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 rumba gold 1993

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Message Sujet: rumba gold 1993   rumba gold 1993 Empty Sam 2 Juin - 23:09

JACOPO BETTI

38 ans ---- / ace of diamonds ---- / jerry lorenzo

identité complète / yaya betti, né jacopo betti.lieu de naissance et origines / né à new york city, manhattan (nyu langone medical center) le 23 mars 1980 d'un père italien, Dani Betti et d'une mère portoricaine Onelia Arteaga. métier / directeur artistique et fondateur du label de musique internationale Calibre Rec. (2011) le label appartient à Interscope Records, elle-même filiale d'Universal Music Group. il a fondé en 2014 Héraclite, une marque de vêtements sportswear aux inspirations ethniques diverses uniquement vendue sur le web. occasionnellement, il ouvre des boutiques éphémères dans des endroits insolites de nyc où il propose des pièces inédites en disponibilité limité. c'est ce type de management qui lui permet de prospérer. orientation sexuelle / hétérosexuel. statut civil / marié depuis 10 ans à Donna et père de deux enfants, Allegra et Andrea; respectivement 4 et 7 ans.

TELL ME WHO YOU ARE

once upon a spirit ---- / a soul ---- / a shining star

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Message Sujet: Re: rumba gold 1993   rumba gold 1993 Empty Sam 2 Juin - 23:10

TELL ME MORE

once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share
Tu avais tout juste 24 ans et à cette époque là, tu fréquentais les bancs de la Roma Business School où tu suivais le MSc Arts and Culture Management après avoir été diplômé de la Parsons School of Design de New York. En ce temps là, ce qui deviendrait le premier réseau mondial avait été créé par un nerd américain; Ray Charles avait poussé son dernier soupire à 74 ans; Georges Bush était réélu pour son second mandat, on ne savait pas encore qu’une star de la téléréalité allait prendre possession de la maison blanche et on crachait toute la haine qu’on avait au visage de son ex à travers les lyrics de Eamon.
Cela faisait 1 mois que tu avais emménagé chez ta grand-mère paternelle. Il faisait encore très chaud dans la capitale italienne, la canicule avait ravagé la végétation de la ville qu'on s'efforçait de maintenir en vie artificiellement. Elle habitait dans un appartement de caractère au coeur de Borgo Pio, à quelques pas de la basilique Saint-Pierre. Elle était située tellement proche du Vatican que le mercredi lors de l’audience du pape, on pouvait entendre les fidèles scander leur amour pour Dieu, perdus à travers tous ces “mécréants de touristes” comme elle aimait les appeler. Maria Lina Betti, ta nonna c’était un sacré personnage; une petite dame de tempérament. Forte et courageuse. Elle avait élevé ses 6 enfants dans la plus pure tradition catholique et avait accompagné chacun d’entre eux pour qu’ils quittent la maison familiale avec une éducation irréprochable. Elle voulait qu’ils deviennent des personnalités, des grands de ce monde. Elle avait toujours voulu le meilleur pour sa meute. Avant d’arriver ici, tu ne l’avais jamais fréquenté sur la longue durée, tu la voyais simplement durant les vacances scolaires où pendant les fêtes de noël que vous veniez passer au Latium avec tes trois frères et tes parents. A l’époque, ton nonno était encore en vie et ils habitaient dans une immense bâtisse protégée par d’imposants platanes aux abords de la ville. Tu aimais beaucoup ces escapades. Tu admirais tes grands-parents. Ils reflétaient tout simplement ce que tu voulais devenir. Ce couple pilier qui nous forçait à continuer de croire à l'amour pur. Maria Lina, tu pouvais la regarder des heures durant préparer ce qui serait dévoré en quelques minutes le soir même. Saltimbocca, controfiletto alla funghi porcini, bruschetti, gnocchis maison, insalata di tartufo, patate fritte di zucchine, tarta alle fragole (elle savait que c'était ta préférée). Tout le monde repartait de son séjour à Rome avec 3 ou 4 kg en plus tant cette nourriture riche y était consommée de manière compulsive. Comme si prendre des vacances chez la Nonna levait les barrières d’une restriction annuelle sur tel ou tel produit full fat. Sa mort, peu de temps après la naissance d’Allegra t’avait laissé un emprunte amère dans l’arrière gorge.

