SAVE THE QUEENS
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 We're damned, my sisters.

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Message Sujet: We're damned, my sisters.    We're damned, my sisters.  Empty Sam 4 Aoû - 22:29

save the queens ---- / BingBing « Babylon »  Sun

22 ans ---- / ace of hearts ---- / zhang xin yuan

identité complète / 孫靐冰. Sun BingBing à l'est. De foudre 「靐」 et de glace 「冰」. Babylon Sun à l'ouest. Une excentricité, un objet de curiosité. lieu de naissance et origines / Née à Hong Kong le septième jour du septième mois. Malaise vertical à la chinoise. études ou métier / étudiante ; section droit international de l'université de Columbia. Du prestige, toujours du prestige, encore du prestige — et l'honneur sera-t-il sauvé ? Dans une autre vie, elle est serveuse au Starbucks au coin de la 41e et de Main Street, au nord du Queens. On lui avait enseigné la grande solitude des puissants. Mais si l’autarcie des sommets est une ombre, alors celle des basfonds est une nuit éternelle. orientation sexuelle / agnostique. statut civil / fiancée. Elle connaît son nom et son visage. Le souvenir d'une photo presque effacé. Elle voudrait qu'il disparaisse. Se faire oublier. Creuser un puits pour ne jamais affronter la lumière du soleil.

save the queens ---- / TELL ME WHO YOU ARE

as innocent as infants
「s u p e r b i a」 L’orgueil des bien-nés transparaît jusque dans l’arc dédaigneux de ses lèvres. Si elle tire une de ses flèches empoisonnées, il est fort probable que vous restiez sur le carreau. Son éducation a acéré sa langue de vipère. Ce n’est pas une protection. C’est une muraille.  Haute et infranchissable.  

「i n v i d i a」 La jalousie est un aveu de faiblesse, mû par la démesure et l’éternelle insatisfaction.  Mais quand l’argent est la seule religion de votre famille, difficile de ne pas être pourrie jusqu’à la moelle. Le fruit depuis trop longtemps est gâté, qui sait s’il reste quelque chose à préserver.  Après tout, on ne peut sauver ce qui est déjà mort. La flamme de l’envie l’a quittée ; elle n’a même plus la force de désirer. À la place, seul, un petit morceau d’amertume, recroquevillé sur son propre néant. Pour vivre encore, il lui faut retrouver l’esprit de conquête et le goût du sang.  

「i r a」Sa colère n’est pas un torrent de fureur. C’est une rumeur sourde, qui résonne dans ses insondables profondeurs. Petite poupée de chiffon dans ta maison sans toit ni façade, on ne t‘a jamais appris la révolte. Relève-toi. La docilité n’est pas la vertu des Mères.  

「v a n i t a s」 La vacuité de son existence n’a d’égal que son oisiveté. Le monde toujours à portée de main, dans l’artificialité réconfortante du beau, loin, très loin de la laideur et des chagrins du monde. Ils la penseront désespérément insipide et sa candeur, tout comme son inexpérience, les irriteront. Ceux-là n’auront pas saisi toute la force des eaux endormies, cachant une profondeur insoupçonnée.  

「f o r t i t u d o」 Elle pleure moins souvent. Ou seulement quand vient la nuit. Quand dans l’obscurité, le monde s’endort paisiblement, à l’abri des tumultes. Elle s’est promis de ne pas faillir, de porter le masque de la dignité, comme on porterait le fardeau de l’humanité.  L’espoir est sa seule maladie chronique. Quand elle s’en croit enfin guérie, les symptômes se rappellent à elle, plus virulents qu’auparavant.  

「c o n s c i e n t i a」 Son insolence et son mépris n’ont jamais été le fait de la haine, mais de la peur. La peur d’une nature profonde et inconnue.

「b e n e v o l e n t i a e」 Qui prend, doit aussi savoir donner. Derrière la montagne de cruauté, se cache une bienveillance et une douceur, que peu de gens ont goûté.  Le monstre c’est seulement pour le monde. Ce monde monstrueux qui abuserait de sa faiblesse, si seulement il savait. Cette innocence à l’état brut, il lui faut la préserver. Pour chasser le dragon loin de l’être, l’emprisonner au royaume du paraître.  

「s p i r i t u s」 Elle croit aux étoiles, aux signes abscons du cosmos, aux alignements de planètes, aux destins funestes contenus dans une feuille de thé. À l'ici et à l'au-delà.

「m a t e r」 Jamais captive, jamais victime. Dans ses veines coule le matriarcat, des générations de femmes insoumises. Elle devra puiser dans son sang, pour marcher dans leur pas, pour abandonner cette mue de fille et devenir femme.  

