierté. Le tien est quant à lui emplit de plaisir comparé au désespoir ayant fait briller tes opales pendant tant de temps. L'une de tes jambes retrouve le sol, rapidement accompagnée de la seconde. Tu viens briser votre intime étreinte pour te retourner tout contre le mur froid, offrant une vue tout autre à ton partenaire. Son membre bandé vient se dresser tout contre le creux de son bas ventre tandis que tu ne tardes pas d'y coller tes fesses pour continuer d'attiser le désir brûlant entre vous. Cinq de vos phalanges viennent s’emmêler et s'échouer contre le carrelage, tout comme vos prénoms susurrés pour faire gauler la lune Il ne faut pas plus qu'un simple élan de bassin pour que sa virilité vienne retrouver les contrées humides et désireuses de ton intimité t'arrachant un grognement de plaisir sourd. Tu ne peux rester sage bien longtemps, viens de nouveau imposer le même soutenu qu'il y a peu pour te mener égoïstement une nouvelle fois aux portes de la jouissance. T'aurais tort de te priver, pas vrai?

Alors tu te laisses aller, tu gémis plus fort, ton palpitant battant contre la main soutenant ta poitrine percée à chaque sein. Ta tête se bascule vers l'arrière, juste assez pour que le tatoué vienne déposer un baiser joueur sur le bout de ton nez appréciant de te voir te laisser autant aller. Tu sais pas t'retenir 'lisa, encore plus quand tes instincts les plus primaires reprennent le dessus pas vrai? Les coups de bassins ralentissent, pendant que ton corps se secoue de spasmes incontrôlables signes évidents de ta jouissance parcourant ton corps de part en parts. Tu retrouves peu à peu ton souffle, le prénom de Gabriel toujours bien présent sur tes lèvres. Son gland à l'orée de ton intimité, le tatoué vient te rappeler à la réalité en venant glisser de nouveau de toute sa longueur pour venir percuter le fond de ton bas ventre offert à son bon vouloir. "Putain..." T'arrachant une nouvelle plainte de plaisir, l'une de tes cuisses vient se soulever, rapidement retrouvée de l'une des mains du brun pour venir encore plus tenter le diable, toujours plus vous rapprocher. En équilibre sur une seule pointe de pieds, l'une de tes jambes maintenue vers l'arrière afin de faciliter la pénétration et d'offrir un angle encore plus parfait, les lèvres de Gab te parcourent entièrement. Tu pousses un juron, assaillie par le plaisir. Que ce soit ta chevelure flamboyante, ton cou demandeur de plus d'attention, tes épaules ou ton dos, partout où il peut venir apposer ses lippes le tatoué s’exécute

Ta main précédemment liée étroitement à la sienne vient la libérer pour l'amener jusque ton cou, lui soufflant l'idée de venir s'y maintenir pour te permettre de toujours plus épouser sa verge gonflée de plaisir et intimer à ton corps la façon d'onduler en fonction de ses allers et venus. Tu n'es qu'une boule de plaisir ronronnante entre ces mains, t'offrant entièrement. Tu roules des reins d'autant plus que son bassin s'active une nouvelle fois en toi. Tu peines à articuler ton plaisir, ton dos retenu tout contre son torse tatoué à quel point c'est bon. Tes jambes tremblent, presque incapables de soutenir ton maigre poids sous l'effet du plaisir t'assaillant. Il te tardes de continuer ces échanges passionnés sur un matelas, si l'encré te permet un second round après avoir éveillé l'animal éternellement affamé sommeillant en toi. Pour le moment, tu ne cèdes pas, laisse claquer tes fesses tout contre son bas ventre furieusement maintenant, toujours plus rapidement. Car la jouissance, tu veux pouvoir la lire sur son visage également, lorsqu'elle viendra s'éprendre de ses traits parfaits.


(c) DΛNDELION



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Message Sujet: Re: (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna   (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna - Page 4 Empty Ven 23 Aoû - 1:08




addio.
Le bonheur est une bulle de savon qui change de couleur comme l'iris et qui éclate quand on la touche.



Toi aussi tu commences à bien perdre la notion du temps, Gabriel. A ne plus savoir vraiment l'heure qu'il peut être et depuis combien de temps l'eau vous coule dessus comme ça. Alors que vos corps restent collés l'un à l'autre et s'emboîtent de façon tantôt sensuelle, tantôt intense. T'es uniquement concentré sur elle et sur cette étreinte qui dure. Toi qui veilles à ce qu'elle prenne autant de plaisir que possible. Parce que c'est ce qu'il y a de plus important pour toi dans l'immédiat. Un peu parce que ça t'aide aussi à prendre ton pied. Beaucoup parce qu'au fond de toi, t'oublies pas ta mission du soir. Et si t'y prends pas garde, tu sais que ses incessantes plaintes auront raison de toi. T'auras beau te retenir de toutes tes forces, arrivera un moment où ça te fera trop de bien. Trop de trop de choses. Comme ce corps féminin contre lequel tu te frottes si bien à chaque pénétration. La danse de vos bassins parfaitement emmêlés. Vous avez trouvé votre rythme. Même quand tu le changes pour accélérer ou ralentir, elle te rejoint très vite à tous les coups.  Certainement parce que vous restez ultra attentifs l'un à l'autre. Conscients uniquement de cette union des corps qui fonctionne. Parce qu'il n'y a que ça qui compte pour l'instant. Tu veux qu'elle n'ait que ça en tête. Qu'elle se concentre vraiment sur toutes les sensations de vos corps emmêlés et emboîtés l'un dans l'autre. T'as bien la sensation que c'est ce qu'elle fait et vit. Elle qui se donne complètement à toi et sans limite apparente. Qui danse contre ton bassin en mouvement. Jusqu'au moment où elle change la position. De nouveau sur ses pieds, elle pivote pour t'offrir le reste de son corps. Une vue plongeante sur sa chute de reins pour commencer. Et les tatouages qui viennent l'habiller de la façon la plus sexy qui soit. Faut dire que pour un tatoué dans ton genre, ça ne peut qu'être sexy toute cette encre sur un corps féminin.

Et tout naturellement, t'as vite fait de retrouver sa moiteur brûlante de ton membre. Énième vague de plaisir. Porteur d'un râle bien senti que tu n'essaies même pas de retenir. Qui empire aussitôt qu'elle remue ses hanches. Ses fesses qui claquent frénétiquement contre ton bas ventre. Y'a le juron qui fuse tout de suite. Un "putain" qui en dit long sur l'excitation qu'elle t'offre et t'inflige à la fois. Sur le pied que tu prends à la voir remuer ainsi contre toi/autour de toi. Elle se donne sans compter Anna. Les gémissements brouillons qui fusent. Ses mouvements désordonnés. Elle perd complètement ses moyens.  Jusqu'à atteindre de nouveau l'orgasme, pour ton plus grand plaisir. T'es si concentré sur sa jouissance, que t'arrives à retenir et ralentir l'arrivée du tiens. Pas encore. Pas tout de suite. Bientôt. D'abord tu la serres un peu plus contre toi pour l'aider à rester debout malgré les spasmes qui secouent de la tête aux pieds. Elle est sexy quand elle jouit Anna. C'est beau à regarder.  Elle a le souffle court. Tu lui laisses quelques minutes pour se remettre un peu, avant de bouger de nouveau. Rappeler à son corps que t'es toujours bien présent. Et elle réagit tout de suite. Le juron qu'elle gémit, les palpitations autour de ton sexe et sa jambe qui se lève. Que t'attrapes tout de suite fermement de ta main qui n'est pas déjà sur elle. Tes doigts fermement plantés dans sa chair ferme. Tu grognes alors que tes vas et vient te font te frotter plus encore à son postérieur. Tu recules longuement le bassin avant de plonger en profondeur. De nouveau lentement.