C’était la rentrée, toutes promotion étaient réunies dans l'amphithéâtre principal, plein pour l’occasion. Comme une audience annuelle, le directeur de l’école énumérait les qualités de l’école, le devoir d’ambassadeur qu’avait chacun d’entre vous; ce genre de speech ultra barbant adapté à n’importe quelle structure, il n’y avait qu’à changer le titre. T’occupais une place en extrémité, ni trop haut, ni trop bas. Seul, forcément. Tu ne connaissais personne ici. Personne.
Pendant que tu entendais Antonio Ragusa sans réellement l’écouter, ta pommette reposant au creux de ta main, quelque chose tapota ton épaule. Lentement tu tournas la tête. “Posso sedermi qui, per favore?” dit-elle en pointant le siège libre à côté de toi. Ses cheveux noirs jais cascadaient le long de ses courbes généreuses, encadrant un visage de poupée au yeux d’un bleu céruléen. Elle portait autour du cou une chaîne en or sur laquelle reposait un miniature de Bouddha, aspirée par une poitrine à se taper le cul par terre. Elle arborait un t-shirt informe floqué par deux énormes silhouettes de Ashanti et Ja Rule sur un jean déchiré. Tu collas quelques secondes avant de hocher rapidement la tête. Certo. Pendant toute la présentation, ta respiration était coupée. Cette fille, c’était un avion de chasse. Comme t’en avais rarement vu. Complètement ta came. Un vrai carnaval. Ça pouvait pas s’arrêter ici.
Quand ce fut fini et qu’elle s'apprêta à se lever pour quitter la salle, tu fus pris d’un excès de confiance en toi et lui attrapas le bras. Elle te regarda d’un air inquisiteur.
- Come ti chiami?
- Donna..
- Andiamo a bere qualcosa Donna.

Ses sourcils s’étaient froncés, elle te jaugea quelques secondes, le temps d’analyser cet accent étranger couplé à cet italien si bon. Son visage se radoucit. Certo, qu’elle avait soufflé avec un léger sourire.

