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(02.06.2023) STQ FÊTE SES 5 ANS HAPPY BDAY !

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 Remercie la personne critique, car prisonnière de sa jalousie, elle ne fait que t'admirer | Ft. Cassey

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Remercie la personne critique, car prisonnière de sa jalousie, elle ne fait que t'admirer
"Owen & Cassey 17."
Ma convalescence me paraît si simple à ses côtés. L'ennuie n'est pas dans les parages. J'ai la douce sensation de me rapprocher d'elle, de mieux la connaître. L'envie d'être à ses côtés ne me quitte point. L'envie de l'aimer plus fort chaque jour ne cesse de grandir. Tu l'aimes comme un fou! Tu respectes ses idées, même l'idée de la partager... Pourtant cette idée de la savoir de temps à autre avec ce bisounours te blesse. Tu es loin de te douter la fin de cette histoire. Tu as boulervsé sa vie depuis ton retour. Je refuse simplement de l'avouer. Elle en a fait autant. Je ne pourrais plus me passer d'elle, de sa présence, de son savoir vivre, de sa beauté. Je crois qu'elle a pris une place importante dans la vie de Gabriella. La jeune enfant semble tout autant l'adoré. Revoir son doux sourire me fait du bien. Même si je m’efforce qu'elle n'oublie jamais ses parents, elle semble passé doucement au dessus de tous ça. Cassey aura été cette bouffé d'oxygène auquel nous avions besoin pour survivre à cet épreuve.  L'insomnie me guette la nuit, laissant mon esprit vagabondait à divers tracas de mon quotidien. Comment pourrais-je réconcilier quelques chose qui n'a jamais existé aux côté de ma fille? Je m'interroge bien souvent. J'entends les pas de gabriella. Je remonte le drap sur le dos nue de Cassey. Son pouce à la bouche, son doudou à la main, elle avance vers ma direction. Doucement, je me redresse. Doucement, elle avance, me chuchotant d'avoir fait un cauchemars. Je l’accueil dans mes bras, la serrant doucement pour la rassurer. Je dépose un baiser sur sa chevelure doré. En chuchotant, je lui propose de préparer le petit déjeuner. Emballée, la jeune m'embrasse, avant de sortir de la pièce. Un baiser chaste, vient se déposer sur l'épaule dénudé de Cassey. Je la regarde un brève instant, savourant ce jolie paysage. Je sors du lit sans un bruit, enfilant mon boxer et le bas d'un jean. La porte de la chambre fermé,  je rejoins Gabriella prête à s'activé pour remplir son p'tit etomac.  
Nous entamons notre routine quotidienne. Petit déjeune. Je m'occupe de Gabriella. Une fois habiller, je coiffe sa chevelure doré. Amusé, la jeune enfant tournoie sur elle même afin de tortiller ses cheveux. Ainsi, je peux fixer à l'aide d'un élastique pour lui faire deux petit chignons sur la tête. Je ne remercierais jamais YouTube pour les tutoriels coiffures! Je jette un coups d'oeil à la pendule. Ma conscience soupire, l'infirmière semble avoir du retard. Je ne pourrais point amener Gabriella à l'école ce matin. Malgré les recommandations de mes médecins et la vigilance de Cassey, je bouge. Resté allongé sur un canapé n'est pas dans mes gênes. Prêt à amener Gabriella à l'école, ma muse me rappelle à l'ordre, m'ordonnant de resté ici jusqu'à l'arrivé de l'infirmière. J'aide ma nièce à enfilé son cartable. Elle m'embrasse en guise d'un au revoir. Je lui rappelle d'être sage aux côtés de Cassey, avant de les regarder partir toute les deux sur le chemin de l'école. Assis sur le sofa, je zappe à la télé, attendant la venue de l'infirmière. Au bout d'une dizaine de minutes, on sonne enfin! Je me lève pour aller ouvrir. Je la salue, elle semble radieuse. Assis sur le sofa, j'enlève mon tee shirt afin qu'elle puisse faire les soins adéquates. Désinfecter, changer le pansement, surveiller qu'aucune infection se propage. - "Je n'ai jamais eu l'occasion de vous remercier. Vous avez sauver ma mère à l'incendie du centre commercial." -"Vous n'avez pas à le faire. J'ai fais mon travail.- "Ca doit être rassurant de vivre avec quelqu'un comme vous. C'est vrais, vous n'avez aucune peur, vous êtes douée et fort. On doit se sentir en sécurité avec vous." C'est flatteur. A mon habitude, j'aurais continué dans son jeu, lui proposant certainement d'aller boire un verre espérant finir la nuit dans son lit. C'est une belle femme, elle a certainement tout pour rendre un homme fou. Mais depuis le retour de Cassey dans ma vie, tout à changé. Aller découvrir le corps d'une femme en manque de sexe, ne me dit absolument plus rien. Cassey me suffit amplement, je ne ferais rien qui pourrait la blessé.

