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| Sujet: gold dust. Jeu 17 Oct - 19:15 |
| save the queens ---- / TOMÁS MCGRATH
45 ans ---- / ace of spades ---- / james mc avoy
identité complète - tomás comme le paternel, parce qu'il se devait d'être à l'identique, mcgrath le chaos venu d'irlande. tomás mcgrath deuxième du nom. un nom qui ne s'oublie pas et qui fait trembler depuis des décennies. lieu de naissance et origines - il n'a jamais perdu ce petit accent irlandais. études ou métier - l'un des meilleurs faussaire du continent c'est comme ça qu'on l'a longtemps qualifié. c'est qu'il a étudié dans les meilleurs écoles d'art mcgrath, qu'il aurait pu exposé ses toiles au monde entier. mais c'est bien pour faux et usages de faux qu'on aurait du l'inculper. aujourd'hui il se place à la tête d'un trafic d'art florissant. orientation sexuelle - les femmes seulement font bouillir son sang. il les aime dociles, d'humeurs changeantes, mystérieuses, sanguines, souveraines, majestueuses, pince-sans-rire, voluptueuses, ou encore timides. statut civil - l'homme est marié, depuis presque deux décennies. un mariage arrangé, point de suture entre deux familles rivales. il a vendu son corps pour le bien de la fratrie, le genoux à terre, l'coeur meurtri et l'âme à jamais carbonisée. pi, scénario ou prélien - pré-lien de @cahal mcgrath .
save the queens ---- / TELL ME WHO YOU ARE
once upon a spirit ---- / a soul ---- / a shining star traits de caractère / (cœur volcan.) c'est que le palpitant il bat sans cesse à vive allure. le sang bouillonne dans ses veines en permanence et les émotions le percutent avec une telle ferveur qu'elles lui laissent des traces profondes et indélébile. il s'en sort pas tomás, il s'épuise de jour en jour, d'années en années. il rejette cette humanité qui lui colle à la peau et finira par le tuer. (l’œil de la tempête.) à première vue, il est d'un calme olympien l'irlandais. les traits peu souvent tirés, le sourire facile et les paroles raisonnées. il a l'allure des hommes de bonnes familles, tiré à quatre épingle. c'est qu'il tient son monde bien en place, ne laisse personne déborder sur les prémices d'une personnalité qui part si vite en vrille. (le fauve.) tapis dans l'ombre, il patiente. savourant les mauvaises émotions, les mauvaises expériences. tomás l'a enchaîné depuis des années. cette partie de lui qui ne demande qu'à exploser pour mordre et déchiqueter sur son passage. |
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| Sujet: Re: gold dust. Jeu 17 Oct - 19:15 |
| save the queens ---- / TELL ME MORE
once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share (premières scarifications.) une journée comme une autre. de l'assiduité. de la rigueur. la tête haute. les épaules droites, bon sang ! le coup à l'arrière du crâne le fit tressaillir. il se massa nerveusement la nuque le gosse, bomba le torse et regarda droit devant lui. c'est l'image de son père qui s'était floutée derrière les larmes accumulées. c'est pour ton bien que je fais ça tomás. il se justifiait le paternel, ouvrait grand ses bras pour tenter d'englober l'espace entier. ce qu'il lui montrait, c'était ce gigantesque salon, ces bibelots venus des quatre coins du monde. ces tableaux dont la valeur était égal au PIB d'un pays d’Afrique noire. ce qu'il lui montrait, c'était l'entièreté de cette maison, les domestiques, les bijoux extravagants de sa chère mère, la mustang skyway -que personne n'osait toucher, les bourbons hors de prix. ce qu'il lui montrait, c'était cet empire sur lequel monsieur mcgrath naviguait, serrant d'une main de fer une assemblée qui ne jurait que par son nom. un jour, tout ça, ce sera à toi. tu comprends, mon fils ? il hochait la tête de haut en bas, ses poings minuscules serrés de toutes ses forces. il avait à peine treize ans, et un poids insoutenable pesait sur ses épaules. une pression monstrueuse qui lui filait des palpitation et l'enfermait la nuit dans des cauchemars sanglants. mais il ne disait rien le môme, opinait en permanence. ce n'est que sur son corps qu'il laissait des marques indélébiles. des écorchures semblables à ses tourments. d'ignobles traces rouges qui recouvriraient bientôt l’entièreté de son dos.
