save the queens ---- / Théodora Vasilis
23 ans ---- / ace of spades ---- / carlson young
identité complète /
Théodora comme un écho aux divins, les échine courbées à son berceau, respect des traditions d'un pays qui n'a pas eu l'aubaine de faire éclore ses premiers cris. Aujourd'hui
Théo fait loi, abhorrant la vieillesse de ce nom d'antan.
Vasilis murmuré chez les huppés comme une tornade invasive, détrônant les meilleurs au profit d'une nouvelle dynastie. nouveaux rois, nouvelle couronne, abdication très vite déposée lorsque le géniteur s’est envolé, les menottes enserrant ses mains sales, hurlantes de crimes trop longtemps impunis.
lieu de naissance et origines / c'est un
25 août 1995 que les premiers cris de l'enfant roi, le destin scellé par l'argent, résonnèrent dans le lit conjugal d'une villa fastueuse des Hamptons, puante de squelettes sous l'tapis. Un grand nom
grec détesté avec insolence dès lors que ses opales amers jugent la famille maudite.
études ou métier / un certain attrait pour les arts dans toute leur splendeur historique, des études à
l'université de Columbia qu'elle tente d'honorer pour faire bonne figure auprès des parents mais le cœur voué à l'aventure, les risques des nuits agitées qui brûlent sous ses doigts
voleurs comme un don des astres, invitation à ses débauches lorsqu'elle se découvre une passion pour les
effractions, recelant les biens en guise de trophées.
orientation sexuelle / l'ardeur des mains de Mars dominant qui l'abîme, les courbes plantureuses d'une Venus qui glissent sous les doigts tremblants de ses nuits lascives, peut importe les âmes dont la volonté s'atrophie à mesure de ses caresses, elle appelle
toutes les chairs à s'aimer.statut civil / les pieds brûlés qui dansent sur les flammes de ses déboires charnels,
fuit la niaiserie des sentiments comme la peste car la ligne est tellement mince entre grand amour et grosse camisole. Elle préfère se perdre dans les désirs d'une nuit que de s'attacher à quelqu'un qui pourrait l'abimer.
pi, scénario ou prélien / elle vient de ma petite tête mais sur base du prélien de
@Seth Coldeweij
traits de caractère / Théodora comme une tempête, l'âme ébranlée par une hyperactivité harassante et son sarcasme vipère. Garce à l'émotivité excessive qui tend dangereusement à des tendances bordeline irréprimables caractérisées par les restes d'une violente anorexie mentale. Elle a cet air angélique captivant, le palpitant criant derrière ses faux airs d'inqualifiable salope, pourtant solaire lorsque son sourire brode des lèvres carmins. Un amour débordant pour la vie fait hurler son esprit aventureux toujours prêt à saisir une occasion pour les excès de ses nuits d'ivresses. Elle déteste les conceptions trop négatives du monde, bercée dans l'aisance d'une vie huppée, de voyages et de fric dépensé à rien ; d'où son attrait certain pour les vêtements de grands couturiers et tout objets connotant une certaine valeur. Théo a tendance à juger vite, bornée comme une enfant mais ne se fait pas souvent trompée par les gens qui gravitent dans sa vie (ou partagent son lit) ; grande joueuse, elle place ses pions là ou il faut, terrorisée que quelqu'un ait un coup d'avance sur elle et risquerait de la faire tomber. Derrière ses airs de pétasse agaçante, elle craint irrépressiblement l'abandon, dépendante et apeurée de se retrouver seule sans une épaule sur laquelle se raccrocher, ce qui tend parfois à l'excessif lorsque sa voix criarde fait écho dans l'appartement afin qu'une bonne âme la tire de son ennui ou s'occupe d'elle, petit trésor à conserver. Finalement, Théodora est un mélange complexe d'imprévisibilité et d'excès faciles, les braises de son âme d'enfant à l'image d'un feu inextinguible.