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☆ ☆ ☆
{ eaten up with jealousy }
crédit/ tumblr ☆ w/@Owen Swaguer
Il y a comme un goût de renouveau. Un parfum de fraîcheur qui règne dans la vie de Cassey depuis peu. Ses problèmes d’argent sont en train de se régler, ne lui reste plus qu’à tirer dessus un dernier trait. Mais il y a autre chose, depuis quelques temps, il y a cette sensation qu’elle a d’avoir pris un nouveau départ avec Owen. Elle ne sait pas ce qu’il signifie, ni ce qu’il peut engendrer. Elle sait juste qu’elle se sent bien à ses côtés. Qu’elle aime sa présence, peut-être même qu’elle en a besoin. Besoin d’avoir quelqu’un. Besoin de l’avoir, lui. Mais ce n’est pas de l’amour, elle refuse que ce soit de l’amour. Elle n’a plus envie d’être lui, ni avec aucun homme en vérité. C’est pour cette raison qu’elle a préféré mettre un terme à sa relation avec Toby. Il en attendait plus d’elle qu’elle était capable de lui donner, plus qu’elle ne pouvait aimer. Ce serait encore plus difficile avec celui qui est son ex. Car si elle avait accordé une totale confiance au jeune prêtre, c’est bien différent avec lui. Elle n’a pas confiance en Owen, elle ne l’a plus. Plus depuis quelle a compris, à l’âge de seize ans, qu’il est capable de partir à tout instant. La quitter sans se retourner. Alors, non, elle ne pourrait plus être avec lui.

Pourtant, c’est un peu comme si t’étais déjà avec lui.

Elle passe un bon nombre de ses nuits chez lui. Plus encore depuis qu’il a été agressé, comme si elle avait peur de le laisser. Elle le voit régulièrement, plus que n’importe lequel de ses amis, quand elle n’est pas en train de penser à lui. Elle se sent, comme, intégrée à sa vie. Même Gabriella semble accepter sa présence, elle semble s’attacher à elle. La vérité, c’est qu’elle est bien dans l’existence d’Owen, mais elle ne le laisse pas pour autant intégrer la sienne. Personne, dans son entourage, n’est au courant de ce qui se passe entre eux. Comme s’il était devenu son amant, sa liaison cachée. Une partie de sa vie qu’elle refuserait de dévoiler. C’est peut-être parce qu’elle a trop peur de ce qu’on lui dirait, Cassey. Elle n’a aucune envie d’entendre les mises en garde des uns, les rancœurs des autres. Elle a envie de garder ce petit morceau de sa vie pour elle toute seule. Puis, après tout, elle peut bien le faire. C’est sans conséquence, sans danger. Owen sait pertinemment qu’elle ne veut pas d’une relation de couple, enfin, elle pense qu’il sait. Il doit bien s’en douter vu son attitude. Ou bien c’est elle qui se voile la face. Elle qui refuse de voir la réalité en face.

Peut-être bien que t’as trop peur,
D’te dire qu’il peut encore te voler ton cœur.
Peut-être même qu’il l’a déjà fait,
Mais que t’es juste pas prête à te l’avouer.