(mirages) il ne devait pas rentrer avant trois jours. c'est ce qu'il avait balancé à Frida, dans les quelques textos qu'ils s'étaient échangés le jour de son départ. un rendez-vous "d'affaires". c'est un Botticelli qu'il devait expertiser, une oeuvre qui lui rapporterait gros, sortie du chapeau d'un de ces escrocs italiens. il n'avait finalement passé qu'un seul jour à milan, puis avait pianoté sur son téléphone pour prendre un billet d'avion retour. il avait appelle sa femme, trois fois et était tombé sur le répondeur. agacé, il laissa un message: changement de programme. c'était une perte de temps. j'ai pris le premier vol, j'serai rentré demain soir. ils s'étaient toujours prévenus pour tout, ne se cachaient rien depuis le premier jour de leur mariage. c'était une règle qu'ils avaient établi, pour le bien d'une relation qu'ils n'avaient pas choisi. dans le taxi qui le ramenait chez eux, faute de réponse de sa part, il lui écrivit un dernier message: je ne sais pas si toi et les garçons êtes à la maison, mais je serai là dans vingt minutes si le chauffeur n'en fait pas qu'à sa tête. vingt-cinq minutes exactement, c'est temps qu'il lui fallu avant de déverrouiller la porte d'entrée. ses chaussures en cuir claquaient sur le carrelage, trop furtivement pour qu'il ne prenne pas conscience des bruits incessants qui lui vrillaient déjà les nerfs. il aurait pu tourner les talons, claquer la porte pour se réfugier entre les bras accueillant d'un scotch quinze ans d'age. mais c'est par principe qu'il continua son chemin jusqu'au salon parfaitement décoré. seule tâche sombre au tableau, son épouse en proie à une jouissance dont il n'était pas acteur. sur la table de leur salon, offerte à un homme si affairer à la tâche qu'il n'avait pas remarqué la présence du maître des lieux. il se racla la gorge, se délaissant de sa veste de costume qu'il déposa sur le dossier d'un des fauteuils. je suis rentré. qu'il lâche d'un calme pouvant glacer le sang. ses yeux azurs se posèrent sur l'intrus pris de court, il eu un rictus malfaisant lorsque l'homme se précipita pour remonter en fracas son pantalon, bourbon ? qu'il demanda, à l'attention de la femme alors qu'il se dirigeait vers le mini-bar. deux verres en cristal qu'il rempli à raz bord, pour les déposer sur le comptoir de leur cuisine ouverte. il prit un siège, avalant une gorgée de liqueur. son attention toujours porter sur le mâle, qui se mettait déjà à bafouiller je... je, je ne savais pas que, ... que quoi ? qu'elle était mariée ? voyons, elle n'enlève jamais son alliance. un sourire en coin, le regard presque captivé par les traits de l'homme qu'il ne désire pas oublié. il savait, il avait toujours su, que Frida allait voir ailleurs. une autre règle, une évidence. mais tant qu'il ne voyait rien, mc grath cautionnait. un type, qui ne prend même pas la peine d'enlever son pantalon, ni ses chaussures, vraiment ? il s'adressait à la colombienne, sans pour autant poser ses yeux sur elle. c'est que son coeur était sur le point d'exploser, que ses battements incessant lui filer la nausée et des maux de crâne qui pourraient le rendre dingue. il serra les dents, assez fort pour ne pas laisser les insultes filer d'entre ses lèvres. si nous n'étions pas chez moi. si mes enfants ne vivaient pas ici... il inspire le brun, j'suis désolé,je, prends tes affaires, et dégage. il s'était levé tomás, son verre toujours entre ses doigts, dégage ! tout de suite ! il perdait son calme, calme qui revint instantanément lorsque le regard de sa femme croisa le sien. elle s'était revêtue, son visage bien que fermé n'appelait qu'au calme et à la sérénité. alors c'est d'elle qu'il s'approche finalement, sa main libre glissant contre sa nuque et ses lèvres s'approchant de son oreille pour lui murmurer quelques mots, il sera mort, dès demain. j'espère que ça en valait le coup.
