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 à notre malaisance des corps.

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Message Sujet: à notre malaisance des corps.   à notre malaisance des corps. Empty Mar 13 Aoû - 23:51

save the queens ---- / CAMI MOORE

26 ans ---- / ace of hearts ---- / zippora seven

identité complète - cadette familiale. camille. cami, dans le palabre affligeant patriarcal. dans les étreintes éphémères et périssables meublant de tendresses étranges cette famille d’excès et d’abus aux fissures colmatés à grand coup de caresses. de « je t’aime. » bravaches et arrachés aux lippes cagneuses de l'aîné. cami, nouvelle génération niquée de la tête. moore comme affiliation. l'acmé du vice en héritage. lieu de naissance et origines -  d’ici et de nul part ailleurs, new york, flambeau de son agnèlement âpre et vil, captive native d’irlande du destin vainqueur. études ou métier - cœur bohème. artiste paumée aux mœurs légères. de clichés étrillés en corps profanés. de son touché avide. d’agglomérés combustibles qui noircissent ses sépulcrales désirs biaisés. d’aquarelles allégories qui déguisent d’or et d’argent ses échecs mordicants. orientation sexuelle - hétérosexuelle à la beauté désaprise. insensible aux baisers charmants, paumée dans des phantasmes disloqués à l'élégance des stupres et au charme des rapines. statut civil -  a baiser, léser, désavouer, adorer. célibataire de son plaisir.  le désir biaisé, l’attachement maladroit. chimérique et acide. bel inconnu. le vouloir pour mieux le rejeté. plaisante indolente trouvant plus souvent la réponse de ses solitudes amères dans les paradis artificiels. pi, scénario ou prélien - inventée.

save the queens ---- / TELL ME WHO YOU ARE

once upon a spirit ---- / a soul ---- / a shining star
traits de caractère / cami. des élans d’adolescente, un réservoir incandescent. sourire navrant, tant de contrastes. cami, des couteaux dans les sourires. imparfaite. l’goût des levers du jour. d’un palabre affligeant. cami. la liberté au bout des doigts, le goût de l’innocence. la cigarette aux coins des lèvres, le regard vague. les conneries qui s’additionnent. sous ses pieds qu’elle traîne. cami. femme enfant. chien enragé, teigneux et acharné. camée. paumée dans le désordre de sa vie. cœur érotomane captif entre les mains barbares. les doigts agiles. la tête dans les étoiles, guette les comètes, les planètes, les épiphanies. cherche à déterrer ce qui est enfoui. caché. ce qui demande qu’à être sorti. cami. l’enfant terrible. féministe quand l’humeur change. tantôt soumise. tantôt rebelle. je-m’en-foustime, envoyant se faire foutre le politiquement correcte, les didacts patriarcale « putain d'gonzesse ». cami. ses sales travers. cherche à rejoindre les rangs des lions. des maquisard. des résistants. des sentiments. espère, encore, croiser la vie, pour la séduire, la remmener et lui faire l’amour de façon brûlante. cami. les yeux écarquillées en permanence. ahuris. ébahis de cette chienne de vie. cami. peau de requin, toile émeri, abrasif touché, tant d’agressivité. intensité démesurées, le grésillement. son létal. morsure, brûlante. acide, le goût hostile. cami. vit à l’envers et les revers sans en comprendre le sens. un amour à prendre et apprendre à aimer d'un cœur de pierre aux cris épris d'un malaise mal à l’aise.…
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Message Sujet: Re: à notre malaisance des corps.   à notre malaisance des corps. Empty Mar 13 Aoû - 23:52

save the queens ---- / TELL ME MORE

once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share
écho.
seule réponse audible lorsque l'on s'adresse à un mur.
La main fluette qui se faufile entre les doigts froids de son frangin. Doudou qu’elle traîne à longueur de journée dans l’appartement miteux à l’odeur vivifiée du whisky. De son pyjama dix fois trop grand et d’un regard candide frangé de long cils opalins, fluette gamine au visage poupin. Le pouce qu’elle suce et les cheveux qui se battent en des boucles désordonnées. Pieds nus, d’un épaule frêle qui s’égare et s’échappe de l’échancrure du tee-shirt que lui a donné son frère pour la nuit, l’esprit brumeux encore et bercé par le sommeil, l’attention se porte vers la porte de chambre de son père.