C’est tellement plus facile de ne se poser aucune question. Prôner sa liberté plutôt qu’envisager ce que représente réellement leur relation. C’est sans réfléchir que, cette nuit encore, elle l’a passée dans ses bras. C’est sans réfléchir non plus qu’elle a pris l’initiative d’aller emmener sa nièce à l’école elle-même. Comme si c’était son rôle, comme une petite-amie le ferait. Une fois Gabriella à l’école, la jeune femme décide même de passer à la pharmacie avant d’aller à la boutique. De bonne humeur, son petit paquet contenant les médicaments pour Owen entre les mains, elle revient dans l’appartement, entrant sans frapper. Comme si c’était chez elle. - Je suis passée à... Elle s’arrête net quand elle se retrouve devant cette scène. Owen, torse nu, avec cette femme penchée vers lui. Son cœur manque un battement, dans un réflexe idiot, malvenu. Un pincement imprévu. Avant que son cerveau ne lui rappelle l’information qu’elle connaît pourtant. Il s’agit de son infirmière. - À la pharmacie... Elle essaie de se reprendre, laissant échapper un faible sourire. - Bonjour. L’infirmière la salue avant de reprendre ses soins. Elle la contemple un instant, Cassey, comme trop captivée par la scène qui s’offre à elle. Puis, elle s’efforce de détourner les yeux. - Je ne vous embête pas longtemps. Je me prépare un café, et j'y vais. Elle s'éloigne en direction de la cuisine, l'air plutôt décidée. Mais, en réalité, pendant qu'elle prépare sa boisson, elle ne peut pas s'empêcher de tendre l'oreille. Comme un besoin incontrôlé de savoir ce qui se passe juste à côté.
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Remercie la personne critique, car prisonnière de sa jalousie, elle ne fait que t'admirer
"Owen & Cassey 17."
Cette routine me plait! La présence de Cassey m’apaise. Elle m'aide à avancer face à mon deuil, le combat de ma nièce au procé, face à cette agression. Elle est ce pilier qui me manquer depuis toutes ses années. Une bouffée d'oxygéne me permettant d'apprendre à vivre! Sa sale histoire et bientôt derrière elle, derrière nous. Mais tu le sais, tu flippes complètement! Tu de demandes comment vas se dérouler la suite. Elle va retourner chez elle, certainement auprès de sa fille. Tu ne passeras point de temps à ses côtés, elle n'est pas prête. Elle te l'as dis sur ce lit de convalescence à l'hôpital. Si Arya l'apprends, ça risque de faire des étincelles entre elles. Tu le sais, tu en ais sur. Et pourtant, tu t'accroches dans l'espoir de changer. L'espoir fait vivre, certes! Mais il faut savoir retomber sur ses pattes. savoir faire face à la réalité. Alors, j'ai décidé de profiter du moment présent. Adviendra ce qui pourra! La sonnerie retentit dans la pièce. Je sors de mes pensés pour aller ouvrir la porte d'entrée, afin d 'acceuillir l'infirmière. J'enlève mon tee shirt, afin qu'elle puisse faire son travail. Rapidement, elle s'occupe de moi. La jolie brune, décide de faire la causette. Elle me remercie pour sa mère, l'avoir sortit des flammes. Être pompier à ses avantages pour séduire les femmes. Je lis dans son regard qu'elle souhaiterais bien plus, certainement un rancard. Je détourne la conversation. Ma muse finit par entrer dans la pièce, sauver par le gong! L'aide soignante se referme comme une huître, vexé d'avoir été dérangé. Je la soupçonne d'avoir décalé le rendez-vous... Elle ne s'attarde pas. Le pensement remis en place, j'enfile mon bout de tissus. Je me lève, la remerciant pour la raccompagné. "il faut que vous vous ménager encore quelques jours. Je pourrais bientôt vous retirez les points, puis vous pourrez jouer les hommes fort en allant sauver des vies. Qui sait, peut-être que vous viendrais me sauver." -"Qui sait?! Je vous souhaite une bonne journée. Non, je n'ai aucune envie de m'attarder avec elle. Je prends ma veste à capuche gris. Je l'enfile en m’avançant vers la cuisine Merci pour les médocs! J'aurais pu m'y rendre dans la mâtiné. , pour à mon tour me faire coulé un café. -"Je t'en fais coulé un second?" Demandais-je en cherchant une tasse dans le placard.