Et dans ce tourbillon sans fin d’ombres et d’impressions, personne ne connait l’origine de cette sensibilité à fleur de peau.  Personne ne sait pourquoi elle est déjà si fatiguée. Pourquoi, elle s’abime si rapidement, éclate en sanglot si brusquement et se souvient plus longtemps.  Ils la pensent trop jeune pour être brisée.  En vérité, son âme est ancienne et n’a déjà que trop bataillé.  
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Message Sujet: Re: We're damned, my sisters.    We're damned, my sisters.  Empty Sam 4 Aoû - 22:30

save the queens ---- / TELL ME MORE

who ate from destiny’s dish ; who have knowledge of good and evil
La maison de maître n’abritait que des fantômes. Des ombres fluides se dessinant avec délicatesse sur le papier de riz qui séparait le monde des Hommes de celui des mystères. Les villageois avaient appris à les craindre et à les adorer. Il n’y avait plus de maître dans cette maison depuis bien longtemps. Seules d’impétueuses maîtresses, avec la force d’une myriade d’hommes et la dignité d’innombrable femmes. On craignait leur courroux et l’on bénissait leurs bienfaits, comme les Mères qu’elles étaient, à la fois cruelles et nourricières. On disait qu’elles portaient la marque des Initiés, qu’elles avaient goûté au fruit de la connaissance infinie et que Niú Mówáng, le roi-démon, les avaient, tour à tour, enfantées et épousées. De certains, elles étaient parfois les filles de Bai Niangzi, la sorcière blanche. Mais personne ne savait ce qui se passait au-delà des cloisons en papier de riz. Seulement qu’il n’y avait plus de maître dans cette maison, jusqu’à ce que le garçon vienne au monde. Ce jour-là, loin des rumeurs du village, on entreprit les rituels ancestraux et l’on dansa jusqu’aux heures les plus avancées, dans une frénésie mystique.

* * *

Je vais vous raconter comment la nature s’est joué de moi. Comment, innocente, voguant vers mon destin ordinaire, j’ai réalisé que j’avais un don. Et comment je n’en ai pas voulu.

Je ne me souviens pas du visage de ma mère. Longtemps j’ai voulu croire qu’elle n’avait jamais existé. Que j’avais été projetée dans ce monde par le néant absolu. Plus tard, j’ai compris qu’elle était morte dans un accident de voiture. Tragique banalité. Contrairement à mon père ou à mon frère aîné, je n’ai jamais ressenti le besoin urgent de me recueillir sur des reliques. Ma mère, je l’ai construite dans l’absence de sens, dans les espaces blancs entre les lignes. C’est de là que j’ai vu le jour. Par la suite, je n’ai fait que m’aveugler.

J’ai vécu dans le luxe et la facilité. Je me suis précipitée dans les bras de plaisirs sans parfum et de satisfactions mutilées. Ma vie était faite de jouissances furtives et je n’aspirais pas au réveil. Si seulement j’avais pu dormir encore un peu. Si seulement je n’avais pas réalisé toute la puissance du feu sacré.

Le don est une malédiction. Rappelez-vous : il a un prix.

* * *

Le garçon n’avait jamais été aimé par sa mère. Ses gestes, ses mots n’étaient pas ceux d’une génitrice dévouée. Alors que dans le village, on s’adressait au petit maître avec beaucoup de déférence, de l’autre côté des murs en papiers de riz, il se heurtait toujours à la même hostilité. Il y avait dans ses regards et dans ses attentions doucereuses un dégoût latent et perfide. Un de ceux qui ne disait pas son nom et qui finissait inévitablement par rendre fou.

* * *

De mon enfance, je garde trois souvenirs : les étés passés dans notre villa californienne, la vue sur la baie de Hong Kong depuis le bureau de mon père et la mélancolie chronique. Mélancolie dans la joie. Mélancolie dans la peine. Mélancolie seule. Mélancolie à plusieurs. Chez certains, elle est pathologique. Chez moi, elle est fondatrice.

Mettre au monde une fille, après avoir élevé un héritier, c’est comme recevoir un bouquet. C’est plaisant, raffiné et hautement inutile. Les fleurs finiront par se faner mollement sous le poids de compliments insipides et il n’y a rien que vous puissiez faire. Alors je me suis conformée. Toujours bien habillée. Bien peignée. Bien policée. Comme une petite poupée. À l’extérieur, on ne parle pas trop fort, on ne rit pas trop fort, on se fait petite et délicate. Le foyer, c’est autre chose. On occupe l’espace, on devient l’espace jusqu’à se fondre parfaitement dans le décor. Après tout, on dit bien « faire tapisserie ». D'expérience, je peux affirmer qu'il ne s'agit pas d'une image.