Dans le silence immobile. A guetter. Attendre. Un signe d’une présence de vie avant de se faire traîner par l’aîné en direction de la cuisine.

Vivant dans un minuscule trois pièces. Appartement aux allures de taudis. Des fringues qui se perdent sur le bras du canapé. De la vaisselle sale qui dégueule et les cendriers pleins à craqués. Décoration spartiate, faite de pyrex, de meubles bancales et de fauteuils décharnés. Doucement bousculés dans la cuisine, butant sur une chaise fardée du cuire de leur paternel, ses clés de voiture négligemment abandonnées sur la table de bois au vernis ternis, immobile, la gosse laisse la main de son frangin la quitter pour le regarder déambuler dans la cuisine, ouvrir placards vides et frigo à la vieille odeur de beurre rance.

Bercée dans un univers exclusivement masculin, seule figure féminine, paumée dans les palabres cinglants, ne connaissant que le froid sinistre de son lit ou les étreintes maladroits de son frère quand la solitude, mordante, s’infiltre le long de ses membres d’enfant hagard. Maman. Qu’une figure sur papier glacé. Quelques photos sauvées d’un comportement sauvage et désespéré d’un homme en bout de course, dépassé.

Paumé. Deux gosses en bas-âge sur les bras et des emmerdes à ne plus savoir quoi en faire. Ne connaissant que sa brutalité et son alcoolisme parfois triste, parfois violent. Homme austère. Rustre. Qui sent la sueur et le labeur. La clope et le whisky. Sous l’œil rouge et brillant. Le plis amère qui déforme sa bouche quand l’attention se porte sur ses deux marmots.

Triste figure patriarcale. Entre alcoolisme galopant et canevas échevelés qui partagent ses bitures. Ses nuits. Entre rires et gémissements.

Son frère, aîné de trois malheureuses années, qui tente, maladroitement de lui faire son éducation. Faisant abstraction de cette féminité qui déplait et ennuie. Des emmerdes qu'il ne sait gérer et rabroue de nonchalance et d'haussements d'épaules. La mettant en garde. Les mecs. Comme il les aiment. Dociles et serviles. Ne pas se faire emmerder. S'avoir faire mal quand la verve n'a plus place et que seuls les coups restent.

Hochement vigoureux de blondie. Accrochée à cette seule et unique figure parentale.

Perdue dans les pensées matinales, une porte qui s’ouvre. Qui rebondie. Durement. Contre le mur de la chambre patriarcale. Suivie de l’ombre de leur père. La gueule des mauvais jours, le téléphone visé à l’oreille. Débraillé, le pantalon qu’il tente maladroitement d’ajuster alors qu’il avance, chancelant, dans le salon.

Des tatouages, floraison funèbre, tapissent sa peau. Son derme. Sombres et envoûtantes arabesques. La huguenote. Croix aux pointes garnies de perles. Des fleurs de lys qui s'insèrent entre les branches à laquelle est suspendue l'ombrage d'une colombe. tatouée le long de sa jugulaire. Juste sous sa mâchoire ombrée d’une barbe négligée. Signe distinctif de son appartenance à la mafia Irlandaise, de ceux qui font le sale boulot, les mains d’erbine et la volonté d’acier.

Une activité pas très lucrative mais qui permet de les faire vivre, quand le vieux n’oublie pas de remplir le frigo, de nourrir ses deux chiards qu’il néglige régulièrement, disparaissant durant plusieurs jours. Parfois, vient cette femme. Une amie de maman. Quelque chose comme ça. Femme d’irlandais. De mafieux. Des sourires doux et de la tendresse débordante pour ces deux soiffards d’enfants maqués à la rudesse d’un homme violent.

Sur le passage, bousculée par ce dernier. Le regardant de son regard d’enfant, énamourée, pour ce seul parent restant. Essuyant comme souvent qu’indifférence et grognement, la môme se raccroche au frangin qui glisse une main le long de sa nuque. Possessive et rassurante. D’un regard d’ambre. Chaud et envoûtant. Ce sourire tendre qui nait, étirant cette délicieuse fossette sous le bleuet d’un coup. Nimbant l’albâtre délicat de sa peau, ecchymose qui s’étend, tirant au jaune par moment, sous l’œil encore gonflé d’avoir tenu tête à la virulence du paternel, noyé alors dans l’alcool coutumier de ses longues soirées de solitaires.

errer.
marcher dans le but de n'en avoir aucun.
L’esprit qui fourmille. Le palpitant en lambeau dans les méandres de sa poitrine. L’œil figé. Sur cette bouche. D’un puce délicat. Au teint alpestre. Quelques cheveux qui s’égarent sur son front et les paupières qui frémissent à l’aube de cette nouvelle vie. Sommeil agité, l’émois qui assassine d’un témelo étranglé.