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Message Sujet: Re: Remercie la personne critique, car prisonnière de sa jalousie, elle ne fait que t'admirer | Ft. Cassey   Remercie la personne critique, car prisonnière de sa jalousie, elle ne fait que t'admirer | Ft. Cassey Empty Ven 20 Sep - 21:07


☆ ☆ ☆
{ eaten up with jealousy }
crédit/ tumblr ☆ w/@Owen Swaguer
Le parfum de légèreté présent depuis qu’elle a ouvert les yeux vient brusquement de s’évaporer. La cause, cette femme, juste à côté. Cette femme qui profite pleinement de son rôle d’infirmière, cette femme qui est en train de tout faire pour capter l’intérêt d’Owen. Elle ne voit pas la scène, Cassey, mais elle l’imagine parfaitement. Elle imagine ses mains glisser contre le torse de son patient, elle imagine son regard qui se plonge dans le sien avec beaucoup trop d’insistance. Et lui, bien sûr, qui ne dit rien. Il la laisse faire son petit manège alors que, après quelques secondes silencieuse, la jeune femme reprend la parole en se pensant à nouveau seule avec lui. Pourtant, à l’entrée de la cuisine, la jolie blonde ne manque pas un mot. Cette femme est clairement en train de le draguer. Alors qu’elle l’a vue entrer ici, bordel, elle se doute bien qu’elle n’est pas juste la baby-sitter de la petite. Elle sent la colère l’envahir mais, surtout, ce pincement au cœur qui fait mal. Celui qu’elle connaît trop bien, celui qu’elle n’a jamais su contenir. Elle est jalouse, Cassey. Irrémédiablement jalouse. Mais t’as pas le droit d’être jalouse. Il ne t’appartient pas, il n’est même pas avec toi. Elle ne veut même pas être avec lui, bon sang. Elle n’a aucune raison d’être jalouse. Peut-être bien qu’il voit quelqu’un d’autre, peut-être qu’il en voit beaucoup d’autres, sans qu’elle n’en sache rien. Et pas seulement pour discuter. Il en aurait le droit. Mais elle n’a aucune envie d’accepter une chose pareille, Cassey. Aucune envie que le seul homme qu’elle a aimé puisse aller voir ailleurs chaque fois que l’envie lui vient. Toujours tout près d’eux, elle les entend bouger un peu, signe que c’est bientôt terminé. Elle lève les yeux au ciel de manière exaspérée quand elle entend les derniers mots de l’infirmière. Puis, elle réalise que cela signifie qu’Owen risque de venir à tout moment. Elle se rapproche rapidement de la machine à café pour s’en faire un. Le café commence tout juste à couler quand elle entend la voix du jeune homme qui revient. - Pas de problème. lui répond-elle simplement, sans même le regarder. D’ordinaire, elle dirait qu’il sait pourtant qu’il ne doit pas faire trop d’efforts. Que cela ne la dérange pas, elle. Mais elle n’a pas vraiment envie de parler, ni même de s’attarder. - Non merci, je vais y aller. Elle est froide, Cassey. Pourtant elle sait qu’elle n’a aucune raison de lui en vouloir. Elle sait qu’elle n’est pas légitime à lui en vouloir. Mais entrer chez lui et le voir avec cette femme... Ne cherche pas, t’es juste jalouse.
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Remercie la personne critique, car prisonnière de sa jalousie, elle ne fait que t'admirer
"Owen & Cassey 17."
J'ai hâte de pouvoir reprendre une vie normal. Être le seul décideur de mes gestes, sans préventions, sans douleurs. Impatient de reprendre ma place à la caserne. L'adrénaline me manque, l'équipe. Impatient d'être à nouveau réglé au rythme de Gabriella  et non de mes soins.  Et poutant, tu apprécies ta convalescence en bonne compagnie. Tu apprécie de l'avoir régulièrement à tes côtés. Tu apprécies de pouvoirs la connaître. Tu apprécies cette présence, qui, à une époque t'a tans manqué. Je me console en regardant le côté positive face au négative. Frôlé la mort, m'a permis d'ouvrir les yeux. D'envisager de prendre le bon côté de la vie. Après tous, nous avons qu'une vie. Des problèmes, des emmerdes pleins! Autant savourer chaque moments de bonheur, même éphémère. L'infirmière partie, je rejoins Cassey à la cuisine, la remerciant d'être passé à la pharmacie. J'aurais pu m'y rendre, cela m'aurais dégourdit les jambes, en attendant de reprendre le sport.  Mafois, ce n'est pas grave. Elle a , une façon de veiller sur moi, si simple, si puissante. Elle me giffle au visage pour me rappeler tous ce que j'ai loupé à cause de ma cupidité. C'est du passé Swaguer, j'te l'ai déjà dit: TU DOIS AVANCER! me gronde ma conscience. Sa réponse reste brève. Où est passé la Cassey sur-protectrice de ces derniers jours?! Je dois me faire des films. Elle a certainement la tête ailleurs. Ce ne serait pas étonnant la connaissant. Lui proposant un second café, j'insère ma tasse pour faire coulé ce liquide noire remplit de caféine. Sa réponses reste aussi froide, décidant de partir... Dire que tu pensais qu'elle passerais la matinée à tes côtés avant de rendre visite à notre fille. Attend, c'est ce qu'elle avait dit. -"Comme tu veux. Tu as changés tes plans?! Je pourrais t'accompagner, cela me permettrait de me dégourdir. " Confiais-je en appuyant sur le bouton marche de la machine. Dieux sait que j'en ai besoin. Respirer cette frais, qui me rappelle que je suis vivant. Le café coule. Je m'empare de la boîte à sucre. Je me récupère deux morceaux. Je les glisse dans mon café, avant de porter la tasse à mes lèvres. Je m'appuie contre le plan de travail, regardant ma muse, semblant être ailleurs. -"Tu es certaine que tout va bien?
 