(cicatrices) il lui tient la main, avec fermeté. il a le sourire doux, le visage d’un homme heureux. elle a la peau brune, le rire léger. ils sont fait l’un pour l’autre, il en a eu la ferme certitude la première fois où ses yeux se sont posés sur elle. c’est au premier regard qu’ils se sont aimé. elle lui a dit, à de nombreuses reprises. elle lui a offert son coeur, son âme, son corps. il lui a offert sa vie tout entière, il voulait lui offrir son nom. il lui tient la main, avec fermeté. mais son visage a elle se crispe, sa bouche se tord, elle hurle sans qu’il ne puisse rien entendre. ça le terrorise. bientôt sa peau devient glacée, son regard livide, son teint grisâtre, elle tombe et c’est le son de son coeur qui se brise qu’il entend un peu trop fort. tomás, tu m’écoutes ? frida claque des doigts devant son visage. il galère à sortir de ses pensées qui le torture depuis vingt trois ans. il a fait le mauvais choix. choisis la mauvaise soeur, n’a pas suivit les règles et ça a causé sa perte. alba et leur enfant à naître. oui, oui, excuse moi. le boulot, tu sais, il ment mal dans ces circonstances, il ment mal quand il pense à elle. ça se voit, parce qu’il gigote, que sa chemise impeccable le gêne. que ses cicatrices le démangent. une entaille pour chaque mauvaises pensées. une entaille pour ne jamais oublier. une entaille pour soulager les douleurs internes qu’il n’a jamais su contrôler. la colombienne le toise, fronce les sourcils, entrouvre la bouche sans doute pour le traiter de piètre menteur. mais à la place elle inspire, passe derrière lui et pose ses mains brûlantes sur ses épaules. elle sait, elle sait toujours. elle l’apaise. je te disais, ton fils, n’ai pas foutu de respecter la bonne. tu sais de quel surnom il l’affuble: la zíngara. il a jamais était foutu de prononcer un mot d’espagnol, que monsieur se la joue bilingue. esta pequeña mierda, me volverà loca, il ricane l’irlandais. le temps l’a forcé a apprendre la langue maternelle de celle qui partage sa vie. il lui doit tout. sa place au sein de la famille colombienne, son statut, ses trois magnifiques enfants qu’elle lui a donné. sa vie, toute entière. depuis deux décennies, ils avancent ensembles, main dans la main, sur une lame de rasoir qui empêche la plaie béante de se refermer. il a perdu la femme sa vie, mais elle, elle a perdu une sœur par sa faute. très bien, je dirai à sofia de ne plus prendre en compte les exigences de Salva. ou alors on lui donne un congé, trois jours suffirait à ce qu’il se rende compte que sans elle il baignerait dans sa propre merde. il pose sa main sur la sienne.
save the queens ---- / BEHIND THE MASK
xaw ---- / 1200 ans ---- / rpgiste
ville - l'sud. études ou métier - backpackeuse ? avis général sur le forum - . le détail qui t'a fait craquer - . fréquence de connexion - dès que je peux. crédits des icons - chrysalis. le mot de la fin - . - Code:
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[b]james mcavoy[/b] / [i]tomás mcgrath[/i] |
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| Sujet: Re: gold dust. Jeu 17 Oct - 19:42 |
| J'suis prem's, j'suis choquée Rebienvenue chou avec ce super perso, tu l'incarnes déjà tellement bien Pitetre qu'on pourra se trouver un lien autour de l'art. |
| | | Invité;
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| Sujet: Re: gold dust. Jeu 17 Oct - 20:06 |
| papa : T'es déjà chez toi de a á z J'ai hate qu'on finisse de parler du lien père /fille J'adore déjà le début mais ça m'étonne pas Rebienvenue chez toi |
| | | Invité;
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| Sujet: Re: gold dust. Jeu 17 Oct - 20:10 |
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| | | Invité;
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| Sujet: Re: gold dust. Jeu 17 Oct - 20:24 |
| J'SUIS L'PREMIER MCGRATH QUI POSE SON CUL PAR ICI. t'es vraiment trop bo avec cette gueule, mais ça, j'te l'ai déjà dit. j't'ai déjà dit aussi tout l'amour que j'avais pour ton choix d'perso. pis ces rp en perspective ... bref, pis tes mots, ta plume. tout est parfait. |
| | | Invité;
Invité - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
| Sujet: Re: gold dust. Jeu 17 Oct - 20:52 |
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| | | Invité;
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| Sujet: Re: gold dust. Jeu 17 Oct - 21:16 |
| Excellent choix de perso, j'ai hate d'en savoir plus rebienvenue à la maison |
| | | Isis Castellano;
-- girl got a gun -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
úrsu. bambi eyes. 2725 1232 30 désespérément seule depuis qu'elle s'est choisie, depuis qu'elle l'a trahi. brillante avocate à la destinée avortée quand elle fût recrutée par le gang des hellhounds. réduite à gérer le dollhouse, leur qg/club renfermant les plus sombres secrets. en pleine effervescence, à deux pas du dollhouse.
| Sujet: Re: gold dust. Ven 18 Oct - 0:06 |
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| | | Invité;
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| Sujet: Re: gold dust. Ven 18 Oct - 9:27 |
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| | | Contenu sponsorisé;
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| Sujet: Re: gold dust. |
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