Au toucher tremblant lorsque l’index se glisse le long d’une courbe ronde. La peau chaude et vivante sous ses doigts. Cette joue qu’elle crève d’envie de baiser. Ce corps frêle d’étreindre. S’imprégner de son odeur. De cet instant suspendu dans le bordel chaotique de sa vie. Et alors que les premiers vagissements naissent dans la douce quiétude de la chambre, la porte s’ouvre sur une infirmière. Sans un regard pour cette femme dont le toucher habile s’empare de l’enfant, elle même encore gamine, elle laisse. Laisse son petit partir. Quitter son regard hanté.

Cami. Ado paumée. La majorité à peine acquise qu’elle quitte le giron familiale. Quitte la violence coutumière d’un paternel à l’oppression constante de vouloir la fiancer de force à un ami d’enfance.

Irlandaise évoluant dans le milieu de la mafia, sa place tout en bas de l’échelle sociale, voulant s’élever au dessus de la masse. Etre autre chose qu’une poule pondeuse, au détriment des siens, de son frère qu’elle a tout simplement laissé. D’un mot aux ratures. Ne sachant ou commencer pour dire qu’on abandonne. Tout simplement. Après de longues années de silence.

De squatte en squatte. A faire les mauvaises rencontres. De gosses de rues. De misères. Si semblables. A se rassembler en cette famille hétéroclite. A vivre le jour sans penser au lendemain. Se coucher certains soirs le ventre creux, coller les uns aux autres. Rires des conneries qu’ils additionnent. A faire les poches, à revendre des merdes. Des paradis artificielles. Ephémères. Violents comme un accident d’bagnole. Dealer. Le chanvre. La weed. Quelques billets en poches.

Le sac à dos en bandoulière et des rêves pleins la tête. Elle. La frénésie d’une artiste réprimée par l’étroitesse des siens. « Putain d’gonzesse. » Cette envie d’étendre ses déviances sur du papiers glaciers. y vomir ses idées qui fourmillent. Qui tapissent un peu plus son esprit de désillusions. Aux sentiments maladroits et difformes. Atrophiés par le temps et qui finissent toujours par se bousculer dans des carnets noircis d’hommes. De femmes. D’inconnus aux traits volés l’histoire d’un instant.  

Sans repères. La barque de sa vie à la dérive. Des mecs qu’elle séduit pour le plaisir de se sentir vivre, importante. Dans leurs regards. Sous leurs touchés. Avilissants. Juste pour un soir. Devenir cette prédiction que lui avait un jour balancé son paternel.

Princesse esseulée du macadam. Le trottoir comme vieille routine quand les soirées ne se finissent alcoolisées. Misérable. Les rêves qui s’effilochent. Qui disparaissent un peu plus dans la merde qu’elle prend. La poudre sous le nez et les doigts habiles qui roulent sèches sur sèches. Des dessins qu’elle tente de vendre. Des photos qu’elle tente de refourguer. Mais rien ne marche mieux que le marché de neverland.

Fierté mal placée. Incapable de revenir vers les siens, de devenir femme objet entre les doigts d’hommes mafieux. Reste pourtant cette étrange équation. L’inconnu qui fait qu’elle décroche de ses conneries. Un temps. Pour lui. Pour eux. Parce qu'elle y croit. Durement. Elle y croit quand la colère ébrèche cette confiance pourtant si fragile. Quand la jalousie dévore chaque pans de raison. Pourtant la vie à deux est douce. Parfois. Entre les cris de rage. Les gémissements, langoureux. Dans les draps humides. Dans les baisers indécents. Innocents.

Ode à sa muse. Ce corps, ce peau-ème. Ce poème, ce corps. Sous l’oeil de sa rétine. De son fusain. Des couleurs sombres, éclatant jais. Se gaver de ces lignes, courbes, qu’elle dessine encore et encore. Et qui, aujourd’hui, hantent toujours chacune de ses esquisses.