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☆ ☆ ☆
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crédit/ tumblr ☆ w/@Owen Swaguer
Ce n'est pas le moment pour venir lui parler. Mais alors, vraiment pas. Elle n'est pas quelqu'un de mauvais, Cassey. Elle n'a pas une once de méchanceté. Elle est chaleureuse, douce avec les autres, plutôt agréable à vivre en fait. Mais elle a aussi un tempérament extrêmement caractériel. Lunatique aussi, d'un instant à l'autre, elle peut considérablement changer de comportement. Parce qu'elle est en permanence en proie à ses émotions, elle ne sait pas faire dans la demi-mesure. Excessive, souvent trop dans l'extrême, elle ne sait pas se contrôler. Pourtant, elle est encore relativement calme devant Owen. Quelque part, tout au fond d'elle, la jeune femme a bien conscience qu'elle n'a aucun reproche à lui faire. Mais c'est très difficile de s'en souvenir quand elle pense à la scène à laquelle elle a assistée, celle qu'elle a espionnée. Elle contient autant qu'elle le peut sa jalousie. Mais elle n'est pas pour autant capable de faire bonne figure. Retenir la colère qui l'a envahie, c'est déjà bien assez, pour qu'elle puisse en plus afficher son plus beau sourire. - Je ne vais pas m'amuser, j'te rappelle, je vais juste bosser. Ce qui est vrai. Sauf que, la veille encore, elle ne lui aurait pas refusé de l'accompagner. Mais elle n'a aucune envie de l'avoir avec elle, aucune envie de penser encore à cette conversation avec cette infirmière. Son café qu'elle fait couler dans un thermos, elle a les yeux rivés sur ce qu'elle fait plutôt que sur lui. Encore quelques secondes, et elle sera partie. Peut-être même qu'elle aura oublié. Seulement il revient de plus belle, Owen. Elle lève les yeux au ciel, comme une adolescente un peu trop insolente le ferait. Ces hommes qui ne comprennent rien, bordel. Et elle qui choisit de nier, bien sûr qu'elle nie. - Je ne vois pas pourquoi ça n'irait pas. répond-elle toujours avec froideur avant de fermer le thermos enfin rempli. Plus que quelques secondes, Cassey. Tu pourras t'en aller. Juste, tais-toi encore quelques secondes. C'est se demander l'impossible. - Au fait, je ne pense pas que je serais là ce soir. Et c'est trop tard… Elle prononce ces mots avec détachement, trop pour que ce soit normal, avant d'attraper son sac à main. Prête à partir, prête à le fuir. Et oublier, surtout, cette putain de jalousie.
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Message Sujet: Re: Remercie la personne critique, car prisonnière de sa jalousie, elle ne fait que t'admirer | Ft. Cassey   Remercie la personne critique, car prisonnière de sa jalousie, elle ne fait que t'admirer | Ft. Cassey Empty Dim 22 Sep - 9:32