Tu laisses ta main sur son cou où elle l'y a déposé et te concentres tout de suite de nouveau sur tes coups de reins; Qui ne tardent pas à revenir leur cadence infernale. Vive. Coups de reins puissants qui te font se fracasser contre les fesses que tu marques certainement de rouge. T'ignores comment elle maintient cette équilibre malgré les deux orgasmes coup sur coup. Mais tu ne t'en plains pas. C'est bien trop excitant. Et tu prends un malin plaisir à la ravager de nouveau avec cette puissance. Et à accepter l'orgasme qui se présente de nouveau à toi. Que t'accepteras pour de bon. Que tu vas laisser enfler au creux de tes reins. Coup de reins après coup de reins, t'avances plus loin sur le chemin du plaisir. Tous les sens en éveille. Les gémissements et le claquement des chairs qui résonne dans la petite pièce, tombent agréablement dans tes oreilles grandes ouvertes. Sous tes doigts, sa peau hérissée de chair de poule. Doigts qui désertent la cuisse pour aller se perdre sur son bouton de plaisir d'ailleurs. T'es juste incapable de ne pas lui faire autant de bien que possible, non stop. Tes doigts tourbillonnent avec une douceur sauvage. Ton bassin fracasse encore et encore. Et la tension au creux de tes reins implose. L'orgasme se répand dans l'ensemble de ton corps. Electricité le long de ton échine. Frisson sur ta nuque. Fourmillements dans tes membres. Il te faut plusieurs secondes pour retrouver un tant soit peu pied dans la réalité. Pour ramener ta main sur le carrelage devant vous pour te maintenir en équilibre. A ton tour d'être sans dessus dessous. Le souffle court et le coeur qui bat la chamade. Encore à toi de lâcher un "putain" bien senti.  

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@Annalisa de Bertolis  (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna - Page 4 2781936883
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Message Sujet: Re: (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna   (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna - Page 4 Empty Ven 23 Aoû - 11:35



cinquanta modi per dire addio
Gabriel - Annalisa

«Le plaisir présente un avantage : contrairement au bonheur, il a le mérite d'exister.» frédéric beigbeder
L'état de transe, lorsque ton esprit est transporté si loin que tout te paraît étonnement lointain et réel à la fois. Tu t'sens légère et à la fois drôlement ancrée au sol sur la pointe de tes pieds soutenant ta jambe dans une position presque similaire à une danseuse de ballet si t'en avais intense soit peu de grâce. Tu te contentes de ronronner, gémissante de plaisir lui offrant l'entièreté de ton corps, t'abandonnant totalement à ces lents coups de butoirs t'excitants au plus haut point. T'as le souffle court, brûlant venant se perdre entre vos gémissements entremêlés. Il est beau, Gabriel lorsque sa peau nue se voir assaillie de plusieurs gouttes de pluie pour venir rouler le long de son épiderme. Lorsque son regard s'assombrit, exprimant cette excitation partagée à la vue de ton corps se tortillant un peu plus à chaque va et viens le long de ta fente humide, appréciant chaque mouvement. Tes ongles viennent saisir, se maintenir tout contre le tatoué à qui tu intimes d'aller plus ou moins rapidement, en encourageant ses roulements de bassin n'ayant de cesse que de te maintenir captive du septième ciel, un nouvel orgasme venant te tendre affectueusement les bras pour que tu puisses exploser une nouvelle fois.

Tu peux pas te retenir, pousses un juron bien clair venant résonner parmi vos râles lascives. Tes fesses tendues contre son bas ventre, sa verge toujours aussi raide venant te posséder de toute ton entièreté. Tu ne peux contenir la nouvelle vague de jouissance venant faire trembler ton corps d'un rythme différent. Tu palpites tout autour de lui, pendant qu'il reste bien sagement en toi, ralentissant la cadence une nouvelle fois afin de laisser le temps à ton cœur de se stabiliser et à tes esprits de te revenir petit à petit. Car tout devient douceur, d'une lenteur exquise te faisant vibrer tout autant. Ta jambe soulevée vient trouver place dans la main de l'encré, pendant que l'autre vient glisser tout contre ta jugulaire dans une tendre caresse. Tu le sens, commencer à perdre pieds lui aussi. Car à nouveau, les rugissements reprennent, la cadence devient de nouveau effrénée offrant à vos oreilles un tonnerre de claquements de peaux humides. Tu peux sentir ton épiderme s'échauffer, rougir par endroits lorsque Gabriel vient te donner tout ce qu'il peut afin de lui aussi profiter entièrement de cet orgasme ravageur semblant pointer son nez. Les rapports s'accélèrent toujours plus, les gémissements font maintenant place à de longues plaintes de bonheur que tu tentes de refréner quitte à mordre ta propre peau. Certaines de ses phalanges viennent quitter ta jambe que tu maintiens tendue pour venir trouver ton bouton de plaisir. Ses doigts foutrement habiles viennent à nouveau le gratifier de caresses en tourbillonnant sur ton clitoris.

Vient sa jouissance, l'explosion des sens. Tu peux le sentir avant qu'il n'explose, palpitant de toute sa puissance en toi pendant les derniers allers et venus, ses doigts se crispant tout autour de ta peau. Ta seconde jambe venant retrouver le sol lentement sans rompre l'étreinte vous unissant toujours. Vos corps basculent légèrement contre le mur carrelé, le temps de vous laisser souffler. La tête de Gabriel logée contre ta nuque, sa respiration ne manquant pas de te faire frissonner également, sa voix vient cette fois-ci jurer marquant son plaisir. Frottant ta tête tout contre la sienne un moment, tu viens lentement décoller tes fesses de son bassin ce qui t'arraches malgré tout une râle étrange mêlant impatience de plus et insatisfaction de devoir te séparer de lui. Ta carcasse tatouée ayant reprit vie sous les coups de butoirs de son infirmier d'une nuit, tu laisses ton corps retrouvant la pluie fraîche raffermissant ta peau électrisée et transie par le plaisir.  Tes mains viennent effleurer les côtes de Gab pour trouver le mitigeur dans son dos afin d'augmenter finalement la température. Ta peau retrouve finalement la sienne, lorsque tu viens de nouveau presser ta poitrine contre son torse, tes bras se nouant dans un étau autour de son cou. Il n'y a pas toujours besoin de mots, pour rassurer quelqu'un et lui dire qu'elle n'est pas seule. Ce soir, il te l'a prouvé en restant à tes côtés, cherchant à t'apaiser pendant que tu te retrouvais en proie à l'une de ses nombreuses crises de désespoir quotidiennes ces derniers temps.

Vous restez un moment, l'un contre l'autre à savourer le tremblement de vos corps et la chaleur passant de l'un à l'autre d'une façon communicative. Vous vous apprenez un peu plus, lorsque le gel douche s'invite entre vos phalanges que vous laissez à présent courir le long de vos corps d'une douceur extrême comme pour retenir chaque détails de chacun de vos tatouages. La mousse parcoure vos épidermes encrés de par vos mains aventureuses que vous laissez allez sans trop laisser place à la réflexion. Vos lèvres se retrouvent, d'une douceur passionnée qui semble être la votre. Gémissante de nouveau, lorsque vos baisers amènent le dos vierge d'encre de Gabriel contre la paroi vitrée de la cabine. L'une de tes mains se perd dans ses mèches de jais pendant que le reste de tes phalanges vient saisir son menton pour l'attirer un peu plus à toi. Libitina apaisée, lionne apprivoisée ne cherchant plus à mordre pour se protéger. Les braises ardentes dans ton bas ventre ne s'étant pas éteintes et te consumant toujours plus de cette envie de t'éprendre de lui, tu entraînes le tatoué hors de cette cabine italienne ayant été la scène de vos ébats un peu plus tôt. Les vêtements pourront bien attendre un peu avant d'être débarrassés, tout comme le désordre régnant dans ton appartement. Vous gagnez ta chambre non sans mal, vos lippes ne se quittant plus brûlantes de ce feu sacré continuant de brûler en vous. Ton dos vient chuter contre ton matelas, rebondissant légèrement rapidement accompagnée du tatoué dont le corps vient te surplomber, ses cheveux sombres venant chatouiller le bout de ton nez.