save the queens ---- / TELL ME MORE
once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share
Dynasty/ Les billets chanteurs ont résonnés entre les doigts honnêtes d’un aïeul Vasilis il y a près de cent ans, grande réputation à la stratégie facile, un mâle à l’habileté pour les affaires et un attrait suffisamment prononcé pour le marché des finances, davantage pour la technologie pour en bâtir un inexorable empire, une dynastie. Il ne s’est pas douté qu’un jour un beau connard aux faux airs de James Dean allait tout faire foirer, déversant une vague infernale de journalistes assoiffés des familles qui explosent et des drames infernaux lorsque ses poignets furent comblés par des étreintes de fer devant les hautes grilles de la demeure principale de la famille. Monsieur Vasilis, un père aimant mais toujours absent car le temps c’est de l’argent et les putes aussi apparemment. Conciliante et peut-être un peu trop conne - disons plus amoureuse de l’argent que de l’homme qui lui a passé la bague au doigt -, Madame Vasilis s’est laissée bercer par la douce mélodie des billets verts pour fermer les yeux sur les écarts d’un mari trop gourmand. Mais jusqu’où l’était-il ? De ce qu’on a pu lire en gros titre sur les journaux, ce n’était pas que les prostituées qui le branchait ; la fraude, le blanchiment d’argent, les paris illégaux, l’escroquerie - tel père, telle fille - et d’autres jolies magouilles pour remplir un casier pourtant vierge d’une peine de 20 ans, abandonnant sa femme et ses deux enfants entre les griffes acérées et vicelardes de la presse à scandale, des médias et surtout d’une honte aux odeurs de cadavres sous l’tapis, déversée sur des cœurs innocents. Le vieux Vasilis fondateur a de quoi se retourner dans sa tombe. Le Pianiste/ Bercée depuis gamine dans les jolies symphonies des plus grands compositeurs du dix-neuf et vingtième siècle, Théodora s’est découverte une appétence irrépressible pour le piano, les doigts habiles flirtant gracieusement avec les touches du grand clavier depuis ses sept années d’existence au sein de la famille maudite. Amoureuse des notes mais aussi de l’enseignement de son grand-frère à qui elle aurait tout donné pour lui ressembler. De quatre années son aîné, il lui enseignait avec patience les plus jolis mots qui s’échappaient des touches et prenait soin de lui transmettre une passion dévorante qui allait les unir pour la vie. Elle n’a jamais su atteindre l’égal du maître aux doigts savants qui l’accompagnait toujours lorsqu’elle se mettait à chanter à tue-tête dans le grand salon familial trop souvent vide d’âmes autoritaires. Il n'y en a toujours eu que pour lui, sauveur venu porter secours à Théodora des griffes pétrifiantes du public démon, tétanisée lors d’une représentation pour son école. Il s’était assis à côté d’elle, rassurant et protecteur, pour qu’elle sente cette épaule sur laquelle elle pourrait toujours se raccrocher au moindre vacillement. Aujourd'hui, elle affronte les moments pénibles avec quelques opiacés, une bouteille de vin et crache sur les notes envolées qui ne résonneront plus jamais de la même manière qu'il les faisait chanter. Requiem for a dream/ Zeno aux airs olympiens incarnait parfaitement son rôle de dieu protecteur face aux opales émerveillés de sa petite sœur. Il était son frère et tout ce qu’elle chérissait - et chérira. la moitié de son âme, de son cœur et de sa tête qui ne fonctionne plus très bien depuis sa disparition brutale, à jamais resté dans les fractures du départ de son père, des opiacés pour sauver son âme, pensant à tort le garder en vie. Zeno avait une vision particulière du monde qui lui tendait les bras. Flirtant avec les limites du raisonnable depuis gamin, il avait la fâcheuse tendance à s’attirer des ennuis, se rebeller contre le monde en grand activiste de dix ans. Très intelligent, il a vite assimilé que sa vie allait se voir semée d’obstacles, malmenée par des requins dès lors que son père lui fut arraché par les fédéraux. Ses violentes névroses, la pression sur un gamin promu à encaisser les coups durs contre sa famille controversée l’ont poussé à se réfugier dans la drogue, ténèbres au goût délicieux qui brûlent les sens, l’âme, jusqu’à sa perte. Toutes