Remercie la personne critique, car prisonnière de sa jalousie, elle ne fait que t'admirer
"Owen & Cassey 17."
Je rejoins Cassey dans la cuisine, m'offrant à mon tour, une tasse de caféine. Adossé contre le plan de travail, j'observa Cassey, qui semble être ailleurs. Comment se fait-il? Je ne m'interroge point. Cassey est de nature explosif. Cette facette de sa personnalité, n'a pas jamais. Ce bout de femme, si jolie, si douce, à un sale caractère. Même si parfois cela semble difficile à croire, j'aime ça. J'aime cette femme à caractère. J'aime lorsqu'elle soit elle même à ses côtés. Bousculant ses programmes de la matinée, je la questionne. J'ai envie de comprendre pourquoi un tel changement. La vérité, tu espérais qu'elle passe plus de temps à tes côtés. Tu espères tellemente. La vérité elle est là, devant toi! Rien de sérieux, elle ne te considère même pas comme son conjoint. Tu aurais du t'en doutais. Tu aurais du savoir qu'un jour cela arriver. Vivre le jour au jour, me permettait d'éviter voire la réalité. Tu te fais des films Swaguer, elle va seulement reprendre sa place dans sa vie. -" C'est une bonne chose. Tu as réussis à trouver des pièces rares, riches en histoire?" Je suis conscient de sa situation. L'autre soir, en allant la chercher, sa boutique certaines étagères vides n'attendais qu'une chose, être remplit. Servant son café dans son thermos, je lui demande si tout va bien. Elle te dis oui, mais tu le sais elle ment. Tu peux lire en elle comme un livre ouvert. Même si pour beaucoup Cassey semble difficile à comprendre, tu as cette facilitée donné à peu d'homme. Elle est sur le point de partir. Elle détourne ses projets, nos projets. pour quel raison?! Je n'ai aucune envie de passer la nuit seul. Je me suis habitué à sa présence, à son odeur, son rire... Sans elle, ma vie serait morose. Je le sais miexu que personne. Instinctivement, j'attrape sa main, l'obligeant à pivoter pour se retrouver face à moi.  -"Cassey, qu'est ce qui se passe?" Confiais-je d'un ton sérieux restant doux. Je n'ai aucune envie qu'elle se braque, bien au contraire. Je souhaite qu'elle s'ouvre à moi comme une fleur délicate. Je monte avec tendresse son menton, pour plongé mon regard dans le siens. Je pose ma tasse afin de poser par la suite mes mains sur ses hanche. L'impression de la garder un peu plus contre toi, t'aide à espèrer qu'elle va s'ouvrir.
 