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Message Sujet: Re: (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna   (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna - Page 4 Empty Sam 24 Aoû - 10:21




addio.
Le bonheur est une bulle de savon qui change de couleur comme l'iris et qui éclate quand on la touche.



Vous n'êtes plus que deux corps enflammés qui se percutent sans fin. Passion féroce qui vous dévore tous les deux. Qui te rattrape alors que tu t'es retenu bien assez longtemps comme ça. Il est temps de te laisser aller. De te laisser envahir par le plaisir qui n'attend plus que toi pour s'installer dans l'ensemble de ton corps. Anna semble le sentir. Ou en être consciente. Elle t'invite à la rejoindre. A danser avec une rage sensuelle contre toi, devant toi, pour toi. Consciemment ou non, elle t'emporte et te transporte tout entier. Tes plaintes de plaisir qui se percutent elle aussi alors qu'elles dévalent trop vite de tes lèvres entrouvertes, témoignent du pied que t'es en train de prendre. Véritable ras de marée qui menace de te submerger. Pourtant tu penses encore à veiller sur le plaisir de la jolie tatoueuse. Qu'elle ne reste pas sans rien alors que l'orgasme vient tout juste de la submerger. Qu'elle ne soit pas simplement à encaisser son propre plaisir que t'attrapes enfin au vol. T'es tellement le contraire d'un égoïste, que le mot "généreux" semble ne pas être assez fort parfois, pour toi. Mais tu le prends enfin ton orgasme. Qui te tétanise pendant quelques délicieuses secondes. Pendant lesquelles tu serres un peu plus fort son corps contre le tien. A ton tour d'avoir besoin d'un point d'encrage pour ne pas perdre l'équilibre. Tu prends le temps de retrouver ton souffle aussi. Juste là, sur sa nuque tu balaies à chaque expiration. Et quand tu remues pour te redresser, elle en fait de même pour décoller vos corps. Te retirant par la même occasion de son antre brûlante. La sensation est vaguement désagréable, durant une seconde ou deux.

Mais elle la rend tout de suite plus agréable quand, une fois la température de l'eau remontée, elle ramène sa peau contre la tienne. Sa poitrine contre ton torse. T'as un sourire sincère sur les lèvres quand elle enroule ses bras autour de ton cou pour accentuer le contact entre vos épidermes tatouées. Sourire qui montre que t'es bien, là. Que tu ne regrettes pas d'être venu la retrouver. Pour l'aider, dans un premier temps. Pour l'apaiser, sur la durée. Que tu ne regrettes pas non plus d'être resté malgré ce qui ressemblait à des menaces de sa part. Tu regrettes pas, parce qu'elle a retrouvé le sourire et que c'était ton but en arrivant. Et parce que maintenant, elle a de nouveau l'air détendue. T'iras pas jusqu'à dire heureuse. Mais au moins, ses démons l'ont laissé tranquille. Et tu penses que c'est vraiment une bonne chose. Tu te dis que ça lui fait du bien. Qu'elle avait simplement besoin de s'évader un peu. Vous restez un moment immobile, juste comme ça à vous communiquer votre chaleur. Avant que les mains ne partent à la découverte du corps de l'autre. La mousse sur vos peaux ne tardant pas à apparaître alors que vous vous savonnez avec beaucoup de douceur. Les gestes sont doux, tendres, précautionneux au possible. Comme si vous craigniez qu'une certaine hâte puisse faire tomber le château de cartes fragile. Tout naturellement, les caresses appellent les baisers. Echanges tout en douceur là encore. Le sourire sur les tiennes alors que tu taquine ses lèvres des tiennes. Tantôt en mordillant, tantôt en suçotant. Tu joues un peu. Mais les baisers gagnent en intensité et tu te retrouves bien vite plaqué contre la vitre de la cabine.

Tu rends baiser sur baiser alors qu'elle perd les doigts d'une main dans tes cheveux et les autres sur ton menton. Tu laisses échapper un gémissement alors que la passion a vite fait de lier vos langues et de provoquer des décharges de désir. Encore. Déjà. Tu perds le fil de tes pensées. T'es même pas sûr d'en avoir un en vérité. Tu ne penses plus à rien, de nouveau. Tu ris un peu quand elle te tire presque de force hors de la cabine. Rire qui s'étouffe aussitôt que vos bouches se retrouvent. Se cherchent et se retrouvent pour mieux embraser vos corps de nouveau. Tu prends une profonde aspiration pour alimenter tes poumons tandis que tes doigts viennent se poser sur sa joue. T'as plus envie de libérer ses lippes tentatrices des tiennes. Et elle non plus en retour. Vous galérez ainsi à atteindre la chambre. Mais une fois fait, vos corps tombent sur le lit lui aussi en pagaille. Les peaux encore trempées et les cheveux dégoulinants. Elle semble s'en foutre alors toi aussi. Toi qui laisses déjà la passion te brûler de l'intérieur. Quand ta bouche libère la sienne pour attaquer la peau fine de sa gorge offerte. Tes mains restent sagement posées sur le matelas, de part et d'autre de son corps entièrement nu. Tu te mets au défis de ne la toucher que de ta bouche joueuse et gourmande. De tes dents surtout, qui se plantent ici et là. Assez fort pour provoquer la pointe de douleur. Mais pas suffisamment pour laisser des marques. Tu mords un sein, puis l'autre. Aspire les pointes tendues de tes lèvres. Et tu remontes pour retrouver la bouche que tu viens baiser de ta langue, en perdant une cuisse entre les siennes pour provoquer l'intimité que tu sens déjà brûlante. Le bouton de plaisir bien vite malmené avec juste ce qu'il faut d'insistance pour que de nouveau elle soit prête à te recevoir en elle.  

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Message Sujet: Re: (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna   (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna - Page 4 Empty Dim 25 Aoû - 10:45



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Gabriel - Annalisa

«Le plaisir présente un avantage : contrairement au bonheur, il a le mérite d'exister.» frédéric beigbeder
Gabriel te rejoint dans l'orgasme, ses mains se crispant tout contre ta fesse encrée de ta fidèle pieuvre se déversant en toi rageusement. A bouts de souffles vous venez retrouver le mur carrelé un instant le temps de retrouver vos esprits, vos épidermes tatoués haletants. Son visage se perd tout contre les contrées de ton cou pour s'y reposer un bref moment tout en savourant son membre toujours en toi, bien incapable de venir rompre votre étreinte sur l'instant. Vous vous redressez légèrement, vient le moment pour toi de rompre cette liaison ne faisant de vous qu'une seule et même entité. Tes doigts assassins viennent trouver le mitigeur afin de réchauffer l'eau tombant en pluie sur vous, finalement, rendant cette séparation entre vos deux carcasse moins désagréable. Tes lippes viennent trouver son sourire qui s'étend sur son visage lorsque tes bras se renferment tout contre sa nuque pour l'attirer un peu plus contre toi. Gardant toujours une parcelle de vos peaux ne se quittant pas, vous vous retrouvez savonnés la mousse s'invitant vous permettant de toujours vous apprivoiser un peu plus, découvrir les plaines de vos corps encrés.

