save the queens ---- / Sullyvan Hops
28 ans ---- / ACE OF SPADES ---- / Dominic Sherwod
identité complète / Sullyvan Hops. Vous ne connaissez pas son nom de famille ? Il suffit pourtant de faire une recherche pour voir apparaître des dizaines d'articles... lieu de naissance et origines / Né à New-York même comme son père, et son père avant lui. Américain jusqu'à aussi loin que remonte les archives. études ou métier / En internat de médecine. orientation sexuelle / Les filles, les femmes, celles qui veulent bien de lui pour passer un bon moment. statut civil / Coeur à prendre, il n'a pas encore trouver la fille capable de l'apprivoiser. pi, scénario ou prélien / PI travaillé avec les meilleures.
Dépendant / Non pas à l’amour, à l’argent ou même aux conquêtes, mais à la drogue. Aujourd’hui il n’y touche plus, mais ça fait toujours partit de lui-même, ça continue de le hanter chaque nuit.
Combatif / tous les jours, toutes les heures, toutes les minutes il lutte pour ne pas retomber dans ses travers et aller à la rencontre de ses vieux démons. A chaque moment il ne peut compter que sur lui-même pour ne pas sombrer une nouvelle fois dans les ténèbres.
Altruiste / C’est une des choses qui l’on convaincue d’écouter ses parents et de se lancer dans une aussi grande ambition de carrière : devenir médecin. Au fond, il a toujours voulu venir en aide aux autres, d’une façon ou d’une autre. Il ne l’a pas toujours montré, surtout dans sa jeunesse, mais plus il prend de l’âge, plus cela un mantra.
Bienveillant / Envers seulement quelques personnes, qui à ses yeux, ont mérité son attention et sa confiance. Il ne cesse de veiller à leur bonheur, faisant parfois passer le sien après celui des autres. .
Charismatique / Cela l’aide beaucoup avec les patients les plus récalcitrants. Puis faut bien avouer que ça lui permet aussi de ne pas rentrer seul chez lui lorsqu’il le décide. Il essaie en général de ne pas en abuser, mais il est parfois dur de résister à la tentation du jeu de séduction.
Hautain / Il lui arrive parfois de l’être, sans même s’en rendre compte. C’est probablement à cause de la façon dont il a été élevé, enfant qui n’a manqué de rien, qui avait absolument tout ce qu’il désirait, et à qui l’on ne cessait de dire qu’il était au dessus des autres par son rang dans la société.
Vulnérable / enfant unique d’une famille riche, il pensait être intouchable, jusqu’au jour où il s’est rendu compte qu’il était exactement comme tous les autres, et que lui aussi pouvait sombrer du mauvais côté de la frontière. Comme quoi l’argent ne protège pas de tout.
save the queens ---- / TELL ME MORE
once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share
01/Enfant unique, il n’a jamais manqué de rien. Bien au contraire, il avait tout ce dont il avait envie, avant même d’y penser, avant même de savoir que c’était ce qu’il désirait. Il a toujours pensé que ses parents compenser un manque, celui du petit garçon, né quelques années après lui, et qui n’a malheureusement vécu que quelques heures. Sa mère ne s’en est jamais vraiment remis, et n’a pas eu le courage de revivre cela une nouvelle fois. Même s’il y avait que très peu de chance de perdre un nouvel enfant, elle ne voulait pas prendre le risque. Alors ils concentrèrent toute leur attention et leur affection sur Sullyvan, le surprotégeant, le gâtant bien trop grâce à la fortune familiale, dont il serait finalement le seul à hériter. 02/ Fils d’une famille riche, très riche, il n’a pas vraiment grandit comme tous les autres enfants. Ecole privée, cours particulier, soirée mondaine, Sullyvan à toujours connu que cela, ce qui lui as malheureusement donné un petit air hautain dont il a encore parfois du mal à se défaire. Il s’est rendu compte de sa différence, mais surtout de l’hostilité que cela pouvait engendrer des personnes autour de lui en entrant à l’université. La meilleure du pays, bien évidemment, mais qui ne regroupait pas seulement des étudiants de son rang. Au départ, celui fut un choque, mais Sully s’adapta bien rapidement et changea peu à peu pour devenir un peu plus accessible. Il se rendait compte qu’une personne ne se caractérisait pas seulement par le montant de son héritage, bien au contraire, et lui comprit. Ce fut probablement la meilleure leçon qu’il retira de toutes ses années d’études. 