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Elle est comme une bombe à retardement. Le compte à rebours est lancé, reste à savoir quand est-ce qu'elle va exploser. Il ne faut pas se fier aux apparences, pas avec Cassey. Sous ses airs un peu candides, elle a ce feu en elle. Ce feu qui ressort, la plupart du temps, par cette âme passionnée, ce besoin de se sentir vivante qui rythme chacun des battements de son cœur. Mais il y a aussi son tempérament volcanique, celui qui revient quand les choses ne vont pas dans son sens. Celui qui revient quand ses émotions deviennent beaucoup trop fortes, trop intenses, pour qu'elle puisse les contrôler. C'est ce qui arrive, là tout de suite, elle se sent prête à craquer. Elle se retient, pourtant, elle se contient. Autant qu'elle en est capable, elle s'empêche d'ouvrir sa bouche. Mais Owen, il fait tout pour maintenir un semblant de conversation entre eux. Il n'a pas même l'air vexé quand elle refuse sa proposition de l'accompagner, il se contente uniquement de l'interroger gentiment sur son métier. Et cela l'agace un peu plus de voir qu'il insiste, comme pour la faire parler, alors qu'elle n'en a aucune envie. Dans un soupir, elle consent à répondre, sans vraiment lui répondre. - Oui. Bon, je dois y aller. Elle ne va pas tenir longtemps, elle le sait. Elle attrape son sac à main, dans le but de partir enfin. Mais il choisit de moment pour glisser ses doigts contre les siens pour la faire pivoter. Il l'oblige à se retrouver face à lui mais ne s'arrête pas là. Sa main qui se pose sur le menton de la belle, son regard qui s'accroche au sien, l'autre main sur sa hanche, il fait tout pour capter son attention. Tout pour qu'elle soit incapable de le fuir. - Tu me demandes vraiment ce qui se passe ? Tais-toi, Cassey. - Tu ne vois vraiment pas, t'en as aucune idée ? Arrête, Cassey. Sauf qu'elle ne peut pas arrêter. C'est trop tard, elle est lancée. Et ça la rend encore plus dingue de constater qu'il n'a aucune idée de ce qui peut bien la mettre dans cet état. C'est quand même facile à comprendre. Il serait devenu dingue, lui, d'entendre un homme la draguer comme l'autre idiote l'a fait. - Tu sais quoi, si tu ne vois pas, t'as qu'à demander à ta belle infirmière. Et elle se recule enfin pour échapper à son emprise.
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Message Sujet: Re: Remercie la personne critique, car prisonnière de sa jalousie, elle ne fait que t'admirer | Ft. Cassey   Remercie la personne critique, car prisonnière de sa jalousie, elle ne fait que t'admirer | Ft. Cassey Empty Lun 23 Sep - 8:17