Consciente d’avoir fait foiré leur relation. Incapable d’aimer correctement. Maladroitement. Des travers qui lui tendent les bras et elle, si fragile. Redevenant salope. L’acide qui lui brûle les veines et la raison qui flanche à chaque coups de jus. Tailladant les liens fragiles de leur attachement sincère. Coup de canif dans le contrat, polichinelle dans le tiroir alors que le célibat s’abat, la laissant seule et junkie défoncée injectant un peu plus de cette merde à cette prémices de vie. Coupable. Mais incapable d’endiguer le flot. Voyant le mur se rapprocher et continuer à courir.

Soupire fragile. Tremblant.

Sortant de sa léthargie. Cicatrice qui tiraille son bassin. Douleur salvatrice et rassurante l'encrant à l'instant présent. Incertaine, desserrant les doigts du minuscule bracelet chapardé. Rose. Le caressant du regard. Les secondes qui s’étirent, puis l’automatisme qui reprend le pas alors qu’elle quitte la blouse d’hôpital pour s’habiller maladroitement des fringues tout droit sortit de l’hospice.

La honte parant son manteau sur sa lucidité moribonde. Encore dévorée par les œillades de pitié, lors de son passage aux urgences. De ces remarques acerbes et silencieuses de cette déchéance qui, aujourd’hui, électrochoc, lui fait comprendre qu’elle a lamentablement touché le fond.

Fuite en avant. Quittant hôpital, espoir et progéniture. A se retrouver au milieu de la chaussée sans trop savoir ou aller. Des larmes amères qui noie un peu plus la raison et endigue d’un flot les remords de son âme endeuillée. Besoin de prendre de la distance. Se retrouver. Trouver une nouvelle raison de se lever, d'avancer. D'espérer. De partir loin de new-York et de ses fantômes, mensonges pavant un peu plus sa vie. De se reprendre en main, en vain. De changer d’air. De panorama. De rencontres moins toxiques. De chaleur, brûlante et suffocante.

Fermer les yeux et de faire comme si. Comme si la vie a un meilleur goût après un an d'exil.
« Je viens d'où tout vient et je vais où tout va. Entre les deux, j'aurais tenu ton beau visage entre mes mains. En signe d'amour, en signe d’adieu. »
save the queens ---- / BEHIND THE MASK

naïade ---- / 28 ans ---- / rpgiste

ville - la roche sur foron. si ça parle à quelqu'un je lui dédie mon corps un culte. études ou métier - paramédical en reconversion. avis général sur le forum - tout en simplicité, de belles couleurs et des annexes sans prise de tête. il m'a donné envie dès les premières minutes. le détail qui t'a fait craquer - la sexyattitude du coin. fréquence de connexion - régulière. crédits des icons - vesperis. le mot de la fin - vous êtes magnifiques, des plumes superbes et délicieusement schizo.

Code:
[b]zippora seven[/b] / [i]cami moore[/i]
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Message Sujet: Re: à notre malaisance des corps.   à notre malaisance des corps. Empty Mer 14 Aoû - 0:03

Toi je t'aime. (Cami, camy c'presque pareil m'voyez)
bienvenue à toi petit chat! à notre malaisance des corps. 3794924939
j'aime beaucoup le début de ta fiche, hâte d'en lire plus! à notre malaisance des corps. 946831849 à notre malaisance des corps. 946831849
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Message Sujet: Re: à notre malaisance des corps.   à notre malaisance des corps. Empty Mer 14 Aoû - 0:09

Camiy, j'adore la contenance de ce simple petit prénom à notre malaisance des corps. 946831849
Merci la belle pour ton message !!
à notre malaisance des corps. 805256838 au plaisir.
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Brynn Reynolds;

-- the moon and the sun --
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Brynn Reynolds



o'neil.
ethereal, av.
betsi - peltz | cez - o'connell | kurtis - king | oona - piekarz | sage - gauthier | sonny - bador | tad - piper.
4886
800
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vendeuse d'espoir, conteuse d'histoires. retourne des cartes dans les bars, lit les lignes de la main dans les foires.