Après avoir bu une bouteille de prosecco Piazza di Spagna, tu l’avais invité à dîner dans un restaurant à quelques rues de là, le Baciami (littéralement en italien “Donne-moi un baiser”) elle n’avait pas manqué de souligner que le choix du boug était très lourd de sous-entendu, et très lourd tout court. Vous aviez partagé tout un tas d’antipastis. Elle adorait ton accent américain. Tu adorais ses contours. Tu buvais ses paroles à la paille. Alors que vous discutiez du dernier Tarantino, elle te coupa la parole et te dit dans un anglais approximatif. “Je veux danser. Si ta mère est portoricaine, tu dois savoir comment faire danser les femmes.” Elle avait jeté quelques coupures de 20 euros sur la table et avait attrapé ta main. Tu t’étais laissé faire comme un enfant sous les ordres de sa maîtresse d’école. Elle t’hypnotisait. Vous étiez arrivés dans un bar dansant qui diffusait des tubes latinos datés mais foutrement ambiançant. Elle posa rapidement son sac à main et sa veste sur une table où étaient regroupés en groupe de touristes français. Tu leur adressas un regard d’excuses. "Fammi vedere come balli” dit-elle en attrapant ta main et en collant son bassin au tien. Ses mains se baladaient dans ton dos, parfois sur ton torse. Tu la fis tourner, onduler le long de ton corps; elle bougeait comme au pays, elle avait ça dans le sang. Tu adorais. Tu étais fan et la possibilité que tu en sois déjà amoureux était tout à fait probable. C’était donc ça le coup de foudre? De temps à autres, vous vous arrêtiez pour boire une Peroni. Tu en profitais pour la complimenter. Tu lui disais qu’elle te rendait fou. Elle te répondait “déjà, mais tu n’as rien vu encore”.
“I don’t wanna know” de Mario Winans et P.Diddy avait souligné la fin de la soirée comme un thème de clôture pour signifier à tous les noceurs qu’il était temps de rentrer leur petit cul bourré à la baraque. Ton estomac s’était serré parce que cette chanson avait quelque chose de tellement sexuel et la voir devant tes yeux, ivre et complètement à ta merci, était ce genre de chose que Dieu avait préparé pour toi depuis longtemps, mais dont il avait gardé le secret bien sagement. Ton bras avait encerclé sa taille, agrippé ses hanches voluptueuses. Ton souffle se baladait dans sa nuque pendant que ton bassin brassait l’air au rythme du tempo. Ce genre de moment où il n’y a que l’unisson qui compte et que le contexte extérieur que trop peu. Quand les dernières notes de la chanson étaient arrivées, vos visages n’étaient qu’à quelques centimètres l’un de l’autre. Avec du recul, ce moment était biblique car il était métaphoriquement l’aurore de votre relation. Tu l’avais raccompagné chez elle en taxi, elle vivait dans un appartement liberty entre la rue Veneto et la Villa Borghese. Dire que tu n’avais aucune arrière pensé, 15 ans plus tard, serait mentir. La façon dont elle te regardait quand elle descendit du taxi était sans équivoque. Tu claquas la porte et la suivis.
Vous vous étiez installés sur un immense bed de la terrasse verdoyante qui surplombait le parc de la Villa Borghese. Elle s’était absentée pour mettre de la musique. Alors que l'atmosphère était baignée par les rythmiques suaves de Cold Cut, elle était revenue avec une bouteille de Chivas. Sur le moment tu t’étais fait la réflexion “ce serait pas la femme de ma vie par hasard?” Vous aviez discuté jusqu’au petit matin en vous arrosant de whisky. Tu ne voulais pas que cette conversation se termine tant le moment était parfait, pur. Mais, tandis le soleil naissant commençait à poindre derrière la coupole du Vatican, vous vous étiez endormis, blottis l’un contre l’autre.

C’est là que votre relation avait commencé. 14 années presque parfaites.
A l’image d’Athéna, elle était la protectrice de ton tout. Elle avait enfanté pour toi. Elle avait légitimé la raison pour laquelle tu étais venu sur terre. Tu l’aimais comme un fou, tu aurais pu donner ta propre vie au diable s’il était venu la réclamer contre la sienne. Elle t’avait suivi partout. D’Amsterdam à Paris, pour enfin s’expatrier aux USA avec toi. Vous vous étiez mariés en Toscane. Elle t’avait donné un fils, tu lui avais promis d’en faire un homme. Elle t’avait donné une fille, tu lui avais fait promettre d’en faire une femme. Vous représentiez la quintessence de l’amour. La pureté de votre relation éblouissait votre entourage. On vous jalousait presque.
Malheureusement, avec le temps, elle avait inconsciemment gommé tout ce qui faisait que tu étais croc d’elle. Elle avait travaillé avec acharnement pour devenir peu à peu un prototype que tu détestais; elle avait perdu les formes généreuses qui la sublimaient contre une taille trop fine, sans prise. Elle manquait de tout le naturel duquel tu étais amoureux. Elle avait perdu de sa noblesse et se comportait aujourd’hui comme une baronne de l’Upper East Side. Ses grands yeux bleus toujours dissimulés derrière d’épaisses lunettes fumées, toujours perchée sur des talons de 1m de haut, comprimée dans des robes hors de prix. “Mais arrête de jouer tes Victoria Beckham à deux balles Do. J’te reconnais plus. J’suis pas amoureux de la femme que j’ai devant moi.” Souvent, tu avais envie de l’attraper par les épaules et de la secouer en hurlant. “Tu es passée où Donna?" et ça durait. durait. durait. ça ne changeait jamais et l'impression de perdre ta femme chaque jour un peu plus de bouffait les entrailles.
BEHIND THE MASK

elisa (maison mère) ---- / 43 ans ---- / rpgiste

ville / sumatra. études ou métier / humoriste. avis général sur le forum / niquel. le détail qui t'a fait craquer / simplicity. fréquence de connexion / as often as possible. le mot de la fin / madame zizi.