Un sourire complice anime son visage lorsque vos baisers viennent se mêler vos langues se dévorant une nouvelle fois. Tu te laisses totalement consumer par cette passion vous animant, comme un dernier orage venant secouer ton être abîmé. La présence de Gabriel te fait un bien fou, infirmier, tentation bien trop grande à laquelle tu cèdes un peu plus vous noyant un peu plus dans les nuits fauves. Vous vous voulez tendres, démons en costumes d'anges venant s'apprivoiser petit à petit pour mieux se laisser aux caresses de l'autre parcourant votre peau encrée. Seule, tu ne ressens rien comme si ton âme avait cessée d'exister après avoir tenter de clignoter si fort, si rageusement. T'as essayer 'lisa, de reprendre ta vie en mains après la perte de Pierre en déménageant à des kilomètres à travers la mer pour ouvrir Thick as Thieves. T'as évolué du stade de résidente à celui de patronne gouvernant son propre empire. Et dire que tu lui avais offert une place, à lui, l'israélien dont le corps porte ton art sur son entièreté si ce n'est presque. Tu comptes plus les heures passées en sa présence, celles à le tatouer, ou bien à surveiller ses entraînements sur les peaux de cochons au moins aussi coriaces que son cuir difficile à tanner

Tes doigts viennent t'approprier Gabriel un peu plus ramenant son visage proche du tiens avant que tu ne te décides de quitter la douche après un très long moment passé sous cette eau glacée. Il te tardes de retrouver le confort de tes draps pour t'y perdre avec  le tatoué t'enivrant toujours plus de son odeur. Vous peinez, à retrouver le chemin de ta chambre dans cette galère sans noms dans laquelle tu as plongé ton appartement entre pots de peintures et bouteilles d'alcool vidées. Parce que t'étais bien incapable de te contrôler, laissant les pots colorés ouverts ici et là après que tu te sois servie rageusement dans une seule et unique teinte. Ton âme s'est retrouvée apaisée par une autre n'ayant que faire de tes blessures, les embrassant s'il le fallait pour les guérir intense soit peu. Il s'est posé tout contre tes plaies les empêchant de saigner un peu plus, t'épargnant à ton triste sort le temps d'une soirée, mais cette fois-ci réussissant à te faire oublier toute la pénibilité de ce bas monde devenu trop désagréable pour que tu ne puisses le supporter.

Ton corps vient trouver ton matelas non sans mal, le tatoué venant te surplomber de toute la splendeur de son corps que ton regard n'a de cesse que de dévorer l'appétit grand ouvert. Car il a réveillé ton instinct bestial le plus primaire, celui venant animer ta carcasse combien même t'es prête à claquer 'lisa. Vous venez tremper ton lit, bien humides de cette douche à laquelle vous êtes dérobés il y a quelques instants. Si lors de cette fameuse séance à retoucher son biceps on t'avait dit qu'il finirait dans tes draps tu te serais contentée de rire. Premièrement car Jabez étant dans ta vie et bien présent aucune intention d'infidélité pourrait te traverser l'esprit. Deuxièmement car Gabriel est un homme bien trop charmant pour embrasser la solitude et ne pas se faire apprécier à sa juste valeur. Les mains du tatoué ne te touchent pas, restent fermement contre le matelas pendant que sa bouche elle se veut rebelle. Il vient quitter tes lèvres pour explorer de nouveau ton cou et ta poitrine. De nouveau ses dents viennent agacer tes barres de titane transperçant tes tétons pour les faire raidir toujours plus. Tu ne peux contenir un gémissement de plaisir après tant d'attentions de sa part sur une zone aussi érogène pour toi. L'encré retrouve sa place entre tes jambes sans perdre temps après avoir couvert ton corps de baisers ici ou là en appréciant sa beauté animale.

Tu ne peux t'empêcher de t'agiter tel un diable en cage lorsque sa langue se pose de nouveau sur les contrées brûlantes de ton intimité ne cessant de le désirer. Tu te tortilles sous cette langue, contre cette langue devant de nouveau. Tes doigts retrouvent leurs place dans les cheveux de Gabriel pendant que ta carcasse vient à se cambrer signe évident du plaisir te gagnant de nouveau. Tes feulements portent une nouvelle fois son prénom et tu ne tardes pas à retrouver ton état gémissante, boule de plaisir offerte à ses soins. Plusieurs minutes passent, te rendant ton état de boule de plaisir gémissante aussi rapidement qu'il ne l'a fallu la première fois. Te plaçant sur tes avants bras, ton corps se relève légèrement pour te laisser apprécier ce spectacle donné par la tête de Gabriel s'activant tout contre ton mont de Vénus. Ta tête se balance vers l'arrière, se perdant dans le plaisir n'ayant de cesses que de grimper pour te rendre toujours un peu plus sienne entre ses doigts habiles. Bien trop impatiente, et te refusant encore un nouvel orgasme égoïste, tes mains viennent trouver l'épiderme encré pour l'attirer à nouveau contre toi son corps te recouvrant de part en parts. Ta main avec beaucoup mon de timidité que plus tôt vient guider son entrejambe vers ton antre brûlante visitée un peu plus tôt. "Gabriel c'est... Oh putain."  Toujours autant capable d'articuler ayant du sens, c'est dans un long mouvement de bassin qu'à nouveau le membre dressé du tatoué vient retrouver ton humidité précédemment quittée. Ta poitrine tout contre la sienne, l'un de tes bras noué autour de son cou de relevant légèrement à chaque va et viens pour mieux te transporter et te garder bien haut au septième ciel. Plus de tristesse, plus de démons, plus de Jabez. Tout ce qui compte maintenant, c'est cette sensation de palpitant engourdi. Un organe pas si oublié, fumant, en peine à s'remettre en mouvement mais qui retrouve un peu d'son vivant dans les bras de cet infirmier tatoué refusant de t'abandonner à ton malheur.

J'ai besoin de toi comme d'un infirmier
Que tu m'aides à trouver le sommeil
Qu'on se réveille dans des draps blancs
Que tu dises que c'était qu'un mauvais rêve
Que tout ça c'est derrière moi maintenant.


(c) DΛNDELION



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Message Sujet: Re: (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna   (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna - Page 4 Empty Dim 25 Aoû - 14:47




addio.
Le bonheur est une bulle de savon qui change de couleur comme l'iris et qui éclate quand on la touche.



T'es à peine conscient du retour lent à la réalité. T'es encore assommé par le plaisir que tu viens de prendre, contre elle et en elle. T'es pas mécontent de tout ça. Au contraire. Tu pourrais d'ailleurs rester des heures encore à simplement avoir son corps nu contre le tien. C'est tout sauf désagréable. Et elle semble être du même avis. Elle qui vient t'embrasser de nouveau. Elle qui lave ton corps de ses mains savonneuses et à qui tu rends la pareille sans tourner bien longtemps autour du pot. Retour à la lente sensualité dans vos caresses et vos baisers. Qui connaissent une pointe de bestialité quand elle te pousse contre la vitre. Juste de quoi faire naître un petit sourire de satisfaction sur tes lèvres. C'est presque malgré toi. T'aimes bien trop sentir le désir renaître déjà de ses cendres. C'est toujours tellement agréable de se sentir à ce point désirer. Et d'être en mesure de rendre la chose sans la moindre difficulté. Tu te laisses emporter par cette nouvelle vague de chaleur qui vous fait fuir la salle de bain. Le chemin jusqu'à la chambre est rendu difficile autant par le bordel qui traîne, que par vos lèvres qui refusent de se décoller. Tu grondes ta frustration quand vous êtes ralentis par quelques obstacles mais jamais tu ne te détaches de ses courbes délicieuses. Tes mains sur son corps nu veillent toujours à la ramener contre toi. Enfin le soulagement quand vous échouez sur le matelas. Les peaux trempées qui glissent l'une contre l'autre. Tu te serres contre elle. Presque persuadé de sentir les vibrations dans tout son être.