03/ En ce qui concerne l’amour… On ne peut pas dire qu’il y a vraiment goûté jusqu’à présent. Certes, il a déjà eu quelques histoires, mais jamais de sérieuse. Il se rendait compte des choses bien avant que les sentiments ne prennent partit et qu’il se retrouve à devoir gérer une peine de cœur, seulement une déception de plus. Alors avec le temps, il avait apprit à faire la part des choses, lorsqu’une fille se présentait à lui, la première question qui lui venait à l’esprit était : est-elle là pour moi ou pour mon nom ? Et ça, on peut dire que ça met un frein à toute relation, les anéantissant même avant qu’elles ne commencent. Le plus souvent, Sullyvan s’amuse un soir, ou deux avec une fille, en s’efforçant de ne donner aucuns espoirs d’avenir, il est toujours très clair là-dessus. Parfois, cela lui arrive de fréquenter quelqu’un pendant plusieurs semaines, si elle lui plaît bien et ne l’ennuie pas trop. Jusqu’à ce que la vrai raison de leur relation fasse surface, jusqu’à ce que la demoiselle commence à parler de vacances, de grands hôtels, de grand restaurant ou s’attarde un peu trop aux rayons bijoux. 04/ Alors que l’avenir de la famille Hops ne repose désormais que sur ses épaules, les parents du jeune homme ont rapidement porté tous leurs espoirs sur leur fils unique. Sa mère ne cessait d’être prévenante, voir même surprotectrice et son père voyait en lui l’occasion d’étendre leur notoriété. Non pas en prenant la tête de l’entreprise familiale, qui les avaient déjà rendus si riche, mais en devenant médecin. Un brillant et talentueux chirurgien, qui passerait ses journées à sauver des vies et pourrait en parler durant des heures lors des soirées. Si le jeune homme à finit par accepter, ce n’est pas seulement après avoir subit l’insistance de ses parents, jour après jour, mais aussi parce que l’idée lui plaisait. Le fait d’aider les autres, d’avoir une certaine influence sur leurs vies, leurs états, leur confort. Donc après avoir obtenu son diplôme secondaire, et avoir intégré la meilleure université du pays afin de commencer ses études, Sullyvan se lança dans la longue aventure de devenir Médecin. 05/ Ses premières années d’études se sont déroulés sans aucuns problèmes. Des résultats tels qu’on en attend de lui, il passe ses soirées le nez plongé dans ses livres, apprends toutes les techniques médicales qu’il lui faut connaître, réussit à chaque examen, les uns après les autres. Pourtant, cela ne l’empêche pas de profiter de sa jeunesse et de ses années à l’université. Les soirées étudiantes, les étudiantes, l’alcool. Puis il intègre l’internat de l’hôpital. C’est là que la difficulté commence. Les gardes, les heures supplémentaires, les cas difficiles et puis la mort. Jamais il n’avait connu ça avant ce fameux jour, celui où il avait vu la vie quittait le corps d’une jeune femme, le moment où il avait vu son regard, plongé dans le sien, le suppléant de lui venir en aide, s’éteindre d’un seul coup. Comme ça. C’était aussi simple que ça. Un instant on était là, en vie, et puis c’était la fin. La mort. Cela l’obséda durant plusieurs jours, plusieurs semaines, l’empêchant de dormir, de réfléchir, de faire son travail. Le jeune homme eu alors la présence d’esprit de se dire qu’il ne pouvait pas continuer comme cela, qu’il allait finir par commettre une erreur. La solution sembla lui apparaître une nuit, alors qu’il était de garde, et qu’il fouillait dans une des pharmacies à la recherche du traitement pour un patient. Son regard tomba sur un médicament en particulier, et dans sa tête défila ses caractéristiques. Peut-être même sans s’en rendre compte, il avala un des cachets avant de retourner travailler et finir sa garde. 