Code:
[b]jerry lorenzo[/b] / [i]YaYa Betti[/i]
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Noa Wilson;

-- écorchée de vivre --
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Noa Wilson



dajana.
all souls, ethereal.
3427
760
rumba gold 1993 4c29c8c2c15e0a137a11f869b690a95f8feae471
27
sans attache, incapable de s'amarrer à un seul port.
passionnée de bagnoles et de vitesse, employée dans le garage de son oncle depuis qu'elle a quitté le lycée.
dans une des rares maisons de la haute, dans le queens effervescent.
straightaways are for fast cars,
corners are for fast drivers.


☆ ☆ ☆
kurtis #2 - anyone ? - anyone ?

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Message Sujet: Re: rumba gold 1993   rumba gold 1993 Empty Sam 2 Juin - 23:14

mais que ça a l'air de claquer par ici rumba gold 1993 697000959 j'ai hâte de tout lire rumba gold 1993 2480631781 bienvenue chez toi chaton rumba gold 1993 3227196488

_________________
i live my life a quarter mile at a time, nothing else matters.
for those ten seconds or less, i'm free.
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https://savethequeens.forumactif.com/t5111-late-night-drives-noa https://savethequeens.forumactif.com/t122-drive-it-like-you-stole-it-noa
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Message Sujet: Re: rumba gold 1993   rumba gold 1993 Empty Sam 2 Juin - 23:32

Bienvenue par ici rumba gold 1993 3794924939
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Message Sujet: Re: rumba gold 1993   rumba gold 1993 Empty Sam 2 Juin - 23:33

bienvenue par ici et bon courage pour ta fiche rumba gold 1993 526945397
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Kurtis McDonald;

-- le bigmac d'la street --
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Kurtis McDonald



king.
a devious route - av | self, sign.
betsi - peltz | brynn - o'neil | cez - o'connell | oona - piekarz | sage - gauthier | sonny - bador | tad - piper.
7943
815
29
véritable bras cassé.
effervescent.
( m o o d b o a r d )

NOA(2) / KAAN / KIDD / SOFIA / TRIPP
JOLENE / SOCO / SCYLLA / YOU ?
(voir le répertoire complet)

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Message Sujet: Re: rumba gold 1993   rumba gold 1993 Empty Sam 2 Juin - 23:34

j'avoue, ça sent trop bon par là, j'ai hâte d'en apprendre davantage. rumba gold 1993 2288768012
bienvenue dans le queens. rumba gold 1993 2480631781

_________________

- m o t h a f u c k a z all know who i am /

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Message Sujet: Re: rumba gold 1993   rumba gold 1993 Empty Sam 2 Juin - 23:56

bienvenue et bon courage pour ta fiche rumba gold 1993 3227196488
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Message Sujet: Re: rumba gold 1993   rumba gold 1993 Empty Dim 3 Juin - 1:53

ça pue le swag par ici rumba gold 1993 697000959
bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche rumba gold 1993 3227196488
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Message Sujet: Re: rumba gold 1993   rumba gold 1993 Empty Dim 3 Juin - 10:15

merci beaucoup, je fais de mon mieux.
à base de gros love rumba gold 1993 3794924939

j'annonce que je suis totalement open pour des liens avec mon personnage, s'il vous inspire en quoi que ce soit.
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Message Sujet: Re: rumba gold 1993   rumba gold 1993 Empty Dim 3 Juin - 10:44

il est beaucoup trop coooool rumba gold 1993 1505825564
bienvenue parmi nous rumba gold 1993 3227196488
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Message Sujet: Re: rumba gold 1993   rumba gold 1993 Empty

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