Remercie la personne critique, car prisonnière de sa jalousie, elle ne fait que t'admirer
"Owen & Cassey 17."
Ta muse à décidé de changé ses programmes. La raison? Tu l'ignores. Mais tu comptes bien la découvrir. Tu comptes bien lui faire avouer ses tracas. Tu l'as connais, elle est loin d'être la Cassey surprotectrice de ces derniers jours? Ce matin tous semblait bien se passer. Ta tasse à café dans la main, tu essaie de faire une conversation, qu'elle esquive sans gêne. Pourtant, tu le sais, parler de ses vieilleries est une passion innée chez elle. C'est un bout de femme fascinante, captivante à conté l'histoire de ses objets.  Ta conscience soupire, te demandant ce dont tu as pu faire. Tu poses ta tasses remplit de caféine sur le plan de travaille. Ta main rattrape la sienne au vol, l'installant entre tes jambes. D'un geste en douceur, tu relèves son menton afin qu'elle puisse t'écouter. tes mains glisses sur ses hanches, histoire de la garder, de l'empêcher de fuir. Tes yeux encrée dans cet océan de bleus, tu l'interroges. Tu veux comprendre ce changement si soudain. Elle s'énerve. M'ordonnant de me remettre en question. A quel sujet? Qu'as-tu encore fait Swaguer! Gronde la conscience, cherchant. Tu hausses les épaules, sans comprendre. Ton timbre de voix se fait doux, afin de ne pas envenimé la situation. -"Si je te poses la question..." Tu as beau réfléchir, non tu ne vois pas. Ses mots sortent de sa bouche, évoquant mon infirmière. Celle qui ne s'est point gênée pour me faire des avances. Avances dont tu as essayé de détourner, à cause, ou grâce à ce bout de femme se trouvant devant toi.  Doucement je souris. Elle est ni plus, ni moins JALOUSE!  Tous s'éclaircit.  Un sourire amusé s'étire sur ton visage. Tu le sais, cette situation va te plaire! -"Elle est actuellement dans nos vies pour faire mes soins. Tu n'as aucune soucis à te faire Casse. " Tu le sais, c'est la pure vérité. D'ici quelques temps, elle sera définitivement bannis de ta vie. Tu espères que ce jour arrive vite. Tu espères pouvoir rapidement reprendre une vie NORMAL! Tu n'as aucune envie de retrouver cette fille dans ton lit. Tu n'as aucune envie d'apprendre à la connaître. Une seule demoiselle à les droits sur ton coeur, la seule, l'unique depuis vingt ans.
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☆ ☆ ☆
{ eaten up with jealousy }
crédit/ tumblr ☆ w/@Owen Swaguer
Elle aurait voulu s’échapper au plus vite. Elle aurait voulu partir avant que la bombe n’explose, avant qu’elle n’explose. Fuir, c’est facile. Bien plus que d’affronter cette jalousie mal placée, bien plus que d’assumer éprouver un tel sentiment. C’était facile, en tout cas, avant qu’il ne l’attire contre lui. Avant qu’il ne lui laisse pas d’autre choix que de plonger son regard dans le sien. C’est beaucoup plus déstabilisant pour la jeune femme qui sent, plus encore, les émotions qu’elle essayait tant bien que mal de refouler. Et toujours un peu plus encore alors qu’il parait si loin de comprendre les raisons de son irritation soudaine. Les émotions la submergent de plein fouet alors que, enfin, ou peut-être déjà, elle ne finisse par craquer. Maintenant qu’elle est lancée, il ne lui est plus possible de s’arrêter. Pourtant, il ne réagit pas comme elle l’aurait imaginé, Owen. Surtout pas comme il le devrait. Elle voit ce sourire amusé qui apparaît sur ses lèvres, comme s’il trouvait la situation drôle, comme s’il la trouvait, elle, drôle. - Ça te fait rire ? qu’elle lui rétorque, loin d’être amusée de son côté. Le jeune homme tente néanmoins de se rattraper en lui expliquant que la fameuse infirmière vient uniquement pour ses soins. Bien sûr, elle n’attend rien d’autre. Il te prend pour une conne en plus. Ses paroles suivantes l’agacent un peu plus là où elles devraient pourtant la rassurer. La vérité trop difficile à encaisser.

Parce que tu ne devrais te faire aucun souci,
Parce que tu n’es pas sa petite-amie.


Les yeux qui se relèvent jusqu’au plafond avec insolence, elle reprend très vite la parole pour clarifier un point qui lui paraît primordial. - Je ne me fais aucun souci, c’est toi qui devrais t’en faire. À espérer « être sauvée » par un pompier, elle ne doit vraiment pas être net dans sa tête. C’est sa jalousie qui parle. Sa jalousie qui la dévore. Plus elle repense à cette femme, moins elle se calme. C’est même tout le contraire qui se produit. - Sérieusement, tu trouves ça normal que j’assiste à une scène pareille ? Tu crois que c’est agréable pour moi, alors qu’on a passé la nuit ensemble, de te voir le lendemain matin en train de flirter avec une autre femme ?! Là, elle est injuste. Tout au fond d’elle, elle le sait, Cassey. Elle sait qu’il n’a rien dit, rien fait. Mais le simple fait qu’il l’ait laissée faire la rend dingue. Le simple fait qu’une femme puisse penser avoir ses chances avec lui la rend dingue.
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