* * *

Comme pour toutes celles qui l’avait précédé, on laissa s’envoler ses cendres du haut de la colline. Ce n’était pas un rituel, mais une promesse. La promesse de la retrouver et dans l’eau et dans l’air et dans la terre. Le garçon savait que par elle il serait nourri et qu’à l’heure fatidique, c’est à elle qu’il reviendrait.  Alors, il lui fallut fuir vers la grande ville, pour s’éblouir de lumières artificielles et s’abreuver de béton. La vérité, pour le reste du monde, c’est que cette femme n’était déjà plus.  La vérité, pour le garçon, c’est qu’il retrouverait sa mère partout, et dans l’eau, et dans l’air et dans la terre.  

* * *

Wanxiang Holding était l’héritage de ma mère. Mon père, petit employé de bureau insignifiant, s’était hissé à la seule force de sa volonté au plus haut, jusqu’à épouser la fille de son patron. Il avait toujours eu l’ambition et la ténacité. Deux traits auquel mon sexe m’empêchait d’aspirer.

Mon père ne tenait pas à ce que j’entreprenne des études. Il m’avait maintenu consciencieusement à l’écart des affaires de ce monde, pendant qu’à sa porte, venaient frapper les riches et les puissants. Des années durant, je les ai bien observés et je n’y ai trouvé rien de plus. C’est, qu’au fond, nous devions être semblables.

Un jour, on m’a présenté quelques photos formelles, imprimées sur papier glacé. Je les ai regardées attentivement quelques secondes avant d’acquiescer silencieusement. J’imagine que de son côté, mon prétendant avait dû faire de même. De l’amour, c’est tout ce que je puis dire : qu’il a la rigidité et la froideur du papier glacé.

Je suppose que la mauvaise graine avait déjà germé bien avant que je ne décide de poursuivre mes études à New York. Cela faisait déjà un moment que je commençais à entrevoir les formes de la liberté. À cette époque, ce n’était qu’une silhouette encore indistincte, à laquelle je n’osais rêver. Mais déjà, je goûtais au fruit défendu de la connaissance. J’ignorais alors qu’il n’y aurait pas de retour possible.

* * *

Au milieu du chemin de sa vie, le garçon se retrouva dans une forêt obscure où la route droite était perdue.  

* * *

La main tremblante, sur un fil en tension, prête à chanceler, je ne saurais dire comment je parvenais à maintenir encore le téléphone. Régulièrement, j’interrompais la voix de mon frère par de violents sanglots. Comme un mantra ou une formule magique, il me répétait d’arrêter. Puis sa supplication se fit injonction et je cessais pour quelques instants. Le monde tournait autour de moi et semblait se décomposer, atome après atome. Je captais quelques bribes d’explications, comme s’il se fût agi d’un télégramme. Père arrêté. Soupçons de corruption. Comptes gelés. Interdiction de revenir à Hong Kong. Attendre instructions. À la fin de l’appel, je me souviens m’être effondrée sur mon lit, hébétée et épuisée. Dans les dernières lueurs de ma conscience, j’ai espéré très fort ne jamais me réveiller.

* * *

Dans sa cellule, le garçon sentit enfin le poids des années sur son corps. Il ne savait pas ce qu’il était advenu des femmes qui l’avaient élevé. Il avait eu trop peur de retourner sur les lieux de son enfance et d’y trouver, à la place de ses souvenirs, un grand vide que rien ne pourrait jamais combler. Il savait que le village de pêcheurs avait été rasé au nom de la modernité. Qu’on y avait érigé d’infernaux monstres de fer et d’acier, exultant des fumées nauséabondes. Il imaginait que les Mères ne s’étaient jamais rendues. Qu’elles avaient disparu en même temps que cet ancien monde, mais non sans avoir bataillé jusqu’au bout. On avait sans doute arraché un par un leurs cheveux, donné leur foie aux murènes affamées, séparé la chair de leurs os et jeté les restes aux chiens. Il imaginait qu’elles avaient expiré dans la dignité, sans cri ni pleur. Il en était certain : le sang avait coulé. Et le sang continuait de couler dans les veines de sa propre fille. C’était le lignage sacré des Mères, de toutes ces femmes qui jamais ne s’étaient laissé domestiquer. Il avait voulu protéger sa progéniture de sa véritable nature et avait échoué. Car lui seul savait qu’il n’y avait pas de bonheur possible pour les femmes tourmentées.