ces conneries de désintox ne peuvent pas fonctionner à partir du moment où le concerné ne veut pas se tirer des griffes de l’addiction, se laisse inexorablement toucher le fond après des années de dépendance trop ignorée. Le mal s’étant invité en lui d’une grande facilité se délectait de ses capacités mentales, lui broyant les neurones et toute confiance en lui. Si vite que Théodora s’est mangé la plus grande claque de son existence le jour où elle a passé la porte de sa chambre, une corde nouée au cou exsangue d’un naufragé à l’âme en peine suspendu dans le vide. Ce jour là, elle a perdu le seul être qui la comprenait vraiment, le cœur arraché par les vices d’une chose qu’elle consomme aujourd’hui, se délectant si fort des ténèbres qu’elle haït. promesse d’une vie complexe remplie de contrastes et d’incertitudes. Vol au dessus d’un nid de coucou/ Depuis le décès de son frère, Théo tend vers l’instabilité psychologique, flirtant avec des tendances borderline excessives et potentielles névroses si on ne va pas dans son sens, accélérées par les opiacés qu’elle se plaît à consommer lorsqu’elle enfile la robe salope de ses débauches. Elle a longtemps été suivie par un psychologue qui est bien trop facilement arrivé à la cerner, carapace qu’elle s’est reconstruite en implorant sa mère de l’évincer de sa vie, nocif pour les démons qu’elle se plaît à caresser du bout de ses phalanges dorées comme pour entretenir son air farouche. Les troubles embrasent son esprit dû à ce qui l’a réellement fait sombrer. Une anorexie mentale chronique engagée dès lors que la culpabilité à envahi ses sens depuis le décès de son frère. Il y a quatre ans, pourtant elle s’en voudra toujours de n’avoir rien vu, de ne pas avoir pu être l’épaule sur laquelle il pouvait se raccrocher alors qu’il tombait, chute libre dans les ténèbres durs, ne parvenant pas à les combattre seul. Théo n’évoque jamais le sombre côté de sa vie, comme si elle pouvait éternellement le cacher sous cette jolie gueule à faire rougir les dieux, déversant une confiance excessive pour ne pas dévoiler sa fragilité criante de maux. Elle pense que personne ne pourra l’aimer autrement que derrière un sourire solaire et des jolies fringues. C'est pour ça qu'elle ne parle jamais de sa famille, les opales vibrantes de douleur à l'évocation d'une dynastie écrasée par les cadavres sous l'tapis. once upon a time in Hollywood Théodora voue un désir incontrôlable pour les arts dans toutes leur forme esthétique, aime les jolies plumes étalée sur le papier froissé, les tableaux coûteux qui ornent délicieusement les murs des musées, les symphonies hurlantes d’émotions dionysiaques à en faire trembler les myocardes fragiles et surtout la beauté du septième art, les grands moments du cinéma qui coupent le souffle, les tensions palpables et fantasmes inassouvis. Cinéphile jusqu’au bout de ses ongles parfaitement manucurés, elle aime se prélasser dans le confort de ses journées libres devant les plus grands chefs-d'œuvre d’Hollywood, amoureuse des meilleurs réalisateurs que la terre ait portée. Son statut mondain lui a fait rencontrer plusieurs artistes, foulant les marches des avant-premières attendues par des milliers d’amateurs. Mais ce qu’elle adonise par dessus tout, c’est le bonheur des moments solitaires au sein des grandes salles vides d’un cinéma diffusant les vieux classiques qu’elle chérit d’une appétence inassouvie. Elle ne cache pas son amour pour le genre, tendant tôt ou tard par l’évocation des répliques les plus connues des films à succès lorsque ses lippes se délient, deviennent trop bavardes. et si on tente de lui dire qu’elle abuse, trop excessive ? elle exagère d'une répartie cinglante aux faux airs de James Bond.
save the queens ---- / BEHIND THE MASK
hurricanee (nora) ---- / 18 ans ---- / rpgiste
ville / la meilleure chose à retenir c'est qu'elle est en Belgique
études ou métier / éternelle étudiante
avis général sur le forum / je l'aime d'amour
le détail qui t'a fait craquer / à peu près tout, son design, son accueil, sa simplicité comme on en voit plus
fréquence de connexion / le plus souvent, je dirais 4j/7
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le mot de la fin / vous êtes pas prêts