Tu veux la sentir trembler de nouveau sur ton passage. Alors tu parcours les courbes de ta bouche. Tes dents heurtent les barres de titane qui traversent ses pointes qui se tendent aussitôt. Qui répondent à l'appel et qui sont récompensées comme il faut. Tes lèvres aspirent, ta langue titille. Juste assez longtemps pour lui arracher une poignée de gémissements, avant que tu ne reprennes tout naturellement ta descente. Elle est sensuelle à souhait la tatouée sexy. Tu prends le même plaisir qu'un peu plus tôt, à dévorer ses courbes et sa peau. Plus encore, à aller te perdre entre ses cuisses qui s'ouvrent tout naturellement. Au premier coup de langue qui vient flirter, elle s'agite. Tu poses un regard taquin sur son visage. T'enchaînes avec un coup de langue plus appuyé encore. Langue qui danse de nouveau pour lui faire enchaîner les plaintes. Encore et encore. Tes doigts de nouveau de la partie eux aussi. Qui s'infiltrent dans sa moiteur et qui se tortillent en elle pour provoquer. T'es sans pitié quand il s'agit de la faire geindre de plaisir. Et elle te le rend bien à se tortiller comme une diablesse sexy. A se cambrer, à se crisper autour de tes doigts, à mouiller plus fort encore et à crisper ses doigts dans tes cheveux noirs. Cette fois ci, elle ne se laisse pas avoir la tatoueuse. Après quelques minutes de ce plaisir, elle t'arrête pour t'attirer à elle.

Et tu ne te fais pas prier pour revenir à sa hauteur. La surplomber de ta peau tatouée alors qu'elle te guide de nouveau en elle. C'est sexy cette façon qu'elle a de te prendre en main pour te guider à son entrée et te faire te planter en elle. Tu te joins à son mouvement. Ton bassin se pressant plus fort contre le sien pour te perdre entièrement en elle. Pour votre plus grand plaisir à tous les deux, alors qu'en réponse à ses mots, t'échappes à ton tour un juron. T'embrasses ses lèvres quand ton torse retrouve sa poitrine. Entre ses cuisses ouvertes, ton bassin entame de longs mouvements. De toute ta longueur tu n'as de cesse de la quitter pour mieux plonger de nouveau en elle tout de suite derrière. Et sans surprise, t'étouffes de nouveau soupirs tout contre ses lèvres que tu tortures des tiennes. Tu gardes ce rythme un petit moment. Avant de glisser tes mains sur ses bras pour qu'elle les décroche de ton cou. L'instant d'après, tu les lui plaques sur le matelas, au dessus de sa tête. La fait un peu plus captive de ce plaisir qui est le votre. Tes mouvements se raccourcissent pour se faire un peu plus rapides. T'attrapes ses gémissements en plein vol de tes lèvres qui embrassent les siennes et de tes dents qui taquinent. De temps à autre et sans prévenir, t'offres des coups de reins plus secs qui font se fracasser vos bassins l'un contre l'autre. Sans une once de douceur. Tu jures encore. Tu jures toujours. Quand ta langue n'est pas trop occupée à susurrer encore son prénom. Et tes hanches qui accélèrent encore et qui font se frotter vos peaux, on stop. Et tes mains qui libèrent les siennes quand tu te redresses. A genoux entre ses cuisses, tes doigts encrés attrapent ses hanches pour soulever son bassin. Tu la ménages de moins en moins. Ta danse est plus brute, plus ferme. Alors que dans cette position t'as tout le loisir de contempler ses cheveux étalés sur les draps clairs, son beau visage déformé par le plaisir et sa poitrine secouée par tes mouvements toujours plus vigoureux et plus fermes. T'aimes bien trop la façon qu'elle a d'exprimer son plaisir sans chercher à se cacher. Au contraire. Elle s'expose, se dévoile, se montre sans honte ni gêne inutiles. Elle s'offre toute entière, sans la demi mesure.

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Message Sujet: Re: (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna   (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna - Page 4 Empty Lun 26 Aoû - 21:12



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Gabriel - Annalisa

«Le plaisir présente un avantage : contrairement au bonheur, il a le mérite d'exister.» frédéric beigbeder
Qu'est-ce qu'il y a de si bon à vouloir ramasser les pièces d'un puzzle qui ne pourront plus s'emboîter? Et tu fais quoi toi si tu peux pas l'oublier? Qu't'y arrives jamais? Et il ce passe quoi? Si t'en as tout simplement pas l'envie? Ou la force? Comment tu fais si t'es trop faible, si t'as pas assez de volonté? T'es vraiment à chier 'lisa. Toujours te mettre dans des situations impossible ou ton cœur souffre bien trop. Ou tu te retrouve blessée, incapable de gérer. Alors tu t'renfermes dans cette spirale d'autodestruction dans laquelle tu te sens si bien, à l'aise, à la maison. Parce que si tu te l'infliges toi même le mal, alors plus rien ne pourras te toucher pas vrai? Si tu fonces toi même délibérément la tête dans le mur, ça prendra peut-être plus de sens lors de l'impact? Tu sais 'lisa, quand ton corps viendra à succomber, et que petit à petit le monde deviendra noir tout autour de toi. Combien de fois t'en as rêvé? De ce néant te tendant les bras pour venir calmer tes peins et t'emmener loin de tout c'bordel. de toute cette souffrance.

Ton dos retrouve la douceur de tes draps, et de nouveau la chaleur du tatoué vient couvrir ton épiderme. Vous n'êtes que passion, dans ces échanges que vous vous rendez dans un élan commun. Refusant de venir rompre cette étreinte que vous partagez, bien incapables de vous satisfaire de cette douche des plus agréables pour ne pas renouveler l'expérience. Il n'y a que ses lèvres et ses dents qui parcourent ta peau encrée, ses avants bras ne lui servant que pour se maintenir au dessus de toi pour l'instant. Ses lippes quittent les tiennes, pendant que sa langue entame une infinie descente le long de ton ventre tendu, encore perlant de quelques gouttes d'eau fraîches résiduelles de ce long moment passé dans la cabine à l'italienne témoin de vos ébats. Tu gémis, tes canines s'enfonçant pour la énième fois de la soirée contre ta lèvre inférieure pour retenir le plaisir montant en flèche lorsqu'à nouveau le souffle de Gabriel vient chatouiller ton mont de Vénus ardent, bouillonnant, suppliant. Car il n'y a plus de raison qui tienne, juste vos peaux se frottant encore et encore pour toujours plus s'apprendre, s'apprivoiser, mieux amener l'autre aux barrières d'un plaisir sans fin pour qu'il puisse s'y jeter à corps perdu. Tes hanches roulent, accompagnent les mouvements de la langue affairée à te faire feuler de bonheur. Tes mains se perdent contre les draps qu'ils viennent froisser encore plus qu'à votre arrivée, ils se perdent dans les mèches de cheveux sombres comme la nuit du tatoué pour s'y mêler, s'enrouler tout en suivant ces gestes de têtes.

Tu ne te laisseras pas exploser une nouvelle fois, pas sans lui en toi. Alors tes mains quittent ses cheveux pour lui intimer de remonter tout contre toi, son corps te surplombant une nouvelle fois. L'une de tes mains se faufile entre vos bassins pour guider son membre sur la route à suivre pour venir te posséder une nouvelle fois. T'es bien incapable de retenir un nouveau juron lorsque le tatoué glisse en toi de toute sa longueur pendant que ton second bras vient se nouer tout contre sa nuque pour l'attirer contre ta poitrine aux pointes percées dressées vers le ciel. Ses douces lèvres portent encore le goût de ton nectar de plaisir que tu peux déceler lorsqu'il vient t'embrasser de nouveau. Le rythme reste très lent, jusqu'à ce que le tatoué viennent bloquer tes bras au dessus de ta tête tout en les retenant d'une de ses mains. Les coups de butoirs se veulent secs par instants, ne manquant pas de faire résonner son prénom un peu plus fortement contre les murs de ta chambre pour les tapisser de ton plaisir. Recouvrant ceux laissés par un zombie à l'agonie par un tatoué infirmier prenant soin de toi comme personne ne l'avait fait depuis bien longtemps. En se souciant de toi, et juste de toi.