* * *

Désormais, je vis dans l’angoisse et l’humiliation. Chassée du jardin d’Éden, j’arbore la marque maudite de Caïn, comme condamnée à vivre une perpétuelle déchéance ontologique. Du jour au lendemain, j’ai quitté le confort et la sécurité de Manhattan pour l’effervescence du Queens. J’ai vendu la plupart de mes possessions, reliquats ostentatoires d’une vie révolue. Hier encore, je ne savais rien de la vie et aujourd’hui, je plonge dans ses abîmes. Sans nouvelle de mon frère depuis deux mois, j’attends toujours un signe, une illumination. Je n’ai personne à qui me confier. Je ne veux pas me confier. Je refuse leur pitié et leur condescendance. Qu’adviendra-t-il de moi quand tous mes prétendus amis sauront la vérité ? Je ne donne pas cher de ma peau. Et chaque nuit dans ma chambre exiguë, mon esprit vagabonde au rythme des cortèges mortuaires d’ambulances.

save the queens ---- / BEHIND THE MASK

Ava ---- / XX ans ---- / rpgiste

ville / Ici c'est Paris. études ou métier / édition avis général sur le forum /  We're damned, my sisters.  3794924939 . le détail qui t'a fait craquer / le design, le contexte. fréquence de connexion / 4/7. le mot de la fin / soyez gentils avec moi, wesh, ça fait longtemps que j'ai pas rp  We're damned, my sisters.  2209339977

Code:
[b]zhang xin yuan[/b] / [i]babylon sun[/i]
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Message Sujet: Re: We're damned, my sisters.    We're damned, my sisters.  Empty Sam 4 Aoû - 22:37

oh wow We're damned, my sisters.  946831849
déjà ma vie zhang xin yuan We're damned, my sisters.  3176379322 ensuite ta plume et ce personnage We're damned, my sisters.  2781936883 We're damned, my sisters.  1252774950

bienvenue par ici et bonne chance pour ta fiche !
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Message Sujet: Re: We're damned, my sisters.    We're damned, my sisters.  Empty Sam 4 Aoû - 23:45

Merciiii We're damned, my sisters.  2781936883
J'ai hâte de finir ma fiche en tout cas 8D
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Kurtis McDonald;

-- le bigmac d'la street --
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Kurtis McDonald



king.
a devious route - av | self, sign.
betsi - peltz | brynn - o'neil | cez - o'connell | oona - piekarz | sage - gauthier | sonny - bador | tad - piper.
7943
815
29
véritable bras cassé.
effervescent.
( m o o d b o a r d )

NOA(2) / KAAN / KIDD / SOFIA / TRIPP
JOLENE / SOCO / SCYLLA / YOU ?
(voir le répertoire complet)

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Message Sujet: Re: We're damned, my sisters.    We're damned, my sisters.  Empty Dim 5 Aoû - 2:10

euh, cette plume ??? We're damned, my sisters.  2746119247
bienvenue sur stq ma jolie. We're damned, my sisters.  3794924939

_________________

- m o t h a f u c k a z all know who i am /

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https://savethequeens.forumactif.com/t66-kurt-mothafuckaz-all-know-who-i-am https://savethequeens.forumactif.com/t5236-kurt-big-mac
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Message Sujet: Re: We're damned, my sisters.    We're damned, my sisters.  Empty Dim 5 Aoû - 2:31

We're damned, my sisters.  697000959 We're damned, my sisters.  697000959 We're damned, my sisters.  697000959 trop de mot sont inutile par ici We're damned, my sisters.  786776605
bienvenue chez toi We're damned, my sisters.  946831849
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Message Sujet: Re: We're damned, my sisters.    We're damned, my sisters.  Empty Dim 5 Aoû - 8:48

j'm bcp ce que tu proposes.
et le pseudo. We're damned, my sisters.  697000959
bienvenue par ici.
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Message Sujet: Re: We're damned, my sisters.    We're damned, my sisters.  Empty Dim 5 Aoû - 10:10

je vais répéter, mais jolie plume. We're damned, my sisters.  3794924939
bienvenue et rejoins-nous vite. We're damned, my sisters.  2288768012
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Message Sujet: Re: We're damned, my sisters.    We're damned, my sisters.  Empty Dim 5 Aoû - 11:32

tu as une si belle plume. We're damned, my sisters.  697000959 We're damned, my sisters.  697000959 bienvenue. We're damned, my sisters.  946831849
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Message Sujet: Re: We're damned, my sisters.    We're damned, my sisters.  Empty Dim 5 Aoû - 12:08

Ohoho merci à tous, vous êtes adorables We're damned, my sisters.  3794924939
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