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Message Sujet: Re: à notre malaisance des corps.   à notre malaisance des corps. Empty Mer 14 Aoû - 0:10

j'aime déjà tant ce début à notre malaisance des corps. 2746119247
hâte de lire la suite à notre malaisance des corps. 2288768012
bienvenue par ici ma toute belle, en espérant que tu te plairas ici à notre malaisance des corps. 3476085353

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stardust

there's a universe inside your head, constellations of the things you left unsaid --
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Message Sujet: Re: à notre malaisance des corps.   à notre malaisance des corps. Empty Mer 14 Aoû - 0:15

Ce pseudo claque à notre malaisance des corps. 2480631781

bienvenue avec la jolie -et trop rare- Zippora à notre malaisance des corps. 1505825564
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Siam Blackbird;

-- give your heart a break --
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Siam Blackbird



taylor.
waldosia.
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975
à notre malaisance des corps. Tumblr_ptud9nvkwY1x1l0y5o3_400
31
brisée, blessée, atrophiée. le cœur tellement vide qu'elle ne se sent plus capable d'aimer.
héritière d'une grande chaîne d'hôtels, pleine aux as. dilapider la fortune familiale et finir en une des magazines people est encore ce qu'elle fait de mieux.
la plus bourgeoise de toute évidence. les blackbird ont envahi le queens uppé.
you could break my heart in two,
but when it heals, it beats for you,
i know it's forward, but it's true.


☆ ☆ ☆
cez - coban - oksana
anyone ? - anyone ? - anyone ?

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Message Sujet: Re: à notre malaisance des corps.   à notre malaisance des corps. Empty Mer 14 Aoû - 0:15

c'est. si. beau. à. lire. omg.  à notre malaisance des corps. 2746119247  à notre malaisance des corps. 2746119247  à notre malaisance des corps. 2746119247  ça devrait même pas être permis d'écrire comme ça  à notre malaisance des corps. 697000959  j'ai hâte d'en découvrir encore plus maintenant, j'te félicite pas  à notre malaisance des corps. 1505825564  bienvenue à la maison ma belle  à notre malaisance des corps. 2480631781
et si la schizophrénie te parle, on va s'entendre  à notre malaisance des corps. 4113627247

_________________
qu'importe que reviennent, ces pensées qui m'aliènent. je saignerais mes veines, pour soigner mes peines,
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https://savethequeens.forumactif.com/t1678-im-just-a-bitch-with-money-and-power-siam https://savethequeens.forumactif.com/t6091-facing-shadows-siam
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Message Sujet: Re: à notre malaisance des corps.   à notre malaisance des corps. Empty Mer 14 Aoû - 0:35

Brynn. La belle nora. J'adore sa bouille...
Et puis, merci merci pour ton message !
Je viendrais te grappiller un petit lien, j'aime beaucoup l'idée de cartomancienne  à notre malaisance des corps. 3176379322
à notre malaisance des corps. 225861324

Joe. Billy à notre malaisance des corps. 2746119247
Zipp', c'est mes premiers émois d'rpiste, j'avais envie d'un petit retour aux sources... du coup, merci pour ton message  à notre malaisance des corps. 1948873765 et puis, les barbouzes, ça fait toujours son effets !
à notre malaisance des corps. 2371390455

Siam. comment ça, tu me félicites pas ?!
à notre malaisance des corps. 350084307  à notre malaisance des corps. 350084307  à notre malaisance des corps. 350084307
Et puis, t'es tellement belle avec sexyTaylor à notre malaisance des corps. 1948873765 merci merci pour ton message, me fait grave plaisir en vrai ! J'viendrais certainement te harceler d'ici peu de temps... et la schizophrénie, c'est dans mes cordes, limite une seconde nature à notre malaisance des corps. 7591526
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héritière d'une grande chaîne d'hôtels, pleine aux as. dilapider la fortune familiale et finir en une des magazines people est encore ce qu'elle fait de mieux.
la plus bourgeoise de toute évidence. les blackbird ont envahi le queens uppé.
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Message Sujet: Re: à notre malaisance des corps.   à notre malaisance des corps. Empty Mer 14 Aoû - 0:37

you're already my guuuuurl à notre malaisance des corps. 2480631781 viens quand tu veux à notre malaisance des corps. 2465598603

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qu'importe que reviennent, ces pensées qui m'aliènent. je saignerais mes veines, pour soigner mes peines,
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Message Sujet: Re: à notre malaisance des corps.   à notre malaisance des corps. Empty Mer 14 Aoû - 2:42

Ce joli pseudo. à notre malaisance des corps. 2470315465
Et cette jolie plume. à notre malaisance des corps. 2470315465
Bref, t'es belle. à notre malaisance des corps. 2746119247

Bienvenue chez toi ! à notre malaisance des corps. 805256838 Amuse-toi bien. à notre malaisance des corps. 3227196488
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