Tu te sens t'humidifier à ne plus en finir, pantelante à chaque coup de butoir asséné plus passionnément que le précédent. Les mains de Gab relâchent les tiennes lorsqu'il se redresse pour empoigner tes hanches avec fermeté ce qui ne manque pas de t'exciter toujours plus. L'instinct primaire reprend, les rapports s'accélèrent, deviennent délicieusement plus brutaux. Tes yeux maintiennent son regard, lorsque tes yeux ne se ferment pas pour pouvoir apprécier pleinement ce plaisir n'ayant de cesse que de t'extirper le prénom du tatoué entre tes lippes. Tu viens à te redresser sur tes avants bras, ton dos quittant finalement le confort du matelas pour accueillir encore mieux les allers et venus de l'encré. Ton corps ondule, va et vient avec le sien qu'il a su apprivoiser. Succombant à ton envie pressante de saisir à nouveau ses lèvres pour venir étouffer ton plaisir contre sa bouche mutine, ta poitrine retrouve son torse après quelques coups de reins. Tes jambes entourent son bassin, tout comme tes bras viennent trouver sa nuque à nouveau. Vous chevauchant l'un l'autre dans cette étreinte intimiste, plus rien ne compte si ce n'est vos souffles liés les uns aux autres tout comme vos bassins à cet instant.

Vous restez comme ça à vous unir un long moment, avant que tu ne viennes faire basculer le tatoué à son tour sur le dos. T'es joueuse 'lisa, de nouveau habitée par cet instinct félin et cette envie de contrôle. Dominatrice inavouée à tes heures perdues, tu restes la seule à chevaucher maintenant, tes genoux venant trouver place de chaque côté du tatoué. Tes reins entament une danse des plus endiablées et langoureuses autour du tatoué toujours raide au chaud entre tes cuisses. Tes mains voyagent sur son torse, son visage où tu laisses traîner ton pouce contre ses lippes tentatrices que tu t'empresses de venir saisir lorsqu'un coup de bassin bien senti manque de te faire gémir bien trop fort. Ton cœur palpite, ta moiteur n'a de cesse que de s'irradier toujours plus. Ta peau frissonne, brûle sous les doigts encrés par tes soins. "J'espères que t'aimes ça autant que moi..." Que tu susurres tout contre l'un de ses lobes d'oreilles lorsque tes vas et viens se veulent d'une lenteur extrême, laissant son gland ressortir pour mieux rentrer lentement en toi. Tu retrouves de tes couleurs dans les bras de Gabriel, de ta férocité. Nouveau gémissement, nouvelle morsure de tes canines tout contre sa carotide ouverte. Et la lionne s'éprit finalement de sa proie.

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Message Sujet: Re: (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna   (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna - Page 4 Empty Mar 27 Aoû - 19:55




addio.
Le bonheur est une bulle de savon qui change de couleur comme l'iris et qui éclate quand on la touche.



T'as presque oublié la raison pour laquelle t'es venue la retrouver chez elle ce soir, la jolie Annalisa. T'as presque oublié ces heures à tenter de la rassurer sur le fait qu'elle n'était pas seule. Et que toi, surtout, t'étais là pour elle. T'as presque oublié sa peine, son désespoir, les plaies sur sa peau qu'elle a fait apparaître pour apaiser les plaies de son coeur. T'as presque oublié mais pas tout à fait non plus. Alors que t'es là à te perdre contre elle encore. Toute cette tendresse qu'elle t'offre en réponse à la tienne et qui a le don de te faire du bien à toi aussi. Quand bien même elle ne peut évidemment pas s'en douter. Et t'as pas l'intention de le lui dire non plus. Tu te contentes de tout prendre et de te nourrir de tout ça. De cette étreinte brûlante aussi, et surtout. Toi qui goûtes encore sa peau sans pouvoir t'en empêcher. Qui vient cueillir quelques perles translucides à même son épiderme, vestiges ultimes de cette douche que vous venez tout juste de quitter. T'es joueur, pour ne pas changer. Toi qui joues contre elle et sur elle. Toi qui embrasses et mordilles, pour finalement aller te perdre entre ses cuisses qui s'ouvrent pour toi comme une fleur délicate qui veut se nourrir de soleil. Elle est délicieuse Anna. Tu ne prends que plus de plaisir à taquiner son bouton de plaisir de ta langue. Et à aller la goûter directement à la source. Où son plaisir se fait évident.

Elle t'encourage à poursuivre bien sûr, de ses mains perdues dans tes cheveux. Jusqu'à ce que le plaisir ne soit trop fort et que pour retarder l'orgasme certainement, il ne lui faille t'attirer de nouveau à elle. Que vos corps se retrouvent "enfin". Elle jure quand tu t'enfonces en elle. Toi, tu ne peux t'empêcher d'avoir tout de suite un petit sourire. Avant qu'il ne se transforme en rictus de plaisir quand t'entames tes vas et vient. C'est beaucoup trop bon, la sensation de deux corps qui se complètent temporairement de cette façon. Tu ne t'en lasses pas toi, Gabriel. Tu soupires d'aise quand elle attire ton visage près de ta poitrine. Que t'embrasses et mordilles de nouveau, avant d'aller retrouver sa bouche pour l'embrasser avec sensualité. A l'image de tes vas et vient encore lents entre ses cuisses. Qui ne tarderont pas à s'accélérer, pour sûr. Déjà, tu bloques tranquillement ses bras au dessus de sa tête, de tes mains qui emprisonnent ses poignets. T'aimes l'avoir à ta merci de cette façon. C'est tellement sexy ... Entre deux séries de vas et vient tranquilles, t'imposes des coups de reins plus secs et plus brutaux. De quoi arracher ton prénom à sa bouche sensuelle. Ce à quoi tu réponds par des plaintes gutturales. Qui viennent du fond de ta gorge. Qui roulent dans celle ci. Plus t'imposes des coups de reins violents, plus elle t'enserre en elle et s'humidifie de ce traitement. Plus tu t'excites, plus t'as envie de poursuivre, plus t'y vas franchement.

Tu ne tardes pas à te redresser d'ailleurs, pour y aller plus fort et plus vite. Tes mains qui emprisonnent ses hanches pour les maintenir bien en place pour mieux coulisser en elle. Encore. Et encore. Elle est beaucoup trop réceptive pour que tu te prives. Et surtout, beaucoup trop sexy alors qu'elle encaisse si bien tes coups de reins vigoureux. Elle se redresse, sur ses avant bras, pour tendre plus encore son bassin dans ta direction. S'offrir toujours plus à toi, avant de se redresser pour venir t'embrasser. Tu l'accueilles contre toi sans te faire prier, bien sûr. Tes mains sur ses reins désormais, pour la maintenir bien en place. Pendant que tu continues d'alterner entre mouvements sensuels et coups plus brutaux qui font claquer les chairs. Entre ces murs qui se renvoient les sons pour les faire échouer au creux de vos oreilles. Dans cette position, elle peut danser au dessus de toi. Joindre ses mouvements aux tiens. Mais ça ne dure que quelques minutes, avant qu'elle ne te fasse basculer. Tu te laisses faire bien volontiers. Un petit sourire qui relève la commissure de tes lèvres quand tu t'étales sur le dos, la belle amazone installée à califourchon sur toi. Elle a beau être la dominatrice en cet instant, tu ne manques pas d'offrir à son entre-cuisses trempée quelques mouvements de bassin plus francs encore que les siens. Plus vifs. Qui joue de ses reins à merveille. Qui roule des hanches au dessus et autour de toi. Qui danse avec une folle sensualité.

Tu ne quittes son corps du regard que lorsqu'elle se penche pour jouer de ses doigts sur toi. Ton torse puis tes lèvres. Le reste du temps, tu te nourris à volonté de la vue de ces courbes parfaites. Non contente d'avoir un corps magnifique, elle sait en jouer. De nouveau, elle est penchée au dessus de toi. Les pointes de ses seins frottent agréablement contre ton torse à chacun de ses mouvements. Tes doigts quant à eux, se faufilent de nouveau sur elle. Caressent, empoignent, se plantent, massent ici et là. S'attardent surtout sur ses fesses parfaitement offerte dans cette position. Impossible de faire autrement ... Que tu réponds, d'une voix toujours aussi rauque. T'es tellement sexy ... Que tu surenchéris, sans cesser de tâter la fermeté de ses fesses, quand tu ne descends pas sur ses cuisses en caressant avec beaucoup de douceur. Tu soupires encore, tu laisses échapper son prénom, tu gémis parfois, alors qu'elle continue de danser pour toi. Qu'elle te fait glisser de toute ta longueur surtout. Avec une langoureuse lenteur qui te fait un bien fou. Qui t'excite en même temps. Tu prends sur toi pourtant, en la laissant décider. Tu peux bien continuer comme ça des heures durant si c'est là son désir. Ses désirs sont les tiens cette nuit. Et nul besoin de te forcer à quoi que ce soit. La contenter te contente en retour. Ton trop plein de générosité s'est étalé sur le reste de ta personnalité il y a bien longtemps maintenant. Et tu ne le vis pas vraiment mal. Parce que t'es pas généreux au point d'être con et naïf. On ne profite généralement pas de toi.