06/ Il sombra, encore et encore, de plus en plus profondément, et il ne s’en rendait même pas compte. Comment aurait-il pu avec l’esprit embué par tous les médicaments qu’il prenait. Pour lui, ce n’était que cela, un traitement qui l’aidait à aller mieux, qui l’aidait à faire mieux aussi. Il ne dormait pratiquement plus, mais ce n’était plus pour la même raison. Il avait de l’énergie à revendre, il avait le cerveau en ébullition, capable de finir un livre en une seule nuit, capable de revoir toutes les procédures d’une opération sans même avoir dormit ne serait-ce que quelques heures la nuit précédente. Sa mère admirait son implication, lui recommandant tout de même de prendre quelques pauses de temps en temps, cela ne servait à rien de s’épuiser au travail non plus. Son père était fier, et ne cessait de raconter à qui voulait l’entendre les merveilleuses opérations que faisait son fils. Mais aucuns des deux ne vit, ou ne voulut voir la profondeur des abîmes que reflétait le regard de leur unique enfant. Il n’était plus lui-même, il était dépend. Accro à une drogue qui lui détruisait autant la tête que la vie. 07/ Son addiction, il ne pu la cacher bien longtemps. Pas auprès de ses collègues de travail, pas au sein d’un hôpital où l’on connaissait par cœur les différents symptômes et signes d’une dépendance. Heureusement pour Sullyvan, il n’arriva jamais rien à l’un de ses patients, mais lorsque les dirigeants de l’hôpital furent alertés de la situation, ils n’hésitèrent pas une seule seconde à le suspendre et lui recommander de suivre une cure. Dans tous les cas, il ne pourrait pas remettre les pieds dans l’établissement en tant que soignant. Sa carrière était terminé, avant même d’avoir commencé. Il reconnu ses tords, il ne servait à rien de nier et rassembla ses affaires avant de quitter l’hôpital sans même un regard en arrière. Il fallut plusieurs jours à Sullyvan avant d’accepter de se faire soigner en cure de désintoxication, car pour lui, il n’avait pas de problème de drogue. Seulement une maladie à soigner… Son père paya gracieusement l’hôpital pour que l’affaire ne s’ébruite pas et que ça n’entache pas son dossier. Mr Hops avait toujours l’espoir, qu’une fois guérit, son fils pourrait reprendre sa vie là où il l’avait laissé. Et ce fut le cas. 08/ Après avoir passé quelques mois en cure de désintoxication, Sullyvan retrouva sa ville natale, le New-York qu’il aimait tant. Au bout de quelques semaines à la maison, alors qu’il se sentait enfin prêt, il intégra un des hôpitaux de la ville. Ce n’était pas le plus grand, ni même le plus prestigieux, mais c’était le seul qui avait accepté de prendre un étudiant à qui l’on avait gentiment dit merci plus d’une année plus tôt. La très généreuse donation de la famille Hops aida à ce que l’on ne pose pas trop de questions sur ce qui s’était passé durant les derniers mois, et Sullyvan s’engagea à ne pas reproduire les mêmes erreurs. Il était désormais un homme plus fort, même s’il ne devrait jamais cesser de lutter contre sa dépendance, à la tentation, toujours aussi présente, de tendre la main et avaler l’un des cachets qui passent sous ses yeux à longueur de journée. La vie reprit tout doucement son cours, jusqu’à ce que les années passent et que le jeune homme arrive à la vieille de sa dernière année d’internat.
save the queens ---- / BEHIND THE MASK
Laecca ou Tifaine ---- / 26 ans ---- / rpgiste
ville / Montfrin.
études ou métier / Aide Soignante en congé maternité.
avis général sur le forum / Il est beau, il a l'air sympa comme tout, même si autant de monde ça peut faire peur
le détail qui t'a fait craquer / La présence d'Isa et Peyton
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fréquence de connexion / Tous les jours jusqu'à ce que j'accouche. Après je garantis pas
le mot de la fin / Baleine