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Message Sujet: Re: (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna   (hot/explicite) cinquanta modi per dire addio ± Gabanna - Page 4 Empty Ven 30 Aoû - 14:16



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Gabriel - Annalisa

«Le plaisir présente un avantage : contrairement au bonheur, il a le mérite d'exister.» frédéric beigbeder
Les corps se retrouvent, s'échauffent à nouveau au fur et à mesure que les épidermes ne se recouvrent. Tout est bien trop bon, Gabriel y compris. Tu comprends pas vraiment, comment ton palpitant s'est remit en marche. Ni pourquoi d'ailleurs. Mais il cogne, tout contre ta poitrine furieusement comme pour aller chercher celui du tatoué. Tu te dis que c'est un infirmier terriblement doué. T'en pouvais plus toi, d'entendre les sirènes à travers le double vitrage. Les rues joyeuses continuant leurs vies, pendant que toi tu restes dans ton appartement en les maudissant tous. Tous sans exceptions. Parce que tu pourrais mettre le monde à feu et à sang 'Lisa, si seulement ça te permettais de le retrouver. Si ça pouvais lui permettre de se souvenir de toi, de ces instants que vous avez partagés entre ces murs. Lorsque les deux vieux loups ont réussit à s'apprivoiser en imposant sa dominance à l'autre. Un éternel combat, une friction constante. Parce que c'est comme ça que vous fonctionniez le mieux, lorsque vos violences se mêlaient l'une à l'autre pour se tinter de passion et de sentiments réciproques. Enfin, ça l'était il y a encore quelques jours, avant cette tarée de Cara.

Tu te demandes si Gabriel est une bête féroce, ou bien un saint. Mais tout comme toi, il est un des autres. Une de ces âmes se contentant de tenir debout sur ses deux jambes, sans réels projets d'avenirs ou de rêve. Se contentant de vivre au jour le jour, pour éviter de trop maltraiter vos méninges tiraillées. Vous êtes de ceux qui cachent leurs balafres derrière de grands sourires et une bienveillance sans failles. Parce que le monde, il est en rien coupable de vos déboires pas vrai? Alors vous essayez de devenir des gens meilleurs, en espérant que ça va aller, que tout ça, ça sera bientôt fini. Parce que vous aspirez à mieux, malgré vos paumes ouvertes vos palpitants fatigués battant dans leurs creux. Parce que vous êtes déjà bien cabossés, qu'on vous a pas fait de cadeaux, parce que le blizzard, il épargne pas les gens comme vous. Il s'contente de les malmener, de ramener dans son vent de l'est tout vos démons pour mieux les laisser venir grignoter vos âmes. T'as eu l'impression de la voir briller dans ses yeux, la lueur de la souffrance briller dans le fond de ses prunelles un peu plus tôt lorsqu'il te répétait encore et encore qu'il ne bougerait pas, qu'il ne t'abandonnerait pas. Parce que tu ne lui fais pas peur 'lisa, parce qu'il le sait que tu ne veux pas lui faire de mal. Que t'es juste trop abîmée pour pouvoir faire tourner correctement les mécaniques, toi qu'on connaît pourtant si joviale et joyeuse.

Il ne s'en est pas allé, il est encore là contre toi, en toi. Ton corps se raidit lorsque tu viens accompagner son membre à l'entrée de ton intimité. D'un long coup de rein, son bassin vient taper délicieusement contre toi vous arrachant comme un hoquet de plaisir. Tu n'es qu'une boule de plaisir frémissante lorsque le torse de Gabriel revient se presser tout contre tes tétons dressés par le froid des barres de titanes les traversant. Sa bouche te quitte, par de nouveau à l'aventure qu'étant a la découverte de ton corps. Il mordille, agace, titille. Tu frémis, ne peux t'empêcher de vibrer alors que vos reins se lancent à nouveau dans ces échanges de roulement. Plus profondément, avalé par la chaleur de ton entre cuisses les allers venus reprennent. Les rythmes se mélangent, nettement animés par cette passion installée, grignotant votre raison un peu plus à chaque instants. Tu n'as que son prénom aux lèvres, que tu laisses s'échapper à plusieurs reprise le tapissant sur les murs de ta chambre vestige d'autres ébats des plus brûlants. Car ce que tu peux vivre en ce moment, n'est pas une lutte entre deux fauves ivres de domination sur l'autre. Ce que tu vis c'est un beau moment, où deux âmes se trouvent, se touchent, s'apaisent. Un échange, quelque chose qui dit, si tu t'arrêtes je meurs. Parce que t'es fatiguée 'lisa, d'avoir traqué les épiphanies. D'être sortie à moitié vivante de tes ordalies.

Les mains encrées de Gabriel viennent chercher les tiennes pour les relever au dessus de ta tête, bien maintenues en place par sa poigne douce. Tes cheveux tombent dans une cascade flamboyante de part et d'autres sur le haut de ton corps. Le plus rouge de tes cheveux caressant tes joues roses quant au pointes cuivre s'échouent contre ta poitrine et le matelas légèrement humide de cette longue douche où vous vous êtes précédemment lovés l'un contre l'autre. Le tatoué se redresse, ne manque pas une miette du spectacle que lui donnent tes courbes secouées par les coups de butoirs se voulant plus vigoureux. Tu ne peux pas t'en empêcher, de te tortiller autour de son membre te possédant entièrement. Vos ébats prennent une teinte plus chaude, plus sauvage lorsque ton infirmier tatoué laisse aller les coups de bassins d'une façon plus furieuse ne manquant pas d'aider à te mener un peu plus vers cette douce folie te tendant les bras. Tu pourras bientôt plus te retenir 'lisa, s'il te prend comme ça. Parce que toi aussi, t'as envie de le posséder furieusement. Parce que t'es comme ça dans le fond, ce besoin de contrôle et de mener la danse. Alors tu te redresses légèrement sur tes avants bras lorsque tes mains retrouvent leurs liberté. T'accueilles les claquement de peau, tes prunelles ardentes plantées dans celles de Gab.

Cédant à tes pulsions, tu viens te redresser contre le tatoué dont les mains viennent accueillir de nouveau tes reins pour te tenir en place accolée à lui. Tes mouvements de bassins sont dansants, rapides, dominants. Tu imposes ton rythme, te délectant du plaisir émanant de vos deux êtres. Parce que t'en veux encore, et encore, ce que tu ne manques pas de venir glisser à l'oreille de Gabriel dans de longs gémissements. Tu retrouves toute ta vivacité perdue lorsque tu lui laisses le plaisir de basculer sur le dos, te laissant la possibilité de venir le chevaucher d'une façon brûlante. Parce que c'est ce que vous êtes non? Deux flammes dansantes, se léchant l'une l'autre pour lui permettre de s'épanouir. Tu deviens joueuse dans ta dominance, tu lui demandes s'il aime ce qu'il voit, s'il aime ce qu'il ressent. Parce que toi 'lisa, tu t'accroches à ça comme une forcenée. La voix de l'encré que tu trouvais douce avant cette nuit se veut rauque, suave d'une autre façon ne manquant pas de déclencher un énième frisson général sur ta carcasse. Tu restes un moment, dressée comme une amazone tes fesses fermement maintenues par ces mains qui massent, malaxent, mordent par instants.  

"Prends moi bordel." La politesse s'est faite la belle il y a bien longtemps, t'es incapable de retenir tes pulsions, incapable de refréner tes envies. Ton mont de vénus trempé de ton plaisir vient frotter furieusement contre l'entre jambe du tatoué pendant que tu quittes la hauteur des airs pour venir coller ta poitrine à lui. Laissant la partie la plus intéressante du travail aux creux de tes reins, tes phalanges assassines viennent se perdre sur les plaines du cou encré de Gabriel. Tes ongles s'enfoncent doucement, bien plus que ces allers et venus à la cadence des plus folles. Tu prendras tout ce qu'il aura à te donner, même si ça vient faire caner ton corps fatigué. Tu t'amoches à fond, quitte à heurter le mur de plein fouet autant rendre l'expérience agréable. Après tout, on meurt qu'une fois. Alors tu donnes tout à Gab, comme si tu vivais ta putain de dernière nuit sur terre. Tu l'inondes de ton plaisir, lui offre ta rage et ta passion s'il en veut. Tes dents rejoignent tes ongles, t'étouffes un grognement alors que tu sens peu à peu ce flot ravageur grandir dans ton bas ventre furieux. Si tes désirs sont les siens ce soir, alors ils seront désordre.

(c) DΛNDELION



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addio.
Le bonheur est une bulle de savon qui change de couleur comme l'iris et qui éclate quand on la touche.



Ce soir, rien d'autre n'a d'importance que vos deux corps entremêlés. Perdus l'un contre l'autre et l'un dans l'autre. Tu te perds sans grand mal dans ces étreintes brûlantes qui vous consument à petit feu. T'es plus en état de penser à quoi que ce soit. A vrai dire, tu n'essaies même pas. Tu te laisses plutôt bien volontiers emporter par ce mélange de sensations et d'émotions. Y'a le désir qui tiraille tes reins et le plaisir qui torture tes sens. Tu prends le tout, sans rechigner. Tu prends et tu donnes surtout. Tu donnes démesurément Gab. T'as toujours fait ça. Offrir plus en retour que ce que tu reçois encore. Même si pour le coup, elle t'offre énormément la jolie tatoueuse. Tu te laisses faire bien volontiers et tu suis de la même façon, sans te faire prier. Vos échanges ne font que gagner en intensité, c'est dire. Désir insensé qui ne fait que croître. Concrètement, vous n'attendez pas grand chose de l'autre. Et c'est ce qui rend les choses plus belles encore. C'est ce qui te fait vibrer plus fort. Toujours plus. T'as aucune envie de mettre fin à tout ça. T'aimes bien trop ces moments où ton esprit se relie à ton corps pour te faire sentir à quel point t'es vivant. Annalisa a ce pouvoir là sur toi ce soir. Parce qu'elle a eut besoin de toi. Parce qu'elle semble reprendre vie tout contre ton corps aussi. T'es pas naïf. Tu te doutes que c'est temporaire. Mais le simple fait de savoir que tu peux avoir un tel pouvoir sur quelqu'un, suffit à te faire beaucoup de bien à toi.

Tu prends forcément beaucoup trop de plaisir à aller et venir en elle et sur elle. A frotter ton corps contre le sien. La fraîcheur de ses piercings contre ton torse qui ne fait que frôler sa poitrine. Tu sais que le plaisir est partagé. Elle ne s'en cache pas la jolie encrée. Au contraire. Et ça t'arrange. Tu sais quand tes doigts qui se faufilent sur sa peau ont l'effet escompté. Quand tes lèvres provoquent vraiment quelque chose. Tu le sais quand le plaisir grimpe encore et toujours plus. Un plaisir qui se mélange avec le tien. Ils ne font rapidement plus qu'un. Vous brûlez continuellement ensemble tous les deux. Ce soir c'est ainsi que ça fonctionne en tout cas. Le désir palpable. Qui fait vibrer l'air chargé en électricité. C'est intense. Toujours plus. Vous ne vous cherchez plus, vous vous êtes trouvés. Mais le plaisir sera aussi incroyable que votre première étreinte dans la cabine de douche, c'est évident. Anna qui n'a de cesse de joindre ses mouvements aux tiens pour t'achever toujours plus. Elle danse pour toi. Son bassin qui se mouve contre le tien pour rendre les vas et vient plus profonds encore. Et plus intenses. Vous avez beau vous êtres trouvés, vous vous cherchez encore, d'une certaine façon. Elle te le prouve en reprenant le dessus pour être celle qui danse le plus furieusement. Et elle est belle quand elle se donne comme ça. C'est que t'en perdrais presque tes moyens Gab, alors que tu mattes ouvertement. Que tu te nourris de la vision de ses courbes qui se déchaînent sur toi. Tu ne manques d'ailleurs pas de la complimenter. De lui souffler à quel point tu la trouves sexy en cet instant.

Plus elle danse de cette façon sur toi, plus Anna semble s'emballer. Ce qui n'est pas fait pour te déplaire. Tout au contraire. T'aimes la voir perdre pied, peu à peu. T'as un petit sourire quand elle gronde/gémit/geint ses mots. Elle n'est que plus sexy encore en cet instant. De quoi te retourner le cerveau. Et les reins, encore une fois. Qui s'enflamment et s'alourdissent. Pu.Tain. Que tu grondes entre deux mouvements brusques de sa part. Tu finis d'ailleurs par libérer ses fesses pour refermer tes doigts autour de ses hanches. Rien que pour le plaisir d'apprécier le claquement de sa chair ferme contre tes cuisses. Elle rebondit fermement sur toi à chaque fois qu'elle redescend pour te recevoir en elle. Tu te laisses faire quand elle referme ses doigts autour de ta gorge. Ne tardant pas à y ajouter ses dents provocatrices qui taquinent et mordent. Rien que de quoi enflammer toujours plus tous tes sens. T'en tournerais presque de l'oeil Gab, tant elle y va fort. Aucune douceur. Mais il s'agit de la deuxième étreinte. Les limites sont repoussées un peu plus loin. Vous vous laissez franchement aller maintenant que vous vous êtes amadoués. Tes doigts se faufilent dans ses mèches rouges et tirent quelque peu dessus, pour lui faire relever la tête. De quoi pouvoir retrouver sa bouche de la tienne. Imposant à celle ci un baiser des plus passionnés. Et mordants.

Dans le même temps, tu la fais basculer sur le lit. Que vous soyez tous les deux allongés sur le flan, face à face. Ton bassin danse avec la même frénésie que le sien. Tes doigts attrapent de nouveau sa fesse. Parce que t'en apprécie la forme et la douceur à sa juste valeur. Mais bien vite, tes doigts descendent sur sa cuisse que t'emprisonnes avec fermeté. Tes doigts qui se plantent en profondeur. Qui marquent peut-être de rouge la blancheur de sa peau. T'attires sa cuisse à toi, toujours sans grande douceur, qu'elle la pose sur ta hanche pour libérer l'accès à son entrecuisse toujours possédée par ton corps. Par toi. Ton visage se faufile de nouveau au creux de son cou pour planter de nouveau tes dents dans sa peau. T'aimes bien trop cette façon que vous avez de vous posséder tous les deux. Avec une passion teintée de douceur autant que de fermeté. Vous êtes fougueux, plein de hargne et de vigueur. Vous vous donnez l'un à l'autre comme si cette nuit était la dernière de votre vie. Comme si vous en aviez besoin autant que de respirer. Ta langue prend le relais sur sa peau. Pour effacer la douleur certainement très légère. Avant de remonter à sa bouche que tu provoques de la pointe de ta langue. Le jeu dans le baiser malgré la fougue dans tes mouvements de bassin. De plus en plus saccadés alors que le plaisir grimpe toujours plus. Et ne va certainement pas tarder à exploser.

CODAGE PAR AMATIS



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